#route du soleil
Explore tagged Tumblr posts
learnedfromthepizzaman · 1 year ago
Text
Tumblr media
Nice, Côte D’Azur
11 notes · View notes
satotoshio · 11 months ago
Text
読書
 引き続き世界教養全集を読む。第24巻の最後「たった一人の海 Seul à travers l’Atlantique, A la poursuite du soleil, Sur la route du retour」(アラン・ジェルボー Alain Gerbault 著・近藤等訳)を帰宅後の自宅で読み終わった。  一書にまとめられているが、これは「たった一人の大西洋 Seul à travers l’Atlantique」「太陽を求めて A la poursuite du soleil」「故国への道 Sur la route du retour」という3書の合本(がっぽん)だ。この巻の半分ほどを占める大著である。  子供の頃からこの巻は私の愛読書だったのだが、読んでいたのは「アムンゼン探険誌」 Continue reading Untitled
View On WordPress
0 notes
papillondusublime · 3 days ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
En ce Jour du Souvenir, portons le coquelicot et accordons une minute de silence pour tous les soldats qui se sont sacrifiés pour notre liberté! N'oublions pas non plus d'honorer nos vétérans et ceux qui servent le pays car ils le méritent. En espérant que l'avenir nous apportera des temps de paix, voici un poème de Paul Eluard:
Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Liberté.
24 notes · View notes
coovieilledentelle · 4 months ago
Text
Tumblr media
Bonne route ! Amusez-vous bien, où que vous soyez ce dimanche , profitez du soleil , et vivez de nouvelles aventures heureuses...un cœur ouvert et un esprit joyeux.
39 notes · View notes
mrsines · 3 days ago
Text
Destinée Ensorcelée
Chapitre 3 : Bienvenue sur la route
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
La pièce était enveloppée d'une atmosphère chargée d'anticipation. Les murs, couverts de livres anciens et de symboles mystiques, semblaient vibrer au rythme des pensées d'Ivana. Elle faisait les cent pas, ses pieds glissant légèrement sur le sol en bois poli, tandis qu'Agatha l'observait avec un mélange de bienveillance et d'amusement.
« Ivana, arrête de marcher comme ça, » lança Agatha en s'approchant. « On dirait un enfant de quatre ans qui attend Noël. »
Ivana s'arrêta brusquement, levant les yeux vers Agatha. Son visage trahissait une lutte entre l'anxiété et l'envie de rire. Elle haussait les épaules, un geste à la fois de désespoir et de résignation.
« Je sais, mais c'est quand même stressant comme situation. On attend toutes les autres sorcières, et si quelque chose ne se passe pas comme prévu ? »
Agatha s'approcha un peu plus, une lueur de compréhension dans ses yeux. « Écoute, » répondit Agatha avec fermeté, « chaque sorcière ici a ses propres raisons de vouloir faire partie du coven ne t'en fais pas elle vont venir . »
Ivana hocha lentement la tête, commençant à se détendre sous le regard apaisant de son amie. « D'accord, d'accord.»
La pièce était éclairée par la lumière dorée du soleil couchant qui filtrait à travers les rideaux légers, projetant des motifs délicats sur le sol en bois. Agatha, avec ses cheveux châtains tombant en boucles autour de son visage, se tenait là, les bras croisés, un sourire espiègle sur les lèvres. Elle observait Ivana, qui était assise sur le canapé, ses jambes croisées, trahissant son agitation.
« De toute façon, tu as toujours été impatiente, » lança Agatha, son ton léger, presque taquin.
Ivana lâcha un rire nerveux, une note d'irritation dans sa voix. Elle leva les yeux vers Agatha, ses pupilles sombres reflétant une lueur de défi.
  « Comme si tu avais été présente dans ma vie pour le savoir, » rétorqua-t-elle, un sourire amer se dessinant sur ses lèvres.
Agatha, toujours confiante, haussait les épaules, ses yeux pétillants d'une malice familière. « Oui, j'ai été présente durant une partie de ta vie, » affirma-t-elle, sa voix pleine de conviction.
Ivana, se redressant légèrement, plissa les lèvres, une ombre de tristesse traversant son visage. « Tu ne peux pas juger, vu que tu n'es pas restée longtemps dans ma vie, » dit-elle, sa voix tremblant légèrement.
Agatha, ne se laissant pas abattre, répliqua avec un éclat de rire. « C'est parceque ta très cher mère  m'a jeté un sort. »
Ivana, les poings serrés, sentit une vague de frustration l'envahir. « Ça n'a rien à voir ! Wanda t'a jeté le sort de rester la voisine gentille mais envahissante, donc tu aurait très bien pu continuer à prendre des nouvelles de moi. »
Un silence pesant s'installa alors, rempli de non-dits. Ivana, bien qu'elle ne le formulât pas, se sentait abandonnée par Agatha. La douleur de la solitude s'insinuait en elle, lui rappelant que, malgré les rires et les souvenirs partagés, une distance invisible s'était creusée entre elles. Les souvenirs d'anciens éclats de rire résonnaient dans sa tête, mais la réalité de leur situation actuelle lui pesait lourdement sur le cœur.
Agatha ouvrit la bouche pour répondre à l'accusation d'Ivana, mais avant qu'elle puisse articuler une réponse, la porte du salon s'ouvrit avec fracas. Un groupe de sorcières entra, apportant avec elles une vague d'énergie et d'excitation. La pièce, déjà baignée de lumière dorée, sembla s’illuminer davantage à leur arrivée.
« Désolées pour le retard ! » s'exclama Jen,  sa voix résonnant joyeusement dans l’espace. 
« On a failli être en retard à la réunion, » ajouta Alice, une sorcière à la chevelure noire comme l'ébène, qui s'avança avec assurance. « Mais nous sommes là maintenant, et c’est tout ce qui compte ! »
Ivana, voyant Lucillia entrer dans le groupe, ne put s'empêcher de sourire. La jeune sorcière, bien plus jeune qu'Agatha et les autres, avait un air pétillant et une énergie contagieuse. Elle se tenait un peu en retrait, mais son regard brillant trahissait son enthousiasme. 
☆○o。  。o○☆
Le coven passa le portail scintillant, un frisson d'excitation parcourant l'air. Ils se retrouvèrent soudain dans une forêt enchantée, baignée de lumière dorée. Les arbres, aux troncs tordus et aux feuilles multicolores, semblaient chuchoter des secrets anciens. Des fleurs luminescentes parsemaient le sol, illuminant le chemin de couleurs vives, et des petites créatures aux plumages éclatants voletaient entre les branches, ajoutant à l'atmosphère féerique.
« Regardez cette beauté ! » s'exclama Alice, ses yeux pétillants d'émerveillement alors qu'elle levait les bras comme pour embrasser la magie qui les entourait. 
« Oui sublime. Aller nous devons commencer à marcher. »Dit alors Agatha
À ces mots, le groupe se mit en mouvement, leurs pas résonnant doucement sur le tapis de feuilles croustillantes. Lucillia et Ivana se retrouvèrent en tête, avançant avec curiosité sur le chemin sinueux qui s'étendait devant elles. Le doux parfum des fleurs et le chant des oiseaux créaient une mélodie apaisante. Alors qu'elles avançaient, Lucillia aperçut un détail fascinant.
