#robe tunique
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US Vogue April 15, 1960
Two black and white dresses by Roberto Capucci, on the black and white pedestrian crossing in Piazza di Spagna. On the left, Nina Devos wears a strapless tunic dress in white cotton with black ottoman stripes. On the right, Simone d'Aillencourt in a black Ottoman tunic dress; white striped petticoat, belt. "Roman Glow" makeup by Eve de Rome.
Deux robes en noir et blanc de Roberto Capucci, sur le passage pour piétons en noir et blanc de la Piazza di Spagna. À gauche, Nina Devos porte une robe tunique sans bretelles en coton blanc à rayures noires ottoman. À droite, Simone d'Aillencourt dans une robe tunique ottomane noire; jupon à rayures blanches, ceinture. Maquillage "Roman Glow" par Eve de Rome.
Photo William Klein
vogue archive
#us vogue#april 1960#fashion 60s#1960#srping/summer#printemps/été#roberto capucci#italian designer#italian style#roma#rome#piazza di spagna#nina devos#simone d'aillencourt#william klein#robe tunique#tunic dress#eve de rome#roman glow#ottoman stripes
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L'Art et la mode, no. 50, vol. 30, 11 décembre 1909, Paris. Robe du soir en charmeuse “citron”. Tunique drapée en mousseline de soie. Bande de tulle perlé de cristal et de grosses perles en relief avec bords irisés de Milton Abelson. Regent House, Regent Street, London W. Imp. d'art L. Lafontaine, Paris. Bibliothèque nationale de France
#L'Art et la mode#20th century#1900s#1909#on this day#December 11#periodical#fashion#fashion plate#color#bibliothèque nationale de france#dress#evening#gown#Modèles de chez#Milton Abelson
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Le mariage
Le soleil se levait sur Jérusalem, illuminant les murs de la ville d'une lumière dorée. Les rues, encore calmes, commençaient à s'animer alors que les habitants se préparaient pour une journée mémorable. Aujourd'hui, leur vaillant roi Baudouin, allait épouser Alix de Tripoli, la future comtesse de Tripoli, son amie d'enfance et son amour.
Dans le palais, Baudouin se tenait devant un miroir, ajustant sa tunique ornée. Il pouvait voir les marques sur son visage, souvenirs de son combat contre la lèpre. La maladie avait finalement régressée, grâce au traitement de ses mires. Désormais, il était guéri, mais elle avait laissé ses marques. Malgré cela, il se sentait plus fort que jamais. Il pouvait enfin avoir du temps et surtout la femme qu'il aimait. Alix avait toujours été à ses côtés, et aujourd'hui, elle allait devenir sa reine.
Un léger coup à la porte le fit sursauter. C'était Alix, rayonnante dans sa robe de satin blanc, ses cheveux bruns tombant en cascade sur ses épaules. Son sourire illuminait la pièce, et Baudouin sentit son cœur s'emballer. « Es-tu prêt ? » demanda-t-elle, sa voix douce et pleine d'amour.
« Je le suis, mais… » Il hésita, son regard se posant sur ses cicatrices. « Je crains que mes marques ne te fassent peur. »
Alix s'approcha, prenant son visage entre ses mains. « Ne dis pas cela, Baudouin. Chaque cicatrice raconte une histoire, et elles font partie de toi. Je t'aime pour l'homme que tu es, pas pour l'apparence que tu as. »
Il sentit une chaleur envahir son cœur. « Tu es la seule qui puisse voir au-delà de mes blessures. »
« Et je le ferai toujours, » répondit-elle avec conviction. « Aujourd'hui, nous célébrons notre amour, et rien ne pourra l'éteindre. Je veux que tu saches que je te veux pour l'éternité. »
Les mots résonnèrent en lui comme une douce mélodie. « Alix, je t'adore. Tu es ma lumière dans l'obscurité. »
Ils quittèrent la chambre ensemble, main dans la main, se dirigeant vers la grande salle où les invités les attendaient. Les nobles de tout le royaume, amis et membres de la famille, étaient réunis pour célébrer cette union tant attendue.
