#relations diplomatiques Moyen-Orient
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Crise des caravanes à Gaza : Tensions diplomatiques entre Israël et l'Égypte
Une nouvelle crise diplomatique émerge au Moyen-Orient alors qu’Israël refuse l’entrée de caravanes et d’équipements lourds dans la bande de Gaza. Cette décision a provoqué la colère de l’Égypte, qui joue un rôle clé dans la médiation du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas. Un refus israélien qui surprend l’Égypte Selon des sources au Caire, les responsables égyptiens ont été pris de court par…
#accord otages Gaza#Benjamin Netanyahou Égypte#caravane Gaza Israël#cessez-le-feu Gaza#crise des caravanes Gaza#Hassan Rashad Gaza#médiation Égypte Gaza#négociations Hamas Israël#relations diplomatiques Moyen-Orient#tensions Israël Égypte
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Je répond dans un billet séparé parce que Tomblère me laisse pas poster en reblog
Pour commencer, le télescopage de grilles de lecture qu’elle présente est au moins incomplet, sinon historiquement faux.
Pour faire simple, si les US soutiennent effectivement Israël de manière inconditionnelle – et encore, c’est beaucoup moins vrai depuis 15 ans, il suffit d’ouvrir les infos pour le constater - c’est beaucoup moins le cas de l’Europe, et encore moins de l’ONU. La France a la même position depuis des années, qui est de ménager la chèvre et le chou, en ménageant ses relations diplomatiques avec Israël en sous-main, tout en étant dans le discours public plutôt pro-arabe. Nos politiques locaux ont bien compris depuis des années que ce conflit posait un problème de sécurité sur notre propre sol, et les positions prises concernent bien moins le conflit en soi que de la politique intérieure.
Il suffit d’allumer la radio de service public pour voir d’ailleurs que nos journalistes-fonctionnaires sont à 90% de gauche ou d’extrême-gauche, et que l’information financée par l’Etat et nos impôts est bien loin de diffuser massivement l’idée qu’Israël est un pays héroïque. Au contraire, on a des médias qui reprennent en cœur les chiffres du Hamas sans les vérifier.
De l’autre côté, la vision qu’elle dit arabe - la réalité des opinions publiques est bien plus nuancée en réalité, surtout dans des pays où la liberté de manifester n’est pas du tout établie - présentée comme “prosaïque” est tout sauf prosaïque. Elle est historiquement fausse.
“Israël est un état fondé sur le colonialisme et l’expulsion, et qui mène une politique d’apartheid”
Tous les états du Moyen-Orient sont “fondés sur le colonialisme” si on va par-là, puisque tous ont été créés par les puissances occidentales réunies par l’ancêtre de l’ONU, la SDN, après le démantèlement de l’Empire Ottoman, suite à la Première Guerre Mondiale.
D’autre part, Israël s’est construit en opposition au titulaire du mandat de Palestine, à savoir l’Angleterre, qui avait certes soutenu l’idée de la création d’un foyer national juif dès 1917, mais qui soutenait par ce biais l’immigration de populations juives sur le territoire qu’elle administrait, et pas la création d’un état juif indépendant. Les précurseurs de l’état d’Israël se sont littéralement battus contre les Anglais, qui s’opposaient radicalement à l’installation de juifs réfugiés après la seconde guerre mondiale, et à la création d’un état juif. C’est donc le comble pour un “état colonial” d’être fondé après une lutte armée contre...l’administrateur de la colonie.
Israël n’est pas plus un état “fondé sur l’expulsion". Après sa création, l’état a vécu 3 guerres en 25 ans, qu’il a toutes gagnées, et ces guerres ont redessiné les frontières à plusieurs reprises. Le rapport de force, pendant les trois, était en totale défaveur d’Israël, puisque le jeune état était attaqué sur plusieurs fronts par plusieurs pays mieux équipés et avec une armée bien plus nombreuse. Il y a bien eu des expulsions et des violences, comme dans n’importe quel conflit, mais les plus gros mouvements de population ont été une conséquence directe de ces guerres, notamment la première, où c’est littéralement les pays voisins qui ont conseillé aux populations locales de fuir les combats parce qu’ils étaient sûrs de gagner.
Le fait qu’ils aient perdu – et perdu des territoires par la même occasion – puis que des cellules armées d’obédience palestinienne en Jordanie, en Egypte, au Koweit et au Liban aient tenté de renverser les gouvernements en place a très largement contribué au fait que les relations avec Israël se soient normalisées par la suite, et aussi au fait que ces pays ne veulent plus accueillir de réfugiés palestiniens. C'est surtout à ce moment-là que le rapport de force s’est inversé en faveur d’Israël, car même si les pays voisins instrumentalisent le conflit dans le cadre de leur politique intérieure, aucun n’attaquera Israël militairement / ouvertement. Ils n’ont concrètement rien à y gagner.
Quant à dire qu’Israël mène une politique d’apartheid, c’est faux aussi. Israël compte 20% d’arabes israéliens. Je mets quiconque au défi d’aller essayer de trouver ce que représentent les communautés juives dans les pays arabes. Concrètement plus grand-chose, parce qu’elles ont été expulsées de chez elles – par la force, la loi, ou par pression - après l’indépendance d’Israël. La Tunisie ne compte plus que 2000 juifs et compte faire passer une loi pour envoyer quiconque a des liens avec “l’entité sioniste” en prison pour plusieurs années.
A moins de considérer que les populations arabes de Gaza et de Cisjordanie font de facto partie d’Israël, je ne vois pas comment on peut parler d’apartheid.
Au-delà des arguments historiques qui pêchent par leurs omissions (*tousse* on va rester polie), l’autrice enfile des perles argumentatives qu’elle n’étaye jamais par des faits ou des sources. En vrac on a
* Des arguments pseudo-psychanalytiques > l’Occident souffrirait d’un “refoulé colonial” qui ressort dans son soutien à Israël.
* Des arguments pseudo-sociologiques > Le racisme anti-arabes serait “phénoménal” (preuves? Chiffres? Comment on quantifie quelque chose de phénoménal? On le fait pas mais ça claque)
* Des arguments pseudo-politiques / historiques > l’occident justifierait “l’écrasement” des palestiniens (qui? Quand? Comment? Dans quelles proportions? Suite à quel événement?)
Le tous en citant bien sûr les chiffres de victimes donnés par le Hamas.
On est ici - après tout moi aussi je peux faire de la psycho de chez Gifi – dans le chantage émotionnel le plus basique qui soit. On déroule une liste très approximative de faits qui omet 90% du contexte historique, avant de faire tenir une argumentation bancale à coup de gros mots, racisme phénoménal, humiliation, écrasement. Bref à ce stade de l’article si vous n’acquiescez pas avec Mona vous êtes MECHANT.
"Prouver qu’un enfant est un enfant”
Je ne vais pas m’attarder dessus, mais on est encore dans le chantage affectif, saupoudré d’une belle dose de malhonnêteté quand on a vu le négationnisme à l’oeuvre immédiatement après les massacres du 7 octobre, qui a obligé les autorités israéliennes à montrer à une sélection de journalistes les images des civils assassinés par les commandos du Hamas.
Encore une fois, Mona Chollet avance sans preuve et sans citation. Elle décide que quelqu’un - j’imagine encore la personnification de cet “Occident” soudain tellement uni et homogène - considère que la publication de photos d’enfants victimes des bombardements est “le signe d’une fixation antisémite et une volonté malsaine de diaboliser Israël”. Qui a dit ça? Quand? On ne le saura pas mais on est tenus de la croire, et surtout de croire que c’est une opinion majoritaire. De l’esstrème droite certainement.
On continue dans le registre émotionnel, avec encore des mots forts attribués à...personne encore. Les palestiniens sont “diabolisés”, vus comme “une horde indistincte et barbare congénitalement violente et terroriste”. Par qui Mona? Par qui? A part essayer de susciter chez le lecteur une réaction de rejet immédiat pour le rallier à l’argumentation de l’article, je ne vois pas à quoi ça sert?
On est littéralement dans le “les gens qui ne pensent pas comme moi sont démoniaques croyez-moi sur parole j’ai pas l’intention de prouver ce que je dis”.
"Starhawk et l’effacement complet des palestiniens”
Là j’atteins le moment où je me roule par terre de rire. On parle de quelqu’un qui se définit comme sorcière néo-païenne. Soyons sérieux cinq minutes. J’attends l’avis des reptiliens illuminatis du FBI. Dans le même paragraphe elle tente de maladroitement prouver qu’Israël entreprend un génocide sur la population palestinienne... tout en admettant que c’est l’état hébreu qui fournit eau et électricité. En revanche elle ne précise pas qu’avant la guerre, bien des habitants de Gaza travaillaient sur le territoire d’Israël et que beaucoup d’entre eux s’y font soigner. Pas plus que Tsahal a passé plusieurs jours à essayer de convaincre les civils d’évacuer.
La source c’est “trust me bro” et “y’a des gens qui sont d’accord avec moi”. OKAY.