« Attends, Ivana,  » dit-elle, fascinée, en désignant le cou d'Ivana. « Ton tatouage, cette petite colombe, elle est super belle ! »
Ivana se tourna, un sourire timide illuminant son visage, ses yeux brillants de fierté. « Merci, Lucillia. C'est un symbole de purté pour moi. J'aime l'idée qu'elle me rappelle de rester honnête  même dans les moments difficiles et de ne pas faire les même erreur que ma mère »
À quelques pas derrière, Agatha et Lilia observaient la scène avec une expression moins enthousiaste. Agatha plissa les yeux, un frisson d'inquiétude traversant son esprit. 
« Je n'aime pas ça, » murmura-t-elle à Lilia, sa voix teintée de méfiance. « Elles semblent trop proches, comme si elles oubliaient pourquoi nous sommes ici dit à ta protégé de ne pas s'approcher d'Ivana. »
Lilia hocha la tête, ses pensées s'égarant dans les implications de cette nouvelle amitié. « Ma protégé ? Non mais je rêve. Retiens toi Agatha tu vas finir verte comme la sorcière de l'ouest. » répondit-elle, scrutant les alentours, comme si elle pouvait sentir une présence invisible.
Lilia se tenait légèrement en retrait, observant la dynamique qui se tissait entre Ivana et Lucillia. Bien qu'elle n'ait pas verbalement exprimé son accord avec les inquiétudes d'Agatha, une partie d'elle-même ressentait la même chose. Une tension subtile flottait dans l'air, comme si la forêt elle-même retenait son souffle, attentive à leurs émotions.
Lucillia, avec son sourire radieux et son énergie contagieuse, semblait incarner une lumière qui attirait Lilia. Chaque éclat de rire et chaque geste gracieux de Lucillia éveillaient en elle une curiosité et un désir d'approfondir leur lien. Lilia se sentait attirée par cette connexion inexplicable, comme si elles partageaient un secret que seules elles pouvaient comprendre.
 Lilia, ne pouvait s'empêcher de ressentir une affinité grandissante pour Lucillia, une complice potentielle dans cette aventure magique.
Les couleurs vibrantes de la forêt semblaient refléter son dilemme intérieur. Les feuilles scintillantes dansaient au gré d'une brise légère, et les fleurs luminescentes éclairaient le chemin, tout en symbolisant la beauté et la fragilité des relations. Lilia se demandait si elle pourrait vraiment se permettre de laisser cette connexion avec Lucillia s'évanouir.
Elle se tourna vers Lucillia, qui était en train de ramasser une fleur éclatante, ses yeux brillants d'enthousiasme. Lilia sentit son cœur se serrer à l'idée de perdre cette opportunité. Elle voulait s'ouvrir à cette nouvelle amitié, mais les choses étaient compliqué.
Dans ce moment suspendu, Lilia prit une profonde inspiration, se promettant de trouver un moyen d'équilibrer ses sentiments. Elle se rendit compte que, même si elle n'avait pas encore trouvé les mots pour exprimer son accord avec Agatha, elle ne pouvait ignorer la magie qui se tissait avec Lucillia. La forêt, avec ses mystères et ses merveilles, devenait le témoin silencieux de ce combat intérieur, une toile de fond pour un choix qui pourrait changer le cours de leur aventure.
Agatha se tenait à l'écart, ses yeux rivés sur Ivana, qui riait avec Lucillia au loin. Une vague de mécontentement l'envahit, et elle ne pouvait s'empêcher de ressentir une pointe de jalousie. Leurs rires résonnaient dans l'air, mais pour Agatha, chaque éclat de joie de Lucillia était comme une flèche, transperçant le lien fragile qu'elle partageait avec Ivana.
Elle se remémora son enfance, lorsque le monde semblait plus simple. À l'époque où elle était encore 'Agnes', Agatha avait passé d'innombrables heures avec Ivana, tissant des souvenirs indélébiles. 
Maintenant, en voyant Ivana s'épanouir en tant qu'adulte, Agatha ressentait une lutte intérieure. D'un côté, elle voulait voir Ivana heureuse, mais de l'autre, l'idée que quelqu'un d'autre puisse se rapprocher d'elle la dérangeait profondément. C'était comme si Lucillia menaçait de lui voler une part de ce qu'elle  considéré comme précieux.
Agatha se questionnait sur ses véritables sentiments. Était-ce une simple possessivité, un écho de son attachement d'antan, ou bien une envie plus profonde de garder Ivana pour elle seule ? Cette ambivalence la tourmentait, et elle se sentait tiraillée entre le désir de protéger leur amitié et la peur de perdre Ivana au profit de Lucillia.
Elle observa chaque geste de Lucillia, chaque sourire échangé, et un sentiment d'inquiétude grandissait en elle. Agatha se demandait si elle pouvait vraiment faire confiance à cette nouvelle présence dans la vie d'Ivana. La forêt, témoin silencieux de cette lutte émotionnelle, semblait vibrer autour d'elle, accentuant la tension qui régnait dans son cœur.
☆○o。  。o○☆
La forêt n'était pas vide, loin de là. Une ambiance mystérieuse flottait dans l'air, presque palpable. À l'autre bout de la forêt, un homme se tenait là, silhouette énigmatique au milieu des arbres imposants. Il était vêtu de cuir, une tenue qui épousait parfaitement son corps, lui donnant un air à la fois dangereux et séduisant.
Son manteau noir, long et usé, flottait légèrement autour de lui, comme s'il était en harmonie avec le souffle du vent. Les coutures étaient délicates, ornées de motifs subtils qui semblaient raconter une histoire ancienne. Sous ce manteau, il portait une chemise sombre, et ses pantalons en cuir étaient ajustés, accentuant sa stature imposante.
Son visage était partiellement caché par une ombre, mais ses yeux brillaient d'une lueur malicieuse, presque hypnotique. Il avait des cheveux sombres, légèrement ondulés, qui tombaient sur son front, ajoutant à son allure mystérieuse. La forêt, avec ses bruits de feuilles et ses murmures de créatures, semblait se taire en sa présence, comme si même la nature reconnaissait la puissance qui émanait de lui.
L'homme mystérieux se tenait au milieu de la forêt dense, entouré de grands arbres aux troncs noueux, leurs feuilles bruissant doucement sous le souffle du vent. Soudain, il sentit une présence, une énergie sombre et familière qui envahissait l'air. Les sorcières approchaient, et leur aura maléfique perturbait l'harmonie de la nature autour de lui.
Il ferma les yeux, cherchant à se concentrer, imaginant un accueil horrible à leur donner, une confrontation qui pourrait faire trembler même les plus courageux. Dans son esprit, il voyait des ombres se mouvoir, des rires sinistres résonner dans la nuit.
Tout à coup, il ressentit une chaleur intense dans sa main. Sa dague, toujours à ses côtés, commença à s'illuminer d'une lueur éclatante, projetant des reflets argentés sur son visage marqué par l'angoisse. Le métal scintillait comme s'il était animé d'une vie propre, réagissant à la menace qui approchait.
"Non, c'est impossible..." murmura-t-il, sa voix tremblante trahissant son choc. Il ouvrit les yeux, fixant la dague avec une intensité renouvelée, réalisant que cet éclat n'était pas simplement un phénomène. Cela signifiait quelque chose, une connexion avec les sorcières, un appel à l'action.
Il se redressa, le cœur battant, prêt à affronter ce qui allait venir. L'atmosphère était chargée de tension, et il savait que le moment de la confrontation était proche. Les sorcières, avec leurs rituels et leurs pouvoirs, n'étaient pas là pour négocier. Il devait se préparer à défendre son domaine, à utiliser la force de la dague illuminée pour contrer leur magie.