La cérémonie débuta, et Baudouin se tenait devant l'autel, le cœur battant. Alix s'avança vers lui, et à chaque pas, il pouvait sentir l'amour et le soutien qu'elle lui offrait. Lorsqu'elle se tenait à ses côtés, il se sentait invincible.
Le prêtre prononça les mots sacrés, et Baudouin prit la main d'Alix dans la sienne. « Je te promets de t'aimer et de te protéger, peu importe les défis que nous devrons affronter. »
« Et moi, je te promets de rester à tes côtés, de te soutenir et de t'aimer, peu importe les cicatrices que la vie nous infligera, » répondit Alix, les yeux brillants de larmes de joie.
Lorsque le prêtre déclara qu'ils étaient désormais mari et femme, une vague d'applaudissements et de cris de joie s'éleva dans la salle. Baudouin et Alix échangèrent un regard complice, un sourire partagé qui disait tout. Ils savaient que leur amour était plus fort que les épreuves passées et que leur avenir ensemble serait lumineux.
La fête qui suivit fut remplie de rires, de musique et de danses. Baudouin, bien que conscient des regards curieux sur ses cicatrices, se sentait libre et heureux. Alix dansait à ses côtés, sa présence lui apportant une force qu'il n'avait jamais connue auparavant.
Alors qu'ils s'éloignaient un moment pour profiter d'un instant de calme sur le balcon du palais, Baudouin prit Alix dans ses bras. « Je n'aurais jamais cru que ce jour arriverait, » murmura-t-il.
« Et pourtant, il est là, » répondit-elle en souriant. « Nous avons surmonté tant d'obstacles, et maintenant, nous avons tout un avenir à construire ensemble. »
Baudouin la regarda, son cœur débordant d'amour. « Avec toi à mes côtés, je me sens prêt à affronter le monde. »
« Ensemble, nous sommes invincibles, » affirma Alix, scellant sa promesse par un doux baiser.
#baldwin iv#baudouin iv#fanfic#king baldwin#leper king#king baldwin iv#Roi Baudouin IV#baldwin iv x oc
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On this Day: 14th December, 1873
Fashion plate from La Mode Illustrée signed by Anaïs Toudouze and Réville, featuring toilettes by Madame Breant-Castel of 19, Rue du 4 September.
DESCRIPTION DE TOILETTES.
Robe en faye nuance paille. Jupon plissé par devant (à plis perpendiculaires). Les lés de derrière sont garnis de trois volants disposés en courbes. Tunique pareille, garnie d'une haute blonde blanche. Corsage décolleté, ceinture-écharpe en faye paille. Sortie de bal en cachemire blanc, ornée de broderie en soutache blanche. Frange de soie blanche. Capuchon pointu, avec revers de satin blanc. Grand nœud en ruban de satin blanc.
Costume en drap et velours nuance prune. Le jupon est garni d'un volant composé de séries de quatre plis, alternativement en drap et velours. Sur chaque côté une quille en velours. Tunique en velours, relevée par une écharpe en velours frangé. Spencer en drap avec encolure garnie d'une grosse ruche en drap doublée de velours. Manches en velours. Boutons en vieil argent au spencer et sur les manches.
1873-12 LMI50
#1870s#french fashion plate#1870s fashion#bustle fashion#1870s dress#first bustle#fashion plate#victorian fashion plate#la mode illustree#anais toudouze#la mode illustrée#historical fashion
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Robe de jeune fille 1914
Les Modes (Paris) January 1914 Mlle Marguerite Carèze, du Théâtre de la Porte-Saint-Martin, dans le Ruisseau, habillée par Réverdot.Robe de jeune fille en voile ninon blanc. Tunique plissée, jupe drapée.
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Flufftober 2024 : "Comment t'es habillé ?", "C'est le jour de la lessive !"
15 octobre
« Comment t'es habillé ? », « C'est le jour de la lessive ! » ("What are you wearing ?", "It's laundry day !")