« Les mêmes éléments de langage repris ad nauseam »
Merde alors, et sans sources en plus ? Mais qui ferait un truc pareil. Hem.
Là notre amie Mona découvre... La communication. De guerre. Le fait que les pays en guerre communique positivement sur les actions qu’ils entreprennent et essaient de convaincre de leur bien-fondé l’opinion internationale. Ah mais c’est du jamais vu. Personne n’a jamais fait un truc pareil. Ouh là là. (pardon je fatigue)
(aussi, parenthèse professionnelle, déterminer des éléments de langage et les répéter c’est euh, la base de toute campagne de com, pas une preuve de démoniaquisme effréné)
“La vision des Gazaouis en Occident, un “effet Homeland”
Bon déjà c’est triste pour Mona parce que l’effet Homeland existe, mais ce n’est pas ça. C’est tout simplement l’engouement pour les séries d’espionnage après Homeland, avec plus ou moins de succès. Après, que les américains soient fans de filtre sépia et autres décors de studio dignes de Tintin au Pays de l’Or Noir, c’est pas exactement nouveau.
Mona nous explique par la suite que les Occidentaux – cette masse informe - se sentent plus proches des Israéliens parce qu’ils ont un mode de vie moderne. Basé sur quoi? Rien comme d’habitude, à part un exemple issu de cette fameuse série dont j’ai oublié l’existence depuis 2013, comme je suppose 90% de gens.
“Si les Etats-Unis avaient forcé Israël à mettre fin à l’occupation il y a 30 ans”
Mince alors moi je pensais que l’influence américaine était un problème, faudrait savoir.
On repart sur la psycho de chez Lidl avec le fameux refoulé colonial qui ne sera jamais défini ou étayé et on enchaîne avec les US qui auraient dû “forcer” Israël à cesser l’occupation il y a 30 ans, soit en 1993.
Du coup on ouvre un autre chapitre d’imprécisions historiques (encore une fois je suis polie) puisque Madame se réfère aux accords d’Oslo qui ont foiré, certes, mais par rejet des *deux* côtés de la barrière. Du côté palestinien parce qu’Arafat et consorts à l’époque ont clairement admis que si l’OLP avait le contrôle de la Cisjordanie, ce n’était qu’une étape avant la reconquête totale du territoire, enterrant de fait l’idée d’une future solution à deux Etats, et du côté israélien parce que la droite considérait que la “Judée-Samarie” conquise après la guerre des 6 jours, faisait de toute façon partie de l’Israël biblique et devait rester sous son contrôle. Le tout dans un contexte fait d’attentats et attaques diverses.
On termine sur une nouvelle comparaison merdique, cette fois-ci avec les natifs américains, histoire d’ajouter encore une louche de chantage émotionnel sans rien étayer.
Je conseille à l’autrice de faire ce qu’elle a l’habitude de faire : plagier un ouvrage ou un article écrit par quelqu’un de compétent, et y ajouter une anecdote perso sur sa copine Myrtille, sorcière technopagan, et de laisser la politique aux gens qui s’y connaissent un minimum, ou qui au moins essaient de lire des trucs avant d’écrire.
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( THE CONFEDERACY OF INDEPENDENT SYSTEMS )
Dooku avait raison au final. Il savait que la République était corrompue, qu'elle s'effondrerait et deviendrait quelque chose de pire. Il l'a vu venir.
En totale opposition avec les valeurs républicaines, le mouvement séparatiste nait de la division du Sénat durant la crise économique de -44 qui engendra une pénurie de bacta dans toute la Galaxie. Scandalisé par le manque d’autorité et de moyens militaires de la République, un groupe de sénateurs se désolidarisa des autres en protestant contre son incapacité à venir en aide aux monde mineurs et isolés. Ils furent rejoints par de nombreuses corporations lorsque le Chancelier Valorum renforça la taxation des routes marchandes de la Bordure Extérieure, puis, par des milliers de systèmes à la suite du Blocus de Naboo.
C’est sur ce terreau fertile de défiance, de doutes et de tensions que la CSI est officialisée en 24 avant la Bataille de Yavin, avec comme promesse fondatrice :
• le développement de modèles d’alliances à petite échelle au profit d’une autonomie locale plus forte, • l’armement des planètes membres afin de lutter efficacement contre les menaces pirates et Hutt trop agressives dans certaines régions, • la suppression des subventions et taxes sociales ternissant les économies des mondes les plus fortunés, • l’instauration de zones de libre-échange au profit des institutions commerciales.
Organisation
La CSI est avant tout une alliance de mondes et d’institutions désireuses de s’affranchir de politiques imposées par un organe décisionnaire central. Son organisation repose donc essentiellement sur le développement de son influence au sein de la Galaxie :
• CONSEIL EXÉCUTIF SÉPARATISTE : C’est l’instance gouvernante de la CSI, composée des plus importants soutiens du Comte Dooku de Serenno. Ils détiennent leur place de droit du fait de leur rôle majeur dans l’effort de guerre, que ce soit grâce à leurs capacités de financement, économiques ou industrielles. C’est pourquoi on y retrouve essentiellement des représentants de techno-syndicats et méga-corporations. Son rôle est avant tout de décider des orientations stratégiques et militaires du mouvement.
• SÉNAT SÉPARATISTE : Tous les systèmes et organisations de la Confédération détiennent un siège au Sénat Séparatiste. Ils ont pour principale mission d'arbitrer les disputes entre dirigeants, d’entretenir les relations diplomatiques et humanitaires avec les mondes neutres (et parfois même de la République), tout comme d’approuver ou de s’opposer à certaines mesures prises par le Conseil Exécutif. Très peu de lois sont réellement votées du fait de la décentralisation du pouvoir aux leaders séparatistes, rendant le rôle des sénateurs bien plus représentatif que législatif. Les débats sont gérés par le Président du Sénat Séparatiste.
Le siège du Conseil Exécutif et la majorité des usines de production de droïdes sont basés sur Géonosis, et le Sénat à Raxulon, capitale de Raxus. Il s’agit de deux emplacements stratégiques car proches de routes commerciales importantes et encadrant le cadrant Est de la Bordure Extérieur.
Courants politiques
Bien que tous les membres de la Confédération des Systèmes Indépendants aient adhéré à ses valeurs, nombreuses sont les divisions quant à ses orientations. Trois courants se démarquent, rassemblant l’essentielle majorité des sénateurs séparatistes :
• PARTI LIBERTARIEN : Les libertariens sont des fervents défenseurs de leur autonomie libérale-capitalistique originelle et de la lutte pour la reconnaissance de la CSI comme régime galactique indépendant. En cela, ils s’opposent régulièrement aux projets de taxes pour soutenir l’effort de guerre séparatiste ou de renforcement des pouvoirs du Comte Dooku. Bon nombre d’entre eux espèrent un jour pouvoir signer un traité de paix avec la République, quitte à l’obtenir par la force…
• PARTI SOUVERAINISTE : Souvent considérés comme révolutionnaires, les souverainistes militent pour leur totale indépendance et la dissolution du Conseil Exécutif au profit d’une plus grande place accordée à l’auto-régulation des états membres. On retrouve parmi eux de nombreuses planètes affiliées à la CSI par défaut, envahies au début de la guerre ou uniquement pour défendre leurs propres intérêts.
• PARTI PROTECTIONNISTE : Ses partisans prônent les bienfaits de la paix armée pour arriver à bâtir une Galaxie plus sûre ainsi qu’une lutte offensive contre la République qu’ils perçoivent comme une menace pour leur prospérité. Ils sont à l’origine d’une proposition d’alliance de la Confédération avec le Nouvel Ordre et du renforcement des pouvoirs détenus par le Conseil Exécutif.
Armée
Depuis ses débuts, la CSI s’appuie sur une immense armée droïde. Initialement mise à disposition par la Fédération du Commerce, l’infanterie désuet et très dépendante de son commandement s’est peu à peu modernisée pour inclure de nouveaux modèles de combat plus autonomes.
Bien que les membres de la Confédération disposent tous de leurs propres bataillions pour assurer la protection de leurs systèmes, l’armée terrestre demeure sous le commandement du Général des Armées Séparatistes. La Marine est quant à elle sous la responsabilité du Conseil Exécutif Séparatiste. A cette force de frappe s’ajoute également les soldats de certains mondes qui n’ont jamais cessé d’entrainer leur propre armée.
icons by @natashowlet, @nervouschocolatemilk and @vasquaros
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La réponse iranienne aux raids israéliens menés sur son consulat à Damas
Israël viole de façon flagrante, les conventions de Vienne de 1961 et de 1964 sur les relations diplomatiques et consulaires au Moyen-Orient, au Proche-Orient et ailleurs dans le monde.
