Tumgik
#secret santa kaamelott 2021
lillianjmoseley · 1 year
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kabbal · 3 years
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Je tombe le masque et me dévoile.... j'étais le secret santa de @godwithwethands et voici mon pôtit cadeau sous le sapin
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mon premier pendranièvre ever olalaaaaaaaaaaa
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pigeonneaux · 3 years
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Illustration faite pour @kabbal pour l'event du Secret Santa
(merci @gerceval de l'avoir organisé t'es top!)
Joyeuses fêtes à tous. 🤸💞
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gerceval · 3 years
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message important pour les gens du secret santa
date limite d’envoi des cadeaux avancée au 22 à minuit
(le 23 je serai en train de voyager donc je peux envoyer les cadeaux à tout le monde le 24 à condition que tout soit déjà prêt avant que je parte, bref, j’espère que c’est pas trop chiant !)
bon ça c’est pas une nouvelle info, juste une précision : si vous êtes des gens maxi organisés et que vous avez fini votre cadeau longtemps avant la deadline, ça aide vachement si vous attendez pas le 22 mais que vous me l’envoyez direct, même en avance comme certains ont déjà fait, ça me permet de mieux m’organiser ! 
rebloguez, faites vous passer le mot que personne rate l’info, merci bisous, continuez la mignonnerie dans le tag <3
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sloubs · 3 years
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oups
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yumeka-chan · 3 years
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La Surprise
Voici la fic pour @emmacata, à qui je souhaite encore de très joyeuses fêtes!
😘💖💖
Arthur s'était levé dans bruits. La lumière commençait à peine à entrer dans la chambre qu’il partageait avec sa femme depuis qu’il avait fait reconstruire le château. Encore quelques minutes, et la lumière atteindrait le lit. Il se leva sans bruit pour tirer les rideaux, retenir l’instant.
Guenièvre dormait encore. Ses cheveux ondulaient comme une rivière soyeuse sur le drap blanc, son visage paisible contre leur oreiller. Rien qu’en la regardant, il avait envie de retourner se blottir dans la douceur des bras de sa femme, de la regarder jusqu’à ce qu’elle entrouvre les yeux. De l’embrasser dès qu’elle lui sourirait. Mais non, il fallait qu’il reste focalisé. Il la laisserait dormir.
Il aurait le temps de finir ses préparatifs.
Guenièvre n'y penserait pas.
Guenièvre pensait à tout. Aux anniversaires, aux dates de mariage des chevaliers.
Même aux dates que Merlin lui donnaient pour ses fêtes ou rituels bizarres.
Mais celui-ci, elle n'y penserait pas.
Déjà d'une parce qu'elle en ignorait l'existence. C'était une bonne façon d'avoir un coup d'avance.
Ensuite, parce qu'il avait mis le moins de monde possible dans la confidence. Personne pour le trahir.
Il s'était pressé jusqu'à la salle à manger, pour préparer le plateau de leur petit déjeuner.
Guenièvre ne mangeait plus trop de choses sucrées, il avait fait préparer des oeufs brouillés. Au cas où. Et puis du pain, des clémentines. Il n'avait pas trop le choix des fruits en hiver. Mais il espérait que ça lui plairait.
Il aperçu Perceval et Karadoc, pour leur collation matinale.
Ah, vous tombez bien.
Mais on est pas tombé sire.
Perceval se retourne vers Karadoc.
Non mais laissez, ça veut dire qu'il est content de nous voir.
Karadoc jette un regard à Perceval, le sourcil levé.
- Je sais, c’était de l’humour.
- Ah. Vous avez besoin de nous?
- J’ai besoin que vous alliez aider Bohort dehors, dans les jardins.
- Par ce froid? Vous avez fait quoi pour convaincre Bohort de mettre le nez dehors? En plus il neige!
Les yeux d’Arthur s’éclairèrent un peu plus.
- Il neige ?!
- En tout cas, ce matin, c’était tout blanc. Vous êtes sûr qu’il est dehors?
- Certain. Alors déjeunez vite et allez l’aider. Il faut que ce soit près pour tout à l’heure. Il vous expliquera.
Il s’éloigna, récupéra quelques fruits, pour repartir dans le lit avec sa femme. Il croisa Léodagan, qui regardait discrètement de chaque côté avant de traverser les couloirs. Leurs regards se croisèrent. Parfait. Il était arrivé de bonne heure, comme il l’avait promis.
Lorsqu’il revint dans la chambre, il déposa le plateau sur sa table de chevet, avant d’aller ouvrir les rideaux, délicatement. La lumière inondait la pièce, jusqu’au visage de Guenièvre. Elle ouvrait doucement les yeux alors qu’il observait les jardins de la fenêtre.
- Arthur?
Il se tourna vers elle, et se dépêcha de se glisser sous les couvertures alors qu’elle tentait d’en sortir.
- Non, non, restez là, il fait froid, je suis juste descendu chercher à manger.
- Mais les servantes…
- J’avais envie de profiter un peu de vous, sans personne qui attend pour virer le plateau.
Elle plisse les yeux, alors qu’Arthur installe le plateau sur elle.
- Allez, grignotez. Aujourd’hui vous allez avoir plein de trucs à faire.
- Pardon?
Arthur lui sourit.
- Moi aussi je peux jouer à vos surprises. Je vous ai dit que je vous aurai.
Elle se met à rire, alors qu’il l’embrasse sur la joue.
