#robe tunique
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US Vogue April 15, 1960
Two black and white dresses by Roberto Capucci, on the black and white pedestrian crossing in Piazza di Spagna. On the left, Nina Devos wears a strapless tunic dress in white cotton with black ottoman stripes. On the right, Simone d'Aillencourt in a black Ottoman tunic dress; white striped petticoat, belt. "Roman Glow" makeup by Eve de Rome.
Deux robes en noir et blanc de Roberto Capucci, sur le passage pour piétons en noir et blanc de la Piazza di Spagna. À gauche, Nina Devos porte une robe tunique sans bretelles en coton blanc à rayures noires ottoman. À droite, Simone d'Aillencourt dans une robe tunique ottomane noire; jupon à rayures blanches, ceinture. Maquillage "Roman Glow" par Eve de Rome.
Photo William Klein
vogue archive
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L'Art et la mode, no. 45, vol. 38, 10 novembre 1917, Paris. A la comédie-française: L'Autre Danger. Dessin de Meignoz. Bibliothèque nationale de France
Mme Bartet.
Robe en mousseline blanche sur fond de satin rose, garnie de broderie d'argent.
White muslin dress on a pink satin background, trimmed with silver embroidery.
—
Mlle Robinne.
Robe en satin "vert Empire", brodée "argent"; tunique de tulle "vert Empire"; roses rouges et girandole de perles sur les bras.
"Empire green" satin dress, embroidered "silver"; "Empire green" tulle tunic; red roses and pearl garland on the arms.
—
Mlle Maille.
Robe en satin "rose ancien", garnie de broderie "vieux rouge" et "or".
“Old pink” satin dress, trimmed with “old red” and “gold” embroidery.
#L'Art et la mode#20th century#1910s#1917#on this day#November 10#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#gown#evening#theatre#costume#Modèles de chez#Meignoz
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Robe de jeune fille 1914
Les Modes (Paris) January 1914 Mlle Marguerite Carèze, du Théâtre de la Porte-Saint-Martin, dans le Ruisseau, habillée par Réverdot.Robe de jeune fille en voile ninon blanc. Tunique plissée, jupe drapée.
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Flufftober 2024 : "Comment t'es habillé ?", "C'est le jour de la lessive !"
15 octobre
« Comment t'es habillé ? », « C'est le jour de la lessive ! » ("What are you wearing ?", "It's laundry day !")
Ophélie & Octavio (La passe-miroir)
Ophélie demeura déconcertée sur le pas de la porte d'Octavio lorsqu'elle vit ce que Seconde portait. C'était une sorte de tunique courte à fleurs, avec en plus un short de lointaine station balnéaire et enfin, un collant noir en-dessous. Ça n'avait aucun sens.
L'adolescente, bien sûr, n'en avait cure. Elle fonça joyeusement à travers la maison, salua la nouvelle venue d'un mouvement de main, sa chaîne en or se balançant entre son sourcil et son nez. Après quoi, elle écarta la moustiquaire et sortit dans le jardin, effrayant du même coup une volée de perroquets.
«Seconde ! l'appela la voix d'Octavio depuis la cuisine. Quand je t'ai dit que tu pourrais m'aider à ranger tout ce qui traîne, ce n'est pas exactly ce que j'avais en tête ! »
Il s'interrompit net en découvrant son amie, dont l'écharpe était en train de balayer les plumes d'aras qui avaient pénétré dans le hall d'entrée. Ophélie haussa davantage les sourcils d'étonnement, sans pouvoir s'en empêcher. Les vêtements d'Octavio avaient encore moins de logique que ceux de sa sœur : une blouse boutonnée jusqu'en haut, une veste par-dessus et le pantalon qu'il portait au conservatoire de la Bonne Famille. Celui qui, normalement, n'était assorti qu'à une redingote bleu nuit et des bottes ornées d'ailes d'avant-coureur. Spontanément, l'Animiste lança un :
« Comment t'es habillé ?
-C'est le jour de la lessive ! se défendit Octavio en rangeant sa bouteille de produit pour les vitres dans la poche de sa blouse. »
Comme ils s'étaient jamais dit au revoir du temps où leurs vies étaient incertaines et compliquées, ils ne se souhaitaient jamais le bonjour non plus. Cet écart à la politesse était également dû, cette fois, dans le cas d'Ophélie, à la mine totalement déboussolée de son ami. Octavio n'avait certes pas l'habitude de devoir choisir ses propres vêtements et ceux de sa sœur : autrefois, Babel possédait un code extrêmement stricte en ce qui concernait les accoutrements de chacun. Comme il n'était plus question de faire de distinction entre les différentes nationalités de l'ancienne arche, les Babéliens ne se vêtaient plus systématiquement de toges colorées selon leur rang dans la société. Ophélie voulait bien croire que toutes celles de Seconde et d'Octavio étaient au sale, mais était-ce une raison pour paniquer et s'affubler de choses n'ayant même pas de rapport avec la météo ?
« Même moi qui ait tendance à porter la première robe me tombant sous la main, je n'aurais jamais combiné autant de pièces différentes, admit-elle en se laissant tomber sur le canapé de son ami. Tu veux de l'aide pour ta lessive ?
-Well, si je me souviens bien, tu n'es pas la meilleure en ce qui concerne les tâches ménagères, fit valoir Octavio en venant s'installer à côté d'elle. Mais peut-être as-tu une ou deux robes à prêter à Seconde.
