#rituels religieux
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dandanjean · 8 months ago
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Centre de vie religieuse
Ce programme est une exploration épique et une réflexion intime sur Dieu présentée par Morgan Freeman. Chaque épisode se concentre sur une grande question concernant le divin. Chaque épisode aborde une grande question concernant le divin dans lequel il prend part à des expériences et des rituels religieux à travers le monde. Centre de vie religieuse
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clubvideotapes · 2 months ago
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Eyes Wide Shut, 1999
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Un jeune couple de la haute bourgeoisie vivant à New York, Bill Harford (Tom Cruise), un médecin brillant, et sa femme, Alice (Nicole Kidman), commissaire d'exposition, se rend à une réception mondaine pour la fête de Noël organisée par un riche patient de Bill, Victor Ziegler (Sydney Pollack). Bill y retrouve un vieil ami de l’université, Nick Nightingale (Todd Field), devenu pianiste professionnel. Ensuite, pendant qu'Alice se fait draguer par un Hongrois, Sandor Szavost (Sky du Mont), Bill se voit proposer un plan à trois par deux mannequins pour « aller jusqu'au bout de l'arc-en-ciel ». Il est interrompu par un appel de son hôte, car une de ses petites amies, Mandy (Julienne Davis), a fait une overdose de speedball. Mandy reprend ses esprits grâce à Bill et lui dit qu'elle lui doit la vie.
Le lendemain, après avoir fumé de la marijuana, Alice demande à Bill s'il a couché avec les deux filles. Il la rassure, mais elle lui révèle qu'elle a déjà été tentée de le tromper une fois et lui demande s'il n'a jamais été jaloux du désir qu'elle pouvait susciter chez les autres hommes. La discussion s'envenime, et Bill affirme qu'il pense que les femmes sont plus fidèles que les hommes. Alice lui confie alors un de ses fantasmes : avoir une aventure avec un officier de la marine. Ébranlé, Bill est contacté par la fille d'un patient qui vient de mourir. Il se rend sur place et, dans sa douleur, Marion Nathanson (Marie Richardson) l'embrasse de manière impulsive et lui avoue qu'elle l'aime. Bill la repousse avant que son fiancé, Carl (Thomas Gibson), n'arrive. Déstabilisé, Bill s'en va et erre dans les rues où il rencontre une prostituée, Domino (Vinessa Shaw). Bill se laisse charmer, mais juste au moment où Domino commence à l'embrasser, Alice appelle Bill, qui quitte Domino, gêné et de manière maladroite. Il va alors dans un club de jazz rejoindre Nick, qui lui apprend qu'il se rend parfois à des soirées « spéciales » où il doit jouer du piano les yeux bandés. Bill, intrigué, réussit à obtenir plus de détails : pour être admis, il faut un costume, un masque et un mot de passe (Fidelio). Bill cherche un magasin de costumes et offre au propriétaire, M. Milich (Rade Serbedzija), une somme généreuse pour louer un costume. Dans le magasin, Milich surprend sa fille adolescente (Leelee Sobieski) en compagnie de deux hommes japonais et lui exprime sa colère à propos de leur manque de décence.
Bill prend un taxi pour se rendre au manoir indiqué par Nick. Il donne le mot de passe et découvre à l'intérieur un rituel sexuel quasi religieux. Bien qu'elle soit masquée, une femme s'approche de Bill et le met en garde en lui affirmant qu'il n'aurait jamais dû se rendre ici et qu'il est en danger. Elle est ensuite emmenée par quelqu'un d'autre. Bill commence à errer dans le manoir, passant d'une pièce à l'autre, où il découvre des groupes d'hommes masqués pratiquant différents types d'actes sexuels, tandis que d'autres observent. Il est interrompu par un portier qui lui explique que le chauffeur de taxi souhaite lui parler de toute urgence au portail du manoir. Il le suit, et Bill se retrouve dans la salle de rituel, où le maître de cérémonie, déguisé en rouge, le questionne sur un second mot de passe pour quitter le manoir. Bill avoue qu'il l'a oubli��. Le maître de cérémonie insiste pour que Bill « retire gentiment son masque » ainsi que ses vêtements. Soudain, la femme masquée qui avait essayé d'avertir Bill intervient. Elle demande à être punie à sa place. Bill est reconduit à la sortie du manoir et on l'avertit de ne parler à quiconque de ce qui s'est passé.
Juste avant l'aube, Bill arrive chez lui, se sentant coupable et confus. Il trouve Alice riant fortement dans son sommeil et la réveille. Alors qu'elle est en train de pleurer, elle lui explique qu'elle a fait un rêve troublant dans lequel elle faisait l'amour avec l'officier de marine et beaucoup d'autres hommes, riant à l'idée que Bill les regardait. Le matin suivant, Bill se rend à l'hôtel de Nick, où le réceptionniste (Alan Cumming) lui explique que Nick, effrayé et présentant des traces de coups, avait été emmené à cinq heures du matin par deux hommes très costauds, bien habillés et à l'air patibulaire. Nick a essayé, en partant, de passer une enveloppe au réceptionniste, mais celle-ci a été interceptée par les deux hommes qui l'ont emmené en voiture.
Bill ramène son costume au magasin de location, mais le masque est manquant. Milich explique, avec sa fille à ses côtés, qu'il peut fournir d'autres faveurs à Bill et « qu'il n'est pas nécessaire que ce soit un costume ». Les deux mêmes Japonais que la veille s'en vont du magasin, Milich laisse entendre à Bill qu'il a vendu sa fille pour qu'elle se prostitue. Bill retourne au manoir avec sa propre voiture. Un homme vient à sa rencontre près du portail de la propriété et lui remet une lettre l'avertissant de cesser immédiatement toutes ses investigations. De retour chez lui, Bill repense aux rêves d'Alice alors qu'il la regarde aider leur fille à faire ses devoirs.
