#retour à la bien aimée
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stéphane ✨️
yo j'suis tjrs vivante ✌️ (les cours c'est pas des lol)
jme suis accommoder au bordel qu'est capcut...anyway
ptit édit fait à la va-vite
film un peu mid mais la photo était joliiiiie comme tout (contente d'y retrouver my swiss drama bitch)
#retour à la bien aimée#jean françois adam#1979#cinéma français#bruno ganz#plus je regarde de films où il joue dedans PLUS je l'adore 🙏#sometimes bby gurl is simply a chesnut guy with a strong german accent
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Top 100 Most Visited Websites on sitelike.org
Top Most Visited Websites and domains – page 1 Source : Top 100 Most Visited Websites on sitelike.org le plus grand marabout Vodoungnon vous accompagne dans vos demandes a la suite d’une solution à vos problèmes spirituels ou charnelle. Ce marabout es puissant et intervient dans les domaines comme : la chance ,la voyance ,le retour affectif immédiat, la richesse sans aucune conséquence. Pour…
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#astuce pour faire revenir son ex#astuce pour faire revenir un homme#astuces de couple#échec retour affectif#bain pour attirer lamour#bougie rouge sorcellerie#car il est parti et vous vous demandez s’il est possible de faire revenir son ex rapidement par la magie#challenger son couple#comment améliorer sa relation amoureuse#comment ameliorer son couple#comment appeler son âme soeur#comment bien revenir avec son ex#comment changer dans un couple#comment consolider son couple#comment dire à son ex qu’on laime#comment envouter une fille avec son nom#Comment exécuter un rituel de retour d’affection immediat#comment faire pour qu&039;il revienne de lui meme#comment faire regretter son ex#comment faire revenir l&039;etre aimé avec une photo#comment faire revenir son ex#comment faire revenir son ex avec une photo#comment faire revenir son ex copine#comment faire revenir son ex islam#comment faire revenir son ex qui est en couple#comment faire revenir son ex rapidement#comment faire revenir un homme gémeaux#comment fonctionne un homme au début relation#comment garder une relation amoureuse durable#comment le fair revenir d une autre
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Aimer c'est se comprendre Sans se parler. Aimer c'est apprendre à se respecter. L'amour est un cadeau, Qu'il ne faut refuser, Car c'est le plus beau Que l'on peut espérer. Aimer, c'est avoir le coeur Qui ne bat que pour l'être, Qui nous donne du bonheur Et nous apporte le bien être. L'amour est comme une fleur, Doucement il s'épanouit. C'est un état de douceur Qui rend si belle la vie. Aimer, c'est offrir à l'être aimé Sans rien attendre en retour. Aimer, c'est donner sans compter, C'est offrir tout son amour. L'amour est un état d'esprit, Plein de moments uniques Qui remplissent notre vie D'instants magiques. Aimer, c'est offrir son coeur Et se donner entièrement. Il ne faut pas avoir peur De ses sentiments.
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Candaulisme
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
Un soir, au retour d’un apéritif d’entreprise improvisé, ma femme ayant préféré rentrer à la maison pour ne pas me laisser seul (même si lorsqu’elle m’a appelé au téléphone pour me prévenir je lui ai laissé comme d’habitude la décision d’accompagner ses amis ou pas) , vint me rejoindre dans la pièce bureau de notre maison.
« Hello, chéri » m’adressa-t-elle en venant me gratifier d’un baiser rapide sur les lèvres « Tout va bien ? Ta journée ? »
« Oui, et toi ? Tu aurais pu rester tu sais...je travaille à mon prochain livre...Je t’ai préparé le repas...Tu trouveras tout de prêt dans la cuisine... »
« Merci Chéri me glissa-telle à l’oreille tout en m’embrassant à nouveau et en se collant contre moi... »
« Oh...toi... ! lui fis-je remarquer...toi, tu as quelque chose à me raconter...§ Je te connais tellement...Viens... »
En m’embrassant, elle s’était effectivement appuyée assez significativement contre moi ...Son odeur...Sa chaleur...Ses adorables seins qui pointaient au travers de son chemisier un peu plus ouvert qu’à son départ au matin...
« Hummm me fit-elle en minaudant...Euh, oui enfin, pas grand-chose...mais il faut que je te dise... A l’apéro ce soir, à la guinguette à côté de notre boite, il y avait pas mal de monde et on a un peu dansé. »
Ma femme adorait danser et j’adorais la voir danser ou savoir qu’elle avait été heureuse en dansant...Elle était belle et dansait réellement avec grâce et légèreté...ce qui ne manquait pas d’attirer plus encore les regards sur son corps entretenu.
Ce faisant, alors qu’elle continuait à embrasser mes lèvres avec une réelle et non feinte gourmandise, me bécotant, je passais ma main sous sa courte jupe du vendredi, une habitude du "vendredi tout est permis" chez elle, se permettant ainsi de ne rien porter en dessous...Elle était alors si sexy...Elle avait aussi ce soir là ajouté une de mes cravates sur son chemisier pour un effet « woorking-girl » libérée qui lui allait particulièrement bien...
« Oh...toi...C’est bien chaud et bien humide tout ça », lui dis-je en parcourant sa chatte aux lèvres déjà accueillantes et entrouvertes...
« Hummmm...Toi, tu as été coquine ce soir...Coquine... ? Très coquine... ? Raconte-moi !»
Elle s’assit ainsi sur moi en faisant tourner mon fauteuil pivotant...
« En fait, rien de prévu mais après un Mojito et quelques danses avec les collègues, un jeune homme s’est approché de moi et m’a fait du gringue...Imagines-toi qu’il est voisin...Il vient d’arriver dans la boite d’à côté et m’a dit qu’il m’avait souvent vue arriver le matin, que j’étais toujours super habillée et souriante...Il arrivait tôt car débutant et s’installait à une fenêtre de leur espace café en attendant l’arrivée des autres ... On a alors discuté, il m’a proposé un autre verre et on a fait quelques danses car il y avait une série de rock et tu sais que je ne sais pas résister à cette danse... Il danse d’ailleurs très bien pour un jeune d’une autre génération de musiques...D’un pas à l’autre , on a ri, on a discuté et à la fin de la série de danses, il m’a prise par l’épaule pour qu’on discute un peu à l’écart...Là, et j’ai réellement aimé ;, il ne m’a pas caché son attirance, qu’il aimerait me revoir, m’a donné son téléphone...Il est bien bâti comme j’aime, car joueur d’une équipe de rugby du village d’à côté...Son sourire était trop craquant et aussi un peu sa timidité...Il rougissait mais était tellement sincère que s’en était touchant...J’ai craqué... ! Je l’ai embrassé...Il n’en revenait pas... et surtout il m’a indiqué ma bague...Je l’ai rassuré en lui disant qu’il ne risquait rien et que j’avais le plus incroyable et merveilleux des maris qui me laissait totalement libre...Il n’en revenait réellement pas, enchaînant les « Mais... ? » incrédules...Aussi, je lui indiquais de rester là quelques instants , le temps que je t’appelle...Je t’ai appelé et ai décidé de te rejoindre, aussi , en retournant vers lui et en saluant les collègues de bureau, je l’ai pris par la main et entrainé sur le parking...Il faisait déjà nuit et ne lâchant pas sa main, je me suis appuyée sur ma voiture pour l’embrasser de nouveau et lui indiquer que nous ne serions pas sans nous revoir … ».
