#si vacancy 2017
Explore tagged Tumblr posts
Text
Le mannequin Christine Keeler en vacances, France, 1963.
Christine Keeler prenant des vacances en France peu de temps avant que son implication controversée avec le ministre de la Guerre, John Profumo, ne conduise à sa démission.
Christine Keeler (1942–2017) était un mannequin et danseuse topless qui, à l'âge de 19 ans, avait eu des relations sexuelles brèves avec John Profumo, le secrétaire d'État à la Guerre et le capitaine Yevgeny 'Eugene' Ivanov, un attaché naval soviétique, pendant une période similaire.
Se déroulant pendant la guerre froide, l'affaire Profumo de 1963 a secoué le pays et le gouvernement conservateur en place, le public se demandant si Christine aurait pu transmettre des informations sensibles entre ses deux amants, entraînant une faille de sécurité. Elle a été qualifiée de "pute" par Harold Macmillan, le premier ministre dont le gouvernement s'est effondré à cause du scandale.
7 notes
·
View notes
Text
TW SUICIDE
Je fais pas de post sur le suicide, mais je pense qu’avec ce mois de prévention il le faut.
En 2017-2018 j’ai rencontré une fille sur Ask (qu’est-ce que ça date aha) et on a pu se voir en vrai. Et c’était devenue ma meilleure amie jusqu’en 2020 à peu près. Toutes nos vacances d’été on se voyait, j’allais chez elle ou elle venait chez moi, on allait dans des villes bref. Mais elle était rongée par la dépression, j’ai tenter plusieurs fois de l’aider mais en vain. Après une dispute en 2020 on a coupes contact mais on avait reprit en 2022, se disant qu’on se manquait mais qu’on ne pouvait plus être amie. Pourtant ça a été une des personnes les plus importantes de ma vie, et encore maintenant je le pense.
En février/mars 2023 on m’appelle un soir pour me dire qu’elle s’était suicidée. Et je pense sincèrement que je m’en voudrais toute ma vie de pas avoir été là pour elle, de ne plus être là. J’ai perdu mon père quelques mois auparavant et apprendre le décès de mon amie à été plus que brutal. Vivre en ayant deux deuils à supporter. Je me dis maintenant qu’elle doit avoir moins mal de la ou elle est.
On ne se rend jamais réellement compte lorsque quelqu’un est suicidaire je pense, je sais que c’est dure d’être là pour quelqu’un qui n’a plus envie de vivre. Mais tenter, je regrette amèrement et je me dis que c’est à cause de moi si elle n’est plus là (même si je sais que pas forcément, juste de la culpabilité qui me ronge.)
Si vous voulez parler de dépression, de suicide ou videz votre sac je suis là. C’est peut-être plus facile à parler à quelqu’un lorsque l’on ne la connaît pas.
Prenez soins de vous et de vos proches 🫶🏻
(Vous n’êtes jamais seul.e)
20 notes
·
View notes
Text
-Alors, j'ai un double-expresso. -C'est pour moi ! -Et un noisette pour vous, je suppose. -C'est ça, merci ! -Je vous en prie, bonne dégustation.
Elle s'éloigne et on reprend notre conversation :
-Donc j'ai l'impression avec l'âge de confondre les années, c'est triste, je trouve. Depuis, j'essaie de leur donner une couleur spécifique à chacun. Et je me suis rendu compte, si tu donnes une couleur, un prénom, un lieu, à chaque été, tu peux pas confondre les années. -Ouais ? Par exemple ? -Par exemple, bon là c'est l'été 2023, là où on s'est rencontrés. -Ouais. -L'été 2022, c'est là où j'ai rencontré Carlo. -Ouais ok. -L'été 2021, j'ai tendance à le confondre avec l'été 2020. -Beh non, t'as déménagé à l'été 2020. -Oui, mais je veux quand même donner une couleur à celui de 2021. -Mais tu pars pas en vacances ? -Pas tellement. Et avant, je pouvais partir toujours un peu au même endroit. Mais il y a une période où je partais à des endroits différents tous les étés, mais attends, on en est à 21. -Ouais ouais ok. -Donc l'été 2021, c'est quand la mère de ma coloc est morte. -Mais genre c'est le seul truc dont tu te souviennes ? -Non, mais je le connecte à une émotion, et après tout vient avec : ma coloc a été à Roanne pour l'enterrement, elle m'a ramené de la confiture de sureau, et ça a été le goût de ton mon automne (y avait au moins 4 pots), j'ai des potes qui sont venu·es passer une semaine à la maison, y avait des fêtes de ouf à la ferme d'à côté tous les jeudis. -Ouais ouais je vois. Et comme ça, t'arrives à pas confondre ? -Voilà. -Et les étés d'avant, alors ?
Il a fini son café, il a posé sa tasse, et il a commencé à utiliser ses doigts : un été, un doigt.
-2019 : les visites de maisons. 2018 : le voyage de Milan à Berlin. 2017 : Lisbonne. 2016 : la rupture avec Alma. 2015 : La Loire à vélo avec Alma. 2014 : on est resté·es à Paris, faire du bénévolat, réparer des vélos, distribuer des sandwichs, pleins de trucs comme ça, et puis visiter des musées et lire dehors. 2013 : Lisbonne avec Alma. 2012 : la rencontre avec Alma. 2011 : le bac et le kayak. 2010 :
Il continue, et c'est trop bien de remonter sa vie comme un CV sensible. Mais le mec de la table d'à côté parle un peu fort. Je peux pas m'empêcher de l'entendre. J'entends des bribes, des mots. Mais à un moment j'entends une phrase complète qui me trouble : "et des fois, je suis sur mon canapé comme ça, et ça vient, c'est des volutes de tristesse, et je sais que ça vient et que je vais me sentir très triste dans 10 secondes, tu vois ?"
Des volutes de tristesse, je vois tout à fait ce qu'il veut dire. J'en ai raté l'été 2004.
Et il fait :
-Bref, t'as compris. Un été, une couleur, et ça offre des points d'appui pour l'année complète. C'est con mais ça marche pas pareil avec les automne ou une autre saison. Les étés successifs viennent comme des… comme des… je sais pas, des… des volutes d'émotions, en fait. C'est comme …
Lui aussi, il a entendu la conversation d'à côté.
-C'est comme la fumée du café, tu vois ? -Ouais, je vois. -T'as le café, c'est l'émotion de ton été. Et la fumée, c'est les volute de l'été, qui peuvent parcourir des années si tu t'en souviens, et que tu y fais bien attention. -Ouais, je vois. -Et c'est des volutes successives. Genre, tu mets ton attention sur 2017, puis 2016, etc. Et y a tout qui vient avec. -Ouais, je vois.
Je sais pas s'il a entendu qu'on avait repris son mot. J'ai regardé un peu son visage, discrètement en diagonale. Il était beau et marqué par la tristesse. Il était pas triste maintenant. Mais on sentait qu'il avait beaucoup pleuré ces derniers jours.
J'ai connu Jed.
9 notes
·
View notes
Text
MERCREDI 19 AVRIL 2023 (Billet 1 / 4)
Non, nous ne sommes pas allés hier voir l’Exposition « Basquiat x Warhol » à la Fondation Louis Vuitton. Warhol, pourquoi pas… mais Basquiat, franchement, nous n’avons jamais compris et nous ne comprenons toujours pas la cote de ce peintre.
Pour mémoire, le tableau ci-dessus, « Untitled » (1982), a pulvérisé en 2017 le record d'enchères de ce peintre lors d’une vente d'art contemporain de Sotheby's à New York, lorsqu’il a fait tomber le marteau pour 110,5 millions de dollars !!!
