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#avortement#à ceux qui me demanderont le rapport avec la France : les italiennes sont nos voisines#restons vigilantes#french side of tumblr#aborto#Youtube
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So we went to the library in English class today and I caught sight of the original Robin Hood book.
Hear me out; Roleslaying with Roman Robin Hood AU. (Loosely based on the Disney version, screw Disney, but I haven’t read the actual book in years)
Reston had always been a thriving kingdom, ruled by their just and benevolent king, Ryker. The people had little worry throughout their everyday lives, and lived extremely happy and prosperous.
One day, Ryker was called on by allies to the kingdom to assist them on a warfront. His son, the young Prince Roman, should have been the one put in charge of the kingdom while he was away, but the king had deemed his son not yet worthy to rule in his place. Instead, he brought an ally of his own into the kingdom.
Remus, more commonly known as the king of Neon and ruler of the world-renowned Bard College, was brought in to rule in Ryker’s place, as the two were very close friends. However, as soon as Ryker left the walls of his kingdom, Remus’ facade quickly dropped. He began taxing the life and soul out of the poor people of Reston, his greed ever unsatisfied. The town quickly fell into a dystopian state, the people struggling to provide for themselves and their families.
Roman tried to put a stop to this, heartbroken as he watched his people suffer, but ultimately, Remus had more power than he did, and the prince ran from the palace, desperate to find someone, anyone, who could help restore his kingdom to its former glory.
Youngblood had lived in Neon for most of his childhood and teenage years. He’d always found the bright, lavish city just a bit overbearing for his tastes, but he’d stayed anyway to take care of the one person he truly lo- tolerated. He was allowed access to much more of the city and even the palace because of his connection with the king’s adopted son, Noise. The two were practically attached at the hip, hardly ever seen apart in public.
Youngblood left the city when he had accidentally overheard one of the king’s meetings, where his true intentions and personality were laid bare. It broke his heart to leave Noise by himself, but the prince understood. They exchanged words and gifts, enjoying what they thought would be their final moments together, before Youngblood left the city, putting it all behind him.
Now, after living in the backwoods of Reston for around seven years, Youngblood was miffed to find out that the king had taken to yet another town he inhabited. He had made his preparations to leave by the time the town got into a state of disarray, and was sneaking through the outskirts to try and gather whatever resources he could that weren’t directly from the people.
His escape came to an abrupt halt as he found himself face-to-face with Noise, the latter now much older, wiser, and having missed him dearly. The prince held with him a large bag of gold, which he quickly gave to Youngblood after they had properly and lovingly reunited, with instructions to distribute it amongst the people. Noise knew that the rules and regulations placed on the town by his would-be father made it entirely unlivable, and had spent much of his time redistributing the king’s wealth back to the citizens in secret.
Youngblood, with Noise’s promises of his return and their permanent reunion as well as Roman’s begs and pleads to help save the village (once the older prince had found him) weighing on his shoulders, had no choice but to become the town’s resident vigilante. He and Roman would spend the days until Ryker’s return stealing from the king and any other haughty nobles that came through and giving their wealth back to the poor.
#roleslaying with roman#roleslaying with roman au#thatsthat24#robin hood#robin hood au#fantasy#mideval fantasy#writing#send help#i’m insane
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O2Vie 067-2024/08 : Vigilance : l’ennemi ne dort pas (4)
Apocalypse 3:2 : Sois vigilant, et affermis le reste qui est près de mourir ; car je n’ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu.
L’ennemi veut que nous soyons comme des soldats endormis, manquant de vigilance. Jésus dit à l’église de Sardes d’être vigilante car l’ennemi cherche à faire mourir des choses en elle. Par manque de vigilance, cette église était plongée dans le sommeil spirituel et laissait mourir peu à peu ce qui faisait sa vie. La passion, le feu pour Dieu, pour la vie et les choses de Dieu s’éteignent peu à peu. D’ailleurs, le Seigneur va l’appeler aussitôt dans le verset suivant à se souvenir de sa passion pour la parole de Dieu à ses débuts. Apocalypse 3.3 : « Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde, et repens-toi. » Avons-nous la même passion, la même fougue pour le Seigneur, pour la vie chrétienne comme au jour où nous avons cru ? Au mieux, sommes-nous en train d’aller de progrès en progrès spirituellement dans cette passion ?
Le plan de l’ennemi est de nous plonger dans une léthargie spirituelle afin de nous faire perdre la passion de la parole de Dieu, de la prière, de l’évangélisation, des rassemblements chrétiens, des bonnes œuvres, etc. Soyons vigilants, l’ennemi ne dort pas. Ephésiens 5:14 dit : « Réveille-toi, toi qui dors ». Romains 13:11 renchérit : « C’est l’heure de vous réveiller enfin du sommeil, car maintenant le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru ». Soldat du Christ, sois vigilant, ne dors pas !
Matthieu 26:41 : Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas dans la tentation ; l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible.
Dans notre ère où la tentation s’intensifie chaque jour dans ses variétés, notre foi risque de faire naufrage à cause du sommeil spirituel. Veillons (restons vigilants) et prions.
Que Dieu vous bénisse !
Pasteur Lazare AFANDJEGO & L’Equipe Eau de Vie
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Voyage mystérieux au cœur de l'encéphalite chez la femme : décryptage, compréhension et solutions
Prête pour un voyage au cœur d'un sujet mystérieux et trop peu discuté ? L'encéphalite, cette maladie intrigante, ne choisi pas ses victimes au hasard. Elle affecte nos sœurs, nos mères, nos amies. Alors, plongeons ensemble dans le monde de l'encéphalite, à la rencontre de ses causes, ses symptômes et les traitements disponibles. C'est un voyage d'apprentissage qui pourrait bien vous sauver, vous ou une personne que vous aimez. L'encéphalite : qu'est-ce que c'est exactement ?" L'encéphalite est une inflammation du cerveau. Souvent, elle résulte d'une infection virale, mais elle peut aussi être causée par des facteurs non infectieux. Cette maladie est un véritable caméléon, adoptant des symptômes variés qui peuvent la rendre difficile à identifier. C'est pour cela qu'elle mérite toute notre attention. L'encéphalite et la femme : une relation complexe Si l'encéphalite peut toucher tout le monde, hommes et femmes, il est important de connaître ses particularités chez la gent féminine. Chez certaines femmes, le cycle hormonal peut influencer la gravité des symptômes. C'est un détail important à garder à l'esprit dans notre quête de compréhension. Quand l'encéphalite frappe : les symptômes à surveiller Les symptômes de l'encéphalite peuvent être subtils ou évidents. Parmi ceux-ci, on trouve la fièvre, la fatigue, les maux de tête, les troubles cognitifs, voire même des troubles du comportement. Comme ces symptômes sont assez communs, il est crucial d'apprendre à les reconnaître dans le contexte de l'encéphalite. A lire aussi : Comment dompter un abcès : stratégies médicales et naturelles Une lumière dans l'obscurité : traitements de l'encéphalite Heureusement, l'encéphalite n'est pas sans solution. Les traitements peuvent varier, allant des antiviraux aux corticostéroïdes, en passant par des soins de soutien. Dans certains cas, l'immunothérapie peut être une option. L'important, c'est d'agir vite et de se confier à des professionnels de la santé. Maintenant que vous avez exploré le monde de l'encéphalite, il est temps de passer à l'action. Partagez ce que vous avez appris avec vos proches, sensibilisez votre entourage. Et rappelez-vous : si vous ou une personne que vous connaissez présentez des symptômes suspects, n'hésitez pas à consulter un professionnel de la santé. Parce que chaque femme mérite de vivre en bonne santé, restons vigilantes et informées. Read the full article
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Des concerts à Paris et autour
Juillet 10. Warum Joe + Stratocastors + Pierre & Bastien + Cité lumière (fest. restons sérieux) – Supersonic (gratuit) 10>13. Besoin Dead : musique pour "Eléphants" de Ludovic Pouzerate – Maison des Métallos 11. Guili Guili Goulag + Guerre froide + Oktober Lieber + Keruda Panter (fest. restons sérieux) – Supersonic (gratuit) 11. Marf Loth aka Nathan Roche – Chair de poule (gratuit) 11. Jacques Grèle + Casio judiciaire + Cosmo Cornelius Vigilante – La Pointe Lafayette 11. SNTS + 16H07+ Nozen – Rex Club 12. Ricky Hollywood + Kumisolo + Soleil bleu + Palma Rosa + Option Géniale (fest. restons sérieux) – Supersonic (gratuit) 12. Algorave + Tapetronic + Guilhem All + Carbon Sink – La Station (gratuit) 12. Virage + Coke Asian + Final + Grave Kelly (Treiztival) – Treize 12. Chelsea Wolfe + Emma Ruth Rundle – Trabendo ||COMPLET|| 13. Bertrand Burgalat + Marietta + Pastel Coast + Daisy Mortem + Grotte + Biche (fest. restons sérieux) – Supersonic (gratuit) 13. Ministry + Grave Pleasures – Elysées Montmartre 13. City Dragon + RedRice + Hers + Ragazza XXI – La Pointe Lafayette 13. Pal + Blason + Zaraz Wam Zagram + L'homme à la peau de serpent (Treiztival) – Treize 13. Petra Flurr – Le Klub 13. Perc + Shlomo b2b Anetha + Ciel + Ohes – Concrete 14. Err rec (dj) + Butch McKoy + Amosphère + Drone à clochettes + Isabelle de Mullenheim + Sylvia Monnier + Minute de S + Crystal Sound Project + Music for Eggplant (Les Soniphères fest.) – La Base filante (gratuit) 14. Le Réveil des tropiques + Jean Jean + Cachette à branlette + Rape&Revenge + Spagguetta Orghasmmond + Posterboy Machine (fest. restons sérieux) – Supersonic (gratuit) 14. Amour & Meute + BadBad + GHK – Gare XP 14. Papier Tigre + Pyjamarama + Puissant Blaster – Espace B 14. Popof – Rex Club 15. Fauna y Flora + Elek Ember + Eddie 135 + Nicolas Losson & Martin Bakero + Öspiel + Isothesis + Hourvari + Uriel Barthélémi (Les Soniphères fest.) – La Base filante (gratuit) 18. Columna + Bleakness – La Pointe Lafayette 18. En attendant Ana + Dune Basement – Point FMR 19. Make-Overs + RVG + Häxxan (Garage MU fest.) – La Station 20. The KVB + Structure + Giant Swan + Operant + Homoagent + Iron Sight + Luna Violenta + Shacke (Garage MU fest.) – La Station 20. Kangding Ray + Stanislav Tolkachev + Electric Rescue – Rex Club 20. Bas Mooy + Chaton Cheper + Illnurse + Rendered + Sleeparchive + Tinfoil – tba 21. Femme + Minifer (L'été du canal) – croisière sur le canal de l'Ourcq 21. Chouk Bwa & The Angstromers (L'été du canal) – croisière sur le canal de l'Ourcq 21. MCiPi (Deeat Palace) – Bar à bulles|La Machine (gratuit) 21. Veil of Light – Supersonic (gratuit) 21. First Hate + Sneaks + Hand & Leg (Garage MU fest.) – La Station 21. Violent quand on aime + UVB 76 + Lostsoundbytes + Ian Tocor – La Machine 21. Peter Van Hoesen + Inigo Kennedy + Anthony Linell & Abdulla Rashim + Rrose + BLNDR – Les Docks de Paris (Aubervilliers) 22. IV Horsemen + Maenad Veyl + UVB 76 + Noyades + Dentelle + Tite + Vision douteuse (Garage MU fest.) – La Station 24. Dirty Fences + Hoorsees + La Chinoise – Supersonic (gratuit) 24. Negative Space + Pretty Hurts + Die Süsse Teufel – La Comedia 25. Airod + Benabou + Mind/Matter + Parfait – Concrete 27. Descente + Drvg Cvltvre + Nene H – La Station 28. Deuil1500 + Les Fils de Jacob + Judaah b2b Simo Cell b2b Low Jack + Gaet303 + Donarra + Helione + Hanah + Schemer + dj Normal 4 – La Station
Août 01. Pardans + The Acharis – Supersonic (gratuit) 03. Shlømo b2b AWB + Remco Beekwilder b2b Amotik + Théophiluss b2b Jarød + Tripeo b2b Hemka (Duo fest.) – la plage de Glazart 03. Mind/Matter + Ilivor + Léa Occhi + Rommek + Lacchesi + Noyade + Sentimental Rave + Raven – La Station 04. Magnetix + Digger & The Pussycats – Supersonic (gratuit) 04. Lewis Fautzi b2b UVB + Shekon b2b Scry + Keikari b2b Lebird + Mørbeck b2b Under Black Helmet (Duo fest.) – la plage de Glazart 05. Valentinø + Alys b2b n.i.>I.0 (Duo fest.) – la plage de Glazart 20. Front Line Assembly + Die Krupps – La Machine 24. Fatamorgana + Cyclikweetos – Le Klub 24. Die Antwood + Carpenter Brut + Dirty Projectors + Parcels... (fest. Rock-en-Seine) – Domaine de Saint-Cloud 26. Jessica 93 + Idles + The Black Angels + Bonobo + Justice... (fest. Rock-en-Seine) – Domaine de Saint-Cloud 28. A Place To Bury Strangers + Entracte Twist – Petit Bain 30. Francky Goes To Pointe-à-Pitre + Tonnerre – Supersonic (gratuit) 31. Boys Noize + Randomer + Kris Baha + Lokier – Docks Eiffel
