#récréation
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transparentgentlemenmarker · 5 months ago
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Le temps de la récré
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petitmonsieur1 · 1 year ago
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Blue Beanies
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thierrychristmann · 5 months ago
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Dans la cour de récré!
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sevrage · 2 years ago
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jules-and-company · 11 months ago
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franchement un prof qui s’intéresse à votre vie personnelle c’est le best feeling on earth
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frenchcurious · 5 months ago
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Récréation Ford modèle 40 « Edsel Ford Special Speedster » 1934. - source RM Sotheby's.
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dreaminginthedeepsouth · 4 months ago
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“In a love relation, as Jung once put it, you risk everything. You put yourself on a table, you stop the power game and the trying to dominate or conquer the other person. If you succeed in really loving the other person, if you really relate, then all sorts of miracles happen. But in the beginning stages a general state of blindness possesses you, illusions or wrong expectations, disappointments, recriminations. You have to work through all that first. And that’s how you become more conscious. I didn’t say it is agreeable. So if you don’t love the other, you run away after a while.”
–Marie Louise Von Franz, Récréation: the wonderful story of Wolfgang Pauli, C.G. Jung and “the” woman
[Memphis Muse]
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abdou-lorenzo · 2 months ago
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Le rire, est une récréation débridée de l'esprit......🪶✨✨
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Le sourire est une nudité heureuse de l'âme.....💞
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Le clin d'œil une complicité, un secret à venir ......💞😉
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lounesdarbois · 2 months ago
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La cantine
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Dieu que j'ai aimé la cantine.
Les nourritures roboratives des cantines nous enseignent que nous faisons peu les difficiles quand nous avons faim, et que nous faisons les ingrats une fois rassasiés. Et au souvenir de la fête que c'était, enfant, les jours de cordon bleu, de steak haché, de bourguignon et de petit salé, nous regrettons cette douce prise en charge. La cantine était l'un des trésors d'une routine qui semblait devoir durer toujours pour des enfants heureux à la seule odeur de la sauce brune, dans le vacarme du couloir de la file d'attente. Un esprit rassurant habitait les lieux hospitaliers de notre enfance. Le carrelage du sol, la glissière des plateaux-repas, la fumée des chauffe-plats, la foule nombreuse, l'institution d'un jour des frites, formaient un monde compréhensif et chaleureux.
J'allais deux fois, trois fois, chercher du supplément de cordon bleu, de yaourt à l'ananas, et des tranches de baguette "bien cuite", au point de finir seul à table, longtemps après le départ des camarades partis jouer au football. La paix revenue dans la grande salle posait la respiration. L'avenir serait meilleur. Nous portions des Nike Air et disions des gros mots, mais c'était temporaire. Tintement des couverts en arrière-plan plan. Grondement tranquille de quelque soufflerie, bruit apaisant. Je restais longtemps après la fin de ces services, parfois jusqu'à la sonnerie de fin de récréation tandis que les "dames de la cantine" s'étonnaient de trouver encore un élève à table. Je n'irai pas jouer, le monde est décevant, il fait meilleur dans la proximité des grandes personnes qui sont là pour nous. J'allais encore chercher du supplément. Tout revenait dans l'ordre. C'était la vie stable et la paix, peut-être un aperçu d'éternité bienheureuse. Tintement de couverts encore. Travailleurs en cuisine qui s'apostrophent en rangeant des chariots. La paix loin des engrenages du monde. Mes grands-parents, à Paris, là-bas, l'ordre de leur maison. Un refuge possible. La France tenue par des gens de France, souriants et âgés. Une organisation du monde qui venait de loin et se donnait à moi pourtant, à demi-étranger, un ordre qui me donnait hospitalité, amour, avenir. J'ai immensément aimé ces fins des services de cantine. Moments d'alternative inventés, gagnés sur l'engrenage obligatoire, moments de récollection, de récapitulation, moments de retrouvailles avec le temps lent de mon pays. La cour de récré c'était les jeux stupides, les prochaines boums, les tiraillements sans répit de la réputation et de la sentimentalité qui vous hameçonnent et vous enlèvent à vous même. Rester longtemps à la cantine c'était être rendu à soi-même dans la joie contenue, sans commentaire, sans éclat, dans un cadre, un tout petit cadre, qui délimite une paix totale.