Ophélie & Octavio (La passe-miroir)
Ophélie demeura déconcertée sur le pas de la porte d'Octavio lorsqu'elle vit ce que Seconde portait. C'était une sorte de tunique courte à fleurs, avec en plus un short de lointaine station balnéaire et enfin, un collant noir en-dessous. Ça n'avait aucun sens.
L'adolescente, bien sûr, n'en avait cure. Elle fonça joyeusement à travers la maison, salua la nouvelle venue d'un mouvement de main, sa chaîne en or se balançant entre son sourcil et son nez. Après quoi, elle écarta la moustiquaire et sortit dans le jardin, effrayant du même coup une volée de perroquets.
«Seconde ! l'appela la voix d'Octavio depuis la cuisine. Quand je t'ai dit que tu pourrais m'aider à ranger tout ce qui traîne, ce n'est pas exactly ce que j'avais en tête ! »
Il s'interrompit net en découvrant son amie, dont l'écharpe était en train de balayer les plumes d'aras qui avaient pénétré dans le hall d'entrée. Ophélie haussa davantage les sourcils d'étonnement, sans pouvoir s'en empêcher. Les vêtements d'Octavio avaient encore moins de logique que ceux de sa sœur : une blouse boutonnée jusqu'en haut, une veste par-dessus et le pantalon qu'il portait au conservatoire de la Bonne Famille. Celui qui, normalement, n'était assorti qu'à une redingote bleu nuit et des bottes ornées d'ailes d'avant-coureur. Spontanément, l'Animiste lança un :
« Comment t'es habillé ?
-C'est le jour de la lessive ! se défendit Octavio en rangeant sa bouteille de produit pour les vitres dans la poche de sa blouse. »
Comme ils s'étaient jamais dit au revoir du temps où leurs vies étaient incertaines et compliquées, ils ne se souhaitaient jamais le bonjour non plus. Cet écart à la politesse était également dû, cette fois, dans le cas d'Ophélie, à la mine totalement déboussolée de son ami. Octavio n'avait certes pas l'habitude de devoir choisir ses propres vêtements et ceux de sa sœur : autrefois, Babel possédait un code extrêmement stricte en ce qui concernait les accoutrements de chacun. Comme il n'était plus question de faire de distinction entre les différentes nationalités de l'ancienne arche, les Babéliens ne se vêtaient plus systématiquement de toges colorées selon leur rang dans la société. Ophélie voulait bien croire que toutes celles de Seconde et d'Octavio étaient au sale, mais était-ce une raison pour paniquer et s'affubler de choses n'ayant même pas de rapport avec la météo ?
« Même moi qui ait tendance à porter la première robe me tombant sous la main, je n'aurais jamais combiné autant de pièces différentes, admit-elle en se laissant tomber sur le canapé de son ami. Tu veux de l'aide pour ta lessive ?
-Well, si je me souviens bien, tu n'es pas la meilleure en ce qui concerne les tâches ménagères, fit valoir Octavio en venant s'installer à côté d'elle. Mais peut-être as-tu une ou deux robes à prêter à Seconde.
-J'ai bien peur que non. Mon petit frère et mes petites sœurs me dépassent déjà d'une bonne tête et je suis toujours plus grande que Seconde. Mais, en ce qui te concerne…
-… Oui. Je crois que je vois perfectly où tu veux en venir. »
Octavio et elle avaient exactement la même taille et pratiquement la même silhouette. Les redingotes de la Bonne Famille ne laissaient pas beaucoup de place aux rondeurs de toute façon, il n'aurait aucun mal à porter la sienne.
« Merci, soupira le Visionnaire en se passant la main dans les cheveux. J'avoue que ça me dépannerait énormément. Du côté de l'habillement, je préférais clearly comme c'était avant !
-Ne t'inquiète pas, sourit Ophélie tandis que l'écharpe se posait sur son épaule. Je demanderai aussi à Thorn de te montrer comme on entretient une maison. Le recours aux automates pour les tâches de haute nécessité uniquement a dû vous porter préjudice. »
Octavio réussit, sans qu'elle sache trop comment, à lui retourner un regard déconfit et en même temps un petit sourire.