Bill commence à reconsidérer les différentes propositions sexuelles de la nuit précédente. D'abord, il appelle Marion, mais raccroche lorsque Carl répond au téléphone. Ensuite, Bill se rend à l'appartement de Domino avec un cadeau. Sa colocataire, Sally (Fay Masterson), est chez elle, mais Domino n'est pas là. Après que Bill a tenté de séduire Sally, elle lui révèle que Domino a été testée positive au VIH. Bill quitte l'appartement, suivi par un homme. Après avoir lu un fait divers dans le journal concernant une reine de beauté décédée d'une overdose, Bill examine le corps à la morgue et l'identifie comme étant Mandy. Bill est convoqué à la maison de Ziegler, où ce dernier le confronte aux événements des derniers jours. Ziegler était l'un des participants à l'orgie rituelle et celui qui a identifié Bill ainsi que son contact avec Nick. Sa propre position au sein de l'organisation secrète est compromise par l'intrusion de Bill, depuis que Ziegler a recommandé Nick comme pianiste.
Ziegler affirme qu'il a fait suivre Bill pour sa propre protection et que les avertissements émis contre lui étaient de nature à l'effrayer pour l’empêcher de parler de l'orgie. Mais il lui explique que la société peut mettre ses menaces à exécution, disant à Bill : « Si je te disais leurs noms, je ne pense pas que tu dormirais aussi bien. » Bill demande des explications au sujet de la mort de Mandy, qu'on identifie par Ziegler comme la femme masquée qui s'est sacrifiée pour éviter à Bill d'être puni, ainsi que sur la disparition de Nick, le pianiste. Ziegler explique qu'il est sûrement bien en sécurité dans sa maison à Seattle. Il ajoute que la « punition » était une sorte de mise en scène orchestrée par la société dans le but d'effrayer Bill et qu'ils n'ont rien à voir avec la mort de Mandy. Il explique que c'était une prostituée et une toxicomane, et qu'elle est morte d'une overdose accidentelle. Bill ne sait pas si Ziegler dit la vérité au sujet de la disparition de Nick et de la mort de Mandy, mais il ne veut pas en savoir plus et préfère laisser tomber.
Quand il rentre chez lui, Bill trouve le masque loué sur son oreiller, à côté de sa femme. Il s’effondre en pleurs et décide de révéler toute la vérité à Alice sur les deux derniers jours. Le lendemain, ils se rendent dans un magasin de Noël avec leur fille. Alice le rassure en lui disant qu'ils devraient être pleins de gratitude d'avoir survécu, qu'elle l'aime et qu'il y a une chose qu'ils doivent absolument faire dès que possible. Bill lui demande de quoi il s'agit, elle répond simplement : « Baiser »
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christian-dubuis-santini · 24 days ago
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Se réveiller d'entre les mots
Dans la logique des discours (acception lacanienne) - et donc dans le rapport de la place et de ce qui occupe cette place - il y a deux scénarios qui suscitent un malaise qui confine au dégoût: le bon objet à la mauvaise place et le mauvais objet à la bonne place.
Dans le premier cas, un visage gentil et innocent se métamorphose en monstre terrible pour exprimer l'horreur, l’illustration la plus frappante est peut-être la jeune héroïne du film L'exorciste...
Mais le scénario inverse n’est-il pas encore plus terrifiant, lorsque le texte sublime est profané par le mauvais énonciateur?
Chez Heinrich von Kleist, il y a ce cas où le "méchant" (la brute stupide) s’approprie le sublime du chant rituel religieux pour parvenir à ses fins, ce qui rend l'impression de dégoût plus prégnante encore.
Lorsque j’entends certains "psychanalystes" parler d’amour ou de désir, citer Freud et Lacan, cela produit le même effet.
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codumofr · 1 month ago
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Kapala du 19e siècle venant du Tibet. Utilisé lors des rituels des écoles du Tantrisme Hindou et du Bouddhisme Tantrique, le Kapala est en réalité une coupe faîte à partir d'un crâne humain et utilisé comme récipient. C'est un symbole des Kapalika, des ascètes shivaïtes errants.
Mais que sont les kapalika ? Les Ascètes de la branche Hindouisme du Shivaïsme ? Déjà, définissons ce qu’est un ascète. l’Ascète une personne qui pratique l’ascèse ou l'ascétisme, discipline volontaire du corps et de l’âme qui souhaite tendre vers la perfection. Le mot vient du grec “Askêsis” qui peut signifier en sois “Exercice” comme “Entraînement”. C’est ainsi en sois une pratique courante dans les religions, que ça soit le Christianisme, l’Islamisme, l’Hindouisme, le Bouddhisme, et même retrouvable dans la Franc-maçonnerie. Bien qu’aussi présent en Philosophie avec Platon, Xénophon, Kant ou Schopenhauer, l'ascétisme reste lié à la religion. Ainsi, un “Ascète” est une personne qui est dans sa religion, dévoué à une discipline physique comme psychique.
Maintenant, intéressons-nous aux Kapalika, ascète de l’Hindouisme Shivaïte. Mais d’abord, expliquons un peu le Shivaïsme. Basées sur les textes du Purana (Compilé par Vyasa, narrateur du Mahabharata), ces personnes considèrent Shiva, divinité Hindou comme la divinité d’élection tout en effectuant yogique (mouvement du Yoga) et discipline ascétique. Selon les historiens, cette pratique religieuse serait originaire du Cachemire tout en s’étendant en Inde au cours du 3e siècle. Aujourd’hui, il semble continuer dans le courant d'Aghori.