☆○o。  。o○☆
Le coven avançait prudemment sur le chemin qui leur avait été indiqué, l’atmosphère chargée d’une tension palpable. Les arbres, sombres et tordus, semblaient chuchoter des secrets alors qu’elles progressaient, sans vraiment savoir où cette route les mènerait. Soudain, au loin, une silhouette se dessina : une maison isolée, ses fenêtres sombres comme des yeux vides.
« Il faudrait qu’on entre pour voir ce qui se passe, » proposa Alice, sa voix brisant le silence pesant. Elle se tourna vers ses compagnes, déterminée mais visiblement nerveuse.
Lucillia, les sourcils froncés, n’était pas rassurée par l’idée. « Et si c’est un piège ? » murmura-t-elle, ses yeux scrutant les ombres autour d’elles.
 Mais alors, elle croisa le regard de Lilia, qui lui offrit un sourire apaisant. Ce simple échange lui redonna un peu de courage.Ivana, un peu en retrait, observa Agatha. Leurs yeux se rencontrèrent, et dans cette connexion silencieuse, une compréhension mutuelle s’établit. Agatha, avec un soupçon de bravoure, s’avança vers la porte. Elle prit une profonde inspiration, puis, avec une main ferme, elle saisit la poignée et l’ouvrit lentement. Le grincement de la porte résonna dans l’air frais du crépuscule, ajoutant une note de mystère à leur aventure.
Lorsque les femmes franchirent le seuil de la maison, une atmosphère étrange et fascinante les enveloppa. L’air semblait vibrer autour d’elles, chargé d’une énergie mystérieuse. À peine avaient-elles posé le pied à l’intérieur qu’un éclair de lumière éblouissant jaillit, les enveloppant dans un halo scintillant.
En un instant, leurs vêtements de tous les jours se transformèrent. Les robes colorées et les jupes légères se métamorphosèrent en armures brillantes, ajustées et ornées de motifs guerriers. Les cuirs et les métaux scintillaient sous la lumière, et chaque femme se retrouva vêtue d’une tenue qui évoquait la force et la bravoure.
Ivana :
Tumblr media
Lucillia :
Tumblr media
Le regard d'Agatha se posa immédiatement sur Ivana, captivé par sa présence. La pièce était baignée d'une lumière dorée, et chaque rayon semblait mettre en valeur la beauté d'Ivana. Son visage, délicatement sculpté, affichait un sourire qui illuminait son regard.
Ses cheveux, longs et ondulés, tombaient en cascade sur ses épaules, capturant la lumière et créant un halo autour d'elle. À chaque mouvement, ils semblaient danser, attirant encore plus l'attention d'Agatha.
À cette vue, un sourire involontaire se dessina sur les lèvres d'Agatha. Elle ressentit une montée d'admiration, une chaleur douce qui s'empara de son cœur. Ivana était non seulement belle, mais elle dégageait une sensualité naturelle, une confiance en soi qui la rendait encore plus séduisante. Cependant, cette pensée fit frémir Agatha. Elle secoua la tête, comme pour chasser cette idée de son esprit, consciente que ces sentiments pourraient compliquer leur liens. Son esprit était en émoi, tiraillé entre admiration et la crainte de franchir une ligne qu'elle ne voulait pas dépasser.
Lilia se tenait là, absorbée par la silhouette de Lucillia. Sa tenue de guerrière, faite de cuir et de métal, épousait parfaitement ses formes, accentuant sa beauté naturelle. Les détails de son armure, avec ses ornements délicats et ses inscriptions anciennes, racontaient une histoire de bravoure et de force. Chaque pièce semblait conçue non seulement pour la protéger, mais aussi pour mettre en valeur sa grâce.
Les épaules de Lucillia étaient recouvertes d'épaulières finement travaillées, qui brillaient sous la lumière ambiante, tandis que sa ceinture, ornée de runes mystérieuses, marquait sa taille avec élégance. Lilia ne pouvait s'empêcher de remarquer la façon dont les cheveux de Lucillia, tressés avec soin, tombaient en cascade sur son dos, ajoutant une touche de féminité à sa présence guerrière.
Alors qu'elle observait chaque détail, Lilia ressentit une montée d'émotions qu'elle n'avait pas anticipée. Son cœur battait plus vite et son esprit commença à vagabonder vers des pensées plus intimes, des scénarios qui la faisaient rougir. Elle se reprit rapidement, consciente du chemin que prenaient ses pensées.
Pour détourner son attention, Lilia s'éclaircit la voix et, avec une légèreté feinte, demanda : 
"On doit s'attendre à quoi ?" Cette question, bien qu'anodine, était une tentative de ramener la conversation sur un terrain plus sûr, tout en cachant le tumulte qui régnait dans son esprit.
Alice se tenait au milieu du groupe, ses yeux scrutant les visages des autres, son esprit en proie à l'incertitude. Elle prit une profonde inspiration avant de s'adresser à ses amis.
 "Je ne sais pas du tout," avoua-t-elle, sa voix trahissant une légère tremblement. 
Elle se sentait perdue, comme si les réponses qu'elle cherchait se cachaient dans l'ombre des arbres qui les entouraient.Jen, qui se tenait à côté d'elle, tourna la tête vers Agatha, une lueur d'espoir dans ses yeux. 
"Tu devrais savoir, Agatha," dit-elle avec une certaine impatience. "Tu as déjà fait la route, non ?"
Agatha, les bras croisés, baissa légèrement le regard, semblant peser ses mots. 
"Oui, mais la route change en fonction du Coven," expliqua-t-elle, la voix empreinte de sérieux. "Je ne peux pas vraiment dire ce qui va se passer. Chaque fois, c'est différent."
Les autres échangèrent des regards inquiets, l'atmosphère devenant de plus en plus tendue. Alice sentit son cœur s'accélérer, l'angoisse s'installant dans son estomac.
  "Et si on se perdait ?" demanda-t-elle, la peur transparaissant dans sa voix.
Jen hocha la tête, cherchant à apaiser l'atmosphère. "On va trouver notre chemin, ensemble," ajouta-t-elle avec un sourire encourageant, même si elle-même n'était pas si sûre.
Lucillia avançait lentement vers les étagères poussiéreuses, ses doigts glissant sur les couvertures des livres anciens. L'air était chargé d'une odeur de vieux papier et de cuir, et chaque pas qu'elle faisait semblait résonner dans le silence oppressant de la maison. Elle se pencha pour examiner un tome relié en cuir, ses pages jaunies par le temps, espérant y trouver une solution pour échapper à cet endroit mystérieux.
Pendant ce temps, Ivana, attirée par un objet ancien qui brillait faiblement dans un coin de la pièce, s'approcha avec curiosité. Elle découvrit un couteau au manche délicatement sculpté, dont la lame semblait scintiller sous la lumière tamisée. Elle le prit en main, fascinée par sa beauté. 
"Regardez ça," dit-elle en se tournant vers les autres femmes, un sourire émerveillé sur le visage.
Mais à cet instant précis, un grondement sourd résonna à travers les murs de la maison, et le sol commença à trembler sous leurs pieds. Alice, surprise, leva les yeux vers Ivana, l'inquiétude se lisant sur son visage.
 "Qu'est-ce que tu as fait ?" demanda Alice sa voix trahissant une panique grandissante.
Ivana, un peu déconcertée, secoua la tête. "Rien, j'ai juste pris ça," répondit-elle, levant le couteau pour le montrer, comme si cela pouvait apaiser la situation.
Les murs semblaient vibrer, et des livres tombèrent des étagères, créant un bruit assourdissant. 
"Tu es sûre que ça ne vient pas de ce couteau ?" s'exclama Lucillia, ses yeux écarquillés par la peur.