Pendant que ma femme me racontait son histoire, elle avait aussi remonté sa courte jupe sur ses merveilleuses fesses et se frottait sur mon sexe qui ne cessait de grandir au travers de l’étoffe de mon pantalon...
Je bandais comme un fou...
J’ouvrais adroitement ma braguette pour qu’elle s’empale sur mon dard à son zénith et rapidement elle « dansait » sur ma bite tout en continuant son adorable récit d’adorable salope qu’elle avait su être et plus encore à cet instant, qu'elle était...
Je crois que c’est elle qui me baisait pour être honnête...
Elle se déchainait et je réussi à attraper la cravate, sa cravate, ma cravate pour la tenir comme en laisse ou avec un guide et suivre le rythme qu’elle voulait comme un cow-boy suit le rythme de son cheval déchaîné tout en tentant d’en garder la maîtrise... !
Elle continua en me décrivant comment elle l’avait sucé entre les deux voitures, au risque de se faire voir par ses collègues qui ne devaient pas tarder à quitter l’établissement festif...
Elle me narrât en détail la queue de ce nouvel amant, son poids, sa forme, sa puissance, sa liqueur, son abondance et surtout le plaisir qu’elle avait pris à le sucer sauvagement sur le parking, le garçon toujours aussi incrédule de la bonne étoile de cette soirée...
Elle m’expliqua aussi combien il lui fut difficile d’arrêter sa main pendant le trajet du retour vers la maison et combien son esprit naviguait entre la queue de ce jeune homme et la mienne, impatiente de se faire démonter...
« Chéri...On sort ce soir ! J’ai trop envie...Je suis impatiente de toi, d’autres, des autres et de lundi... Je crois que pendant un moment je vais avoir le sourire en allant au boulot le matin... ! »
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
La soirée était loin, très loin d’être achevée...
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Qu’est-ce que j’avais imaginé ? Pas de portes fermées ni de temporalité limitée, au contraire, l’abolition du temps, quand l’écriture entre en vous et que le moi disparaît, un instant privé de prolongement, quand soudain vous réapparaissez et qu’en un éclair c’est terminé, quand une chose dont vous ne comprenez pas qu’elle puisse être scintille sous vos yeux, quelques heures sont écoulées, trois, peut-être quatre, mais pas six, ça me consumerait, il n’y aurait plus rien ni personne ; à mon retour je ne veux pas être éteinte, épuisée, bien sûr que non, un peu étourdie, ça oui, mais bienheureuse, enrichie, saturée de désir et d’envie pour tout ce qui existe, le monde et la vie quotidienne, toi, mes bien-aimés, le chien, cet animal d’une prodigieuse stupidité, oui et oui, l’écriture ne doit pas être une souffrance, ça n’a pas de sens, c’est une projection, un mythe auquel je ne crois pas tout comme je ne crois pas que renoncer au monde et à la vie aboutirait à un art plus grand, bien au contraire, il s’agit de la vie, l’écriture est une adresse, au monde, à toi.
Madame Nielsen, Lamento
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La maître de stage m'a rappelée car je l'ai relancée. Sinon elle aurait probablement oublié. Je savais que c'était non. On oublie pas de prévenir les gens quand c'est positif. Elle m'a donc appelée ce matin, et elle ne m'a pas dit frontalement non, en fait, elle m'a dit "tu serais mieux avec une neuropsy, au moins tu verrais peu de patients et puis tu as une licence de biologie ". Le versant académique pourquoi pas, en effet, un stage en neuropsychologie j'y vois aucun inconvénient, c'est le côté, encore une fois, de se cacher du public parce qu'on est pas comme les autres. Je l'ai interrompue pour lui dire que ce serait plus poli de me dire non explicitement, alors elle l'a dit, puis j'ai commencé par "c'est dommage" et elle m'a coupée pour me dire "c'est comme ça plutôt". C'est vraiment marrant cette phrase c'est comme ça, on l'a dit très régulièrement pour à peu près tout et n'importe quoi mais elle ne veut jamais rien dire pourtant. Il n'y a pas un monde où c'est comme ça ça a du sens. On le dit toujours quand on est à court, peut-être quand on sait qu'on est en tort, qu'il n'y a pas grand chose à faire, que c'est condamné, qu'on ne s'investira pas plus dans la quête d'une réponse stable et sûre. C'est l'inexorable point de non retour, celle de l'autre qui ne sait pas plus ou qui ne veut pas savoir plus. Mais moi j'aurais voulu lui dire que c'est dommage de condamner quelqu'un de cette manière surtout dans une telle profession, que c'est dommage de réduire quelqu'un à une pathologie passée qui plus est, que c'est triste d'avoir si peu d'espoir en les autres et par extension pour soi, que c'est dangereux de travailler avec des enfants malades quand on pense que tout est joué d'avance, que c'est dommage d'avoir un esprit si fermé lorsqu'on a le devoir me l'ouvrir, que c'est dommage de consciemment anéantir les efforts de quelqu'un et remettre en question sa résilience, son parcours de soin et sa légitimité à aller mieux.
Ça m'a rendue triste et en colère. Je savais que ce serait non mais j'ai gardé une sorte de lumière, celle que j'aurais aimé qu'elle ait, qui lui fasse se repositionner sur des avis bien trop tranchés et tranchants. J'aime pas me sentir mal d'être moi même, regretter des choses irréversibles, irratrapables et quelque part nécessaires. Je n'aime pas et pourtant c'est ce que j'ai ressenti quand on a raccroché. Une sorte de fatalité. L'impression qu'on a mis un coup de scalpel dans mes cicatrices histoire d'être sûre qu'elles ne se refermeront jamais
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Some of my poems (in french and english)
Also, reblogs and any form of interactions always appreciated
Not all of my poems are there but ye
Eng: I always write free verse poems by the way. I let my pen guide me when I write.
FR: Je fait tout le temps des poème en vers libres by the way. Je laisse mon stylo me guider quand j'écris.
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Court poème sans nom/ short poem without a name
Prairie des montagnes, fleurs de moneuil.
Les oiseaux chantent dans un son aigu l'arrivée du printemps
Ainsi que la saison des amours.
Les petits renardeaux attendent le retour de leur mère
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Les facettes
Douce expression de soi sans effroi.
Un savoir si grand et sage, malgré son jeune age
Jolie voix, Grand cœur froid
Une surface parfaite, ce n'est qu'une facette.
Les oiseaux chanteron ils encore demain ?
Il paraît heureux, mais c'est bien plus brumeux.
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fin de bataille
Rosée du matin, feuilles de Bambou. La fin de la guerre, le Samourai à terre. Les enfants ne courent plus. Il n'y a désormait que la melancholie du chant des oiseaux.
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Brises d'Hiver
Un hiver froid, les joues Rouges La neige et les arbres sans feuilles, les animaux hibernent, les bois sont calmes Le vent froid, les écharpes. L'Hiver s'annonce rude mais quelque peut réconfortant.
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Longer love poem
Ils étaient là, dans le lit. Lumière tamisée, ambiance romantique et Relaxée.
Une intimitée semi présente. Intimitée entre deux corps encore trop jeunes pour fusioner mais pourtant. Ils étaient là. Stressés et amoureux sous la faible lumière des leds accrochées au plafond.
Le silence, le bruit de leur coeur qui battent à la chamade. Ces deux corps relaxés dans un baiser. Enfin, après échange de salive, Ils se détendent dans un monde de rêves anjoleurs au de lendemain.
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Ce cœur.
Ce cœur qui hais
Ce cœur qui trahis
Il a pendu ses amis
ceux avec qui il a rit
Ils sont maintenant partis; tout est fini.