Un des temples les plus emblématiques du Shivaïsme est le temple de Dalavanur dans le District de Viluppuram de l'État de Tamil Nadu. Situé à 16 km de la ville de Gingee, ce temple date de l’époque de Pallava (225-888). C’est sous cette époque que le commerce maritime se développera et permettra ainsi une expansion des croyances Shivaïtes notamment dans l’Ouest, le Sud et le Sud-est de l’Inde.
Une des écoles du Shivaïsme est le Shaiva Siddhanta, originaire d’un groupe de 63 saints ayant vécu au VIe siècle. Ses saints sont nommés les Nayanar ou Nayanmar et vivent dans l'État du Tamil Nadu. Leurs doctrines sont basées sur un dualisme religieux, mais aussi sur un non-dualisme, faisant ainsi de cette école, un courant controversé et contradictoire qui offre des rituels et des initiation basé sur la rigueur dans l’optique d’atteindre la libération et ainsi l'ascension de la personne. Utilisant trois principes qui sont celui du “Maitre” qui est aussi le “Berger” et “Dieu”, celui du Bétail qui est l’homme et celui du lien tenant l’homme à la transmigration et à la dépendance physique. Pour eux, naître humain est une rare chance qu’il faut savoir utiliser à bon escient, une chance ainsi unique et qui ne doit pas être utilisé à de mauvaises fins car étant intimement lié à leurs croyances. Cette école est systématisée au XIIIe siècle par Meykandar, un philosophe et théologien de l’école du Shivaïsme Siddantha.
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alioversus · 11 months ago
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Vieux Piano endormi
Attention Fête | 2021
1. Grimper l’escalier, en s’agrippant tant bien que mal à la rampe. Est-ce la lumière du matin déjà ? Qui filtre derrière les persiennes… Il y a du tangage, inutile de le préciser. Et des pensées complètement décousues qui me traversent. Question de magie, d’énergie cosmique… Même pas vraiment dans ma langue maternelle. J’aurai vite fait de manquer une marche, si je ne me concentre pas. La connasse… Et l’autre connard dans le bar. Qu’est-ce qu’il m’a dit, déjà ? J'aurais mieux fait de lui casser la gueule ! Voilà la veilleuse ; et mes paupières lourdes, ma vision trouble. Bien sûr que non, il ne fait pas déjà jour. Voilà la porte. Le front en appui contre le judas, je cherche le trou de la serrure. D’habitude, je fais ça à l’horizontale. Connasse toutes portes ouvertes, mon œil ! Je vois double, c'est le troisième œil. Ça y est, ça rentre… Je peux me prendre les pieds dans le tapis, me taper les épaules dans le couloir et me jeter sur le lit, tout habillé. Oh là… Tu le sens, le passage dans un trou noir ? Effet spaghetti… J’aurais dû prendre une bouteille d’eau. J’aurais dû prendre la peine de pisser avant… C'est bien au-dessus de mes forces désormais. Je suis juste bon à ravaler cette colère — et cette nausée. Pour me sentir minable, j’aurai bien assez de demain, toute la journée. 
2. Non, je ne deviens pas religieux. Je suis beaucoup trop pessimiste pour ça. Il n’empêche que je peux mieux faire le break ici, dans ce monastère, que dans l’une de ces cliniques de merde, en cure de désintox avec d’autres gros cons matérialistes. Je vois bien tout l’intérêt qu’ils y trouvent, les frères : une vie reculée, rituelle, avec un peu de vin, un peu de bière, beaucoup de prière, aucune gonzesse. En camarades. Ils s’opposent à la magie, ils se fichent de l’énergie cosmique, ils se fichent des connasses et des connards. Ils s’en tiennent à leur horloge… Ils s’occupent bien de moi. J’épluche les patates, je fais la vaisselle, j’assiste aux offices, je dors seul comme eux tous, dans un petit lit. Le reste du monde n’existe pas, c’est beaucoup plus paisible comme ça. La journée passe sans qu’on y pense. C’est finalement festif, justement grâce au renoncement. Je me surprends à aimer contempler une assiette, un prie-Dieu, à apprécier l’odeur de la naphtaline, le gris bouloché de leurs chaussettes, le brillant des flageolets. 
3. Travail au potager. Frère Bernard me montre comment se débarrasser des pucerons, comment faire obstacle aux limaces avec des coquilles d’œuf. Il fait chaud. Je le vois suer dans sa bure distendue. Il a vraiment des mains de jardinier, frère Bernard, des mains brunes et cornues, avec le tour des ongles bien noir, comme un carrossier. Je vais chercher l’arrosoir. Frère Matthieu est en joie, planté sans rien faire devant le rosier. Il chantonne, du bout des lèvres, d’une voix haut perchée, androgyne, blanche comme un angelot peint par un pompier. Il est tout extatique, comme comblé par sa propre virginité. Je continue d’avancer, j’ouvre le robinet. Derrière le mur du cloître, il y a une chatte qui n’arrête pas de miauler. De détresse, il me semble. Ça se répète. Ce n’est pas mon problème. Frère Matthieu sait s’en soucier. Il revient un peu plus tard avec la chatte amaigrie et sa portée de chatons à moitié morts, dans un panier en osier. J’aurais laissé tout ça crever, jusqu’au dernier. Je suis une mauvaise personne. Je suis loin d’avoir guéri. Je ferais bien de prolonger cette retraite d’une semaine ou deux, voire même de toute une vie.