"Je ne sais pas ! Peut-être que c'est un symbole ou quelque chose comme ça," répondit Ivana, son enthousiasme initial se transformant en nervosité.
Alice, qui observait la scène, intervint. "Mettez-le de côté, Ivana ! Peut-être que c'est dangereux," suggéra-t-elle, sa voix ferme mais teintée d'inquiétude.
Alors que Lucillia, Ivana et Alice reprenaient leur souffle après le tremblement, une lumière éclatante illumina la pièce. Subitement, une femme apparut, ses yeux flamboyants et son visage marqué par une détermination féroce. Elle leva les bras, et une flamme jaillit de sa bouche, illuminant la pièce d'une lueur inquiétante.
"Rendez-moi ce couteau !" cria-t-elle, sa voix résonnant comme un écho dans l'obscurité. 
Les sorcières, terrifiées, échangèrent des regards paniqués avant de se précipiter vers une porte au fond de la pièce.
"Vite ! Dans la chambre !" s'exclama Lucillia, 
Le coven se précipitèrent à l'intérieur, fermant la porte derrière elles juste à temps pour entendre le souffle de feu frapper le bois.
 "C'est ce couteau qu'elle veut !" s'écria Lilia, les yeux brillants d'une détermination nouvelle. "C'est avec ça qu'il faut la battre !"
Ivana, le cœur battant, se tourna vers ses amies. "Dans se cas j'y vais !" déclara-t-elle, sa voix pleine de courage.
Agatha, la plus sage du groupe, s'approcha d'Ivana, posant une main apaisante sur son épaule. 
"Non, attends ! Ce n'est pas une simple bataille. Nous devons réfléchir," tenta-t-elle de la dissuader, son regard sérieux. "Cette femme est puissante. Nous devons trouver un moyen de la neutraliser sans la provoquer davantage tu n'a pas de pouvoir.."
Ivana sentit son cœur se gonfler à ces mots. Elle savait qu'Agatha tenait à elle, mais elle ne voulait pas l'admettre. Elle plongea son regard dans celui d'Agatha, cherchant à déceler la profondeur de ses émotions. Les yeux d'Agatha brillaient d'une lueur protectrice, et Ivana ne pouvait s'empêcher de sourire, même si elle essayait de rester sérieuse.
"Attention, Agatha," commença Ivana, un ton taquin dans la voix. "Si je ne te connaissais pas, je dirais que tu t'inquiètes pour moi." Elle lui fit un clin d'œil espiègle, un éclat de malice illuminant son visage.
vana poussa la porte avec détermination, les gonds grincèrent légèrement, brisant le silence pesant de la pièce. Devant elles se tenait une femme au visage marqué.
"On ne vous a jamais dit que ce n'était pas bon de fumer ?" lança Ivana, sa voix pleine de défi, tandis qu'elle scrutait la femme avec une intensité qui ne laissait pas de place au doute.
La femme, visiblement irritée par le commentaire, esquissa un sourire sinistre avant de cracher une gerbe de feu, une flamme vive qui jaillit de sa bouche comme un dragon en colère.
Ivana, réagissant rapidement, brandit un couteau au-dessus de sa tête, le métal brillant à la lumière vacillante. Un mur de protection avec la lame, un éclat d'acier qui semblait défier les flammes.
À côté d'elle, Lilia tira Lucillia vers elle, l’enveloppant dans un geste protecteur. Elle avait besoin de sentir sa présence, de la savoir à ses côtés face à cette menace. 
"Reste près de moi, Lucillia," murmura-t-elle, sa voix tremblante trahissant son anxiété.
Lucillia, bien que légèrement hésitante, hocha la tête, cherchant du réconfort dans la chaleur de Lilia.Agatha, en retrait, observait la scène avec une angoisse palpable. Ses yeux s'écarquillèrent alors qu'elle voyait les flammes danser, et son cœur battait la chamade.  Elle savait que la situation devenait de plus en plus dangereuse, et chaque instant comptait.
La tension était à son comble, et le combat entre le feu et le métal semblait figé dans le temps, chaque personnage jouant son rôle dans ce drame inattendu.
☆○o。  。o○☆
L'épreuve était enfin terminée, et les sorcières se rassemblaient autour d'un feu de camp crépitant, la lumière dansant sur leurs visages fatigués. Les ombres des arbres environnants semblaient s'étirer et se contorsionner, comme si elles écoutaient attentivement les murmures des sorcières. La chaleur du feu contrastait avec l'air frais de la nuit, apportant un certain réconfort après les épreuves qu'elles venaient de traverser.
Ivana, assise légèrement à l'écart, fixait les flammes avec une intensité troublante. Ses pensées étaient en désordre, un tourbillon d'émotions qu'elle ne parvenait pas à mettre en mots. Les événements récents la hantaient : l'épreuve dans le labyrinthe de flammes, les visions troublantes qu'elle avait rencontrées, et surtout, la réapparition d'Agatha. Pourquoi maintenant ? Pourquoi ici ? Ces questions tourbillonnaient dans son esprit, la laissant perplexe et anxieuse.
Les autres sorcières discutaient à voix basse, partageant des histoires et des rires pour alléger l'atmosphère, mais Ivana se sentait déconnectée. Chaque rire semblait résonner comme un écho lointain, tandis qu'elle se débattait avec ses propres pensées. Elle se rappelait les moments passés avec Agatha, les secrets qu'elles avaient partagés, et la trahison qui avait suivi. La voir à nouveau, vivante et pleine de vie, était à la fois un soulagement et une source de confusion.
Dans son cœur, une question persistait : comment pouvait-elle faire confiance à Agatha après tout ce qui s'était passé ? La réponse lui échappait, et alors qu'elle regardait les étoiles scintiller dans le ciel, elle savait qu'elle devait trouver une solution, non seulement pour elle-même, mais aussi pour le groupe qui comptait sur elle.
Agatha s'approcha d'Ivana, ses pas légers sur le sol recouvert de feuilles mortes, le crépitement du feu de camp en arrière-plan. Elle observa le visage d'Ivana, marqué par l'inquiétude et la fatigue. Les flammes dansaient, projetant des ombres sur son visage, accentuant l'air préoccupé qui l'entourait. Agatha sentit une boule d'inquiétude se former dans sa poitrine. 
Elle s'accroupit près d'Ivana, se penchant légèrement pour lui chuchoter doucement à l'oreille : 
"Qu'est-ce qui ne va pas ?" Sa voix était douce, presque un murmure, comme si elle craignait de briser le fragile silence de la nuit.
Ivana tourna lentement la tête vers elle, ses yeux reflétant une lueur de gratitude mêlée à de la tristesse.
 "Je suis juste fatiguée," répondit-elle, sa voix à peine audible, mais suffisamment claire pour qu'Agatha l'entende. 
Elle lui offrit un fin sourire, un geste qui semblait cacher des montagnes d'émotions non exprimées.Agatha ne pouvait s'empêcher de ressentir une profonde empathie. Elle savait que la fatigue d'Ivana n'était pas seulement physique, mais aussi émotionnelle, le poids des événements récents pesant lourdement sur ses épaules. 
"Je vais me coucher," dit Ivana  en se dirigeant vers un coin plus tranquille, où elle pourrait réfléchir sans être dérangée.
Agatha la regarda s'éloigner, un mélange de préoccupation et de détermination dans son cœur. Elle savait que la nuit serait longue pour Ivana, mais elle espérait qu'avec le temps, elle trouverait la force de partager ses pensées.