Ca coeur qui trahis, lui qui a tand aimé, mais il a aimé. Il deteste aimer. Il se sent blessé, car il a perdu tout ce qu'il avait de plus cher.
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Douce voix de Soprano
Cette douce voix de soprano qui transperce les cristaux de mon cœur Cette voix Si douce, comme une rangée de Jonquilles qui se faufile dans le creux des fissures de mon âme.
Cette voix de Soprano qui mue, un changement désespérant. On ne fait pas de miracles.
Il faut Chanter malgré les changements, Chanter malgré le désarroi, Chanter avec espoir
Le changement est normal, jeune Soprano. Alors continue de faire chavirer mon coeur avec ta voix et ton cœur pur.
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Fr:Poème dédié à Carlo du Jeux Lies of P
Eng:poem dedicated to Carlo from lop
Des yeux marrons
des yeux marrons, un sourire malicieux un rêve dangereux mais ambitieux
des yeux marrons, un sourire perdu
Si seulement il lui avait fait ne serait-ce qu'un câlin
Des yeux marrons, un cœur brisé
Tout ce qu'il voulait était sa reconnaissance mais il n'est même pas venu pour la remise des diplômes
Des yeux marrons, un cœur perdu
Seulement la haine pour lui reste, l'amour n'est plus.
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Poem dedicated to Roméo de Lies of P
(Celui ci n'a pas de titre, ça m'arrive souvent)
(This one doesn't have a title, I often do that)
Des cheveux blonds aussi beau que l'or des rois aussi clairs que les reflets du soleil
Un cœur courageux coeur de poète, cœur théatrale
délicat comme de la soie, sensible comme une fleur de lys
Beau en scène comme à la ville
Beau comme la vie, grand comme un chêne.
fidèle comme une ombre
Une sensation de chaleur dans ces yeux bleus teintés de marron
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FR: Poème dédié à mon OC, Ayezl.
Eng: Poem dedicated to my OC Ayezl.
The goddess of ice and her bottled up emotions.
She gets mad at every little thing because her heart is in pain. She does ballet to help her go through strong emotions.
She dances to make the pain go away.
A dance so graceful, and yet, it aches.
She tries not to think about it too much like.
But, it always ends up like an explosion of feelings with tears burning her cheeks like acid.
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FR: Poème dédié à mon petit ami (enfin, l'un d'eux.. oui je suis poly tu va faire quoi?? XD)
Eng:Poem dedicated to my boyfriend (well, one of them.. yes I'm poly what you gonna do?? XD)
My sweet dove, as sweet as love
My Sunshine in the sky
a light in my heart who became a part of my mind and Soul
This scary experience named unconditional love.
Love is for us to share
No matter how strong the emotions
No matter what, our love will remain.
For as long as it can, wishing it could be forever.
This feels like a fever dream.
Is it really happening? Or is it just an addicting hallucination..?
I can only imagine the day we meet for now and dream about it.
My dearest, my tulip, my darling, my love. But your prettiest name is [his name]
FR: (Oui je ne dit pas son nom, because confidentialitée mon ami 🥸)
Eng: (Yes I won't say his name, because confidentiality my friend 🥸)
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Mais pourquoi tant de haine ?
Il ne sert à rien de ce cacher derrière son petit doigt et de se raconter des bobard en faisant semblant de les croire : la célèbre histoire de Titin de Martigues et de la sardine qui avait bouché l'entrée du port de Marseille a fait long feu. La dernière fois que je l'ai racontée en entier, je devais avoir 7 ou 8 ans ! Osons parler français (un des grands problèmes du moment !) et reconnaître qu'il existe, ici et là (ou, depuis peu, ici ET là !) une véritable haine de la France, par des ''français'' dont la définition approximative explique sans doute bien des choses...
Bref retour sur image : il estune question utile que tout le monde, pourtant, se refuse de poser honnêtement : ''Qu'est-ce qu'un français ?'', ou : ''Qui est français ?''. La réponse pourrait sembler multiple, puisqu'elle peut aller de souvenirs honteux timidement avancés par le côté droit de l'échiquier politique jusqu'aux hurlement d’orfraie poussés par principe par l'aile gauche du même éventail : quand les premiers murmurent et s'excusant des notions de culture, de maîtrise d'une langue, d'impression ''d'appartenir'' et d'identification avec un mode de vie... les autres trouvent suffisant d'arborer un bout de papier, fut-il frauduleusement obtenu à coup de mensonges et d'approximations. Il ne faut pas longtemps pour trancher entre qui respecte le sens des mots et qui en ignore le sens.
En fait, après quelque quinze siècles de construction d'une Nation (ce ''cocon'' qui est ou devrait être ''un combat permanent''), on retombe toujours sur Ernest Renan qui, le 11 mars 1882, prononça à la Sorbonne une conférence sur l’idée de Nation... Trente pages qui servent toujours de référence. La France, d'après Renan, n'est pas une race, mais c'est une langue, une religion, une culture, une communauté de géographie, d'histoire, de souvenirs et d’intérêts. C'est une âme, un principe spirituel, un consentement, un désir de vivre ensemble et –la formule est restée célèbre--, ''un plébiscite de tous les jours''.
Il est évident que les glissements sémantiques qui servent actuellement de non-arguments à une Gauche qui a elle-même perdu son âme (si elle en a eu une, puisque tous ses efforts s'épuisent à refuser d'en avoir une et à faire croire qu'elle n'existe pas), pèsent peu de poids devant la lourde démonstration de Renan, et la cause devrait âtre tranchée : après ce chef d’œuvre, nul besoin de perdre sont temps à nommer un ou plusieurs ''Comités Théodule'' pour plancher sur ce sujet. Sans souci de ses origines, un français ''de papier'' (d'ailleurs souvent de très mauvais gré ou par le hasard d'un lieu de naissance) ne saurait être comparé, sur aucun point, à un ''citoyen français'' dans la pleine richesse de ce que ce terme véhicule de beau, de grand, mais aussi de complexe. La cause devrait être entendue et les faux arguments, rejetés.... ce qui résoudrait ce problème qui taraude et détruit notre pays.
Contre les mensonges proférés à longueur d'année par les europhiles bruxellois, l'européen de ce XXI ème siècle nage en réalité dans un désespoir permanent, sans cap, sans boussole, et ayant perdu son histoire et ses origines. L'Homo festivus (le mot est de Philippe Murray) des années '60 a été remplacé, sans vraiment le vouloir, par un ''Homo desperatus'' à qui des faux guides mal intentionnés font croire qu'il a une chance de trouver une guérison dans des idéologies mortifères ou des lois ''sociétales'', toutes contre nature, dans sa propre déconstruction, dans le rejet de ''soi'', dans l'auto-dénigrement de tout ce qu'il a été, dans le rejet et la haine de ce qu'il est, de ce qu'il rêve (encore) d'être, et dans la négation de tout ce qu'il a aimé... et aime encore, sans oser le dire. Et et face... Rien ! Le néant absolu, le vide glacé d'un monde-à-venir sans réponses, sans solutions, sans espoir...
En refusant de lui reconnaître non seulement une existence –comme les autres animaux-- mais aussi une essence –comme un ''animal bien à part'', les idéologies de la déconstruction privent l'homme de toute possibilité de salut, de réalisation et, répétons-le, d'espoir, c'est-à-dire de redevenir pleinement humain –au sens où notre civilisation dite judéo-chrétienne avait réussi à l'élever... Le monde actuel ne nous permettra bientôt plus que de rêver à des fausses richesses intermédiaires : les plaisirs éventés, les jeux de hasard pipé, des réussites matérielles convenues, ou... des jeux olympiques ! ''Panem et circenses'', en trois mots.