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aboutanancientenquiry · 1 year ago
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"PRÉSENTATION
La religion des anciens Grecs fait régulièrement l’objet d’introductions et de synthèses. Le présent ouvrage s’en distingue par la réflexion qu’il propose sur la pluralité inhérente à ce système religieux. En effet, la tension entre unité et pluralité, entre général et particulier est constitutive des relations que les Grecs entretenaient avec leurs nombreux dieux. À partir de ce constat, plusieurs questions traversent le livre. Quelle est la pertinence des termes de religion et de polythéisme pour comprendre la Grèce antique ? Doit-on parler de « religion grecque » au singulier ou au pluriel ? Les figures divines se dissolvent-elles dans la variété de leurs cultes jusqu’à en devenir méconnaissables ? Peut-on parler de « croyance » dans ce cadre ? La pratique sacrificielle était-elle strictement locale ou bien fondée sur un arrière-plan partagé par toutes les communautés grecques ? En prenant l’Enquête d’Hérodote comme fil rouge, l’investigation entend rendre justice à un foisonnement de dieux et de rituels, et rendre intelligible la pluralité fluide d’un système complexe, bien loin de l’impression de chaos à laquelle nos propres déterminismes culturels risquent de le réduire.
English summary: The religion of the Ancient Greeks has already been the subject of a whole series of introductions and syntheses whose usefulness is no longer in doubt. The present work differs from them by the reflection it offers on the plurality inherent in this religious system. Indeed, the tension between unity and plurality, between the general and the particular, is constitutive of the relations that the Greeks had with their many gods.
Based on this observation, several questions run through the book: What is the relevance of the terms "religion" and "plurality"? Is there a "polytheism" to understand Ancient Greece? Should we speak of Greek religion in the singular or plural? Do divine figures dissolve in the variety of their cults to the point of becoming unrecognizable? Can we speak of "belief" in this context? Was the sacrificial practice strictly local or was it based on a background shared by all Greek communities? Taking Herodotus' Inquiry as a common thread, the investigation intends to do justice to a profusion of gods and rituals, carefully distinguishing between the fluid plurality of a complex system and the impression of chaos to which our own cultural determinisms risk reducing it.
Vinciane Pirenne-Delforge (born 1963 in Belgium) teaches at the University of Liege and since 2017 has been the Professor of Religion, History and Society in the Ancient Greek World at the College de France. Her main fields of investigation are the ancient Greek religion -particularly its gods and ritual norms-, the functioning of ancient polytheistic systems and the historiography of religions. She has notably published L'Hera de Zeus. Ennemie intime, epouse definitive (2016) and, more recently, Le Polytheisme grec comme objet d'histoire (2018)."
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mmepastel · 2 years ago
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Le titre original est : Les Bouchers… pas sûre que j’aurais été attirée…
Mais des choses étranges se produisent. Qui eût cru qu’une légende irlandaise au sujet de l’abattage de bœuf m’aurait intéressée sur plus de trois cents pages ?
Il faut dire que l’écrivaine est douée, et qu’elle a habilement troussé son récit, en lui donnant la forme d’un mystère, teinté de sang, un genre de polar rural en quelque sorte qui prend à la fin une résonance légendaire.
Et surtout, on suit des personnages terriblement attachants : la jeune Ùna, sa mère, Davey et son père Fionn, qui habitent tous dans la campagne au nord de l’Irlande, sans que ce soit l’Irlande du Nord. La toile de fond est l’Irlande de 1996, qui subit, avec retard, les répercussions de l’épidémie de vache folle, dans une contrée où l’élevage est crucial ; le père d’Úna appartient à un groupuscule étrange qui perpétue une tradition sensée prévenir le pays de la famine, en se fiant à un légende, celle de La malédiction de la veuve du Boucher. Ils parcourent les fermes et procèdent à l’abattage du bœuf avec un rituel précis, quasi religieux. On les considère comme des arriérés, et accessoirement, la vie de famille de ces huit hommes en prend un sacré coup aussi puisque cette méthode requiert leur présence sur les routes de longs mois. La mère d’Úna trouve le temps long, et sa solitude pèse sur son équilibre.
Chez Davey, jeune homme passionné par les mythes (dont celui du Minotaure -évidemment -), ce n’est pas la joie non plus, sa mère, Eileen est gravement malade, et son père ne lui inspire que mépris, depuis longtemps, et notamment depuis qu’il trempe dans un trafic douteux qui tente d’exploiter le « boom du bœuf celtique », le bœuf irlandais non contaminé par le virus anglais. Ces êtres sont liés, vous le devinez, mais on ne saura comment que progressivement.
Il s’agit d’observer le pays en mutation à travers ces quatre personnages, et de mesurer le poids des clichés et des croyances, le penchant rétrograde de ce pays si particulier. Et la mutation de Úna, qui dans l’année de ses douze ans, perd ses rêves et ses illusions, mais découvre sa vocation, pour le moins spéciale.
Encore une fois, tant que le style est bon, on peut m’amener à peu près partout ; j’ai donc suivi les pérégrinations de ces bouchers particuliers, l’émancipation de Davey, et la mue d’Úna avec plaisir et curiosité. L’écriture est précise, souvent piquée de détails crus doux amers, alliée à cette mélancolie désabusée qu’on retrouve souvent chez les auteur.es irlandais.es. La construction du récit est implacable.
Un livre étonnant.
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racout · 7 months ago
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Trad. FR :
Le plus vieil exemple connu du symbole “S Cool”, un sigil aux origines inconnues, découvert sur une pierre runique Viking remontant au Xe siècle ap. J.C.
Ce glyphe a traversé les millénaires et reste très répandu aujourd’hui. Les spécialistes pensent que ses origines n’ont pas de rapport avec la lettre S, et que cela pourrait à l’origine faire partie d’un rituel religieux.
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The oldest known instance of the "Cool S" symbol, a sigil of unknown origin, found on a Viking runestone dated to the tenth century AD.
This glyph has persisted through millennia and is still widely seen today. Scholars believe its origin is unrelated to the letter S, and that it may have originally been part of a religious ritual.