Beaucoup plus tard je n'ai plus aimé que la vie variée, les "excitantes opportunités" pour "profiter de la vie" et "s'éclater comme des malades" dans des nouveautés étonnantes et toujours renouvellées, qui vous mettent la tête à l'envers. Il fallait pour que la vie ait du sel, pour repousser le démon qui vous accuse d'être un raté, accumuler en une seule journée un maximum de musts, que ces musts deviennent un flux continu, abondant, et sûr, qui vous remplisse et vous fasse passer par-dessus la vie.
Il fallait en une seule journée avoir gagné de l'argent, avoir été beau, avoir été bien habillé, avoir affermi son avenir professionnel, avoir serré une petite et s'en être réservé une autre pour plus tard, avoir été drôle, avoir été profond, avoir été guerrier de la survie immédiate dans un tête à tête avec l'existence tout en ayant accepté avec dégagement un salaire, l'amour d'une famille, d'un pays, d'un Dieu charitable, et goûté cette stabilité.
Il fallait en une seule heure avoir capté au réveil une musique nouvelle et opportune qui avait éteint vos doutes et façonné votre optimum d'état d'esprit, puis s'être douché en étrennant un fabuleux gel douche dérobé la veille dans un magasin de luxe, puis avoir passé vos vêtements favoris tout en honorant simultanément un rendez-vous téléphonique pris de longue date qui allait permettre un déblocage administratif auquel on ne croyait plus, être sorti et avoir marché face au soleil tout juste revenu et croisé au moins un regard de jolie passante, être monté dans le métro à la seconde exacte où les portes fermaient, et s'en être allé ainsi vers la foule des opportunités de l'heure suivante, de la journée suivante, des années suivantes sous l'égide d'une présence protectrice et bienveillante.
Au retour de certaines nuits passées dehors à courir les filles je prenais conscience dans des moments d'illumination profonde, que jouir vraiment de la vie supposait de se contenir totalement et tout le temps. J'allais ces nuits là au bout de moi-même, au bout de mes finances, au bout de mon temps libre, au bout de ma peur de l'autre pour oser l'aborder et réussir à la convaincre, j'osais aller chercher cette vie qui ne venait pas à moi et j'assumais de la prendre avec méthode et passion exactement comme on prend une fille. Je touchais au centre de l'existence, à ce pourquoi j'avais jusqu'ici vécu sans avoir osé y aller. Aussitôt, tout devenait paradoxe. Les hommes etaient malheureux disaient Pascal, de ne pouvoir rester en leur chambre ? Eh bien tout le malheur des hommes je le voyais était de vouloir jouir de la vie, de vouloir s'abîmer, s'évader, s'oublier. La musculation, l'éducation, le gain d'argent, les belles possessions matérielles, les appuis mondains étaient des potentiels laborieusement amassés, mais ils étaient comme de l'huile dans des outres fatiguées de les contenir et qui ne demandaient qu'à crever, qu'à se répandre, qu'à purger leur trop-plein. Il faudrait ne jamais vouloir se soulager et ne jamais se fatiguer d'amasser, toute la vraie joie est là. À quels tourments nous condamnent, je le voyais, la recherche hédoniste ! À cet homme moderne et maudit qui se gaspille lui-même parce qu'il est seul, habité d'un monde de désir et assiégé d'un monde d'impossibilités. Telle est la cruelle condition des hommes, voilà ce que je comprenais. En-dedans, un besoin total, et en-dehors, une indifférence totale. J'ai beaucoup aimé les auteurs qui ont su exprimer ce moment précis, ce lieu précis de l'existence, ce vrai tête à tête avec les choses, un face à face musculaire, intellectuel, instinctif, spirituel, financier, judiciaire, total, qui engage avec frayeur et ivresse la totalité de votre être qui veut de toutes ses forces faire naître un nouveau monde. Herman Hesse, Dostoievski, London, Morand, Céline. Et plus près de nous, Soral et Cysia Zykie. Alors vous sentez que vous n'êtes pas de taille, que vous êtes faible et fanfaron ou tout du moins, que vous pourrez tenir mais temporairement, qu'il faudra très vite un support, "un lieu où reposer sa tête", une grâce, une aide externe, une réponse à vos tentatives comme une bouée de sauvetage à un naufragé haletant qui s'épuise et s'affole.
