#relation frère-sœur
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hcdahlem · 4 months ago
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L’été en poche (13): Furies
Un premier roman étonnant de maîtrise qui nous entraîne en Turquie où Bérénice fait du trafic d'antiquités et où Asim a trouvé refuge après avoir vu les siens mourir. Leur rencontre va bouleverser leurs vies.
En 2 mots: Bérénice se rend en Turquie, à la frontière syrienne pour négocier l’achat d’antiquités pillées sur les sites en guerre. Asim de son côté, en voulant sauver sa sœur Taym des djihadistes va causer sa mort. Contraint à l’exil, il va croiser le chemin de Bérénice. Leurs vies vont alors basculer. Ma note: ★★★★ (j’ai adoré) Si vous voulez en savoir plus… Ma chronique complète publiée lors…
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willcmsv · 4 months ago
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
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The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
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selidren · 23 days ago
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Automne 1928 - Champs-les-Sims
4/5
En parlant de Mademoiselle Laroche, il me semble qu'elle et mon frère soient passés à une nouvelle phase de leur relation. Une phase dont la discrétion laisse à désirer mais je n'ose vraiment en parler frontalement à Antoine, de peur de me mêler de ce qui ne me regarde pas. Si ils se tournent toujours autour comme deux oiseaux en pleine parade nuptiale, il leur arrive de plus en plus fréquemment de se lancer de petites piques en ma présence ou celle d'Oncle Adelphe. Même Jean-François m'a évoqué son "sentiment de gêne" dans sa dernière lettre. Mon jeune frère a un côté pudique et convenable à l'excès que Grand-Mère adore, et quand il rentre nous voir, Antoine l'appelle "Grand-Père".
Bref, en écrivant ces lignes, je me rends compte que ce n'est pas vraiment la réalité. C'est Antoine qui la provoque bien davantage que l'inverse, et elle a souvent l'air profondément confuse, même si elle répond toujours pas une répartie bien sentie. Je ne sais pas vraiment à quoi joue mon frère, mais j'ai parfois l'impression qu'il ne réalise pas que dans cette relation, Mademoiselle Laroche est bien moins libre que lui. J'en suis un peu inquiète, car j'ai peur qu'il finisse par tout gâcher sans s'en rendre compte, et j'aimerai que leur histoire finisse bien. Que veux tu ? Cléopâtre et son indécrottable et ardent romantisme m'ont contaminés !
Transcription :
Aurore « Mais qu’est-ce qui vous a pris ? »
Marc-Antoine « De quoi... »
Aurore « Tous ces sous-entendus quand je parlais à votre sœur ! Vous voulez vraiment que je me fasse renvoyer ? »
Marc-Antoine « Mais non ! Et vous n’êtes pas non plus toute blanche dans cette affaire il me semble ! De toute façon, je pense qu’elle se doute de quelque chose depuis un moment car elle m’a dit qu’elle parlait de nous dans ses lettres à Cousin Lucien. J’imagine qu’il s’agit de... »
Aurore « Votre cousin ? Même votre cousin du Canada est au courant ? Et j’ai toujours mon emploi ? Mais dans quelle famille j’ai atterri au juste ? »
Marc-Antoine « Les Le Bris sont un peu particuliers c’est vrai. Ceux de France en tous cas. »
Aurore « Une maîtresse de maison qui laisse, comme ça, son frère flirter avec la bonne, c’est sur que ce n’est pas commun. »
Marc-Antoine « Si ça vous gêne, on peut arrêter. »
Aurore « Non, j’apprécie bien nos échanges. »
Marc-Antoine « Vraiment ? Alors je vous manque quand je suis à Paris ? »
Aurore « Je fais mieux mon travail quand vous n’êtes pas là mais… oui, vous me manquez. Faites juste en sorte que ce soit un peu plus discret, ne me cherchez pas comme ça devant votre sœur, même si elle est au courant. Et surtout pas devant Madame Eugénie ! »
Marc-Antoine « Pas besoin de me le dire, je tiens à garder ma tête encore un peu de temps ! Vous savez, tout le monde au village se souvient de la façon dont elle a réagit quand son fils aîné s’est fiancé à la gouvernante quand il était jeune. Je n’ai pas vraiment envie qu’il m’arrive la même chose. »
Aurore « Oh… et il lui est arrivé quoi au juste ? »
Marc-Antoine « Heu… je ne connais pas les détails, mais tout le monde s’accorde pour dire que ça a été terrible. Après tout, on s’en souvient encore même si seulement deux personnes seulement sont assez vieilles pour encore s’en souvenir. »
Aurore « Je vois... »
Marc-Antoine « Ne tirez pas cette mine ! Ils ont pu se marier finalement. »
Aurore « Comment s’appelait ce Monsieur ? »
Marc-Antoine « Il me semble que… Matthieu oui, c’est ça. Mon grand-oncle Matthieu. Mais… qu’est-ce qu’il y a ? »
Aurore « Il fait partie de ceux qu’il est rigoureusement interdit de mentionner en présence de votre grand-mère. Votre mère m’a donné une liste quand je suis arrivée. C’est que ça n’a pas du se terminer si bien que ça. »
Marc-Antoine « Ma famille est compliquée, c’est tout. »
Aurore « Je ne veux juste pas que ça vous créer des histoires. »
Marc-Antoine « Non, ça n’en créera pas Aurore… enfin, Madamoiselle Laroche. Ecoutez, je vous aime beaucoup, et même si c’est encore un peu tôt, j’aimerai tout de même que vous me laissiez une chance de vous prouver que je ne suis pas là pour jouer avec vos sentiments ou simplement pour m’amuser. Tout le monde vous dira de moi que ce n’est absolument pas mon genre ! »
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makeitinkorea · 3 months ago
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Après les quatre familles d'anciens chaebols, c'est l'heure de découvrir les quatre dernières familles. Elles règnent sur le pays depuis une vingtaine d'années pour la plupart et ont réussi à se faire un nom et un statut très rapidement, grâce à l'exploitation des nouveaux domaines technologiques et des nouvelles avancées de ces dernières années.
NOUVEAUX CHAEBOLS, DEVENUS PUISSANTS AU COURS DE CES 20 DERNIÈRES ANNÉES
HALLYU MEDIA GROUP Création : 5 décembre 2000. Fondateur : Shin Donghyun.
Autre dirigeants : Shin Mansik (dirigeant actuel, cousin du précédent).
Fondé au début des années 2000, ce groupe a su exploiter la vague "Hallyu" qui a propulsé la culture coréenne sur la scène mondiale à travers la musique k-pop et les dramas. Hallyu Media Group possède plusieurs chaînes de télévisions coréenne populaires, reconnues pour diffuser certains des programmes les plus regardés du pays. Hallyu Media Group détient également l'une des plus grandes agences de talents de Corée, NW (Next Wave) Entertainment, qui regroupe certains des plus grands noms de la K-pop ainsi que des acteurs et mannequins de renommée.
FAMILLE SHIN
Les nombreuses conquêtes de Shin Mansik ne manquent jamais de faire réagir la presse. En plus d'avoir divorcé de sa première femme alors enceinte, pour épouser une seconde à qui il avait déjà fait un enfant, le CEO de Hallyu Media Group est connu pour avoir épousé la veuve de son cousin dont il a hérité de l'entreprise, dès la seconde où celui-ci s'est éteint. Malgré des repas de famille assez particuliers et quelques accrochages entre demi-frères et demi-sœurs, les enfants de Shin Mansik, tous mélomanes, danseurs, modèles, ou acteurs, participent activement à l'œuvre familiale : deux des plus âgés assistent leur père dans la direction de son agence de talent sous l'égide du Hally Media Group et ont recruté et débuté certains des idols et des acteurs les plus en vogue du pays. Les autres aiment mettre leur talent au profit de l'agence VividStar Agency, en tant que chorégraphe, acteurs ou producteur de musique. Deux des plus jeunes sont des idols déjà débutées ou sur le point de l'être, et sont en passe de devenir les it girl et it boy de leur génération. Mais peut-on réellement faire confiance à une agence bâtie sur la trahison, le mensonge, la rivalité et le piston ?
Shin Mansik (M, 59 ans). Marié à Lee Jinhee (F, 60 ans). - Shin Prénom au choix (F, 32 ans). - Shin Prénom au choix (M, 30 ans). Remarié à Park Haejin (F, 52 ans). - Shin Prénom au choix (M, 31 ans). - Shin Prénom au choix (M, 27 ans). - Shin Prénom au choix (F, 24 ans). Remarié à Kang Junga (F, 45 ans). - Shin Prénom au choix (M, 23 ans). - Shin Prénom au choix (F, 21 ans). - Shin Jisoo (F, 12 ans).
NEOMMA INNOVATIONS Création : 6 août 1998. Fondateur : Yun Seungho (dirigeant actuel).
Autre dirigeants : /
Fondé dans les années 2000, Neomma Innovations est l'un des nouveaux chaebols les plus influents du pays. Spécialisé dans l'électronique et les télécommunications, ce groupe est l'illustration de l'essor technologique rapide en Corée du Sud. Neomma Innovations possède la marque d'électronique Neomma, concurrent direct de Hyeonmi Electronics, qui se distingue par des smartphones et des tablettes au design épuré. Le groupe a également fondé Yeoboline, un opérateur téléphonique et fournisseur d'internet apprécié pour ses prix abordables, et développé plusieurs jeux mobiles très populaires chez les jeunes sud coréens. Enfin, Neomma Innovations est à l'origine de l'application de messagerie instantanée Yeobotalk, et du réseau social NeoSpace, largement utilisés dans tout le pays. Neomma Innovations investit actuellement dans la recherche et le développement et espère lancer prochainement des réseaux 6G.
FAMILLE YUN
Depuis qu'il a fêté ses 75 ans en décembre dernier, Yun Seungho prépare soigneusement sa retraite et met en ordre les affaires de son entreprise qu'il souhaite laisser entre les mains les plus honnêtes et compétentes possibles. Sa relation avec son fils aîné, Jinhwan, n'a jamais été très bonne, et semble ne se déchirer que plus au fil des années. Homme particulièrement dur et distant avec ce fils qu'il considère médiocre malgré la place importante qu'occupe ce dernier au sein de Neomma Innovations, Seungho préfère fonder tous ses espoirs sur sa petite-fille aînée pour qui il éprouve beaucoup d'affection et d'estime, et qu'il considère comme une jeune femme prometteuse. Quant à la sœur jumelle de cette dernière, elle semble plutôt se ranger du côté de Jinhwan avec qui elle partage une relation très fusionnelle, et qui préférerait la voir reprendre le flambeau. Le petit dernier de la famille cache quant à lui beaucoup d'insécurités liées à son manque d'engagement et à sa naïveté, chacun des deux camps souhaitant l'accaparer. Si cette famille ne parvient pas à trouver un terrain d'entente, les jumelles sont déchirées entre la loyauté qu'elles éprouvent pour leur mentor respectif et l'entreprise familiale, et ce lien indéfectible qui les lie entre elles.
Yun Jinhwan (M, 45 ans). Marié à Kang Hyejin (F, 46 ans). - Yun Prénom au choix (F, 23 ans). - Yun Prénom au choix (F, 23 ans). - Yun Prénom au choix (M, 20 ans).
SANGHO CORP
Création : 6 juillet 1999. Fondateur : Ong Joonsuk. Autres dirigeants : Ong Joonho (dirigeant actuel, frère du précédent)
Avec une présence marquée dans le secteur de la santé, Sangho Corp est impliqué dans la recherche pharmaceutique, la production de médicaments et la gestion d'établissements de soins. Le groupe a notamment racheté, modernisé et agrandi le Namsin Private Hospital, un centre médical privé dans la capitale, réputé pour la qualité de ses soins, ses médecins renommés, et ses technologies médicales. Plus récemment, Sangho Corp a choisi d'investir dans le secteur de l'hôtellerie par la création d'une série d'hôtels de luxe en Corée du Sud, ainsi que dans le secteur de l'éducation, en créant quelques institutions académiques qui forment notamment leurs étudiants à la médecine.
FAMILLE ONG
TW : MALADIE INCURABLE
Si tous les membres de la famille Ong sont de talentueux médecins ou de brillants étudiants, c'est avant tout grâce à leur travail acharné et à leur formation de qualité. Chirurgien esthétique ambitieux, particulièrement fier de son œuvre et très impliqué dans son hôpital privé de Namsin, Ong Joonho a à cœur de former chacun de ses enfants à devenir des médecins de renommée. Mais lorsque le plus jeune enfant de la famille est atteint d'une maladie incurable en raison de son caractère inconnu, la famille doit faire face à des choix difficiles et à de nombreux sacrifices. Les enfants de Ong Joonho choisiront-ils la fidélité et l'amour qu'ils éprouvent pour leur famille ou privilégieront-ils leur bonne conscience ?