Septembre 01. Lilthics – Espace B 01. Ariel Pink + Vox Low + Cut Worms + Volage + TH da Freak (Paris Inter. Fest. of Psychedelic Music) – La Machine 02/03. Molly Nilsson + Petit Fantôme + Dead Sea + Faux Real + Saint DX... (Paris Inter. Fest. of Psychedelic Music) – tba 04. Thee Oh Sees + Male Gaze + Prettiest Eyes (Paris Inter. Fest. of Psychedelic Music) – La Cigale 05. Feist – L'Olympia 06. Amelie Lens – Rex Club 07. Conflict + Humandogfood + Social Experiment – Le Gibus 08. Death Grips – Elysées Montmartre 12. Matt Elliott & Vacarme + Lucas Ravinale & Loup Uberto – Centre Barbara-FGO 13. The Oscillation + Lumerians – Petit Bain 14. Qual – Supersonic 14. Dylan Carlson – Instants chavirés (Montreuil) 15. Monolith + Hypnoskull + Empusae + Meta Meat + Diaphane – tba 15/16. Tarek Atoui + Davide Balula + Jean-Luc Guionnet + Stephan O'Malley + Seijiro Murayama + BrutPop... – Cnap (Pantin) (gratuit) 20. The Brian Jonestown Massacre – La Cigale 21. Crisis + Plomb – Petit Bain 22. The Wedding Present – Point FMR 22. Zëro, Virigine Despentes & Béatrice Dalle – Auditorium du théâtre (Chelles) 22. Paula Temple + LSD + Tommy FourSeven... (Dream Nation fest.) – Docks de Paris (Aubervilliers) 23. Spiritualized – Cabaret sauvage 24. Oneohtrix Point Never (Red Bull Music fest.) – Le 104 26. Sleaford Mods + Consumer Electronics – Le Trianon 26. Chassol + Thomas de Pourquery + Flavien Berger + Jacques + Ala.Ni + Quentin Rollet + Gaspar Claus + Jocelyn Mienniel + Low Jack + Lucie Antunes + Christine Ott + Serafina Steer + Ghedalia Tazartes + Mathieu Edward + Mélissa Laveaux (Red Bull Music fest.) – Cabaret sauvage 27. Part Chimp – Espace B 27. Yuzo Koshiro & Motohiro Kawashima + Kode9 & Koji Morimoto + Oklou & Krampf + Teki Latex & DITC + Konx-Om-Pax (Red Bull Music fest.) – Gaîté lyrique 28. Rebeka Warrior – La Station 29. Terry Riley & Gyan Riley – La Maroquinerie 29. Aurora Halal + Roberto Succo + Elena Colombi + Jasss + Nihiloxica + Front de cadeaux + Julianna + Oko dj + Miley Serious + Jita Sensation (Red Bull Music fest.) – La Station 30. Eryck Abecassis & Francisco Meirino (fest. Maad in 93) – Instants chavirés (Montreuil)
Octobre 02. The Melvins – L'Alhambra 04. Oiseaux-Tempête, Mondkopf & G. W. Sok + Princess Thailand – Centre Barbara-FGO 04. Ballaké Sissoko & Vincent Segal – La Seine musicale (Boulogne-Billancourt) 12. Les Négresses vertes – Cabaret sauvage 12. Thorofon + Control + Te/DIS – Les Voûtes 12. Les Ramoneurs de menhir vs SP32 – Gibus 12. Villejuif Undergournd + Le Réveil des tropiques + Casse Gueule – Théâtre d'Ivry 13. Françoiz Breut + David Fenech – Médiathèque musicale de Paris (gratuit) 13. Low – La Gaîté lyrique 13. Aquaserge + Mohamed Lamouri + P.r2b – Théâtre d'Ivry 15. The Necks – Instants chavirés (Montreuil) 20. Tallinn Chamber Orchestra : Fratres, Cantus in memoriam Benjamin Britten, Adam's Lament, Salve Regina et Te Deum d'Arvo Pärt – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie 20. Les Tétines noires + Dear Deer – Petit Bain 22. Dead Meadow – Petit Bain 24. Motorama – Petit Bain 25. Marissa Nadler – Point FMR 25. Fews – Olympic café 26. Jon Hopkins – Trianon 27. Killing Joke – Cabaret sauvage 31. Acid Mothers Temple (Le Beau fest. off) – Glazart
Novembre 01>03. Bon Iver + Fever Ray + Mac DeMarco + Blood Orange... (Pitchfork Music fest.) – Grande Halle de La Villette 02. Emma Ruth Rundle – Petit Bain 04. Peaches Christ Superstar – Cité de la musique|Philharmonie 05. Colin Stetson – Café de la danse 05. Echo & The Bunnymen – Bataclan 08. Cold Cave – Petit Bain 13. Hot Snakes – Point FMR 16. Parquet Courts – Elysées Montmartre 18. Ensemble Links : « Drumming » de Steve Reich – Cité de la musique|Philharmonie 21. The Breeders – Le Trianon 22. Scout Niblett – Petit Bain 23. Michael Nyman : "War Work: 8 Songs with Film" – Salle Pleyel 23. Ennio Morricone – Bercy Arena 27. Mudhoney – Trabendo 28. Adult – Petit Bain 29. Interpol – Salle Pleyel
Décembre 01. Deux boules vanille (fest. Marathon!) – La Gaîté lyrique 02. Beak> – Café de la danse 06. The KVB + M!R!M – Badaboum 08. Père Ubu – Théâtre Berthelot (Montreuil) 09/10. Moriarty – Cité de la musique|Philharmonie 14. New Model Army – Trabendo 15. Gaspar Claus – Cité de la musique|Philharmonie 18. Drab Majesty – Point FMR
2019
Mars 20. Oomph! – La Machine 29. Perturbator – Le Trianon
Avril 14. Arnaud Rebotini joue la BO de "120 Battements par minute" – Cité de la musique|Philharmonie
Mai 17. Philip Glass : Études pour piano – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie 18. Bruce Brubaker & Max Cooper : Glasstronica – Cité de la musique|Philharmonie
Juin 26. Magma – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie
en gras : les derniers ajouts / in bold: the last news
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Arrow: how season 1 set up the world
Originally posted on Reddit
Warning: a lot of words, as usual.
Worldbuilding is an important part of storytelling, so I wanted to talk a little about one of the most important pieces of worldbuilding in Arrow: Starling City itself. Because I think it has been neglected after the first seasons. The city used to be so full of life back in the days. It felt whole, it felt real and it felt grounded, and there are two major ways the writers managed to accomplish that: first, they introduced characters from all walks of life, both mains and minors; second, they set up a social background, the issue of class, and used that background to frame, color, compare and contrast their characters from the get-go - give them more depth and complexity.
So first, let’s look at season 1’s array of characters
The main character belonged to Starling City’s elite: that was our point of entry, our main point of view. On the one hand, we had Oliver, Thea, Thea’s friends, Tommy, Max Fuller and Carter Bowen to represent the privileged youths of the city. On the other, we had Walter, Moira, Malcolm, Frank Chen and the people on the List (Adam Hunt, Martin Somers, etc.) to introduce us to the older generation and their shenanigans.
Middle class? The Lance family used to be at the center: Laurel, Quentin, Dinah and Sara (dead but certainly not forgotten). From there, we had Laurel’s friends and colleagues at CNRI (Joanna in particular), and we had Quentin’s friends and colleagues at SCPD (Pike, Hilton, McKenna). We also had Diggle and Carly, poor Rob, and Felicity Smoak.
The people of the Glades were given a voice via Laurel’s storyline as a lawyer: Emily Nocenti, Peter Declan, and Eric and Nancy Moore with their son Taylor. Roy, our main boy, was introduced in episode 15. Raisa, the Queens’ Russian maid, left an impression in spite of only being featured in episode 1. Others were antagonists, but they were still given depth and motivations: the Restons and the Savior in particular.
Organized crime in Starling City used to operate at every level. At the very top, we had Malcolm Merlyn and his organisation. Then, among the lesser rich, we had the Bertinelli family (Frank and Helena). Ted Gaynor and his disgruntled veterans belonged more or less to the middle class. Finally, down at the bottom, we had the Triad, the Bratva, and Count Vertigo’s drug ring.
Throughout the first season, the main characters also mostly all had their own distinct narrative space. Just to cite some of the most important ones: Laurel shared separate storylines with Oliver, Lance and Tommy; Felicity shared separate storylines with Walter and Oliver; Tommy shared separate storylines with Laurel, Oliver and his father; Thea shared separate storylines with her mother, Oliver and Roy. There were so many different factions with different opinions and different agendas, doing completely different things - which made it all the more exciting whenever these storylines intersected (and they all came together in the big finale). This was a way to breath life into their world: Starling City used to be more than just a bunch of vigilante saving nameless faces. It used to be Laurel and the lawyers at CNRI fighting the city’s corrupt elite; it used to be Tommy trying to find his place; it used to be Quentin Lance and SCPD fighting crime and chasing after the Hood; it used to be Walter, a good man trying to solve a mystery; it used to be Moira, trying hard not to drown in her conspiracies; it used to be Roy and Thea figuring out who they wanted to be; etc.
So, this diversity of POV wasn’t a coincidence, but a consequence of the choice the writers made when they incorporated class as one of the thematic pillars of their show. Once they made that decision, it was obviously very important to have both main and minor characters at every social level through which we could explore life in the city. Note also the variety of professions/life styles within the same social class: in terms of worldbuilding, it is doubly important, because of course that leads to a variety of locations. The city didn’t just feel different in season 1 because of all the characters, it also looked different because of all the different sets associated with these characters.
How class was used to ground Starling City and bring it to life
The class issue was an integral part of the story. For a show based on a liberal superhero (from what I’ve heard), it is the one social justice issue they chose to tackle (racism, homophobia, sexism, etc. basically weren’t addressed at all), and they obviously put some effort into it.
Most characters and relationships during the first season explored class dynamics to some extend. When you look at romance, for example, class was the most essential element of Thea/Roy, a core element of both Oliver/Laurel and Tommy/Laurel (Quentin resenting these rich bad boys for what Oliver did to his daughters, Moira telling Laurel that her son loved being at her place because he didn’t feel like Robert’s son there, just himself; Tommy being cut off being an important part of the development of his story with Laurel; etc.), and definitely colored the way Moira/Walter as a high-end couple was written. Concerning characters, the fact that they were billionaires was a defining characteristic of both the Queens and the Merlyns, just like the fact that he was poor was a defining characteristic of Roy. Actually, we can’t just talk about a defining characteristic: their social standing was basically one of the driving character traits in their storylines, for all these characters.
Class used to be at the very core of show. Oliver’s story started when he realized his family’s fortune was built upon the suffering of others - when his father shot himself in the head and left him with the mission of righting the wrongs he committed toward the lower class. On the outside, the Hood was designed to be a champion of the people, an avenger going after the corrupt elite: he was the monster they created, karma in a way, consequences for all those who thought they could abuse their power and get away with it just because they had money. On the inside, the Hood is a deeply personal story about redemption and legacy, it is about an ex- billionaire playboy making amends for not only his father’s cruelty and indifference, but also his own mistakes - the entitlement that made him hurt his girlfriend horribly and irreparably, and left her sister dead at sea.
The Hood going after the List grounded the show in so many ways. First, it made his story different than all the other superheroes out there. Second (and particularly relevant to this post), it allowed the writers to explore the city in so many different angles: these people were not only businessmen but also accountants, investors, financial advisors, etc. By telling us their stories, the writers were also telling us how the city worked in all its complexities, who were the many different players. It made it more whole. Third, it meant the Hood had a justification for being a vigilante: he wasn’t there to replace the police back then, he was there to do what they couldn’t because they weren’t allowed to. Go after the guilty that eluded the law, that fancied themselves above it. His targets and his M.O. meant Oliver couldn’t do what he wanted to do by legal means. Each operation was carefully planned in advance, complete with detective work. This added a layer of believability to his story and the world they lived in that completely fell off in latter seasons.
The class issue wasn’t used to ground just the hero’s story into something real: it’s the same deal for the big bad’s plot. Everything about the Undertaking is a commentary on class, from Malcolm’s motivation (the crime-infested Glades that killed his wife), its execution (using his power as the most successful businessman in Starling to persuade or bully the other powerful players into joining his cause, take control of the corrupt first class via blackmail, infiltrate the law-enforcement, etc.: all of that to have a hand of command over every important chess piece in the city), to his end-goal (the annihilation of the poorest part of town). Actually, I’ve always found the diversity of Malcolm’s main group, the team that orchestrated the Undertaking, striking: he was the only white man, the others were two women, an Asian man, and a black man (Robert was killed right after they switched objectives so I’m not counting him). The only thing they had in common was their social standing, so you feel like it was deliberately constructed not to be a gender or race issue, but specifically a class one.
Even if you exclude the hero and villain’s plots, most storylines during season 1 had a relation to class in one way or another. The Savior? Fed up with the gangbangers in the Glades and the executives who let them run around free. The Huntress? Couldn’t stand her father oppressing the poor anymore. Ted Gaynor? Resentful over having to babysit rich kids. Firefly? He was created during the Nodell Tower fire, a tragedy that only occurred because the construction company that built it used substandard material to save a few bucks. Etc. Every single one of these storylines served to flesh out Starling City and its citizens a bit more.
Season 1’s most iconic quote is probably “You have failed this city” - the vigilante’s tagline. These words are directly related to the class issue, and what made them powerful was how thoroughly the writers set up the city’s social background, how full of life they made Starling feel.
The current situation
Since season 1 was, well, the first season, it was its responsibility to set up solid foundations for the show, notably a believable world. A city in which the show could grow into something more. I think it did a good job, but the seasons that followed didn’t really respect that work with the exception of season 2.