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andrewrossiter1 · 3 days ago
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Dieu s’en mêle, encore une fois!
Prédication par Andrew Rossiter à Bergerac le 2 février 2025. «La Présentation de Jésus». Malachie 3.1-4, Luc 2.22-40
Je suis surpris de découvrir que les récits de la naissance et de l’enfance de Jésus dans l’Évangile de Luc sont pleins de mouvement. De Nazareth à Bethléem et retour (Luc n’a pas inclut l’histoire des Mages dans son Évangile) et puis 38 jours plus tard de Nazareth à Jérusalem et encore une fois retour à Nazareth.
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Nous apprenons que Marie et Joseph prennent le temps aussi bien pour le gouvernement que pour la foi. Ils vont d’abord dans la ville de leur famille pour répondre aux obligations du recensement de l’occupant, et puis ils se sont rendus dans leur communauté de foi pour répondre aux exigences de la présentation d'un nouveau-né devant Dieu.
Combien de personnes étaient présentes ce jour-là dans le temple de Jérusalem? Combien sont venus pour présenter leur nouveau bébé? Tel un metteur en scène d’un film, Luc semble focaliser notre attention sur trois personnes: Marie, Jésus et Joseph. Nous apprenons que cette famille est juive et, profondément liée aux demandes de la loi: ils montent à Jérusalem, ils offrent les sacrifices exigés et observent les rîtes de purification. Tout cela est loin de notre expérience de la fidélité que Dieu demande de nous. Dans notre christianisme bien protestant, il est facile d'oublier qu’ils sont juifs et que ce Jésus est le Messie juif, né d'une famille juive sur une terre juive, pratiquant la religion juive. Voilà notre sauveur.
Luc veut que nous comprenions qui si nous voyons souvent Jésus comme un critique de la Loi c’est parce qu’il n’a jamais abandonné l’exemple qu’il reçu de ses parents. Les accusations que Jésus formule contre des traditions vides pratiquées par les chefs religieux et des rituels et obligations qu’ils exigeaient du peuple ne sont jamais ceux d'un étranger, mais de quelqu'un qui a fidèlement observé la Loi. La religiosité qui contredit le commandement d'amour de Dieu est inacceptable, et Jésus condamne à plusieurs reprises ceux qui tentent de faire étalage de leur sainteté devant Dieu et les autres sans pratiquer l’hospitalité envers leur prochain. Le temple est un espace ouvert à tous ceux qui recherchent la présence de Dieu, et qui fait la différence entre adorer et honorer Dieu et pratiquer l’oppression qui déshonore les autres.
Et puis cette famille rencontre un homme très âgé. Siméon sentait qu'il était temps de partir, de quitter ce monde pour - eh bien, pour ce que Dieu réserve à ceux et celles qui l'aiment et le servent. Il était fatigué, très fatigué. Avait-il encore le temps de voir se réaliser la promesse?
Et un jour, un jour comme les autres, cette famille entre dans le Temple: une mère, un homme, un bébé dans les bras.
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D'une manière ou d'une autre, Siméon savait. Il savait qu'il s'agissait de l'Unique. Que ce bébé était le Messie qu'il avait attendu si longtemps. Il s'approche d'eux. Il demande à la femme sans un mot de prendre son bébé dans ses bras. Elle se laisse faire. Qu’est-ce qu’elle approuve à ce moment?
Siméon tourne les yeux vers le ciel et - il chante. «Mes yeux ont vu ton salut», a-t-il chanté. Jésus, un enfant de quelques semaines, est ce salut tant attendu. Pas seulement le salut personnel de Siméon, mais le don du salut de Dieu, qui vient pour le monde entier. Ce chant reprend le thème de tous les chants de Luc: le salut n'est pas quelque chose qui commencera 33 ans plus tard, lorsque Jésus aura grandi, enseigné, guéri et appelé ses disciples, et lorsqu'il sera enfin crucifié. Dans le fait même de la naissance de Jésus, le salut est arrivé.
Dans ce petit enfant, Dieu est avec nous. Le Dieu saint, l'image même du Père, a pris chair humaine, est devenu vraiment humain dans le sein de Marie. Maintenant, toute chair humaine, tous les hommes et toutes les femmes peuvent commencer le processus de restauration à l'image de Dieu, le renouvellement à la ressemblance même de Dieu.
Et ce n’est pas fini pour aucun d'entre nous. Mais il a commencé pour chacun d'entre nous. Et il ne peut pas être arrêté, ni annulé, pour aucun d'entre nous. Car les paroles de Siméon deviennent les nôtres, sa prière est la nôtre: nos yeux ont vu le salut que Dieu nous donnes pour le monde entier.
Mais la présentation ne s’arrête pas là. Siméon tourne vers Marie et lui dit qu’à cause son enfant beaucoup seront élevé et d’autres vont tomber. Il sera comme un gros rocher sur le chemin: certains vont grimper sur lui pour voir loin et se tenir debout, d’autres vont trébucher et tomber. Et Marie dans l'excitation de sa nouvelle maternité reçoit comme une épée dans son cœur qu’elle va souffrir à cause de son enfant. Elle s'est probablement demandé si elle n'avait pas eu tort de laisser ce vieil homme prendre Jésus dans ses bras. C’est ici que nous entendons les échos de notre première lecture et le commentaire de Dietrich Bonhoeffer (voir en bas de page, texte lut en introduction de la lecture de Malachi).
Et puis Luc introduit Anne. Une femme, une prophétesse car Luc aime inclure des femmes dans ses récits, en laissant une place importante pour leurs témoignages. C’est dommage que Luc ne nous relate pas les paroles de la prière d’Anne, mais elle est là pour confirmer que c’est ce garçon qui va libérer son peuple. C'est elle, et non Siméon, qui est le prophète. C’est Anne qui parle à tout le monde.