Ong Joonho (M, 47 ans). Marié à Kim Sookja (F, 49 ans). - Ong Prénom au choix (F, 24 ans).   - Ong Prénom au choix (M, 20 ans). - Ong Yujin (F, 15 ans). - Ong Jihoon (M, 11 ans).
NAMU CORP Création : 26 octobre 2002. Fondateur : Nam Joonseok (dirigeant actuel).
Autres dirigeants : /
Reconnu pour ses activités diversifiées dans les domaines de la banque, la finance, les assurances et le commerce, Namu Corp est aujourd'hui un acteur clé du secteur économique sud-coréen. Fondée en 2002 par Nam Joonseok, l'entreprise a connu une rapide expansion. A la tête de plusieurs banques, banques en ligne et institutions financières, Namu Corp offre des services bancaires tels que des prêts, comptes d'épargne, cartes de crédit et investissements. Namu Corp est également actif dans le secteur des assurances. En 2004, le groupe a lancé Solara, une plateforme de commerce en ligne mondiale. Plus récemment, Namu Corp a développé Namu Ride et Namu Eats, des services de covoiturage et de livraison de nourriture.
FAMILLE NAM
TW : HOMICIDE INVOLONTAIRE, MORT INFANTILE
Homme d'affaire brillant et ambitieux, Nam Joonseok s'est construit seul et a permis à sa famille de profiter largement de la réussite de son entreprise. Bien qu'étant un père et un mari aimant, il souffre des problèmes de santé de son épouse, soignée dans le meilleur hôpital privé de la capitale depuis 2010. Cette année là, le couple a tragiquement perdu leur plus jeune fils, alors âgé de quelques mois, dans un accident impliquant l'aîné de la famille, âgé de 11 ans au moment des faits. Bien que l'accident ne fut pas intentionnel, Nam Joonseok garde en lui beaucoup de rancœur à l'égard de son fils qu'il considère malgré lui responsable des problèmes de santé de son épouse. Leur relation est particulièrement difficile et Joonseok peine à montrer son amour et son soutien à ce fils qui vient pourtant de faire ses premiers pas dans l'entreprise familiale, préférant se concentrer sur sa fille cadette. L'aîné de la famille est aujourd'hui hanté par la culpabilité de son geste et vit dans l'espoir d'être remarqué et d'attirer la fierté d'un père qui ne lui montre que de la froideur.
Nam Joonseok (M, 49 ans). Marié à Park Haekyung (F, 47 ans). - Nam Prénom au choix (M, 25 ans). - Nam Prénom au choix (F, 20 ans). - Nam Taehyun (M, 2009-2010).
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christian-dubuis-santini · 2 months ago
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«Si quelqu'un vient à moi et qu'il ne hait pas son père et sa mère, sa femme et ses enfants, ses frères et ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peut pas être mon disciple.»
Comment interpréter cette parole de Jésus ?
Bien entendu, cela n'a rien à voir avec une haine familiale ordinaire exigée par un dieu jaloux, les relations familiales sont ici des métaphores du réseau social lui-même, représentatives de chaque parcelle de substance ethnique qui me détermine une place dans l'ordre global des choses.
Ce genre de haine requise par le Christ n'est pas l'opposé dialectique de l'amour mais la preuve et l'expression directe de l'amour lui-même, c'est l'amour qui m'enjoint de me débrancher de ma communauté organique dans laquelle je suis né et dans laquelle je vis à une place prédéterminée, comme le dira Saint-Paul: "Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme...
C'est le même universel singulier du sujet vide de toute substance et de tout prédicat que vise la psychanalyse, raison pour laquelle Lacan le note $, sujet barré.
NB : Le "Substanzlos Subjekt" du Marx des Gründisse, le sujet sans substance, préfigure le sujet de la psychanalyse qui n’émerge qu’à partir du ratage de sa manifestation signifiante.
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la-isla-blanca · 7 months ago
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- suggestion de faceclaim pour le pré-lien big brother is watching you
tw - mention de fausse couche, maladie (cancer), décès, deuil, prise de substances / comportement autodestructeur (naia)
kenan, c'est l'aîné de la famille, ce grand frère avec qui naïa n'a que trois années d'écart. à la fois partenaire de bêtises, confident et protecteur, il est devenu un véritable pilier de son existence, kenan. tous les deux ont noué au fil des années cette relation privilégiée qu'ils ont réussi à préserver, à cultiver même. parce que même si les années passent et ne se ressemblent pas, il est toujours la première personne auprès duquel elle se réfugie quand elle va mal, quand elle a besoin de réconfort. du moins, c'est ce qu'elle faisait jusqu'au décès de maman, naïa. parce que depuis le décès de maman, elle a changé du tout au tout. un changement radical qui lui fait peur à kenan parce qu'il ne reconnaît plus sa petite sœur, parce qu'il voit bien également qu'il n'arrive pas à honorer cette promesse faite à leur mère - celle de prendre soin de sa petite sœur.
les dolan, c'est une famille originaire de barcelone qui est formée autour du couple de sully et summer. un couple partageant le même amour doux et sincère depuis de nombreuses années. un couple ayant réussi à passer à travers les hauts, mais aussi les bas ensemble. c'est presque naturellement qu'ils ont souhaité agrandir leur famille. et c'est ce qu'ils ont réussi à faire en accueillant leur premier enfant, kenan. rapidement après la naissance de kenan, summer est tombé à nouveau enceinte d'une petite fille, ena. une petite fille qui n'aura jamais eu l'occasion de pousser ses premiers cris. deux années à pleurer la perte de ce petit ange qu'ils n'auront jamais eu l'occasion de côtoyer, deux années à espérer et également se battre pour parvenir à agrandir de nouveau leur famille. et c'est chose faite avec celle qu'ils voient comme leur petit miracle, naïa. (...) et alors qu'ils semblent tout pour être heureux, tout bouscule en mai 2022 - ce fameux jour où maman leur a appris souffrir d'un cancer du sein. et si maman a peur, elle ne leur montre rien. elle reste cette femme digne et forte qui décide de faire de son mieux pour se battre pour son mari, pour ses deux enfants qu'elle a tant désiré. et si elle est affaiblie par les chimiothérapies, elle ne montre rien et demeure cette femme joviale et blagueuse qu'ils ont toujours connu. jusqu'à que tout s'effondre une seconde fois en octobre 2023. parce que summer a perdu son combat face à la maladie. et sans elle, rien ne semble plus avoir de sens. parce que sans summer il y a ce fossé qui se creuse chaque jour un peu plus au sein de la famille dolan. une famille où chacun semble dépérir à sa manière.
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cmanse · 1 month ago
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LA BALADE DES OUBLIÉES [house of the dragon x oc] • SHAEREA VELARYON II
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LA BALLADE DES OUBLIÉES • HOUSE OF THE DRAGON X OCs • CHAPITRE II
✩ synopsis : La princesse Shaerea Velaryon, fille unique de la princesse héritière Rhaenyra Targaryen, sœur jumelle du prince Jacaerys Targaryen arrive à un âge où elle ne peut plus ignorer la vérité.
☆ relations : oc!femvelaryon x aegon targaryen; oc!femstark x jacaerys velaryon; oc!femhightower x aemond targaryen; oc!femtargaryen x oscar tully; oc!fembaratheon x lucerysvelaryon
✧ warnings : targ!incest, sexisme typique médiéval, batards, un peu de déréalisation si on plisse les yeux, harcèlement, tromperie consentie?…
☆ mots : 7351 mots
⭐︎ note de l’auteur : /!\ ici les événements de la blague du cochon ailé faite à Aemond se passe avant l’accouchement de Rhaenyra (naissance de Joffrey). La taille de Vermax ne correspond pas au canon. Désolé pour les fautes d’orthographe ! /!\
✧ chapitres : MASTERLIST • I II III
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Des rires enfantins résonnèrent dans le Donjon Rouge, accompagnés de bruit de pas bruyant et rapide.
La princesse Shaerea Velaryon courait au côté de son frère jumeau, le prince Jacaerys, héritier du throne de fer après leur mère la princesse Rhaenyra Targaryen, et de leur frère cadet le prince Lucerys, l’héritier de Driftmark.
Les trois enfants gloussaient en se bousculant dans les couloirs rougeâtres du château royal. La princesse de huit années avait du mal à suivre la cadence de ses frères à cause de ses habits princiers. Des tissues luxueux, aussi rouge que les bons vins de Dorne étaient cousus entre eux, formant une robe longue et délicate aux broderies dorées. Elle portait autour de ses poignets, de son cou et de chacun de ses petits doigts légèrement potelés des bijoux somptueux d’or brute incrustés de rubis. La beauté de la seule fille et deuxième enfant de Rhaenyra Targaryen était reconnue de tous. Comme avant sa mère, la petite princesse Velaryon était un vrai délice pour le royaume, une splendeur royale.
…même si la princesse Shaerea ne ressemblait en rien à une Targaryen.
Sa peau n’était ni pâle comme les descendants d’Aegon le Conquérant, ni métisse comme les Velaryon. Ses cheveux n’étaient pas d’un blanc argenté et ses iris n’avaient aucune trace de violet. Non, comme ses frères, elle ne possédait aucun trait de la maison du dragon et encore moins celle d’eau et de sel. Au lieu de cela, des épaisses mèches brunes bouclées encerclaient son visage au teint bronzé et ses yeux marron prenaient une couleur semblable au miel au soleil.
Cela avait été un scandale quand les jumeaux de la couronne sont nés. Sur leur corps étaient marqués au fer rouge "bâtards", ce mot que le Roi Viserys I avait interdit de prononcer à leur égard sous peine de se faire arracher la langue.
Pourtant les regards moqueurs, impitoyables de la cour ou les murmures des servantes subsistaient encore dans le château. Peut être êtes la connaissance du dégoût de la Reine Alicent envers les petits enfants de sa majesté son époux qui leur laissaient penser qu’ils avaient le droit de manquer de respect ainsi aux princes et la princesse royaux ? Peu importe, les enfants de Rhaenyra étaient trop jeunes pour comprendre, restant dans un bonheur simple de l’enfance.
« Jace, Luce dépêchez vous ! Il faut qu’on arrive à Pit Dragon avant Oncle Aegon ! » A gloussé la jeune princesse en redoublant d’efforts pour accélérer et tirer la main de son frère jumeau en prennent la tête de leur joyeuse troupe.
« J'essaie ! C'est toi qui vas lentement avec cette robe qui te gêne les jambes ! » se plaignit le jeune prince en courant. La longue cape écarlate ondulait dans son dos tandis que lui et Luce ressemblaient davantage à de petites ombres noires fuyant derrière leur sœur. Shaerea regarda le garçon brun de huit ans avec indignation.
« Ma robe est magnifique ! » dit-elle avec la voix d'une petite fille têtue. Pour elle la beauté l’objet justifiait son manque de pratique. Elle jeta sa tête en arrière pour s'assurer que leur petit frère les suivait. « Luce court plus vite ou on te laisse avec oncle Aemond »
Une vague de terreur traversa le jeune visage de Lucerys, mais le garçon continua à faire des pas courts et rapides pour suivre son frère et sa sœur. Le prince Aemond Targaryen’s, le deuxième fils et quatrième enfant du Roi Viserys était un enfant plutôt… spéciale. Il n’avait que dix ans, bientôt onze, pourtant il ne s’amusait jamais (ou plutôt les princes et princesse ne l’invitaient jamais), toujours entrain d’étudier dans la bibliothèque ou avec les septa’s ennuyeuses ou être en compagnie de sa tante maternelle. Le fils de la reine n’était pas quelqu’un d’amusant. Et il avait quelque chose en lui, les enfants Targaryens ne pourraient pas vraiment l’expliquer mais Aemond semblait avoir un côté plutôt…sombre ? Comme s’il souffrait de la folie du dragon…
« Noooon… » supplia l’héritier de Driftmark "Ne me laisse pas avec l'oncle Aemond. Je cours plus vite, je vous le promets, regardez ! »
La princesse gloussa de nouveau, son sourire s’élargissant jusqu’à atteindre ses yeux bruns. « Si tu le fais, je suppose que nous te pardonnerons » taquina-t-elle en tirant sur le bras de Jace, le forçant à continuer à courir. « Mais tu ferais mieux de te dépêcher ! »
Les Velaryon de six et huit ans se bousculèrent avec la force et l’amusement des enfants qu’ils étaient. Dans les escaliers de pierres rouges, le prince Jacaerys eut l’audace de marcher sur la belle robe de sa jumelle. Elle poussa un cris aigue d’indignation qui fit tourner la tête de plusieurs servantes, prise de peur que les enfants royaux soient blessés. Leurs petites jambes les ont menés dans la court d’entraînement où des chevaliers s’entraînaient entre eux ou enseignaient l’art du combat à des fils de nobles. Au centre, armée d’une épée et d’une armure imposante à cape jaune, Sir Harwin Strong combattait un jeune homme, sûrement le second fils d’un des Lords de la cour. Il était un chevalier musclé à la peau halée et cheveux bruns bouclés lui arrivant sur ses épaules. Comme sa chevelure, sa barbe était d’un brun épais et ses yeux avaient une couleur semblable à l’eau des lacs du Nord. La princesse Shaerea a poussé son frère jumeau, lui manquant de le faire trébucher pour courir vers le chevalier en plein combat.