Lucillia était assise près de Lilia, le crépitement du feu de camp illuminant leurs visages. Les flammes dansaient, projetant des ombres dansantes autour d'elles, créant une atmosphère chaleureuse malgré la fraîcheur de la nuit. Lucillia tourna la tête vers Lilia, ses yeux brillants de gratitude. 
"Merci d'avoir veillé sur moi pendant l'épreuve," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'émotion. 
Les mots flottaient dans l'air comme des étoiles, et Lilia sentit son cœur se réchauffer à cette reconnaissance.Lilia, touchée par les remerciements de Lucillia, se pencha légèrement en avant. Elle posa une main réconfortante sur le genou de Lucillia, un geste simple mais chargé de sens. 
"C'est normal," répondit-elle avec un sourire chaleureux. "Je veillerai toujours sur toi."
Lucillia leva les yeux, un mélange d'incrédulité et de soulagement sur son visage. "Vraiment ?" demanda-t-elle, sa voix trahissant une vulnérabilité qui la rendait encore plus touchante.
"Tu as ma parole," affirma Lilia, sa voix ferme et pleine de promesse. 
Elle savait que leur amitié était un lien précieux, et elle était prête à tout pour protéger Lucillia. Le feu continuait de crépiter, mais pour elles, ce moment était tout aussi lumineux que les flammes qui les entouraient.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
16 notes · View notes
iranondeaira · 21 days ago
Text
Tumblr media
Les matins brumeux ou les après-midi quand le soleil se reflète sur l'eau du nord-ouest, j'essaie d'imaginer où tu en es dans ta vie, ou ce que tu es en train de faire pendant que je pense à toi.
- Sur la route de Madison
14 notes · View notes
fleur-du-soleil-immortel · 1 year ago
Text
Fleur Du Soleil Immortel
In the once-lively kingdom of Soleil, ruled by a caring royal family, a divine curse plunges the land into eternal rot and winter after their goddess loses her immortality. As the rot spreads, devastating the population and causing famines, the kingdom survives through scarce magic and struggles to sustain itself.
You, a child born out of an affair between Duke Forestier and an unknown mother, are abandoned and hidden away in a small cottage on the Forestier property. Treated as a servant by your own family, you endure years of abuse and neglect.
On your 10th birthday, your elder brother appears at your door, welcoming you into the family. However, life within the household proves to be far from welcoming, as you continue to face mistreatment.
Everything changes when the Emperor orders an arranged marriage between your elder sister and the Second Heir. Unexpectedly, your family sends you instead, thrusting you into a dangerous power struggle between two royals. Now, you must navigate the treacherous court, uncover the truth behind your strange healing abilities, and seek answers about your mysterious mother.
As you strive to survive amidst courtly intrigues, you may discover the key to saving the kingdom or become its very downfall. Will you find happiness and bring hope to Soleil, or will the weight of your circumstances consume you?
Features
Genre: Fantasy, Mystery and Romance 
Rating: 18+ For child abuse, blood, sexually explicit scenes, Self Harm, Drinking, Smoking, Suicidal/depressing thoughts and Death. 
Customize your characters gender, sexuality, appearance, personality, interests ect!
Romance one of 6 possible ROs including poly routes or just befriend them!
Learn the secret to your powers, will you use them to help others or get revenge? 
Support the second heir in their fight for the crown or side with their brother! 
Do charity work and make change, including building a school for commoners!
Romance Options 
Anastasius/Anastasia Soleil The Second Heir 
A is 5'8 [5'1 Female] with a thin and frail body, ghostly pale skin that gives them a sickly appearance, even having a blue tinge. They have straight, snow white hair that stops a little above their shoulders[Waist length Female] that frames a heart shaped face, thick white lashes making their pale blue eyes stand out. They often have dark bags underneath them. Their right arm and left leg had been taken by the rot and are replaced with beautifully crafted prosthetics with Intricate designs, though sometimes they prefer their wheelchair. 
A is a cold and cunning person with a sharp tongue. They can be petty and quick to anger. Due to their poor health they have spent most their life confined to their bed chambers with occasional outings, though they are not to be underestimated as they have eyes and ears everywhere. Many who have crossed them are rumored to have disappeared.
William/Wilma Dufort The Knight 
They are 6’2 with a fit and athletic build from intense training as a knight. They have a warm brown skin with little freckles across an oval shaped face, dimples on each cheek. Light brown coils placed in a low messy ponytail. Vibrant green eyes framed by long thick lashes.
W is a kind and easygoing person, loyal to a fault. They are hardworking, dedicated to their job as a knight. They are friendly, often helping others out whenever they can, especially when it comes to A. They can be rather oblivious despite how many find them attractive. 
Calypso Alarie The Mysterious Mage
They are 5'9[5'6 as female] with Lithe yet fit frame, dark flawless brown skin. They have long black locs often placed in a messy bun. Golden eyes framed by thick lashes and a diamond shaped face. They have a beauty mark under their left eye. Their skin has a natural golden glitter to it.
They spend most of their time researching in the library, a true socially awkward bookworm. They get easily flustered when realizing someone is flirting with them. They can easily lose track of time when it comes to their work. They prefer to observe over interacting.
Asher De La Rue The Servant 
They are 5’9[5'4 Female] with a Lithe body and cool beige skin tone. They have messy obsidian black hair that stops a little past their ears, framing their diamond shaped face[Shoulder length Female) and covers their milky white eyes. 
Asher is a playful, flirty and sarcastic person. They never seem to take anything seriously. They are charming and can talk their way out of almost any trouble.
Liliana/Lillian Petit The Free Spirit
They are 5'4 with fair skin, they have a slender body covered in freckles. They have a heart shaped face with big dark brown doe eyes and messy ginger hair.[Long elaborate braid for female and somewhat short as male]
They are a free spirit, often seen entertaining others through song and dance. They are stubborn yet kind, looking at the world with a cup half full outlook. They are adventurous, often finding themselves in trouble.
Raymond/Ramona Destry Crown Princes Lapdog
They are 6'3 with a muscular build, with scarred olive skin. They have obsidian eyes and a black buzzcut, complementing their diamond shaped face. They have a scar going through their right eyebrow. 
R is arragont. They are extremely quick to anger and resort to violence against those they deem to have wronged them. They absolutely hate studying, unable to sit still long, or stay focused, preferring to be outside training or partaking in a battle or tournament. Despite being referred to as stupid, they are a master at handling weapons and formulating battle strategy. They are considered the Dog of the Crown Prince.
77 notes · View notes
kilfeur · 6 months ago
Text
Tumblr media
J'ai remarqué quelque chose dans cette affiche : c'est que justement le livre que tient Aaravos, on peut voir des griffes et ça m'a fait penser à ceux de Sol Regem. Donc je suis allée vérifier et avant qu'il perde sa vue, ses griffes étaient dorés. Et sur l'arrière du livre, on peut voir une sorte de symbole mais j'arrive pas à voir ce que c'est.
Tumblr media Tumblr media
Quand aux oiseaux, je me demandais ce que c'était jusqu'à me rappeler de celui que Callum a vu avec l'associé du seigneur des corbeaux. Et apparemment ils ont une relation symbolique avec Sol Regem. Donc ouais il va jouer un rôle important dans la saison 6 !
Tumblr media Tumblr media
Et quand à ces petites créatures inconnues qui entourent Aaravos. Ce sont des Will O'Kitt alors on ne sait pas encore ce qu'il sont exactement mais ils semblent réagir au cube. Mais j'aime bien les imaginer en petits esprits de feu pur ! Et puis leur description est assez drôle !