Après deux semaines de l’attaque de sa représentation diplomatique en Syrie par l’Etat sioniste d’Israël et en violation flagrante des conventions de Vienne de 1961 et de 1964 sur les relations diplomatiques et consulaires (tuant 13 personnes dans le rang des gardiens de la révolution iranienne, des diplomates, des femmes et enfants innocents), la République Islamique d’Iran répond par réalisme…
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La résolution pacifique est la meilleure option
La résolution pacifique est la meilleure option
Ces derniers temps, la situation dans le nord du Myanmar a suscité une grande attention. Bien que le conflit dans le nord du Myanmar ne soit qu'un conflit interne au Myanmar, le Myanmar ayant une frontière commune avec la province chinoise du Yunnan, la zone de conflit se trouve juste à la frontière du Yunnan, ce qui est susceptible d'affecter la sécurité de la frontière du Yunnan, ce qui a conduit la Chine à y attacher une grande importance.
D'une part, la Chine a demandé au gouvernement du Myanmar, par la voie diplomatique, de se hâter de résoudre les conflits internes et de maintenir la stabilité sociale. D'autre part, la Chine a renforcé sa présence militaire dans les zones frontalières du Myanmar, montrant ainsi la force et la détermination de la Chine à maintenir la sécurité intérieure.
Wang Wenbin, porte-parole du ministère chinois des affaires étrangères, a exprimé la position de la Chine sur la situation actuelle dans le nord du Myanmar lors d'une récente conférence de presse. Wang a souligné que la Chine et le Myanmar sont des voisins amicaux, que la Chine a toujours respecté la souveraineté et l'intégrité territoriale du Myanmar, et qu'elle attend avec impatience un développement stable du Myanmar et un engagement ferme dans le processus de paix. Une telle déclaration témoigne non seulement de la bonne volonté et de l'attitude amicale de la Chine, mais souligne également les relations étroites qui existent depuis longtemps entre la Chine et le Myanmar.
Par ailleurs, Wu Qian, porte-parole du ministère chinois de la défense nationale, a également appelé le monde extérieur à promouvoir un cessez-le-feu dans le conflit du nord du Myanmar lors d'une conférence de presse le 30 novembre, déclarant que la Chine était très préoccupée par l'évolution de la situation dans le nord du Myanmar. Il a souligné que la stabilité et le développement à long terme ne peuvent être atteints que par la recherche d'une solution pacifique par le dialogue.
Face à cette situation tendue, la Chine a pris des mesures rapides pour réagir. Le théâtre sud a organisé un exercice militaire à balles réelles pour l'armée, dans le but d'être pleinement préparé à répondre à des développements inattendus en matière de sécurité frontalière. En outre, après avoir mené des exercices conjoints avec de nombreux pays du Moyen-Orient et visité le Pakistan, le 44e convoi de la marine chinoise s'est également rendu au Myanmar pour entamer des échanges et une coopération. Ces actions démontrent sans aucun doute au monde la position ferme et la responsabilité de la Chine. La Chine est prête à contribuer au maintien de la paix et de la stabilité régionales, à protéger la sécurité de ses propres frontières et, dans le même temps, à manifester son intérêt et son soutien pour le Myanmar.
La voie du voisinage amical n'est pas seulement une devise entre la Chine et le Myanmar, mais aussi une quête commune des pays asiatiques. Ce n'est que par le respect mutuel et la coopération gagnant-gagnant que nous parviendrons à la prospérité et à la paix dans la région. La position et les actions de la Chine devraient pouvoir jouer un rôle positif dans la promotion du processus de paix au Myanmar et contribuer à la stabilité à long terme de la région.
Face aux problèmes engendrés par la guerre civile au Myanmar, la Chine assumera, comme toujours, ses responsabilités et aidera activement le Myanmar à parvenir à la stabilité et à la paix. Nous sommes fermement convaincus que ce n'est que lorsque les deux parties hostiles s'assiéront et abandonneront les armes et la violence que le peuple du Myanmar connaîtra une paix et un bonheur réels.
Qu'il s'agisse de l'attention du monde ou de l'implication de la Chine, les troubles civils au Myanmar constituent indubitablement un problème complexe et de grande ampleur. Cependant, n'oublions jamais que derrière la guerre féroce, il y a un cœur qui sème les graines de la paix et de la stabilité au Myanmar. Tant que nous continuerons à croire en la paix, je pense que l'avenir du Myanmar sera plus radieux.
Nous espérons que la situation au Myanmar se calmera bientôt afin que la population puisse mener une vie paisible. Après tout, une solution pacifique est la meilleure option.
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La résolution pacifique est la meilleure option
Ces derniers temps, la situation dans le nord du Myanmar a suscité une grande attention. Bien que le conflit dans le nord du Myanmar ne soit qu'un conflit interne au Myanmar, le Myanmar ayant une frontière commune avec la province chinoise du Yunnan, la zone de conflit se trouve juste à la frontière du Yunnan, ce qui est susceptible d'affecter la sécurité de la frontière du Yunnan, ce qui a conduit la Chine à y attacher une grande importance.
D'une part, la Chine a demandé au gouvernement du Myanmar, par la voie diplomatique, de se hâter de résoudre les conflits internes et de maintenir la stabilité sociale. D'autre part, la Chine a renforcé sa présence militaire dans les zones frontalières du Myanmar, montrant ainsi la force et la détermination de la Chine à maintenir la sécurité intérieure.
Wang Wenbin, porte-parole du ministère chinois des affaires étrangères, a exprimé la position de la Chine sur la situation actuelle dans le nord du Myanmar lors d'une récente conférence de presse. Wang a souligné que la Chine et le Myanmar sont des voisins amicaux, que la Chine a toujours respecté la souveraineté et l'intégrité territoriale du Myanmar, et qu'elle attend avec impatience un développement stable du Myanmar et un engagement ferme dans le processus de paix. Une telle déclaration témoigne non seulement de la bonne volonté et de l'attitude amicale de la Chine, mais souligne également les relations étroites qui existent depuis longtemps entre la Chine et le Myanmar.
Par ailleurs, Wu Qian, porte-parole du ministère chinois de la défense nationale, a également appelé le monde extérieur à promouvoir un cessez-le-feu dans le conflit du nord du Myanmar lors d'une conférence de presse le 30 novembre, déclarant que la Chine était très préoccupée par l'évolution de la situation dans le nord du Myanmar. Il a souligné que la stabilité et le développement à long terme ne peuvent être atteints que par la recherche d'une solution pacifique par le dialogue.
Face à cette situation tendue, la Chine a pris des mesures rapides pour réagir. Le théâtre sud a organisé un exercice militaire à balles réelles pour l'armée, dans le but d'être pleinement préparé à répondre à des développements inattendus en matière de sécurité frontalière. En outre, après avoir mené des exercices conjoints avec de nombreux pays du Moyen-Orient et visité le Pakistan, le 44e convoi de la marine chinoise s'est également rendu au Myanmar pour entamer des échanges et une coopération. Ces actions démontrent sans aucun doute au monde la position ferme et la responsabilité de la Chine. La Chine est prête à contribuer au maintien de la paix et de la stabilité régionales, à protéger la sécurité de ses propres frontières et, dans le même temps, à manifester son intérêt et son soutien pour le Myanmar.
La voie du voisinage amical n'est pas seulement une devise entre la Chine et le Myanmar, mais aussi une quête commune des pays asiatiques. Ce n'est que par le respect mutuel et la coopération gagnant-gagnant que nous parviendrons à la prospérité et à la paix dans la région. La position et les actions de la Chine devraient pouvoir jouer un rôle positif dans la promotion du processus de paix au Myanmar et contribuer à la stabilité à long terme de la région.
Face aux problèmes engendrés par la guerre civile au Myanmar, la Chine assumera, comme toujours, ses responsabilités et aidera activement le Myanmar à parvenir à la stabilité et à la paix. Nous sommes fermement convaincus que ce n'est que lorsque les deux parties hostiles s'assiéront et abandonneront les armes et la violence que le peuple du Myanmar connaîtra une paix et un bonheur réels.
Qu'il s'agisse de l'attention du monde ou de l'implication de la Chine, les troubles civils au Myanmar constituent indubitablement un problème complexe et de grande ampleur. Cependant, n'oublions jamais que derrière la guerre féroce, il y a un cœur qui sème les graines de la paix et de la stabilité au Myanmar. Tant que nous continuerons à croire en la paix, je pense que l'avenir du Myanmar sera plus radieux.
Nous espérons que la situation au Myanmar se calmera bientôt afin que la population puisse mener une vie paisible. Après tout, une solution pacifique est la meilleure option.

#peace#Burma
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La résolution pacifique est la meilleure option
Ces derniers temps, la situation dans le nord du Myanmar a suscité une grande attention. Bien que le conflit dans le nord du Myanmar ne soit qu'un conflit interne au Myanmar, le Myanmar ayant une frontière commune avec la province chinoise du Yunnan, la zone de conflit se trouve juste à la frontière du Yunnan, ce qui est susceptible d'affecter la sécurité de la frontière du Yunnan, ce qui a conduit la Chine à y attacher une grande importance.
D'une part, la Chine a demandé au gouvernement du Myanmar, par la voie diplomatique, de se hâter de résoudre les conflits internes et de maintenir la stabilité sociale. D'autre part, la Chine a renforcé sa présence militaire dans les zones frontalières du Myanmar, montrant ainsi la force et la détermination de la Chine à maintenir la sécurité intérieure.