« Sir Harwin ! Sir Harwin ! Sir Harwin ! Sir Harwin ! » répéta-t-elle encore et encore, les joues rouges, ignorant le danger de se faire embrocher par une épée.
Le chevalier sourit derrière son casque en entendant la jeune voix de la princesse Shaerea. Il esquiva un coup de son adversaire et se tourna dans la direction de la jeune fille. « Je suis un peu occupé en ce moment si vous remarquez votre douce jeune majesté. »
La petite princesse ne prit même pas le temps de regard le jeune homme que Lord Strong entraînait, ignorant complètement son existence. « Je m'en fiche ! »
Elle dit d'une voix joyeuse et aiguë. Son petit frère Lucerys vint se coller contre sa robe, ses petits doigts agrippant le tissue. Il avait peur de se faire gronder par leur mère, pour l’audace de sa sœur aîné. La princesse Rhaenyra était facilement irritable, enceinte de neuf mois, sur le bord de l’accouchement, son agacement et sa colère pouvaient monter rapidement. Jacaerys a roulé les yeux en boudant derrière sa jumelle. Il devrait la pousser comme elle avait fait juste avant pour la punir de son comportement de fillette gâté.
Shaerea enroula de ses petits doigts bagués autour la cape jaune du fils de la main du roi, Lord Lyonel Strong, la tirant avec énergie. « Sir Harwin ! Sir Harwin ! Pouvez-vous nous emmener à Pit Dragon ? S'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît ! »
Le chevalier rigola légèrement lorsque la princesse continua à l'appeler en boucle. « Vous peux être si agaçant quand vous le voulez, vous savez. » Il souleva la visière de son casque et soupira, « Mais bien sûr, je peux vous emmenez au PitDragon. Mais seulement pour que vous arrêtiez de crier mon nom comme ça. » la taquina-t-il.
« Merci Sir Harwin ! » Elle poussa un cri de joie en sautant, ses bijoux s'entrechoquant dans un bruit semblable à sac remplit de pièce d’or. Lucerys pressa ses mains contre ses oreilles au son aigu de sa sœur aînée, n’aimait pas quand elle faisait ça. « Je t'avais dit que ça marcherait Jace ! »
La princesse Velaryon tira la langue vers son jumeau, sa petite main remplie de bracelet et d'anneau d'or toujours accrochée à la cape du chevalier. Le chevalier gloussa et retira son casque tandis que la petite princesse s'accrochait à sa cape de toutes ses forces. Il se tourna vers elle et ébouriffa un peu ses cheveux bouclés. Peut de personne au Donjon Rouge oserait traiter un enfant royale comme ça. Mais comme beaucoup avait remarqué, surtout la Reine Alicent, Sir Harwin est proche depuis toujours de la famille de la princesse Rhaenyra, surtout la princesse. « Vous êtes vraiment gâtée princesse. » Lui dit-il avec un sourire au visage. Quand il leva les yeux, il trouva les princes Jace et Lucerys derrière leur sœur. Il haussa un sourcil avec un sourirez avant de reprendre. « Donc c'était un projet d'équipe, j’imagine ? »
« Jace et Luce savent que je suis la plus jolie et donc que tout le monde me dit toujours oui. » dit la Velaryon avec un sourire fier et arrogant. Elle prit la grande main du chevalier dans la sienne, petite, minuscule comparé à celle de l’homme proche de la quarantaine. La personnalité bruyante de la princesse et son interruption dans la cour d’entraînement avait attiré les regards des autres combattants et de leur publique les dames de la haute société. Un mélange de moquerie et de dégoût était dans leur yeux alors qu’ils observaient les enfants de la princesse Rhaenyra interagir avec Sir Strong qui leur ressemblait trop pour le nier. Pourtant le chevalier ne sembla pas s’en soucier et il gloussa en traversant la cour bondée, la petite princesse Velaryon les menant.
« Oh, je n'en doute pas un seul instant », acquiesça le jeune chevalier en regardant les trois enfants. « Je pense que tout le royaume sait que la princesse Shearea est la plus jolie princesse de toutes », ajouta-t-il, ébouriffant doucement les cheveux de la fillette une fois de plus avec sa main libre. 
« Et la plus ennuyeuse aussi », grommela le prince Jace, croisant ses bras courts sur sa poitrine. Sa sœur le regarda par-dessus son épaule et lui tira sa petite langue avec défi avant de tourner la tête en arrière et d'entraîner le chevalier plus loin. 
Les enfants de la princesse Rhaenyra Targaryen arrivèrent à Pit Dragon accompagné de Sir Harwin. Tout le long du chemin, la princesse Shaerea ne c’était presque pas tue une seule fois. Elle aimait être au centre de l’attention et des discussions, monopolisant la conversation. Elle racontait animent au chevalier à quelle point elle était excité par l’arrivé du nouveau bébé et qu’elle espérait avoir un petit frère encore, voulant rester la petite princesse gâtée de la famille. Le prince Jacaerys lui avait jeté plusieurs fois des regards agacés et Lucerys tenta de lui couper la parole temps bien que mal, sa petite main d'enfant de six ans dans celle du chevalier à la cape jaune.
Rentrent dans le bâtiment gigantesque, la princesse Velaryon ne prit pas la peine de saluer les gardiens des dragons, préférant courir en direction de la fausse. Ses joues n’avaient même pas eut le temps de reprendre une couleur normal de sa course précédente. Elle soulevait sa robe au dessus de ses chevilles maintenant qu’elle était sûre que sa septa ne la gronderait pas pour un manque de pudeur pareil. « Gaura ! »
Un dragon femelle aux écailles roses fut amenée hors de l’entre menant au logis des creatures ailées.
Comme son frère jumeau, la princesse Shaerea reçut un œuf de dragon sous son berceau. Et comme les deux jumeaux royales, la coquille de Vermax, le dragon de Jacaerys éclôt en premier. Mais comparé à la bête verte de l’hériter du trône, Gaura naquit difforme et faible. L’animal était minuscule et ne semblait pas grandir correctement, si bien que les gardiens des dragons avaient déclaré qu’elle ne survivrait pas un an. Mais grâce au soin et les efforts de la princesse Rhaenyra à maintenir le dragon de sa fille chérie en vie, Gaura a finalement survécu. Or, alors que Vermax le dragon vert de huit ans maintenant faisait déjà la taille de trois hommes adultes, Gaura, elle, faisait seulement la taille d’un seul humain.
Le dragon aux écailles roses petit, trop petit pour son âge, ne dépassant pas la taille d'Arax, le dragon du petit frère Lucerys de sa dragonniere, s'approcha d’elle en poussant un mélange entre sifflements et grognements. Elle se déplaçait, ses longues griffes griffant la pierre et ses ailes difformes, trop longues pour son corps trainaient sur le sol. La couleur rosée du bout des membres et du museau de la bête semblait se dégradé vers un blanc crème, le même ton que ses yeux.
« Je suis peiné pour vous princesse. » dit Sir Harwin, ses yeux bleus observaient la princesse avec son dragon. Si le simple fait que Shaerea avait une profonde connection avec son animal suffisait au chevalier, il ne pouvait pas ignorer la vérité. Un dragon était censé être fort et majestueux. Des créatures puissantes qui pouvaient réduire en cendres des royaumes entiers. Mais Gaura semblait... pathétique en comparaison des autres dragons de la fosse.
Cette différence entre son dragon et ceux du reste de sa famille ne semblait pas pour autant déranger la princesse Velaryon. Elle au moins elle en avait un, pas comme son oncle le prince Aemond Targaryen.  
La princesse c’est assise par terre, se moquant de salir sa robe qui valait bien plus que tout ce qu’un sujet de basse naissance de KingsLanding pouvait gagner en une vie entière. Gaura c’est joyeusement précipitée sur les genoux de la princesse, s'installant sur les épaules de cette dernière comme elle aime tant le faire, ses ailes roses entourant le corps de la fille. Shaerea regarda le chevalier avec un sourire.
« Pourquoi ? Gaura est le plus jolie dragon. Pas comme Vermax », dit-elle moqueuse. Les deux jumeaux aiment ce chamailler, même si Jacaerys allait plus doucement avec sa sœur. Il était le plus agé des deux, l’aîné et l’héritier, pas une brute à maltraiter les filles, sa mère l’avait élevé mieux que ça. Même si parfois tout ce qu’il désirait est de frapper la brunette. Jace, se tenant près de Sir Harwin qui tenait la main de Luce, roula des yeux au commentaire de sa sœur, mais il avait toujours un petit sourire sur le visage.
« Vermax est bien plus grand que Gaura », il répliqua , une petite pointe de fierté dans la voix. « Il sera le plus grand dragon vivant quand il sera adulte. »
« C'est faux. » Shaerea lui répondit avec agacement tout en caressant la tête de son dragon légèrement plus grosse que la sienne. « Et puis est-ce que ton dragon a ça ? »
La princesse Velaryon demanda en prenant le bout de l’aile où se trouvait les griffes acérées de la bête... peintes en rose fuchsia. La créature était très docile avec sa dragonnière, acceptant facilement toutes les idées enfantines de la fillette. Mais laisser peindre ses armes de défense… c’était sûre qu’aucun autre dragon ne l’aurait accepter. Tout comme aucun Targaryen aurait même envisagé l’idée.
« Non ! Qu'est-ce que tu as fait, bon sang ? » cria Jacearys incrédule en regardant les griffes du dragon.
« Gaura a l'air ridicule. » Lucerys éclata de rire à la vue des serres de Gaura peintes en rose. C'était un spectacle horrible, c'était sûr. Il essaya de dissimuler ses gloussements en se cachant derrière Sir Harwin. L’homme souriait avec tendresse à la scène, plus qu’un simple chevalier le devrait devant des enfants qui ne sont pas sensé être les siens.
« Gaura n'est pas ridicule, elle est belle, des griffes aux crocs. Vous êtes juste jaloux parce que Vermax et Arax sont laids » Dit-elle avec agacement en caressant le cou du dragon rose.
 « Ils ne sont PAS laids. » Protesta le prince héritier, un peu agacé par les paroles de sa sœur. « Vermax et Arax sont majestueux et puissants. Ce sont de vrais dragons. Gaura est... mignon. »
Le deuxième fils de Rhaenyra Targaryen laissa échapper un autre rire, « Vermax et Arax ont l'air féroces. Gaura ressemble à un gros lapin rose. »
Jacaerys rit du commentaire de son frère, bien qu'il lui lança également un regard légèrement désapprobateur. Il est peut-être d'accord avec les paroles de son frère, mais il n'était pas censé les dire à voix haute ! « Ne dis pas ça Luce. Gaura est... » Il s'arrêta en regardant à nouveau le dragon rose. « un lapin rose », acquiesça-t-il, riant encore un peu.
Les joues de la princesse sont gonflées d'indignation. Oui son dragon était petit, mais ce n'était pas un lapin difforme ! Elle se releva difficilement, sa robe étant lourde sans oublier Gaura qui était posée sur son dos, sa queux, longues remplit de petit pique à peine tranchant, était enroulé autour du bassin de la fillette de huit ans. Sir Harwin regardait la fille de la princesse Rhaenyra avec attention, prêt à agir si le poids était trop lourd sur ses épaules et qu’elle tombait. Sa bouche s’ouvrit mais avant qu’aucun son ne puisse en sortir, elle fut coupée par une voix approchante.
« Oh, qu'est-ce qu'on a là ? » demanda le prince Aegon II Targaryen avec un sourire narquois au visage, tandis que le prince Aemond Targaryen se rapetissait à côté de lui. Les deux garçons regardèrent la petite princesse et son dragon rose. Le prince Aegon, le fils aîné du roi était un adolescent de quatorze ans aux cheveux argentés ondulés, toujours négligés et peu coiffés, et aux yeux violet remplit de malice. Son petit frère, le prince Aemond de bientôt onze ans avaient les mêmes traits que son frère aîné. Ses iris violet étaient rivées sur le sol, montrant bien qu’il voulait être partout sauf ici. Le plus vieux des deux frères lança un regard moqueur au chevalier avant de ricaner, comme la simple présence de sa personne était une blague. Sir Harwin savait trop bien que rester trop longtemps avec les enfants Velaryon apporterait des ennuis à ses derniers, surtout devant les horribles enfants de la Reine Alicent. Il donna une petite tape sur l’épaule des deux princes avant de s’éclipser d’une petite révérence.