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More images of 1913 fashion -
1913 Ethel Mary, née Bell-Irving, later 15th Countess of Lauderdale by Samuel Henry William Llewellyn (Thirlestane Castle - Lauder, Berwickshire, UK) From centuriespast.tumblr.com/post/148847411164/ethel-mary-18911970-15th-countess-of 815X1200.
Left 1913 Gazette du Bon Ton "Le Conseiller des Dames Robe et Manteau pour le Theatre" by Barbier 643X844.
Right 1913 Gazette du Bon Ton "Tais-Toi Mon Coeur!… Robe de lingerie de Doeuillet 1913 Gazette du Bon Ton "Le Marriage au Chateau" by Brissaud artophile.com 750X1011.
1913 Gazette du Bon Ton "Le Marriage au Chateau" by Brissaud. From artophile.com 1797X1125.
Left 1913 Journal des Dames et des Modes "Manteau de velours frappe citron. Col velours blance et Renard blanc" by Dammy. From artophile.com 750X1189.
Center 1913 Journal des Dames et des Modes "Mantelet de taffetas a la vieille garni de chenille verte - Manchon brode de perles". From artophile.com 757X1200.
Right 1913 Journal des Dames et des Modes "Parure d'Hermine et Putois". From artophile.com 701X1200.
1913 Lady, traditionally identified as Rosa Lewis by Frank Moss Bennett (auctioned by Christie's). From their Web site 906X1904.
Left 1913 Journal des Dames et des Modes "Robe de charmeuse blance a tunique de mousseline de soie violette brodee de perl et bordee de skunks. Manteau de velours etrusque" by Pichenot artophile.com 750X1197.
Right 1913 Journal des Dames et des Modes "Robe de charmeuse nore avec corsage et panier formes d'un obi drape" by Barbier artophile.com 734X1200.
1913 Madame Jean Maillard-Norbert by Léon François Comerre (location ?). From tumblr.com/eirene; fixed most obvious spots w Pshop 1332X3072.
1913 Lina Bilitis with Two Pekinese by Giovanni Boldini (location ?). From Amber Tree's photostream on flickr 1510X2872.
1913 Madame Michelham by Giovanni Boldini (location ?). From wikiart.org-en-giovanni-boldini-madame-michelham-1913 1589X2356 @72.
1913 María Teresa González del Valle by Nicanor Piñole (Fundación Banco Santander - Madrid, Spain). From artsandculture.google.com; fixed spots w Pshop 2036X2698.
1913 Señora, amiga de Mr. Ryan by Joaquín Sorolla y Bástida (Museo Nacional de Bellas Artes - La Habana, Cuba). From joaquin-sorolla.blogspot.com/search/label/Retrato%20de%20Señora 1191X1600.
1913 Evening dress of Vera Karakhan by House of Paul Poiret (Hermitage). From tumblr.com/antiquebee/731802632464875520?.
Left 1913 (June issue) La Gazette du Bon Ton, "Je Suis Perdue Robe d'été de Chéruit" tumblr.com/mote-historie/729728522325753856/pierre-brissaud-je-suis-perdue-robe-d%C3%A9t%C3%A9-de?source=share&.
Center 1913 La Mode cover art La Mode par Boué Soeurs by George Barbier. From tumblr.com/mote-historie/731263453639196672/george-barbier-la-mode-par-bou%C3%A9-soeurs-french?source=share&.
Right 1913 Les Modes Dinner Dresses by Gustave Beer. From tumblr.com/mote-historie/731172312816254976/dinner-dresses-by-beer-1913?source=share& 1975X2861
Left 1913 Tanzerin by Julie Wolfthorn (location ?). From tumblr.com/random-brushstrokes 727X1024.
Right 1913 Anastasia Mikhailovna de Torby, Philip de László (location ?). From tumblr.com/la-belle-histoire/745161897381445633/portrait-of-anastasia-mikhailovna-de-torby-philip? 608X960.
Left ca. 1913 Dame in een zwarte strompeljapon met kant by anonymous (Rijksmuseum). From their Web site; fixed flaws & spots w Pshop 3542X5395.