Arthur était resté avec elle pendant qu’elle déjeunait. Il s’assurait qu’elle mange assez pour qu’elle reste en forme. Heureusement, depuis quelques jours, elle dévorait ses assiettes de fruits. Il prenait le temps d’éplucher ses clémentines, de couper ses pommes en quartiers, d’enlever les petits morceaux qu’elle n’aimait pas. C’était parfois fastidieux, mais il profitait du temps avec elle. Chaque seconde était une victoire.
- Donc, c’est quoi le thème? Je dois m’habiller comment?
- Avec quelque chose qui vous plait.
- Même si je mets des guenilles?
- Vous le regretterez peut-être.
- Grande occasion?
Elle essayait de lui soutirer des informations.
- Pour vous, sans aucun doute.
Elle lui jeta un petit regard curieux. Son sourire trahissait la joie qu’il avait de lui préparer sa surprise.
- Mettez une robe et couvrez-vous, surtout. Il fait froid aujourd'hui.
En voyant Arthur dans cet état, elle cessa de poser des questions. Il voulait lui faire une surprise, elle était prête à le laisser faire.
Guenièvre avait fini par se décider sur sa tenue. Une robe simple, légèrement rose, surplombée d’un long manteau et d’une écharpe. Guenièvre adorait les écharpes. Arthur en avait fait faire une spécialement pour elle, beaucoup trop grande. Elle traînait souvent par terre si Guenièvre ne l’enroulait pas quatre fois autour de son cou. A chaque fois qu’elle la mettait, elle riait quand ils essayaient de s’embrasser. Arthur apercevait la Guenièvre qu’il avait épousé il y a longtemps, ces yeux pétillants, de rire magique.
Lorsqu’elle se tourna pour lui montrer sa tenue, Arthur eut un petit sourire, avant de lui tendre son bras. Lui aussi s’était changé. Une tenue noire, comme à son habitude. Guenièvre le trouvait sublime, il le voyait à son regard, à sa façon de s’agripper à lui. Elle avait envie de sautiller pour qu’il lui dise quelle surprise il lui avait concocté.
- Vous êtes prête?
- Me faites pas languir.
Ils s’échangeaient des sourires tendres. Arthur était amoureux. N’importe qui les voyant ainsi aurait pu le dire. Les couloirs du château étaient vide. Guenièvre regardait partout autour d’elle, cherchant des indices. Chaque pas rendait Arthur plus inquiet. Une fois la porte des jardins ouverte, il n’y aurait plus de retour en arrière. Il espérait que ça lui plaise.
- Allons-y.
La porte s’ouvrit. Guenièvre plissa les yeux. La neige et le soleil l’aveuglaient. Quand elle arriva enfin à voir enfin dehors, elle serra un peu plus le bras d’Arthur.
Une allée était formée devant eux. De chaque côté, des visages connus. Au loin, ses parents. Des chevaliers, des servantes, des amis. Au fond, une arche recouverte de neige. Merlin et Elias au fond. Elle trépignait d’impatience. Il le sentait. Il se mordit la langue pour retenir un sourire.
- ça vous plait?
Elle tourna la tête vers lui et l’embrassa. Un baiser rapide, lèvres contre lèvres, mais ça suffit pour bloquer Arthur. Elle entendit Nessa glousser, alors que son regard s’était déjà recentré sur l’arche. Il mit quelques secondes avant de se décider à avancer. Leurs pas firent crisser la neige. Encore une chose sur laquelle il avait insisté. S’il neigeait, il fallait qu’elle puisse l’entendre.
Guenièvre tentait de rester calme, royale, à la hauteur de son rang. Elle regardait autour d’elle, les gens, les visages ravis.
- Bohort est dehors depuis ce matin pour l’arche. Il voulait absolument que ce soit parfait. Il a fait ça sous la neige.
Elle se souvenait de ce que lui avait dit Arthur, sur Bohort et sa dépression hivernale. Il semblait pourtant le plus heureux des hommes. Après Arthur, bien sûr.
- Perceval a aidé pour placer les chaises. Karadoc a préparé des encas. Même si je suis sûr d’en avoir fait préparer plus.
Elle laissa échapper un petit rire, collée à l’épaule d’Arthur.
- Votre père est au courant depuis quelques semaines, il attendait mon message pour venir. Votre mère, par contre, elle n’en savait rien.
Léodagan jetait un petit regard tendre à sa fille. Il était rare de le voir comme ça. Elle évita de le regarder trop longtemps, pour ne passe mettre à pleurer.
- Quant à Merlin…ça fait des mois que je lui ai demandé de s’entraîner. Parce que c’est lui qui va tenir la cérémonie.
Les yeux de Guenièvre qui pétillaient suffirent à lui faire comprendre que tout était parfait. Qu’elle n’espérait rien de plus.
La cérémonie se déroula calmement. Simplement. Merlin bafouilla un peu au début, avant de laisser la parole à Arthur.
Arthur échangea ses voeux avec Guenièvre, sous l’arche. Il lui jura fidélité, amour, protection. La liberté et le bonheur qu’elle a toujours mérité.
Bohort essuyait une larme, alors que Perceval s’appuya sur l’arche pour voir de plus près le regard d’Arthur. La neige se détacha, pour tomber sur Arthur et Guenièvre. Si la grosse écharpe empêcha la neige de rentrer dans le cou de Guenièvre, Arthur, lui, sautillait partout, râlant contre le froid. Jusqu’à son rire. Le rire de Guenièvre, fort, sublime, près de lui. Elle rit à gorge déployée. Depuis quand n’était-ce pas arrivé? Elle en pleurait, même. Il la vit s’approcher, défaire son écharpe, pour en accrocher une partie au cou d’Arthur, avant de mettre l’autre côté sur elle.