The class issue was dropped somewhere after the first third of season 2, which was busy trying to introduce more comic-booky elements. Season 3 and on didn’t pick it up again. I feel like season 3 was trying to do something worldbuilding-wise w/ the League of Assassins, but failed miserably (they succeeded in destroying one of DC’s most legendary mythos that’s all, and I’m very bitter about it).
So what does Star City look like today? IMHO: boring. You’d think Oliver being Mayor would mean it gets more development, but it’s more bland and empty and dead than ever.
In terms of point of views in season 5 and 6, mostly all we get is Team Arrow in the Arrow Cave and Team Arrow in the Mayor’s Office. They killed, wrote off the show, or forgot about most of the characters that added layers and diversity to the city. Apart from the masks and their allies, mostly all we have now are some villainous POV here and there, most of them not even originally from the city but just coming around to cause mayhem for some reason (I do think the character of Susan Williams was a welcome break for that reason, but she wasn’t particularly well-received). I don’t even know how the city looks like anymore, empty warehouses is all I can see in my head.
It’s actually a joke how the background of the characters, wrt the totally dropped class issue, simply doesn’t matter now. We were left wondering where Oliver, the main character, lived for an entire season. Most of Team Arrow doesn’t have a job, and it’s only recently been addressed. Curtis, well-off genius who used to hold a good job in a giant tech company, can say stuff like “as a black man I’m 80% more likely to get shot than you” (/paraphrased) to Rene, poor latino guy from the Glades who has actually been a victim of random gun violence and used to be a marine - because the history of these characters barely matters anymore, it’s just superficial.
In terms of believability, all the work season 1 put into making it all seem grounded has been thrown out the window. Revolutionary tech is invented on the fly in a matter of minutes. Felicity can hack into anything in a matter of seconds - her and Curtis basically have God-like powers, I swear. I still don’t understand how Oliver manages to be the Mayor and also moonlight as the Green Arrow. Also he’s good at being the Mayor and Thea was an awesome Chief of Staff despite them having zero credentials in politics because our heroes can now be absolutely anything they want if the plot demands it (or just if it pleases the writers). He can pass magical bills on controversial issues that everyone is happy with because Star City is now just a bland simple-minded mass. The Arrow cave is more technology advanced than the NASA and honestly, since they don’t kill and only go after common criminals, I don’t even know why they haven’t simply joined the law enforcement - as a special unit or something, Marvel style. The whole vigilante thing seem pointless at this point, just another hurdle.
(I mean, for real, last episode, Dinah, instead of confronting Vigilante in her capacity as a cop, had to go put on her costume first - that I have no idea where she hid since FBI lady was snooping around. Seems inconvenient and a giant loss of time when people’s lives are at stakes, yk?)
Tobias Church can just show up and take control of Star City’s organized crime (which, btw, I’m surprised to see is even still around) in a matter of… what was it? Two weeks? Which completely undermines these guys, in addition to being unrealistic. It’s another thing that makes the citizens of Star City look stupid or useless, just like the fact people haven’t figured out Oliver and his little gang are the vigilantes makes them look stupid. The writers destroyed any credibility the city had as a whole.
So, yeah, the world of Arrow’s latter seasons is a senseless one, and Star City feels like it has lost its soul.
This is all my humble opinion. Thoughts?
#arrow#a1#a5#a6#oliver queen#mp#my commentary#so i totally forgot to post this here too#i wanted to put pictures so
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Lettre information du Vendredi 1er mai 2020
Mot du CuréChers amis, chères amies,
Après 7 semaines de confinement, nous voici au début du mois de Mai. Même si nous connaissons le dicton : « au mois de mai fais ce qu'il te plaît », il demeure que, pour l'instant, nous devons restreindre nos déplacements, et continuer de nos lieux de vie, d'être en relation, en communion les uns avec les autres. La décision gouvernementale d'attendre jusqu'au 02 juin pour une éventuelle possibilité de se rassembler à nouveau au sein des églises, a été accueillie différemment, « avec regret » comme l'expriment les évêques de France dans leur communiqué mais aussi « avec responsabilité ». Mgrd'Ornellas, archevêque de Rennes, va même jusqu'à ajouter dans ce communiqué : « J'ai confiance que les catholiques sauront vivre ce temps prolongé de confinement avec sagesse, en comprenant, à la lumière de l'Évangile, que le grand défi que lance à tous cette épidémie, c'est de prendre soin les uns des autres avec bienveillance et paix. S'il y a un monde nouveau à édifier, c'est celui-là dans tous les domaines de la vie sociale et économique. Grâce à leur foi, les catholiques s'y engageront avec ardeur. Prendre soin du plus pauvre ou du plus fragile, et leur rendre toute leur dignité dans la société, c'est être vraiment humain, c'est servir Dieu lui-même. Encore privés de la messe pour plus d'un mois, les catholiques savent qu'aimer son prochain en actes et en vérité est le plus beau culte rendu à Dieu. Le pape François nous rappelle souvent cette phrase du grand et saint poète espagnol, Jean de la Croix : « au soir de cette vie, tu seras jugé sur l'amour ». » (Du 29 avril 2020)Je m'associe à ces propos et à ceux de notre évêque lors de son interview de ce mercredi 29 avril à la radio RCF Côtes d'Armor (https://rcf.fr/actualite/grande-deception-oui-mais-aussi-responsabilite).
En ce 1er mai, journée internationale du travail, et pour nous, les catholiques, fête de St Joseph, patron des travailleurs, je tiens à ce que nous portons dans notre prière tous ceux et celles qui sont les acteurs invisibles durant cette épidémie et aussi tous les soignants. Je porte aussi dans ma prière tous ceux et celles qui sont inquiets pour leur avenir professionnel. J'ai enfin une pensée particulière pour les élus et tous les acteurs de l'éducation qui doivent trouver des moyens et des solutions pour espérer permettre aux enfants et aux collégiens de reprendre le chemin de l'école.
Nous voyons bien que cette épidémie nous demande de remettre en cause nos manières de vivre et de fonctionner. Donc, gardons le cap de la prudence, de la sagesse et de la responsabilité !
Par cette lettre, je viens vous donner les informations pour continuer à vivre, en communion, ce temps pascal et vous tenir informés de la vie de la communauté pastorale sur les deux paroisses Notre Dame de la Mer et Étables sur Mer.
Déjà, une première information :
4e dimanche de Pâques
Ce quatrième dimanche de Pâques, qui est la journée mondiale de prière pour les vocations, nous célébrerons la messe à 11h00 et vous pourrez nous suivre en direct :
la page Facebook de la Communauté pastorale du Littoral Ouest
la page You Tube de la Communauté Pastorale du Littoral Ouest
ou directement sur le site internet de la Communauté pastorale du Littoral Ouest [1]
En raison du confinement les messes sont célébrées sans assemblée.
Pour ceux et celles qui ne disposent pas d'internet, il sera possible de suivre la célébration de ce 4e dimanche de Pâques sur France 2 : Le Jour du Seigneur (Messe à 11h00)
2e information :
Homélie
Pour ce 4e dimanche de Pâques, vous trouverez sur le site l'homélie de l'abbé Damien (Ayola).
3e information :
Bulletins « l'Animateur » et « Ensemble »
Comme déjà annoncé, pour le mois de mai, un bulletin commun aux 2 paroisses paraîtra au plus tard le lundi 04 mai. Il sera mis en ligne sur le site de la Communauté pastorale du Littoral Ouest à partir du dimanche 03 mai. Des exemplaires seront imprimés pour les personnes ne disposant pas d'Internet. Cette distribution se fera entre le lundi 04 et le vendredi 08 mai 2020.Nous pourrons notamment lire l'éditorial de l'abbé Éric (Le Forestier), retrouver le commentaire biblique de Jean-Marie Rabain et différents témoignages.
4e information :
Dégradations :
Église St Laurent à Plérin : Lundi dernier, 27 avril, alors que l'abbé Damien et 2 membres des équipes funérailles se rendaient à l'église St Laurent pour la célébration d'obsèques, ils ont découvert dans l'église que 2 vitraux ont été dégradés. Des objets lancés de l'extérieur, côté Nord, ont abîmé le vitrail représentant des « laurentais » en prière (photo ci-contre, avec les 2 points blancs correspondant à la casse) et le vitrail représentant Jeanne d'Arc. La Police Nationale a constaté les dégâts. Une plainte a été déposée. Nous attendons le devis pour estimer le préjudice financier sans oublier qu'il y aussi un préjudice moral.Je demande aux référents des relais et aux personnes qui s'occupent de l'entretien, de l'ouverture et de la fermeture des églises et des chapelles de passer régulièrement pour s'assurer que d'autres dégâts n'ont pas été commis et pour garder une présence vigilante. Merci.
5e information :
L'après 11 mai 2020
A ce jour, je ne suis pas en capacité de vous dire si la maison paroissiale d'Étables sur mer, la maison St Pierre à Pordic et le presbytère de Plérin pourront être ouverts au public dès le lundi 11 mai 2020. Tous les curés du diocèse nous avons une rencontre avec MgrMoutel et l'équipe épiscopale mercredi 6 mai dans l'après-midi. Nous dégagerons durant cette rencontre les possibilités. Mardi 5 mai, je réunirai par visioconférence, les équipes d'animation paroissiales des 2 paroisses. Nous aborderons aussi la question de la catéchèse. Quoiqu'il en soit, ça ne pourra se faire qu'en continuant de respecter les gestes barrières et aménageant quelque peu nos locaux pour que nous puissions accueillir en toute sécurité. N'imaginons pas que tout va revenir à la « normale » tout suite. Il y aura des étapes. Nous sommes désormais appelés à vivre avec ce virus pour un petit moment … Donc, ensemble, faisons preuve de responsabilité individuelle et collective, de patience, de prudence.
Au presbytère de Plérin, nous restons mobilisés, pour garder le contact avec chacun et chacune d'entre vous et pour aider les plus fragiles, les plus isolés, à subvenir à leurs besoins élémentaires. Une permanence téléphonique est assurée du lundi au samedi de 9h00 à 18h00 !De façon régulière, nous continuerons à vous donner des informations et nous vous inviterons aussi à consulter le site de la communauté pastorale : Communauté pastorale du Littoral Ouest.
Bon 4e dimanche de Pâques Roland Le Gal
Autres Informations pratiques
Besoin d'aide : Les personnes qui ne peuvent pas se déplacer pour des courses peuvent appeler le presbytère de Plérin 02 96 74 53 52, nous trouverons une solution.
Communiquer et rompre l'isolement : N'oublions pas de prendre régulièrement des nouvelles de nos voisins, de nos proches et des personnes en convalescence, en EHPAD, en foyer ou hospitalisées … La conférence des évêques de France a également ouvert un accueil téléphonique 0806 700 772, il est anonyme.
Se nourrir spirituellement : Une homélie sera publiée chaque dimanche sur le site de la communauté pastorale. Les personnes qui ne disposent pas d'internet peuvent également téléphoner au presbytère de Plérin si vous souhaitez bénéficier des textes liturgiques du jour ou du dimanche et le texte de l'homélie. J'invite aussi à se rapprocher de Malu Guillet pour la Parole Partagée malu.guillet chez orange.fr et/ou du Père Éric : eleforestier chez wanadoo.fr
Enfants : Les parents peuvent se mettre en contact avec Anne Lemire qui pourra vous proposer des animations catéchétiques : 06 37 90 57 21 - annelemire.cate22 chez gmail.com
Jeunes : Les jeunes et leurs parents peuvent se mettre en contact avec Michelle Jardin : 06 74 14 12 56 michelle.jardin471 chez orange.fr ou l'un des animateurs/trices : Mylène Duault, Elisabeth Le Faucheur, Catherine Froissart, Véronique Kerriou, Myriam Salaun, Emmanuel Briand ou le Père Damien : damienayola1 chez gmail.com.
Les obsèques sont célébrées dans l'intimité familiale (maximum 20 participants). Les prêtres, les diacres et les membres des équipes funérailles de moins de 70 ans se relayent pour accompagner les familles endeuillées. Le nom des personnes décédées sur nos deux paroisses est publié sur le site. Un prêtre ou un diacre et 1 ou 2 membres des équipes sont présents aux obsèques.
Vous pouvez aussi vous mettre en contact avec les responsables de relais (communes) qui reçoivent régulièrement des informations :
Relais de Binic : Robert Gouedard - 02 96 73 64 52
Relais d'Étables sur Mer : Geneviève Chapelet - 02 96 70 62 47
Relais de Lantic : Michelle Jardin - 02 96 71 46 09
Relais du Légué : Communauté F.S.E. Le Légué - 02 96 33 33 09
Relais de Plérin/St Laurent : Presbytère de Plérin - 02 96 74 53 52
Relais de Pordic : Jocelyne Lechelard - 02 96 79 47 05
Relais de Plourhan : Jean Poulouin - 02 96 71 44 25
Relais de St Quay-Portrieux : Geneviève Duval - 02 96 70 42 24
Relais de Tréméloir : Jean-René Le Picard - 02 96 79 06 75
Relais de Trémuson : Marie-Thérèse Milet - 02 96 94 85 73
Relais de Tréveneuc : Hervé Gicquel - 02 96 70 54 63
Je vous invite à nous faire part de vos différentes initiatives et de vos attentes en écrivant à :
paroisse.nddelamer chez diocese22.frou/et paroisse.etables-sur-mer chez wanadoo.fr Nouveau mail pour la paroisse d'Étables sur Mer : paroisse.etablessurmer chez diocese22.fr
ou en téléphonant au presbytère de Plérin 02 96 74 53 52
Ecoutez RCF Côtes d'Armor 100.6 - Guingamp 98.8 - Lannion 102.1 et pour ceux qui sont équipés, possible de regarder la chaîne KTO (voir informations données par le diocèse).