Shaerea rougit en voyant son oncle Aegon, ne remarquant même pas la disparition du chevalier Strong. Elle n'a pas prêté attention à son oncle Aemond, pourquoi faire ? Il n'avait pas de dragon et il était bizarre. Le dragonnier de Sunfire, lui, était drôle, beau et il serait sûrement son futur époux.
Plus le temps passait, plus elle entendait les nobles parler des épousailles entre elle et le premier fils du roi. C’était un stratagème politique, ou peut importe comme ils avaient appelé ça, cela renforcer la légitimité du trône de sa mère en unissant les deux familles. Beaucoup pensaient que cette possibilité était une des plus envisageable pour réduire les tensions de la maison du dragon. Cette idée n’a pas dérangé la princesse Shaerea, au contraire. Elle avait développer depuis quelques années un begin stupide et innocent envers son oncle adoré. Comme lui en vouloir ? Il était un bel adolescent, et comme toutes les petites filles de son âge, elle craquait pour lui, au plus damne de ses frères Jacaerys et Lucerys.
« Oncle Aegon ! » le salue-t-elle joyeusement en essayant de s'incliner mais avec la présence du dragon sur son dos c'était trop difficile. Gaura déploya ses grandes ailes disproportionnées alors qu'elle était encore dans le dos de la princesse, essayant de les stabiliser pour éviter qu’elles tombent à la renverse. Les membres de la créature s’étirèrent donnant l’impression que Shaerea avait des ailes de dragons, comme les fées dans les contes que les septa’s racontent au plus jeunes enfants.
Le prince adolescent le savait bien sûre. Comme tout King landing connaissait l’existence du begin enfantin de sa nièce sur lui.
Parfois les agissements maladroits de la petite fille pour attirer son attention l’agaçait. Ce n’était qu’une enfant, tout ses techniques pour montrer son affection étaient ridicule. Mais le prince Aegon aimait plus qu’il ne voudrait l’admettre l’amour erroné que la princesse Shaerea lui portait. Non que ce soit réciproque, burck. Le première fils d’Alicent avait beaucoup de vices et n’était pas parfait mais aimer un gamine ? jamais. Encore moins sa batarde de nièce.
Ce qu’appréciait le garçon de quatorze ans était les louanges maladroites et l’adoration de la Velaryon. Des qu’il faisait un accomplissait une tâche, même des plus minimes et inutiles, elle l’applaudissait et le complimentait. Son ego aimait ça plus que tout.
« Bonjour ma douce petite nièce », répondit-il avec un sourire narquois sur les lèvres regardant la petite princesse essayait de s’incliner. Ses yeux se baladèrent avec dégoût sur Gaura. Peut importe le nombre qu’il voyait l’animal, il ne pouvait s’habituer à sa présence et son apparence ridicule. « Le rose est vraiment ta couleur. »
Le prince Aemond baissa les yeux sur le sol, gêner de voir son frère aîné s’amuser de l’amour embarrassant de leur nièce, en marmonnant des mots incompréhensible. Les fils de l’héritière du trône Rhaenyra, eux aussi, ne semblaient pas apprécié le comportement de leur sœur. Dieux que Shaerea était ennuyeuse ! Pensait Jacaerys, Elle le voyait tous les jours, elle ne pouvait s'empêcher d'essayer d'être aussi courtoise avec lui ?!
« Merci mon oncle », dit-elle, ses joues dodues devenant rosées. Ce détail n’échappa au premier fils du roi. Il sourit, amusé au plus haut point par ses manières.
« De rien, ma petite princesse », répondit-il avec un clin d’œil. Le prince Jacaerys et le prince Lucerys semblaient vouloir s'enfoncer dans le sol, tout comme le prince Aemond. Ils détestaient devoir subir le béguin idiot de leur sœur pour leur oncle qu’ils trouvaient mortifiant.
Gaura, elle aussi, semblait désapprouver l’amour de sa petite maîtresse. Avec ses grandes ailes déformées, elle prit son envol. À quelques mètres du sol, abritée par le dôme de Pit Dragon, elle vola en cercle au-dessus de la princesse Velaryon, comme pour la protéger en cas de problème (si même il y en aurait un devant les gardiens des dragons). Le sourire narquois d'Aegon s'élargit, appréciant la démonstration de la créature protégeant sa petite maîtresse, même de lui. Il ne pouvait s'empêcher de trouver la vue du dragon rose volant autour de la petite princesse attachante, même si c'était idiot et ennuyeux.
La princesse Shaera rougit violemment. Elle s'approcha de ses oncles, ne regardant toujours pas Aemond, l'ignorant complètement comme s'il n’avait jamais excité ces presque onze dernière années. Ses bijoux cliquetaient au rebond de ses pas et ses boucles brunes tombèrent dans son dos alors qu’elle pencha la tête pour mieux regarder l’adolescent.
« Les gardiens de dragons ont dit qu'aujourd'hui Jace serait complètement lié avec Vermax. Quel âge tu avais quand toi et Sunfire vous avez enfin complètement partager le lien ?" demanda-t-la princesse Velaryon, tournant ses bagues entre ses petits doigts. Bien sûr qu'elle avait la réponse, elle répétait à qui voulait l'entendre que son futur mari était un jeune dragonnier accompli, mais n'importe quelle excuse était bonne pour qu'elle parle avec son oncle adoré.
Il rigola à sa question. « J'avais neuf ans quand j'ai complètement revendiqué Sunfyre », répondit-il, essayant de garder un visage impassible malgré ses éloges à son sujet. « Et ce n'est pas une mince affaire, de revendiquer complètement son dragon. » Il regarda Jace, une pointe de moquerie dans les yeux.
« Tu es tellement impressionnant, oncle Aegon », dit Shaerea avec admiration en regardant son oncle beaucoup plus grand qu’elle.
Jacaerys se tenait à côté de son petit frère, lassé du comportement de sa jumelle. C'était un jour important pour lui et pourquoi devait-elle toujours tout ramener à Aegon ? Il roula des yeux devant l'adoration continue de sa sœur pour son oncle. C'était si évident, si embarrassant. Il partagea un regard agacé avec Lucerys, tous deux lassés des tentatives constantes de leur sœur pour impressionner leur oncle. Le prince adolescent rigola à la remarque flatteuse, le sourire narquois sur ses lèvres s'élargissant. Il avait toujours aimé être le centre d'attention, mais voir sa nièce le flatter lui procurait une certaine satisfaction.
« Peut-être que lorsque tu seras assez grande, tu pourras complètement contrôler ta petit Gaura », taquina Aegon en regardant le dragon rose qui volait toujours autour de sa maîtresse.
« Oh Oui ! Oui ! Oui ! Et nous pouvons voler ensemble avec Sunfire et Gaura, comme tu me l'as promis ! » dit-elle joyeusement avec une voix aigus. Ses deux frères ne purent s'empêcher de rire à la remarque de leur oncle. C'était un peu méchant, mais honnêtement, l'idée que la bête ailée de leur sœur soit complètement apprivoisée de si tôt était absurde. Le dragon était petit et avait été décrit comme "un mignon petit lapin". 
« C'est vrai, ma douce nièce », répondit Aegon. « Nous volerons ensemble un jour. Comme je l'ai promis."
Les princes Velaryon roulèrent à nouveau des yeux, incapables de croire à quel point leur sœur se laissait facilement tromper par les paroles mielleuses de leur oncle. Même si, un sourire amusé restait sur leurs visages. « Bien que », continua-t-il, une lueur malicieuse dans les yeux, « j'espère que ta petite Gaura sera capable de suivre Sunfire. C'est un dragon assez rapide, et elle n'est qu'un petit lapin, n'est-ce pas ? » Il sourit, observant sa réaction, sachant qu'il remuait le couteau dans la plaie avec ses plaisanteries. 
Elle lui lança un regard légèrement agacé, croisant les bras sur sa poitrine, faisant la moue. « Un jour, Gaura sera l'un des dragons les plus majestueux, tu verras. Avec ses ailes gigantesques, elle sera surnommée la Reine Ailée »
Le prince Aegon haussa un sourcil, son sourire s'élargissant encore. C’était une idée ridicule, montrant bien l’imagination de la fillette de huit ans, « La Reine Ailée, tu dis ? » Il gloussa, amusé par sa confiance en son petit dragon. « Es-tu sûr qu'elle ne se perdra pas dans le ciel avec ses ailes « gigantesques » ? » Jacaerys et Lucerys Velaryon ont ricaner, essayant de dissimuler leur amusement avec des toussotements et leur mains.
La princesse Shaerea n’aimait pas qu’on ce moque d’elle. C’était une princesse ! Le plus beau bijoux de la couronne ! Personne ne pouvait se permettre de lui manquer de respect. Elle serra ses petits poings en se tournant vers son petit frère et son jumeau. « Taisez vous deux ou je le dirai à mère et père ! » Elle cria d’une voix aigus de fillette de huit ans. La Velaryon se retrouva vers son oncle. « Je te le dis, oncle Aegon, Gaura sera surnommée la Reine des Ailes comme Sunfire sera surnommée le Roi Soleil par nos descendants et leur royaume »
Trop petite, trop mignonne, trop fille, tout comme avec son dragon, les garçons ne la prirent pas au sérieux. Même le prince Aemond, silencieux et observateur comme à son habitude avait un petit sourire sur le coin de ses lèvres. Le frère aîné du sans dragon rigola à l’expression de colère de sa petite nièce et de sa tentative de menace de dénoncer ses frères.
Il leva les mains en signe de reddition, toujours avec un sourire narquois. "D'accord, d'accord, je te crois." Jace et Luce ricanèrent devant la défense féroce de Gaura, le petit dragon rose de leur sœur. Elles ne pouvaient toujours pas prendre tout cela au sérieux, mais c'était hilarant. Aegon essaya de réprimer son amusement. "La Reine Ailée et le Roi Soleil, hein ? Tu as beaucoup d'imagination, ma douce nièce."
Leur conversation s’arrêta là, les gardiens des dragons commencent leur enseignement. Les cinq enfants royaux se tenaient debout en ligne alors que le dragon du prince Jacaerys fut emmener pour finaliser le lien avec son dragonnier et que Gaura fut ramener dans la fausse. La langue de l’hériter du trône claqua contre son palais, prononçant l’ordre "dracarys", condamnant une chèvre au feu de Vermax. Les flemmes ont jaillis de la gueule de l’animal et Shaerea but l’opportunité de prendre serrer de son oncle, jouant la demoiselle en détresse. Dans les comptes n’est ce pas ce que les chevaliers et les princes aiment ? Mais l’adolescent souffla d’agacement en repoussant la main de sa nièce. Il aimait ses compliments pas lui donner de l’affection en retour.
Le cœur de la princesse Velaryon se resserra et ses yeux sont devenues humides. Elle renfila essayant de cacher sa tristesse et sa honte au reste des garçons de sa famille. Mais le prince Aemond remarqua la peine de sa petite nièce. Il ce sentait mal pour elle. Elle était jeune et son frère était un idiot avec les filles, peut importe leur âge. Il voulait aller la réconforter, même si ce n’était qu’une batarde. Que penserait sa tante de lui si elle savait qu’il agissait comme cela ?
Or, il fut tirer par son frère aîné et son neveu Lucerys vers la fosse. Jacaerys prit la main de sa jumelle, lui caressant ses cheveux pour la réconforter. Née le même jour ou pas, c’était son grand frère, même si c’était une vrai gamine gâté et insupportable, il devait prendre soin d’elle. La fille de Rhaenyra lui a sourit, oubliant rapidement sa peine (du moins elle avait choisit de l’ignorer) et a suivit le groupe.
« Aemond, on a une surprise pour toi » La plus âgée du groupe à commencé son discours, poussent son frère et le plus jeune a courut dans l’entre de la fausse.
« Quelque chose de vraiment spéciale » a ajouté Lucerys Velaryon, avec un sourire moqueur sur ses lèvres. Quand il y avait son oncle Aegon, et que l’attention de ce dernier n’était pas monopoliser par Shaerea, l’enfant de six ans prenait confiance en lui et ce permettait de tourmenter son oncle Aemond. Après tout il le méritait non ? Il n’avait même pas de dragon.
« Tu es le seul d’entre nous à ne pas avoir de dragon, même Shaerea en a un » continua Aegon en poussant un soupire moqueur envers sa nièce. La petite princesse baissa la tête. Il était comme ça, quand il se lassait de ses compliments, le prince Aegon Targaryen, deuxième de son nom était cruelle envers celle qui l’admirait le plus.