- Comme ça, vous êtes obligé de rester près de moi.
Il se pencha pour l’embrasser. Il voulait souder ses lèvres à celle de son incroyable femme. Il voulait l’enlacer, la garder à jamais dans ses bras. Il adorait ses baisers. Il adorait la sentir sourire quand il l’embrassait.
- Bon, on considère que vous avez déjà accepté vos voeux, vu que vous vous embrassez.
Il sourit à Merlin, le voyant faussement fâché. Léodagan cacha sa petite larme sous son air dur, alors que Perceval frappa assez fort des mains pour manquer de rendre sourd Elias à ses côtés.
Arthur embrassa à nouveau Guenièvre, une fois, deux fois. Il a envie de plus. Il glissa ses mains sur l’écharpe, pour l’attirer à lui sans poser ses mains froides sur ses joues. Elle lui attrapa doucement les mains.
- Moi aussi j’ai une surprise pour vous.
Il la regarda, le sourcil levé. Elle descendit doucement leurs mains sur son ventre. Arthur la regarda un peu surpris, avant de comprendre. Elle vit ses yeux s’embuer, avant qu’il ne la presse contre lui pour l’embrasser un peu plus.
Elle avait gagné. Elle gagnerait toujours. Guenièvre était la meilleure pour faire des surprises.
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rarougrougrou · 3 years
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Nan mais regardez comme mon cadeau il est pipou genre c’est pas trop adorable?
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Ca me surprend en plus parce qu’il me semble que j’avais jamais parlé du ship Mevanwi Demetra sur tumblr vu que y’a probablement que moi qui le ship, c’est trop génial!
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ossanana · 3 years
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Je viens me dévoiler à mon tour, j'étais le secret santa de @chuu-han, qui aime le Merlin/Elias. Ils étaient obligés de se retrouver en se lançant des fions <3
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Joyeux noël à toutes et à tous, et merci à @gerceval d'avoir organisé tout ça de nouveau, c'est une réussite à chaque fois !
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LE CADEAU DE MON SECRET SANTA OMGGGGGGGG  😱😱😱😱
C’est MAGNIFIQUE MERCI !!!  💖💖💖💖💖
Joyeux Noël à toi 🎄
Mais attendez, du coup c’est qui mon Secret Santa ? Qui je dois remercier pour ce superbe dessin ? Je viens de réalisé que j’ai oublié de dire qui j’étais aussi dans mon cadeau !! 😨
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zialinart · 3 years
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Le symbole de la Nation Bretonne
Mon cadeau pour le secret santa de @hermie62 merci encore elle est parfaite !!!
Le symbole de la Nation Bretonne Hermie62 pour Zialin Après dix ans sans cérémonies, célébrations, rassemblement du corbeau et autres fêtes des fruits, le royaume de Logres s’apprête enfin à sortir de sa torpeur. Les feux de Beltaine sont l’occasion pour le couple royal de se montrer digne de la seconde chance qui leur a été accordée. En tout cas, Guenièvre est bien décidée à tout faire pour.
PS : petit historique pioché sur internet si tu ne connais pas la fête de Beltaine. Beltaine est une des fêtes celtiques majeures de l’année. La fête de Beltaine a lieu le 1er mai, ou plus précisément à la pleine lune de mai et célèbre le renouveau de la vie. Dans le calendrier celtique, elle correspond au passage vers la moitié lumineuse de l’année et annonce un changement de rythme de vie qui se tourne désormais davantage vers les activités extérieures, dans la nature et la flore en plein épanouissement. A Beltaine, un rituel essentiel était effectué par les druides : ils allumaient des feux, les feux de Bel, prononçaient des incantations magiques, et faisaient passer les troupeaux entre ces feux sacrés purificateurs en vue de les protéger pour tout le cycle de l’année, en particulier des épidémies. On dressait également au centre du village un Arbre de Mai, souvent fait de bouleau, et, lors de festivités joyeuses très attendues, on dansait autour en spirale, avec des rubans de toutes les couleurs
« Bon vous allez vous grouiller oui! » « Flûte à la fin ! Vous voyez bien que je ne suis pas présentable ! Partez devant ça vous fera prendre l’air ! » « Partir devant ?! Pour me retrouver en tête à tête avec votre mère tout le long du chemin? Non merci je passe mon tour. Déjà que je suis bien gentil de venir à votre pique-nique à la noix alors que j’ai des tonnes de truc à régler... » « Déjà ce n’est pas MON pique-nique à la noix ! Je vous l’ai déjà expliqué à plusieurs reprises il me semble » Nessa, les bras chargés d’étoffes, pouffa de rire avant de pousser du pied la porte de la chambre déjà entrouverte. Malgré des années de séparation, le couple royal n’avait vraiment pas eu besoin de beaucoup de temps pour retrouver sa complicité. Le soleil déclinait déjà en cette fin d’après-midi, plongeant la pièce dans une semi-obscurité. Le roi, à genoux devant la cheminée, grognait dans sa barbe en essayant de raviver les braises d’un feu qui avait du mal à repartir. La reine, assise devant sa coiffeuse, commençait à s’apprêter à la lumière des chandelles. Sa longue chemise blanche attirait tout de suite le regard, contraste saisissant de ce point clair dans la pénombre environnante. « Excusez-moi Monsieur, Madame. J’apporte les tenues de