[1] Possibilité aussi d'aller sur le site Messes.info taper 22 dans le moteur de recherche de Messes.info - cliquer sur Oratoire des FSE et après cliquer sur voir la célébration en direct vidéo.
Pour information lorsque vous avez la main sur un logo ou un lien, il vous suffit de faire clic droit et cliquer (gauche) sur « ouvrir le lien dans un nouvel onglet ».
via Communauté pastorale du Littoral Ouest https://ift.tt/3d2fhKE
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Ahoj Tchéquie !
Les forêts de pins, la récurrence des klaxons de trains aux passages à niveau, les étangs et les rivières forment le décor de la route cyclable pour notre entrée dans le quatrième pays visité. Les champs remplaçant les pins, nous longeons le lac Lipno. Le relief vallonné nous réjouit après deux semaines de plaine le long du Danube.
Le bruit d'une machine attire notre attention. Arrivés à sa hauteur, un homme interrompt son travail pour venir à notre rencontre. Difficultés pour se comprendre, nous gesticulons pour essayer de représenter à la fois une tente, le sommeil. Il comprend. Son accord éclate en « No problem ! ». Antonin redescend au hameau précédent récupérer de l'eau. Pendant ce temps, Gilles fait la rencontre des deux autres hommes, le fils et un ami, machinant la scierie mobile. De nouveau réunis, les hommes ont terminé leur travail pour la journée. Il est près de 20H30, ils ont l'air d'avoir bu autant qu'ils ont pu travailler ce dimanche. Nous sommes invité autour du pick-up pour finir la caisse de bières et manger du salami maison. Ces paysans sont attachés à nous faire comprendre dans un anglais imparfait la bienveillance du tchèque vis à vis du visiteur. Nous étions justement en train de le découvrir. Les rires remplacent petit à petit les manques du langage. Ils finissent par nous quitter. Nous restons planter à se demander si dans un moment d'incompréhension l'un d'entre eux ne nous a pas demandé de l'aider le lendemain. Mise au clair au matin, par le fils, venu seul débiter les troncs. Il nous montre ses bras, nos jambes. Nous savons ce qu'il nous reste à faire.
Découverte des montagnes russes à la Tchèque, des casses pattes sans précédent pour nous. Pique-nique à Cesky Krumlov. L'abondance de touriste, principalement Japonais, conduit à une visite rapide. Le soir, Vaclàn nous accueil pour planter la tente dans son verger. Il nous apporte des tomates et nous invite à partager des toasts. Il est pressé, il veut finir la peinture de sa maison ce soir, mais prend le temps de discuter et de nous donner des conseils sur l'itinéraire.
Mardi 4 juillet, nous nous arrêtons pour deux jours dans un camping au bord du lac Osika. La région est surnommée le Canada Tchèque, les forêts de hauts pins en sont la cause. Le jeudi, alors que nous devons reprendre la route l'après-midi, les piqûres d'insectes d'Antonin sont gonflées anormalement. Renseignement auprès de la réception du camping pour une pharmacie, elles sont fermées ; pour un docteur, il ne travaille pas ce jour. Antonin appel les urgences. Elles arrivent un quart d'heure plus tard. Impossible de reprendre la route après les médicaments reçus, une nuit de plus est prise au camping.
Le lendemain, Antonin a encore du mal à rouler, nous prenons le temps de visiter la ville de Slavonice. Tous les établissements proposant des chambres abordables sont complets. Le campement est fixé après permission aux abords d'une ferme.
La fatigue toujours présente au matin, nous nous arrêtons après seulement 5 kilomètres. Par hasard, nous tombons sur les préparatifs d'une cérémonie dans ce petit village. Nous restons et assistons à midi à l'anniversaire des cent ans de la caserne des Pompiers.
Les festivités continuent plus loin au stade de football. Nous suivons la petite foule pour quelques grillades et bières au son de la fanfare locale. Retour au premier site, où une scène commence à se monter. Nous décidons de rester dans les parages. Nous plantons la tente 50 mètres derrière le chapiteau couvrant les tables. Après une sieste nécessaire, un peu pâteux nous nous mêlons au fêtard. Il s'agit ce soir du bal annuel du village. Bières et grillades de nouveau, nous reconnaissons à une table voisine notre hôte de la vieille. Nous continuons la soirée à ses côtés faisant la rencontre de sa famille et de ses amis. Le temps de s'offrir des tournées de bières, aux sons des reprises tchèques, nous finissons la soirée en dansant.
Difficile réveil, nous avançons peu et atterrissons dans un village en contre-bas des collines. Arrêt dans un château pour une visite de la cour et des jardins. Dans une salle à entrée libre, une exposition photographique mêle deux auteurs de générations différentes. Le plus ancien a photographié la vie paysanne des années 30 de la région. Le photographe contemporain ne trouvant plus de poésie dans le mode de vie actuel où les monocultures dominent le territoire, il photographie la végétation sans traces de vies humaines. En voyageant à vélo, nous constatons l'ampleur que prennent ces exploitations sur le paysage.
Le jour suivant, la chaleur devient de plus en plus écrasante. Nous avançons prudemment au milieu des champs de blé. Les monocultures bouchent l'horizon et donnent l'impression d'une traversée du désert.
Sur les coups de 16 heures, un arrêt pour un rafraîchissant est prévu. Nous cherchons un bar ouvert, les rues vides du village où nous entrons témoignent de la température élevée. Le soleil cogne les murs blanc des maisons et le silence est rarement interrompu par le passage d'une voiture. Nous associons l'ambiance à l'imagerie du western. La vue du bistrot en accentue la sensation. La devanture est faite de bois et sous son petit auvent, un homme est assis. Nous entrons sur la musique d'un téléfilm à suspens. Dans l'arrière-cour où se trouve la terrasse, les bouches se nouent et les regards nous dévisagent. Nous sommes installés. Les discussions s'ajoutent de nouveau au son du téléviseur.
En fin d'après-midi, nous nous installons aux abords d'un terrain vague en bordure de pavillon. Un amas de palettes sert de douche provisoire.
Des habitants, curieux de notre présence, viennent à notre rencontre. Alors que Gilles se rince à l'abri des regards, Antonin est interrompu chaussettes en mains. Ils nous invitent chez eux. Nous passons la soirée avec le fils de la famille. Après quelques parties de Fifa sur la console autour d'un apéritif bien garnis, nous retournons à notre campement se coucher sous la pluie. Cette nuit, nous vivons notre deuxième orage sous la tente. L'inquiétude nous gagne. Empêchés de dormir, nous suivons au son l'approche du tonnerre. Et cela pendant près d'une heure. Il s'éloigne avec la pluie battante. Nous retournons au sommeil.
Direction Brno, le mardi 11 juillet. Une fois en ville pour faire notre itinéraire, nous décidons de retourner sur nos pas durant 10 kilomètres afin de se diriger dans les reliefs montagneux et d'éviter la plaine. Pour la nuit, il est difficile de trouver un bivouac. Un couple nous indique le stade de foot. L'équipe senior y festoie. Elle nous invite à boire quelques bières. Nous pouvons également prendre une douche dans les vestiaires. Heureux de notre présence, les joueurs nous proposent de rester jusqu'au vendredi pour les voir joués mais nous devons avancer. Le lendemain matin avant de repartir, un des leurs nous apporte de la nourriture et de l'eau. Nous partons marqués par leur générosité. Passage accidentel sur les lieux de la bataille des Trois Empereurs, dans laquelle Napoléon sorti victorieux.
À la sortie de Zlin, par hasard, nous traversons le site du festival Master of Rock. L'odeur des grillades, la musique, le brouhaha des festivaliers provoquent l'envie de s'y arrêter. N'ayant aucune couronne en poche, nous devons continuer notre route. Les campings prévus pour le festival nous inquiètent pour le bivouac. Nous nous renseignons auprès d'un homme occupé à trier ses haricots. Il nous propose de planter la tente dans son jardin afin d'éviter les ennuies avec la police vigilante et nous invite dans un bar de l'autre côté de la rue. Privilégié, nous restons avec notre hôte après la fermeture pour échanger sur des possibles itinéraires, sur sa région et de l'évènement musical.
Le lendemain, nous avançons de 5 kilomètres le temps de prendre un petit-déjeuner et de laisser sécher la tente humide. Alors que Gilles lit le journal allongé dans l'herbe, un jeune homme titubant un verre à la main aborde Antonin. Il s'avère être un des festivaliers. Arrangé par une bagarre pour l'honneur de son cousin, il semble mal en point. Ayant de la sympathie pour nous, il trouve assez d'énergie pour nous inviter chez lui et boire quelques bières et de la vodka. Nous remballons nos affaires et marchons à ses côtés 5 kilomètres de plus.
Installés sur le perron de sa maison, Mireks nous propose de planter la tente quelques jours dans son jardin. Nous faisons la connaissance de Lucie accompagnée de sa fille Patricia et de David, le père, voisins de notre hôte. Après une sieste, nous rencontrons la mère de Mireks. Reprise de l'apéritif en fin de journée. Des saucisses grillées au feu sont prévues pour le dîner, une réjouissance pour nous. Les bouteilles de vodka se vident, quatre en fin de soirée. Les bières les accompagnent. Na zdraví, na zdraví encore, na zdraví sans cesse ; Gilles rend le trop-plein au pied de la tente avant de s'endormir. Antonin resté veillé un peu plus tard avec le couple de voisins, assure le nettoyage avant de se coucher.
Réveil compliqué, d'autant plus que les hôtes, après un café et des tartines, nous invitent à boire de nouveau, de la vodka.
La mère de Mira nous prépare le déjeuner. Nous sommes installés seul dans la cuisine. Eux mangeront après. Pour nous, cela est surprenant. Gênés, nous nous délectons tout de même d'une soupe typique tchèque et d'un poulet rôti. Le lendemain midi rebelote, du cochon grillés, un délice.
L'après-midi, nous sommes invités à boire l’apéritif chez les voisins. Après quelques tournées de vodka, Lucie s'endort sur le canapé. Mireks et David nous amènent voir un lac, nous prenons un peu de temps dans un bistrot. De retour, saucisses grillées, ça nous fait plaisir. Il est temps de partir à la fête du village où un bal est donné. Nous prenons quelques photos du concert. L'un des guitaristes invite Gilles à monter sur scène avec le groupe. Il leur explique qu'il ne voyage pas seul. Antonin les rejoint. Ils nous servent un alcool spécial et nous encourage à prendre des photos. Requête que nous prenons trop à cœur et exagérons nos rôles de photographes officieux, aidés par notre soûlerie.
En fin de soirée, les choses sont devenues plus troubles. Nous refusons un retour en voiture proposé par un groupe d'individus, sur un malentendu. Antonin est persuadé d'avoir eux des différents avec l'un des leurs. Tant bien que mal, nous nous retrouvons dans la tente. Notre hôte travaillant en ce dimanche matin, nous l'attendons pour partir, avec les voisins, faire une balade. Ils nous présentent aux cochons et aux chèvres du beau-père.
La suite du programme se déroule au pub du village, nous ne pouvons nous empêcher de refuser et accordons une troisième soirée d'excès. Les aux revoirs sont émus. Mireks verse une larme. Il nous invite dans cinq ans pour fêter son trentième anniversaire.
Le lundi commence durement, nous avançons malgré notre fatigue. Puis, nous grimpons les côtes de mieux en mieux pour nous retrouver presque en forme en fin de journée. Après 6 kilomètres de montée sous la pluie nous nous arrêtons dans le parc naturel pour planter la tente à côté d'une table de pique-nique abritée. Nous connaissons plus au moins les risques que nous encourons mais jouons la carte de la chance et limitons les risques en mettant la tente sur un bout de terrain qui semble être un parking au bord de la petite route. Le matin, un bûcheron, nous met en garde sur les risques d'être réprimandés par les gardes forestiers.
Au petit jour, la route suivie, légèrement en dessous de la crête, est un vrai plaisir à rouler. En ce mardi, nous quittons la République Tchèque, passons par la Slovaquie et arrivons en Pologne par la montagne.
Publié le 31 juillet 2017.
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Things Left Unsaid, Chapter 3: A Different Perspective
My third installment of my Olicity soulmates AU, Things Left Unsaid, set in Season 1 and Season 2 canon. Here’s the chapter summary:
“When Oliver gets shot by his mother, Diggle gets to see Oliver and Felicity without the distractions of the QC employees.“
Read on AO3 or under the cut
Felicity doesn’t know what’s wrong with her shoulder, but there’s this dull pain that’s been bothering her for the past few minutes. It’s not even in the usual place in her back, by her shoulder blade. It’s more toward the front, where her left collar bone is.
She chalks it up to stress. Ever since Walter Steele disappeared during the holidays and Felicity gave Oliver Walter’s book of names about a week ago, she’d thrown herself into her work to keep her mind off of her missing boss and her mysterious soulmate. She’d almost told Oliver about their mark right there in that Big Belly Burger when he’d sincerely told her that she could trust him. The way his bright blue eyes had turned so kind and reassuring toward her, even when the book had clearly shaken him, had almost broken through to the hopeful part of Felicity that she clearly inherited from her mother.
Luckily, she’d been able to rein that part of her in, no matter how much Felicity had wanted to feel that almost delicious burn of her mark again.