« C’est vrai » le prince Aemond a dit d’avec agacement et froideur. Il avait un mauvais pressentiment.
« Et on ce sentait mal pour toi » Les deux jumeaux hochèrent la tête au mot de leur oncle le plus âgé. Peut être que si elle était de son côté, le premier fils de la reine redonnera de l’attention à la petite princesse ? « Alors on en a trouvé un pour toi »
Aemond roula des yeux, ne croyant pas les mots de son frère aîné une seule seconde. Ça, ce serait si les dragons était facile à trouver. Même si leur cousine, la princesse Melegdie Targaryen a réussit à clamer l’effroyable FrostBite il y a sept ans, un dragon anciennement sauvage qui était jusqu’à la inconnue de la maison Targaryen. D’après les meastres et les gardiens des dragons qui se sont intéressés sur le sujet, la créature au couleur du froid vivait autrefois sur le continent d’Essos proche de l’ancienne Valeria. Ils ignorent son âge exacte mais l’estime âgé de plus de quatre-vingt ans. Ce qu’ils sont sûre et que la fille de Deamon Targaryen a réussit à se lié avec le troisième plus gros dragons connue, après Vermithor et Vaghar. Le petit prince espérait secrètement que la même histoire lui arrive à lui aussi. « Un dragon ? » il a demandé suspicieux. « Comment ? »
« Les dieux bénissent » a répondu son frère aîné.
Au loin, mené par Lucerys Velaryon, un porc rose déguisée avec des ailes faites de vieilles plumes trouver dans les cuisines du châteaux arriva, s’approchant des enfants royaux. Son groin reniflait le sol et il mastiquait du foin en couinant.
Le visage du prince Aemond Targaryen c’est durci les empêchant de voir sa détresse et sa peine.
Les rires, bruyant et moqueurs résonnèrent dans ses oreilles en même temps que l’unissions des voix enfantines crier "le Terreur Rose". Il n’entendait plus les rires et les mots cruelle de son frère, tout était rassemblé dans une cacophonie de gloussements. Il fixait le cochon, la honte, l’humiliation, la tristesse le renversant sans aucune pitié.
A mesures que les bruits de pas bruyants des garçons s’éloigner du petit prince Targaryen, des bruits de tintements se rapprochèrent de lui. La princesse Shaerea Velaryon sembla enfin le remarquer, depuis tout le temps qu’il était la. Elle avait un sourire méchant sur son petit visage. Elle prit entre ses doigts bagués le haut vert de son oncle et se mit sur la pointe des pieds pour atteindre son oreille.
« Peut être que mon dragon est nul, mais au moins j’en monte un et pas un cochon. » elle a ricaner à son oreille. La fillette de huit ans s’avéraient être méchante, vilaine malgré son âge et son visage d’ange. Elle observe et apprend de ses modèles et le prince Aegon n’est pas une bonne influence. Ses boucles brunes ont chatouillé le cou de son oncle et la princesse Velaryon déposa un baiser baveux sur sa joue. Un geste sensé être remplit d’affection, était tourné par la douloureuse blague de la terreur rose en acte moqueur. « Profite bien de ta monture oncle Aemond ! »
Shaerea Velaryon, première de son nom n’était pas une combattante comme Melegdie Targaryen ou une femme habile de la politique comme la Reine Alicent. Non et au fond d’elle, malgré son jeune âge elle en avait conscience.
La princesse était comme un jolie rubis : beau, lumineux, scintillant mais quand on le prend entre nos doigts, il est tranchant, coupant tout ce qui le touche.
La princesse Shaerea Velaryon était assise sur les tapis des appartements de sa mère la princesse Rhaenyra Targaryen. La Velaryon lisait un conte d’amour entre un chevalier et une princesse à voix haute alors que les princes Jacaerys et Lucerys jouaient à ses côtés avec des petites figurines en bois. Elle et ses frères avaient été rassemblés par Sir Harwin à l’annonce de la naissance de leur nouveau frère. La petite princesse était excité de pouvoir enfin le rencontrer. Un autre petit frère qu’elle pourrait habiller de ses robes somptueuses et jouer au thé avec, maintenant que Lucerys préférait s’entraîner avec Jace, plutôt qu’à ses jeux de "filles".
La fillette battaient ses petits pieds avec excitement et anticipation en essayant de se concentrer sur la lecture qu’elle faisait au chevalier à la cape jaune. Le fils de Lyonel Strong semblait toujours à la disposition de la princesse, que se soit pour l’écouter ou pour céder à ses caprices. Elle butait sur certain mot pendant sa lecture, ses yeux bruns se plissant pour lire le texte parfois dure à déchiffrer. Elle poussa un gémissement de frustration à son incapacité de prononcé une phrase. Shaerea a croisé ses bras contre sa torse en repoussant le livre sur ses genoux, boudant.
Le chevalier lui a sourit et a doucement ébouriffé les cheveux bruns de la princesse royale attachés dans un chignon de fines tresses au dessus de sa tête, la partie inférieur de sa chevelure bouclée étant laissée détacher dans son dos. « Tout vas bien vous vous débrouillez très bien » Il l’a rassuré avec une voix plus douce que le fils d’un Lord devrait avoir pour un enfant qui n’est pas le sien.
Elle l’a regardé en fronçant les sourcils, un sourire rassuré apparaissant sur son visage. Elle se débrouillait bien ? Elle n’était pas un cancre comme les septa’s lui répétaient quand elle avait du mal à lire ou écrire ? « Merci Sir Harwin » dit la petite Velaryon en enroulant ses petits bras autour des jambes du chevalier.
C’était indécent de faire un câlin à des hommes qui ne sont pas de sa famille. Mais pour la fillette, Sir Harwin Strong faisait partie de son sang.
Le cœur du chevalier fondit à l’embrasse de Shaerea Targaryen. Il connaissait la petite princesse depuis qu'elle était bébé et il l'avait vue grandir jusqu'à devenir une petite fille de huit ans. Il avait toujours été attendri par sa nature joyeuse et bruyante, comme un père le ferait avec sa fille unique.
Alors qu'elle enroulait ses petits bras autour de ses jambes, Harwin ne put s'empêcher de sourire doucement. Il était devenu une figure de confiance et de réconfort, un père de substitution pour les jeunes princes et la princesse. "De rien, petite princesse", répondit-il en lui rendant son étreinte avec un contact chaleureux et rassurant. Il était pleinement conscient de l'inconvenance du geste, mais il ne pouvait se résoudre à la repousser. Pas quand elle avait l'air si petite et vulnérable, si avide d'affection et d'approbation.
Soudain, la porte c’est ouverte sur la princesse héritière Rhaenyra Targaryen est rentrée dans la pièce. Elle se déplaçait avec difficulté, sa peau était encore luisante de sueur et ses cheveux étaient détachés. Sa robe d’un bleu gris avait été enfilée rapidement et les servantes n’avaient pas eut le temps de la lacer correctement. Derrière elle, Sir Leanor Velaryon tenait leur bébé enroulé dans une couverture, dans ses bras musclés.
Les deux princes abandonnèrent leur jouets rapidement pour rejoindre leur parents. « Mère ! » a dit joyeusement le prince Jacaerys, leur premier fils.
La princesse eut plus de difficulté de se relever a causse de sa robe aux épaisses étoffes bleu Velaryon et aux dessins de coquillages brodés au fils argentés. C’était rare qu’elle porte les couleurs de la maison de son père, préférant le rouge et le noir des Targaryens. Sir Harwin l’aida à se relever avec ses grands bras fort. Les nombreux bijoux d’argent incrustés de turquoises et saphirs s’entrechoquèrent entre eux dans une douce mélodie. Son jumeau, Jace, la tira par les poignets et Luce se fit un chemin entre ses deux aînés. « Regarde ! » continua le prince hériter en soulevant le couvercle de la boite de protection.
Un œuf de dragon y était posé à l’intérieur, réchauffé par les flammes crépitantes. « On a choisit un œuf pour le bébé » A expliqué fièrement le prince Lucerys en regardant sa mère.
Shaerea était collée à son jumeau, manquant de le pousser pour observer par dessus son épaule l’œuf d’un rouge foncé, presque noir. La princesse Rhaenyra a sourit, attendrit par ses trois premiers enfants. Elle essaya de s’assoir, essayant d’ignorer la douleur encore présente de l’accouchement. Sir Harwin est rapidement venu l’aider. « Il semble être parfait. » Elle a félicité ses fils et sa fille.
« Jace a refusé que je choisisse, il a préféré que ce soit Luce. » La petite princesse c’est plain de son jumeau.
Jacaerys tira la langue à sa sœur en réponse. Il était l'aîné et il pensait qu'il était normal qu'il décide qui choisirait l'œuf pour son nouveau frère. "De toute façon, tu n'aurais pas choisi un bon", rétorqua-t-il.
Le prince Lucerys, un air de fierté et de suffisance sur le visage, hocha la tête en signe d'accord. Il était heureux que son frère aîné l’ai laissé faire le choix à la place de leur sœur. "Et j'ai choisi le meilleur", dit-il avec un sourire.
La princesse serra ses petits poings en s’éloignant de ses frères. "Père ! Tu as vue à quel point ils sont méchants avec moi ?" dit-elle d'une voix aiguë. Ses yeux se tournèrent vers son nouveau frère endormi dans les bras de leur père Sir Leanor. "J'espère que le bébé sera plus gentil que vous deux", dit-elle en faisant face de nouveau aux petits prince, leur tirant la langue.
L’aîné des trois roula des yeux et fit la moue. "Tu te plains toujours", grommela-t-il.
Le troisième, de son côté, tira la langue en réponse à sa sœur. « Le bébé va nous aimer », a-t-il dit avec assurance. « Tout le monde nous aime. »
La cadette a rit, moqueuse. « JE suis la plus mignonne, le bébé m’aimerait MOI le plus. »
Avant que les trois enfants royales se mettent à ce chamailler une nouvelle fois, leur père, le fils de Corlys Velaryon les arrêta. Il déposa une main ferme sur l’épaule de sa seule fille en les regardant tous. « Les enfants s’il vous plais… » Il les réprimanda gentiment. Les trois Velaryon baissèrent la tête, coupable, même si la princesse mima un "c’est de ta faute" discrètement et silencieusement à son jumeau.
Sir Harwin se déplaça vers Leanor Velaryon, sa cape jaune se soulevant à chacun de ses mouvements. Ses yeux bleu se sont posés sur le petit bébé. « Ce n’est pas tout les jours qu’un œuf sort de Pit Dragon princesse, j’ai supposé que c’était le mieux si j’escortais les princes et la princesse. » Les trois adultes présent dans la pièce savaient que c’était qu’une excuse. La princesse Rhaenyra le remercia en souriant doucement.
C’était une scène presque familiale entre le chevalier et la futur reine des septs couronnes. Cela arrivait souvent devant les yeux de la princesse Shaerea qu’elle pensait, tout comme son jumeau et son petit frère, que leur proximité était normal. Ce n’était que des enfants, ils ne pouvaient pas voir ce que l’entièreté de la court voyait.
« Puis-je ? » Le chevalier a demandé en regardant le petit bébé dans les bras de son père.
Rhaenyra hocha la tête. « Sir Harwin souhaite être présenté à Joffrey » Elle a annoncé à son époux et cousin éloigné.
Shaerea a regardé son père remettre son nouveau frère au chevalier.
Ses petits sourcils se froncèrent en voyant l’expression aimante du Lord Commandant du Guet de KingsLanding. Il semblait aimé son petit frère de la même manière que Sir Leanor. Son cerveau jeune essayait de comprendre ce qu’il ce passait. Mais c’était terriblement lents, le temps semblait s’allonger sous ses iris enfantine, Pour la première fois de son existence, la princesse Velaryon remarqua la ressemblance entre elle, ses frères et Sir Harwin Strong.
Ça lui revenait maintenant, les discutions des servantes et des dames sur ses cheveux, certains chevaliers qui la félicitait sur à quelle point elle était "forte", les moqueries de ses oncles…
Ses yeux bruns ont observés les actions des trois adultes comme si elle regardait une tapisserie. Ça ne semblait pas réel, ce n’était pas possible.
Pourtant quand elle voyait le bébé Joffrey, son petit frère Lucerys, son jumeau Jacaerys et elle même, la princesse Shaerea Velaryon ne trouvait aucune traits semblable à ceux de son père Sir Leanor Velaryon.
Sa main a immédiatement prit celle du prince Jacaerys, cherchant du confort. Elle était la, observatrice, figée dans son propre corps. Tout semblait faux, irréel. Les septa’s lui ont toujours dit qu’elle avait une imagination débordante. C’était juste son esprit qui créait une fantaisie de toute pièce…
N’est ce pas ?…
La voix du prince Lucerys lui semblait lointaine quand il supplia Leanor de porter Joffrey. Tout paraissait au ralentis. Le Velaryon l’a poussé elle et ses frères dehors alors qu’elle tenait toujours la main de son jumeau.