J'ai longtemps fait le fou pour sortir de la condition de perdant immobile que nous promettait cette affreuse ville de Grenoble, entre les gauchistes, les fonctionnaires, les étudiants ESC et les racailles. Il a fallu, du moins le croyais-je, il a fallu trouver une bande de fous et de déclassés comme moi, et lancer la machine. Resquiller, voler, cambrioler, siphonner, camper, cogner, attraper, crier, saccager, courir pour sa vie. Plus tard ce fut le Vietnam, Hongkong, Paris, tenter sa chance, forcer la chance. L'argent, la bourgeoisie retrouvée, re-perdue, regagnée, les vestes en cuir et les baskets Dior Homme ancien modèle, les filles qui ont la mèche sur le front et le collant qui s'arrête à la cheville. Planer au-dessus du marécage où s'enfonce le monde impie des indifférents, et parfois se débattre dedans, avec horreur, larmes et rage.
Eh bien je préférais la cantine.
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considermeharmless · 21 days ago
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En Temps et en Étoiles - À la belle étoile
A fun little challenge I gave myself! Translating an In Stars and Time scene (Stargazing with Isabeau) in French! I don't know if something similar already exists..? But hey! It was a funny frenchifying exercise, so I hope you guys will enjoy =v= And to @insertdisc5 J'espère que j'aurai fait honneur à ton superbe jeu et à cette fantastique scène :3
Oh! And if it's enjoyable to anyone else, please send me other scenes you'd like to read in my French way!
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(Tu lèves les yeux vers les étoiles.)
(Tu n'en reconnais aucune.)
Siffrin: "Non, je n'en connais pas."
Isabeau: "Oh."
"... Tu dis que je n'ai pas mis les pieds dans le plat, mais…"
"Sif…"
Siffrin: (Change le sujet.) "Non, non, c'est bon, hahaha !"
"Raconte-moi quelque chose ?"
Isabeau: "Quelque chose ?"
Siffrin: "Quelque chose sur toi."
Isabeau: "Oh, ok! Hm…"
"..."
"Bon, ok, tu sais que je suis de Jouvente, pas vrai ?"
"J'y ai vécu toooooute ma vie !"
"C'est une chouette, grande ville. Avec plus qu'une seule Maison, aussi. Bieeeeen plus grande que Dormont."
"Assez grande pour ne pas connaître la vie entière de chaque personne que tu croises, haha."
"... Bref, tu vas peut-être trouver ça surprenant, j'sais pas…
"Mais quand j'avais l'âge de Bonnie, j'étais genre, le PLUS INTELLIGENT des surdoués du coin."
"Pas légèrement intelligent, ou quoi…
"Mais genre, le gamin le PLUS INTELLO que tu puisses imaginer."
(Oh.)
(Tu as du mal à imaginer Isabeau autrement que comme l'homme exubérant qu'il est.)
Isabeau: "Hah, vraiment imagine ça !"
"Grosses lunettes. Tresses super soignées. Connaissant toujours la réponse aux questions du professeur. Toujours de bonnes notes."
"Toujours trop timide et concentré sur les notes pour savoir comment se faire un ami dans la cour de récréation."
"Ca c'était moi !"
"Et, euh, je ne m'aimais pas vraiment."
"Parce que, et bien j'étais intelligent, mais… Je détestais vraiment être timide. Etre seul. Même pas capable de demander un crayon à un camarade, parce que j'étais trop paralysé par la peur."
"Et j'étais prêt à passer le reste de ma vie comme ça."
"Mais un jour, après des années à vivre comme ça, je me suis regardé, comment j'étais, la façon dont j'existais dans ce monde…"
"J'ai regardé à ce gamin dans le miroir, et je me suis dit…"
"Est-ce que c'est ça ?"