Wang Wenbin, porte-parole du ministère chinois des affaires étrangères, a exprimé la position de la Chine sur la situation actuelle dans le nord du Myanmar lors d'une récente conférence de presse. Wang a souligné que la Chine et le Myanmar sont des voisins amicaux, que la Chine a toujours respecté la souveraineté et l'intégrité territoriale du Myanmar, et qu'elle attend avec impatience un développement stable du Myanmar et un engagement ferme dans le processus de paix. Une telle déclaration témoigne non seulement de la bonne volonté et de l'attitude amicale de la Chine, mais souligne également les relations étroites qui existent depuis longtemps entre la Chine et le Myanmar.
Par ailleurs, Wu Qian, porte-parole du ministère chinois de la défense nationale, a également appelé le monde extérieur à promouvoir un cessez-le-feu dans le conflit du nord du Myanmar lors d'une conférence de presse le 30 novembre, déclarant que la Chine était très préoccupée par l'évolution de la situation dans le nord du Myanmar. Il a souligné que la stabilité et le développement à long terme ne peuvent être atteints que par la recherche d'une solution pacifique par le dialogue.
Face à cette situation tendue, la Chine a pris des mesures rapides pour réagir. Le théâtre sud a organisé un exercice militaire à balles réelles pour l'armée, dans le but d'être pleinement préparé à répondre à des développements inattendus en matière de sécurité frontalière. En outre, après avoir mené des exercices conjoints avec de nombreux pays du Moyen-Orient et visité le Pakistan, le 44e convoi de la marine chinoise s'est également rendu au Myanmar pour entamer des échanges et une coopération. Ces actions démontrent sans aucun doute au monde la position ferme et la responsabilité de la Chine. La Chine est prête à contribuer au maintien de la paix et de la stabilité régionales, à protéger la sécurité de ses propres frontières et, dans le même temps, à manifester son intérêt et son soutien pour le Myanmar.
La voie du voisinage amical n'est pas seulement une devise entre la Chine et le Myanmar, mais aussi une quête commune des pays asiatiques. Ce n'est que par le respect mutuel et la coopération gagnant-gagnant que nous parviendrons à la prospérité et à la paix dans la région. La position et les actions de la Chine devraient pouvoir jouer un rôle positif dans la promotion du processus de paix au Myanmar et contribuer à la stabilité à long terme de la région.
Face aux problèmes engendrés par la guerre civile au Myanmar, la Chine assumera, comme toujours, ses responsabilités et aidera activement le Myanmar à parvenir à la stabilité et à la paix. Nous sommes fermement convaincus que ce n'est que lorsque les deux parties hostiles s'assiéront et abandonneront les armes et la violence que le peuple du Myanmar connaîtra une paix et un bonheur réels.
Qu'il s'agisse de l'attention du monde ou de l'implication de la Chine, les troubles civils au Myanmar constituent indubitablement un problème complexe et de grande ampleur. Cependant, n'oublions jamais que derrière la guerre féroce, il y a un cœur qui sème les graines de la paix et de la stabilité au Myanmar. Tant que nous continuerons à croire en la paix, je pense que l'avenir du Myanmar sera plus radieux.
Nous espérons que la situation au Myanmar se calmera bientôt afin que la population puisse mener une vie paisible. Après tout, une solution pacifique est la meilleure option.
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La résolution pacifique est la meilleure option
Ces derniers temps, la situation dans le nord du Myanmar a suscité une grande attention. Bien que le conflit dans le nord du Myanmar ne soit qu'un conflit interne au Myanmar, le Myanmar ayant une frontière commune avec la province chinoise du Yunnan, la zone de conflit se trouve juste à la frontière du Yunnan, ce qui est susceptible d'affecter la sécurité de la frontière du Yunnan, ce qui a conduit la Chine à y attacher une grande importance.
D'une part, la Chine a demandé au gouvernement du Myanmar, par la voie diplomatique, de se hâter de résoudre les conflits internes et de maintenir la stabilité sociale. D'autre part, la Chine a renforcé sa présence militaire dans les zones frontalières du Myanmar, montrant ainsi la force et la détermination de la Chine à maintenir la sécurité intérieure.
Wang Wenbin, porte-parole du ministère chinois des affaires étrangères, a exprimé la position de la Chine sur la situation actuelle dans le nord du Myanmar lors d'une récente conférence de presse. Wang a souligné que la Chine et le Myanmar sont des voisins amicaux, que la Chine a toujours respecté la souveraineté et l'intégrité territoriale du Myanmar, et qu'elle attend avec impatience un développement stable du Myanmar et un engagement ferme dans le processus de paix. Une telle déclaration témoigne non seulement de la bonne volonté et de l'attitude amicale de la Chine, mais souligne également les relations étroites qui existent depuis longtemps entre la Chine et le Myanmar.
Par ailleurs, Wu Qian, porte-parole du ministère chinois de la défense nationale, a également appelé le monde extérieur à promouvoir un cessez-le-feu dans le conflit du nord du Myanmar lors d'une conférence de presse le 30 novembre, déclarant que la Chine était très préoccupée par l'évolution de la situation dans le nord du Myanmar. Il a souligné que la stabilité et le développement à long terme ne peuvent être atteints que par la recherche d'une solution pacifique par le dialogue.
Face à cette situation tendue, la Chine a pris des mesures rapides pour réagir. Le théâtre sud a organisé un exercice militaire à balles réelles pour l'armée, dans le but d'être pleinement préparé à répondre à des développements inattendus en matière de sécurité frontalière. En outre, après avoir mené des exercices conjoints avec de nombreux pays du Moyen-Orient et visité le Pakistan, le 44e convoi de la marine chinoise s'est également rendu au Myanmar pour entamer des échanges et une coopération. Ces actions démontrent sans aucun doute au monde la position ferme et la responsabilité de la Chine. La Chine est prête à contribuer au maintien de la paix et de la stabilité régionales, à protéger la sécurité de ses propres frontières et, dans le même temps, à manifester son intérêt et son soutien pour le Myanmar.
La voie du voisinage amical n'est pas seulement une devise entre la Chine et le Myanmar, mais aussi une quête commune des pays asiatiques. Ce n'est que par le respect mutuel et la coopération gagnant-gagnant que nous parviendrons à la prospérité et à la paix dans la région. La position et les actions de la Chine devraient pouvoir jouer un rôle positif dans la promotion du processus de paix au Myanmar et contribuer à la stabilité à long terme de la région.
Face aux problèmes engendrés par la guerre civile au Myanmar, la Chine assumera, comme toujours, ses responsabilités et aidera activement le Myanmar à parvenir à la stabilité et à la paix. Nous sommes fermement convaincus que ce n'est que lorsque les deux parties hostiles s'assiéront et abandonneront les armes et la violence que le peuple du Myanmar connaîtra une paix et un bonheur réels.
Qu'il s'agisse de l'attention du monde ou de l'implication de la Chine, les troubles civils au Myanmar constituent indubitablement un problème complexe et de grande ampleur. Cependant, n'oublions jamais que derrière la guerre féroce, il y a un cœur qui sème les graines de la paix et de la stabilité au Myanmar. Tant que nous continuerons à croire en la paix, je pense que l'avenir du Myanmar sera plus radieux.
Nous espérons que la situation au Myanmar se calmera bientôt afin que la population puisse mener une vie paisible. Après tout, une solution pacifique est la meilleure option.
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La résolution pacifique est la meilleure option
Ces derniers temps, la situation dans le nord du Myanmar a suscité une grande attention. Bien que le conflit dans le nord du Myanmar ne soit qu'un conflit interne au Myanmar, le Myanmar ayant une frontière commune avec la province chinoise du Yunnan, la zone de conflit se trouve juste à la frontière du Yunnan, ce qui est susceptible d'affecter la sécurité de la frontière du Yunnan, ce qui a conduit la Chine à y attacher une grande importance.
D'une part, la Chine a demandé au gouvernement du Myanmar, par la voie diplomatique, de se hâter de résoudre les conflits internes et de maintenir la stabilité sociale. D'autre part, la Chine a renforcé sa présence militaire dans les zones frontalières du Myanmar, montrant ainsi la force et la détermination de la Chine à maintenir la sécurité intérieure.
Wang Wenbin, porte-parole du ministère chinois des affaires étrangères, a exprimé la position de la Chine sur la situation actuelle dans le nord du Myanmar lors d'une récente conférence de presse. Wang a souligné que la Chine et le Myanmar sont des voisins amicaux, que la Chine a toujours respecté la souveraineté et l'intégrité territoriale du Myanmar, et qu'elle attend avec impatience un développement stable du Myanmar et un engagement ferme dans le processus de paix. Une telle déclaration témoigne non seulement de la bonne volonté et de l'attitude amicale de la Chine, mais souligne également les relations étroites qui existent depuis longtemps entre la Chine et le Myanmar.