Le libéralisme, le modernisme et le progressisme ont entraîné un basculement majeur dans la pensée éthique de notre civilisation, qui s'est ainsi trouvée dépossédée de ses protections. Une des conséquences de ce pas de côté est une tentation de détestation de l'humanité, ''...puisqu'elle m'a déçu'' ! En réalité, nous vivons sur une nouvelle forme d'éthique : une éthique sans ''ethos'', donc sans lien avec nous-même ! Une liberté frelatée et changeante devient seul arbitre du Bien et du Mal, qui n'ont plus de définition universelle mais sont ramenées à ''notre bon vouloir de l'instant'' : l'homme, ''libéré'' (sic !) de toute morale, deviendrait ainsi la source unique de sa propre vérité, rebaptisée ''LA'' Vérité, elle aussi libérée (tu parles !) de toute influence normative ou de tout héritage civilisationnel... ce qui revient à dire : privée de murs porteurs.
A l'échelon de la Cité, cela a vite fait de devenir la disparition de toute responsabilité du politique envers les citoyens. Nous l'avons enduré avec l'absurde ''Quoi qu'il en coûte'' macronien, qui nous a plongés dans un gouffre dont nous sortons mutilés à jamais, car s'il n'existe plus de ''mètre étalon'' des vertus cardinales (Prudence, Tempérance, Force d'âme, Justice), la Loi perd son ''L'' majuscule. Au nom de cette fausse liberté (assimilée à un devoir d'obéissance aveugle à toutes les injonctions du Pouvoir en place), je peux donc faire ou dire ce qui me plaît, à chaque instant : je vais m'inventer de ''nouveaux Droits'', fonctions de mon bon plaisir du moment, et tant pis s'ils entrent frontalement en contradiction avec les autres ''Droits'' et les grands principes : je suis libre, non ? (re-''tu parles'', bis !). Et d'ailleurs, si ''tout se vaut'' et si ''tout est construction'', tout peut se transformer, et on peut recréer l'homme... un homme prétendu ''nouveau'' --bien entendu sur le cadavre de son prédécesseur, volontairement détruit pour permettre cette monstruosité !
La potion est dure à avaler : un immense dispositif dévastateur a été mis en place (NDLR : Par qui ? C'est une autre question qu'il faudra bien regarder en face, un jour) pour créer une alternative-leurre à la Vérité –qui est et ne peut être qu'une, non négociable, intangible et indiscutable--, et le piège a failli se refermer. Il semble cependant que, partout, d'immenses vagues se dressent et qu'apparaît enfin une première chance de balayer l'affreux édifice de mensonges que nous avons laissé ériger entre nous... et nous ! Au fond, cette crise de haine contre nous-mêmes pourrait n'être qu'une mode qui ira se noyer dans l'océan des mauvaises idées à oublier au plus vite !
H-Cl.
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PAR UNE NUIT ROMANTIQUE...💞
Romantique est la nuit
Éclairée d'une bougie
Parfumée par les fleurs
Les prémices du bonheur
Mon cœur est en émoi
Quand tu me prends dans tes bras
Pour une étreinte passionnée
Pour un baiser insensé
Quand la danse de l'amour
Commence son premier tour
Rien n'a plus d'importance
Que ce moment de transe
Un moment de magie
Ou tout est féerie
Tout est beau à nos yeux
En cet instant merveilleux
Puis retour au calme
Avec un "je t'aime"
Chuchoté à l'oreille
Au bord du sommeil
L'amour est si beau
C'est un divin cadeau
Quand on le vit à deux
Alors on est heureux
~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Que votre nuit soit magique et peuplée de jolis rêves dans les bras de votre bien-aimé(e) ou de Morphée ! 💫
#au-jardin-de-mon-coeur
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La lumière sous la porte
Les livres ont une grande place dans mon cœur. J’aime les lire, les toucher, les sentir. J’aime les exposer, voir leur couverture même si je ne les ai pas encore lus. J’aime les livres mais à trop en acheter, ils prennent de la place. J’en ai stocké dans des cartons, qui à leur tour, se sont imposés dans mon petit appartement. Je ne savais plus quoi en faire. Pas question de m’en débarrasser.
J’ai eu cette idée après avoir visité Amsterdam. A mon retour de voyage, j’ai réalisé qu’une pile de livres ressemblait beaucoup aux maisons hollandaises. Du coup, je me suis amusé à créer des rues, utilisant chaque bouquin pour faire une maison ou un petit immeuble de deux étages. Avec différents papiers, j’ai dessiné puis découpé des portes et des fenêtres. Je me suis appliqué à décorer de volets, des rideaux ainsi que des dormants et des impostes de portes. Je confectionnais des toits à l’aide de carton.
Chaque dos de livre devenait l’entrée d’une maison ou la devanture d’un vieux magasin Je me suis tellement appliqué que mes amis furent fascinés par mon travail. Ils parlaient d’œuvre d’art. Ils me proposèrent d’exposer car d’après eux, mon talent devrait être connu. Au début, trop méfiant et voulant éviter de participer à un diner de cons, je me contentais de donner une seconde vie à des livres que j’ai tant aimés lire. Cependant, j’eus un tel succès que je dus me résigner à accepter leur proposition. Dès lors, après avoir exposé dans une galerie, je me suis mis à vendre des piles de livres décorés et refaits en petites rues.
Je garde mes préférés dans une bibliothèque particulière. En effet, elle ne contient que des livres décorés. Chaque étagère représente une rue. J’ai même ajouté quelques petits pavés devant les livres pour donner un côté plus réaliste aux maisons. J’aime les observer le soir avant d’aller me coucher. Parce qu’elles ont une apparence féerique et j’imagine des habitants vivre dedans. Je les imagine en train de marcher, ouvrir les fenêtres ou les portes et vivre paisiblement ; une ménagère à la fenêtre étendant un drap, un homme rentrant du boulot.
Un jour, en les admirant de nouveau, je remarquais quelque-chose d’étrange. Sur le moment, je pensais à un reflet lié à la lumière de mon salon. Mais en approchant, je découvris de la lumière sous une porte. C’était une porte décorée et collée par mes soins, comment de la lumière pouvait apparaitre ? Je pris le livre, l’ouvris mais ne constatais rien de particulier entre les pages qui se dépliaient correctement. Dès lors, je replaçais le livre et retournais à mes occupations. En éteignant la lampe de la salle, je constatais un petit fil lumineux sous cette même porte. La lumière était réapparue !
Je ne savais son origine. Je pouvais prendre le bouquin, l’ouvrir, le secouer, tourner les pages. Rien n’y faisait, dès que je le rangeais, la lumière réapparaissait. Je cognais de l’index sur la porte ; bien entendu, personne ne répondit, personne n’ouvrit.
C’était étrange que de voir cette lumière sous cette porte fictive. Tous les soirs, je constatais qu’elle apparaissait pour disparaitre uniquement au lever du jour. Je passais les semaines suivantes à surveiller cette anomalie, d’autant qu’elle était la seule porte à laisser passer de la lumière. Même la fenêtre en plastique, collée au dos de ce livre ne montrait rien.
J’aurais pu me débarrasser du livre, le vendre ou simplement le donner. Néanmoins, ma curiosité insistait à surveiller ce phénomène. Je regardais donc ce livre, dont je ne me souvenais plus de l’histoire, laisser passer cet étrange trait de lumière. Et puis, je découvris de la lumière sous la porte d’un autre recueil. Hier soir, la lumière traversait la fenêtre, comme si quelqu’un habitait dans ce livre.