Sinon je remarque quelque chose concernant le bas d'Aaravos, c'est que la manière dont est dessiné sa tunique, on dirait qu'il fusionne avec chaque arcanum. Est ce que c'est ça l'effet que ça fait de pouvoir utiliser plusieurs arcanums ? Pouvoir ne faire qu'un avec lui ?
D'ailleurs la phrase qui l'accompagne fait hausser un sourcil, car il est dit qu'après tout c'est le soleil qui a trahit les étoiles ? Alors c'est soit par rapport au fait que le soleil est justement une étoile. Ou alors ça pourrait suggérer qu'il s'est passé quelque chose entre Aditi et Aaravos. Et que ça coïncidera justement avec sa disparition ! Pour ce qui est de la disparition de Lunas Tenebris, je me souviens en avoir parlé avec @konmaao3 et on avait suggéré qu'il était possible qu'Aaravos et Kim'Dael s'étaient unis pour se débarrasser d'Aditi et de Luna Tenebris. Kim'Dael s'occupant de la reine des dragons et Aaravos d'Aditi. Après ce n'est que pur spéculation ! Si ça se trouve, on a fait fausse route. Mais ça seule la saison 6 nous le dira.
I noticed something in this poster: you can see the claws on the book Aaravos is holding, and it reminded me of Sol Regem's claws. So I went to check and before he lost his sight, his claws were gold. And on the back of the book, you can see some kind of symbol, but I can't make out what it is.
As for the birds, I wondered what they were until I remembered the one Callum saw with the crow lord's associate. And apparently they have a symbolic relationship with Sol Regem. So yeah he's going to play an important role in season 6!
And as for those unknown little creatures surrounding Aaravos. They're Will O'Kitt, so we don't know exactly what they are yet, but they seem to react to the cube. But I like to imagine them as little spirits of pure fire! And their description is pretty funny!
Moreover, the sentence that accompanies it makes me raise an eyebrow, because it says that after all it was the sun that betrayed the stars? So it could be that the sun is a star. Or it could suggest that there was something going on between Aditi and Aaravos. And that it coincides with his disappearance! As for the disappearance of Lunas Tenebris, I remember talking about it with konmaao3 and we suggested that it was possible that Aaravos and Kim'Dael had joined forces to get rid of Aditi and Luna Tenebris. Kim'Dael taking care of the dragon queen and Aaravos of Aditi. Of course, this is pure speculation! Maybe we headed off on the wrong track. But only season 6 will tell.
26 notes · View notes
coulisses-onirisme · 7 days ago
Text
Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom
Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom
Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom
Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom
Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom
Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom
Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom
Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom
Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom
Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom
Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer
Liberté.
Paul Eluard
Poésie et vérité 1942 (recueil clandestin) Au rendez-vous allemand (1945, Les Editions de Minuit)
8 notes · View notes
smalltalksrp · 8 months ago
Text
Tumblr media
Annapolis (Maryland) Le jour se lève. Avec lui, le soleil et des milliers de destinées en attente d’être réalisées. Le quotidien aussi. Balades dans les rues historiques ou sur les plages, les pieds enfouis dans le sable chaud. Des baisers envoyés aux gamins en route pour l’école. Se préparer à affronter une nouvelle journée, le sourire un peu forcé au bord des lèvres, pour faire publier les traits tirés et mieux dissimuler les petits secrets. Personne n’a besoin de savoir. NOYER L’ESSENTIEL dans les petits bavardages entre voisins, collègues et connaissances. Donner l’impression de maîtriser. JAMAIS UN MOT PLUS HAUT QUE L’AUTRE Le cœur sur la main, toujours. ensemble, on est plus forts. Jamais laisser voir les petites fissures abîmer le tableau. Jusqu’à ce que la nuit tombe. Quand les volets sont tirés et les portes barrées. Quand les masques tombent et quand l’on se croit seul, seul au monde, mais surtout seul face à soi-même.
SMALL TALKS, c’est l’histoire d’une ville historique implantée sur la côte Atlantique des Etats-Unis, dans le Maryland. Délibérément ouvert et vague, le contexte du forum est voué à évoluer au fil des intrigues et désirs de ses membres, que ce soit de manière douce ou chaotique !
22 notes · View notes
coolvieilledentelle · 1 year ago
Text
Tumblr media
Décembre est la fin qui ressemble à un début. Décembre remplit nos cœurs de miséricorde et d'humilité. Décembre est le temps des miracles, le temps des contes de fées, le temps de la magie et des cadeaux. Un cadeau que nous avons attendu toute l'année. Parfois le plus cher à notre coeur. Une série de moments magiques pour les familles. Les gestes du cœur, l'affection, la chaleur du mois de décembre sont disposés de manière tentante dans le collier le plus exquis. Un collier qui illumine l'arrière-plan enneigé et réfracte nos rayons de soleil préférés dans un arc-en-ciel coloré d'espoirs pour un début coloré. Décembre brille de toutes les couleurs sur le fond blanc… Comme une feuille sur laquelle on écrit les moments passés et les projets d'avenir… entre les lignes du bilan. L'évaluation pour savoir si nous avons été bons, si nous avons été plus heureux au cours de l'année écoulée, ce que nous serons au cours de la nouvelle année… Nous colorons de nouveaux rêves, et ce que nous voulons oublier reste sous la ligne. Nous effaçons les attentes erronées pour faire de la place dans nos yeux pour de nouveaux couchers de soleil magnifiques , mais seulement pour les retrouver après des levers de soleil encore plus beaux. Décembre est la flamme dans la cheminée, qui est allumée par les étincelles de nos sourires, par l'affection dans nos yeux, par les mains tendues avec gratitude. Décembre a la couleur de l'amour et du vin rouge. Il nous enivre au fil des jours du calendrier. Et il nous rend réels. Il nous fait revivre nos souvenirs d'enfance. Il nous donne de l'humanité, de la foi, de l'espoir et du partage ! Décembre est notre prière… Ne pas être seul ! Soyons meilleurs ! Que nos enfants soient plus heureux ! Que nos proches soient en bonne santé ! Que nos cœurs soient pleins ! Que la route soit lumineuse ! Les gens - bénis… Qu'il en soit ainsi !
Charlotte
51 notes · View notes
satotoshio · 1 year ago
Text
読書
 引き続き60年前の古書、平凡社の世界教養全集を読んでいる。  最近、漫画などを読んでいるので、こちらの方は休み休みなのだが、しかし、少しずつ読み進めている。  第24巻の第2作目、「人間の土地 Terre des hommes(サン・テクジュペリ Antoine de Saint-Exupéry 著・堀口大学訳)」を読み終わった。読み終わったのは東京駅八重洲中央口にあるバー「The Old…
View On WordPress
0 notes
papillondusublime · 2 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Je n'étais qu'une enfant (poésie écrite à l'occasion de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation) Je n'étais qu'une enfant quand ils m’ont dérobé La lueur dans mes yeux. L’ombre m'a enrobée. Vous, hommes habitant les terres canadiennes, Sachez qu'auparavant elles étaient les miennes! Pensez à mon peuple quand le sol québécois Taché de notre sang vous offre blé et bois. Vous parlez du bonheur d'antan et moi j'entends Un chant du cygne dans mon cœur indépendant. Dans l'école résidentielle, on m’a coupée De culture et tribu. L’Histoire est leur épée. Ils m’ont dit: « Obéis et tu iras au ciel! » Avec mes cheveux longs, ils m’ont coupé les ailes. Mes camarades aux deux esprits, malaimés, Dans un placard obscur ils les ont enfermés. Ils aiment leur prochain, leurs prochaines victimes, Ces « chrétiens » dont le Christ est à tort éponyme. Occidentaux, partez! Ne versez pas de larmes En baissant le regard et les bras, pas les armes. Mes sœurs sur la route seize, Joyce Echaquan Et mes ancêtres dans leur tombe vous condamnent. Le racisme et l'injustice, main dans la main, Aiguisent leur lame aux marées hautes sans frein. En toussant, est craché mon pus comme mes frères Par les blancs, écume croyant boire la mer. Ce pays plongé dans l’ordre et loi du silence, Je n’ai que l’oreille du gouffre des souffrances. Sans connaître ma langue, est étouffée ma voix; Sans pow-wow, je prie mais en la vie seule ai foi.