That urge had been growing and growing ever since Oliver had found her at QC. She didn’t think he’d take her up on her offer to help him with any technical issues so soon, but he had. And he does so pretty often.
First, it was the bullet-ridden laptop. Then it was finding his “old buddy” Derek Reston. Then it was a very suspicious black arrow, which raised a few red flags, given that Starling City now has a bow and arrow-wielding vigilante running around at night. After the arrow cam a very strongly encrypted security fob with incredibly illegal looking plans on it. Then just before she’d handed Oliver Walter’s book, it was a very scary, incredibly eyebrow-raising syringe full of an “energy drink.�� Felicity has her suspicions about that one. Maybe Vertigo? But what would a billionaire be doing trying to figure out where Vertigo is being made? The thought had made her shudder.
All these strange requests have led to even more time with Oliver that she didn’t want. Or at least that’s what Felicity tells herself. With each encounter, Felicity feels their bond grow stronger, even though they never stray from shop talk. Felicity hasn’t been able to tell if Oliver has even noticed or felt their connection yet, but she certainly has.
Ugh. Someone tell her why she didn’t move out of Starling when she had the chance. Felicity didn’t come here to deal with soulmate crap. Instead of thinking too hard about “he-must-not-be-named,” and she’s not talking about Voldemort, Felicity threw herself into her work.
It’s a Wednesday night when she’s so caught up in her server room office that she doesn’t realize how late it’s gotten. It’s when she starts packing up to head home that Felicity starts to feel a dull pain near her collarbone.
She must be beyond exhausted if her body is choosing random spots to pick on.
With tired eyes, Felicity makes her way to her red Mini Cooper. Despite her exhaustion, she can’t help but feel that there’s something wrong, so she hurries to the driver door.
A pained grunt in the backseat of her car scares the hell out of her.
When she turns to look, her eyes go wide. It’s the freaking Hood. Holy Frack.
“I’m not going to hurt you, Felicity.”
Hearing his voice, Felicity immediately know who it is, yet she still asks in a panicked voice, “How do you know my name?”
Then, he pulls his hood back. “Because you know my name.”
Double frack. It is Oliver. Her soulmate. Who is currently bleeding all over her backseat.
Felicity wants to take him to the hospital. Desperately so. However, even in his weak state, Oliver insists she take him to his father’s old steel factory.
So she does.
Felicity doesn’t have the time to think about the fact that her shoulder has been hurting because Oliver’s is so severely injured in the same spot. He’s bleeding out so much it has Felicity shaken to her bones. She almost drives on autopilot, especially when Oliver seems to pass out just after telling her how to get to the factory. Luckily, he’d also told her where to park her car and the code to the back entrance of his secret lair. It saves her the time of having to hack in.
Felicity zooms into the parking lot and tries not to flip her Mini over when she brakes hard.
Her next obstacle is getting Oliver down into the lair. Out of panic, she fails to notice the other car present in the lot while she struggles to lift Oliver from the backseat. Only after a few seconds does she realize the town car in the lot, most definitely driven by Oliver’s bodyguard, John Diggle.
So Felicity rushes to the sealed door, punching the code as quickly as she can. Mr. Diggle almosts shoots her when she catches his attention, but once she notices the bloodstains on her clothes, he realizes she is no threat and they hurry to gather Oliver.
The next few hours are brutal for her sanity. The first time Oliver flatlines, it’s like her world stops. With the small amount of time they’ve spent together, Felicity didn’t think that their marks had bonded all that much. The connection had definitely gotten stronger, evident by the pain she feels in her shoulder and collarbone. But when Oliver’s heart stops, it feels as though hers does too.
She is only jostled out of her frozen state when Mr. Diggle springs into action and pulls out the shock cart.
After what seems like forever, Oliver is finally in a stable condition, but not without giving her and Mr. Diggle a few more heart attacks (almost literally for her).
Now they wait for him to wake up. Since her focus doesn’t have to be on Oliver every second now, although part of her wants to keep an eye on him at all times, Felicity now has the opportunity to survey Oliver’s secret lair.
It’s… not the greatest thing Felicity’s ever seen. It’s just a dark, dingy basement. The tables here and there, with arrows and other vigilante equipment, just look like a haphazard attempt at a secret base. And don’t get her started on that atrocity of a computer setup. Walking over to Oliver’s computers, a scrunched up, disgusted look on her face, she takes account of how archaic the setup is. By Felicity’s standards, it’s almost as archaic as Oliver’s choice of weaponry.
“Something wrong?” Mr. Diggle asks from behind her.
“Other than this poor excuse of a computer system?”
He chuckles. “Well, Oliver isn’t exactly a computer expert.” Crossing his arms, he continues with a shake of his head, “If he’s an expert at anything it’s giving me a hard time keeping him alive.”
“Yeah, I don’t know how you deal with that.”
Mr. Diggle chuckles again. “Honestly, I don’t know either.”
She laughs with him. Tapping on the desk of computers, Felicity contemplated how she could fix the setup. “Do you think our dear Mr. Hood would mind if I tinker with his computers?” She doesn’t know why she asks because she already starts moving off all the clutter. “I don’t think I could stand it here if I didn’t do something about it.”
“Given you’re the one with a Masters in Computer Science, I don’t think he’d argue.”
Felicity turns back around to Mr. Diggle. “And Cyber Security. Computer Science and Cyber Security.” She goes to return to the computers and continue her work, but then she realizes what the bodyguard has said. “Wait, how do you know that? It’s not like a have a glowing neon sign in my office.”
“Our Mr. Queen had me do some research on you. To make sure he could trust you.”
Felicity rolls her eyes. “Of course he did.”
She goes back to the computers, thinking about how a third monitor could probably be set up while checking Oliver’s software. A few minutes pass before Felicity realizes Mr. Diggle is staring at her.
Repeating his earlier question to him, she asks, “Something wrong, Mr. Diggle?”
“First, my friends call me Diggle.”
“Oh! Are we friends now?”
“Considering we just worked together to save this man’s ass,” he points his thumb behind him to Oliver on the medical table, “I’d say we’re friends.”
“Okay, Diggle,” she says, testing it out. “What’s the second thing?”
Diggle observes her for a moment, contemplating if he should ask her. He’s seen Oliver’s mark. At first, he thought it was a tattoo. He’d mentioned to Oliver that he thought it ironic that he have a tattoo of an arrowhead. However, in a rare moment of honesty, Oliver had voiced it was actually his soulmate mark. In the end, Diggle does ask Felicity. “How long have you known about Oliver’s soulmate mark?”
Felicity’s fingers freeze over the keyboard, and she is sure that she’s broken out into a nervous sweat. “What? I have no idea what you’re talking about,” she denies.
Well, that didn’t sound convincing at all. And Diggle knows it.
He raises an eyebrow. “Really? Because I saw you touching it after the last time Oliver coded an hour ago. Plus, you’ve been rubbing the same spot on your body as Oliver’s wound.”
Felicity admits to having been feeling a bit of the pain at her collarbone, but she doesn’t even remember laying a hand on Oliver other than keeping him from bleeding out.
“You were probably too focused on Oliver to notice you were.” Diggle gives her a chance to say something, but she doesn’t. Felicity is too blindsided by Diggle’s observations and her lack of subtlety to think of anything. “I’m guessing by your reaction that you probably share the same mark.
Slowly, Felicity turns the computer chair toward Diggle, her bottom lip pulled between her teeth. She can barely meet Diggle’s eyes. In a small voice, she pleads, “Please don’t tell him.”
Diggle wants to inquire more. Any soulmate would give anything for a chance to be with their soulmate. His grandfather almost gave up his life to be with Diggle’s grandmother. Why isn’t Felicity jumping at this chance?
But he doesn’t want to overstep her boundaries. Especially if she might be joining him and Oliver in the lair. “I won’t,” he promises, though he hopes in the future she’d be able to tell him why she doesn’t want to be with her soulmate.
Felicity blows a breath of relief and nods her thanks. Then she returns to upgrading the computer system, the tension still in her shoulders.
It only depletes slightly when, another hour later, Oliver finally wakes up. But the furrow in her brow doesn’t truly disappear.
Diggle watches the two of them interact. He’s seen the two of them together before, at the QC offices. He found it amusing how Felicity would always get flustered around the billionaire. But now he can see it’s different than the crush he thought Felicity had on Oliver.
She only flusters because she’s hesitant to be around her soulmate. Probably one of the reasons she’s joining Oliver’s crusade part time.
“I’ll help you rescue Walter, but that’s it,” Felicity says. She catches Diggle’s eye for a second and falters. He can tell she struggles with keeping her soulmate in the dark. But she recovers quickly. “Then I want to go back to my boring life of being an IT girl.”
Away from her soulmate, Diggle assumes she says in her head. Her eyes flicker to Diggle again, but continues to say, “That’s my offer.”
Felicity stands there, nervous but still confident, waiting for Oliver’s response. Diggle can’t help but admire her for that.
Quietly, with a nod, Oliver agrees, “Okay.”
Again, Felicity looks like she’s struggling to say something, but Diggle sees the moment she pushes the urge to say it down. Then she rambles on about needing to use the bathroom.
This girl really is something else, Diggle decides. He’s about to go clean up all the medical supplies when Oliver stops Felicity before she heads upstairs to the restroom. Holding out his head, Oliver waits for Felicity to take it.
She hesitates, but she does. For that moment, as Oliver gives her a sincere “Thank you,” Diggle can tell that the rest of the room disappears from them. For just a moment, the two of them seem completely entranced with one another.
But then, Felicity pulls her hand back, almost like it’s been burned. Nervously, she smiles at both of them before heading up the stairs, unconsciously rubbing the painful spot on her collarbone.
Diggle watches Oliver. He stares curiously at the hand he used to shake Felicity’s. Did his hand burn too? Then, the injured vigilante shakes his head and masks his curiosity.
Diggle turns back to Felicity on the stairs, then back to the idiotically oblivious man standing in front of him, wrapped in a blanket.
God, help him, Diggle prays. These two will probably be the death of him.
#olicity fic#arrow fic#my fic#soulmates au#things left unsaid#oliver queen#felicity smoak#otp: just in case
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Ligne Nouvelle Provence Côte d'Azur : en cette rentrée, restons concertés !
Investi de longue date en faveur du projet LNPCA, indispensable à la mobilité et l'attractivité de notre territoire régional, le réseau CCI incite partenaires économiques et entrepreneurs à participer à la concertation publique qui entre maintenant dans sa deuxième phase. Go !
Déplacements facilités, décongestion d'axes routiers asphyxiés, levier environnemental, vecteur d'une économie performante et responsable, structuration de l'arc méditerranéen... : c'est ce que représente la Ligne Nouvelle Provence Côte d'Azur défendue par le réseau CCI (lire ici). Pourquoi continuer à s'investir à l'heure de la concertation publique ? Parce qu'il est primordial que le calendrier des aménagements des phases 1 et 2 du projet soit respecté ; ceci, afin que les travaux prévus sur les noeuds ferroviaires stratégiques des trois métropoles régionales (Marseille, Toulon, Nice) ne démarrent pas plus tard qu'en 2023.
Que préconise le réseau CCI quant aux aménagements soumis à la concertation ?
La CCI Nice Côte d'Azur souligne l'importance de la gare Nice Aéroport, pôle multimodal essentiel et élément-clef de l'OIN Eco-Vallée. Elle est par ailleurs favorable au déplacement de la gare TER de Cannes-la-Bocca sur le site de Cannes Marchandises (augmentation de la fréquence des TER vers Monaco) et souhaiterait qu'une analyse multicritères permette d'éclairer les avis sur les deux variantes d'implantation (Sicasil / Pierre Sémard).
Concernant la mise en place de navettes spécifiques à l'est et à l'ouest de Toulon, la CCI du Var est pour, l'objectif étant de compléter le service TER actuel autour de la Métropole. Même avis positif quant à la bifurcation de la ligne La Pauline-Hyères et au réaménagement de la gare La Pauline. Des travaux qui vont renforcer et faciliter les mobilités du quotidien sur toute cette aire varoise.
Dans la perspective d’un RER métropolitain, la CCI Marseille Provence reste vigilante sur les impacts fonciers et sur l’articulation du projet avec les activités économiques à proximité. Les aménagements de phase 1 entre Saint André et Arenc devront notamment permettre de préserver la desserte des Bassins Est du Grand Port Maritime de Marseille-Fos, tout en améliorant la mobilité du territoire Nord de Marseille. En outre, cette 1e phase ne devra pas obérer la réalisation, en phase 2, de la gare souterraine à Marseille St-Charles qui, avec une 4e voie dans la vallée de l’Huveaune, constituera le véritable saut qualitatif en matière de mobilité métropolitaine. En phase 2, le principal point de vigilance concerne l’insertion des têtes de tunnels pour la traversée souterraine de Marseille : les travaux devront être optimisés et précisés afin de préserver les activités et le foncier économique à proximité. Sans tarder, il conviendra enfin de préciser les éventuels dispositifs de relocalisation d’établissements impactés..
Enfin, la CCI de région et l'ensemble de son réseau rappellent la nécessité de mettre en place au plus tôt une mission de financement du projet LNPCA afin de mener sans retard les phases 1 et 2 et de trouver les moyens d'avancer les phases 3 et 4, indispensables à la performance de notre réseau ferroviaire. Pour rappel, le calendrier de lancement des travaux prévu dans le projet de Loi d'Orientation des Mobilités est le suivant : phase 2 : 2028 – 2032 / phase 3 : 2033 – 2037 / phase 4 : post 2037.