J’ai doucement frappé à la fenêtre et à la porte. Je n’ai vu personne, pas de petit bonhomme ou autre farfadet magique. Je suis resté bêtement à observer cette lumière qui scintillait dans le noir. Mais ce soir, je déposerai quelque-chose devant ce livre. Un petit morceau de pain ou, une demi-fraise, histoire de sympathiser. En espérant que la porte s’ouvre et qu’il y ait un habitant.
Alex@r60 – août 2023
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Je suis redescendue des montagnes super bronzée, bien plus qu’au retour de Corse. Il fait bon là-haut, il y a 10 degrés de différence avec le littoral. Nous avons vu marmottes <3 et chamois dans le Mercantour. Les étoiles étaient magnifiques (réserve internationale de ciel étoilé). Je n’ai pas aimé passer par le col de la Cayolle (route très étroite, visibilité très réduite). Je suis encore sur mon petit nuage mais de retour sur la côte (d’azur), il faut retourner à quelques réalités…
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saga: Soumission & Domination 330
Sosthène par Sosthène, mes Asiates
Sosthène me fait le récit de sa première prestation. Je lui dis de ne me formuler que ses impressions, j'ai déjà reçu le compte rendu de son séjour à Paris.
Sosthène :
Sasha vient de me mettre dans le train. Les premières c'est classe. Je suis entouré de vieux et mes jeans tranchent un peu parmi les costumes. D'être attendu sur le quai par un chauffeur qui porte une pancarte à mon nom, c'est étrange pour moi. Il prend mon bagage et je le suis sans un mot. Il me dit que monsieur XXX m'attend et qu'il me conduit chez lui. Je n'ai jamais été servi et ça me met un peu mal à l'aise.
Quand je rencontre Henri, je suis très stressé. Je suis seul, pas comme la fois où j'ai rencontré Marc. Rien à voir ! Il me reçoit très gentiment. Et je me détends quand il commence à parler littérature. Le stress revient quand Kev pour qui je suis le cadeau arrive. Je ne comprends pas au départ. Il semble désagréablement surpris de me voir assis avec son " Père/Amant ". Cela s'éclaircit quand je suis présenté comme son présent d'anniversaire. Vite il m'emmène chez lui. Je suis surpris je croyais qu'ils vivaient ensemble. Son appartement est très beau. Les tableaux et sculptures, très orientés homo sont quand même beaux. Le mec est un rapide, il me bouscule direct sur son canapé et me met nu en quelques secondes ! Je n'ai pas le temps de penser que je suis déjà en train de l'embrasser. Tout ira très vite et sans voir le temps passer, je me retrouve vidé, encore plein de sa bite, écrasé par son corps rompu par l'exercice.
Un vrai tourbillon, sans avoir l'intensité de ce que j'ai vécu avec Justin, c'est très étrange comme j'ai vraiment aimé ça. Kev est un amant très fort et sa science de l'amour est consommée.
Mais nous ne sommes pas en avance pour son diner d'anniversaire. Je m'emmêle les pinceaux avec ma cravate il m'aide et son corps dans mon dos m'excite encore.
Le restaurant dans lequel Henri nous emmène est un des meilleurs de Paris. Je suis un peu gauche et cela m'énerve intérieurement. Je suis très gêné quand Henri me tend un petit paquet semblable à celui qu'il offre à Kev. Il insiste et je trouve un jonc en or qu'il m'oblige à passer à mon poignet. Je suis très embarrassé. Kev me persuade d'accepter en me disant qu'il me va même mieux qu'à lui. C'est vrai que l'or ressort bien sur ma peau un peu trop bronzée.
Pendant le retour à l'appartement, j'ai beau faire un effort je finis par ne pouvoir retenir l'émerveillement que je ressens à parcourir le Paris des grands monuments. La nuit qui suit ne nous laisse que quelques heures de sommeil. Il m'a éreinté. Je crois bien l'avoir sodomisé autant de fois que lui m'a labouré l'anneau. Je l'avais cru actif pur mais sa rondelle n'était pas à son coup d'essai.
Le dimanche il me propose/impose une balade dans Paris. Le métro c'est assez " spécial " mais avec Kev à mes côtés, je ne crains rien. Je suis comme un gamin et j'ai l'impression que lui aussi. Devant la tour Eiffel, il m'embrasse devant tout le monde puis s'en prend à un type qui nous aurait insultés. J'ai un moment peur que cela ne dégénère mais c'est finalement pour l'autre que cela fini mal puisqu'il préfère partir avec une femme vulgaire à son bras. Dans les escaliers qui montent au 3ème, je sème Kev qui me rejoint en soufflant. Cela ne m'empêche pas de lui rouler un patin tellement je suis content. Apres avoir vu Paris d'en haut, nous nous faisons draguer à la terrasse du café du Louvre par 2 bataves femelles en chaleurs. Kev les détrompe en me roulant une nouvelle pelle. On se sépare en riant tous les 4 de leur méprise. Pris par l'ambiance détendue que Kev a su faire naitre entre nous, je loupe mon train. Alors que je vais pour m'affoler, Kev minimise le fait et même si je le presse, il me calme et j'arrive à prendre le train suivant. Je suis gêné qu'il se soit cru obligé de m'accompagner à la gare.
Dès que le train démarre, j'appelle Sasha pour le prévenir. Evidemment ce n'est pas grave pour lui. Je travaille jusqu'à l'arrivé.
Alors qu'il me prend dans ses bras et me claque une bise sur les joues, il note tout de suite le bracelet qui orne mon poignet.
Comme je le vois essayer de le retirer et que plus il essaye et moins il y arrive, je lui suggère du savon mais qu'il est tout à fait en droit de le garder. Les cadeaux d'Henri sont toujours de valeur et je lui montre ma voiture, 50% provient de ses largesses. J'ajoute que l'or donne un joli reflet à sa peau et lui dit que quand il se fera poser son piercing au téton, cela sera raccord. Je lui demande s'il a pensé à un animal à placer à l'opposé du tigre. Comme rien ne vient je lui propose une tête de jaguar, un animal de la forêt amazonienne. Le noir pourrait être réalisé avec des émaux ou un travail de l'or différent.
Il m'écoute et de dit rien.
Je le revois le mardi soir pour la séance " sport ". Il porte toujours son jonc en or. Je lui demande s'il l'avait ôté depuis Paris. Il me répond que non seulement il l'avait remonté et coincé sur son avant-bras sous ses chemises pour ne pas avoir de question chez lui. Echauffements, musculation, Jona voudrait le voir plus large. Il estime que quelques cm de plus de tout de poitrine seraient du plus bel effet. Ce n'est que pour son combat qu'il le retire.
Je le regarde combattre. Avec João il adopte naturellement un style coulé très esthétique. Je demande à François de remplacer notre brésilien. Le combat gagne en efficacité. Sosthène se retrouve plus souvent à terre mais il progresse vite. Je suis plus particulièrement les deniers arrivés. L'émulation qui règne les booste et avec le régime préconisé par Jona, les semaines qui passent voient leurs carrures s'élargir et la balance accuser des prises de muscle intéressantes. Je vais devoir équiper la serre de postes supplémentaires de musculation. Le second étage commence à être un peu petit et comme je ne compte pas étaler les jours d'ouverture générale, c'est la seule solution. La terrasse autour de la grande piscine est tout à fait propice à recevoir une douzaine de poste sur les 25m de long.