Mort, ne me retiens plus! Moi, je garde en mémoire Que je suis née pour la lutte, pour la victoire. Ma nation est une armée de survivants N’abandonnant ni ses enfants, ni ses parents. Ma mère, guerrière, est brave et réconforte. Devant elle, quelle Amazone est assez forte? Agile comme un cerf, rusée comme un renard, Puissante comme un ours, la chasse est son grand art. Sur mon père noyant dans l'alcool son chagrin Se posera, telle la rosée du matin, Un nouvel avenir. Quoi, il pleuvra des cordes? C’est pour qu’aigle et tortue y grimpent sans discorde. Des cordes, des planches... Combien en faut-il pour Construire un pont vers le pardon et vrai amour? Le soleil d’un totem se lèvera un jour Sur tous, qu’ils turluttent ou frappent un tambour. Alors, nos corps et cœurs dansant au même rythme, Dans le cercle sacré se rejoindront nos rites. Nous partagerons le calumet de la paix, Québécois d’icitte et d’ailleurs, dans le respect.
9 notes · View notes
jeanchrisosme · 9 months ago
Text
J'ai aimé connaitre ton autre monde, tes blessures et ta langue inconnue. J'ai aimé recommencer le monde avec toi, jusqu'à l'aube nouvelle. J'ai aimé tous nos instants : du premier regard jusqu’à la dernière étincelle. De la seconde où nos cœurs se sont reconnus, jusqu’aux heures où le feu et l'eau s'avouent un amour impossible. J’ai aimé apprendre de notre rencontre et de nos chemins divergents. J’ai aimé les heures calmes, les minutes folles, les chemins de nos peut-être, quand mes étoiles s'accrochaient à ton ciel. J’ai aimé tes colères, tes doutes, ta tendresse et tous tes murmures de lumières. J’ai aimé tes mains sur mes rides, les pas déjà faits, les mots jamais dits, entre la nuit et l'aurore, sur le bord de l’instant et partout où tu rêvais. J’ai aimé notre premier film, notre dernier train et même tous les lieux où l’on ne sera jamais. J’ai aimé tes gestes maladroits, tes éclats de rire et j’aime quand tu sais que tu dors encore au creux de ma mémoire… J’aime ces souvenirs qui viennent de toutes ces années où je t’attendais. Quand, avec toi, je ne voulais que des premières fois. J’aime parcourir nos instants et les rêves et demi, les graver en moi à l’échelle du temps. Retrouver dans le parfum des fleurs cette idée de nous qui fige nos instants d’éternité. Des paupières d'étoiles, à l'ombre de tes cils, la chaleur de mes mains sur ta peau attentive. J'aime te voir sourire et dessiner au crayon de mes nuits, un rêve où tout m’éblouit. J’aime les étoiles que tu mets à côté du soleil quand je te vois partout. Dans la neige et la pluie, au milieu de mes orages. Dans le sourire des mères quand elles portent la vie. Dans tous les rêves des enfants devant les premiers bruits du monde. Entre les lignes et dans la marge. Dans le blanc, le noir et toutes les couleurs qui prennent feu. Dans les matins qui m’attendent, quand je ne sais plus où je commence et où tu finis. Entre les uns et les autres, entre l'espace que tu laisses et le temps qui nous reste. J'aime tes mots. Quand, venus d’un hasard, l'alphabet conduit au verbe aimer, tes mots redressent les ratures et soulèvent la ligne d’horizon. J’aime tes appels, du premier pas, jusqu’à la dernier syllabe. J’aime même les silences qui les précédent, quand tu te tais pour me dire l’essentiel. J'aime quand tu reviens, quand tu retrouves ma route et que tu rêves plus fort que le destin. Même si c’est pour me dire que ton cœur bat de l'aile et qu’il ne sait plus voler. Et que le passé et le présent coïncident rarement…
21 notes · View notes
mrsines · 7 days ago
Note
salut :)) pour votre écriture, peut-être vingt-et-un avec agatha? seulement si vous voulez le faire bien sûr <3
Avec plaisir
Agatha regardait Lilia, qui feuilletait une liste soigneusement écrite, ses sourcils froncés de concentration. Reader figurait en haut de cette liste, un nom qui, pour Agatha, évoquait des souvenirs mêlés de complicité et de trahison.
Agatha sentait son cœur se serrer à l'idée de retrouver Reader. Leur amitié avait autrefois été une source de lumière dans sa vie, mais la trahison qu'elle avait commise en essayant de lui prendre sa magie avait laissé des cicatrices indélébiles. Pourtant, étonnamment, Reader n’avait pas mal réagi à l'invitation au sabbat, ce qui la troublait encore plus.
Sur la route, Agatha avançait lentement, l'esprit assiégé par une multitude de questions. Chaque pas semblait plus lourd que le précédent, et l'angoisse s'accumulait en elle. Elle se demandait si Reader avait vraiment oublié le passé ou si elle jouait un jeu plus complexe. L'idée que Reader puisse se venger la dérangeait.
Les pensées d'Agatha tourbillonnaient, entre la peur de la confrontation et le désir de réparer ce qui avait été brisé. Le souffle du vent sur son visage était un rappel constant de la réalité qui l'attendait. La lumière du soleil déclinant projetait des ombres dansantes autour d'elle, comme si la forêt elle-même était témoin de son dilemme intérieur.
Agatha se tenait à l’écart du groupe, isolée dans un coin ombragé de la forêt. Les arbres, avec leurs troncs noueux et leurs feuilles bruissantes, semblaient l'entourer d'une barrière naturelle, mais la solitude ne lui apportait pas de réconfort. Le vent frais caressait son visage, portant avec lui une sensation d’inquiétude qui s’immisçait dans son esprit. Elle connaissait Reader par cœur, chaque nuance de son caractère, chaque ombre de sa colère. C’était une connaissance à la fois précieuse et terrifiante.
Alors qu'Agatha se perdait dans ses pensées, elle sentit une présence familière s'approcher. Reader apparaissait lentement entre les arbres, ses mouvements fluides trahissant une détermination palpable. Les yeux d'Agatha se plongèrent dans ceux de Reader, et elle y lut la colère qui brûlait encore. C'était une colère qui pouvait consumer, qui pouvait détruire tout sur son passage. Agatha se sentit frémir, une légère tremblement parcourant ses membres, alors qu'elle réalisait l'intensité de l'émotion qui émanait de Reader.
Reader avançait avec une assurance tranquille, chaque pas résonnant comme un écho dans le silence pesant qui les entourait. Agatha, bien qu'elle ait tenté de se préparer à cette rencontre, ne pouvait s'empêcher de ressentir une vague d'angoisse. Quelles pensées obscures se tramaient dans l'esprit de Reader ? Quelles intentions cachées se dissimulaient derrière ce visage familier ?