NON, NON et NON !!!
Nous avons préféré nous rendre au Musée d’Orsay pour l’Exposition « Manet / Degas ».
Mais même s’il est un million de fois préférable d’être devant un tableau de Monet ou de Degas plutôt que de regarder, avachi sur une banquette, le énième épisode d’une série sur Netflix… nous devons vous avouer que nous avons été un peu déçus par cette Exposition.
Plusieurs raisons à cela : les plus beaux tableaux de Manet, nous les avions déjà vus à plusieurs reprises à Orsay (les premières années du Musées nous y sommes allés assez souvent, tous les deux ou avec de la famille ou des amis de passage…), quant à ceux de Degas, peut-être sommes nous un peu béotiens s’agissant de lui, ce sont surtout ceux qu’il a consacrés à la danse qui nous plaisent le plus. Or, dans cette « confrontation Manet/Degas », Manet n’ayant jamais peint de danseuses, il n’y en avait aucun de Degas.
Autre raison, et pas des moindres, il y avait un monde fou ! Et pourtant nous avions choisi l’heure du déjeuner. Notre conseil, si vous deviez y aller, attendez encore un peu, allez-y en dehors des vacances scolaires et surtout pas un mardi, le lendemain du jour de fermeture du Musée, c’est un employé du Musée qui nous l’a dit !
Mais on apprend plein de choses sur la vie de ces 2 peintres, sur l’histoire de leur amitié, parfois teintée de jalousie, les points communs sur les sujets traités, leurs approches différentes, etc. Deux grands génies quand même de la peinture du XIXe siècle.
_____________________________________
MANET / DEGAS
Au Musée d’Orsay jusqu’au 23 juillet 2023
Cette exposition est une occasion unique de découvrir les chefs-d’œuvre de deux figures phares de la nouvelle peinture des années 1860-80 : Édouard Manet (1832-1883) et Edgar Degas (1834-1917).
Manet et Degas sont souvent considérés comme des opposés : le premier est le chef de file des impressionnistes, le second est un réaliste indépendant ; le premier peint en plein air, le second en atelier ; le premier privilégie les scènes de la vie moderne, le second les sujets intemporels comme les danseuses ou les chevaux. Pourtant, ces deux artistes ont entretenu une réelle complicité artistique et amicale pendant plus de vingt ans. Ils se sont rencontrés en 1862 et ont été immédiatement attirés par leur talent respectif. Ils ont échangé des conseils, des critiques, des modèles et des tableaux. Ils ont exposé ensemble à plusieurs reprises et ont partagé une même vision de la modernité.
L’Exposition « Manet / Degas » met en lumière cette relation méconnue à travers une centaine d’œuvres provenant du Musée d’Orsay et de prêts exceptionnels d’autres institutions françaises et étrangères. Elle propose un parcours chronologique et thématique qui explore les influences réciproques, les convergences et les divergences entre les deux peintres. Elle montre comment ils ont suivi des chemins parallèles mais distincts dans leur quête d’une nouvelle expression picturale.
Vous pourrez admirer des chefs-d’œuvre tels que l’Olympia de Manet, L’Absinthe de Degas, mais aussi des œuvres moins connues mais tout aussi fascinantes comme Le Portait d’Eugène Manet ou La Famille Bellelli d'Edgar Degas. Vous pourrez également comparer leurs approches du portrait, du nu, du paysage ou du spectacle vivant. Vous découvrirez comment ils ont utilisé la lumière, la couleur, le dessin ou la composition pour créer des effets saisissants de réalisme ou d’impressionnisme.
(Source : « Plaquette de l’Exposition »)
_________________________________
Musée d'Orsay Esplanade Valéry Giscard d'Estaing 75007 Paris
ACCÈS
Métro : ligne 12, station Solférino RER : ligne C, station Musée d'Orsay Bus : 63, 68, 69, 73, 83, 84, 87, 94
HORAIRES
Du mardi au dimanche : de 9h30 à 18h00
Nocturne les jeudis jusqu'à 21h45
Fermé le lundi
TARIFS
Plein tarif (18 et +) : 17 €
Après les plaisirs de l’esprit, ceux de la chair…
Rue de Bellechasse, tout près du Musée, comme il y avait un beau soleil, nous avons préféré déjeuner en terrasse.
Marina a choisi un tartare de bœuf et JM, un sauté de veau à la crème et aux champignons. Une tuerie ! En accompagnement, nous avons commandé des pommes allumettes, un de nos péchés mignons.
2 notes
·
View notes
Text
Au revoir Miss Météo
Catherine Laborde nous a quittés à l’âge de 73 ans, des suites d’une longue maladie, laissant derrière elle des prévisions météorologiques plus clémentes que notre chagrin. Pendant des décennies, elle a incarné à elle seule la pluie et le beau temps sur TF1, devenant l’une des figures incontournables de la télévision française. Qui aurait cru qu’une femme si discrète aurait pu occuper chaque soir nos écrans, parfois plus attendue que le film de 20h50 ? Oui parce que avant, le film commençait à 20h50 et pas 21h20 comme aujourd'hui, juste pour balancer 50 000 pubs ! La naissance d’une étoile Tout commence quand Catherine, passionnée par les arts de la scène et l’écriture se retrouve un beau jour devant un fond vert à parler de dépression atmosphérique. Il faut dire qu’elle avait d’abord étudié la comédie et fait un passage rapide par le théâtre. Qu’importe : sous le feu des projecteurs elle a su rester naturelle, tandis que les isobares* s’emmêlaient derrière elle. Très vite, ses « Bonjour à tous ! » et ses « À demain ! » deviennent la ritournelle quotidienne que des millions de Français attendent. Le style Laborde On se souvient de sa voix douce et de ses sourires rassurants et de cette élégance discrète, qui parvenait à nous annoncer la grisaille du nord ou la canicule du sud sans jamais briser notre bonne humeur. Elle avait l’air de dire : « Voyons le côté positif : après la pluie, le soleil finit toujours par revenir ! » C’était un peu la grand-mère météo, celle qui nous donnait envie de porter un pull quand elle annonçait une vague de froid, et de sortir nos parasols géants quand elle prédisait une averse. Pendant plus de 25 ans, Catherine Laborde est devenue la confidente invisible de nos soirées. Sans jamais se prendre pour une vedette, elle accompagnait le pays tout entier dans ses sorties du week-end, ses mariages pluvieux ou ses longues siestes de vacances. Au fil des ans, on aurait presque oublié que l’information météo pouvait être délivrée par quelqu’un d’autre tant Catherine nous semblait irremplaçable. Son héritage c'est du soleil dans nos cœurs Son départ de l’antenne en 2017 avait déjà laissé un grand vide, comme si le temps lui-même avait perdu un peu de sa boussole. Maintenant que la grande dame nous quitte pour de bon, il nous reste ses bulletins légendaires et ses innombrables blagues météo délicatement glissées. Oui, Catherine, vous nous avez habitués à ce petit rendez-vous presque intime, comme un coup de fil quotidien à une amie qui nous prévient : « Prends un parapluie, ça va peut-être tomber ! » Une dernière éclaircie Dans cette disparition, on trouvera tout de même un joli clin d’œil : Catherine aura toujours su naviguer entre les orages médiatiques et les anticyclones de la gloire avec une humilité rare. En rendant son dernier bulletin, c’est un peu comme si elle nous soufflait un ultime conseil : « N’oubliez pas de garder la tête haute et le sourire au coin des lèvres, peu importe la météo ». Alors à toi Catherine, qui nous as fait aimer les cirrus**, détester les nimbus*** et guetter l’anticyclone des Açores, merci pour ce bout de chemin passé ensemble. Tu laisses derrière toi un ciel certes un peu plus gris aujourd’hui, mais gageons que, fidèles à ton esprit, nous saurons bientôt y voir passer quelques rayons de soleil. Adieu Miss Météo, et merci d’avoir fait de nos bulletins quotidien un rendez-vous chaleureux et plein d’humour. David SCHMIDT *Sur une carte météorologique, la pression est représentée par les isobares. Les isobares sont des lignes qui relient les points de même pression atmosphérique à un instant donné. ** Le cirrus est un genre de nuage présent dans la couche supérieure de la troposphère (entre 5 000 et 14 000 mètres d'altitude, dépendant de la latitude et de la saison), formé de cristaux de glace. *** Nimbus, du latin signifiant nuage de pluie, désigne un nuage sombre aux contours déchiquetés sans forme nette se formant à basse altitude et qui donne des précipitations Read the full article
0 notes
Text
◀ 26 MARS ▶ 365 jours pour ranimer la flamme
La jeune fille oublie-t-elle ses ornements, la fiancée sa ceinture ? Et mon peuple m’a oublié depuis des jours sans nombre. Jérémie 2.3
Où en est notre relation avec Dieu ?