-J'ai bien peur que non. Mon petit frère et mes petites sœurs me dépassent déjà d'une bonne tête et je suis toujours plus grande que Seconde. Mais, en ce qui te concerne…
-… Oui. Je crois que je vois perfectly où tu veux en venir. »
Octavio et elle avaient exactement la même taille et pratiquement la même silhouette. Les redingotes de la Bonne Famille ne laissaient pas beaucoup de place aux rondeurs de toute façon, il n'aurait aucun mal à porter la sienne.
« Merci, soupira le Visionnaire en se passant la main dans les cheveux. J'avoue que ça me dépannerait énormément. Du côté de l'habillement, je préférais clearly comme c'était avant !
-Ne t'inquiète pas, sourit Ophélie tandis que l'écharpe se posait sur son épaule. Je demanderai aussi à Thorn de te montrer comme on entretient une maison. Le recours aux automates pour les tâches de haute nécessité uniquement a dû vous porter préjudice. »
Octavio réussit, sans qu'elle sache trop comment, à lui retourner un regard déconfit et en même temps un petit sourire.
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More images of 1913 fashion -
1913 Ethel Mary, née Bell-Irving, later 15th Countess of Lauderdale by Samuel Henry William Llewellyn (Thirlestane Castle - Lauder, Berwickshire, UK) From centuriespast.tumblr.com/post/148847411164/ethel-mary-18911970-15th-countess-of 815X1200.
Left 1913 Gazette du Bon Ton "Le Conseiller des Dames Robe et Manteau pour le Theatre" by Barbier 643X844.
Right 1913 Gazette du Bon Ton "Tais-Toi Mon Coeur!… Robe de lingerie de Doeuillet 1913 Gazette du Bon Ton "Le Marriage au Chateau" by Brissaud artophile.com 750X1011.
1913 Gazette du Bon Ton "Le Marriage au Chateau" by Brissaud. From artophile.com 1797X1125.
Left 1913 Journal des Dames et des Modes "Manteau de velours frappe citron. Col velours blance et Renard blanc" by Dammy. From artophile.com 750X1189.
Center 1913 Journal des Dames et des Modes "Mantelet de taffetas a la vieille garni de chenille verte - Manchon brode de perles". From artophile.com 757X1200.
Right 1913 Journal des Dames et des Modes "Parure d'Hermine et Putois". From artophile.com 701X1200.
1913 Lady, traditionally identified as Rosa Lewis by Frank Moss Bennett (auctioned by Christie's). From their Web site 906X1904.
Left 1913 Journal des Dames et des Modes "Robe de charmeuse blance a tunique de mousseline de soie violette brodee de perl et bordee de skunks. Manteau de velours etrusque" by Pichenot artophile.com 750X1197.
Right 1913 Journal des Dames et des Modes "Robe de charmeuse nore avec corsage et panier formes d'un obi drape" by Barbier artophile.com 734X1200.
1913 Madame Jean Maillard-Norbert by Léon François Comerre (location ?). From tumblr.com/eirene; fixed most obvious spots w Pshop 1332X3072.
1913 Lina Bilitis with Two Pekinese by Giovanni Boldini (location ?). From Amber Tree's photostream on flickr 1510X2872.
1913 Madame Michelham by Giovanni Boldini (location ?). From wikiart.org-en-giovanni-boldini-madame-michelham-1913 1589X2356 @72.
1913 María Teresa González del Valle by Nicanor Piñole (Fundación Banco Santander - Madrid, Spain). From artsandculture.google.com; fixed spots w Pshop 2036X2698.
1913 Señora, amiga de Mr. Ryan by Joaquín Sorolla y Bástida (Museo Nacional de Bellas Artes - La Habana, Cuba). From joaquin-sorolla.blogspot.com/search/label/Retrato%20de%20Señora 1191X1600.
1913 Evening dress of Vera Karakhan by House of Paul Poiret (Hermitage). From tumblr.com/antiquebee/731802632464875520?.
Left 1913 (June issue) La Gazette du Bon Ton, "Je Suis Perdue Robe d'été de Chéruit" tumblr.com/mote-historie/729728522325753856/pierre-brissaud-je-suis-perdue-robe-d%C3%A9t%C3%A9-de?source=share&.
Center 1913 La Mode cover art La Mode par Boué Soeurs by George Barbier. From tumblr.com/mote-historie/731263453639196672/george-barbier-la-mode-par-bou%C3%A9-soeurs-french?source=share&.
Right 1913 Les Modes Dinner Dresses by Gustave Beer. From tumblr.com/mote-historie/731172312816254976/dinner-dresses-by-beer-1913?source=share& 1975X2861
Left 1913 Tanzerin by Julie Wolfthorn (location ?). From tumblr.com/random-brushstrokes 727X1024.
Right 1913 Anastasia Mikhailovna de Torby, Philip de László (location ?). From tumblr.com/la-belle-histoire/745161897381445633/portrait-of-anastasia-mikhailovna-de-torby-philip? 608X960.
Left ca. 1913 Dame in een zwarte strompeljapon met kant by anonymous (Rijksmuseum). From their Web site; fixed flaws & spots w Pshop 3542X5395.