Right ca. 1913 Dame in een geel/groen geruite strompeljapon by anonymous (Rijksmuseum). From their Web site; fixed flaws & spots Pshop 3476X5328; fixed flaws & spots w Pshop 3645X5328
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«Le pain qui demeure inutile chez vous, c’est le pain de celui qui a faim ; la tunique suspendue dans votre garde-robe, c’est la tunique de celui qui est nu ; la chaussure qui demeure inutile chez vous est celle du pauvre qui va nu-pieds ; l’argent que vous tenez enfoui, c’est l’argent du pauvre : vous commettez autant d’injustices que vous pourriez répandre de bienfaits » (Homélie VI sur Lc, XII, 18, PG XXXI, col. 275). Saint Basile de Césarée
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Women's dresses, 1922.
Les Idées Nouvelles | New Ideas
Robe-manteau. La tunique-jaquette en tissu chenillé deux tons pose sur un fond de perllaine blanche.
Une robe de velours-chiffon, émeraude, avec col et bas de manches en broderie de chenille ajourée. Ceinture de gayolithe.
Du drap blanc, des biais de satin émeraude coupés de bandes de ruban laqué noir, pour cette autre robe.
Coat dress. The tunic-jacket in two-tone chenille fabric sits over a perliane white sequined underdress.
A velvet-chiffon dress, emerald, with collar and cuffs in openwork chenille embroidery. Galalith belt.
White cloth, emerald bias cut satin with diagonal strips of black glossy ribbon, for this other dress.
Galalith is a specific type of plastic often used in fashion and accessories (think buttons, beads, combs, etc).
Bias cut fabric is when fabric is cut at a 45 degree angle to the weave of the fabric, rather than horizontally or vertically along the weave.
#fashion plates#historical fashion#clothing#women's fashion#dress#nationality: french#20th century#century: 1900s#era: roaring twenties#green#year: 1922#decade: 1920s#era: années folles#era: interwar#publication: les idées nouvelles#white#black#emerald#colour illustration#day wear#casual#fashion illustration#historical fashion advertisements#op's favourites
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Yves Saint Laurent Spring/Summer 1962 Haute Couture Collection. Dorothy McGowan in soft white wool tunic dress, waist scarf, stiff white felt bonnet. Photo William Klein.
Yves Saint Laurent Collection Haute Couture Printemps/Été 1962. Dorothy McGowan en robe tunique en laine blanche douce, écharpe à la taille, bonnet de feutre blanc rigide. Photo William Klein.
#yves saint laurent#collection haute couture#french designer#french style#fashion 60s#1962#spring/summer#printemps/été#dorothea mcgowan#william klein#afternoon dress#robe d'après midi#tunic dress#robe tunique#wool dress#robe en laine
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La Mode illustrée, no. 49, 9 décembre 1883, Paris. Toilettes de Mme Coussinet, rue Richer, 43. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Robe en moscovite gris acier, velours ciselé et soie brochée de même couleur. La jupe courte en moscovite uni, disposée en gros plis tuyaux, est garnie de quatre plis. Une écharpe en soie brochée est drapée sur le devant de la jupe et reparaît pour former le pouf par derrière. Très grand gilet Louis XV, en velours ciselé, avec jaquette Louis XV, faite en muscovite unie. Cette jaquette est largement ouverte sur le gilet. Sur le bord inférieur de celui-ci se trouve une fente dans laquelle passe l'écharpe, pour former des paniers sur les hanches et pouf derrière.
Dress in steel gray Muscovite, chiseled velvet and brocaded silk of the same color. The short skirt in plain Muscovite, arranged in large pipe pleats, is trimmed with four pleats. A brocaded silk scarf is draped over the front of the skirt and reappears to form the pouf at the back. Very large Louis XV waistcoat, in chiseled velvet, with Louis XV jacket, made of plain Muscovite. This jacket is widely open on the waistcoat. On the lower edge of the latter is a slit through which the scarf passes, to form baskets on the hips and pouf behind.