Imaginez un instant votre souffrance si votre bien-aimé(e) ne communiquait plus autant avec vous qu’il ou elle le faisait auparavant, ou bien qu’il ou elle cessait de vous parler durant une longue période... Eh bien, ce ressenti est probablement celui qu’éprouve le Seigneur lorsque jour après jour nous avançons sans Lui. Avons-nous conscience de la tristesse du Seigneur lorsque nous L’ignorons et mesurons-nous Sa souffrance face à notre infidélité ? Dans notre relation avec Dieu, peut-être nous sommes-nous éloignés de Lui, peut-être que nos temps de prière se résument désormais à : « Seigneur, fais-moi grâce », peut-être que notre lecture de Sa Parole n’est plus aussi assidue qu’au début de notre conversion, et peut-être que nos méditations sont pratiquement inexistantes. Ce triste constat n’est heureusement pas une fatalité, toutefois il est important de comprendre pourquoi et comment cela est arrivé. Qui ou quoi a donc grignoté notre temps de communion avec Dieu, et émoussé la relation ? Les réponses sont multiples. Certes, il est possible que nos journées soient de plus en plus surchargées et qu’il nous soit difficile de trouver un moment de qualité pour nous connecter au Seigneur, mais comprenons aussi que notre désir d’une vie toujours plus confortable nous conduit à nous fabriquer des idoles. Et parmi ces idoles, il y en a une plus dangereuse que les autres, c’est l’ego. En effet, celui-ci m’entraîne vers d’autres dieux que JE me suis choisi, qui satisfont MES ambitions et font du bien à MA chair... Par exemple, le matin j’aime traîner dans mon lit et les jours de repos j’aime profiter du beau temps pour faire du sport, pour entretenir mon corps, ma santé. J’aime aussi passer du temps à ne rien faire, à ME chouchouter, à ME relaxer, à écouter de la musique, à regarder la télé, à passer du temps sur l’ordinateur après le travail, etc. Et c’est en songeant à MOI d’abord plutôt qu’au Seigneur que la journée se termine, que le week-end s’achève, que les vacances s’épuisent sans Lui avoir consacré de temps véritable, mais juste adressé une petite prière à la va-vite entre deux préoccupations et dans laquelle je n’évoque que MES propres besoins. C’est ainsi que nous gâchons les moments essentiels avec Dieu au profit de nos idoles, et que nous perdons de vue qu’Il est notre plus grand bien et notre unique sécurité (cf. Ésaïe 41.29 ; Actes 14.15). Si nous nous reconnaissons dans le portrait ci-dessus, alors revenons à Dieu d’un cœur humble et repentant, et réattribuons-Lui la première place. N’oublions pas que nous sommes la Fiancée de Jésus et que la Fiancée doit se tenir au plus près du cœur de Celui qui l’aime. L’avertissement est à prendre au sérieux car les Écritures nous parlent de deux sortes de vierges : celles qui se sont préparées et seront présentes aux noces de l’Agneau, et celles qui seront laissées de côté (cf. Matthieu 25.1-13). "365 jours pour ranimer la flamme" est un recueil de méditations bibliques écrites par David Houstin et Ezechiel 37 Ministères. À PROPOS DE NOUS "L'Observateur Chrétien" est un magazine et journal en ligne proposant des informations chrétiennes. Retrouvez quotidiennement une actualité ciblée ayant pour but d'encourager le chrétien, de démontrer que le retour de Jésus Christ est proche, mais également de fournir des sujets de prière. L'essentiel de l'info chrétienne, c'est ici que ça se passe ! SUIVEZ-NOUS Application Bible en ligne Newsletter A propos Proposer un article Faire un don Contact © 2017 - L'Observateur Chrétien - Lire plus ici :
0 notes
Text
Home Sweet Home // Bien Chez Soi
S01E11 - Tipping Point // Quitte ou Double
Comme cette affiche correspond à un épisode orienté basculement, je me suis dit que j'allais vous parler de tout ce qui a failli se passer dans Home Sweet Home, avant que j'aie une vision plus claire. Ça vous intéresse ? C'est parti. =)
Changement de titre et de direction
À la genèse du projet, il s’appelait I Love Mondays (oui, parce que j'adore Garfield), et c'était beaucoup moins orienté SF. L'époque était déjà plus ou moins la même, mais c'était tout. L'intrigue du prof de Maths n'était pas du tout ce qu'elle est, et celle de la fugueuse non plus. Je ne sais même pas si elle avait une sœur. Dans l'ensemble, c'était beaucoup moins sombre, en fait. En admettant qu'on puisse vraiment considérer HSH comme sombre, ce que je ne prétends pas spécialement, ça l'était encore moins. C'est dire.
Des économies de papier puis des économies tout court
Au tout début, je pensais aussi que le papier était toujours présent. Lorsque je me suis rendu compte que non (par chance assez tôt), j'ai eu un peu de mal à réconcilier la présence du concept de bibliothèque avec ce contexte. Je pensais aussi que la salle du serveur du commissariat était la salle de la photocopieuse. Enfin bref, il a fallu que je rattrape la logique du monde que je découvrais. ^^
La même chose s'est produit avec la monnaie. J'ai mis un temps certain à me rendre compte qu'il n'y en avait plus dans le monde que je décrivais. Pourtant, j'ai buté dessus à tous les coins de rue. L'éminence des Nimbleton et des Degriff serait venue de leurs fortunes respectives, et inversement, Jena aurait été en situation difficile pour des raisons financières. Sauf que c'était une justification débile de ces positions sociales. Et ça créait des décalages entre les personnages qui ne me paraissaient pas avoir de sens. Que Jena ait besoin de Markus n'était pas normal, dans un sens comme dans l'autre. La différence réelle est philosophique, rien de plus. Dès que j'ai compris ça, tout s'est mieux emboîté.
Le béguin d'Ellen et la maturité de mes plus jeunes personnages
À un moment donné, Ellen était supposée en pincer pour Caesar, et non pas Brennen (qui n'existait peut-être même pas, j'ai un doute). Elle devait aussi potentiellement se retrouver avec Jack, par un concours de circonstances, en partie parce que justement elle ne pouvait pas avoir Caes, aussi bien parce qu'il est comme il est que parce qu'il est le frère de sa meilleure amie. Mais au final, ça ne collait pas à son tempérament.