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Et qu’est-ce qu’elle nous dit?
Tous deux ont attendu fidèlement l'intrusion d'un Dieu qui s’en mêle des affaires humaines. Tous deux témoignent aujourd'hui de l'arrivée de la paix sur la terre. 
Tous deux, sous occupation étrangère, qui vivent des jours difficiles dans l’incertitude de ce que l’avenir promet: annoncent la présence de la joie de Dieu. 
Tous deux qui voient ce qui se passe dans le monde: la maladie et l’infirmité qui détruit des vies, les dévastations climatiques, les gens qui s’opposent les uns aux autres pour des raisons de couleur, de race, de religion ou d’orientation sexuelle: proclament la présence joyeuse d’un Dieu qui guérit et sauve.
Tous deux qui vivent la difficulté de savoir leur place dans l’ensemble des choses, qui se sentent inutiles et insignifiants face aux menaces terroristes, trop âgés et marginalisées des affaires du monde pour faire une différence: chantent que rien ne peut atténuer la venue des signes envahissants de la paix de Dieu.
Pendant tout ce temps, au centre se trouve «l’enfant». L’occasion de la purification de Marie devient la présentation de Jésus. L'enfant ne gémit même pas, et pourtant, tout ce qui est décrit est centré sur lui. Il est mentionné par son nom qu'une seule fois, dans notre lecture. Ailleurs, il est toujours appelé «l’enfant». Des mots importants pour quelqu'un de si petit! Mais Luc a joué sur ce contraste tout au long de l'histoire de la naissance. Le sauveur du monde naît dans une étable, tandis qu'un autre «sauveur» du monde, César, est assis sur un trône dans la splendeur romaine. Ses parents viennent avec l’offrande des pauvres: deux tourterelles. 
C'est cet enfant, né dans la pauvreté, est le véritable sauveur. Il est le signe de la consolation et de la rédemption de Dieu. Nous attendons avec impatience de voir l'enfant devenir fort, se remplir de sagesse et être béni par la faveur de Dieu. Car malgré tous les détails que Luc tisse dans ce récit, il veut orienter notre regard vers cet enfant en qui est l’accomplissement de la promesse de Dieu pour chacun de nous.
Extrait d'une prédication de 1928: "Il est étonnant que nous restions si calmes à l'idée de la venue de Dieu, alors qu'auparavant les peuples tremblaient devant le jour du Seigneur. Nous nous sommes tellement habitués à l'idée de l'amour divin et de la venue de Dieu à Noël que nous ne ressentons plus le frisson de peur que la venue de Dieu devrait susciter en nous. Nous sommes indifférents au message, nous n'en retenons que l'agréable et le confortable et nous en oublions l'aspect sérieux, à savoir que le Dieu du monde s'approche des habitants de notre petite terre et nous réclame. La venue de Dieu n'est pas seulement une bonne nouvelle, mais avant tout une nouvelle effrayante pour celles et ceux qui ont une conscience.Ce n'est que lorsque nous avons ressenti la terreur de la chose que nous pouvons reconnaître l'incomparable bonté. Dieu vient au milieu du mal et de la mort, et il juge le mal en nous et dans le monde. Et en nous jugeant, Dieu nous purifie et nous sanctifie, il vient à nous avec grâce et amour". (Dietrich Bonhoeffer «A Testament to Freedom», 1995 New York/Harper p.185)
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christophe76460 · 19 days ago
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Je vous aime de l'amour de Yeshoua HaMashiah ❤⚘️
{Matthieu 4:4 }
"Jésus répondit: Il est écrit: L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu"
Tout comme notre corps de chair a besoin de pain et de toutes sorte de nourriture , notre être intérieur (esprit, âme) a besoin de nourriture spirituelle car nous sommes avant tout des êtres spirituels.
La parole de Dieu est esprit de vie , elle pourvoit à nous nourrir pour la vie éternelle. Notre corps de chair retournera à la poussière dont il a été tiré, mais notre souffle de vie, notre esprit, restera pour la vie éternelle.
Notre homme intérieur a besoin de grandir en se nourrissant de tout parole qui sort de la bouche de Dieu. C'est pour cela que Dieu a inspiré les hommes à écrit les Saintes Ecritures qui est la Bible .
Ne vous nourrissez pas de pain seulement pour votre chair , mais nourrissez-vous du pain spirituelle qui nous a été donné comme une manne déscendue du ciel.
Yeshoua est le pain venu du ciel , nourrissons nous de ses paroles .
{Jean 6:32-35}
" Jésus leur dit: " En vérité, en vérité, je vous le dit , ce n'est pas Moïse qui vous a donné le pain du ciel , mais c'est mon Père qui vous donne le vrai pain du ciel . En effet , le pain de Dieu c'est celui qui donne sa vie au monde ". Ils lui dirent alors : " Seigneur donne-nous toujours de ce pain-là ! " Jésus leur dit : " C'est moi qui suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim , et celui qui croit en moi n'aura jamais soif ." "
Yeshoua avant de mourir a dit à ses disciples :
{Luc 22: 19
"..Jésus pris le pain et le rompi et le donna à ses disciple en disant: " ceci est mon corps qui est donné pour vous . Faites cela en mémoire de moi"
Cette commémoration , ne doit pas être un rituel religieux , mais " faites cela en vous souvenant que Jésus a donner son corps pour nous nourrir pour la vie éternelle." Ce n'est pas seulement en mangeant du pain mais en se souvenant de ce que Yeshoua à fait pour nous.
Yeshoua est le pain de vie . Notre pain spirituelle .
En Christ pour toujours❤⚘️
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egyptattractions2024 · 20 days ago
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« Tuna al-Jabal, berceau des secrets anciens et tombeau des dieux et des symboles sacrés.