Right ca. 1913 Dame in een geel/groen geruite strompeljapon by anonymous (Rijksmuseum). From their Web site; fixed flaws & spots Pshop 3476X5328; fixed flaws & spots w Pshop 3645X5328
#1913 fashion#1910s fashion#Belle Époque fashion#Edwardian fashion#Ethel Mary Bell-Irving#Samuel Henry William Llewellyn#George Barbier#pochoir#Pierre Brissaud#Robert Dammy#Rosa Lewis#Frank Moss Bennett#Robert Pichenot#Jean Maillard-Norbert#Léon François Comerre#Lina Bilitis#Giovanni Boldini#Madame Michelham#María Teresa González del Valle#Nicanor Piñole#Joaquín Sorolla y Bástida#Julie Wolfthorn#Vera Karakhan#Poiret#evening dress#Chéruit#day dress#parasol#small hat#Beer
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Women's dresses, 1922.
Les Idées Nouvelles | New Ideas
Robe-manteau. La tunique-jaquette en tissu chenillé deux tons pose sur un fond de perllaine blanche.
Une robe de velours-chiffon, émeraude, avec col et bas de manches en broderie de chenille ajourée. Ceinture de gayolithe.
Du drap blanc, des biais de satin émeraude coupés de bandes de ruban laqué noir, pour cette autre robe.
Coat dress. The tunic-jacket in two-tone chenille fabric sits over a perliane white sequined underdress.
A velvet-chiffon dress, emerald, with collar and cuffs in openwork chenille embroidery. Galalith belt.
White cloth, emerald bias cut satin with diagonal strips of black glossy ribbon, for this other dress.
Galalith is a specific type of plastic often used in fashion and accessories (think buttons, beads, combs, etc).
Bias cut fabric is when fabric is cut at a 45 degree angle to the weave of the fabric, rather than horizontally or vertically along the weave.
#fashion plates#historical fashion#clothing#women's fashion#dress#nationality: french#20th century#century: 1900s#era: roaring twenties#green#year: 1922#decade: 1920s#era: années folles#era: interwar#publication: les idées nouvelles#white#black#emerald#colour illustration#day wear#casual#fashion illustration#historical fashion advertisements#op's favourites
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Le mariage
Le soleil se couchait lentement à l'horizon, illuminant le ciel de teintes rougeoyantes alors que les Volturi se préparaient pour un événement exceptionnel à Volterra. Didyme, la sœur d'Aro et femme de Marcus, allait enfin épouser son bien-aimé dans une cérémonie grandiose et mystique.
La place principale de Volterra était décorée de guirlandes de fleurs exotiques et de lanternes scintillantes, créant une atmosphère magique pour cette union si attendue. Les invités, vampires venus des quatre coins du monde, étaient impatients d'assister à ce mariage si particulier.
Marcus, vêtu d'une tunique blanche immaculée, attendait avec impatience l'arrivée de sa future épouse. Lorsqu'elle apparut devant lui, rayonnante dans une robe de soie argentée brodée de perles, il fut ébloui par sa beauté et sa grâce. Didyme, elle-même, était émue aux larmes en regardant celui qu'elle aimait depuis des siècles.
La cérémonie débuta dans un silence solennel, alors que Aro prononçait les vœux sacrés qui uniraient pour l'éternité les deux amants. Les alliances furent échangées, scellant ainsi leur union pour toute l'éternité. Les invités applaudirent à cette déclaration d'amour éternel.
La soirée se poursuivit dans la liesse et la bonne humeur, alors que les vampires profitaient de la fête organisée en l'honneur des mariés. Des humains furent conduits devant le couple, qui mangea avec appétit sur de la musique envoûtante. Didyme et Marcus dansèrent ensemble, tournoyant sur la piste de danse sous les étoiles scintillantes.
Lorsque la nuit tomba enfin, les mariés se retirèrent dans leur demeure privée, entourés de l'amour et des bénédictions de leurs proches.
Le mariage de Didyme et Marcus resterait gravé dans les mémoires de tous ceux qui y avaient assisté, une célébration de l'amour pur et immortel qui avait uni deux âmes destinées à être ensemble pour l'éternité.
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Bonjour Titiou, vous êtes oracle, poétesse lyrique et potinière au forum. Après avoir récité plusieurs harangues contre le mariage devant de nombreuses jeunes patriciennes, vous revenez avec un pamphlet intitulé Mon concubin et l’argent. Comment vous est venu ce réquisitoire ?
Dès l’enfance, les garçons reçoivent plus d’argent que les filles, auxquelles on offre plutôt des cadeaux : robes, bracelets, tuniques, esclaves… Par la suite, les hommes obtiennent des carrières rémunératrices : questeur, haruspice, consul, légionnaire, préfet, et cœtera. Leurs épouses sont obligées de se contenter des revenus du domaine, d’élever leurs enfants, filer la laine et se divertir. Il faut aussi compter tout le temps qu’elles doivent passer à superviser les serviteurs. On constate par ailleurs une tendance plus forte au concubinage, où l’homme reste libre de l’usage de son patrimoine. Ce système bénéficie toujours à celui qui a le plus.
Vous évoquez la « théorie du pot de yaourt » dans votre ouvrage. En quoi consiste-t-elle ?