Septembre/Octobre : voici le temps de la concertation publique Ligne Nouvelle
Huit réunions publiques locales se déroulent actuellement, depuis lundi 9 septembre et jusqu'au mardi 1er octobre sur les différents bassins concernés par les phases 1 et 2 du projet (détail des réunions ici). Parallèlement, trois ateliers thématiques sont organisés pour aborder les aménagements de la LNPCA sous l'angle Développement Durable (27 septembre à Toulon), sous son aspect socio-économique (2 octobre à Marseille) et en matière de saturation ferroviaire (3 octobre à Nice). Enfin, ce sont les 15, 16 et 17 octobre que se dérouleront les trois réunions publiques de clôture de la concertation (respectivement dans le Var, les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône) auxquelles élus et experts des CCI en matière d'aménagement durable du territoire seront partie prenante.
Suivez le fil d'actualité de la LNPCA sur Twitter
Découvrez tout le détail du projet sur le site de la Ligne Nouvelle
Suivez le projet sur la playlist Youtube LNPCA
par Actu regionale - Chambre de commerce et d'industrie de region Provence-Alpes-Cote d'Azur (CCIR PACA) http://www.paca.cci.fr/info-actu-regionale--ligne-nouvelle-provence-cote-d-azur--en-cette-rentree-restons-concertes--7929.php
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Les PNC Air France signent, y compris sur Boost
http://feedproxy.google.com/~r/AirJournal/~3/oy4jTpIxKq8/2017-07-13-les-pnc-air-france-signent-y-compris-sur-boost-5184746.html Deux syndicats d’hôtesses de l’air et stewards majoritaires de la compagnie aérienne Air France ont signé le nouvel accord collectif PNC, ainsi que l’accord à durée indéterminée apportant des garanties dans le cadre de la création de la nouvelle filiale à coûts réduits, le projet Boost. La décision des pilotes est attendue la semaine prochaine. Selon le communiqué du 12 juillet 2017 de la compagnie nationale française, l’Accord Collectif PNC ouvert à la signature le 30 juin dernier a été signé par l’UNAC et l’UNSA PNC, qui sont ensemble majoritaires au sein de ses PNC, « de même que l’accord – à durée indéterminée – apportant des garanties aux Personnels Navigants Commerciaux d’Air France dans le cadre de la création de la nouvelle compagnie, le projet Boost ». Ces accords sont donc « d’ores et déjà valides au regard des règles légales », assure Air France, précisant que la troisième organisation représentative, le SNPNC-FO, se prononcera à l’issue de la consultation de ses adhérents le 24 juillet. Le nouvel accord collectif sera mis en œuvre à compter du 1er septembre pour une durée de plus de 5 ans, jusqu’au 31 octobre 2022 ; le projet de « Note de direction » qui devait s’appliquer unilatéralement en l’absence d’accord est donc abandonné. Cet accord collectif prévoit par ailleurs un objectif minimum de 500 embauches PNC en CDI chez Air France sur la période de l’accord, ceci indépendamment des embauches de PNC pour la nouvelle filiale qui se feront par ailleurs. Pour le directeur général Franck Terner, « ce nouvel accord est positif pour Air France comme pour ses Personnels Navigants Commerciaux. Il démontre que la persévérance, l’écoute réciproque et la recherche d’un compromis sont toujours possibles. C’est avec ce souci permanent du dialogue social que nous avons travaillé avec toutes les organisations représentatives du PNC ». Neuf mois et deux grèves après l’échéance initialement fixée aux négociations sur les salaires et les conditions de travail des quelque 13.000 hôtesses de l’air et stewards, la direction d’Air France avait « lâché du lest » début juillet, portant la durée de l’accord de quatre à cinq ans et le nombre d’embauches PNC à 500 au lieu de 400 sur cette période. Il était aussi mentionné des améliorations sur les règles d’engagement et de repos, comme « le nombre des rotations adaptées » qui pourrait être réduit à trois et « le tableau d’abattement des OFF consécutifs que nous sommes prêts à aménager en excluant la modification des périodes d’inactivité de 7 et 8 jours ». Le nouveau texte avait d’abord été signé par l’UNAC, puis par l’UNSA PNC, qui réprésentent environ deux tiers des PNC d’Air France. En ce qui concerne le projet Boost, l’accord interdit en particulier toute « mobilité contrainte » des PNC. L’UNSA PNC a tout de même déclaré sur son site que « pour être honnêtes, cet aboutissement n’est pas celui que nous aurions souhaité pendant ce long combat, et nous vous l’avons répété pendant plus d’un an, car nous sommes et restons toujours opposés au projet de cette nouvelle compagnie qui risque de devenir une concurrente directe d’Air France ». Le syndicat explique avoir décidé d’accepter le texte malgré un contexte très menaçant (réforme du code du travail en cours « dangereuse pour les salariés des grands groupes », tentatives de syndicats PNC « pour essayer de faire passer les négociations des accords PNC dans les mains des syndicats sol ») dans le but de protéger un maximum tous les PNC : l’accord « arraché » de plus de 5 ans reste « malgré quelques mesures productivistes, une protection non négligeable ». L’UNAC a de son côté expliqué que malgré sa signature, il reste « beaucoup de choses à améliorer dans cette convention pour qu’elle ait l’adhésion de tous ». Des changements sont d’ores et déjà notables par rapport au texte initialement proposé, précise le syndicat : les temps forfaitaires, alignés par rapport au calcul PNT, se feront comme chez ex-Régional ; les PNC seront logés dans des hôtels 4 étoiles, comme les PNT ; les congés pour enfant malade seront de 3 jours portés à 5 pour les enfants de 0 à 3 ans L’UNAC précise qu’elle restera « très vigilante » pour que soit préservée l’équité entre les PNC et les PNT : « nous attendons de voir les reste des accords que la Direction va mettre en oeuvre avec les pilotes ». Si la compagnie de l’alliance SkyTeam semble avoir réglé le problème des PNC, celui des pilotes devrait connaitre une nouvelle étape le 17 juillet : on connaitra alors le résultat de la consultation organisée par le SNPL sur le plan stratégique Trust Together et plus particulièrement le projet Boost. Rappelons que le syndicat majoritaire demande à ses membres de choisir entre trois possibilités : accepter les dernières propositions d’Air France, opter pour le contre-projet du SNPL (dont les seules différences porteraient sur les toilettes supprimées dans les futurs Airbus A350 et les compensations en cas de non-respect du rééquilibrage par rapport à KLM) – ou aucune des deux. Avec la promesse que le syndicat acceptera la réponse ayant recueilli le plus de voix, même si elle n’est pas majoritaire. Les pilotes AF s’étaient déjà prononcés en majorité en faveur d’un projet d’accord précédent, le Conseil du SNPL refusant alors de suivre sa base.
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Voyage mystérieux au cœur de l'encéphalite chez la femme : décryptage, compréhension et solutions
Prête pour un voyage au cœur d'un sujet mystérieux et trop peu discuté ? L'encéphalite, cette maladie intrigante, ne choisi pas ses victimes au hasard. Elle affecte nos sœurs, nos mères, nos amies. Alors, plongeons ensemble dans le monde de l'encéphalite, à la rencontre de ses causes, ses symptômes et les traitements disponibles. C'est un voyage d'apprentissage qui pourrait bien vous sauver, vous ou une personne que vous aimez. L'encéphalite : qu'est-ce que c'est exactement ?" L'encéphalite est une inflammation du cerveau. Souvent, elle résulte d'une infection virale, mais elle peut aussi être causée par des facteurs non infectieux. Cette maladie est un véritable caméléon, adoptant des symptômes variés qui peuvent la rendre difficile à identifier. C'est pour cela qu'elle mérite toute notre attention. L'encéphalite et la femme : une relation complexe Si l'encéphalite peut toucher tout le monde, hommes et femmes, il est important de connaître ses particularités chez la gent féminine. Chez certaines femmes, le cycle hormonal peut influencer la gravité des symptômes. C'est un détail important à garder à l'esprit dans notre quête de compréhension. Quand l'encéphalite frappe : les symptômes à surveiller Les symptômes de l'encéphalite peuvent être subtils ou évidents. Parmi ceux-ci, on trouve la fièvre, la fatigue, les maux de tête, les troubles cognitifs, voire même des troubles du comportement. Comme ces symptômes sont assez communs, il est crucial d'apprendre à les reconnaître dans le contexte de l'encéphalite. A lire aussi : Comment dompter un abcès : stratégies médicales et naturelles Une lumière dans l'obscurité : traitements de l'encéphalite Heureusement, l'encéphalite n'est pas sans solution. Les traitements peuvent varier, allant des antiviraux aux corticostéroïdes, en passant par des soins de soutien. Dans certains cas, l'immunothérapie peut être une option. L'important, c'est d'agir vite et de se confier à des professionnels de la santé. Maintenant que vous avez exploré le monde de l'encéphalite, il est temps de passer à l'action. Partagez ce que vous avez appris avec vos proches, sensibilisez votre entourage. Et rappelez-vous : si vous ou une personne que vous connaissez présentez des symptômes suspects, n'hésitez pas à consulter un professionnel de la santé. Parce que chaque femme mérite de vivre en bonne santé, restons vigilantes et informées. Read the full article
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En premier lieu Estelle, je forme le vœu que votre santé se rétablisse au plus vite. J’espère également que vous avez pu repasser dans vos souvenirs tous les contacts que vous avez eus pour prévenir les personnes que vous avez rencontrées d’un risque de contamination afin qu’elles soient vigilantes et éventuellement se fassent soigner. Ces deux points et eux seulement relèvent de votre responsabilité morale réelle. Pour le reste, vous n’avez rien à vous reprocher moralement, notamment pour le fait d’avoir été en contact avec des personnes en ignorant que vous étiez porteuse du coronavirus. Cependant, vous pouvez utilement et nous pouvons tous méditer cette réalité que parfois sans le savoir, sans le vouloir, nous pouvons faire du tort aux autres, par ce seul fait que nous sommes limités dans nos connaissances et dans nos capacités. Nous ne pouvons pas changer cet état de fait. Tout dans le monde et dans notre vie est limité. Cela peut entraîner des sentiments de frustration, de révolte, de colère, de culpabilité. Mais si nous restons dans ces sentiments, ils ne produisent jamais rien de bon, car ils sont liés à notre orgueil de vouloir tout maîtriser. Nous pouvons consentir simplement devant le Christ à toutes ces limites que nous ressentons parfois cruellement. Dans ce consentement humble qu’il faut sans cesse reprendre, il y a une joie et une paix immense à recevoir. Prenez soin de vous. Soyez bénie !