À vrai dire, en règle générale, j'ai eu un peu de mal à faire en sorte que les adolescents "fassent leur âge". Même si la parution a commencé en Juillet 2017, l'idée se frayait un chemin dans mon esprit depuis bien avant, puisque je me souviens d'avoir pris mes premières notes sur le sujet pendant les vacances qui ont suivi mon baccalauréat, soit vers 2009. Donc, lorsque je les ai rencontrés pour la premières fois, mes personnages les plus jeunes avaient à peu près le même âge que moi. Sauf que, au fil du travail du projet, j'ai grandi, pour ne pas dire carrément vieilli, et je me suis retrouvée plus âgée qu'eux. J'ai eu le même souci avec Josh de DILIC, qui était plus vieux que moi lorsque j'ai commencé à raconter son histoire, et bien plus jeune lorsque j'ai terminé. (Enfin, terminé, c'est vite dit...) Pour lui, si son innocence initiale est sans doute un peu trop marquée, sa rapide prise de maturité ne me paraît pas problématique, étant donné ce qui lui arrive. Pour Mae, Ellen, et Nelson, et même Jack et Caesar, ça a failli être bloquant. J'ai bien failli les rendre trop enfantins, en voulant surcompenser. Au bout du compte, je suppose qu'ils ont des élans un peu trop sages pour leur âge. Dans certains cas, ça se justifie, dans d'autres, probablement un peu moins. Mais je pense et espère avoir trouvé un certain équilibre quand même.
De Mac à Sam
Sam a commencé par s'appeler Mac, et Sam n'était que son second prénom. Sa nièce et ses neveux l'appelaient quand même Oncle Sam, à la fois pour la blague et parce que Mac et Mae étaient trop proches. Et puis, justement, j'ai trouvé que c'était vraiment trop proche, à la fois phonétiquement et graphiquement. Que Sam appelle l'un de ses chiens par le même surnom que son frangin est une chose, surtout si c'est son frère qui l'a amené à l'animal, mais qu'Alek laisse un de ses enfants avoir un surnom aussi proche de celui de son oncle, c'était bizarre.
Aussi et surtout, je ne trouvais pas de quel prénom Mac aurait pu être le diminutif. Et il fallait que ce soit un diminutif. Il fallait aussi que ce soit quelque chose de disons inattendu, presque controversé. J'ai pensé à Machiavelli, mais d'une part c'est un nom de famille, et de l'autre ça ne rentrait pas dans la logique familiale que je découvrais peu à peu. En effet, j'ai tendance à penser que les familles ont une certaine cohérence dans leurs prénoms, que les parents sont restés dans leur lancée lorsqu'il a été question de baptiser leur progéniture. En tous cas, ça a toujours été mon expérience, et je n'ai pas vu de raison d'aller à son encontre. Or, l'aîné des deux frères s'appelle Aleksander Nathanael. À partir de là, je savais qu'il y avait à la fois une influence plutôt Europe de l'Est (par les origines lointaines de leur mère), et une influence plutôt biblique (par la vocation de leur père). Donc, Machiavelli, ça n'aurait collé ni à l'une ni à l'autre de ces influences. En conséquence, Mac Samuel est devenu ce qu'il devait être : Samael Mikhel. Son frère a eu le nom d'ange pour son second prénom tandis que lui l'a eu pour son premier tout simplement parce qu'il est arrivé plus tard, et leurs parents étaient donc plus téméraires. Samael lui va comme un gant parce que c'est à la fois biblique/angélique et controversé, tout en ayant le diminutif idéal pour sa nièce et ses neveux.
Je me creuse la tête, mais je crois que ce sont les principaux points de pivot que j'ai rencontrés au fil de l'écriture d'home Sweet Home, en tous cas dont je peux parler sans balancer toute mon intrigue.
C'est peut-être un peu idiot, mais je suis toujours contente d'y repenser, parce que ça fait partie de ces expériences qui me font sentir ce que je préfère avec le processus d'écriture : cette idée qu'on n'invente pas exactement, mais plutôt qu'on découvre, qu'une petite voix nous souffle une histoire quelque part en quelque sorte vraie, et qu'on a le privilège d'essayer de la raconter. =)
Crédit photo : Budgeron Bach
0 notes
Text
Bon, n'étant pas très mobile, difficile de créer des posts avec de nouvelles photos. Je reviens donc à mon projet de présenter l'intégralité de mes photos, projet interrompu à l'année 2017. Je vais donc essayer de clore cette année 2017.
Ici, les vacances de Toussaint chez ma sœur, en Normandie. On va voir ma nièce sur la côte, à Langrune-sur-mer. Ici, des algues rouges, un cormoran, une mouette et des ???? (si qqun reconnaît ces oiseaux...)
#souvenirs#normandie#langrune#langrune-sur-mer#ornithologie#oiseau#mouette#cormoran#rhodophycées#algue rouge#coucher de soleil
1 note
·
View note
Text
Interview-confession du plus grand tueur en série : le moustique 🦟🦟🦟 [Rediff]
... Les « serial piqueurs » sont là. Il leur arrive même de piquer lorsqu’il pleut. Mais comment font-ils pour résister aux gouttes de pluie qui s’abattent sur eux ?
08 août 2017 par Marc Gozlan
via Marc Gozlan sur X, 15.08.2023x https://twitter.com/MarcGozlan/status/1691352063752462336
"Pendant mes vacances, j’ai eu la chance de croiser un moustique, particulièrement fier de son espèce, qui a bien voulu répondre à toutes mes questions. Sans doute l’occasion pour lui de faire le buzz et pour moi d’en apprendre plus sur lui et tous les siens, dont un grand nombre sont de vrais tueurs.
[...]
Trois "familles" de moustiques sont représentées en France et Dom-Tom : Aedes, Anopheles et Culex [en réalité 3 genres, qui appartiennent tous trois à la même famille des Culicidae, ndé]. Le [genre] Aedes compte plus de 300 espèces dont les plus connues sont Aedes caspius, présent en Camargue, A. aegypti, venu d’Afrique mais présent en Guyane, A. albopictus, plus connu sous le nom de moustique-tigre. Il doit son nom aux rayures sur ses pattes. Les œufs d’A. albopictus peuvent résister au froid hivernal, l’éclosion des larves se produisant une fois fois que les températures redeviennent favorables. Les Aedes piquent le jour et plutôt en extérieur. Le [genre] Anopheles, susceptible de transmettre le paludisme, comporte plus de 400 espèces. Celles-ci sont surtout présentes en Corse, en Camargue et dans le delta du Rhône. Ces moustiques piquent souvent à l’aube ou au crépuscule. Enfin, le [genre] Culex, fort de plus de 700 espèces, est présent en Guadeloupe et en Martinique. En France métropolitaine, on rencontre Culex pipiens, urbain et actif la nuit.
L’été, même lorsqu’il pleut à verse, vous continuez à piquer. Comment faites-vous pour que les grosses gouttes de pluie ne vous écrasent pas ?
"C’est vrai, nous mesurons 3 mm pour une masse de 2 mg, alors qu’une goutte de pluie pèse entre 4 et 100 mg. Cette dernière a donc une masse de 2 à 50 fois plus grande que la nôtre. Lors d’une averse, nous recevons en moyenne un impact toutes les 25 secondes. La collision avec une goutte peut nous propulser sur une distance équivalente à 13 fois notre propre longueur, mais à la fin nous parvenons à nous détacher de la goutte, en prenant la tangente. Nous survivons, pour la plupart d’entre nous, au déluge. Selon le point d’impact, la goutte d’eau provoque lacet, roulis ou tangage, mais nous réussissons à retrouver notre position initiale en un centième de seconde.