Du point de vue de la princesse Shaerea Velaryon, le monde est devenu aussi réel qu’une broderie à cette exacte moment. Chaque mouvement qu’elle faisait lui donnait l’impression qu’elle ne les commandait pas de son plein grès, comme si quelqu’un cousait la tapisserie et qu’elle était piégée dedans.
Son petit cœur battait dans ses tempes, assourdissant le reste des sons du château. Sa gorge était sèche et ses mains moites.
La princesse abandonna le confort de son jumeau, voyageant à l’aveuglette dans un univers qu’elle semblait, à cette instant, ne plus reconnaître. Elle c’est pratiquement jetée contre Sir Leanor, enfonçant sa tête contre le torse de l’homme. Ses doigts se serraient autour des tissues bleus.
Sir Leanor Velaryon fut surpris par l'étreinte soudaine de la princesse Shaerea. Il pouvait sentir la tension dans sa petite silhouette et la façon dont son corps tremblait légèrement. Il passa rapidement un bras autour d'elle, la serrant contre lui et frottant des cercles apaisants dans son dos. « Doucement, ma fille », dit-il avec douce.
Des larmes coulaient des yeux de la petite princesse Velaryon et sa gorge lui piquait. Les mots du lord chevalier lui fit serrer son cœur d’enfant douloureusement. Elle ferma les yeux aussi fort qu'elle le pouvait, essayant de rester aussi près que possible de l'homme qui l'avait élevé. Elle n’était qu’une petite fille de huit ans après tout, elle n’était pas prête d’apprendre la vérité. Ses lèvres tremblaient et ses larmes de pure chagrin et détresse mouillaient le haut du fils de Driftmark.
Sir Leanor continua à serrer Shaerea fort, son cœur se brisant à la vue d'elle aussi déchirée par la tristesse. Il était habitué à ses caprices enfantins, à ses regards boudeurs et à sa colère enfantine, mais il ne l'avait jamais vue aussi terrifiée et triste. « Tout va bien, ma fille », murmura-t-il en caressant ses cheveux bruns. « Tu es en sécurité ici avec moi. »
Elle sanglotait contre la poitrine de son père, de grosses larmes de chagrin firent trembler son petit corps. Le mot était clair, gravé dans son esprit. Le même mot interdit par son grand père le roi Viserys.
« Papa, suis-je une bâtarde ? »
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heavenlysims · 10 months ago
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Déjà-Lu Legacy Challenge (FR)
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Déjà-Lu Challenge
Bienvenue au déjà-lu legacy challenge, un challenge de 10 générations qui reprend des éléments d'oeuvres littéraires populaires, peut-être que les jouer vous donnera l'envie de les (re)découvrir ?
Ce challenge a été créé par @justmooresims et moi même.
Règles de base :
Les cheats ne sont pas recommandé sauf pour freerealestate pour la première génération.
Les héritiers et époux.ses ne suivent pas de codes couleurs, vous pouvez les faire comme vous le souhaitez. Ils ne sont pas non plus obligés d'avoir les mêmes noms que les héros des oeuvres de base.
Le but est de compléter chaque règle pour chaque génération, ce qui n'est pas mentionné dans les règles vous appartient.
Garder l'espérance de vie en normal.
Si vous souhaitez partager votre histoire, vous pouvez utiliser le hashtag #dejalulegacy nous serions ravies de voir ce que vous faites! Les visuels du challenge sont disponibles sur le compte Instagram @/justmooresims.
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Génération 1 : Madame Bovary - Gustave Flaubert
Éternel rêveur coincé dans une réalité qui vous ennuie, vous êtes amoureux de l’amour lui-même et avez toujours espéré un jour vivre le grand amour. Le vrai, celui qui vous transcende de passion et de désir. Malheureusement, vous avez beau sincèrement aimer votre partenaire, celui-ci ne vous fait pas autant vibrer que vous ne le voudriez…
Traits : Romantique, Snob, Déteste les enfants
Aspiration : Romantique en série
Carrière : Écrivain
Règles :
Compléter l’aspiration Romantique en série
Atteindre le niveau 10 dans la carrière Écrivain
Atteindre le niveau 10 dans 3 compétences
Avoir un petit-ami à l’adolescence et l’épouser dès le début de l’âge jeune adulte
Tromper votre époux jusqu’à sa mort avec différents partenaires mais ne jamais divorcer.
Faire des dépenses inutiles et excessivement chères chaque dimanche
Avoir 5 enfants et être ennemi avec chacun d’entre eux.
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Génération Deux : Orgueil et Préjugé - Jane Austen
Bien que votre relation avec vos parents soit quelque peu conflictuelle, vous avez toujours été très proche de vos adelphes. Envieux d’apprendre, vous cultivez vos connaissances au point d’en développer un petit complexe de supériorité vous causant des problèmes relationnels… Peut-être trouverez-vous l’amour plus facilement si vous appreniez à connaître les gens sans les juger si vite.
Traits : Génie, Proche de sa famille, Sûr-de-soi
Aspiration : Âme-soeur
Carrière : Critique
Règles :
Compléter l’aspiration âme-soeur
Atteindre le niveau 10 de la carrière de critique
Compléter les compétences Piano et Education
Être bons amis avec tous vos frères et sœurs
N'avoir aucune relation romantique avant d’atteindre l'âge jeune adulte
Se faire voler son premier amour par votre frère ou soeur
Épouser votre ennemi
Avoir 3 plantes-vaches (peut être remplacé par d’autres animaux de la ferme : poules, lamas, vaches, chevaux…)
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Génération Trois : Perceval et la quête du Graal - Chrétien de Troyes
Enfant de parents surprotecteurs, on ne vous a jamais vraiment tester ni expérimenter par vous-même de peur que vous ne vous blessiez. Rêvant pourtant de folles aventures vous avez toujours voulu explorer le monde. C’est donc ainsi qu’une fois votre majorité en poche vous êtes parti. Était-ce vraiment une bonne idée de quitter le confort et les gentilles attentions de Papa et Maman ? Vous n’allez tout de même pas dépendre d’eux toute votre vie ! Soyez courageux !! Vos amis seront un bon substitut…
Traits : Pitre, Maladroit, Membre d'un groupe de potes
Aspiration : Conservateur
Carrière : Militaire ou Juridique
Règles :
Compléter l'aspiration Conservateur
Atteindre le niveau 10 de la carrière Militaire
Compléter la compétence Pêche
Finir la collection des métaux ou des cristaux (au choix)
Être bon ami avec vos parents
Rejoindre un groupe/club à l'adolescence et se réunir au moins deux fois par semaine
Se marier et avoir des enfants mais finir par être parent célibataire
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Génération Quatre : Le portrait de Dorian Gray - Oscar Wilde
Vous avez toujours été fasciné par l'art et ce depuis votre enfance. En grandissant vous prenez conscience de votre beauté et développez une profonde peur de vieillir. Vous faites alors tout pour rester jeune et beau, au détriment de la bonté de votre âme vous lançant à corps perdu dans les plaisirs de la vie sans vous préoccuper de ce que peut dire votre entourage. “Carpe diem” est votre devise.
Traits : Amateur d'art, Égocentrique, Réticent à s’engager
Aspiration : Fêtard
Carrière : Culinaire, branche mixologue
Règles :
Compléter l'aspiration fêtarde
Atteindre le niveau 10 de la carrière Mixologue
Compléter la compétence Peinture
Sortir au moins deux fois par semaine sur un terrain communautaire
Se fiancer mais rompre la veille du mariage
Boire une potion de jeunesse à la moitié de l’âge adulte pour retrouver votre beauté d'antan
Avoir un portrait peint de soi dans chaque pièce de votre maison
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Génération Cinq : L'Étrange cas du Dr. Jekyll et Mr. Hyde - Robert Louis Stevenson
Voyant régulièrement vos parents tenter de défier le temps depuis votre plus jeune âge, vous vous êtes rapidement intéressé aux moyens qu’ils employaient et aux gens qu’ils engageaient pour atteindre leurs objectifs. C’est ainsi que vous avez découvert le monde merveilleux des sciences ! Si presque tout dans le Simworld peut être scientifiquement expliqué, presque tout devrait potentiellement être expérimenté, n’est-ce pas ?
Traits : Perfectionniste, Malveillant, Paranoïaque (peut être remplacé par Imprévisible)
Aspiration : Roi des bêtises
Carrière : Scientifique
Règles :
Compléter l’aspiration Roi des bêtises
Atteindre le niveau 10 de la carrière scientifique
Atteindre le niveau 7 dans 5 compétences
Créez un clone maléfique de vous-même avec la machine à cloner.
Se battre 3 fois avec votre clone. Celui qui perd meurt et le gagnant continue le legacy avec sa propre descendance
Se marier et avoir 3 enfants
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Génération Six : Candide - Voltaire
“Incapable de dire non” et “faible” tel est ce que l’on dit de vous. Très différent du monde compétitif dans lequel vous avez grandi, vous aimez vous bercer d’illusions restant aveugle face à la réalité du monde. Si votre optimisme est votre force, votre naïveté est votre plus grande faiblesse et ça, les gens l’ont bien compris n’hésitant pas à profiter de vous à la moindre occasion.
Traits : Joyeux, Loyal, Bienveillant
Aspiration : Ami de tous
Carrière : Petits boulots
Règles :
Compléter l’aspiration ami de tous
Se faire expulser du domicile parental à l’adolescence avec 50$ pour seul argent
Être bons amis avec vos parents et frères et sœurs même s’ils vous ont jeté dehors.
Avoir 2 échecs amoureux qui vous quittent chacun en prenant la moitié des fonds du foyer à chaque fois
Vivre dans 3 mondes différents (le monde où vous avez grandi ne compte pas)
Compléter la collection des cartes postales
Adopter au moins un enfant
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Génération Sept : Le Rouge et le Noir - Henri Stendhal
Dans ce cruel Simworld, la naïveté et la niaiserie de votre famille, bien que fort sympathique, est bien inutile et ne vous sauvera pas non plus de la misère. Contrairement à eux, votre ambition vous pousse à toujours chercher plus loin et vous élever plus haut. Professionnellement comme personnellement, vous êtes quelqu’un de passionné et ne savez vous contenter du minimum requis. Prenez garde à ce que les deux ne se mélangent pas ou vous risqueriez de détruire tout ce que vous avez si durement construit…
Traits : Romantique, Ambitieux, Rat de bibliothèque
Aspiration : Chef de bande
Carrière : Politique ou Éducation
Règles :
Compléter l'aspiration Chef de bande
Atteindre le niveau 9 de la carrière Politique ou Éducation mais ne jamais atteindre le 10
Compléter les compétences Charisme, Comédie et Recherche et débat
Avoir un job en étant adolescent
Sortir avec deux membres d’une même famille en même temps
Se marier
Avoir des enfants dont au moins un illégitime
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Génération Huit : Le Comte de Monté-Cristo - Alexandre Dumas
Après avoir vu, enfant, les espoirs de vos parents partir en fumée et leur travail piétiné, vous vous êtes promis que jamais cela ne se reproduira. Vous avez vu les failles du système, en connaissez à présent les rouages et vous qui étiez trop jeune pour réagir à l’époque le pouvez enfin une fois adulte ! Vous devrez sûrement tout reprendre à zéro mais un jour vous reviendrez faire rayonner votre nom comme jamais auparavant. Que ceux qui ont osé se moquer fassent attention, vous êtes prêt à leur montrer de quoi vous êtes capable.
Traits : Actif, Froid, Sang-chaud
Aspiration : Ennemi publique
Carrière : Homme d'affaires
Règles :
Compléter l’aspiration Ennemi publique
Atteindre le niveau 10 de la carrière Affaires
Utiliser la Poupée vaudou sur 4 sims différents
Déménager dans un autre monde loin de votre entourage
Avoir une personne âgée pour seul ami et jusqu’à sa mort, ne pas se faire d’autres amis
Changer radicalement de style vestimentaire à chaque changement d'âge
Se marier en étant adulte
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Génération Neuf : Les enquêtes de Sherlock Holmes - Sir Arthur Conan Doyle
Peu importe où vous alliez ou étiez, vous vous êtes toujours senti à part et différent. Trop différent. Vous préférez être seul plutôt qu’avec d’autres personnes que vous pensez souvent trop stupide pour mériter votre compagnie. Heureusement, votre Simmer vous a fait grâce de l’existence d’une bizarrerie ambulante : votre meilleur ami pour vous aider à plus aisément supporter de vivre dans ce médiocre Simworld aux imperfections et autres bugs des plus… étonnants.