Ils se donnent tous à fond. Mes " médecins " qui n'arrivent qu'à venir qu'une séance sur deux sont en meilleurs forme qu'à leur embauche. Même une fois par semaine, cela les sort de leurs bouquins et ils sont plus équilibrés ! De plus, ils ont acquis maintenant un niveau suffisant pour maitriser n'importe quelle brute épaisse qui essayerait de passer en force. Certains ont déjà eu recours à leurs nouvelles compétences pour maitriser des excités avant qu'ils ne deviennent trop méchants. Les urgences voient passer une faune assez hétéroclite.
Je suis obligé de calmer mes clients. Depuis que les fiches de João et de Sosthène sont apparues sur mon site privé de réservation, ils reçoivent jusqu'à 5 demandes par semaine. Alors qu'ils ne sont plus " primo-prestation ", certains clients n'hésitent pas à proposer un règlement supplémentaire pour avoir leur compagnie prioritairement. Cela se fait sans préjudice pour mes autres escorts qui performent bien. Le chiffre d'affaire de ma société, sans même compter la part Espagnole ne cesse de monter et avec une progression à 2 chiffres, je participe bien à l'effort national. Pas de licenciements chez moi !
Question placements, André (mon banquier et celui des comptes " escort " de mes employés) s'en charge personnellement. Même si la façade officielle est irréprochable, il préfère ne pas confier mon dossier à un collaborateur. De plus ça l'amuse d'optimiser au mieux les avoirs de mes équipiers.il n'est pas mauvais à ce petit jeu et ses résultats sont souvent proches des deux chiffres eux aussi.
Il me faut 2 semaines pour équiper le jardin de deux nouveaux postes de développé couché, un de développé incliné, une gamme de paires d'altères de 10 à 34 Kg avec trois bancs à inclinaison variable, un poste papillon/oiseau et une chaise romaine avec option traction. J'achète aussi une tour 4 postes pour y travailler les dorsaux, et les bras plus une presse à jambes. Ils me sont livrés et posés. Les installateurs sortent de chez moi un peu cassés même s'ils faisaient honneur à la société. S'il n'y avait les palmiers et les plantes grasses, la cour ressemblerait à une véritable salle de sport. Surtout que de l'autre côté de la piscine j'ai installé pas loin de 50m² de tatami, que l'on puisse s'entrainer à plus de deux à la fois.
Quand mes Escorts découvrent les nouvelles installations, ils sont ravis. Parfois les attentes pour se partager un poste dépassaient des 2mn. Jona, lui, se demandait bien comment il allait pouvoir gérer les exercices de tous. Il a passé une soirée à réorganiser les passages sur les postes en intégrants les nouveaux. Et chacun reçoit sa nouvelle feuille de travail en conséquence. Ric passe voir mon installation. Alors qu'il venait de temps à autre s'entrainer avec nous, il avait cessé faute de place. La nouvelle installation lui plait bien. Sosthène et João qui font sa connaissance sont impressionnés par la masse musculaire qu'il a développée. C'est le plus hypertrophié de nous tous mais comme il a tout travaillé, le résultat est très harmonieux.
Mes premiers Asiatiques
Je recrute aussi les deux asiatiques qui étaient sortis des listes. Lâm et Khang, ils sont amis mais pas petits amis. Ce sont deux français d'origine vietnamienne. Petits formats, 1m70 et 1m72, légers et peu musclés. Ils vont détoner par rapports à mes autres Escorts mais c'est l'idée préconçue que nous en avons et que mes clients vont attendre. Cheveux noir, raides et courts ils sont le parfait physique asiatique.
Je les aborde alors qu'ils sont en train d'écluser un demi dans le bar à coté de leur Fac de langues. Je m'assois à leur table et dit les avoir remarqué et qu'ils seraient idéaux pour le travail d'Escort que ma société propose. J'ajoute rapidement que ma société propose les services de traducteurs mais pas dans les langues asiatiques. Avant qu'ils n'aient réagis, je leur demande quelles langues ils parlent. Alors que l'un me demande qui je suis, l'autre me répond déjà. Ils parlent vietnamien, le mandarin et le cantonais aussi. Le second en même temps me demande ce que je leur veux et qui je suis. Je remercie le premier et réponds au second. Etat civil, nom de ma société, prestations proposées. Je précise officielles. Là je les intrigues avant qu'ils ne comprennent le sous-entendu. En bons homos coming-outés, ils me préviennent qu'ils ne sont pas intéressés par les femmes. Du tac au tac, je leur dis que cela tombe bien la majeur partie de mes clients le sont aussi. Rapidement je leur donne une idée du revenu mensuel qu'ils seraient à même de se faire. Avec des parents immigrés et aux revenus modestes, ça les interpelle évidemment. En cité U, le dossier que j'ai sur eux m'a informé qu'ils ne mangent même pas au Restau-U.
Celui qui m'avait répondu me demande des précisions. L'autres est plus circonspect. J'entre dans les détails, leur explique que j'ai déjà 23 escorts réguliers qui travaillent pour moi. Je leur dis qu'ils ont bien compris la partie non décrite du travail et que c'est bien par elle qu'ils peuvent se faire de tels salaires. J'explique ma stratégie de diversification ethnique et ajoute que cela passe aussi par des stéréotypes. Ils se doutent bien de celui qui est accroché à leurs basques. Le plus expansif acquiesce car c'est souvent pour cela qu'ils sont dragués. Je leur demande si c'est contre leurs penchants ? Il rit et me dit que j'ai du pot, qu'ils rentrent tous les deux pile-poil dans l'imagerie. Ils n'aiment rien moins que de se faire défoncer grave. Je leur demande s'ils iraient jusqu'à montrer les mêmes stéréotypes de soumissions que leurs cousins de l'est. La réponse est immédiate, si c'est ce qui est demandé par le client alors ils peuvent s'adapter. Je me tourne vers le moins disert. Il opine de la tête. Quand je leur demande s'ils sont partants alors, j'ai droit à 2 oui très nets.
Je leur demande de passer à l'adresse de ma carte que je leur donne. On se fixe le lendemain fin d'après-midi.
En bons petits soldats, ils sont devant la porte à 18h pile. Je les fais entrer et nous montons au premier. Ils sont captivés par la frise de mon bureau (photographies de mes escorts). Le plus bavard me dit qu'il comprend alors mon besoin de diversification. Je remplis leur dossier avec les renseignements qui me manquaient. Notamment la taille de leurs sexes. Avec 15x4 et 14x3, ils ne se situent pas dans le haut du tableau. Quand ils se mettent à poil, je leur dit que c'est trop fourni autour ! Ça ne leur pose pas de problème de tailler là. En sport ils vont faire plaisir à Jona avec leur pratique de la boxe Thaï. Je les emmène à la salle de bain et en chemin explique le fonctionnement de l'étage entièrement dédié à la société, chambres et dressing aussi. Je les guide dans l'élagage de leur pilosité et ils en sortent parfaits. Nous finissons le dossier. Je leur donne l'adresse du labo dans lequel ils vont devoir se faire analyser. Il comprenne la démarche même si je leur dis que toutes les relations se font sous kpote. Je note scrupuleusement leurs tailles et mensurations. Je vais devoir acheter en urgence de quoi couvrir leurs fesses. Je n'ai que Maxou dans leurs dimensions et n'ai pas un très gros stock en sous-vêtements. Surtout que quand ils essayent un des ES que j'ai pour lui, c'est juste une taille trop grande !! Mon magasin de vêtement va ramer aussi pour leur trouver des costumes et smokings. Comme ils ne vont commencer probablement qu'avec des contrats " sexe ", j'aurai le temps de les équiper.