Madame. » Chantonna la servante en traversant la pièce avant de se délester enfin de son poids mort, déposant le tout sans délicatesse sur le lit. « LES tenues ? » Demanda le roi en tournant la tête vers le paquet de tissus, les sourcils froncés. « Vous comptez faire un défilé où c’est pour rhabiller tout le royaume ? » Continua-t-il en se relevant, époussetant ses braies pleines de suie. Guenièvre leva les yeux au ciel. « Mais vous ne pouvez pas arrêter de râler juste cinq minutes ? » Soupira-t-elle dramatiquement tandis que Nessa commençait à brosser sa longue chevelure qui tombait en cascades de boucles le long de son dos. « J’ai demandé à Nessa de remonter quelques robes parce que je veux choisir la plus appropriée à porter ce soir » « Mais qu’est-ce que ça change ? » Reprit Arthur les mains sur les hanches. « Vous allez pas nous représenter à Rome non plus. On va juste en bordure de forêt couper un arbre et faire griller des saucisses avec les pécores du coin. Pour le prestige on repassera. » La reine pivota sur son siège en un éclair, foudroyant son époux du regard. Nessa se décala nonchalamment afin de continuer sa tâche. Elle avait vite pris l’habitude de ne pas interférer dans les discussions royales. Elle n’en comprenait de toute façon pas la moitié alors pourquoi s’en soucier. « Faire griller des saucisses ? »Répéta Guenièvre d’un ton sec. « C’est tout le crédit que vous donnez aux feux de Beltaine ? Vous passez vraiment trop de temps avec vos amis demi-croustillants à la taverne ! » Les lèvres du roi s’étirèrent en un léger sourire, pas le moins du monde affecté par le courroux de son épouse. « C’est les semi-croustillants déjà. Et la taverne sert de lieu de réunion en attendant que le château soit terminé. Je n’y vais pas pour grailler. » Expliqua t’il sur un ton plus léger. Guenièvre qui avait de nouveau tourné la tête face à son miroir, leva un sourcil en direction du roi. « Bon je n’y vais pas Que pour grailler si vous voulez vraiment être précise. » Concéda-t-il en se rapprochant de la reine. « Ça nous arrive de s’en jeter un petit aussi. » Termina-t-il avec l’air le plus sérieux du monde en regardant par la fenêtre comme si de rien n’était. La reine de Logres lui jeta un peigne qui trainait devant elle. Arthur esquiva avec un petit bon en arrière en ricanant. « Soyez sérieux deux minutes s’il vous plait. » Pria-t-elle alors que Nessa terminait de tresser sa chevelure en deux longues nattes. « Nous rendons hommage aux dieux, nous ne faisons pas un pique-nique comme vous dites. Merci Nessa » Remercia t’elle sa servante en quittant son siège pour étudier les différentes robes posées derrière elle. « Vous savez, ces dieux qui vous ont rendu votre épée, qui vous ont permis de vaincre Lancelot, qui nous permettent de vivre ici. » Enuméra-t-elle en écartant une longue traîne dorée. Le roi se gratta l’arrière de la nuque nerveusement, ne trouvant aucun contre argument à l’énumération de son épouse. Son regard balaya la pièce en quête d’inspiration mais ses yeux ne tombèrent que sur Nessa postée dans un coin qui se contenta d’hausser les épaules. Un faible bruit de tissu attira de nouveau son attention sur Guenièvre qui continuait son tri, balançant par terre une robe noire brodée de fils argentés avec une moue dubitative. « Vous avez toujours été si pieuse ou c’est nouveau cet élan de foi ? » Questionna-t-il, essayant aussi subtilement que possible de changer de sujet. « Figurez-vous que j’ai eu pas mal de temps à consacrer à la prière ces dix dernières années. » Marmonna-t-elle en soufflant de dépit face à une robe rose pâle. « Ça c’est sûr ! » S’exclama Nessa qui hocha vivement la tête face au regard dubitatif du roi de Logres. La souveraine laissa tomber au sol une autre tenue, ne se retrouvant plus qu’avec deux choix possibles face à elle. « Tous les jours, je suppliais les dieux de me venir en aide. Et puis boum ! Vous avez fait tomber la porte de cette horrible prison. » Confia t’elle en relevant la tête vers son époux. « Après vous en pensez ce que vous voulez, mais moi je leur serrai éternellement reconnaissante. » Le visage d’Arthur s’assombrit. « Reconnaissante ? De quoi ? De vous envoyer enfin quelqu’un après tout ce temps ? » Maugréa t’il. Avec un sourire tendre, la reine, attrapa la main de son mari qui triturait nerveusement sa manche. « De vous avoir envoyé vous. » Répondit-elle sans hésitation. Les joues du roi de Bretagne avaient pris une légère teinte rosée qu’il tenta de dissimuler en trouvant la vue qu’ils avaient sur la cour du château, de plus en plus intéressante. Une seconde main se posa sur son visage, l’obligeant à reporter son attention sur son épouse. « Merci d’être revenu » Murmura t’elle, son regard amoureux plongé dans le sien. Lentement, le souverain sortit de sa torpeur, lui rendant son sourire. Ce moment intime fut brutalement interrompu par un mouchage sonore. Leurs visages se tournèrent d’un même mouvement vers la source de ce vacarme.
« Excusez-moi » Souffla Nessa entre deux sanglots, sa figure en partie dissimulée dans un carré de tissu « Mais c’est tellement romantique. » Le roi ferma les yeux de dépit face à ce spectacle navrant. La reine se détourna en pouffant de rire, faisant face une nouvelle fois à son dilemme vestimentaire.