Traits : Solitaire, Aime la musique, Méchant
Aspiration : Cerveau exceptionnel (ou études universitaires si vous avez le pack A la Fac)
Carrière : Détective (ou Agent secret si vous n’avez pas le pack Au Travail)
Règles :
Compléter l'aspiration cerveau exceptionnel
Atteindre le niveau 10 de la carrière agent secret ou détective
Compléter la compétence Logique.
Savoir jouer d’un instrument (de préférence violon).
Se faire un ennemi juré étant enfant et entretenir cette relation jusqu’à la fin de votre vie.
Vivre dans un appartement en colocation avec votre meilleur ami durant toute la période jeune adulte.*
*Possibilité de vivre sur un terrain 20x20 (taille maximum) si vous ne possédez aucun pack vous permettant de vivre en appartement.
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Génération Dix : The Great Gatsby - F. Scott Fitzgerald
Ayant grandi dans une famille qui n'avait que peu de temps à vous accorder, vous vous êtes débrouillé seul et avez tout appris par vous même. Pour vous la vie ne s'arrête pas simplement à trouver l'âme sœur. Vous souhaitez la trouver certes, mais souhaitez également devenir l'homme le plus riche du Simworld, quitte à frôler l’illégalité. Arriverez-vous à rendre ces deux rêves compatibles ?
Traits : Extraverti, Matérialiste, Immature
Aspiration : Baron de l'immobilier
Carrière : Criminelle, branche boss
Règles :
Compléter l'aspiration baron de l'immobilier et la carrière criminelle
Compléter la compétence Charisme
Avoir un ou une petite-amie durant l’adolescence, puis rompre
Organiser une fête chaque semaine
Renouer contact avec votre ex et poussez votre amour de jeune à divorcer de son partenaire pour vous
Ne jamais se marier
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ernestinee · 2 years ago
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Bon je fais ça et juste après, un bilan de l'année, comme d'hab, ça ne sert à rien de lire, je note ça surtout pour moi.
Et de nouveau, les petites explications d'usage : le level 10 est un outil de développement personnel qui propose de définir 10 domaines de la vie, leur mettre des points le moins subjectivement possible et trouver des moyens d'augmenter ces points pour un ou plusieurs domaines.
Je fais ça depuis des années, régulièrement et ça m'a permis beaucoup de changements parce qu'il y a parfois tellement de trucs qui ne vont pas et qui s'imbriquent les uns dans les autres que c'est parfois compliqué de savoir par où commencer. Le level 10 permet de faire des liens et de noter des solutions et des moyens d'y arriver.
A chaque fois que je le fais, je garde un œil sur la fois précédente pour savoir si j'ai mis en pratique les solutions auxquelles j'avais pensé.
Alors c'est parti:
1. Couple 7/10, on était à 3/10.
Ça va mieux. Des choses ont été mises à plat, la quiétude est de retour chez nous. On passe même un peu plus de temps ensemble. Il a des collègues, un en particulier, dont la femme est hyper chiante et castratrice et il se rend compte que je suis assez cool malgré que je n'entre pas dans la normalité qu'il attend. Il se dit que la normalité est peut-être chiante, finalement.
Autre chose : cette semaine ça va vraiment bien et je pense que mon doigt amoché n'y est pas pour rien. Je suis habituellement très indépendante et organisée, je gère énormément y compris les trucs plus lourds, et cette semaine ma main gauche est +- HS, et je dois demander de l'aide, voire même le laisser faire certains trucs et mon côté perfectionniste doit se mettre en veilleuse un peu. Peut-être que ça lui fait du bien de se sentir plus utile à l'organisation du quotidien. Bon c'est sévère ce que je vais dire mais c'est pas dit qu'il tiendrait comme ça si j'étais dépendante pendant un ou deux mois, là ça ne fait qu'une semaine.
Cette année je vais prendre ma semaine de congés en même temps que lui, c'est dire si ça va mieux...
2. Amitié/famille, ça va ça va. 9/10, comme la dernière fois.
Concernant "les gens", les connaissances, je crois que je commence à me résigner en fait. Les gens viennent et puis s'en vont. Certains restent. Tant mieux, et tant pis pour les autres, et tant pis pour moi, mais ce n'est pas grave, j'en sais rien en fait, c'est mon cœur qui s'endurcit peut-être.
2022 a été la pire année de ma vie au niveau relationnel. J'ai souffert, je souffre encore de l'absence de certaines personnes. J'essaie d'en tirer enseignement mais plus on avance et moins j'ai envie de compter sur les autres. Impossible de savoir si c'est un bon bilan ou pas.
En tout cas, rien n'a changé depuis le dernier level 10: j'ai quelques ami.es précieux.ses, j'ai de bonnes relations professionnelles avec les gens avec qui je bosse, je suis ravie de ma relation avec l'ado, pour l'instant (restons prudents), je n'aime pas particulièrement les fêtes de famille mais la dernière fois qu'on a vu mon frère, je me suis bien entendue avec ma belle sœur, et leur fils est adorable donc on a passé un bon moment. Les points ne changent pas, du coup.
Pas d'objectif ici, j'espère m'adoucir un peu mais c'est un peu reposant aussi d'avoir un coeur de pierre.
3. Santé 7/10, je perds un point, j'ai l'impression d'être en fin de garantie.
C'est pas juste mon doigt ou ma cheville, c'est plutôt un bilan de comment je me sens physiquement. Je manque de sommeil, je manque de temps pour du sport, je manque de courage pour aller marcher seule, j'oublie de boire de l'eau, je n'ai toujours pas vu de cardiologue ni de gynéco. J'ai annulé le dentiste parce que je dois aller chez le médecin pour mon doigt justement ce lundi. Bon 7/10 c'est rien de dramatique et effectivement, des choses relatives à mon corps ont changé positivement en particulier en faisant du trapèze et de l'équilibre mais je ne parviens pas encore à me sentir vraiment bien. S'il fallait mettre des objectifs ici, ce serait de marcher deux fois par semaine quelle que soit la météo (mais je ne vois pas quand), et insister sur le renforcement musculaire et les étirements pour gagner en efficacité au cirque.
4. Environnement 7/10, je perds un point.
La maison est limite vivable en ce moment parce qu'on vide encore et encore l'appartement de mes beaux parents, ça prend une plombe parce qu'on ne sait s'y mettre que le we, mais les objets transitent par chez nous pour être lavés et aller ensuite soit dans une donnerie, soit à l'étage en attendant d'être vendus. Et j'ai du mal avec tous ces vieux brols dans la maison. Je ne suis pas particulièrement feng-shui mais ça me bouffe mon énergie d'avoir autant d'objets autour de moi, j'ai envie de calme pour mes yeux, j'ai envie de prendre la maison et la secouer au dessus d'une grosse poubelle et recommencer à zéro.
On avait comme projet de faire pousser nos légumes à partir du printemps prochain et ça se fera, mais petit à petit. Donc pas d'autosuffisance prévue en 2023 parce que la barre est trop haute et que je préfère y aller doucement.
5. Don de soi. Pfff. Flemme.
C'est toujours le même questionnement sur ce qu'est le don de soi et puis finalement à quoi ça sert? Être sympa ? J'ai plutôt l'impression que plus on donne de soi et plus on se fait marcher dessus. Le must de l'année aura été d'écouter, écouter, écouter, et puis quand même s'en prendre plein la tronche. Écouter écouter, et puis ne pas pouvoir s'exprimer quand c'est à mon tour d'avoir besoin. Être contente pour certains quand ils me parlent de leurs joies, et le jour où c'est moi qui suis contente pour quelque chose qui me concerne, entendre que "non mais le prends pas mal mais ça ne m'intéresse pas ton truc".
Mais c'est mon impression du moment, dans le pessimisme du moment. Je dois apprendre à trouver un juste milieu. Ça va bien avec ce que je disais plus haut dans le point sur les relations avec les gens. S'en foutre, c'est la clé.
6. Loisirs, 7/10 comme l'autre fois.
Le cirque me fait du bien et du mal en même temps, parce que c'est compliqué et ça m'impose pas mal d'abnégation. Je prends sur moi pour continuer, parce que je suis cassée de partout et je suis un peu déçue de ma condition physique, mais c'est surtout relatif à mon impatience. En vrai, j'ai beaucoup progressé mais je veux encore plus.
Je devrais prendre énormément sur moi aussi si je devais arrêter le cirque. Du coup je continue.
Je n'ai pas d'autres loisirs, il faut absolument que je me mette un créneau qqpart pour marcher, faire un peu de muscu et ça rejoint le point "santé".
Suite à l'objectif précédent, j'ai lu un peu plus, donc je vais continuer comme ça.
J'ai aussi commencé la sculpture sur bois mais pour l'instant ça m'a coûté un doigt donc c'est en stand by. Par contre j'aime beaucoup la façon de voir et de réfléchir les choses, qu'on acquiert en entraînant le fait d'imaginer les étapes d'une sculpture. Retirer de la matière pour créer quelque chose, c'est une réflexion inverse à mon habitude.
7. Job: 9/10 encore, voire 12/10.
J'ai beaucoup de boulot, beaucoup de projets, c'est grisant. Le 12 veut surtout dire que j'en ai un peu trop mais c'est pas plus mal, ça occupe l'esprit.
J'ai des patients dans deux bureaux différents, je m'étonne encore régulièrement que mes prises en charge fonctionnent et que les enfants progressent. Bientôt des adultes autistes dans une institution pendant une matinée par semaine. Bientôt aussi des ateliers de jeux sous différentes thématiques pour les enfants, avec ou sans les parents, mais aussi créer et donner des formations pour les professionnels de l'enfance qui souhaitent utiliser des jeux de société de façon pédagogique.
Si tout ça payait bien ce serait génial mais j'ai pas envie de casser l'ambiance dans le point "job", il y aura le point "finances" pour ça ^^
Ah beh justement,
8. Finances : 5/10.
Je perds deux points ici parce que j'ai eu une tuile qui n'est toujours pas résorbée et on est fin décembre. Ça finira bien par s'arranger mais en ce moment c'est plutôt très stressant parce que ça va dépendre de la patience des organismes qui perçoivent toutes les taxes, assurances et frais divers. Et on est fin décembre du coup les délais sont courts et les mutuelles des patients me paient mes honoraires au lance-pierres et de façon très irrégulière. Parfois en deux semaines, parfois en deux mois après avoir envoyé les factures. Pas l'idéal pour planifier des paiements importants comme ceux que j'ai à faire.
9. Philosophie.
J'ai renommé le point "spiritualité", mais j'ai paaaas le teeeemps de penseeeeeer ! Allez hop zéro pointé/10. C'est mal !
10. Lecture : pareil qu'avant et qu'avant et qu'avant, 7/10.
Objectif : lire encore. Lire de la philo, tiens, ça nous fera d'une pierre deux coups.
Et sinon concernant le bilan 2022, je crois que c'est l'année de la sortie de zone de confort:
Les peines qui endurcissent le coeur
Le voyage de deux semaines nomades en Italie
Le trapèze et le fait de malmener mon corps pour mieux le contrôler, mais aussi d'être la dernière arrivée dans un cours et donc d'être la moins douée, et aussi le fait d'être la plus âgée du cours (je déteste ça), ça fait vraiment beaucoup de choses auxquelles je ne suis pas habituée.
Les projets pros relatifs aux deux endroits où j'ai fait des burn-out. C'est pour 2023 mais ça concrétise ma guérison, et ça m'impose aussi de ne pas refoncer dans le mur et donc de ne pas trop donner, rester vigilante, m'analyser beaucoup.
Le projet de créer des formations pour des personnes qui travaillent dans le même domaine que moi, c'est pour 2023 aussi mais rien que le fait d'avoir ce projet règle mes comptes au moins en partie avec mon syndrome de l'imposteur.
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hcdahlem · 1 month ago
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Les enfants du large
Virginia Tangvald et une rescapée à plusieurs titres. Dans ce roman-enquête, elle cherche des explications à la mort de sa sœur, de son père et de plusieurs femmes de cet aventurier. Mais n'est-ce pas d'abord une quête intime ?
    En lice pour le Prix Jules Rimet 2024 En lice pour le prix Le Temps retrouvé 2024 En lice pour le Prix littéraire des écrivains de marine 2024 En deux mots En juillet 1991 Per et Carmen Tangvald meurent sous les yeux de Thomas, leur fils et frère. En apprenant la nouvelle Virginia part interroger son frère, rescapé du naufrage. Elle veut tenter de comprendre les circonstances de ce drame et…
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ayanna-tired · 2 years ago
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Mary (Maryweather) Hargreaves ~ COMTE CAIN/GOD CHILD
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Maryweather Hargreaves (マリーウェザー・ハーグリーヴス)
La demi-sœur de Cain. Elle a dix ans. Après le suicide de sa mère, elle est à la rue et travaille dans la bonne aventure. Extravertie et d'une grande force de volonté, elle est agacée par les relations de Cain avec les femmes. Pendant toute la série, sa vie est menacée. Elle déteste comment Cain l'éloigne du monde extérieur, mais accepte finalement sa situation après un grave incident qui aurait pu provoquer sa mort, et comprend qu'on frère voulait la protéger.
