#relâchement
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Très bien merci et vous? Perdez vos 20 kilos surnuméraires. Mettez à l'entrée de l'église une pancarte de rappel du code vestimentaire indiqué dans l'Evangile (1 Corinthiens chap. 11). Célébrez chacun 10 mariages de fidèles jeunes et pauvres par mois. Formez les ados. Fermez leurs gueules aux mères et si elles se prétendent dévotes quand même faites les revenir le samedi matin enlever les toiles d'araignées des vitraux pour vérifier leur ferveur, ce ne sera pas du luxe vu l'état dans lequel vous laissez les chapelles. Vous avez osé quoi pendant le covid pour la liberté des Chrétiens ? Vous croyez qu'on va oublier les bénitiers vides agrémentés d'un distributeur de désinfectant ? Faites votre taf concret, mesurable, vérifiable. Là on saura qui est qui. Là on fera les comptes sur "la liberté d'être chrétien aujourd'hui".
#Clercs#Église#Jacasseurs#Tartuffes#Carême#Tradition#Faux-culs#Grosses dames tartuffes#Abbé Raffray#Mathieu Raffray#Tradis#Concile#Relâchement#Tiédeur#Notre-Dame de Chrétienté#NDC#Pèlerinage de Chartres#Chartres#Blablabla#bla bla bla
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Ce que vous pratiquez, vous le devenez
Si vous vous entraînez à être tendu, vous allez être tendu. Si vous vous entraînez à être détendu, vous deviendrez plus détendu. La façon dont vous réagissez à chaque instant vous fera pencher davantage dans un sens ou dans l’autre. Mais le simple fait de se détendre peut être difficile à saisir. 鬆功 sōng gōng 鬆功是鬆柔、鬆空在習練者身上的表露。 Song gong est l’expression (表露 biǎo lù) en son corps (身上 shēn…
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L'opération de mon fils s'est bien passée. Hier soir, j'étais épuisée ! Probablement le relâchement après une journée de stress. Aujourd'hui, je pensais le prendre cool mais mon fils a du mal a marcher et il me sollicite beaucoup. Vivement ce soir, mon verre de vin et ma soirée devant Le meilleur pâtissier !!
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source : @cheminer-poesie-cressant
je me positionne comme étant un élément de l’instant, parfois son pilier, parfois sa porte d’entrée ou bien celle de sortie, sa salle d’attente ou bien sa chambre à coucher, pur produit de sa création, comme un voile flottant selon ses propres volontés, une simple virgule agitée par ses vents, une paroi qui voudrait tenir ; face à l’instant nous devenons métamorphose sans le savoir, sans le comprendre, sans relâchement
© Pierre Cressant
(jeudi 29 septembre 2022)
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Instantané du 2 mars 2024 : avec Marion ! Poses en toute intimité : comme elle voulait ! Une suite de prises de vues d’un après-midi, des instantanés dans l’improvisation et le relâchement ©Michel Hénot Snapshot Photographer With Marion! Pose in complete intimacy : just the way she wanted! A series of afternoon shots, snapshots in improvisation and relaxation
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Didactique du tailleur de pierre.
En recherchant à faire un bon et beau travail — qu'est-ce qu'un bon et beau travail ? Solidité, durabilité, stabilité —— et cela mis en œuvre avec efficacité, sans gestes superflus et avec précision donc, des gestes, des mouvements les plus resserrés possibles, cela résultant d'un équilibre, d'un dosage entre le relâchement, l'économie d'un geste (principe du non-agir) et son contraire actif : la visée, l'attention. Cet équilibre entre ces deux principes opposés consiste en une épuration qu'on ne peut que qualifier de belle.
Pour arriver à cela, il faut apprendre à comprendre la matière, la pierre. On apprend à connaître la pierre avant tout par un médiateur. Ce médiateur est l'outil. Et vice-versa, car il faut aussi apprendre à connaître l'outil, et on apprend à le connaître par la pierre. C'est la pierre, témoin final, qui nous indique si oui ou non l'outil remplit sa fonction et si oui ou non nous en avons une bonne maîtrise. Il découle de cette observation, de cette nécessaire reconnaissance, un travail d'ajustement de l'outil, qui passe par l'ajustement de notre corps, par nos mouvements et/ou notre intention. En tout, l’œuvre se façonne par la participation de quatre entités : l'esprit, le corps, l'outil, la matière. L'esprit tient naturellement une place particulière dans l’œuvre. Il est le chef d'orchestre, le garant, le guide, le responsable du bon ou mauvais déroulement de l’œuvre en création. C'est lui qui écoute, contrôle, ajuste, mène, décide. Nous nous faisons donc nous-mêmes médiateur entre l'outil et la pierre pour qu'ensemble nous participions à une réalisation qui nous est à la fois commune et personnelle. La pierre est arrachée de son lit pour être confiée aux mains et à l'esprit de l'homme. L'homme lui attribue une fonction nouvelle, en quelque sorte il lui offre une seconde naissance : elle devient ce qu'elle a toujours semblé vouloir devenir. Par notre volonté de faire de cette masse informe une forme finie, nous servons donc la pierre. Nous servons également l'outil en lui donnant sa raison d'être par le mouvement de notre main, de même que l'outil sert la pierre en la façonnant et nous sert nous-mêmes comme participant nécessaire à notre ouvrage. La pierre quant à elle sert l'outil en lui donnant sa raison d'être et nous sert nous-mêmes également comme participant nécessaire à notre ouvrage. Chacun sert à chacun et semble trouver sa raison d'être dans ce don de soi. Au début de l'apprentissage du métier, et pareillement dans la vie en général, surtout à l'adolescence, on croit que l'intention seule suffit. On ignore l'importance des médiateurs. Notre volonté incontrôlée, aveugle aux différents signes émis par les médiateurs, nous mène bien vite à l'échec. Il n'y aura pas d'amélioration tant qu'on n'aura pas effectué ce nécessaire pas de côté, ce recul qui met tout en perspective, grâce auquel tout se dévoile. Cette faculté de remise en question est essentielle à toute progression — elle est intimement liée à la vertu de la Prudence. À partir de là seulement commence tout travail intérieur. Pour conclure sur cette réflexion, je dirais qu'il me semble que l'essence du mystère de l'équerre et du compas se trouve là, dans cet équilibre, cette épuration, finalement, de l'être, de soi, de ses actions, de ses gestes. C'est, atteindre une forme d'excellence sans orgueil car provenant avant tout de l'amour du beau. L'excellence vient ainsi comme par inadvertance. On devient bon pour avoir voulu rencontrer, avant toute chose, la beauté.