Que se passe-t-il lorsque la goutte vous frappe de plein fouet ?
Lorsqu’une énorme goutte de pluie tombe par exemple entre mes ailes, je me retrouve entraîné à la même vitesse que la goutte. Mais à chaque fois, je parviens à me séparer d’elle, non sans avoir chuté d’une distance de 5 à 20 fois ma propre longueur. Autant vous dire que j’ai plutôt intérêt à ne pas voler trop près du sol !
En définitive, si vous survivez à l’impact d’une goutte de pluie, vous le devez surtout à votre faible masse, n’est-ce pas ?
Oui. C’est notre faible masse qui nous sauve, comme l’a montré une étude de chercheurs américains publiés dans les Comptes-Rendus de l’Académie américaine de sciences (PNAS) ..."
[...]
Mosquitoes survive raindrop collisions by virtue of their low mass | PNAS, 04.06.2012 https://www.pnas.org/content/early/2012/05/25/1205446109
[Image] Aedes aegypti, principal vecteur de la dengue, en train de quitter son hôte après un repas sanguin. Son abdomen est gorgé de sang. CDC/Prof. Frank Hadley Collins, Dir., Cntr. for Global Health and Infectious Diseases, Univ. of Notre Dame.
Bernadette Cassel's insight:
https://sco.lt/5YXRRY
(Re)lire aussi :
Le moustique survit au choc d’une goutte de pluie ? - De www.sciencepresse.qc.ca - 11 novembre 2021, 19:03
Pourquoi les gouttes de pluie n'écrasent pas le moustique - De www.lemonde.fr - 16 juin 2012, 19:14
0 notes
Text
Skoda Superbe La Skoda Superb porte bien son nom en tant qu'excellent runaround avec une fonctionnalité de pointe et quelques moteurs turbocompressés brillants parmi lesquels choisir. Les prix commencent à partir d'environ 13 000 £ pour une essence solide de 1,5 litre, tandis qu'un diesel bien spécifié est légèrement inférieur, à un prix avantageux de 10 000 £. Mercedes-Benz Classe C La Mercedes Classe C est une excellente option pour une berline haut de gamme bourrée de technologie, tout en traitant de le confort. Il propose plusieurs moteurs, essence et diesel. Nous avons trouvé un diesel 2017 pour 13 250 £ et une essence 2015 pour 11 499 £. Domaines conformes ULEZ Opel Insignia Sports Tourer Une option économique pour les pragmatiques, l'Insignia Sports Tourer est plus spacieux à l'intérieur que de nombreux VUS et plus agréable à conduire aussi. Des exemples à faible kilométrage du modèle de deuxième génération peuvent être obtenus pour environ 11 000 £. Ford Focus Break Ce n'est pas le plus grand secteur, mais il est encore assez grand pour les vacances en famille, et c'est un trajet décent. Comme la Focus à hayon, elle bénéficie de moteurs à essence de 1,0 et 1,5 litre et de moteurs diesel de 1,5 et 2,0 litres. Les voitures bien rangées de cinq ans coûtent environ 15 000 £, mais considérez un modèle de 10 ans et vous pouvez descendre en dessous de 10 000 £. Jaguar XF Frein Sport Vous en avez pour votre argent avec la XF Sportbrake : un intérieur somptueux, une conduite satisfaisante et un badge qui fait envie aux voisins. Les prix commencent autour de 13 000 £ pour un diesel conforme de la génération précédente. Attention, cela dit, ce ne sera pas l'option la plus fiable. Mercedes-Benz Classe E Break La Mercedes Classe E est le taxi standard de l'industrie dans son Allemagne natale, et pour cause : le secteur avalera avec plaisir les bagages de toutes les familles, sauf les plus grandes. De plus, il est bien construit, donc les voitures bien entretenues feront facilement le genre de kilométrage qui vous mènerait à la lune et au retour. Attendez-vous à payer environ 32 000 £ pour un diesel de deux ans avec moins de 20 000 miles. Monospaces conformes ULEZ Ford Galaxie Ford était sur quelque chose qui appelait son monospace haut de gamme le Galaxy, car il a un espace intérieur illimité. Non seulement il est extrêmement pratique, mais notons qu'il est également agréable à conduire que les énormes transporteurs familiaux, avec une dynamique engageante typique de Ford et des moteurs puissants. Si vous achetez un diesel, assurez-vous qu'il date de 2016 ou plus tard pour garantir la conformité ULEZ, tandis que les essences à partir de 2001 devraient convenir. Les premières voitures peuvent être achetées pour 1 000 £, tandis que des exemples quasiment neufs oscillent autour de 25 000 £, il y a plusieurs donc une option pour tous les budgets.
0 notes
Text
Interview: Fluffy Machine, “Nah Nah Yeah”
Fluffy Machine à Sion, à travers mon Nikon.
C’est en les regardant jouer avec Johnny Mafia à Zurich, puis à Martigny que j’ai découvert les Fluffy Machine. Leurs chansons pop punk à la fois drôle et bien écrites sont très addictives. Quelques jours après leurs deux concerts, je retrouve le groupe dans son QG valaisan à Sion. Juste avant leur répétition, nous prenons place sur de vieux canapés pour discuter. Rejoignez-nous alors que nous parlons de l’évolution du groupe, leurs tournées à travers l’Europe, la vie hors-tournée et plus encore. Un grand merci à Fluffy Machine pour leur gentillesse et leur disponibilité !
À quoi ressemblent vos vies lorsque vous n’êtes pas en tournée ?
Frank: L’été, je cherche du travail et je travaille quand j’en trouve. L’hiver, j’ai mes cours de ski pour devenir prof. Je fais une formation pour obtenir le brevet fédéral, qui est la plus haute reconnaissance en Suisse et qui me permettra d’avoir plein de blé. (rires) J’aime jouer à la PS4 aussi.
Greg: Je suis dessinateur en machines dans un bureau de développement mécanique à Fribourg.
Est-ce que tu habites à Fribourg ?
Greg: Oui. Quand on aime, on ne compte pas !
Jolan: Il fait les trajets tous les dimanches pour venir répéter. La passion de la musique est forte.
Nico: ça fait 14 mois que ça tient ! On a essayé les répètes par Skype, ça ne marche pas.
Greg: J’aime bien polluer la nature avec mon véhicule.
Nico: Je suis chef de projet informatique dans une boîte de e-commerce à 80 %. Sinon je suis dans plein d’assos.
Comment ça se passe lorsque vous devez partir en tournée ?
Nico: On prend tous sur nos vacances, mais ça va. On a tous entre guillemets droit à 5 semaines de tournée par année., ce qui est déjà pas mal. Tout le monde est content, sauf nos copines !
Jolan: Je suis réalisateur d’émissions de divertissement pour une chaîne de télévision régionale. À 80 %. Mis à part Greg qui travaille à 100 %, nous travaillons tous à ce pourcentage. Heureusement, parce que lorsqu’on rendre d’un weekend de tournée de jeudi à dimanche et qu’on doit travailler cinq jours d’affilée, c’est impossible.
Frank: Greg l’immortel y arrive quand même parce qu’il a des chouettes collègues. (rires)
Le groupe existe depuis environ 2013 ou 2014. Je voulais en parler avec vous parce que j’imagine qu’il y a eu beaucoup de changements depuis.