Je prends souvent l’exemple d’Octavia et Marcus : Octavia n’a que la dot accordée par son père, elle en tire moins de rentes que Marcus ne touche de prébendes et, à l’arrivée du deuxième enfant, ils songent à changer de char. C’est Marcus qui achète le char et les chevaux ou les rembourse seul au prêteur. Pour compenser, Octavia lui prépare d’excellents yaourts au miel ou au garum. Au moment où ils se répudient, Marcus récupère le char qu’il a payé alors qu’Octavia n’a plus que les restes de sa dot, sa laine, ses domestiques et ses pots de lait caillé. Dans un couple, le plus petit revenu (la femme) est donc celui qui a le plus intérêt à s’assurer une sécurité économique : par exemple, pour l’achat d’un char, acheter les brides et les licols (quitte à moins faire de yaourts pour avoir le temps de choisir les bijoux équestres les plus luxueux possibles), afin de se constituer un petit patrimoine.
Selon vous, la nouvelle génération est-elle en train de casser les codes ?
À Rome, la situation des femmes va en s’aggravant parce qu’il y a un décalage entre la loi qui estime que les gens vivent selon les mos majorum, dans la communauté des biens, et la manière dont ils vivent réellement (en ne se mariant plus et en privilégiant le concubinage). L’écart entre les membres d’un couple continue de se faire au détriment des femmes. Les femmes font moins de tâches ménagères grâce aux esclaves mais ce sont toujours elles qui les prennent en charge. En revanche les mouvements comme #MeQuoque contribuent à une prise de conscience. Il faut déconstruire les stéréotypes virilistes !
Avez-vous constaté des contre-exemples à votre démonstration ?
En général, les concubines se reconnaissent beaucoup dans le théorème du pot de yaourt. Il y a évidemment des contre-exemples. Ma cousine Athenais m’a fait porter ce message : « Merci, je ne savais pas tout cela. Je vais hâter mon mariage. » Elle n’a pas compris... Je ne comprends pas.
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Yves Saint Laurent Spring/Summer 1962 Haute Couture Collection. Dorothy McGowan in soft white wool tunic dress, waist scarf, stiff white felt bonnet. Photo William Klein.
Yves Saint Laurent Collection Haute Couture Printemps/Été 1962. Dorothy McGowan en robe tunique en laine blanche douce, écharpe à la taille, bonnet de feutre blanc rigide. Photo William Klein.
#yves saint laurent#collection haute couture#french designer#french style#fashion 60s#1962#spring/summer#printemps/été#dorothea mcgowan#william klein#afternoon dress#robe d'après midi#tunic dress#robe tunique#wool dress#robe en laine
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Robe du soir 1911
Les Modes (Paris) May 1911 Robe du soir—Marguerite Becker, Suc de Emma & Marie Weille, 18, avenue de l’Opéra.
Robe en liberty « capucine » voilée d’une tunique de mousseline de soie « bleu nuit », avec large entre-deux noir brodé de blanc.
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Here we go again...
Ça faisait loooooongtemps l'équipe ! Me revoilà après avoir ouvert un dossier perdu sur le bordel de mon ordi intitulé "FICS" et boum je tombe sur cette pépite hehehe! On est toujours sur cet ✨AU multilanguage kt ✨j'espère que ça va vous plaire, n'hésitez pas à partager vos idées et vos critiques ! 🤟 Voilà, kiffez bien votre lecture les djeunes !
Le jour qu'elle avait tant attendu arrivait enfin.
Son cœur battait à la chamade dans sa poitrine, tout le monde la regardait s’avancer vers l’autel. Elle souriait, ravie, impatiente, nerveuse. Tous les représentants des terres celtes étaient venus en Carmélide pour son mariage ; elle était épiée, chaque geste, chaque pas étaient méticuleusement observés, détailler. Elle n’était pas belle, elle le savait, mais elle se sentait fière. Fière d'��tre la digne fille de sa mère et de son père ; celle qu'on avait choisi pour l'Élu des Dieux. En silence elle leur adressa une prière ancienne, espérant être à la hauteur de ce qu'on attendait d'elle. Son fiancé était là, habillé d’une tunique bleu ciel, la couronne de fleur posée sur sa tête, son air bougon, agacé, ses cheveux noirs, coupé court, tellement différent des hommes d’ici.
Elle arriva à sa hauteur, mais n’osa pas rencontrer son regard. C'était encore un geste trop démesuré pour elle. Devant eux, le prêtre s’avança, vêtu d’une longue robe sombre, et d’une lourde croix pendant à son cou. Il avait un calice doré entre ses mains.
« Au commencement, le Seigneur Dieu dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul. » Il prononça lentement, pesant contre sa langue le poids de ses mots.
Ghenifar ne connaissait pas les rites ou les coutumes des chrétiens. Sa mère crachait sur leur pratiques barbare et austère. Son père n’en pensait pas mieux. Son enfance avait été bercée de contes et de légendes ; des Dieux puissants qui se transformaient en rivières ou en forêt, des géants qui siégeaient au sommet des plus hautes montagnes, et qui observaient les Hommes avec compassion et une certaine forme de sévérité. Créatures omniprésentes, toujours parmi eux, témoins silencieux. Ils étaient impétueux et sa famille lui avait appris à craindre la foudre, à lire les signes des sécheresses, les corbeaux morts qui annoncent la peste, les hivers trop rudes qui présagent la guerre. Elle obéissait aux croyances de sa mère et de son peuple.
Le prêtre continuait son sermon dans cette langue bizarre, aux sonorités écorchées, aigües ; la dévotion dans ses paroles et dans ses yeux rendait son discours presque touchant.