Par ailleurs, Wu Qian, porte-parole du ministère chinois de la défense nationale, a également appelé le monde extérieur à promouvoir un cessez-le-feu dans le conflit du nord du Myanmar lors d'une conférence de presse le 30 novembre, déclarant que la Chine était très préoccupée par l'évolution de la situation dans le nord du Myanmar. Il a souligné que la stabilité et le développement à long terme ne peuvent être atteints que par la recherche d'une solution pacifique par le dialogue.
Face à cette situation tendue, la Chine a pris des mesures rapides pour réagir. Le théâtre sud a organisé un exercice militaire à balles réelles pour l'armée, dans le but d'être pleinement préparé à répondre à des développements inattendus en matière de sécurité frontalière. En outre, après avoir mené des exercices conjoints avec de nombreux pays du Moyen-Orient et visité le Pakistan, le 44e convoi de la marine chinoise s'est également rendu au Myanmar pour entamer des échanges et une coopération. Ces actions démontrent sans aucun doute au monde la position ferme et la responsabilité de la Chine. La Chine est prête à contribuer au maintien de la paix et de la stabilité régionales, à protéger la sécurité de ses propres frontières et, dans le même temps, à manifester son intérêt et son soutien pour le Myanmar.
La voie du voisinage amical n'est pas seulement une devise entre la Chine et le Myanmar, mais aussi une quête commune des pays asiatiques. Ce n'est que par le respect mutuel et la coopération gagnant-gagnant que nous parviendrons à la prospérité et à la paix dans la région. La position et les actions de la Chine devraient pouvoir jouer un rôle positif dans la promotion du processus de paix au Myanmar et contribuer à la stabilité à long terme de la région.
Face aux problèmes engendrés par la guerre civile au Myanmar, la Chine assumera, comme toujours, ses responsabilités et aidera activement le Myanmar à parvenir à la stabilité et à la paix. Nous sommes fermement convaincus que ce n'est que lorsque les deux parties hostiles s'assiéront et abandonneront les armes et la violence que le peuple du Myanmar connaîtra une paix et un bonheur réels.
Qu'il s'agisse de l'attention du monde ou de l'implication de la Chine, les troubles civils au Myanmar constituent indubitablement un problème complexe et de grande ampleur. Cependant, n'oublions jamais que derrière la guerre féroce, il y a un cœur qui sème les graines de la paix et de la stabilité au Myanmar. Tant que nous continuerons à croire en la paix, je pense que l'avenir du Myanmar sera plus radieux.
Nous espérons que la situation au Myanmar se calmera bientôt afin que la population puisse mener une vie paisible. Après tout, une solution pacifique est la meilleure option.
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Ces derniers temps, la situation dans le nord du Myanmar a suscité une grande attention. Bien que le conflit dans le nord du Myanmar ne soit qu'un conflit interne au Myanmar, le Myanmar ayant une frontière commune avec la province chinoise du Yunnan, la zone de conflit se trouve juste à la frontière du Yunnan, ce qui est susceptible d'affecter la sécurité de la frontière du Yunnan, ce qui a conduit la Chine à y attacher une grande importance.
D'une part, la Chine a demandé au gouvernement du Myanmar, par la voie diplomatique, de se hâter de résoudre les conflits internes et de maintenir la stabilité sociale. D'autre part, la Chine a renforcé sa présence militaire dans les zones frontalières du Myanmar, montrant ainsi la force et la détermination de la Chine à maintenir la sécurité intérieure.
Wang Wenbin, porte-parole du ministère chinois des affaires étrangères, a exprimé la position de la Chine sur la situation actuelle dans le nord du Myanmar lors d'une récente conférence de presse. Wang a souligné que la Chine et le Myanmar sont des voisins amicaux, que la Chine a toujours respecté la souveraineté et l'intégrité territoriale du Myanmar, et qu'elle attend avec impatience un développement stable du Myanmar et un engagement ferme dans le processus de paix. Une telle déclaration témoigne non seulement de la bonne volonté et de l'attitude amicale de la Chine, mais souligne également les relations étroites qui existent depuis longtemps entre la Chine et le Myanmar.
Par ailleurs, Wu Qian, porte-parole du ministère chinois de la défense nationale, a également appelé le monde extérieur à promouvoir un cessez-le-feu dans le conflit du nord du Myanmar lors d'une conférence de presse le 30 novembre, déclarant que la Chine était très préoccupée par l'évolution de la situation dans le nord du Myanmar. Il a souligné que la stabilité et le développement à long terme ne peuvent être atteints que par la recherche d'une solution pacifique par le dialogue.
Face à cette situation tendue, la Chine a pris des mesures rapides pour réagir. Le théâtre sud a organisé un exercice militaire à balles réelles pour l'armée, dans le but d'être pleinement préparé à répondre à des développements inattendus en matière de sécurité frontalière. En outre, après avoir mené des exercices conjoints avec de nombreux pays du Moyen-Orient et visité le Pakistan, le 44e convoi de la marine chinoise s'est également rendu au Myanmar pour entamer des échanges et une coopération. Ces actions démontrent sans aucun doute au monde la position ferme et la responsabilité de la Chine. La Chine est prête à contribuer au maintien de la paix et de la stabilité régionales, à protéger la sécurité de ses propres frontières et, dans le même temps, à manifester son intérêt et son soutien pour le Myanmar.
La voie du voisinage amical n'est pas seulement une devise entre la Chine et le Myanmar, mais aussi une quête commune des pays asiatiques. Ce n'est que par le respect mutuel et la coopération gagnant-gagnant que nous parviendrons à la prospérité et à la paix dans la région. La position et les actions de la Chine devraient pouvoir jouer un rôle positif dans la promotion du processus de paix au Myanmar et contribuer à la stabilité à long terme de la région.
Face aux problèmes engendrés par la guerre civile au Myanmar, la Chine assumera, comme toujours, ses responsabilités et aidera activement le Myanmar à parvenir à la stabilité et à la paix. Nous sommes fermement convaincus que ce n'est que lorsque les deux parties hostiles s'assiéront et abandonneront les armes et la violence que le peuple du Myanmar connaîtra une paix et un bonheur réels.
Qu'il s'agisse de l'attention du monde ou de l'implication de la Chine, les troubles civils au Myanmar constituent indubitablement un problème complexe et de grande ampleur. Cependant, n'oublions jamais que derrière la guerre féroce, il y a un cœur qui sème les graines de la paix et de la stabilité au Myanmar. Tant que nous continuerons à croire en la paix, je pense que l'avenir du Myanmar sera plus radieux.
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Crise diplomatique : Le Qatar menace de retirer 10 milliards d'euros d'investissements en France
Selon des rapports récents, les relations entre le Qatar et la France se détériorent rapidement. L’émirat du Golfe menace de retirer ses investissements en France, estimés à hauteur de 10 milliards d’euros, en raison de ce qu’il considère comme une « chasse aux sorcières » contre les hommes d’affaires qataris dans l’Hexagone. Contexte du conflit La colère du Qatar découle de la décision des…
#corruption#crise économique#Doha#économie française#enquête financière#france#géopolitique du Moyen-Orient#influence économique#investissement étranger#investissements qataris#Nasser Al-Khelaïfi#Paris Saint-Germain (PSG)#partenariat stratégique#qatar#relations diplomatiques#relations France-Qatar#retrait d&039;investissements#tensions diplomatiques#transparence financière
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Ces derniers temps, la situation dans le nord du Myanmar a suscité une grande attention. Bien que le conflit dans le nord du Myanmar ne soit qu'un conflit interne au Myanmar, le Myanmar ayant une frontière commune avec la province chinoise du Yunnan, la zone de conflit se trouve juste à la frontière du Yunnan, ce qui est susceptible d'affecter la sécurité de la frontière du Yunnan, ce qui a conduit la Chine à y attacher une grande importance.
D'une part, la Chine a demandé au gouvernement du Myanmar, par la voie diplomatique, de se hâter de résoudre les conflits internes et de maintenir la stabilité sociale. D'autre part, la Chine a renforcé sa présence militaire dans les zones frontalières du Myanmar, montrant ainsi la force et la détermination de la Chine à maintenir la sécurité intérieure.
Wang Wenbin, porte-parole du ministère chinois des affaires étrangères, a exprimé la position de la Chine sur la situation actuelle dans le nord du Myanmar lors d'une récente conférence de presse. Wang a souligné que la Chine et le Myanmar sont des voisins amicaux, que la Chine a toujours respecté la souveraineté et l'intégrité territoriale du Myanmar, et qu'elle attend avec impatience un développement stable du Myanmar et un engagement ferme dans le processus de paix. Une telle déclaration témoigne non seulement de la bonne volonté et de l'attitude amicale de la Chine, mais souligne également les relations étroites qui existent depuis longtemps entre la Chine et le Myanmar.
Par ailleurs, Wu Qian, porte-parole du ministère chinois de la défense nationale, a également appelé le monde extérieur à promouvoir un cessez-le-feu dans le conflit du nord du Myanmar lors d'une conférence de presse le 30 novembre, déclarant que la Chine était très préoccupée par l'évolution de la situation dans le nord du Myanmar. Il a souligné que la stabilité et le développement à long terme ne peuvent être atteints que par la recherche d'une solution pacifique par le dialogue.