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Des concerts à Paris et autour
Juin 28. Cosmo Cornelius Vigilante + City Dragon – Chair de poule (gratuit) 28. Golden Oriole + Antoine Chessex + Brutal Blues – Instants chavirés (Montreuil) 28. La Colonie de vacances – La Station ||COMPLET|| 29. Cocaine Piss + SHIT + Sordid Ship + Harassment – Le Gibus 29. Wolves in the Throne Room – Petit Bain 29. Punish Yourself + TRK_X + Virile + F/cken Chipotle + Front de crypte + Thérapie club + Nana Benamer – La Station 29. Tommy Four Seven + Headless Horseman + Phase fatale + Killawatt – Concrete 29. Polar Inertia + Erika + Luigi Tozzi + Marcelus – Rex Club 29. Fred P. aka Black Jazz Consortium + Tin Man + Kay Alce b2b Patrick Gibin + Skee Mask (Macki Music fest.) – parc de la mairie (Carrières/Seine) 30. A Deep Groove + Antal + Golden Dawn Archestra + Blake Baxter + Muddy Monk + Saint DX + Toshio Matsuura + Vox Low + Nathy Peluso (Macki Music fest.) – parc de la mairie (Carrières/Seine) 30. Eliott Litrowski (Macki Music fest.) – boat party 30. Echo Collective joue "Amnesiac" de Radiohead (fest. Days Off) – Le Studio|Philharmonie 30. Scratch Massive (dj) + Regina Demina + Char + RAG + Morello + Nasi Fshr – Cabaret sauvage 30. Femme + Stefan Christensen + Dustbreeders Extended – Espace B 30. Nils Frahm + Zoe Keating (fest. Days Off) – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie ||COMPLET||
Juillet 01. This Will Destroy You – La Maroquinerie 01. Motor City Drum Ensemble + Josey Rebelle + Cotonete + Lomboy + Ceephax Acid Crew + Kamaal Williams + HDBeenDope + Sentiments (Macki Music fest.) – parc de la mairie (Carrières/Seine) 01. Nick V (Macki Music fest.) – boat party 01. Zaltan (Macki Music fest.) – boat party 01. Renart + Vulcanizadora + NSDOS – Agora|Maison de la radio 02. MoE + Enob + Will Guthrie – Espace B 02. Accident du travail + Sholto Dobie & Lia Mazzari – Les Nautes 03. Poison Point + Badbad + Rhume carabiné – Supersonic (gratuit) 03. David Byrne (fest. Days Off) – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie 03. Matthias Puech + Marc-Antoine Perrio, Ariel Tessier & Xavier Gignoux – 100ECS 03. Maud Geffray & Kevin Elamrani-Lince + Balladur + Sentimental Rave – La Station 04. Usé – Point FMR 04. Enerzion + Marc Caro + Solar Return + Ensemble Dime + dj Cambi & Jokilla (fest. Electropixel) – Le Cube (Issy-lès-Moulineaux) 04. MGMT (fest. Days Off) – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie ||COMPLET|| 05. Brnsrpprs + Brns + Ropoporose (7 ans de Petit-Bain) – Petit Bain 05. Eric Chenaux + Orgue Agnès – Point FMR 05>07. Dominique a + Jeanne Added... (Fnac Live Paris) – parvis de l'Hôtel de ville (gratuit) 06. Teknomom + Bracco + Marion d'Oktober Lieber + Marai – Trabendo (gratuit) 06. Trami Nguyen et Laurent Durupt jouent "Piano Phase" de Steve Reich + Bruce Brubaker + Laake + Fabrizio Rat + Murcof & Vanessa Wagner + Tom Rogerson + Grandbrothers (fest. Days Off) – Cité de la musique|Philharmonie 06. Etienne Jaumet + Buvette + Richard Fenet – Fondation Vuitton 06. Otto Von Schirach + Hot Bip + Motif_r + Santa Nihil – L'International 06. Speedy J + Fjaak – Concrete 06. Amelie Lens + Daniel Avery + Floating Points + Folamour + Jeff Mills + Laurent Garnier + Kink b2b Gerd Janson + Not Waving + Solomun... (The Peacock Society) – Parc floral (Vincennes) ||COMPLET|| 06. Joujou + Brandt + Société étrange + Badaboum + Cyclikweetos + Orchestre tout puissant Marcel Duchamp + The Monochrome Set + Hyperculte + The Experimental Tropic Blues Band + Belmont Witch + Me Donner + Snapped Ankles + The Absolute Never + Odessey & Oracle (La Ferme électrique) – La Ferme du Plateau (Tournan-en-Brie) 07. Sister Iodine + Warum Joe + Sida + White Heat + Tonnerre + USA Nails + Bracco + Lèche-moi + 10LEC6 + Pyjamarama + Derinëgolem + The Staches + Franky Goes To Pointe-à-Pitre + Club Cactus (La Ferme électrique) – La Ferme du Plateau (Tournan-en-Brie) 07. Etienne Daho + Tristesse contemporaine (fest. Days Off) – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie 07. Ellen Allien + SHDW & Obscure Shape + Voiski + Fareed + Grego G – Concrete 07. Ancient Methods + Hector Oaks + Parfait + Remco Beekwilder + The Hacker – tba 07. Richie Hawtin + Tale of Us + Charlotte de Witte + Chloé + Maetrik + Mano Le Tough + Octo Octa + Joy Orbison b2b Kornel Kovacs (The Peacock Society) – Parc floral (Vincennes) 08. Krinator + Judas Donneger – La Station (gratuit) 08. Maulwürfe – La Gaîté lyrique 09. Eels – Olympia 10. Warum Joe + Stratocastors + Pierre & Bastien + Cité lumière (fest. restons sérieux) – Supersonic (gratuit) 11. Guili Guili Goulag + Guerre froide + Oktober Lieber + Keruda Panter (fest. restons sérieux) – Supersonic (gratuit) 12. Ricky Hollywood + Kumisolo + Soleil bleu + Palma Rosa + Option Géniale (fest. restons sérieux) – Supersonic (gratuit) 12. Chelsea Wolfe + Emma Ruth Rundle – Trabendo 13. Bertrand Burgalat + Marietta + Pastel Coast + Daisy Mortem + Grotte + Biche (fest. restons sérieux) – Supersonic (gratuit) 13. Ministry + Grave Pleasures – Elysées Montmartre 13. City Dragon + RedRice + Hers + Ragazza XXI – La Pointe Lafayette 13. Petra Flurr – Le Klub 13. Perc + Shlomo b2b Anetha + Ciel + Ohes – Concrete 14. Le Réveil des tropiques + Jean Jean + Cachette à branlette + Rape&Revenge + Spagguetta Orghasmmond + Posterboy Machine (fest. restons sérieux) – Supersonic (gratuit) 14. Papier Tigre + Pyjamarama + Puissant Blaster – Espace B 19. Make-Overs + RVG + Häxxan (Garage MU fest.) – La Station 20. The KVB + Structure + Giant Swan + Operant + Homoagent + Iron Sight + Luna Violenta + Shacke (Garage MU fest.) – La Station 20. Kangding Ray + Stanislav Tolkachev + Electric Rescue – Rex Club 20. Bas Mooy + Chaton Cheper + Illnurse + Rendered + Sleeparchive + Tinfoil – tba 21. Veil of Light – Supersonic (gratuit) 21. MCiPi (Deeat Palace) – Bar à bulles|La Machine (gratuit) 21. First Hate + Sneaks + Hand & Leg (Garage MU fest.) – La Station 21. Violent quand on aime + UVB 76 + Lostsoundbytes + Ian Tocor – La Machine 21. Peter Van Hoesen + Inigo Kennedy + Anthony Linell & Abdulla Rashim + Rrose + BLNDR – Les Docks de Paris (Aubervilliers) 22. IV Horsemen + Maenad Veyl + UVB 76 + Noyades + Dentelle + Tite + Vision douteuse (Garage MU fest.) – La Station 24. Dirty Fences + Hoorsees + La Chinoise – Supersonic (gratuit) 24. Negative Space + Pretty Hurts + Die Süsse Teufel – La Comedia 27. Descente + Drvg Cvltvre + Nene H – La Station
Août 01. Pardans + The Acharis – Supersonic (gratuit) 20. Front Line Assembly + Die Krupps – La Machine 24. Die Antwood + Carpenter Brut + Dirty Projectors + Parcels... (fest. Rock-en-Seine) – Domaine de Saint-Cloud 26. Jessica 93 + Idles + The Black Angels + Bonobo + Justice... (fest. Rock-en-Seine) – Domaine de Saint-Cloud 28. A Place To Bury Strangers + Entracte Twist – Petit Bain
Septembre 01. Lilthics – Espace B 01. Ariel Pink + Vox Low + Cut Worms + Volage + TH da Freak (Paris Inter. Fest. of Psychedelic Music) – La Machine 02/03. Molly Nilsson + Petit Fantôme + Dead Sea + Faux Real + Saint DX... (Paris Inter. Fest. of Psychedelic Music) – tba 04. Thee Oh Sees + Male Gaze + Prettiest Eyes (Paris Inter. Fest. of Psychedelic Music) – La Cigale 05. Feist – L'Olympia 07. Conflict + Humandogfood + Social Experiment – Le Gibus 08. Death Grips – Elysées Montmartre 13. The Oscillation + Lumerians – Petit Bain 14. Qual – Supersonic 14. Dylan Carlson – Instants chavirés (Montreuil) 15. Monolith + Hypnoskull + Empusae + Meta Meat + Diaphane – tba 15/16. Tarek Atoui + Davide Balula + Jean-Luc Guionnet + Stephan O'Malley + Seijiro Murayama + BrutPop... – Cnap (Pantin) (gratuit) 20. The Brian Jonestown Massacre – La Cigale 21. Crisis + Plomb – Petit Bain 22. The Wedding Present – Point FMR 22. Zëro, Virigine Despentes & Béatrice Dalle – Auditorium du théâtre (Chelles) 22. Paula Temple + LSD + Tommy FourSeven... (Dream Nation fest.) – Docks de Paris (Aubervilliers) 23. Spiritualized – Cabaret sauvage 24. Oneohtrix Point Never (Red Bull Music fest.) – Le 104 26. Sleaford Mods + Consumer Electronics – Le Trianon 26. Chassol + Thomas de Pourquery + Flavien Berger + Jacques + Ala.Ni + Quentin Rollet + Gaspar Claus + Jocelyn Mienniel + Low Jack + Lucie Antunes + Christine Ott + Serafina Steer + Ghedalia Tazartes + Mathieu Edward + Mélissa Laveaux (Red Bull Music fest.) – Cabaret sauvage 27. Part Chimp – Espace B 27. Yuzo Koshiro & Motohiro Kawashima + Kode9 & Koji Morimoto + Oklou & Krampf + Teki Latex & DITC + Konx-Om-Pax (Red Bull Music fest.) – Gaîté lyrique 28. Rebeka Warrior – La Station 29. Terry Riley & Gyan Riley – La Maroquinerie 29. Aurora Halal + Roberto Succo + Elena Colombi + Jasss + Nihiloxica + Front de cadeaux + Julianna + Oko dj + Miley Serious + Jita Sensation (Red Bull Music fest.) – La Station
Octobre 02. The Melvins – L'Alhambra 04. Oiseaux-Tempête, Mondkopf & G. W. Sok + Princess Thailand – Centre Barbara-FGO 04. Ballaké Sissoko & Vincent Segal – La Seine musicale (Boulogne-Billancourt) 12. Les Négresses vertes – Cabaret sauvage 12. Thorofon + Control + Te/DIS – Les Voûtes 12. Les Ramoneurs de menhir vs SP32 – Gibus 13. Françoiz Breut + David Fenech – Médiathèque musicale de Paris (gratuit) 13. Low – La Gaîté lyrique 20. Tallinn Chamber Orchestra : Fratres, Cantus in memoriam Benjamin Britten, Adam's Lament, Salve Regina et Te Deum d'Arvo Pärt – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie 20. Les Tétines noires – Petit Bain 22. Dead Meadow – Petit Bain 24. Motorama – Petit Bain 25. Marissa Nadler - Point FMR 26. Jon Hopkins – Trianon 27. Killing Joke – Cabaret sauvage 31. Acid Mothers Temple (Le Beau fest. off) – Glazart
Novembre 01>03. Bon Iver + Fever Ray + Mac DeMarco + Blood Orange... (Pitchfork Music fest.) – Grande Halle de La Villette 02. Emma Ruth Rundle – Petit Bain 04. Peaches Christ Superstar – Cité de la musique|Philharmonie 05. Colin Stetson – Café de la danse 05. Echo & The Bunnymen – Bataclan 08. Cold Cave – Petit Bain 13. Hot Snakes – Point FMR 16. Parquet Courts – Elysées Montmartre 18. Ensemble Links : « Drumming » de Steve Reich – Cité de la musique|Philharmonie 21. The Breeders – Le Trianon 22. Scout Niblett – Petit Bain 23. Michael Nyman : "War Work: 8 Songs with Film" – Salle Pleyel 23. Ennio Morricone – Bercy Arena 27. Mudhoney – Trabendo 28. Adult – Petit Bain 29. Interpol – Salle Pleyel
Décembre 01. Deux boules vanille (fest. Marathon!) – La Gaîté lyrique 06. The KVB – Badaboum 08. Père Ubu – Théâtre Berthelot (Montreuil) 09/10. Moriarty – Cité de la musique|Philharmonie 14. New Model Army – Trabendo 15. Gaspar Claus – Cité de la musique|Philharmonie 18. Drab Majesty – Point FMR
2019
Mars 29. Perturbator – Le Trianon
Avril 14. Arnaud Rebotini joue la BO de "120 Battements par minute" – Cité de la musique|Philharmonie
Mai 17. Philip Glass : Études pour piano – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie 18. Bruce Brubaker & Max Cooper : Glasstronica – Cité de la musique|Philharmonie
Juin 26. Magma – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie
en gras : les derniers ajouts / in bold: the last news
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Pèlerinage à Rome du 9 au 14 octobre 2017 (3/5)
Sommaire
L'Audience du mercredi (…)
Santo sùbito !
Promenade dans la Rome (…)
L'Audience du mercredi matin
Ce troisième jour, nous nous sommes levés… encore plus tôt ! Il fallait arriver Place Saint-Pierre pour l'audience pontificale à 7 h 30 ! L'audience commence à 9 h 30, mais il faut installer les dizaines de milliers de participants. Nous étions très bien placés, aux premiers rangs des carrés derrière les « invités ». Nous voici attendant.
Notre groupe
Déjà l'auréole ?
Santo sùbito !
Puis, tout d'un coup il s'est passé plein de choses : les différentes délégations du monde entier ont été citées. Lorsqu'on a entendu « Paroisse de Tréguier », notre cœur a battu très fort et nous avons hurlé comme les autres que nous étions là ! Quel dommage que nous n'ayons pas eu un drapeau breton ! À côté de nous, il y avait des australiens, des américains, des chiliens, des japonais, des portugais, des vietnamiens… Enfin, il me faudrait la page pour les citer tous : Église universelle… Il y avait sûrement sur la place Saint-Pierre des non-croyants, des croyants, des convaincus, des mordus, des passionnés. Nous avons même croisé un saint auréolé !
Et, brutalement, « il » était là : dans une petite voiture ouverte, notre pape a sillonné à plusieurs reprises les allées ! Les hourras ! nous indiquaient la direction. Nous étions tétanisés. (Photos de Marie-Madeleine R., qui était mieux placée). Oh là là ! Nous étions à un ou deux mètres de lui. Il s'arrêtait, là pour prendre un enfant dans les bras, là pour échanger quelques mots… Une forêt d'appareils photos brandis suivaient les mouvements de la papamobile.
Viva il papa Francesco !
François a regagné la tribune et les choses plus sérieuses ont commencé. De nombreux évêques et prélats, deux cardinaux et pleins d'invités sûrement très spéciaux, la garde pontificale, une chorale d'Amérique du sud, etc… l'entouraient. Applaudissements nourris. Puis des prélats ont lu l'évangile choisi (qui n'était pas celui du jour) dans 8 langues différentes :
« Restez en tenue de service, votre ceinture autour des reins, et vos lampes allumées. Soyez comme des gens qui attendent leur maître à son retour des noces, pour lui ouvrir dès qu'il arrivera et frappera à la porte » (Luc 12, 35-36).