Nico: Nous avons sorti notre premier morceau en 2014, «I don’t want your beer». On avait juste fait un clip sur YouTube. On ne savait pas comment faire ! (rires)
Jolan: Avec Nico, nous sommes là depuis le début. Le batteur de l’époque est parti pour être remplacé par Frank en 2017. Avant Greg, qui est là depuis une année, nous avons eu deux guitaristes. Il y a aussi eu beaucoup de changements au niveau de la musique. Si tu écoutes les premiers trucs, c’était très rapide, skatepunk et bourrin. Il y avait aussi un petit côté 90s qu’on n’a plus tellement. Maintenant, nous avons des chansons plus faciles à jouer. Comme ça on peut encore plus boire en les jouant !
Nico: Nous nous sommes aussi professionnalisés dans notre façon de travailler et d’approcher la composition des morceaux. Nous cherchons plus des mélodies qui puissent plaire à tout le monde.
Jolan: Dans les détails, avant nos chansons étaient une succession de riffs sympas l’un après l’autre. À un moment, je me suis dit qu’il fallait arrêter. Je voulais des chansons qui aient du sens de A à Z, qui aient une âme et qui veulent dire quelque chose. Un refrain ou un riff simple répétés en boucle, qui démarquent la chanson.
Vous avez fait des tournées à l’étranger, par exemple au Royaume-Uni et plus récemment en Allemagne et en Belgique avec les Johnny Mafia. Comment le public étranger réagit-il face à un groupe de pop-punk suisse ?
Nico: Cela dépend du pays. Certains pays t’accueillent comme de la merde, pour dire les choses clairement. (rires)
Le Royaume-Uni ?
Nico: Je dirais plutôt l’Angleterre ! En Écosse, c’était super.
Jolan: Je précise, lorsqu’on dit ‘accueillis comme de la merde’, on parle des conditions. Les gens que nous avons rencontrés sur place étaient tous super gentils.
Nico: Le problème en Angleterre est vite identifié. L’offre est tellement gigantesque que cela dévalorise l’intérêt d’aller à un concert. Il y a des concerts tous les soirs dans les pubs, 7 jours sur 7. C’est donc normal que les gens ne viennent pas, parce que cela n’est plus vraiment intéressant. Ils ne cherchent pas forcément de la nouveauté.
Jolan: Sans donner de chiffres, je pense que le cachet est 10 % de ce qu’on toucherait en Suisse.
Frank: Si on a un cachet ! (rires)
Jolan: Bien-sûr, ce n’est pas une généralité.
Frank: D’un autre côté, l’avantage c’est qu’il est très facile de trouver un concert là-bas. Si on avait voulu faire une tournée en Allemagne en 2018, cela aurait été impossible parce que les Allemands ont des standards minimum dans l’accueil. S’ils doivent payer un groupe au minimum 400 euros, ils ne vont pas prendre de risques.
Greg: J’ai aussi remarqué qu’en Angleterre, beaucoup de groupes avec lesquels tu joues le même soir te demandent d’emprunter tes instruments. Apparemment cela se fait pas mal. C’est une mentalité différente. Des fois on te prévient à l’avance donc ça va et des fois c’est à la dernière minute !
Frank: Le frérot il habite à deux heures de route de la salle et il a rien. Et nous on vient d’Outre-Atlantique et on a tous nos instruments ! (rires)
Parlons un peu de votre dernière chanson, Nah Nah Yeah. À chaque fois que vous la jouez, le public réagit très bien. Je me souviens qu’à Martigny, les gens chantaient avec vous.
Nico: Oui, c’était aussi la première fois qu’on jouait cette chanson en Valais. Ce morceau-là est juste frustrant du point de vue de celui qui écrit les paroles ! (rires)
Jolan: On l’a écrite très rapidement. C’est le principe des nouvelles chansons. Nous sommes en train de composer ce genre de chansons pour notre troisième album. Ce que j’aime bien, c’est qu’en général, tout se fait très vite. Je viens avec un riff, peut-être un pont intéressant au milieu. Et on construit à partir de là.
youtube
Nico: Et moi je fais chier pour les arrangements (rires). Je me souviens que nous avons joué Nah Nah Yeah à un mariage pour tester et nous n’avions pas du tout de paroles pour le refrain. Nous nous sommes dits «On va juste dire ‘Nah Nah Yeah’». La mariée nous a dit de garder ce refrain.
Jolan: ça reste aussi dans l’esprit des nouvelles chansons. Les couplets de Nah Nah Yeah parlent des trucs chiants de la vie qui arrivent un peu tout le temps. Le refrain est une manière de dire qu’on en a plus rien à foutre. On chante «Nah nah nah» avec les copains !
Imaginons que vous deviez enregistrer un albu dans un endroit pas réaliste. Que choisiriez-vous entre la fusée SpaceX d’Elon Musk, le Jura à la préhistoire ou le McDo ?
Frank: Je suis pas fan du McDo. Ça pue !
Jolan: Moi je n’aime pas la fusée.
Nico: Le Jura alors ! Jurassic punk !
C’est pas très safe, mais vous pourrez enregistrer des bruits intéressants.
Nico: Si un T-Rex vient, je le couche ! (rires)
Que peut-on espérer de Fluffy Machine dans le futur ?
Jolan: Nous allons enregistrer un album cet été et donner quelques concerts d’ici la fin de l’année. Nous avons aussi déjà un troisième single qui va sortir en juillet. Puis petite pause de trois ou quatre mois avant de faire le vernissage du nouvel album et de repartir pour une série de concerts.
https://fluffymachine.ch/
https://www.instagram.com/fluffy_machine/?hl=fr
0 notes
Text
venez au Brésil et surtout découvrez la merveilleuse ville de Rio de Janeiro, des terres de belles plages, des îles paradisiaques et de belles forêts avec des cascades naturelles, en plus de notre musique de samba typique avec une histoire et une culture qui n'existent nulle part ailleurs dans le monde, contactez-moi comme votre guide et ami pour tout vous montrer
Tout le monde sait que la ville de Rio de Janeiro est une des plus belles destinations au monde. Ses points de vue Panoramique sont des touristique.. 🌄🎶 La baie de Guanabara, le Corcovado, les plages océaniques de Niteroi, le Pain de Sucre... sont à découvrir depuis des points spécifiques.
Guide depuis 18 ans à Rio et grâce à mon expérience de terrain, j'ai pu dénicher chaque point de vue intéressante. Si vous souhaitez découvrir des lieux touristiques hors du commun, contactez-moi, je me ferai un plaisir de vous faire partager mon expérience.
O Rio de Janeiro et votre meilleur service guidé a Rio de janeiro!
Avec Guide Carioca qui connaît tout la ville et vous fera cône la ville en tout sécurité!!
Viens avec moi faire une promenade magnifique dans cette belle ville de Rio de Janeiro
N'hésitez pas à me contacter pour plus d'infos par email >👇🏽
ou par Facebook Messenger >👇🏽
Carlos Augusto Guide Rio
ou par mon profil Instagram >👇🏽
carlosaugustoguiderio
cherchez un guide natif, qui connaît vraiment toute la ville et ses endroits magnifiques et secrets, car seul un guide d'origine brésilienne peut vous emmener passer de merveilleuses vacances 🎶✈️
0 notes
Text
De Paris à Séoul
Après des années d’hésitations et autres contraintes aléatoires, mon projet de vivre en Corée du Sud pour plus que de simple vacances se concrétise enfin. J’ai beaucoup regretté de ne pas être partie en licence, je me disais à l’époque que je pourrais très bien partir pendant le master, et la perspective d’un possible redoublement pour avoir raté les rattrapages obligatoires qu’engendrait un échange me terrifiait, moi qui n’avais jamais foiré un seul saint partiel. Aujourd’hui, j’ai non-seulement redoublé une de mes années de master, mais je ne suis également pas partie étudier en Corée...