Ghenifar s’agita, inconfortable ; elle tritura nerveusement la manche de sa robe de noce, inquiète de ce que les Dieux pensèrent d’elle. Ils la foudroieraient sur place si elle prêtait un serment à une icône factice. Elle essaya discrètement de faire signe à sa mère qui se tenait à sa gauche. Cette dernière hocha la tête, grande Reine-Guerrière, elle ne fléchira pas devant les envahisseurs et leur idole de bois. Mais aujourd’hui, les Éternels feront exception pour le bien du peuple celte.
Ghenifar retourna son attention sur la cérémonie. L’homme, qui se fait appeler « Père » par les invités, approcha le verre des lèvres de son époux. Il prit une gorgée, avant un soupir.
« Le sang du Christ. » Confia le prêtre devant elle, lui tendant la coupe où reposait un breuvage odorant et ocre à l’intérieur.
Ghenifar ne comprenait pas les mots, mais elle obéit. Les druides de son pays faisaient ça aussi, ils partageaient dans une jatte plate le sang d’un animal sacrifié et ils le buvaient chacun leur tour, subissant la prophétie envoyée. Dans ces croyances, ce n'était pas anodin, le sacrifice d'un être vivant était nécessaire seulement pour mes fêtes importantes ou avant les batailles décisives. Ici, les gens boivent du sang comme d'autres boiraient-ils du vin ou du lait... Les druides ne prenaient jamais part, ils n'avaient pas de chef, ils servaient les Dieux. Pourquoi alors cet homme que tous appelle "Père" est au service du Roi ? Ghenifar eu soudainement une boulé d'angoisse logée au dessus de sa poitrine, le prêtre était peut-être un mauvais présage, il apporte le dieu usurpateur... Mais tout le monde attendait, impatiemment, elle devait faire comme eux.
Elle fut surprise quand elle prit une lampée du liquide âpre qui puait le vinaigre. C’était du vin. Elle ne put retenir une grimace, le goût infect restait sur sa langue et descendait dans sa gorge. Ce n'était pas du sang. Son futur époux l’observa, étonné de sa réaction, mais il eut un demi-sourire amusé.
Ghenifar ne put s’empêcher de rougir.
Le prêtre reprit, dans une voix monotone et solennelle. « Vous avez écouté La parole de Dieu qui a révélé aux Hommes le sens de l’amour et du mariage. Vous allez vous engager l’un envers l’autre. »
Son époux leva les yeux au ciel, marmonna quelque chose entre ses dents, ses iris sombres ne masquant rien de son agacement absolu. « Oui, bon, allez, grouillez-vous, on n’a pas toute la journée… »
« Je peux pas aller plus vite c’est les codes ! »
« Vous savez où je les mets vos codes à la con ? » Il menaça, la mâchoire crispée par sa colère contenue.
Des murmures se propagèrent dans l’assemblée. Outré, le prêtre semblait avoir les yeux qui sortaient de son crâne. Il souffla un « Enfin Sire ! » en faisant un signe de croix sur son cœur.
Ghenifar restait muette, elle observait la scène sans en saisir le sens. Les coutumes chrétiennes étaient particulières. Dans sa famille, la foi était pratiquée par des chants et des danses. On appelait les Dieux à rejoindre les festivités, les gens voulaient les honorés par des jeux et d’immense banquet.
Arthrhy se tourna vers elle et enfin leurs yeux se rencontrèrent. Ghenifar resta suspendue à ses lèvres, observant méticuleusement son futur époux prononcé des mots en brittonique pour que tous ici puis comprendre son affection. Tous allaient être témoins du début de la plus belle histoire d’amour jamais écrite. Elle était si heureuse d’entendre ses vœux, et son cœur s’envolait comme un oiseau libre et fou.
« Aujourd’hui, Naofa Gwenhwÿfar… » Il n’arriva pas à terminer sa phrase ; les mots avaient pourri sur sa langue et l’odeur amère de la trahison emplissait ses narines. Il la regarda un instant. Elle était d’une beauté attendrissante, presque triste. Elle aussi portait une couronne de fleurs sur ses cheveux bruns, quelques pétales s’étaient perdues dans ses boucles, son visage rond à peine sorti de l’adolescence, ses grands yeux noisette, pétillant d’une joie immense. Elle était trop jeune pour être une épouse, pour être Reine. En déclarant ses vœux d’un mariage éternel et heureux, Arthrhy la condamnait à une vie bien malheureuse. Il avait honte. « Je vous prends pour être ma femme. » Il eut le temps d’une inspiration, les mensonges collaient à sa langue et son palais, il avait l’impression de s’étouffer. La dernière fois qu’il avait prononcé ses mots, c’était par amour et non par devoir. Il trahissait Aconia, et il trahissait cette jeune femme dont il ne connaissait que le nom. Tout les Dieux, anciens et nouveau, devraient le maudirent à l’instant pour son impunité. « Je promets de vous aimer pour le meilleur, pour le pire, dans la maladie ou dans la santé, jusqu’à ce que la mort nous sépare. » Il termina rapidement son scandaleux mensonge, le cœur serré dans sa poitrine.
Lui qui avait cru être un homme intègre, loyal et juste… Il était comme tous les autres ; avide de pouvoir, ce mariage n’était qu’une passerelle pour affermir son privilège sur le trône de Bretagne. Il n’était qu’un menteur, un lâche. Il n’avait rien de l’étoffe des héros et des rois de légende. Ses poings se serrèrent, et sa mâchoire se crispa. Il aurait voulu hurler de rage, mais il resta droit, digne de l’image que le peuple avait d’un souverain. Son règne commençait et le poids sur ses épaules était déjà incommensurable.