"Est-ce que c'est vraiment qui je veux être ?"
"Est-ce que je ne pourrais pas être quelqu'un d'autre ? Quelqu'un qui peut se faire des amis, quelqu'un que les autres pourraient aimer ? Quelqu'un'un que je pourrais aimer ?
"Quelqu'un que je n'aurais pas honte d'être ?"
"Ne pourrais-je pas juste… Changer ?"
"Et, c'est une des raisons pour lesquelles les gens vont dans les Maisons, tu sais ? Pour apprendre des choses, s'entraîner, pour faire du Façonnement Corporel sur soi…"
"Pour Changer !"
"Et tu peux y rester pendant un moment, et revenir Changé, et personne ne dirait quoi que ce soit. Ils accepteraient simplement la nouvelle personne que tu es devenu."
"Alors je suis allé à une des Maisons de Jouvente et je me suis jeté à l'eau ! Pour essayer d'être la personne la plus cool, forte et fiable qui soit !"
"Soulever des poids ! Entraîner ma voix à être plus grave, plus puissante ! Façonner mon propre corps pour qu'il soit plus cool, plus fort !"
"Me regarder dans le miroir tous les matins et hurler "Je suis le plus cool !!!" !"
"... Le Changement est destruction, tu sais ?"
"Pour initier le Changement, tu dois savoir que tu risques de blesser des gens. Te blesser toi-même, peut-être."
"Donc tu dois toujours être prudent, et te demander si la destruction que tu apportes en vaut le coût."
"J'ai décidé que c'était le cas."
"Alors la personne que j'étais avant…"
"Je l'ai faite disparaître."
"Tuée de mes propres mains."
"Fait en sorte qu'elle ne revienne plus jamais."
"Pour que je puisse vivre."
"..."
"Ah, ça sonne si terrible, quand je le dis comme ça !!!"
"L'enfant que j'étais avant est toujours là ! J'ai juste, euh, grandi autour de lui ? Pour le protéger ?"
"Construire une armure, jusqu'à ce qu'elle devienne réalité ?"
"Pour que je puisse devenir quelqu'un de fort, quelqu'un d'extraverti… Quelqu'un de réconfortant à côtoyer."
"Quelqu'un que j'aurais aimé connaître, avant."
"..."
"Bah. C'est pas si important."
"Je suis là, c'est ce que je veux dire ! Et je m'aime tellement plus qu'avant !"
"Mais même la personne que je suis maintenant est un projet en cours. Je veux toujours Changer."
"Je suis devenu un mec grand, fort, fiable et optimiste, parce que c'est ce que j'avais besoin d'être."
"Mais récemment, je me suis senti comme si j'avais besoin… De laisser tomber un peu la façade d'écervelé ? D'agir moins bêtement, ce genre de truc."
"C'est pas très agréable, quand les gens pensent que je suis stupide, juste parce que j'agis d'une certaine manière."
"Alors, je pourrais peut-être Changer encore bientôt ! Et devenir quelqu'un de légèrement nouveau !"
"Ca sonne cool, hein ?"
(Oh…)
(Tu l'ignorais.)
(Isabeau voulait changer, devenir quelqu'un d'autre, et il l'a fait.)
(Il a dû travailler pendant si longtemps, pour faire de son souhait une réalité…)
Isabeau : "Ha… Je pourrais changer pour être un mélange entre un sportif et un intello."
"Equilibrer les deux, tu vois ?"
Siffrin : (Ha.) "Alors tu vas te changer en intellortif ?"
Isabeau : "Plutôt en sportello ! Ca sonne mieux, non ? Meilleure sensation en bouche."
Siffrin : "Les deux sonnent mal, Isa."
Isabeau : "Nooooon, dis pas ça ! Hahaha !"
Siffrin : "Tu peux être un sportif intelligent."
Isabeau : "Un sportif intelligent… Plutôt avant-gardiste, pas vrai ?"
Isabeau : "E-en tout cas, une fois qu'on aura battu le Roi demain, et qu'on partira chacun de notre côté, je vais juste changer en quelqu'un d'autre !"
"Quelqu'un qui peut être à la fois fort ET intelligent !"