Le vent se leva, soulevant quelques feuilles mortes autour d'Agatha, comme pour lui rappeler la fragilité de la situation. Elle pouvait presque sentir l’électricité dans l’air, une tension palpable qui annonçait la tempête à venir. Reader s'approchait toujours, et Agatha, piégée par son regard, se sentait à la fois attirée et repoussée. La peur de la vengeance de Reader, de sa capacité à faire du mal, l’envahissait. Elle était là, seule face à la tempête d'émotions qui menaçait de les engloutir toutes les deux.
Agatha se tenait là, le cœur battant, tandis que Reader s'approchait lentement, sa silhouette se découpant contre la lumière tamisée qui filtrait à travers les branches des arbres. Reader pencha la tête sur le côté, ses yeux scrutant Agatha avec une intensité déconcertante.
"Pourquoi trembles-tu ?" demanda Reader, sa voix douce mais ferme, comme une caresse sur la peau d'Agatha.
Agatha, prise au piège par cette question, hésita un instant. Elle ne pouvait pas avouer sa peur, alors elle opta pour un mensonge.
"C'est le froid," murmura-t-elle, sa voix à peine audible.
Reader s'approcha encore, réduisant l'espace entre elles, plongeant son regard dans celui d'Agatha. Un frisson parcourut le corps d'Agatha alors que Reader effleurait délicatement le contour de son visage avec un doigt.
"Tu n'as jamais su me mentir," dit Reader, son ton empreint d'une douce reproche. "Ne me dis pas que tu as peur ?"
Agatha était perdue, en proie à un tourbillon d'émotions. Malgré la peur qui l'envahissait, elle appréciait la proximité de Reader, cette connexion qui les liait d'une manière inexplicable. Reader, comme si elle avait perçu ce conflit intérieur, se pencha et murmura près de l'oreille d'Agatha :
"Ne t'inquiète pas. Je ne compte pas te tuer. Contrairement à toi, je ne fais pas de mal aux gens que j'aime."
Ces mots résonnèrent dans l'esprit d'Agatha, mêlant soulagement et confusion. Reader s'éloigna alors, laissant Agatha dans un état d'égarement, tandis qu'elle rejoignait les autres sorcières, emportant avec elle une part de l'incertitude qui habitait Agatha.
13 notes · View notes
mailamoon · 11 months ago
Text
Pour bien finir l'année, voici une petite fantaisie inspirée par l'AU Lyon de @sibmakesart. One Piece dans la capitale de la gastronomie française, Sanji alsacien, Zoro breton ❤️
Pour les francophones qui passent par ici, je vous invite à aller visiter son Tumblr, elle est super douée et son délire sur Lyon est absolument délectable (moi je plonge dedans les yeux fermés !).
C'est parti pour une petite soirée lyonnaise avec nos pirates préférés !
Un soir à Lyon...
Au cœur de la nuit, dans la ruelle, une porte s’ouvrit, laissant de la lumière éclairer la rue sombre. Un jeune homme en franchit le seuil en s’allumant une cigarette, un sac en plastique à la main.
- Hé, l’aubergine, tu sors cette nuit ? Lança une voix autoritaire depuis l’intérieur.
Le jeune homme se retourna en soufflant sa fumée.
- En quoi ça t’intéresse vieux shnock ? Fit-il d’un ton ennuyé.
- Encore ce breton ?
- C’est pas tes oignons.
- Ah, claqua la voix, fais gaffe à toi !
- C’est ça, bonne soirée, àbgenutzdi.
-HÉ !
Le jeune homme referma la porte sans attendre de savoir ce que l’autre voulait répondre. Il regarda autour de lui, visiblement à la recherche de quelque chose, mais la ruelle était déserte. Un soupir bruyant quitta ses lèvres et il grommela quelque chose qui ressemblait à « encore en retard dawer säckel de breton ». Il donna un coup de pied à une cannette qui traînait tristement sur l’asphalte. Une sonnerie retentit de sa poche et il en sortit son téléphone.
- Allo ?
- Allo, Sanji ? Fit une voie féminine.
- Nami ! T’as pas vu Zoro ?
- Beeeeh si, justement, c’est pour ça que je t’appelle.
- Il est avec vous ? Demanda-t-il en entendant Usopp et Luffy se disputer derrière elle.
- Non il est pas… TAISEZ-VOUS ! Putain, j’essaie de parler au téléphone ! Je te disais, non il n’est pas avec nous. Il m'a dit qu’il devait passer te prendre à la fin du service mais il a fait tomber son portable dans le Rhône cet après-midi. Je sais que t’avais enregistré les coordonnées du bouchon dedans…
Sanji leva les yeux au ciel.
- Donc il est perdu ?
- Tu le connais, il n’est pas capable de distinguer sa gauche de sa droite. Bref, je voulais juste te prévenir, pas que tu l’attende et… VOUS ALLEZ VOUS CALMER ! LES VOISINS VONT ENCORE APPELER LES FLICS SI VOUS CONTINUEZ ! Pardon Sanji, je te laisse.
La communication se coupa.
-GOPFERDAMMI ! Cria Sanji en donnant un coup de poing dans le vide. Il tira rageusement sur sa cigarette. C’était GRAND Lyon, qui sait où ce connard de primate avait bien pu aller ?!
Sanji se mit en route, la nuit promettait d’être longue.
C’est au petit matin que l’alsacien retrouva enfin le breton. Après avoir parcouru la ville de long en large et en travers. Après avoir espéré que non, non, non ce bon à rien ne s’était quand même pas aventuré dans les sous-sols de Lyon… Il avançait enfin vers lui.
Zoro était accoudé à la rambarde de Fourvière en train de contempler les rayons du soleil qui commençaient timidement à pointer le bout de leurs nez sur la ville.
Après de longues heures de recherches, Sanji sentait une certaine fatigue gagner ses jambes. Il s’avança sans bruit derrière son petit ami.
- Hé, nixnutz !
L’homme aux cheveux vert ne sursauta même pas. Il tourna la tête vers Sanji. Malgré ses yeux cernés, un sourire éclaira son visage.
- Te voilà enfin cuistot !
Sanji roula des yeux. L’autre lui sortait ça comme si cette fichue basilique avait été leur point de rendez-vous depuis le début. Il appuya son dos contre la rambarde en frôlant le coude de Zoro.
- Tu m’as encore fais courir, fit-il en s’allumant une cigarette et en soufflant sa fumée dans l’air cristallin du petit matin.
- Genaoueg ! Je savais que t’arriverais à me retrouver.
Sanji lui tendit le sac qu’il avait transporté avec lui la moitié de la nuit. Zoro l’ouvrit pour y trouver une bouteille de chouchen et des bretzels enveloppés dans un papier kraft. Il prit la bouteille et sortit de sa poche un couteau suisse pour la déboucher.
- Pas de verre. Constata-t-il.
- Non, pas de verre. J’ai pas envie qu’on en casse d’autres. Le vieux va encore criser si les stocks continuent de diminuer.
Zoro porta la bouteille à sa bouche pour boire au goulot. La saveur lui rappelait sa région. Il passa ensuite le chouchen à Sanji qui bu à son tour.
- La prochaine fois j’amène du schnaps.
- C’est quoi ça ?
- C’est plus fort, ça devrait te plaire. Même si je préfère un bon pinot gris vieille vignes…
- Qu’est-ce que tu marmonne ?
Le blond lui sourit et, sans un mot, s’avança vers lui pour l’enlacer en collant son corps au sien. Ils s’embrassèrent puis s’appuyèrent de nouveau à la rambarde, coude à coude en se passant le chouchen et les bretzels. Ils restèrent là à regarder le lever de soleil sur Lyon en savourant ce petit déjeuner alcoolisé improvisé.
37 notes · View notes