Tuna al-Jabal est l'un des sites archéologiques les plus remarquables de la ville de Mallawi, dans le gouvernorat de Minya, où il conserve un héritage unique de la civilisation égyptienne ancienne. Ses catacombes et ses chambres de momification méticuleusement excavées révèlent les secrets des rituels religieux et de la vie spirituelle des anciens Égyptiens. L'Égypte est le charbon des secrets, c'est pourquoi les circuits en Égypte que nous proposons vous aideront beaucoup dans votre voyage de découverte.
Tuna al-Jabal était célèbre pour avoir momifié des oiseaux sacrés tels que des ibis et des babouins, qui incarnaient le dieu Thot, le dieu de la sagesse et de l'écriture. Le site est situé dans le centre de Mallawi, dans le gouvernorat de Minya, sur la rive ouest du Nil, délimité à l'est par des terres agricoles et à l'ouest par le désert qui embrasse ses trésors. Vous pouvez commencer vos excursions à partir des attractions du Caire qui vous donnent une grande opportunité d'en savoir plus sur la civilisation de l'Égypte.
La région a servi de vaste cimetière et d'important centre religieux à la fin de l'Égypte ancienne, où elle était consacrée au culte et à la momification. L'utilisation de Tuna al-Jabal comme cimetière a commencé à l'époque ptolémaïque et s'est poursuivie jusqu'à l'époque romaine. Le nom « Tuna », qui signifie « frontière » en égyptien ancien, lui a été donné parce qu'il s'agissait de la frontière de la ville d'Ashmunin, centre de culte du dieu Thot.
Ces dernières années, de nouvelles momies ont été mises au jour, certaines dans un état de conservation exceptionnel. Le guide de voyage de l'Égypte sera donc l'adresse idéale pour explorer le pays. Ces découvertes ont aidé les chercheurs à mieux comprendre les rituels de momification de l'Antiquité.
Les techniques modernes de prospection, telles que le radar de sol, ont permis de mettre au jour des cryptes et des chambres jusqu'alors inconnues, ce qui nous permet de mieux comprendre comment les anciens Égyptiens aménageaient cette zone.
Tuna al-Jabal est confronté à plusieurs défis, notamment le changement climatique et les fouilles illégales. Le ministère des Antiquités déploie des efforts considérables pour restaurer et protéger ce site unique, en plus de le mettre en valeur en tant que site du patrimoine mondial.
Tuna al-Jabal n'est pas seulement un site archéologique, c'est un témoignage vivant du génie des anciens Égyptiens en matière d'ingénierie, de rituels religieux et de momification. Ses catacombes et ses chambres creusées dans la roche racontent les liens entre l'homme, la nature et les dieux. La conservation de ce site est une responsabilité collective qui doit permettre de transmettre cet héritage aux générations futures.
Si vous voulez en savoir plus sur la vie des Égyptiens, Le Caire, avec ses nombreux sites, est votre destination pour les miracles du monde. Le Caire islamique comprend de nombreux monuments islamiques, Saqqara, l'ancienne capitale, Memphis, l'une des plus belles villes, et le Grand Sphinx de Gizeh, la statue la plus étrange du point de vue de son apparence, ainsi que le Grand Musée égyptien, le nouveau qui attire de nombreux touristes.
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rigvedanew · 28 days ago
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Le rôle des saisons dans l’organisation des rituels védiques
Dans la civilisation des 7 rivières, les saisons jouaient un rôle central dans l’organisation des rituels religieux. Chaque période de l’année apportait des énergies spécifiques, et les rituels étaient conçus pour s’harmoniser avec ces cycles naturels. L’Agnistoma : un rituel clé du printemps Parmi les rituels les plus importants, l’Agnistoma occupait une place unique. Ce rituel, dont le nom…
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christian-dubuis-santini · 1 year ago
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Se réveiller d'entre les mots
Dans la logique des discours (acception lacanienne) - et donc dans le rapport de la place et de ce qui occupe cette place - il y a deux scénarios qui suscitent un malaise qui confine au dégoût: le bon objet à la mauvaise place et le mauvais objet à la bonne place.
Dans le premier cas, un visage gentil et innocent se métamorphose en monstre terrible pour exprimer l'horreur, l’illustration la plus frappante est peut-être la jeune héroïne du film L'exorciste...
Mais le scénario inverse n’est-il pas encore plus terrifiant, lorsque le texte sublime est profané par le mauvais énonciateur?
Chez Heinrich von Kleist, il y a ce cas où le "méchant" (la brute stupide) s’approprie le sublime du chant rituel religieux pour parvenir à ses fins, ce qui rend l'impression de dégoût plus prégnante encore.
Lorsque j’entends certains "psychanalystes" parler d’amour ou de désir, citer Freud et Lacan, cela produit le même effet.
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latribune · 29 days ago
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miaou-tseu · 2 months ago
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Le trauma de la victime et celui du bourreau
1° Le peuple juif face à des traumatismes multiples
Le premier traumatisme, celui de la Shoah, a marqué l'histoire du peuple juif d'une blessure indélébile. Les conséquences psychologiques et culturelles de cet événement continuent d'impacter profondément les générations qui ont suivi.
Aujourd'hui, un autre traumatisme semble émerger, mais il est différent : il ne s'agit pas tant d'une réalité absolue bien que les preuves semblent s'accumuler, au point de ne plus pouvoir être mise en doute. Dans un contexte marqué par des conflits persistants au Proche-Orient, l'image d’Israël a évolué dans les consciences collectives. Certains ressentent une forme de honte ou de culpabilité face aux accusations de violences exercées contre d'autres peuples. Ici, la comparaison avec l'Allemagne d'après-guerre n’est pas une équivalence historique... non ... mais une réflexion sur la façon dont un groupe humain peut être façonné par le regard extérieur et le poids de ses actions réelles ou perçues.