« Bon l’heure tourne et je ne suis pas plus avancée. » Déclara-t-elle en croisant les bras devant les deux robes restantes. Devant sa moue dépitée, Arthur se posta derrière elle, scrutant par-dessus l’épaule de son épouse les causes de son intense réflexion. « Celle-là » annonça t’il en pointant du doigt la tenue de gauche. Guenièvre pivota légèrement, son visage empli de doute. « Vous êtes sûr ? Ça ne fait pas un peu trop ? » Son époux fronça les sourcils. « Mais qu’est-ce que vous me chantez là ? » Répliqua-t-il. « Votre but c’est bien de célébrer le printemps, le renouveau de la nature et tout le tremblement non ? Mettez celle-là je vous dis. » Insista t’il en s’éloignant. Il attrapa sa cape noire accrochée à la porte et l’enfila rapidement en jetant un dernier coup d’œil à sa femme qui ne l’avait pas quitté des yeux. « Et magnez-vous ! » Grogna-t-il en ouvrant la porte de la chambre. « Si vous n’êtes pas en bas dans cinq minutes, je connais un druide qui va encore râler parce qu’on aura raté l’alignement de je ne sais quelles étoiles et tout le tremblement. »
Sur ces dernières paroles, le roi de Logres quitta la pièce. Guenièvre se mordit la lèvre, fixant la tenue désignait par son mari. C’était quelque chose qu’elle n’avait encore jamais porté. Un cadeau de ses parents offert il y a quelques mois de cela, après son retour en Carmèlide et leur reconquête du royaume. Mais cette robe bleu nuit rehaussée par endroit de rouge, contrastait tellement avec ce qu’elle avait l’habitude de porter qu’elle n’avait pas encore osé l’essayer. Le moment propice était peut être arrivé. La reine attrapa délicatement l’étoffe et se tourna vers son miroir, callant contre son corps sa tenue du jour pour en voir le rendu.
« Bon puisque c’est le roi qui a choisi... » Conclu t’elle en faisant signe à sa suivante qui s’approcha pour l’aider.
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« On va faire quoi là-bas déjà ? »
Arthur leva les yeux au ciel, prenant une grande inspiration. Il avait certes échappé à ses beaux- parents qui étaient déjà partis à la rencontre de la petite délégation Burgonde invitée pour l’occasion. Mais il avait omis le chevalier Gallois qui avait trainé dans la cour toute l’après-midi. Perceval s’était étonnement beaucoup investi dans la reconstruction du château, se souvenant du nombre de pierres exactes pour chaque partie de la forteresse. Le roi l’avait donc nommé à la tête d’une petite équipe d’ouvriers et, à son grand soulagement, le chantier avançait bien. Le seul inconvénient était bien évidemment, la présence quasi quotidienne du semi-croustillant sur le domaine, ce qui causait par moment de sacrés maux de tête.
« Alors pour la cinquantième fois. » Énonça lentement le roi qui sentait sa patience s’amenuiser de minute en minute. « Nous allons à la célébration de Beltaine. Et oui ça vous dit quelque chose puisqu’on fête ça tous les ans mais non ce n’est pas l’anniversaire de quelqu’un. » « Ahhh ouais c’est vrai ! » S’exclama Perceval en suivant le regard de son souverain tourné vers la forêt. Postés à l’entrée de la haute cour, ils distinguaient déjà au loin, des dizaines de personnes formant de grands buchers et dressant quelques tentes disséminées autour de la lisière. Le roi prit une nouvelle grande bouffée d’air frais. L’hiver avait enfin quitté le royaume, laissant place à un printemps ensoleillé bien que plus froid que d’habitude. Cela n’empêcherait pas ses sujets de participer à la cérémonie. Privés de toutes formes de célébrations sous le règne de son prédécesseur, ils avaient attendu cette fête avec la plus grande impatience. La première d’une longue série sans aucun doute.
« Et là on attend votre cousine c’est ça ? » Questionna le Gallois toujours égal à lui-même. « Mais non ! » Râla Arthur en se tournant vers son chevalier. « On attend ma femme ! Je viens juste de vous le dire ! Si je pars sans, elle est capable de se paumer et j’en entendrai parler jusqu’à l’année prochaine. Tachez de vous concentrer cinq minutes. Je sais que deux informations à retenir d’un coup c’est peut-être trop vous demander mais considérez ça comme un défi à relever. »
« Dites ! Vous me prenez vraiment pour une cruche ? »
Une voix courroucée interrompit la tirade du souverain. Surpris, les deux hommes se retournèrent pour faire face à l’entrée du château. Guenièvre, les mains sur les hanches, se tenait en haut des quelques marches qui les séparaient.
« Mais nooon, maispasdutout... » Balbutia le roi à la vue de son épouse. La souveraine descendit l’escalier en prenant soin de lever les pans de sa nouvelle tenue. En plus de couleurs que la reine arborait assez peu, cette robe était brodée avec le plus grand soin de fils d’argent qui s’entrelaçaient autour du col et des poignets. Oiseaux, lièvres, cervidés et autres animaux de la forêt stylisés, gambadaient les uns derrière les autres, formant des guirlandes sans fin. Mais l’ornement le plus travaillé était sans nul doute celui dessiné sur son buste. Sur le fond bleuté de l’étoffe, se dessinait une tête de renard blanc parsemée de tiges et de brins d’herbes, comme-ci l’animal surgissait des fourrés après une longue période d’hibernation. Arthur avait simplement jugé la tenue adéquate pour l’occasion. Maintenant qu’il la voyait de près, portée fièrement par la reine qui se tenait à ses côtés, il se traita intérieurement d’imbécile. Elle était sublime, parfaite pour Guenièvre et pas seulement pour la soirée. Sans mentir, la fête du jour, il n’en avait plus rien à secouer.