Le roi Léodagan se racla la gorge, il était légèrement embarrassé.
« Ma fille ne parle pas brittonique, sire. »
« Elle peut le dire en sa langue natale, ce n’est pas important. » Répondit le Roi, indifférent.
Les mots rassurants, mais autoritaires de son père lui parvinrent ; un ordre força le serment hors de sa bouche. C’était à son tour de prononcer les vœux qui l’uniraient à jamais à cet homme.
Ghenifar était terrorisée, ses lèvres tremblèrent, le sang pulsait dans ses veines à une cadence vertigineuse. Elle n’avait pas la force d’élever les yeux, elle fixa le médaillon de son époux, et elle serrait si fort le bouquet dans ses mains que les fleurs elles-mêmes vacillaient. Ce n'était que des mots, elle les avait apprit par cœur dès son enfance, sa mère lui récitait en coiffant ses cheveux indociles, elle répétait "un jour, ma fille, tu épousera un homme, et tu nous rendra fière." Elle avait vécu avec cette épée au bord de la gorge. Elle était une fille, elle devinerait femme et mère, c'était son devoir. Maintenant, elle devait prouver son héritage de femme. Rendre ses parents fiers, être digne. Elle avait presque envie de pleurer et s'enfuir en courant.
« Tha mi… Tha mi… » Elle regarda ses parents qui lui firent un signe impatient de continuer. « Tha mi a' mionnachadh… » Ghenifar balbutia, effrayée du son de sa propre voix dans le silence respectueux de la cérémonie. Toutes ces hommes et ces femmes qui écoutaient son élocution bancale, incertaine, proférer des paroles sacrées, elle était indigne de ce qu’on lui donnait. Elle devina son visage écarlate, ses joues en feu. Ses yeux se levèrent, acte absurde et maladroit, mais elle vit le regard de son époux, sincère et patient. Quelque chose se dénoua dans ses entrailles, libéra sa gorge, et elle sentit les mots coulés hors de ses lèvres avec sérénité et douceur.
« ‘S mi-mionnachadh air sith 's air gaol a bhi seasamh. Cridhe gu cridhe 's làmh an làimh. Gus an diugh, gu m’ anail mu dheireadh, cha bhi mi ach leatsa. » Elle lui jura un dévouement éternel avec une conviction troublante, Arthrhy en avait mal au cœur.
L’épouse qu’on lui avait promise était une âme douce, innocente, charmante. Il regrettait de ne jamais pouvoir l’aimer ni de lui offrir ce qu’elle désirait.
Le prêtre posa sa paume à plat sur sa croix, sans dissimuler son émotion. C’était un mariage réussi, contrairement au précédent qu’il avait eu le malheur d'officier…
«Le Créateur dit : Voilà pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu’un. » Il déclama à l’assemblée, captive par les Saintes Écritures. « Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! »
Des invités applaudirent, des convertis chrétiens, ou des amateurs de belles paroles. La famille de la mariée ne semblait pas autant ravie par ces déclarations. Le Roi de Carmélide maugréait dans sa barbe et tapait du pied. Un païen reste un païen. Les paroles des chrétiens ne valaient rien, et le Roi de Carmélide ne se laisserai pas duper. Il cracha derrière son épaule, ces Dieux à lui maudissaient déjà cette union. Mais pour le pouvoir, il fallait faire des sacrifices, même si c'était sa fille qu'il déposait devant l'autel du jugement. C'était elle qui subirait les conséquences de l'avarice de ses parents...
« Vous pouvez embrasser la mariée. » Le prêtre Blaise frappa dans ses mains joyeusement.
« Hein ? Quoi ? » Demandèrent à l’unisson Arthrhy ainsi que le père de l’épousée.
« Bah, c’est dans le livre, il faut que… »
« Devant tout le monde ? » Le Roi s’exclama, le bout des oreilles rouges, et il essaya de toutes ses forces de ne pas prendre compte du fou rire de Léodagan.
« Bah Sire… C’est pour prouver que votre amour est — »
« Ah non, ne commencez pas ! Bon bah… »
Arthrhy ne savait plus où poser son regard, déconcerté, il marmonna une insulte envers le prêtre, ou Dieu, ou peut-être lui-même.
Ghenifar tourna la tête vers ses parents, cherchant une réponse auprès d’eux, mais son père se tenait les côtes pour ne pas rire, sa figure transformée par une grimace. Sa mère, avec une discrétion immense, murmura de sorte que tous les invités pouvaient l’entendre « Feumaidh tu pòg ris ! » Ghenifar était rouge jusqu’à la racine de ses cheveux.
Arthrhy prit les mains de sa femme dans les siennes. Ce n’était qu’un baiser, rien de bien compliqué. Il avança légèrement son visage vers elle, et il avait l’impression que son cœur tremblait. C’était elle qui franchit la dernière limite, un peu brutalement, leurs bouches se rencontrèrent, comme un choc. Le monde se mit à gronder des hurrahs et autres acclamations des invités. Ghenifar sentait le soleil fondre dans son ventre et l’irradier de lumière et de bonheur.