Puis la catéchèse de François :
« Chers frères et sœurs, bonjour ! Je voudrais aborder le thème de l'attente vigilante, l'une des dimensions de l'espérance. Jésus nous appelle à ne jamais baisser la garde pour accueillir avec reconnaissance et étonnement chaque jour nouveau que Dieu nous donne. En effet, si nous sommes déjà sauvés par la rédemption de Jésus, nous attendons ce moment, ce « rendez-vous » où Dieu sera tout en tous. Le chrétien sait que dans la monotonie de certains jours se cache toujours un mystère de grâce. Ainsi, aucune situation ne demeure complètement réfractaire à l'amour, si nous restons unis à Jésus… ».
Ensuite, la foule entière a récité avec foi le Notre Pèreen latin, et le pape nous a donné sa bénédiction.
Voilà, l'audience est finie. Nous repartons émus, apaisés, enrichis.
Promenade dans la Rome ancienne
Dans l'église St-Yves des Bretons
Après avoir longé le Tibre, nous atteignons la petite église de Saint-Yves-des-Bretons, cachée sous des échafaudages car son toit est en réfection. Accueilli par un jeune chapelain, notre curé y célèbre une messe recueillie où nous prions pour notre paroisse et pour tous ceux que nous aimons restés au pays. Cantiques bretons assurés !… L'autel est surmonté d'une statue de saint Yves en bois recouverte d'argent ( XVIIIe) et qui vient de Saint-Louis-des-Français. Elle avait été prêtée pour le pardon et elle est restée depuis…
L'après-midi a été consacré à l'hyper-centre de Rome et à quelques-unes des nombreuses églises qui s'y trouvent. Il y a plus de 400 églises à Rome intra-muros !
La première église de notre circuit fut le Panthéon.
Sous le dôme du Panthéon
La façade de l'église St-Ignace
À l'origine le Panthéon était un temple dédié à toutes les divinités de la religion antique. Sauvé des destructions car, donné à la papauté en 609, il fut transformé en église chrétienne sous le nom de Sainte-Marie-des-Martyrs. Sa coupole était la plus grande du monde à l'époque de la construction : elle s'élève à plus de 43 mètres. Il paraît que pour alléger, les architectes ont utilisé de la pierre-ponce pour la partie la plus haute. La seule source de lumière naturelle est le trou que vous voyez. Il peut y pleuvoir, de l'eau, des pétales de fleurs, des pièces d'or (si,si,… ça s'est fait… il y a longtemps !).
Après cela, nous avons découvert l'église Saint-Ignace, caractéristique de la Contre-Réforme. Elle a une façade plutôt austère sur une petite place délicieuse où les immeubles ont l'air de figurer un décor de théâtre. À l'intérieur de l'église, un plafond peint à fresque (Andrea Pozzo) est un jeu de couleurs, perspectives et trompe l'oeil fabuleux ! On a vraiment l'impression que les personnages montent au ciel ! Arthrose cervicale, s'abstenir !
Le plafond peint de l'église St-Ignace
Puis, la Fontaine de Trevi. Nous l'avions vue de nuit. Tout aussi majestueuse de jour (Elle est trop connue pour que je mette la photo ici !).
St Mathieu et l'ange
Saint-Louis-des-Français, la paroisse des français à Rome. « Sponsorisée » par Henri II, Henri III et Catherine de Médicis, elle appartient à la France. Trois tableaux magnifiques du Caravage (1571-1610) nous parlent de saint Matthieu. Ici, vous voyez l'ange qui dicte l'évangile à Matthieu (c'est un thème récurrent, nous l'avons vu plusieurs fois dans la statuaire comme dans la peinture).
L'église Saint-Augustin, belle façade du début de la Renaissance. Sainte Monique, la mère de saint Augustin y est inhumée (bien que morte à Ostie). Il y a là aussi un très beau Caravage : la Madonne des pèlerins. Regardez le doux geste de la Vierge et l'attitude si naturelle de l'enfant regardant ces pèlerins plutôt… moches mais réalistes !
Le tombeau de ste Monique
La madone aux pélerins
Un passage rapide place Navone (« Ce n'est pas religieux ! » dit notre guide spirituel qui accélère le pas… déjà rapide !). Magnifique fontaine aux quatre fleuves : Danube, Gange, Nil et Rio de la Plata (Le Bernin).
L'église du Gesù
Et nous avons terminé à l'église du Gesù, l'église-mère des jésuites. La façade très austère (style « jésuite » !) cache bien son jeu. Le summum de la luxuriance, c'est la chapelle de saint Ignace de Loyola. En plus du délire baroque, il y a un espèce de « son et lumière » avec un panneau peint représentant saint Ignace qui glisse dans des rails pour découvrir la statue du même en marbre et argent ! Je ne suis pas sûre d'avoir aimé… Mais… demandons à saint Ignace de veiller sur le Pape par exemple.
Nous étions émerveillés, ravis, mais fourbus, les chaussures devenaient trop étroites…
Le Père Jean Ladouzie
Après le dîner, à l'hébergement, le Père Caous avait prévu une rencontre avec le Père Jean Landouzie, lazariste, originaire de Pontivy, qui travaille depuis 20 ans à la Secrétairerie d'Etat au Vatican, le plus important des 26 ou 27 dicastères du Saint-Siège.
Son service est responsable, au nom du pape, des relations avec les nonces, les diocèses et autres églises des pays francophones. Il a répondu avec patience et gentillesse à nos questions quelquefois un peu abruptes : nombre de prêtres occupés au Vatican, réforme de la Curie, budget du Saint-Siège…
Voilà, cette belle et rude journée est terminée… Remercions le Seigneur.
:suite La suite ? au n° 4 (bientôt !)
via Communauté pastorale Saint-Tugdual. http://ift.tt/2yVPBiO
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Pèlerinage à Rome du 9 au 14 octobre 2017 (3/5)
Sommaire
L'Audience du mercredi (…)
Santo sùbito !
Promenade dans la Rome (…)
L'Audience du mercredi matin
Ce troisième jour, nous nous sommes levés… encore plus tôt ! Il fallait arriver Place Saint-Pierre pour l'audience pontificale à 7 h 30 ! L'audience commence à 9 h 30, mais il faut installer les dizaines de milliers de participants. Nous étions très bien placés, aux premiers rangs des carrés derrière les « invités ». Nous voici attendant.
Notre groupe
Déjà l'auréole ?
Santo sùbito !
Puis, tout d'un coup il s'est passé plein de choses : les différentes délégations du monde entier ont été citées. Lorsqu'on a entendu « Paroisse de Tréguier », notre cœur a battu très fort et nous avons hurlé comme les autres que nous étions là ! Quel dommage que nous n'ayons pas eu un drapeau breton ! À côté de nous, il y avait des australiens, des américains, des chiliens, des japonais, des portugais, des vietnamiens… Enfin, il me faudrait la page pour les citer tous : Église universelle… Il y avait sûrement sur la place Saint-Pierre des non-croyants, des croyants, des convaincus, des mordus, des passionnés. Nous avons même croisé un saint auréolé !
Et, brutalement, « il » était là : dans une petite voiture ouverte, notre pape a sillonné à plusieurs reprises les allées ! Les hourras ! nous indiquaient la direction. Nous étions tétanisés. (Photos de Marie-Madeleine R., qui était mieux placée). Oh là là ! Nous étions à un ou deux mètres de lui. Il s'arrêtait, là pour prendre un enfant dans les bras, là pour échanger quelques mots… Une forêt d'appareils photos brandis suivaient les mouvements de la papamobile.
Viva il papa Francesco !
François a regagné la tribune et les choses plus sérieuses ont commencé. De nombreux évêques et prélats, deux cardinaux et pleins d'invités sûrement très spéciaux, la garde pontificale, une chorale d'Amérique du sud, etc… l'entouraient. Applaudissements nourris. Puis des prélats ont lu l'évangile choisi (qui n'était pas celui du jour) dans 8 langues différentes :
« Restez en tenue de service, votre ceinture autour des reins, et vos lampes allumées. Soyez comme des gens qui attendent leur maître à son retour des noces, pour lui ouvrir dès qu'il arrivera et frappera à la porte » (Luc 12, 35-36).
Puis la catéchèse de François :
« Chers frères et sœurs, bonjour ! Je voudrais aborder le thème de l'attente vigilante, l'une des dimensions de l'espérance. Jésus nous appelle à ne jamais baisser la garde pour accueillir avec reconnaissance et étonnement chaque jour nouveau que Dieu nous donne. En effet, si nous sommes déjà sauvés par la rédemption de Jésus, nous attendons ce moment, ce « rendez-vous » où Dieu sera tout en tous. Le chrétien sait que dans la monotonie de certains jours se cache toujours un mystère de grâce. Ainsi, aucune situation ne demeure complètement réfractaire à l'amour, si nous restons unis à Jésus… ».
Ensuite, la foule entière a récité avec foi le Notre Pèreen latin, et le pape nous a donné sa bénédiction.
Voilà, l'audience est finie. Nous repartons émus, apaisés, enrichis.
Promenade dans la Rome ancienne
Dans l'église St-Yves des Bretons
Après avoir longé le Tibre, nous atteignons la petite église de Saint-Yves-des-Bretons, cachée sous des échafaudages car son toit est en réfection. Accueilli par un jeune chapelain, notre curé y célèbre une messe recueillie où nous prions pour notre paroisse et pour tous ceux que nous aimons restés au pays. Cantiques bretons assurés !… L'autel est surmonté d'une statue de saint Yves en bois recouverte d'argent ( XVIIIe) et qui vient de Saint-Louis-des-Français. Elle avait été prêtée pour le pardon et elle est restée depuis…
L'après-midi a été consacré à l'hyper-centre de Rome et à quelques-unes des nombreuses églises qui s'y trouvent. Il y a plus de 400 églises à Rome intra-muros !
La première église de notre circuit fut le Panthéon.
Sous le dôme du Panthéon
La façade de l'église St-Ignace
À l'origine le Panthéon était un temple dédié à toutes les divinités de la religion antique. Sauvé des destructions car, donné à la papauté en 609, il fut transformé en église chrétienne sous le nom de Sainte-Marie-des-Martyrs. Sa coupole était la plus grande du monde à l'époque de la construction : elle s'élève à plus de 43 mètres. Il paraît que pour alléger, les architectes ont utilisé de la pierre-ponce pour la partie la plus haute. La seule source de lumière naturelle est le trou que vous voyez. Il peut y pleuvoir, de l'eau, des pétales de fleurs, des pièces d'or (si,si,… ça s'est fait… il y a longtemps !).
Après cela, nous avons découvert l'église Saint-Ignace, caractéristique de la Contre-Réforme. Elle a une façade plutôt austère sur une petite place délicieuse où les immeubles ont l'air de figurer un décor de théâtre. À l'intérieur de l'église, un plafond peint à fresque (Andrea Pozzo) est un jeu de couleurs, perspectives et trompe l'oeil fabuleux ! On a vraiment l'impression que les personnages montent au ciel ! Arthrose cervicale, s'abstenir !
Le plafond peint de l'église St-Ignace
Puis, la Fontaine de Trevi. Nous l'avions vue de nuit. Tout aussi majestueuse de jour (Elle est trop connue pour que je mette la photo ici !).
St Mathieu et l'ange
Saint-Louis-des-Français, la paroisse des français à Rome. « Sponsorisée » par Henri II, Henri III et Catherine de Médicis, elle appartient à la France. Trois tableaux magnifiques du Caravage (1571-1610) nous parlent de saint Matthieu. Ici, vous voyez l'ange qui dicte l'évangile à Matthieu (c'est un thème récurrent, nous l'avons vu plusieurs fois dans la statuaire comme dans la peinture).
L'église Saint-Augustin, belle façade du début de la Renaissance. Sainte Monique, la mère de saint Augustin y est inhumée (bien que morte à Ostie). Il y a là aussi un très beau Caravage : la Madonne des pèlerins. Regardez le doux geste de la Vierge et l'attitude si naturelle de l'enfant regardant ces pèlerins plutôt… moches mais réalistes !
Le tombeau de ste Monique
La madone aux pélerins
Un passage rapide place Navone (« Ce n'est pas religieux ! » dit notre guide spirituel qui accélère le pas… déjà rapide !). Magnifique fontaine aux quatre fleuves : Danube, Gange, Nil et Rio de la Plata (Le Bernin).
L'église du Gesù
Et nous avons terminé à l'église du Gesù, l'église-mère des jésuites. La façade très austère (style « jésuite » !) cache bien son jeu. Le summum de la luxuriance, c'est la chapelle de saint Ignace de Loyola. En plus du délire baroque, il y a un espèce de « son et lumière » avec un panneau peint représentant saint Ignace qui glisse dans des rails pour découvrir la statue du même en marbre et argent ! Je ne suis pas sûre d'avoir aimé… Mais… demandons à saint Ignace de veiller sur le Pape par exemple.
Nous étions émerveillés, ravis, mais fourbus, les chaussures devenaient trop étroites…
Le Père Jean Ladouzie
Après le dîner, à l'hébergement, le Père Caous avait prévu une rencontre avec le Père Jean Landouzie, lazariste, originaire de Pontivy, qui travaille depuis 20 ans à la Secrétairerie d'Etat au Vatican, le plus important des 26 ou 27 dicastères du Saint-Siège.
Son service est responsable, au nom du pape, des relations avec les nonces, les diocèses et autres églises des pays francophones. Il a répondu avec patience et gentillesse à nos questions quelquefois un peu abruptes : nombre de prêtres occupés au Vatican, réforme de la Curie, budget du Saint-Siège…
Voilà, cette belle et rude journée est terminée… Remercions le Seigneur.
:suite La suite ? au n° 4 (bientôt !)
via Communauté pastorale Saint-Tugdual. http://ift.tt/2yVPBiO
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