2° La circoncision
À cela s’ajoute une réflexion plus intime sur la circoncision, un rituel culturel et religieux profondément ancré. La question du consentement, posée de manière contemporaine, interpelle sur les droits individuels face aux traditions collectives. Mais au-delà du débat éthique, une question demeure : que pense l’enfant de cet acte qu’on lui impose ? Que ressent-il à ce moment précis, lui qui ne comprend ni le sens ni la raison de la douleur infligée ? Peut-être que cette mémoire du corps, silencieuse mais persistante, laisse une empreinte invisible qui résonne dans l'inconscient, nourrissant un trauma que personne ne voit, mais que l'enfant emporte avec lui.
3° Le piège de la sublimation de la souffrance
La sublimation de la souffrance, c’est transformer la douleur en un idéal ou en une justification. Si elle peut parfois libérer, elle conduit aussi à glorifier la douleur, à la revivre sans fin, ou pire, à la faire subir à d’autres. Cette glorification ne mène pas à une véritable guérison, mais à un cycle de souffrance perpétuelle.
Les régimes tyranniques ont toujours su exploiter cette dynamique. Ils manipulent les traumatismes collectifs pour asseoir leur pouvoir, en cultivant la haine, la peur ou le désir de vengeance. Ils se présentent tantôt comme sauveurs, tantôt comme martyrs, légitimant ainsi leurs abus et leur domination. Mais cette manipulation ne sert qu’à nourrir un égocentrisme destructeur, éloignant individus et sociétés de leur essence profonde, de ce que l’on pourrait appeler l'être naturel, un état d’équilibre et d'harmonie avec soi-même et avec les autres.
4° Conclusion : une réflexion ouverte
Trauma individuel ou collectif, souffrance sublimée ou exploitée… Tout cela interroge notre capacité à guérir, à nous libérer des cycles destructeurs. Peut-être que l’avenir, avec ses avancées – psychologiques, technologiques ou spirituelles – pourra offrir des solutions nouvelles pour que ces traumatismes ne deviennent plus des prisons, mais des leviers d’évolution.
Jeanne acœur de pierre
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davidrmaas · 2 months ago
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Adorer la Bête
Les propagandistes de l'Empire encouragent les hommes et les femmes à prêter allégeance et à idolâtrer César, la Bête impériale de la mer.
Dans le Livre de l'Apocalypse, le “Faux Prophète” utilise le symbolisme religieux et le contrôle économique pour persuader les habitants de l'Empire Mondial de rendre hommage au Trône impérial. Que ce soit par la force ou la persuasion, le but reste le même. Les hommes qui refusent de se soumettre et de vénérer la “Bête” sont exclus de l'activité économique et donc appauvris.
Depuis la Tour de Babel, les monarques et les empereurs ont encouragé leurs sujets à vénérer leurs régimes absolutistes. Antiochus IV Epiphanes se croyait le fils de Zeus, le culte impérial romain encourageait les peuples soumis à offrir de l'encens à l'image de César, Filio Dei ou “fils de Dieu” comme on le lisait sur les pièces de monnaie romaines, et il en est ainsi à ce jour. Les termes et les rituels spécifiques varient au fil du temps et de la géographie, mais César et l'État continuent d'exiger une allégeance totale.
En peignant son tableau, le Livre de l'Apocalypse utilise un terme grec graphique pour décrire l'agenda du “Dragon”, mais son sens est perdu dans de nombreuses traductions anglaises, françaises et autres. Le “Faux Prophète” exploite l'autorité de la “Bête de la Mer” pour inciter les hommes à “adorer la Bête”.
Le verbe grec ‘proskuneô’ traduit par “adoration” ne signifie pas le faire comme dans l'adoration rituelle d'une divinité. Le sens est de “se prosterner” devant quelqu'un de rang supérieur, de “rendre hommage” et de vénérer autrement cette personne comme si elle était divine. Ce terme combine la préposition grecque ‘pros,’ qui signifie “vers”, avec le mot pour “baiser”. En d'autres termes, une image de se prosterner pour embrasser l'ourlet de la robe du dignitaire.
De là vient l'idée de “rendre hommage” à un suzerain. La pratique consistant à prêter allégeance à des personnes, des causes et des gouvernements représente le mieux l'idée dans un contexte moderne. C'est ce que fait le “Faux Prophète” en amenant des individus, des peuples et des nations entières à se soumettre à la “Bête de la Mer”. Si ce Maître Trompeur ne peut persuader les hommes par des mots et des tromperies, il emploie la coercition économique.
Les “Habitants de la Terre” qui suivent la “Bête” ont son “nombre��� marqué sur leur “main droite”, mais les disciples de “l'Agneau” ont son nom “écrit sur leur front.” La “Marque de la Bête” est la contrefaçon du “Sceau” de Dieu reçu par Ses “serviteurs.”
“Les Habitants de la Terre” qui prennent la “marque” bestiale sont légalement autorisés à faire du commerce, à “acheter et vendre.” Les adeptes de “l'Agneau” sont exclus de la vie économique de la société et de l'empire. La loyauté envers la “Bête” a ses récompenses. Rester fidèle à “l'agneau” signifie une perte personnelle.
L'humanité est divisée en deux groupes: ceux qui suivent “l'Agneau” et ceux qui prêtent allégeance à la “Bête de la Mer”. Il n'y a pas de juste milieu. À qui un homme donne son allégeance détermine si son nom est inclus ou exclu du “Livre de vie” - (Apocalypse 13: 16-18).
[Photo de Tucker Monticello sur Unsplash]
[Lire l'article complet sur le site Réflexions prophétiques]
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