"Les deux à la fois ! Quel concept ! Est-ce que ça ne donne pas l'impression de quelqu'un de cool ?"
"Est-ce que cela ne ressemble pas à quelqu'un que tu n'aurais pas honte de connaître ?"
(Est-ce que c'est ce qu'il pense..?)
Siffrin : "Isa…"
Isabeau : "... Ouais, Sif ?"
Siffrin : "Je n'ai jamais eu honte de te connaître."
"Même pas un petit peu."
Isabeau : "..."
"Ha, tu vas me faire rougir, Sif..!"
"Et… Ben, tu sais que je pense pareil, pas vrai ? Tu es genre, peut-être la personne la plus cool que je connaisse… Tu le sais, non ?"
"Et j'aime vraiment passer du temps avec toi ! Quand on traîne ensemble, je découvre toujours de nouvelles choses, comme des trucs cools sur le théâtre, ou même juste quelque chose de nouveau sur toi,"
"Et j'aime le fait que tu aies toujours un jeu de mots prêt pour n'importe quelle situation,"
"Comment tu respires d'une manière particulière parfois, et j'aimerais pouvoir respirer avec toi pour que tu te sentes mieux,"
"Et j'aime comment ton visage change quand tu manges tes plats préférés,"
"Et je veux te connaître plus,"
"Parler plus avec toi,"
"Rire plus avec toi,"
"Et… Et je…"
"..."
(Tu ne peux pas détourner ton regard de lui.)
Isabeau : "Je…"
"..."
"W-wouah, est ce que c'est une étoile filante ?! Hé, regarde là-haut ! C'est pas génial ?"
(Tu détournes le regard, et tu lèves les yeux vers le ciel étoilé.)
(Il n'y a pas d'étoile filante.)
(Mais ça ne te dérange pas.)
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coovieilledentelle · 5 months ago
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Après les Offices du dimanche, c'est la récréation.... entre frères
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galexico-blog · 4 months ago
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Carl Mydans, navy récréation time WWII
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peut-etre · 9 days ago
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cet hiver : un appartement blanc un lit du travail un corps qui est encore le mien un travail de la neige au bout des bottines des fourmis dans les pieds et au bout des doigts de la paresthésie très peu de sommeil de la caféine de la taurine des mains rouges la grippe une fois deux fois claquer la porte du psychanalyste oublier le psychanalyste la cristallisation une sonnerie à chaque heure des copies des feuilles une énorme photocopieuse des sonneries le travail un réveil un métro un tramway un café à emporter un immense parc une immense verrière au bout du bâtiment quinze minutes entre deux sonneries pour la récréation une grande écharpe être théâtrale grandiloquente excessivement cynique adoratrice du rire tout le monde aux éclats en un demi sourire sarcastique un trousseau de clefs des identifiants des mots de passe des heures de transport les jours de repos manger une poire en silence sur le même banc de la place sous le ciel onctueux un vide un manquement une absence un arrêt une tristesse lancinante parfois un éclatement de rage appuyer le stylo en abîmant la mine s’effondrer hurler dans la baignoire pleurer dans la cuisine des morceaux de verre des produits cosmétiques des griffures et sous mes oreillers des bouts de papier : que tu reviennes pitié que tu reviennes
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selidren · 24 days ago
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Automne 1933 - Champs-les-Sims
3/4
Je n'ai jamais eu moi-même de réels amis d'école, ni même de rivaux. Je suis surtout restée avec mes soeurs et mon frère. Alors j'avoue avoir été totalement désarmée en entendant de la bouche d'Antoine qu'Anna avait des problèmes avec ses camarades de classe, et plus précisément avec sa cousine Elise de Chastel (par le frère d'Ange, Emilien). Anna est une petite fille fière, et il a fallut que sa soeur moucharde pour que j'en entende parler. Et impossible de vraiment savoir les raisons de cette brouille, cela aurait été trop facile !