Alors que le plus ouvert contourne le bureau pour tenter de me montrer comment il est dans la baise, je le retiens. Moi qui, d'habitude, saute sur tout ce qui bouge, je suis bloqué devant eux. Je suis le premier surpris, c'est une réaction que je n'avais encore jamais eu encore. Je m'en excuse et leur dit que j'aurais un spécialiste le WE prochain pour les tester. Là, je pense à Marc qui se fera un plaisir de les formater comme leurs homologues restés au pays. D'ici là, ils ont juste le temps de passer dès le lendemain au labo pour avoir les résultats vendredi.
Sans être pour autant vexés, ils acceptent le plan.
Samedi Après-midi :
Marc est prêt, je lui en avais déjà parlé et il attend avec impatience de voir quelles sont les différences avec les petits mecs qu'il culbute habituellement et ce qu'il va devoir leur apprendre. Il m'a demandé d'intégrer Hervé qui commence lui aussi à avoir une bonne expérience de leurs " pratiques ". Du coup Ernesto est arrivé pour le WE. Après tout, il n'y a pas de raisons que seuls nos " vieux " soient à la fête !
Mes deux recrues arrivent à l'heure convenue. Je vois qu'ils se sont préparés. Leurs vêtements sont plus près du corps, ils sentent discrètement le parfum.
Je les conduis au premier où je leur présente Marc et Hervé. La suite est ce que je vais voir sur les caméras qui équipent l'étage.
Ils entrent tous les 4 dans une des grandes chambres de l'étage. Lâm et Khang savent surement qu'ils doivent se faire serviables. Ils commencent par déshabiller nos deux quadras, prenant soin de bien plier les vêtements avant de venir en retirer un autre. Une fois nos hommes nus, ils les font se coucher sur le lit en ayant pris soin de placer sous eux des draps de bains présents sur la commode. Ils tirent de leurs sacs à dos des huiles et s'en servent pour les détendre et les masser. Je les vois s'écarter le temps de se mettre nus eux aussi avant de reprendre le massage. A ce stade, ils chevauchent les cuisses de leur " patients " et massent leurs dos avant de descendre sur les fessiers. Une fois replacés à genoux entre les cuisses écartés de Marc et d'Hervé, je peux les voir masser la rondelle et le périnée de leurs victimes. Quand ils les font se tourner sur le dos, je remarque que leurs derniers massages ont eu des effets. Les bites de nos deux Mâles sont raides ! Là, pas d'huile mais de la salive. Je les vois pomper à poser leurs nez sur les abdos de Marc et Hervé. Ils ont l'air de bien se débrouiller et j'entends Marc approuver. Après quelques minutes de suce, ils remontent manger les tétons tout en frottant leurs petits pecs contre les sexes qu'ils viennent d'abandonner. C'est finalement très bandant la différence de format entre eux et nos hommes. Alors que seul avec eux, je n'avais pas eu d'excitation, là, à les mater, je bande !
Sur l'ordre de Marc, ils enfilent les kpotes sur les bites qui vont les défoncer. En fait je vois Marc et Hervé rester sur le dos et les deux petits nouveaux s'assoir sur leurs queues. Ils bossent bien et leurs cuisses fines ont de la résistance ! Ils s'échangent leurs axes de va et vient et reprennent leurs fonctions de branlage par sphincter anal. J'entends les commentaires que s'échangent Marc et Hervé. Ils ont l'air assez content de la soumission de mes deux asiatiques. Hervé dit même que c'est assez proche de ce qu'il trouve sur place. Marc est d'accord. Ils ont apprécié le massage préliminaire, très bien réalisé.
Je récupère le quatuor après leurs douches pour faire un débriefing. Mes deux hommes sont d'accord pour dire qu'ils se sont très bien débrouillés. L'attente que l'on peut avoir concernant un jeune asiate est bien comblée par leur façon de faire. Lâm m'explique que sa mère est masseuse et ajoute tout de suite, de peur qu'on se méprenne, mais sans sexe.
Comme ils ont réussi leurs examens de passage, je leur annonce qu'ils seront proposés à la clientèle dès la semaine suivante. Comme ils n'ont pas encore le permis, ils se déplaceront en taxi le temps de le passer. C'était une question d'argent qui sera vite réglé dès leur première prestation.
Jardinier
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100 Days of Productivity [Day: 81] || 100 Jours de Productivité [Jour: 81]
major highlight of the day: getting new tea & finally getting my hands on another tub of my favourite banana yogurt. :]
I've always enjoyed filling my life up with as many books as possible. ones to read, write in – I love them all. one of the bigger projects I want to undertake later this year is making a couple built-in bookshelves this year to organize them.
today was spent catching up the last of the freelance work I've been behind on. thankfully these were all new projects; I don't think I would have been half as productive if I had been stressing about open orders. it's strange to be back in the position where all of my school work is permanently done. but I won't complain, especially since we're on to much better things now.
currently listening // Limerence by Yves Tumor
le point fort de la journée : un nouveau thé et enfin un autre pot de mon yaourt à la banane préféré :]
J'ai toujours aimé remplir ma vie avec autant de livres que possible. des livres pour lire, pour écrire - je les aime tous. l'un des plus grands projets que je veux entreprendre plus tard cette année est de faire quelques étagères encastrées pour les organiser tous.
j'ai passé la journée d'aujourd'hui à rattraper les derniers travaux de freelance que j'avais pris du retard. heureusement, il ne s'agissait que de nouveaux projets ; je ne pense pas que j'aurais été à moitié aussi productive si j'avais été stressée par des commandes en cours. c'est étrange d'être de retour dans la position où tous mes travaux scolaires sont définitivement terminés. mais je ne vais pas me plaindre, d'autant plus que nous passons à des choses bien meilleures maintenant.
chanson // Limerence par Yves Tumor
#100 days of productivity#day 81#100dop#100 jours de productivité#jour 81#100jdp#studyblr#studyspo#study blog#study motivation#study aesthetic#bookish#gradblr#langblr#language learning#french
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Pourquoi on a pas eu cette histoire pour l'épilogue ? Elle est bien plus intéressant que celle qu'on a eu. Enfin bref, tout ce que souhaitait Pêchaminus c'est d'être aimé par le vieux couple et pour ça, il leur donnait ses mochis de servitude les gardant sous un contrôle mental. S'assurant qu'ainsi il soit toujours aimé par le vieux couple, en revanche ils commencèrent à lui demander des choses. Et Pêchaminus se disait que si il répondait à leurs requêtes, ils l'aimeront davantage. Et on sait enfin pourquoi le trio Adoramis a volé les masques c'est parce que le vieux couple voulait les avoir. Par la suite on apprend que le trio Adoramis est sous le contrôle de Pêchaminus vu qu'il leur a fait mangé ses mochis.
Lorsqu'il récupéra enfin les masques, Pêchaminus se disait que le couple allait l'aimer davantage sauf qu'Ogerpon arrive pour les récupérer et ainsi le trio Adoramis. Pêchaminus savait très bien qu'il ne ferait pas le poids face à elle. Alors il puisa dans ses dernières forces pour retourner dans sa coquille.