Arthrhy s’éloigna rapidement sans considérer celle qui venait de devenir sienne, son visage fermé dans une expression rude. Il gagnait un royaume, un peuple obéissant et soumis à son pouvoir indiscutable. Son destin était lancé, et pourtant il était vaincu. Il avait perdu.
Elle le suivit du regard, interdite devant l’autel, son bouquet à la main, ses rêves plein les yeux. Elle comprit sa place : aux premières loges du début d’une tragédie.
Les paroles du prêtre résonnaient dans sa tête comme un avertissement, un oracle ombrageux. Les dés étaient jetés ; elle eut comme un vertige, au fond d'elle-même, elle sombrait. Elle devait enterrer cette enfance candide et son adolescence naïve, pour devenir Autre. Elle s’était liée à un homme, le peuple voulait d’elle la bénédiction de porter ses héritiers, cette figure fidèle et inébranlable aux côtés d’un roi tout puissant. Voilà son rôle, épouse et mère. Un devoir qui lui semblait effroyable, impossible. Le monde comptait sur elle pour accomplir une tâche épouvantable et colossale. Elle prit une profonde inspiration, essayant vainement de calmer les battements hystériques de son cœur. Elle savait ce qui l’attendait désormais.
La nuit de noces.
#hahahhaha#j'adore ce texte je suis navrée mais je suis grâce fière#guenièvre ma puce tu mérites tellement mieux#cet Au me passionne pour la différence de la langue / impossibilité de communiqué#mais surtout la différence de religion et de culturelle#genre historiquement c'est trop intéressant#et tout ça vu par le prisme de la relation de ces deux loulous#je vais essayer d'être plus régulière dans la répartition de ces one shot parce que j'ai retrouvé pleeeeeeeein d'idée#kaamelott#arthur x guenièvre#arthur pendragon#guenièvre#mention spécial à léodagan de souffrir en direct du mariage de sa fille#et aussi au père Blaise de bien faire son Taff pour une fois#guesswhogotanamefics#kaamelott AU#kaamelott multilanguage AU#original writing#one shot#fanfic
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Leçon sur les faux amis dans la mode aujourd'hui !
Et non, je ne parle pas des collègues qui vous plantent un couteau dans le dos quand vous travaillez chez Camaïeu, je vous parle de linguistique !
Commençons par le plus simple : une jaquette est une veste cintrée, portée exclusivement par les hommes.
ceci est une jaquette. Observez comme elle descend dans le dos. Très élégant.
A Jacket en revanche ? C'est juste une veste banale. ça peut être une veste en cuir, un manteau, une parka...
Maintenant, voyons la blouse !
En français, une blouse est un survêtement porté dans les laboratoires et les ateliers de peinture pour se protéger des taches de choses diverses et variées.
En anglais, a blouse désigne un chemisier, particulièrement un chemisier féminin.
Une veste est un vêtement d'extérieur qui ne descend pas plus bas que la taille
A vest est un vêtement du dessus sans manches. Peut être aussi bien ceci :
que ceci !
A robe est un peignoir (ou assimilés. Il me semble qu'une chasuble de prêtre ou les espèces de longues tuniques que portent les sorciers dans Harry Potter sont appelées robes également)
Une robe est un vêtement typiquement féminin comme ceci
A camisole est un maillot de corps (les québecois l'utilisent aussi comme ça) tandis qu'une camisole de force est un moyen de restreindre les forcenés (straightjacket. ceux qui ont lu Dracula Daily savent que Renfield en a porté au moins une fois).
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27 octobre
hier soir à la konschthal je me suis fait une nouvelle fan que je trouvais adorable, elle avait des taches de rousseur discrètes et elle portait une robe-tunique à capuche en lamé argenté qui brillait de mille feux par dessus son pantalon et quand je lisais elle se mettait tout près de moi pour bien m'entendre, elle souriait en m'écoutant et parfois elle réagissait à voix haute. à la fin elle m'a dit qu'elle était désolée mais qu'elle pouvait pas s'en empêcher. avant d'oser me parler elle m'a regardée pendant un moment en me souriant. à l'open mic plus tard j'ai lu marrons glacés pour la première fois et une version non chantée de ma chanson de saturne accompagnée par les musiciens. je crois que je préfère la version non chantée. je meurs d'envie de la poser sur du synthé. j'ai noté que j'étais la seule à avoir eu droit à une acclamation vocale, avec les musiciens, validation validation validation. aimez-moi aimez-moi aimez-moi. mais en regardant les musiciens jouer, en voyant l'engouement qu'ils suscitaient, je me disais que vraiment, aucun artiste n'a de chance face aux musiciens. zéro chance. non pas que ce soit une compétition, ou même qu'il y ait un intérêt à les comparer, mais la musique est la magie ultime de la vie sur terre, ou de l'univers je sais pas, et les musiciens détiennent un pouvoir que nul autre ne possède, c'est tout.