« Alors ? » Commença-t-elle en regardant tour à tour le chevalier et son roi, sans même remarquer l’ébahissement de ce dernier. « Vous pensez réellement que je suis assez sotte pour ne pas réussir à marcher jusqu’au champ d’à côté ? J’ai vécu accès longtemps en forêt pour savoir me débrouiller seule si votre mémoire est bonne. » « Mais on va dans un champ maintenant ? Je croyais qu’on allait à la fête de Belette ou un truc du genre. » Répondit Perceval. Guenièvre fronça les sourcils et se tourna vers son époux en quête de réponses. « Qu’est-ce que c’est que ces histoires ? Il faut toujours que vous lui racontiez dix milles choses à la fois. Vous savez très bien qu’après il mélange tout ! » Rouspéta-t-elle avant de reprendre d’un ton plus doux en s’adressant au Gallois. « On va aux feux de Beltaine. On faisait ça chaque année dans le temps si vous vous souvenez. Des feux pour honorer les dieux, et les danses autour de l’arbre de Mai pour que tout se passe bien durant l’année à venir. Vous devez certainement avoir ça aussi au Pays de Galles. » Expliqua t’elle comme si elle s’adressait à un enfant. Le chevalier hocha la tête en signe d’approbation :
« Oui oui, notre grand-mère nous emmenait, je me souviens. Même qu’on dansait tellement bien que les autres n’osaient pas venir à coté de nous. Ils étaient trop impressionnés parce qu’on avait inventé une toute nouvelle technique avec mon frère. » Expliqua-t-il fièrement. « Ah bon ? » Guenièvre eut un air faussement étonné.
« Vous n’aurez qu’à nous montrer ça se soir alors... »
Elle s’interrompit en sentant une main glisser lentement dans la sienne et pivota vers son époux, interloquée devant son visage fermé. « Cassez-vous. » Ordonna Arthur d’un ton sec. « Comment ?! » S’exclama t’elle en essayant de dégager ça main. « Pas vous ! » Rétorqua le roi qui resserra sa prise. Son regard se dirigea derrière elle, fixant son chevalier. « Décarrez, c’est un ordre. » « Mais je vais où ? Je rentre où je vais à la fête ? » Demanda Perceval sans se formaliser du ton impérieux de son souverain. « J’en ai rien à carrer ! Tirez-vous ou vous êtes privé de dessert jusqu’au solstice prochain ! »
Face à la menace, le chevalier gallois n’insista pas et disparu de la cour en direction de la forêt voisine. Guenièvre, pour le moins interloquée par cet échange saugrenu, regarda Perceval s’éloigner avant de reporter son attention vers son mari qui lui agrippait toujours la main.
« Vous en avez des manières vous ! Il n’est pas toujours facile à vivre je le reconnais mais tout de même, vous pourriez vous montrer plus patient. » Suggéra-t-elle à son époux. Elle n’eut pour seule réponse qu’un baiser déposé sur ses lèvres. Puis un front vint se coller contre le sien, une seconde main agrippant son bras pour mieux la garder contre lui. Une minute passa ainsi, puis certainement une seconde. La reine, encore peu habituée à ces tendres échanges, pas anecdotiques mais pas non plus quotidiens, recula légèrement la tête pour sonder le regard fuyant de son mari.
« Vous auriez pu juste lui dire de nous laisser seuls une minute. » Lui murmura-t-elle avec un léger sourire. Arthur soupira.
« Je sais bien mais il m’a fait répéter trente-six fois la même chose, j’étais déjà sur les nerfs et puis vous vous débarquez toute... comme ça. » Il gesticula en s’éloignant d’un pas, un bras agité vers elle comme pour montrer une évidence. « Toute quoi ? Ne soyez pas désagréable parce que c’est votre idée cet accoutrement. Je savais bien que c’était trop de toute façon. J’ai l’air d’une idiote maintenant et si je me change on sera en retard et ça sera encore de ma faute. » « Non mais c’est pas du tout ça ! » Répondit fermement le roi devant la mine peinée de son épouse. Ses mains se posèrent sur ses épaules, un geste qui se voulait rassurant. Arthur prit quelques secondes pour peser ses prochaines paroles. « Vous êtes... parfaite. » Confia-t-il dans un murmure, ses yeux ancrés dans les siens. Les joues de Guenièvre se tintèrent de rose et elle secoua la tête en signe de désapprobation. « Vous avez encore été picoler vous. » Rétorqua-t-elle sans grande conviction.