Je trouve l'histoire intéressante mais aussi tragique car en voulant se faire aimer par le vieux couple. Il a exacerbé leur avarice en demandant davantage de choses de la part de Pêchaminus. Et en soit c'est triste de voir qu'il s'est résolu à les contrôler plutôt qu'essayer de gagner petit à petit leur affection naturellement. Je trouve qu'il y a justement un parallèle intéressant avec Ogerpon et son ami ainsi que Pêchaminus. Les habitants de Septentria craignait leurs présence jusqu'à ce qu'ils utilisent les masques et qu'ils soient aimés en retour. Alors que Pêchaminus essayait de gagner l'amour du vieux couple grâce au contrôle mental de ses mochis. Surtout que je pense qu'il s'est pas rendu compte de ses actes, à cause de lui, Ogerpon a perdu son ami à cause du vol des masques. Et au final, tout deux ont été privé de leurs amours car ils ont perdu les personnes qu'ils chérissaient.
Why didn't we get this story for the epilogue? It's much more interesting than the one we got. Anyway, all Pecharunt wanted was to be loved by the old couple and to do that, he gave them his servitude mochis, keeping them under his control. Ensuring that he would always be loved by the old couple, on the other hand, they began to ask him for things. And Pecharunt told himself that if he fulfilled their requests, they'd love him more. And we finally learn why the Adoramis trio stole the masks - it was because the old couple wanted them. We then learn that the loyal three are under Pecharunt's control, since he made them eat his mochi.
When he finally retrieved the masks, Pecharunt thought the couple would like him even more, except that Ogerpon arrived to retrieve them and defeat the Adoramis trio. Pecharunt knew he'd be no match for her. So he drew on the last of his strength to return to his shell.
I find the story interesting, but also tragic, because in wanting to be loved by the old couple. He exacerbated their greed by demanding more from Pecharunt. And it's sad to see that he's chosen to control them rather than try to earn their affection naturally. I think there's an interesting parallel with Ogerpon and his friend and Pecharunt. The people of Septentria feared their presence until they used the masks and were loved in return. While Pecharunt tried to win the old couple's love by mind-controlling his mochis. But I think he didn't realize what he was doing, because of him, Ogerpon lost his friend through the theft of the masks. And in the end, both were deprived of their loves because they lost the people they cherished.
#pokemon#pokemon sv#mochi mayhem#mochi mayhem spoilers#pecharunt#ogerpon#loyal three#okidogi#munkidori#fezandipiti
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J'ai fini Le maître des illusions de Donna Tartt (Secret history) et c'est vraiment bizarre parce que j'ai passé une bonne partie du livre à me dire que je n'aimais pas sa façon de raconter, sa structure narrative avec des retours en arrière, sa façon de construire les dialogues mais faut bien avouer que je l'ai dévoré.
Les personnages sont attachants en fait, tu veux les connaître, tu veux les comprendre, tu y crois, le narrateur est très crédible aussi, il a des défauts mais il n'est pas agaçant. MAIS en même temps, les liants entre certaines scènes sont vraiment... lourds "je me souvenais en effet que la semaine dernière..." toutes les trois pages, c'est incroyable.
En fait, l'exposition est un peu longue, un peu maladroite, mais la deuxième moitié du livre, plus ou moins, est mille fois plus efficace, et vraiment intéressante, sur la psychologie de ces étudiants ayant commis un meurtre - pas un spoiler, dans le résumé. D'ailleurs, j'ai beaucoup aimé que, contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce n'est pas tant le meurtre le sujet mais l'après, l'avant, autour du crime finalement.
Ça m'a fait au Complexe d'Eden Bellwether, de Benjamin Wood (The Bellwether Revivals) que j'avais beaucoup aimé et qui a sans doute été très inspiré par Secret History.
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J'ai fait une paralysie du sommeil cette nuit. J'étais angoissée et impossible de me rendormir. C'était presque une nuit blanche. Puis, je suis sortie de mon lit et j'avais un mélange de peine et d'anxiété dans le ventre. J'ai pas aimé cette journée. Comme les autres. Les mêmes questionnements me fracassent la tête. J'ai l'impression que je ne vais pas tenir cette année scolaire, encore moins cette relation. Je suis vide de passion, la seule chose que je fais c'est créer du bordel, le ranger, pas dormir, un peu manger, faire des allées retours, regarder mes mails sans cesse, ne pas être intéressée, m'embrouiller avec mon mec, dire des mensonges à mes parents. En soi, rien ne distingue vraiment cette année des autres. On a souvent les mêmes sujets centraux. La solitude est pénible. Le temps à occuper aussi. Les respirations à prendre pareil. Les embrouilles qui me nouent l'estomac n'en parlons pas. Et les deadlines c'est peut-être le pire. En soi, rien de très grave. Rien n'a jamais été très grave, j'ai juste un faible seuil de tolérance je crois. En ce moment, la mutilation tourne en boucle dans ma tête, j'y pense quotidiennement mais là c'est percutant. Je serais plus capable de quitter mon copain pour pouvoir accéder à ces pensées intrusives que pour les réelles raisons, son insuffisance. Je pense qu'il ne retrouvera pas une fille aussi intelligente que moi car je fais déjà partie de la moyenne basse qui l'a accepté et qui a accepté tant de choses. Le ratio contribution rétribution ne cesse d'être alarmant. J'ai de moins en moins faim. Je regarde beaucoup mon téléphone. Les heures de creux s'enchaînent. Les prises de notes sont incomplètes. Les sourires défectueux. Les mensonges toujours très aboutis. Les nuits toujours éparpillées. Je dissocie tous les jours et je vois que de plus en plus de monde commence à comprendre que j'enregistre pas tout de mes journées. C'est dur à cacher. Je ne me souviens de rien, ou pas grand chose, peu importe la valence des événements. J'étais une gamine triste, je suis maintenant une adulte triste qui sait que c'est les années les plus libres qu'elle vit et pourtant, je suis enfermée dans beaucoup de choses. Je passe à côté de moi, de mes valeurs, de ce que j'aimerais faire j'imagine même si au fond, je sais pas trop ce qui serait plus supportable. Quand tout est difficile, la facilité c'est de se dire que n'importe quoi d'autre serait mieux, plus aisé. J'ai toujours fonctionné comme ça et pourtant, je me rends bien compte que non. C'est pas l'inconnu en soi le problème, c'est de partir dans l'urgence de situations qui nous déplaisent pour se jeter dans le reste. Je regrette et si je devais dire quoi, je ne saurais pas tout énumérer. Je ne me suis jamais sentie foncièrement mieux depuis l'hôpital mais j'ai fait comme si c'était reparti. La vérité c'est que je suis transie de tout, paralysée devant la ligne de départ. Je suis terne, amère et désagréable parce qu'au fond je ne sais pas comment gérer cet inconfort permanent lié au simple fait d'exister. Des fois, je me dis qu'il faudrait aller revoir un psy mais visiblement j'ai toujours la réponse à tout. Mon père m'a toujours appelée la moralisatrice, j'ai toujours été vexée mais finalement, ça doit être ça. Trop faible pour faire comme il faut alors j'emmerde les autres pour qu'il réussisse là où j'ai échoué. Personne ne me demande rien. Je me sens tellement triste et ça passe jamais et je me répète toujours. Je suis rongée par des insécurités qui ont lieux d'être mais qui sont bruyantes. Relationnellement parlant je ne sais pas comment faire et finalement je sais même pas si un jour j'ai su. Je sais pertinemment que si j'avais la chance de repartir à zéro, il faudrait très peu de temps pour que je revienne dans ces cercles vicieux. Je me demande vraiment si je suis emetophobe à force de ravaler chaque fois mon vomi.
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