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Toilette de jeune femme. En satin merveilleux bleu pâle uni. Jupe ronde, garnie devant en tablier de quatre larges bandes de velours grenat. Tunique à paniers sous laquelle tombe de chaque côté un panneau plat entouré d'une broderie représentant des roses nuancées depuis le rose pâle jusqu'au grenat. Le corsage, fait en forme de guimpe, boutonné derrière, montant, est froncé à l'encolure. Collier de velours grenat, noué sur le côté, relevant une ruche de dentelle blanche. A l'extrémité des manches, bracelets de même velours, avec nœud pareil.
Young woman's ensemble. In plain pale blue marvelous satin. Round skirt, trimmed in front in an apron with four wide bands of garnet velvet. Tunic with paniers under which falls on each side a flat panel surrounded by embroidery representing roses shaded from pale pink to garnet. The bodice, made in the shape of a wimple, buttoned behind, rising, is gathered at the neckline. Garnet velvet necklace, tied on the side, raising a ruffle of white lace. At the end of the sleeves, bracelets of the same velvet, with a similar bow.
#La Mode illustrée#19th century#1880s#1883#on this day#December 9#periodical#fashion#fashion plate#color#description#rijksmuseum#dress#bustle#flowers#Modèles de chez#Madame Coussinet
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Le mariage
Le soleil se couchait lentement à l'horizon, illuminant le ciel de teintes rougeoyantes alors que les Volturi se préparaient pour un événement exceptionnel à Volterra. Didyme, la sœur d'Aro et femme de Marcus, allait enfin épouser son bien-aimé dans une cérémonie grandiose et mystique.
La place principale de Volterra était décorée de guirlandes de fleurs exotiques et de lanternes scintillantes, créant une atmosphère magique pour cette union si attendue. Les invités, vampires venus des quatre coins du monde, étaient impatients d'assister à ce mariage si particulier.
Marcus, vêtu d'une tunique blanche immaculée, attendait avec impatience l'arrivée de sa future épouse. Lorsqu'elle apparut devant lui, rayonnante dans une robe de soie argentée brodée de perles, il fut ébloui par sa beauté et sa grâce. Didyme, elle-même, était émue aux larmes en regardant celui qu'elle aimait depuis des siècles.
La cérémonie débuta dans un silence solennel, alors que Aro prononçait les vœux sacrés qui uniraient pour l'éternité les deux amants. Les alliances furent échangées, scellant ainsi leur union pour toute l'éternité. Les invités applaudirent à cette déclaration d'amour éternel.
La soirée se poursuivit dans la liesse et la bonne humeur, alors que les vampires profitaient de la fête organisée en l'honneur des mariés. Des humains furent conduits devant le couple, qui mangea avec appétit sur de la musique envoûtante. Didyme et Marcus dansèrent ensemble, tournoyant sur la piste de danse sous les étoiles scintillantes.
Lorsque la nuit tomba enfin, les mariés se retirèrent dans leur demeure privée, entourés de l'amour et des bénédictions de leurs proches.
Le mariage de Didyme et Marcus resterait gravé dans les mémoires de tous ceux qui y avaient assisté, une célébration de l'amour pur et immortel qui avait uni deux âmes destinées à être ensemble pour l'éternité.
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On this Day: 20th November, 1870
La Mode Illustrée plate signed by Heloise Leloir and J Bonnard, featuring designs by Madame Bréant-Castel of 28 rue Neuve des Petits Champs.
DESCRIPTION DE TOILETTES.
Robe de dessous en cachemire vert foncé, garnie de sept biais en reps de soie vert; le premier biais (celui du bord inférieur) est garni d'une grosse frange torse en soie verte de même nuance que la robe. Tunique en même cachemire, garnie d'une même frange et de cinq biais en même reps, mais plus étroits que ceux de la robe. Corsage-casaque en même cachemire, garni de frange et de trois biais en reps, plus étroits que ceux de la tunique; manches larges, garnies de cinq biais; gros nœuds de reps vert au bas du dos; col marin garni de guipure blanche et large; cravate en guipure noire; chapeau rond en velours noir avec fleurs et plume, nuance feu.