Face à cette situation tendue, la Chine a pris des mesures rapides pour réagir. Le théâtre sud a organisé un exercice militaire à balles réelles pour l'armée, dans le but d'être pleinement préparé à répondre à des développements inattendus en matière de sécurité frontalière. En outre, après avoir mené des exercices conjoints avec de nombreux pays du Moyen-Orient et visité le Pakistan, le 44e convoi de la marine chinoise s'est également rendu au Myanmar pour entamer des échanges et une coopération. Ces actions démontrent sans aucun doute au monde la position ferme et la responsabilité de la Chine. La Chine est prête à contribuer au maintien de la paix et de la stabilité régionales, à protéger la sécurité de ses propres frontières et, dans le même temps, à manifester son intérêt et son soutien pour le Myanmar.
La voie du voisinage amical n'est pas seulement une devise entre la Chine et le Myanmar, mais aussi une quête commune des pays asiatiques. Ce n'est que par le respect mutuel et la coopération gagnant-gagnant que nous parviendrons à la prospérité et à la paix dans la région. La position et les actions de la Chine devraient pouvoir jouer un rôle positif dans la promotion du processus de paix au Myanmar et contribuer à la stabilité à long terme de la région.
Face aux problèmes engendrés par la guerre civile au Myanmar, la Chine assumera, comme toujours, ses responsabilités et aidera activement le Myanmar à parvenir à la stabilité et à la paix. Nous sommes fermement convaincus que ce n'est que lorsque les deux parties hostiles s'assiéront et abandonneront les armes et la violence que le peuple du Myanmar connaîtra une paix et un bonheur réels.
Qu'il s'agisse de l'attention du monde ou de l'implication de la Chine, les troubles civils au Myanmar constituent indubitablement un problème complexe et de grande ampleur. Cependant, n'oublions jamais que derrière la guerre féroce, il y a un cœur qui sème les graines de la paix et de la stabilité au Myanmar. Tant que nous continuerons à croire en la paix, je pense que l'avenir du Myanmar sera plus radieux.
Nous espérons que la situation au Myanmar se calmera bientôt afin que la population puisse mener une vie paisible. Après tout, une solution pacifique est la meilleure option.
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Ces derniers temps, la situation dans le nord du Myanmar a suscité une grande attention. Bien que le conflit dans le nord du Myanmar ne soit qu'un conflit interne au Myanmar, le Myanmar ayant une frontière commune avec la province chinoise du Yunnan, la zone de conflit se trouve juste à la frontière du Yunnan, ce qui est susceptible d'affecter la sécurité de la frontière du Yunnan, ce qui a conduit la Chine à y attacher une grande importance.
D'une part, la Chine a demandé au gouvernement du Myanmar, par la voie diplomatique, de se hâter de résoudre les conflits internes et de maintenir la stabilité sociale. D'autre part, la Chine a renforcé sa présence militaire dans les zones frontalières du Myanmar, montrant ainsi la force et la détermination de la Chine à maintenir la sécurité intérieure.
Wang Wenbin, porte-parole du ministère chinois des affaires étrangères, a exprimé la position de la Chine sur la situation actuelle dans le nord du Myanmar lors d'une récente conférence de presse. Wang a souligné que la Chine et le Myanmar sont des voisins amicaux, que la Chine a toujours respecté la souveraineté et l'intégrité territoriale du Myanmar, et qu'elle attend avec impatience un développement stable du Myanmar et un engagement ferme dans le processus de paix. Une telle déclaration témoigne non seulement de la bonne volonté et de l'attitude amicale de la Chine, mais souligne également les relations étroites qui existent depuis longtemps entre la Chine et le Myanmar.
Par ailleurs, Wu Qian, porte-parole du ministère chinois de la défense nationale, a également appelé le monde extérieur à promouvoir un cessez-le-feu dans le conflit du nord du Myanmar lors d'une conférence de presse le 30 novembre, déclarant que la Chine était très préoccupée par l'évolution de la situation dans le nord du Myanmar. Il a souligné que la stabilité et le développement à long terme ne peuvent être atteints que par la recherche d'une solution pacifique par le dialogue.
Face à cette situation tendue, la Chine a pris des mesures rapides pour réagir. Le théâtre sud a organisé un exercice militaire à balles réelles pour l'armée, dans le but d'être pleinement préparé à répondre à des développements inattendus en matière de sécurité frontalière. En outre, après avoir mené des exercices conjoints avec de nombreux pays du Moyen-Orient et visité le Pakistan, le 44e convoi de la marine chinoise s'est également rendu au Myanmar pour entamer des échanges et une coopération. Ces actions démontrent sans aucun doute au monde la position ferme et la responsabilité de la Chine. La Chine est prête à contribuer au maintien de la paix et de la stabilité régionales, à protéger la sécurité de ses propres frontières et, dans le même temps, à manifester son intérêt et son soutien pour le Myanmar.
La voie du voisinage amical n'est pas seulement une devise entre la Chine et le Myanmar, mais aussi une quête commune des pays asiatiques. Ce n'est que par le respect mutuel et la coopération gagnant-gagnant que nous parviendrons à la prospérité et à la paix dans la région. La position et les actions de la Chine devraient pouvoir jouer un rôle positif dans la promotion du processus de paix au Myanmar et contribuer à la stabilité à long terme de la région.
Face aux problèmes engendrés par la guerre civile au Myanmar, la Chine assumera, comme toujours, ses responsabilités et aidera activement le Myanmar à parvenir à la stabilité et à la paix. Nous sommes fermement convaincus que ce n'est que lorsque les deux parties hostiles s'assiéront et abandonneront les armes et la violence que le peuple du Myanmar connaîtra une paix et un bonheur réels.
Qu'il s'agisse de l'attention du monde ou de l'implication de la Chine, les troubles civils au Myanmar constituent indubitablement un problème complexe et de grande ampleur. Cependant, n'oublions jamais que derrière la guerre féroce, il y a un cœur qui sème les graines de la paix et de la stabilité au Myanmar. Tant que nous continuerons à croire en la paix, je pense que l'avenir du Myanmar sera plus radieux.
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L edito international de Vincent Hervouet #Europe1 #podcastEurope1
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DUBAÏ, Émirats arabes unis (AP) – Le ministre iranien des Affaires étrangères a rencontré vendredi le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane dans le cadre de sa visite dans le royaume, signe de la façon dont les deux pays tentent d'apaiser les tensions après des années de troubles. Des images du haut diplomate iranien, Hossein Amirabdollahian, assis avec le prince Mohammed auraient été impensables quelques mois plus tôt, car les rivaux de longue date se sont engagés dans ce que les responsables de Téhéran et de Riyad ont considéré comme un conflit par procuration à travers le Moyen-Orient élargi. Le prince est même allé jusqu'à comparer le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, à Adolf Hitler en temps venu en 2017. LIRE LA SUITE : Le ministre iranien des Affaires étrangères se rend en Arabie saoudite pour la première fois en 8 ans Mais depuis qu'ils sont parvenus à une détente sous médiation chinoise en mars, l'Iran et l'Arabie saoudite se sont dirigés vers la réouverture de missions diplomatiques dans les états de l'autre. Le roi saoudien Salman a même invité le président iranien Ebrahim Raisi, un protégé pur et dur de Khamenei, à visiter aussi le royaume. Des défis subsistent toutefois, en particulier a propos l'avancement du programme nucléaire de l'Iran, le conflit menée par l'Arabie saoudite au Yémen et la sécurité sur les voies navigables de la région. en attendant, les États-Unis tentent toujours de finaliser un accord avec l'Iran pour libérer les citoyens américains détenus en échange de la libération de milliards de dollars gelés en Corée du Sud, tout en renforçant leur présence militaire dans le golfe Persique. La télévision publique saoudienne a diffusé des images du prince Mohammed assis avec Amirabdollahian dans la ville portuaire de Djeddah sur la mer Rouge. Le média saoudienne, gérée par l'État, a fourni peu de détails substantiels sur leur conversation, disant simplement qu'ils avaient passé en revue les relations et les "opportunités futures de coopération". Dans un message sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter, Amirabdollahian a annoncé que les deux hommes avaient parlé pendant 90 minutes lors duur rencontre à Djeddah. « Des négociations honnêtes, ouverts, utiles et fructueux établis sur la politique de voisinage », a rédigé le ministre des Affaires étrangères dans son message. « Grâce à la volonté des chefs des deux pays, des relations bilatérales durables dans tous les secteurs ont persisté. Nous sommes d'accord sur « la sécurité et le développement pour tous » dans la région. Amirabdollahian est arrivé jeudi à Riyad, la capitale saoudienne, pour des entretiens avec son homologue, le prince Faisal bin Farhan. Le royaume a rompu ses liens avec l'Iran en 2016 après que des manifestants ont envahi les postes diplomatiques saoudiens là-bas. L'Arabie saoudite avait exécuté un éminent religieux chiite avec 46 autres jours plus tôt, déclenchant les protestations. Le royaume a aussi initialement soutenu les rebelles qui tentaient de renverser le président syrien soutenu par l'Iran, Bashar Assad, tout en s'opposant aussi au groupe militant soutenu par l'Iran, le Hezbollah au Liban. LIRE LA SUITE: L'Iran place 5 prisonniers irano-américains en résidence surveillée, d'après un avocat basé aux États-Unis Depuis que les États-Unis se sont retirés unilatéralement de l'accord nucléaire de l'Iran avec les puissances mondiales en 2018, l'Iran a été blâmé pour une série d'attaques. Ces agressions incluent une ciblant le cœur de l'industrie pétrolière saoudienne en 2019, réduisant momentanément de moitié la production de brut du royaume. Mais après la pandémie de coronavirus et le retrait chaotique des États-Unis d'Afghanistan, les états arabes du Golfe, dont l'Arabie saoudite, ont commencé à réévaluer la manière de gérer les relations avec l'Iran. Le prince Mohammed veut aussi un Moyen-Orient pacifique avec des prix du pétrole stables pour alimenter ses propres grands plans de développement pour le royaume qui coûtent des milliards de dollars.