Quand Ange est allé en parler à son frère, j'avoue que j'avais quelques craintes. Il faut dire qu'ils sont en froid depuis des années, et s'en gardent aux carte de vœux pour les fêtes et les anniversaires. J'avais bien raison, car Ange est revenu rouge de colère en me disant que le ton était monté très rapidement, en même temps que les vieilles rancoeurs, et qu'Emilien a simplement accusé Ange d'essayer de l'atteindre en utilisant sa fille. J'ai été parler à l'institutrice, une jeune femme venue d'Alsace (avec un accent à couper au couteau !) appelée Mademoiselle Yvain, qui m'a assuré qu'elle tiendrai la petite Elise à l'oeil. Nous avons également décidé que quelqu'un irait chercher Anna et Elisabeth à la sortie de l'école tous les soirs, afin d'éviter que la situation ne s'aggrave loin du regard des adultes. Ange et moi-même nous relayons, avec parfois Oncle Adelphe, Aurore, ou même Jean-François quand il est à la maison (inutile de préciser que cela ne l'enchante pas particulièrement).
La naissance de l'enfant de Sélène et Gilberto est imminente, et je pense qu'il sera né avant même ta réponse. Sélène s'est d'ailleurs plutôt bien classé au Grand Chelem cet été, et ce malgré sa grossesse. Le nouveau roman de Cléo sera publié d'ici quelques mois et elle te fait dire que tu en recevras un exemplaire dédicacé.
Je suis très contente d'apprendre que c'est au tour d'Agathon de trouver le bonheur, mais comme tu le soulignes, il est sans doute plus prudent de garder les encouragements et les félicitations pour les noces.
Avec toute mon affection,
Noé
Transcription :
Marc-Antoine « Bonjour mesdemoiselles. Vous avez bien dormi ? Oh, tu n’as pas l’air bien Anna. »
Anna « En fait... »
Elisabeth « Anna veut faire semblant d’être malade pour pas aller à l’école, car elle en a assez qu’Elise l’embête, mais elle n’a pas envie de vous en parler. »
Anna « Elisabeth ! »
Marc-Antoine « On t’embête à l’école ? »
Elisabeth « Oui, Elise se moque d’elle tout le temps. Elle lui dit qu’elle est bête à manger du foin, qu’elle est laide, et elle essaie de lui faire des crocs en jambe dans la cour de récréation quand Mademoiselle Yvain ne regarde pas. Et quand on rentre de l’école à pied, Elise la suit pour l’insulter.»
Marc-Antoine « C’est vrai tout ça Anna ? »
Anna « Heu… oui. »
Marc-Antoine « Et tu n’as rien fait pour susciter un tel comportement ? »
Anna « Mais non ! »
Marc-Antoine « Ce n’est pas normal. Je dois en parler à ta Maman et ton Papa, tu comprends ? »
Anna « Non, je n’ai pas envie. »
Elisabeth « Anna, arrête ! Et si elle te frappe ? »
Marc-Antoine « Elise est votre cousine. Je suis sure que votre Papa peut aller parler au sien, histoire de comprendre ce qu’il se passe. En attendant, je vais m’arranger pour qu’on vienne vous chercher tous les soirs à l’école. »
Anna « Non Oncle Antoine, pas ça ! Elle va me traiter de bébé ! »
Marc-Antoine « Pas après que son père l’ai grondée, crois moi ! Allez, à l’école maintenant ! »
Anna « Traîtresse... »
Elisabeth « J’allais quand même pas la laisser faire ! »
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aurevoirmonty · 3 months ago
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"Les tâches difficiles sont un privilège pour les Surhommes ; jouer avec des fardeaux qui écrasent les autres est une récréation. La connaissance — une forme d'ascèse. Ils sont le type d'homme le plus honorable : cela n'exclut pas qu'ils soient les plus joyeux et les plus bienveillants."
Nietzsche
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marianaillust · 1 year ago
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'La veille du premier match de Quidditch, Hermione, Harry et Ron s'étaient retrouvés dans la cour pendant la récréation. La température était glaciale, mais Hermione avait réussi à fabriquer par un tour de magie un feu vif et clair qu'elle pouvait transporter dans un bocal de confiture et qui répandait une douce chaleur. '
Le Match de Quidditch, Harry Potter à l'école des sorciers .
Tempera à l'œuf
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