Me voilà donc diplômée d’un master en ingénierie de projets internationaux, sans boulot, sans appart’, sans engagements. Le moment idéal pour mettre les voiles. Ce projet de départ trotte dans ma tête depuis un moment, mais j’ai vraiment pris la décision de ne pas entrer tout de suite dans le monde professionnel lors de mon stage de fin d’étude à l’EHESS. J’ai d’abord cherché dans les VIA et les VIE (Volontariat international en administration ou en entreprise), sans succès. J’étais difficile, il me fallait la Corée du Sud et rien d’autre. Les annonces pour le pays du matin calme étaient rares et très prisées, et en plus ne correspondaient souvent pas à mon profil. Cela aurait était plus simple si j’avais fait des études scientifiques.
Mais bon, je ne me suis pas laissée décourager. L’option du PVT (programme vacances-travail) était toujours valable. Et je compris vite que c’était celle que je devais prendre. Comparé au VI qui est certes plus avantageux sur le CV vu l’expérience pro qu’il apporte, le PVT a aussi beaucoup de points forts qui me correspondent plus au final. Je vais avoir beaucoup plus de temps pour moi et pour découvrir le pays qu’avec un 35h + heures supp d’un VI... Et puis je peux aussi entrer et sortir du territoire facilement.
Obtenir le visa a été beaucoup plus simple que prévu. J’ai pris la décision de partir en juillet/août 2022 et je visais un départ début janvier 2023. Mais bon, le mémoire m’a pas mal occupé, et je n’avais pas envie de me lancer dans les démarches administratives tant que je ne l’avais pas bouclé. J’ai finalement pu vraiment commencé à me préparer que début novembre 2022. La première étape a été de refaire mon passeport qui avait périmé en 2019. Impossible de prendre rendez-vous à Paris même, mais j’obtiens finalement un créneau à la maire de Vanves, de l’autre côté du périph’, pour le 14 novembre. Le jour J, pas trop de soucis, mais on m’annonce que j’aurais mon passeport d’ici 3 mois.
Aie, cela remets en cause pas mal de choses... Pour faire la demande de PVT, il me faut le passeport. Cela voulait dire que j’allais devoir faire ma demande vers février... Et le temps de recevoir le visa, un mois selon les dires, j’allais pouvoir partir mars... Je me suis beaucoup demandée ce que j’allais faire en attendant. Il me fallait un petit boulot, seulement quelques mois. Mais les fêtes arrivaient à grands pas, et je voulais absolument pouvoir passer du temps avec ma famille et mes amis avant de partir. Du coup, j’ai un peu laissé traîner mes recherches... Puis surprise!! Le 3 décembre, mon passeport est disponible!!
Ni une, ni deux, je vais vite le chercher et je réserve un vol pour le 17 février. Pensant avoir le temps, il me manquait pas mal de document pour la demande de visa à ce moment. Et ça me laissait le temps de me préparer. Je n’aime pas trop être pressée. Je réserve également dans la foulée les 10 premiers jours de mon séjour dans une auberge de jeunesse où j’avais logé en 2017.
Pour le dossier de demande de visa, il faut une dizaine de documents. Dans l’ensemble, ils ne sont pas compliqués à rassembler, mais il faut bien suivre les instructions sur le site officiel du KVAC (Korea Visa Application Center). Le plus compliqué a été d’obtenir une attestation de fond bancaire car elle doit être émise moins d’une semaine avant la demande. Mon dossier complet est posté le 16 janvier. Je croise les doigts pour qu’il arrive au moins une semaine avant le départ, histoire d’être tranquille. Et surprise!! (encore lol) Je le reçois une semaine plus tard. Je suis donc sereine, plus qu’à préparer mon arrivée.
Je stresse un peu de ne pas avoir de logement après l’auberge, alors je commence mes recherches. Mon plan est de m’installer à Busan, dans une coloc. J’ai envie de découvrir la ville, de vivre dans un coin moins international que le capitale. Et plutôt que de prendre un studio, vivre avec d’autres gens me parait plus sympa, surtout pour se faire de nouveaux amis en débarquant dans une ville où je ne connais presque personne. Mais en Corée, les colocations ne sont pas encore très répandues. Traditionnellement, on vit encore beaucoup chez les parents jusqu’au mariage. A Busan, je ne trouve qu’une quinzaine de coloc. J’en contacte quelques unes, cela ne portent pas de fruits. Soit c’est plein, soit les chambres sont trop petites ou partagées. Personnellement, je préfère avoir une chambre pour moi toute seule, mon petit coin. Au bout de deux/trois semaines, j’abandonne l’idée de Busan. Je regarde pour Séoul, et j’ai déjà beaucoup plus de choix. Sur les sites un peu comme seloger.com, je trouve environ 500 coloc. Je choisis de me concentrer sur Gangnam, parce que dans mes souvenirs c’est une partie de la ville assez tranquille, résidentielle mais avec tout à proximité. Je trouve très rapidement mon bonheur, une chambre dans une coloc de 6 jeunes femmes près de la station Nonhyeon. Le proprio est très gentil et professionnel, il m’explique tout et répond à mes questions facilement. Je réserve donc mon logement, apaisant légèrement l’anxiété du départ.
Début février, le temps accélère. J’essaye de penser à tout ce dont j’ai besoin, je fais des courses ici et là. Des vêtements thermique pour affronter l’hiver glacial coréen, des sous-vêtements dont je ne trouverais sûrement pas la taille là-bas, des médicaments et autres objets utiles. J’essaye de voir un maximum de gens avant de partir, heureusement beaucoup d’anniversaires tombent à cette période. D’abord Yann, puis Patsy et enfin mon Rémi, je revois beaucoup de têtes et fait le plein de bons moments avant de dire au revoir à tout le monde. Petit drame cependant, alors que je me rends à la crêperie une semaine avant le départ afin de partager un dernier dîner avec quelques amis, je me tords la cheville dans les escaliers du métro et finis sur les fesses. Sur le moment, je suis déboussolée mais j’arrive à me remettre sur pied. Ça fait un peu mal en marchant, mais pas possible d’annuler ce soir. En rentrant quelques heures plus tard, je vois que ma cheville a beaucoup gonflée et la douleur est constante. Le lendemain, je vais chez le médecin et il est formel, c’est une entorse. A la pharmacie, j’achète une attelle et des bas de contention avec mon ordonnance. Le weekend, je mets souvent de la glace pour que ça dégonfle. Je récupère assez vite, mais je dois garder l’attelle au moins 3 semaines, puis faire du kiné. J’espère en trouver un sympa à Séoul.
Le week-end avant le départ, Diane, Saki et Serena montent à Paris. Mon frère et Léo aussi sont à la maison. Cela me fait très plaisir de passer du temps avec ma famille une dernière fois, même si avec ma cheville je n’ai pas trop pu bouger. Les filles repartent dimanche à Nantes et nous laissent ma nièce préférée pour la semaine. Le temps passe alors encore plus vite!! Petit resto en amoureux pour la saint valentin, je revois les copains copines le lendemain et c’est déjà le départ. Rémi m’aide beaucoup pour la valise, le ménage et pour garder mon calme. A l’aéroport, l’attente est longue mais Serena reste sage et vient le temps des bisous.
Au revoir tout le monde,vous allez beaucoup me manquer. Je pars maintenant pour ma grande aventure au pays du matin calme.
0 notes
Text
Films préférés de 2022 - Mars
Un mois particulièrement goldé : animation japonaise, Eric Rohmer, et cinéma coréen entre autres.