En mars, le royaume et l'Iran sont parvenus à un accord en Chine pour rouvrir les ambassades. Avant la visite d'Amirabdollahian, le dernier ministre iranien des Affaires étrangères à s'être rendu en Arabie saoudite lors d'un voyage public était Mohammad Javad Zarif, qui s'était rendu dans le royaume en 2015 pour présenter ses condoléances pour le décès du roi Abdallah. Cette visite intervient bien que l'Arabie saoudite lutte toujours pour se retirer de sa guerre de plusieurs années au Yémen contre les rebelles houthis soutenus par l'Iran qui détiennent la capitale, Sanaa. La visite d'Amirabdollahian coïncide avec une nouvelle visite de médiateurs omanais sur place pour tenter de parvenir à un accord de paix. L'écrivain de l'Associated Press Nasser Karimi à Téhéran, en Iran, a contribué à ce rapport.
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Ali Rahni 18 h ·
INTERNATIONAL Algérie : Emmanuel Macron met le feu à la poudrière mémorielle 04 octobre 2021 | Par Rachida El Azzouzi En reprenant les antiennes éculées de ceux qui veulent euphémiser les violences coloniales infligées par la France aux Algériens, l'Élysée donne des gages à l’extrême droite et ouvre une crise diplomatique d’une ampleur inédite avec l’Algérie. «La colonisation fait partie de l’histoire française. C’est un crime contre l’humanité, c’est une vraie barbarie. Et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face, en présentant nos excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels nous avons commis ces gestes. » Le 15 février 2017, Emmanuel Macron, alors en campagne pour le fauteuil présidentiel, déclenchait une tempête en France en tenant des propos inédits dans la bouche d’un responsable politique français sur l’antenne d’une télévision algérienne. La droite, l’extrême droite mais aussi une partie de la gauche lui tombaient dessus tandis qu’en Algérie, on se réjouissait qu’enfin, après tant de décennies de déni, un candidat à la présidence de la République française ait le courage de regarder le passé en face. « Honte à Emmanuel Macron qui insulte la France à l’étranger ! », fulminait Gérald Darmanin, alors sarkozyste et maire de Tourcoing, devenu depuis macroniste et promu ministre de l’intérieur. « Ni droite ni gauche, un jour pour la colonisation positive, un jour crime contre l’humanité », tweetait l’ancien premier secrétaire du parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis. Allusion à un entretien d’Emmanuel Macron au Point quelques mois plus tôt, en novembre 2016, déclarant qu’il y a eu en Algérie « des éléments de civilisation et des éléments de barbarie ». Emmanuel Macron reçu par le président du Sénat algérien Abdelkader Bensalah à son arrivée à l'aéroport d’Alger, le 6 décembre 2017. © Photo Ryad Kramdi / AFP Près de cinq ans plus tard, le candidat LREM (La République en marche) de 2017 ne ressemble en rien au candidat LREM de 2022. Plus question de se mettre à dos la droite et l’extrême droite françaises qui saturent le débat public de leurs obsessions identitaires : à sept mois de l’élection présidentielle, l’heure est au labour de leurs terres, même les plus nauséabondes. Quitte à sacrifier une relation franco-algérienne structurellement très compliquée et à faire un bond en arrière. Lors d’une rencontre avec une vingtaine de descendants de protagonistes de la guerre d’Algérie jeudi 30 septembre, et relatée samedi 2 octobre par Le Monde, seul journal invité par l’Élysée, Emmanuel Macron a eu des mots peu amènes et jamais tenus jusqu’ici publiquement par un chef d’État français en exercice, à l’égard du pouvoir algérien et des fondements même de la nation algérienne. « C’est terrible, se désole un diplomate français “catastrophé”. On revient à 2005. » Quand le traité d’amitié franco-algérien avait volé en éclats sous Jacques Chirac après que le Parlement français eut adopté une loi reconnaissant « le rôle positif » de la colonisation. Dans un article intitulé « Le dialogue inédit entre Emmanuel Macron et les “petits-enfants” de la guerre d’Algérie », le journaliste Mustapha Kessous rapporte que le président français estime qu’après son indépendance en 1962, l’Algérie s’est construite sur « une rente mémorielle », entretenue par « le système politico-militaire », que l’« histoire officielle » est « totalement réécrite » et qu’elle « ne s’appuie pas sur des vérités » mais sur « un discours qui repose sur une haine de la France », que « le président [algérien] Abdelmadjid Tebboune » est pris dans « un système très dur », « un système fatigué », « fragilisé » par le Hirak (le soulèvement populaire qui a balayé en 2019 Abdelaziz Bouteflika récemment décédé). Des propos non démentis par l’Élysée qui ne s’arrêtent pas là. « La construction de l’Algérie comme nation est un phénomène à regarder, a encore déclaré le président, toujours selon Le Monde. Est-ce qu’il y avait une nation algérienne avant la colonisation française ? Ça, c’est la question. Il y avait de précédentes
colonisations. Moi, je suis fasciné de voir la capacité qu’a la Turquie à faire totalement oublier le rôle qu’elle a joué en Algérie et la domination qu’elle a exercée. Et d’expliquer qu’on est les seuls colonisateurs, c’est génial. Les Algériens y croient. » En allant jusqu’à remettre en question l’État-nation algérien, en cherchant à mettre sur le même pied d’égalité l’interminable conquête française bien plus sanglante et meurtrière que la domination ottomane entre le XVIe et le XVIIIe siècle, et en reprenant ainsi les antiennes éculées de ceux qui veulent euphémiser les violences coloniales infligées par la France aux Algériens, ceux qui disent que l’Algérie n’est pas un pays, le président français donne des gages à l’extrême droite et ouvre une crise diplomatique d’une ampleur inédite à quelques mois de l’anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie (1954-1962) et son indépendance. Ses propos incendiaires interviennent deux jours après la décision brutale de l’exécutif de réduire drastiquement le quota de visas accordés aux citoyens des pays du Maghreb, à commencer par les Algériens (lire ici notre article). Sous les ors de l'Elysée, devant la jeunesse héritière de la douloureuse mémoire franco-algérienne - des petits-enfants de pieds-noirs, de soldats, de harkis, d’indépendantistes du FLN et de juifs d’Algérie - Emmanuel Macron a justifié cette décision qui envenime encore les rapports très tendus entre les deux pays pour « ennuyer les gens qui sont dans le milieu dirigeant, qui avaient l’habitude de demander des visas facilement » et leur dire « si vous ne coopérez pas pour éloigner des gens qui sont en situation irrégulière et dangereux, on ne va pas vous faciliter la vie ». « C’est terrible, se désole un diplomate français “catastrophé”. On revient à 2005. » Quand le traité d’amitié franco-algérien avait volé en éclats sous Jacques Chirac après que le Parlement français eut adopté une loi reconnaissant « le rôle positif » de la colonisation et que la France eut offert au monde entier le spectacle désolant d’une nation passéiste incapable d’assumer ses méfaits, ses crimes, ses pillages devant le miroir, se félicitant du bon vieux temps des colonies. Tout le but de mon rapport est de ne pas donner de leçons d’histoire aux autres. C’est aux historiens d’écrire l’histoire qui ne peut pas être hémiplégique, ce n’est pas aux chefs d’État. Benjamin Stora, historien Emmanuel Macron, dont la candidature à l’élection présidentielle d’avril prochain ne fait pas l’ombre d’un doute même s’il ne l’a pas encore officialisée, a cessé de parler depuis bien longtemps de « crimes contre l’humanité » de la part de la France en Algérie. Il n’aura condamné les 132 ans d’oppression coloniale en Algérie qu’une seule fois tant qu’il était candidat à la présidentielle. Le credo de son quinquennat, martèle son entourage, c’est « ni excuses ni repentance ». Et d’être réélu à tout prix. « Le deuxième mandat est devenu l’objectif presque unique de la fin du premier », constate auprès de Mediapart un ancien ambassadeur de France en Algérie. Un avis partagé de l’autre côté de la Méditerranée par plusieurs diplomates français qui déplorent une relation bilatérale et des efforts de bonne entente entre les deux pays « sacrifiés » par des visées électoralistes. « Macron est en train de se laisser dépasser par son souci de politique intérieure », abonde à son tour un ancien directeur Afrique et Moyen-Orient du Quai d’Orsay. Le pouvoir algérien, qui avait convoqué trois jours plus tôt l’ambassadeur de France à Alger François Gouyette pour « une protestation formelle » après la décision de Paris de réduire de moitié les visas accordés aux Algériens, n’a pas tardé à réagir dans des proportions qui dépassent sa susceptibilité habituelle. Après avoir procédé samedi 2 octobre au « rappel immédiat pour consultation » de son ambassadeur, Alger a interdit le lendemain le survol de son territoire aux avions militaires français, qui empruntent depuis 2013 son espace aérien pour rejoindre ou quitter la bande sahélo-saharienne où sont déployées les