Le roi de Logres caressa légèrement ses épaules. « Pas une goutte, juré sur la tête de votre mère. »
Sa taquinerie lui fit au moins gagner un sourire au coin des lèvres de sa compagne. Il lui tendit un bras, attendant qu’elle y glisse le sien, puis l’entraîna doucement vers la grande porte. Ils marchèrent quelques instants en silence, admirant les derniers rayons du soleil qui commençait à disparaître derrière l’horizon. Ils croisèrent bien vite, les paysans des alentours qui s’afféraient aux derniers préparatifs. Certains d’entre eux, proche du chemin qu’ils empruntaient, s’inclinaient à leur passage. D’autres plus en retrait, faisaient de grands signes dans leur direction. Guenièvre répondait timidement à chacun. De jeunes enfants venus à leur rencontre tendirent de petites fleurs à son épouse qui les accepta en remerciant chaleureusement chacun d’entre eux. Rassurée par cet accueil, la petite troupe se posta devant eux, formant une mini garde royale improvisée. Guenièvre riait de bon cœur et Arthur ne pouvait plus détourner le regard. Il se sentait bien. Serein, en paix, malgré tout ce qu’il restait à reconstruire. À côté d’elle, plus rien ne lui semblait impossible et il brisa le silence.
« Je parlais pas de votre tenue. »
Devant son air interloqué, il poursuivit. « Quand je disais que vous étiez parfaite, je voulais dire en général. » Ils s’étaient arrêtés à quelques dizaines de mètres du camp improvisé, laissant les enfants se disperser parmi les groupes d’adultes déjà sur place.
« Le symbole de la nation bretonne, vous l’aviez dit une fois. Je sais pas si vous vous en souvenez. » Continua t’il. La reine acquiesça en haussant un sourcil. « Vous vous étiez moqué. » Rappela-t-elle en le secouant légèrement par le bras qui tenait toujours le sien. « J’avais tort. » S’excusa-t-il, attrapant doucement son autre main. « Vous l’êtes. En tout cas aujourd’hui, aux yeux de tous, vous l’êtes. » « Et à vos yeux ? » Osa-t-elle demander en retenant son souffle. Parce que c’était tout ce qui avait toujours compté, lui, seulement lui. Des clameurs s’élevaient autour d’eux. Les premiers feux s’allumaient de part et d'autre alors que la nuit tombait lentement, annonçant le début de la cérémonie tant attendue. Le couple royal resta cependant figé hors du temps.
« Je vous l’ai dit. » Murmura le Roi en levant la main de son épouse vers ses lèvres pour y déposer un baiser. « Vous êtes parfaite »
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tracing-rivers · 3 years
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Guenièvre à la tour, Secret Santa Kaamelott 2021
Et de joyeuses Saturnales à @inkywater-illustrations, mon Secret Santee ^^ J’espère que cette humble pièce aura servi à égayer ta matinée !
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allyashes · 3 years
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Bonjour amis lutins du secret santas Kaamelott. Juste un petit message pour ceux qui, comme moi, on ramé pendant un moment: pour permettre aux lutins anonymes d'envoyer un message, c'est dans les paramètres, clic sur l'image du compte (en bas) et après activer ces cases là.
Je mets la copie d'écran si ça peut servir à quelqu'un ;)
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damnbo-i · 3 years
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Bien le bonjour
Je reviens pour vous proposer ça :
C'était mon cadeau pour @y-vain pour le secret santa kaamelott 2021 (Ui je le post tard)
Donnez m'en des nouvelles si vous y jetez un coup d'œil ça parle de plantes et de constipation émotionnelle
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gerceval · 3 years
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Secret Santa Kaamelott 2021 : c’est reparti pour un tour
salut à toutes les personnes âgées et aux jeunots, c’est votre suze préférée j’espère que ça biche, EXCELLENTE NOUVELLE on refait encore un secret santa cette année, elle est pas belle la vie ? mon petit doigt me dit que depuis kv1 il y a vachement plus de monde qu’avant dans le fandom, mais on va dire qu’on va quand même y arriver, et c’est l’occasion de se rencontrer encore mieux, alors :
comment ça marche
tu remplis ce sondage pour t’inscrire
tu reçois dans tes mp sur tumblr l’url d'une personne qui t’es attribuée au hasard parmi les inscrits
tu lui concoctes secrètement un cadeau : fanfic, fanart, fanvid, chanson, montage photo, ou quoi que ce soye sur le thème de kaamelott (pour s’inscrire il faut donc être prêt à créer quelque chose à offrir à quelqu’un !) + si ça te fait envie tu peux lui envoyer des petits messages anonymes gentils qui font plaisir pendant le mois de décembre, à condition de ne pas révéler ton identité
dès que tu as fini tu m’envoies le cadeau que tu as préparé via l’adresse mail que je t’aurai communiquée
le 25 décembre, tout le monde trouve un cadeau dans sa boîte mail, et on révèle qui était le secret santa de qui !
les dates
jusqu’au 30 novembre minuit : inscriptions
1er décembre : attribution des secret santas
1er-23 décembre : confection des cadeaux dans tous les recoins
25 décembre : teuf et love
comment on participe
juste en remplissant ce sondage avant le 30 novembre (attention après le 30 ce sera trop tard j’aurai déjà fait le tirage au sort pour répartir les santas !)
(je tague quelques personnes qui s’étaient manifestées sous le cut, mais pas besoin d’être tagué.e là pour participer of course !)
@pigeonneaux @camashumaro @blatterpussbunnyfromhell @thehappyegg @utopya6 @madame-claude @yumeka-chan @sloubi123 @kabbal 
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maliseiya · 3 years
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Joyeux Noël @we-fucked-up-evolution !! J’espère que ton cadeau te plaît, en tout cas j’ai pris énormément de plaisir à l’écrire, du coup je le partage ici <3 
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yumeka-chan · 3 years
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La femme du Petit Breton Bougon
@ironist-lady Surprise ! 🐧
Joyeuses fêtes! Il paraît que tu as zappé le Secret Santa? Mais le Secret Santa @madame-claude ne t'a pas oublié, et j'ai même pu participer ! <3
Arthur était un petit breton bougon. Il râlait facilement pour tout et rien, mais il y avait une chose qu'il craignait plus que tout. Que sa femme tombe malade.