à la fin de la soirée j'étais assise par terre sur un coussin avec la tête allongée sur le rebord de la fenêtre pour me laisser bercer par le musicien qui jouait de l'oud et du violon quand c. m'a fait signe de le rejoindre sur un banc où il discutait avec une fille, il m'a dit t'étais toute seule là-bas... comme si c'était triste, et puis il s'est levé et il m'a laissée seule avec la fille qui, il s'avérait, travaillait DANS UN STUDIO D'ANIMATION. j'ai sauté sur l'occasion pour lui parler de mon scénario et elle m'a donné plein de conseils (quels studios contacter pour la 2D, les rencontrer pour discuter avant de leur envoyer le scénario pour voir où je mets les pieds, bien leur dire que je suis luxembourgeoise parce que ça aide, aller aux journées de l'animation du lux film fest en mars pour rencontrer les gens qui comptent et OSER).
voilà je me suis forcée à commencer par les trucs positifs mais: derrière le micro je sentais que je me faisais engloutir par la timidité de nouveau. la danseuse argentine de bruxelles m'avait dit que ma timidité faisait partie de ma performance, que j'en jouais et que ça marchait à fond, mais là je sentais que j'avais aucun contrôle dessus, je me faisais manger. j'ai dit mon texte comme je voulais le dire, ma diction et mon rythme sont bons, et j'ai aucune gêne à leur parler de masturbation cryptée et de ce qui se passe entre mes cuisses, mais physiquement je suis pas à l'aise, pas libre, je reste rigide, j'arrive pas à regarder les gens et à la fin je disparais très vite de la scène comme si j'avais honte, comme si je méritais pas les applaudissements, encore cette histoire de je le mérite pas.
maman est venue me chercher parce qu'elle voulait entendre l'oud, encore une fois les musiciens l'emportent sur l'écriture, elle voulait voir l'oud mais pas moi sa propre fille, et puis dans la voiture la conversation a glissé vers Le Gros Truc Qui Cloche et je me suis de nouveau dit que j'arriverai à rien tant que je me serai pas réglée, parce que je prends toute la place, je suis occupée par ce truc, ce mystère, cette chose qui me dérègle depuis que j'ai à peu près dix ans, et ça m'empêche de me concentrer sur autre chose. comme les autres par exemple. hier soir j'ai participé à l'atelier d'écriture de c. sans vraiment y participer et je gribouillais des trous sur ma feuille en écoutant les musiciens et j'ai commencé à écrire un texte sur un trou, UN TROU, tous mes textes parlent du trou, d'une manière ou d'une autre, parce qu'il aspire tout, c'est un trou noir. je suis occupée par un trou noir.
29 octobre
hier à bruxelles j'étais censée aller à une lecture d'ariana reines avec une femme de 45 ans qui avait répondu à mon appel sur ig et elle avait l'air vraiment super cool, elle devait aller à la manif pour la palestine avant et je devais la rejoindre à la librairie, mais un peu après six heures je lui ai envoyé un message enroulée dans le plaid sur le lit de m. en train d'écouter le nouvel album de taylor swift pour lui dire que je pouvais pas venir parce que je commençais à avoir des crampes et elle a dit ah zut et je m'en voulais tellement, mais 1. c'était au dessus de mes forces de prendre le bus pour traverser la ville et puis de rentrer seule la nuit alors que je le fais tout le temps puisque je suis tout le temps seule, mais là je savais que j'avais aussi la possibilité de passer tranquillement la soirée au resto avec maman et m. et j'ai pas su résister, et puis 2. j'étais un peu intimidée par elle et j'avais peur de pas savoir quoi dire et de passer pour une idiote inculte. à chaque fois que je fais un truc comme ça, que je me défile, je me dis que j'arriverai jamais à me construire un réseau social si je continue à choisir le confort à chaque fois, mais c'est pas vrai, je choisis pas le confort à chaque fois.
toujours est-il que je suis allée manger des tapas avec maman et m. et en rentrant j'ai commencé à avoir DES CRAMPES et ça a fait qu'empirer jusqu'à ce que ça devienne grave comme les crampes des shiitakes et j'étais là allongée sur mon matelas par terre à souffrir le martyre avec les ronflements de maman et de m. qui se croisaient au dessus de moi à me dire que c'était le karma, peut être même que c'est ariana reines elle-même qui m'a punie, elle est très ésotérique. à savoir que mes mensonges à la con viendraient une fois de plus tout gâcher j'aurais tout aussi bien pu rester à la maison et ainsi m'éviter l'ennui abyssal de ce matin pendant qu'elles montaient les nouvelles étagères de m., je m'ennuyais tellement que j'ai crée un compte ig pour y mettre toutes mes photos bizarres et rigolotes de la cuisine et ça m'a obsédée toute la journée. r. m'a demandé qui se cachait derrière ce compte et quand il a compris que c'était moi il a dit que ça le rendait encore plus drôle.
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Algérien Kabyle dress ,
Jusqu'au début du xxe siècle, le péplum retenu par deux fibules, appelé akhellal, constitue la pièce principale du costume kabyle. Il est souvent confectionné à partir de laine non teintée, toutefois, il existe des modèles plus compliqués, parcourus de stries verticales polychromes. Le timelhaft est l'autre vêtement ancien connu,cette pièce d'étoffe rectangulaire en fine cotonnade blanche ou gaze serrée, est retenue également aux épaules par de grandes fibules (tikhlatin).
Toutefois, l'ancienne taqendourth, première tunique en laine cousue sur les côtés qui s'enfile sous le péplum à fibules, s'introduit dans la région et révèle l'influence citadine de l'ancienne gandoura.Au début du xxe siècle, les tissus manufacturés poussent les villageoises à renoncer progressivement au tissage de l'akhellal.La taqendourth devient alors l'élément principal du costume féminin.
Puis, la robe kabyle s'agrémente d'une quantité importante de passements aux couleurs vives qui dessinent des motifs compliqués en guise de véritables broderies
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