Jin-Roh, la brigade des loups - 1999 : Le Petit chaperon rouge version SF, j'ai bien aimé. Et globalement si vous cherchez un dessin animé sur un conte, voilà ce qui devrait vous changer de Disney
Ida - 2013 : AAAHH CE FILM ! Il est beau il est beau ! Il va y avoir des gens qui vont me dire "gnegnegne mais il ne se passe rien" ptdr on s'en fout c'est beau, c'est dépouillé, c'est lent, c'est magnifique !
Le rayon vert - 1986 : Premier Rohmer de ma vie. Le personnage de l'héroine est insupportable et c'est ce ui fait son charme je trouve.
Mother - 2009 : AHHHH MAIS CELUI LA !!! LE RETOURNEMENT DE SITUATION JE SUIS ENCORE SOUS LE CHOC
A propos d'Elly - 2009 : OH CELUI LA AUSSI PTN REGARDEZ LE. Plus sérieusement, il est tellement prenant. Pas spécialement effrayant mais ça prend tellement aux tripes. A la fin, les bruits des vagues je ne pouvais juste plus les entendre.
Poetry - 2010 : Une petite mamie toute choupie atteinte de la maladie d'Alzheimer se prend d'amour pour la poésie. La petite histoire toute mignonne au début tourne vite au vinaigre quand son petit fils est accusé d'avoir violé une camarade de classe. Il est bien.
Conte d'été - 1996 : Des amourettes de vacances entre étudiants. Sympa, bien aimé aussi !
Lou et l'Ile aux sirènes - 2017 : Encore un animé (il y en a pas mal). C'est coloré, c'est délirant, vraiment sympa !
Dans un recoin de ce monde -2016 : CELUI-LA CELUI-LA. Dans l'esprit du Tombeau des Lucioles, je pense ne pas avoir besoin d'en dire plus.
Patéma et le Monde inversé - 2013 : Un animé de SF, assez classique mais toute l'histoire est bien ficelée !
6 notes
·
View notes
Text
Casino Las Datas et autres collectes de données
Casino Las Datas est une installation qui a été créée en 2017 par A. Meunier, F. Vilas-Boas et S. Fredriksson. Ce sont des machines à sous où vous avez besoins de jetons pour jouer. Cependant, la manière de les obtenir est peu orthodoxe puisqu’il faut échanger des données personnelles. En fonction des données transmises, on a plus ou moins de jetons attribués. Par exemple, si on accepte de communiquer notre prénom ou notre sexe, on gagne un jeton. Pour avoir deux jetons il faut transmettre notre nom de famille, et ainsi de suite. Le maximum est de 10 jetons si on accepte de donner notre numéro de carte bleue. Dès que vous avez des jetons vous pouvez jouer et tenter de remporter de plus de jetons « Las Datas », pour gagner des popcorns ou des stickers Las datas, ou des jetons Dreamers qui permettent de remporter une campagne de notoriété sur les réseaux sociaux ou des Supers Goodies.
Certains d’entre vous, chers lecteurs, penseront surement qu’il faut être inconscient voire fou pour accepter de divulguer son numéro de carte bancaire ou des photographies de sa galerie. Cependant, même si ici la demande est explicite, vous l’avez surement déjà réalisé de manière inconsciente en achetant un produit via Internet, ou en postant des photos de vos vacances (ou autres) sur un réseau social. En effet, vos données sont elles aussi alors collectées et peuvent être vendues à des sociétés pour en savoir plus sur vous et vous proposer, sur Amazon par exemple, des articles selon vos goûts.
On peut par exemple penser à Snowden, film de Oliver Stone, basé sur des faits réels et sorti en 2016, où un duo de journalistes part interviewer un ancien lanceur d’alerte, emprisonné pour avoir divulgué les preuves de la cyber-surveillance de la NSA (National Security Agency). Ici encore, la collecte de données est présente et s’introduit dans nos vies privées. Ce film sert à mettre en garde les téléspectateurs sur la façon dont ils divulguent leurs données sans connaître l’ampleur que cela peut prendre.
Le Casino Las Datas, l’art ou les films qui peuvent exister traitant de la collecte de données sont bels et bien là pour nous divertir, mais il y a aussi une prise de conscience attendue de la part de celui qui regarde. En effet, cette double dimension fait passer un enseignement à travers quelque chose de plaisant, et c’est, pour moi, la meilleure stratégie.
Soyez donc vigilants quand il est questions de vos données et bonne journée !
Eva Simoes.
Sources :
Photo casino : http://casinolasdatas.com/en/
Photo goodies : https://www.google.com/url?sa=i&url=https%3A%2F%2Fwww.albertinemeunier.net%2Fcasino-las-datas&psig=AOvVaw1tsgsiSgJg3RYj_OdNL--l&ust=1669388055594000&source=images&cd=vfe&ved=0CA0QjRxqFwoTCKCxw6OJx_sCFQAAAAAdAAAAABAD
Affiche film : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=229359.html
2 notes
·
View notes
Text
◀ 4 SEPTEMBRE ▶ La Bonne Semence
La moisson est passée, l’été est fini, et nous ne sommes pas sauvés. Jérémie 8 : 20
Voici, c’est maintenant le temps favorable ; voici, c’est maintenant le jour du salut. 2 Corinthiens 6 : 2
C’est la rentrée !
Après des vacances dont plusieurs ont pu profiter, voici la rentrée ! Qu’elle soit scolaire, politique ou professionnelle, elle signifie la reprise de multiples activités. Chacun retrouve ses camarades, ses collègues, son patron, ses clients... Chacun revient à son poste, chargé de souvenirs. Mais tous les hommes ne prennent pas de vacances. Et la nature accomplit son devoir sans répit, depuis la création du monde ; elle offre ses services et prodigue ses beautés. Dieu ne prend pas de vacances non plus. De façon imagée, il est écrit : « Celui qui te garde ne sommeillera pas... L’Éternel est celui qui te garde » (Psaume 121 : 3, 5). Tant de personnes souffrent, pleurent, meurent sans espérance, sans Dieu ! La nouvelle année de travail sera-t-elle comme la précédente, pleine de revendications, de soucis, de chagrins, d’épreuves... ? Qui peut y changer quelque chose ? Pour vous personnellement, il y a aujourd’hui encore une bonne nouvelle : c’est l’offre que Dieu vous fait de son amour, de son pardon et de sa paix. Il ne dit pas que les circonstances de votre vie seront meilleures, mais il offre à celui qui croit en Jésus Christ le pardon et la paix ; il sera présent aussi dans vos difficultés chaque jour. Si vous le lui demandez, il partagera le fardeau du jour et chassera la crainte de l’avenir. Alors, vous pourrez vivre cette rentrée avec lui, pour partir, non avec de bonnes résolutions humaines sans lendemain, mais avec la certitude que, tel que vous êtes, Dieu vous accepte et vous accompagne. Le site officiel de "La Bonne Semence" est disponible à l'adresse :
À PROPOS DE NOUS "L'Observateur Chrétien" est un magazine et journal en ligne proposant des informations chrétiennes. Retrouvez quotidiennement une actualité ciblée ayant pour but d'encourager le chrétien, de démontrer que le retour de Jésus Christ est proche, mais également de fournir des sujets de prière. L'essentiel de l'info chrétienne, c'est ici que ça se passe ! SUIVEZ-NOUS Application Bible en ligne Newsletter A propos Proposer un article Faire un don Contact © 2017 - L'Observateur Chrétien - Lire plus ici : https://chretien.news/meditations-bibliques/?t=1
0 notes