Arthur, petit breton bougon, n'était qu'un homme faible face à sa femme enrhumée. Il s'inquiétait quand elle toussait. Et quand elle avait de la fièvre, elle faisait passer les crises d'Arthur pour une sinécure. Guenièvre était d'une nature docile, arrangeante, sauf quand elle était malade. Dès qu'elle commençait à avoir le bout du nez rouge, Arthur faisait allumer les cheminées, il lui sortait des manteaux, et noyait le lit de couvertures.
Cette année, Guenièvre n'était pas tombée malade une seule fois. Elle avait fait attention, elle qui avait vécu enfermée.
Il avait fallu qu'un orage les surprenne alors qu'ils étaient partis le balader. Ils avaient couru sous la pluie, Arthur râlant, comme à son habitude, Guenièvre riant aux éclats. Lorsqu'ils étaient rentrés, Arthur avait fait préparer un bain à toute vitesse. Genièvre grelottait sous les couvertures pour lesquelles elle avait troqué ses habits. Il l'avait accompagné dans l'eau brûlante, il lui avait frictionné les jambes. Guenièvre lui avait sourit. - Tout va bien. ça va passer.
Le lendemain, au réveil, Arthur avait su que ça ne faisait que commencer. Guenièvre ronflait doucement. Elle était enrhumée. Il avait prévenu Elias, demandé une potion pour le rhume. Elias avait haussé les épaules. - Dans une semaine, elle est sur pieds. Vous préoccupez pas de ça. Merlin donna un coup de coude à son "associé". - Vous voulez pas voir la reine malade, je vous assure. Préparez cette potion.
La Reine continua de se balader dans les jardins, un foulard autour du cou, un mouchoir à la main. Kaamelott se retrouva rapidement calme. Les gens qui connaissaient Guenièvre et qui le pouvaient avaient prétexté un voyage familial. Arthur appréciait ce calme, tant qu'il durait.
Le deuxième jour, Guenièvre ne se retourna pas vers lui lorsque le soleil les gratifia de ses rayons. - ...Arthur... Sa voix légèrement enrouée, son ton grognon. Arthur se glissa contre elle. - Oui? - Restez avec moi. - Je n'ai pas l'intention de vous quitter, vous savez. - Dans le lit. Restez avec moi. Arthur roula des yeux. Il aurait pu lui dire non, mais elle s'était emparée de sa main, pour la coincer contre elle. - Vous êtes malade. - Vous êtes observateur ce matin. Arthur s'arrêta. Attention à ne pas réveiller l'ourse qui sommeillait en Guenièvre. - Je fais juste faire décaler les réunions, et je reviens. Je fais préparer un bouillon pour ce midi. Elle le lâcha à contrecœur. Arthur fit passer ses ordres aux gardes, avant de retourner dans le lit. Guenièvre le sentit et cessa de lutter contre le sommeil qui tentait de la récupérer. Arthur en profita pour passer sa main sur son front. Elle était brûlante, et tremblait. Il la serra dans ses bras, avant de se rendormir.
Les servantes le réveillèrent en entrant. Arthur n'eut pas le temps de prévenir les nouvelles. Forcément. Aucune des anciennes servantes n'était assez téméraire pour affronter Guenièvre fiévreuse. - Réveillez-vous Reine Guenièvre, le... - Mais arrêtez de crier!!! - Je ne crie pas Ma... - Et vous faites taper tous les ustensiles ensemble! C'est atroce!! Guenièvre enfonça la tête dans son oreiller, alors qu'Arthur congédia la servante. Il se leva et prit lui-même le bol, avant de s'asseoir sur le bord du lit. - Asseyez-vous Guenièvre. Il faut manger. Il n'y avait que la voix d'Arthur qui ne l'irritait pas. Elle ne mangeait que s'il était près d'elle.
Il se souvenait de la dernière fois qu'elle avait été malade avec lui. Elle avait refusé que quiconque l'aide à manger. Elle était invivable, jusqu'à ce qu'il tente de lui proposer. Elle avait d'abord refusé, mais quelques heures plus tard, sa petite voix s'était échappée des couvertures, lui demandant de l'aide. Guenièvre était une enfant capricieuse quand elle était malade. Une autre chose qu'elle était, c'était câline.
A l'époque, il s'en était plaint. Et ça, elle en avait le souvenir. Elle était moins tactile, du moins quand elle était éveillée. Une fois endormie, elle s'enroulait autour d'Arthur, accrochée comme une sangsue. Elle n'avait plus de filtre. Elle pouvait crier sur une servante pour avoir entrechoqué deux cuillères, mais surtout, elle disait à Arthur à quel point elle l'aimait. La fièvre ne la faisait pas délirer. Enfin, si...elle ne se contrôlait plus. Elle embrassait les paumes d'Arthur, elle embrassait ses joues. Elle riait quand il l'embrassait sur les joues, sa barbe la chatouillait.
Arthur détestait quand Guenièvre était malade, en tout cas avant. A présent, il faisait avec. Tant que ce n'était pas souvent. Elle était un dragon qui faisait fuir les curieux de leur château. Celle qui le ferait tomber malade à son tour. Mais elle était une excellente garde-malade, même s'il était bougon.
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