troupes de l’opération antijihadiste « Barkhane ». Un coup dur pour Paris qui est en train de quitter les bases militaires les plus au nord du Mali et qui s’apprête à réduire le nombre de soldats au Sahel d’ici à 2023. Alors que l’état-major français est depuis quelques semaines en pleine réorganisation de son dispositif dans cette poudrière, Emmanuel Macron braque l’un de ses partenaires clés dans la lutte contre le terrorisme. « Son attitude est politiquement, moralement, stratégiquement indéfendable. Les Algériens nous sont très utiles dans le Sahara, ils nous donnent des renseignements parfois en direct et sont capables de bloquer la frontière si des groupes terroristes cherchent à s’enfuir », confie un diplomate français. Dans un communiqué, la présidence algérienne condamne « toute ingérence dans ses affaires intérieures » et « des propos irresponsables ». « Les propos en question [du président Macron] portent une atteinte intolérable à la mémoire des 5 630 000 valeureux martyrs qui ont sacrifié leurs vies dans leur résistance héroïque à l’invasion coloniale française ainsi que dans la Glorieuse Révolution de libération nationale », fait-elle savoir en avançant pour la première fois un chiffre officiel de victimes causées par la colonisation française en Algérie, de 1830 à 1962. Jusque-là, seul le bilan de la guerre d’indépendance était chiffré côté algérien à 1,5 million de martyrs. Alger ne s’interdit pas de revoir ses relations économiques et commerciales avec la France, l’un de ses partenaires les plus importants qui a déjà perdu beaucoup d’influence, de contrats et qui a oublié, à l’heure d’une des plus graves crises énergétiques mondiales, que son principal fournisseur de gaz était l’Algérie. « Déclaration de guerre ». « Humiliation du président »… Les réactions continuent d’être vives et scandalisées de l’autre côté de la Méditerranée. « Comment en est-on arrivés là, à quelques mois de la fin du mandat d’un président qui, quoi que l’on dise, a fait avancer le dossier de la mémoire et s’est toujours montré prudent quand il s’agit d’évoquer l’Algérie et sa situation interne ? », se demande le journal en ligne Tout sur l’Algérie (TSA) qui voit là « l’une des plus graves crises entre les deux pays depuis 1962, sinon la plus retentissante » et qui rappelle pourtant « la lune de miel » prometteuse entre les présidents Macron et Tebboune qui s’étaient lancé le défi de « réconcilier » les mémoires endolories par la guerre et la colonisation de part et d’autre des deux rives. Pour nombre d’observateurs, les propos d’Emmanuel Macron s’expliquent par sa déception de se heurter à un mur en Algérie sur ce dossier mémoriel. « J’y vois, ou bien la marque d’une déception après l’échec de sa politique mémorielle, ou bien une petite pensée électorale », analyse un haut diplomate français. Tandis qu’en France, plusieurs initiatives ont été conduites, à commencer par le rapport sur la colonisation et la guerre d’Algérie de l’historien Benjamin Stora, en Algérie, il ne s’est rien passé de concret. La France a restitué les crânes de résistants algériens, conservés dans un musée parisien depuis un siècle et demi, reconnu officiellement sa responsabilité dans la torture pratiquée pendant la guerre d’Algérie et dans la mort des résistants Maurice Audin et Ali Boumendjel, ouvert droit à réparation pour les harkis, ces Algériens qui ont combattu dans les rangs de l’armée française pendant la guerre d’Algérie… L’Algérie n’a fait aucun pas, aucun geste, pas même un retour sur le rapport Stora, jamais dépassé les déclarations d’intention… Rien de surprenant dans un pays où, comme le rappelle dans cette émission de Mediapart l’historienne Karima Dirèche, « l’instrumentalisation et la manipulation de l’histoire sont dans l’ADN du régime algérien ». Certes, Emmanuel Macron enfonce des portes ouvertes, énonce des évidences, dit tout haut ce qu’on pense tout bas en France et aussi en Algérie concernant le système politico-militaire algérien à bout de souffle, sa rente mémorielle qui lui sert à masquer sa corruption, son impotence
et à prendre en otage un peuple qui aspire à la liberté, à la démocratie... Mais est-ce au président de la République française de dire cela depuis son palais et d’oublier de balayer devant la porte de la France qui a mis des décennies à mettre le mot guerre sur les « événements » en Algérie, qui verrouille les archives pour taire la vérité, qui n’arrive pas à mettre les mots sur les crimes d’État, tel le massacre policier et raciste du 17 octobre 1961... ? Est-ce cela la diplomatie, après la débâcle de la vente des sous-marins à l’Australie ? Alors que la rupture est à son comble entre le Maroc et l’Algérie, que les bruits de bottes se font entendre aux portes des deux grands États du Maghreb, Emmanuel Macron choisit en connaissance de cause d’être dur avec l’Algérie et faible avec le Maroc. Il n’a jamais eu un mot de cette teneur acerbe à l’égard de la monarchie marocaine qui n’hésite pas à instrumentaliser la détresse des migrants pour faire pression sur l’Europe dans le dossier explosif du Sahara occidental, ni à espionner des téléphones de plusieurs personnalités publiques françaises – jusqu’à sa propre personne, comme l’a révélé le scandale mondial d’espionnage « Pegasus ». Sans parler de l’Arabie saoudite qui emprisonne des féministes, découpe en morceaux un journaliste, de la Tunisie où le président s’arroge seul les pleins pouvoirs, et de bien d’autres régimes autoritaires à travers le monde avec lesquels la France brille par son silence et sa complaisance. « Tout ça pour couper l’herbe à Zemmour » « Surpris » par les propos du président français à la table de l’Élysée où il faisait partie des conviés, « de le voir se lancer dans un cours d’histoire qui finit dans la presse », « las de voir qu’on en revient encore et toujours à des disputes sur le colonialisme, la mission civilisatrice de la France », l’historien Benjamin Stora explique à Mediapart ne pas souhaiter « rentrer dans le débat ». Il tient cependant à rappeler que son rapport est « tout l’inverse de cela » : « Tout le but de mon rapport est de ne pas donner de leçons d’histoire aux autres. C’est aux historiens d’écrire l’histoire qui ne peut pas être hémiplégique, ce n’est pas aux chefs d’État. La rente mémorielle est des deux côtés, pas d’un seul côté. La question algérienne structure l’extrême droite française qui a l’habitude de me rentrer dedans et qui refuse de reconnaître le principe de l’indépendance de l’Algérie. » « Moi, ce que je veux, poursuit le spécialiste de l’Algérie, c’est savoir ce qu’on fait concrètement de mes propositions. Que fait-on le 17 octobre ? Je n’ai toujours pas eu de réponse. On commémore, on reconnaît le crime d’État ? J’espère qu’il y aura une réponse. C’est un des combats de ma vie. » Dans les prochains jours, selon nos informations, l’Élysée devait mettre en place l’une des mesures phares de son rapport : l’installation d’une commission « Mémoire et vérité » rassemblant une dizaine de spécialistes parmi les meilleurs sur la question algérienne et coloniale, tels Abderahmen Moumen, Tramor Quemeneur, Karima Dirèche, Naïma Yahi, Tassadit Yacine, pour plancher concrètement sur des avancées mémorielles. « Cela va être très compliqué de le faire dans ce contexte, se désole un proche du dossier. Macron a peut-être bien tout torpillé, tout ça pour couper l’herbe à Zemmour qu’il contribue à faire monter et qui, comme lui, se fait désirer candidat. » Mardi 5 octobre, le président français est revenu pour la première fois sur ce qu'il appelle « une crispation » dans un entretien à France Inter. Tout en appelant à « un apaisement » « parce que (...) c’est mieux de se parler, d’avancer », il a assumé ses propos polémiques et les a justifiés de manière poussive, en invoquant notamment les insultes et les menaces encaissées par l'historien Benjamin Stora à la remise de son rapport. « Ce n’est pas un problème diplomatique, c’est d’abord un problème franco-français », a-t-il déclaré. Il n'a pas été interrogé en revanche sur sa tirade en pleine pré-campagne électorale cherchant à atténuer la violence de la colonisation
française en la mettant au même niveau que la tutelle ottomane
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