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selidren · 5 months ago
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Automne 1921 - Champs-les-Sims
8/10
Et vous avez également raison, c'est une femme d'un certain âge et il sera bien trop compliqué de lui faire changer de point de vue sur la société. Il est déjà très improbable qu'une femme de son âge soit si enthousiaste à l'idée que ce soit une autre femme qui devienne un jour chef d'entreprise comme cela attend ma Noé. En cela, et en cela uniquement, cela fait de Madame Eugénie une centenaire d'une incroyable modernité. Pour répondre à votre question d'ailleurs, chez nous également ce congé existe depuis plus de dix ans, et si j'avais travaillé, j'aurai pu en bénéficier quand j'attendais Jean-François. Figurez vous même que les institutrices sont rémunérées durant ce congés ? Si au début cela me paraissait étrange que l'on rémunère quelqu'un qui ne travaille pas, je me suis morigénée. Vous et moi savons parfaitement que porter un enfant, le mettre au monde puis l'éduquer est une occupation largement assimilable au travail.
Transcription :
Eugénie « J’ai ordonné à Adelphe de te laisser les rênes de l’entreprise dès ta majorité. Il n’a pas fallu beaucoup batailler, car selon lui tu seras plus que capable le moment venu. Ainsi, peu importe que je sois encore là ou pas, tu devras t’imposer à la tête de la famille. »
Arsinoé « Mais… »
Eugénie « Tu n’as rien à craindre. Marc-Antoine sera là pour t’épauler. C’est un garçon intelligent qui aura pour lui un diplôme et de solides relations à Paris. Il m’a aussi confié dans sa dernière lettre s’intéresser à la politique, ce qui est très bien pour toi. En tant que femme, tu rencontreras des hostilités, alors t’appuyer sur un politicien te simplifiera la tâche. Je le prépare à tout cela depuis sa naissance. »
Arsinoé « Mais… comment ? »
Eugénie « Il sera pour toi ce qu’Adelphe est à ton père, une main secourable et totalement dévouée. Ne te préoccupe pas des moyens, je ne pouvais pas te faire de meilleurs cadeaux. Laisse donc tes sœurs à leurs activités de jeunes filles, assure toi simplement que le jour venu, elles fassent un bon mariage, si je ne m’en suis pas déjà occupée. Elles son adorables mais elles ont la tête pleine d’eau... »
Arsinoé « Mais enfin arrêtez ! »
Arsinoé « Pourquoi vous parlez comme ça ? J’ai l’impression que vous complotez contre moi depuis ma naissance… »
Eugénie « Oh ma chérie… Sèche tes larmes. Ce n’est pas un complot contre toi, bien au contraire. Depuis que ta mère t’a présenté à moi, je n’ai pensé qu’à ton bien. J’ai méticuleusement préparé ton avenir afin qu’il soit le plus facile possible. »
Arsinoé « Mais… la façon dont vous parlez de Sélène et Cléo… Vous les détestez c’est ça ? Et Marc-Antoine, pourquoi vous voulez que sa vie tourne autour de la mienne ? C’est horrible. »
Eugénie « Non bien sur que non, je ne déteste pas tes sœurs, ni ton frère d’ailleurs. Ils sont de mon sang, et je les aime. J’ai à coeur leurs meilleurs intérêts. Mais ils ne sont pas comme les tiens. Tu es différente. »
Arsinoé « Vous me répétez cela depuis aussi longtemps que je me souvienne. Mais je ne suis pas différente. »
Eugénie « Ne joue pas les écervelées, bien sur que tu es différente ! Et bien plus que tu ne le crois. Tu seras la première femme à prendre la tête de cette famille, et tu ne te rends pas compte à quel point cela me rend fière. »
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makeitinkorea · 3 months ago
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MAKE IT IN KOREA propose des prédéfinis de huit familles de chaebol principales sur le forum. Parmi lesquelles nous comptons quatre anciennes familles qui gouvernent sur le pays depuis des décennies, et quatre nouvelles ayant gravit les échelons au cours de ces vingt dernières années. A noter qu'il est possible de jouer un personnage faisant parti d'une famille Chaebol qui n'est pas une des familles proposées ! Aussi, les noms de famille des prédéfinis ne peuvent être pris que si votre personnage est membre de cette famille.
— CHAEBOL ET FAMILLES PUISSANTES
"Chae" (richesse) ; "bol" (clan). Groupes familiaux puissants à la tête d'un grand empire industriel, ayant une influence sur l'économie sud-coréenne. Leurs entreprises touchent souvent à une grande variété de secteurs, comme la construction, l'électronique, la finance, et représentent une grande partie du PIB du pays. En raison de leur puissance considérable et de leur poids sur l'économie sud-coréenne, ces familles entretiennent des relations étroites avec les autorités, bénéficiant souvent de l'aide et de la protection du gouvernement dans leurs pratiques : en effet, des rumeurs affirment que ces familles sont souvent impliquées dans des affaires sombres de corruption, fraude fiscale, pots de vins, blanchiment d'argent.
— INFORMATIONS SUR LES CHAEBOLS
- A Hanseo, ces familles se regroupent dans le district du nord, connu pour ses gratte-ciels et ses luxueuses villas. Les sièges de ces entreprises sont situés dans le quartier des affaires. - Les chaebols sont des clans qui n'aiment pas se mélanger aux autres et qui préfèrent rester entre eux, notamment en unissant leurs enfants à des descendants d'autres chaebols. La plupart des enfants de Chaebol subissent des mariages arrangés et s'unissent dès le début de leur vingtaine. - Les enfants de chabeols reçoivent une éducation généralement stricte et étudient dans les meilleures écoles. - Après avoir terminé leurs études, beaucoup d'enfants de chaebols, en particulier les garçons, obtiennent une place de choix dans l'entreprise familiale s'ils le souhaitent (ou non).
— INFORMATIONS A L'ATTENTION DES JOUEURS
- Les membres d'une famille prédéfinie sont tous jouables à l'exception des mineurs. - Vous avez la possibilité de créer des pré-liens pour les autres membres de la famille de votre personnage. - Il serait intéressant que les prénoms des frères et sœurs commencent par la même syllabe, mais ce n'est pas obligatoire. - Vous pouvez également choisir d'incarner des personnages qui ne figurent pas dans les prédéfinis mais qui sont liés de près ou de loin aux familles : cousin(e)s, enfants adultérins, époux/se, personnel de maison, etc... - Chacune de ces familles cache un sombre secret qui sera révélé ou non à leurs membres par les admins.
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christian-dubuis-santini · 1 year ago
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"Si quelqu'un vient à moi et qu'il ne hait pas son père et sa mère, sa femme et ses enfants, ses frères et ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peut pas être mon disciple
Voilà un passage des Évangiles pour ainsi dire jamais commenté dans les églises, comment interpréter cette parole christique?
Bien entendu, cela n'a rien à voir avec une haine familiale ordinaire exigée par un dieu jaloux, les relations familiales sont ici des métaphores du réseau social lui-même, représentatives de chaque parcelle de substance ethnique qui me détermine une place dans l'ordre global des choses.
Ce genre de haine requise par le Christ n'est pas l'opposé dialectique de l'amour mais la preuve et l'expression directe de l'amour lui-même, c'est l'amour qui m'enjoint de me débrancher de ma communauté organique dans laquelle je suis né et dans laquelle je vis à une place prédéterminée, comme le dira Saint-Paul: "Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme"...
C'est le même universel singulier du sujet vide de toute substance et dénué de tout prédicat que vise la psychanalyse, raison pour laquelle Lacan le note $, sujet barré.
NB: Ce sujet barré de la psychanalyse peut aussi être entendu comme le "substanzlos Subjekt" de Marx dans ses Grundrisse, littéralement le sujet sans substance...
Et comment "haïr son père et sa mère..." ne signifierait-il pas le premier moment de la sortie du discours dans lequel le sujet est pris?
«Ce que je vous ai dit peut pourtant avoir été mal entendu, ce que je viens de vous dire, entendu de sorte que ce soit pris au sens de savoir si la psychanalyse est un symptôme social. Il n’y a qu’un seul symptôme social : chaque individu est réellement un prolétaire, c’est-à-dire n’a nul discours de quoi faire lien social, autrement dit semblant.»
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elmaxlys · 1 year ago
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So basically and as far as I remember without a recent deep reading, we have mention of the relationship between Hayami Shintarou and Hayami Shika in 4 chapters.
Chapter 160 (volume 13)
Chapter 186 (volume 16)
Arrive chapter 21 (volume 2)
Arrive chapter 55 (volume 5)
Now, as I've been made aware, the original uses a term that means siblings that aren't blood related (which can mean either in laws or step siblings)
The vagueness of the term is a personal torture/blessing but apart from that, what I'm really interested in is the way it's being translated.
Mangabox (English, og only) used the in-laws meaning
Seven Seas (English, og only by the time I'm writing this post) used "sister" regarding Shika (thank you again Diablo)
Kana (French, both og and arrive are fully translated) used... well. Let's see what they used. (keep in mind all volumes have the same translator)
In chapter 160! First mention of Shika!
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[Je veux revoir ma sœur par alliance -> I want to see my sister in law again]
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[Si ma sœur était elle aussi prisonnière de ce monde -> if my sister was also prisoner of this world]
Now the first "problem" for me is that huh. The French TL has always put the accent on making it as normal sounding for French people (most everyone is on a first name basis, no honorifics etc) but like. I don't think anyone ever uses sœur to talk about a sister in law? Par alliance is already a bit formal sounding, we tend to say belle-sœur (which, incidentally, can also mean sister from parents remariage). Not a real problem. Je chipote. My real beef comes from
chapter 186
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[ma demi-sœur que j'aime tant -> my step sister that I love so much]
Now, if he (the translator) had said "belle-sœur" instead of "sœur par alliance", I wouldn't have said shit, but saying "par alliance" rids of all doubts that they're in-laws. Now he switches to "step sister". Because, unlike belle-sœur, demi-sœur only has the meaning of step sister. (sometimes, the difference is established between belle- and demi- by whether they have a common parent or not, demi- meaning they do).
And to come back to my chipotage on the previous one, just saying sœur in a step sister situation totally makes sense, unlike with in laws.
And then in arrive 21..
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[un jour, mon demi-frère a disparu -> one day my step brother disappeared]
He keeps going with the step sibling business like the first meaning he gave to their relationship never happened
And finally in arrive chapter 56
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[et à ton grand frère -> and to your big brother]
This totally completely absolutely eliminates the in laws possibility in the FrenchTLVerse. Using brother/sister along is weird in an in laws situation, but specifying he's her big brother on top of that? There's no way they're in laws here.
I have zero expectations regarding the accuracy of the translation, especially on such a troublesome word, but AT LEAST CAN WE HAVE SOMETHING COHERENT WITH ITSELF??
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simleech · 2 years ago
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Les Affaire...
Depuis le départ de Chloé, les frangins continuent leur petite vie. Fêtes, travail et amourettes de passage ne s'arrêtent jamais avec eux. Oskar ne semble pas réaliser les ennuis qu'il a réussi à éviter depuis sa petite liaison avec une des actrices durant le tournage d'une série à succès. Il voit en Bionda la femme parfaite, la star qui l'accompagnera sur le chemin de la célébrité. Marizza travaille dur pour réussir sa carrière dans la justice. Mais elle n'oublie pas de "décompresser" après avoir magouiller toute la journée avec Philian. Récemment, Angel ne cesse de lui dire qu'il se sent prêt à sérieusement faire avancer leur relation. Mais Marizza a du mal à s'imaginer cette petite vie tranquille, presque banale.. Au fond d'elle-même, elle vise plus loin, plus haut que ça.
Quant à Julia, les amants se font rares. Alors qu'autour d'elle, les amourettes de ses frères et sœurs vont et viennent, la frustration monte en elle.
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Since the departure of Chloé, the family has continued their little life. Parties, work and passing love affairs never stop with them. Oskar doesn't seem to realize the troubles he's managed to avoid since his little affair with one of the actresses during the filming of a hit series. He sees in Bionda the perfect woman, the star who will accompany him on the way to fame.
Marizza works hard to succeed in her career in justice. But she doesn't forget to "chill out" after fiddling all day with Philian. Recently, Angel keeps telling her that he feels ready to take their relationship seriously. But Marizza finds it hard to imagine having this quiet, almost banal life. Deep down inside, she aims further, higher than that.
As for Julia, lovers are rare. While around her, the love affairs of her brothers and sisters come and go, frustration rises in her.
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