Robe de dessous en satin noir, garnie d'un volant plissé ayant 40 centimètres de hauteur; la tele de ce volant est marquée par une bande de martre du Canada. Tunique en velours noir, garnie d'une même bande de fourrure; corsage-casaque en velours noir, garni d'une même bande, avec larges revers et hauts poignets en martre du Canada; à l'intérieur chemisette en dentelle; hautes manchettes en dentelle.
#1870s#1870s fashion#1870s dress#french fashion plate#heloise leloir#bustle fashion#fashion plate#victorian fashion plate#la mode illustree#early bustle#On This Day#1870-11 LMI47#historical fashion
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Robe du soir 1911
Les Modes (Paris) May 1911 Robe du soir—Marguerite Becker, Suc de Emma & Marie Weille, 18, avenue de l’Opéra.
Robe en liberty « capucine » voilée d’une tunique de mousseline de soie « bleu nuit », avec large entre-deux noir brodé de blanc.
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Bonjour Titiou, vous êtes oracle, poétesse lyrique et potinière au forum. Après avoir récité plusieurs harangues contre le mariage devant de nombreuses jeunes patriciennes, vous revenez avec un pamphlet intitulé Mon concubin et l’argent. Comment vous est venu ce réquisitoire ?
Dès l’enfance, les garçons reçoivent plus d’argent que les filles, auxquelles on offre plutôt des cadeaux : robes, bracelets, tuniques, esclaves… Par la suite, les hommes obtiennent des carrières rémunératrices : questeur, haruspice, consul, légionnaire, préfet, et cœtera. Leurs épouses sont obligées de se contenter des revenus du domaine, d’élever leurs enfants, filer la laine et se divertir. Il faut aussi compter tout le temps qu’elles doivent passer à superviser les serviteurs. On constate par ailleurs une tendance plus forte au concubinage, où l’homme reste libre de l’usage de son patrimoine. Ce système bénéficie toujours à celui qui a le plus.
Vous évoquez la « théorie du pot de yaourt » dans votre ouvrage. En quoi consiste-t-elle ?
Je prends souvent l’exemple d’Octavia et Marcus : Octavia n’a que la dot accordée par son père, elle en tire moins de rentes que Marcus ne touche de prébendes et, à l’arrivée du deuxième enfant, ils songent à changer de char. C’est Marcus qui achète le char et les chevaux ou les rembourse seul au prêteur. Pour compenser, Octavia lui prépare d’excellents yaourts au miel ou au garum. Au moment où ils se répudient, Marcus récupère le char qu’il a payé alors qu’Octavia n’a plus que les restes de sa dot, sa laine, ses domestiques et ses pots de lait caillé. Dans un couple, le plus petit revenu (la femme) est donc celui qui a le plus intérêt à s’assurer une sécurité économique : par exemple, pour l’achat d’un char, acheter les brides et les licols (quitte à moins faire de yaourts pour avoir le temps de choisir les bijoux équestres les plus luxueux possibles), afin de se constituer un petit patrimoine.
Selon vous, la nouvelle génération est-elle en train de casser les codes ?
À Rome, la situation des femmes va en s’aggravant parce qu’il y a un décalage entre la loi qui estime que les gens vivent selon les mos majorum, dans la communauté des biens, et la manière dont ils vivent réellement (en ne se mariant plus et en privilégiant le concubinage). L’écart entre les membres d’un couple continue de se faire au détriment des femmes. Les femmes font moins de tâches ménagères grâce aux esclaves mais ce sont toujours elles qui les prennent en charge. En revanche les mouvements comme #MeQuoque contribuent à une prise de conscience. Il faut déconstruire les stéréotypes virilistes !
Avez-vous constaté des contre-exemples à votre démonstration ?
En général, les concubines se reconnaissent beaucoup dans le théorème du pot de yaourt. Il y a évidemment des contre-exemples. Ma cousine Athenais m’a fait porter ce message : « Merci, je ne savais pas tout cela. Je vais hâter mon mariage. » Elle n’a pas compris... Je ne comprends pas.
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