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Dans ma vie, les frontières entre le travail, la vie personnelle et les expériences intimes sont de plus en plus floues.
Les mécanismes biologiques et émotionnels de la montée du désir et l'état de somnolence au travail se croisent dans un terrain onirique, où les tension se démêlent aux fils du rêve.
Imaginez-vous... Par exemple au bureau, plongé dans une journée de travail un peu douce... Pénombre, soleil au dehors...
La torpeur s'installe peu à peu, heure qui passe sur les fils de l'attention. Au début, c'est juste une légère somnolence, similaire aux premiers signes d'envie.
Mes paupières deviennent lourdes, la concentration se relâche un peu, et les premiers noeuds vers l'inconscience forment des marches vers une profondeur. Légère excitation de la plongée, perspective inversée. Une marche, l'autre, molles et légères, nuages dans la fatigue... La tête commence... une marche encore... à se laisser basculer... une autre marche, le pied s'enfonce dans la sensation de cette moelleuse moquette et le fauteuil qui me porte et mes doigts sur les touches... En micro-siestes involontaires, minis... explosions de relâchement, plaisir, torpeur.
La tension entre l'éveil et le sommeil à l'apogée. Muscles se détendent, invo... une marche... lontairement, s'effondre... un pas plus bas... brièvement sur mon bureau, et la ligne entre éveil et sommeil s'efface... Le sol, le plancher, les fondements de la marque... l'aboutissement du... processus...
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« Ni relâchement, ni rudesse, aucune vertu sans plaisir, ni aucun plaisir sans vertu, voilà le conseil athénien. »
Charles Maurras
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Les Grisha
Historiquement, les Grisha étaient considérés comme des sorciers, et le sont encore dans certaines régions du monde. Les Grisha sont capables de manipuler la matière, ce qu'ils appellent la Petite Science. Les Grisha ne créés pas de matière à partir de rien et voient leurs capacités comme des extensions du monde qui les entoure. Par exemple, les Inferni ne peuvent pas produire de feu mais peuvent manipuler les gaz combustibles naturels, et les Durasts ne créent pas de métal : ils ont simplement la capacité de le modifier.
Techniquement, il est possible pour eux de produire ces éléments mais le sujet est non seulement gardé secret, il est également tabou. Il s'agit d'une magie appelée merzost et le prix à payer est toujours très élevé et particulièrement dangereux.
La plupart des Grisha prennent conscience de leurs dons durant l’enfance. Bien qu'il s'agisse généralement d'un héritage familial, il est possible qu’un enfant né de parents Grisha ne développe aucun don. À l’inverse, un enfant peut naître Grisha sans que ses parents ne le soient.
Les Grisha qui usent fréquemment de la Petite Science sont "nourries" par celle-ci et vieillissent ainsi plus lentement que les autres humains. Dans de rares cas, les Grisha les plus puissants peuvent vivre pendant des centaines d’années. Les Grisha qui n’usent pas de leurs dons pendant une période de temps importante s’affaiblissent, semblent malades et peuvent même perdre leur don.
Les Grisha sont divisés en plusieurs Ordres selon la nature de leurs dons. Au sein de la Seconde Armée, les Grisha portent le traditionnel kefta ravkan. La couleur de ce dernier indique l'ordre auxquels ils appartiennent.
CORPORALKI
The Order of the Living and the Dead
Les pouvoirs des Corporalki (Corporalnik au singulier) se concentrent sur le corps humain. On dénombre trois castes dans cet ordre : les healers, les tailors et les heartrenders. Contrairement aux autres ordres, les Corporalki sont capables d'user des talents au-delà de leur caste. À Ravka, au sein du Petit Palais, tous les Corporalki suivent les mêmes cours durant les deux premières années de leur éducation. Ce n’est qu’ensuite que leurs entraînements respectifs divergent. Ils sont considérés comme les membres les plus importants de la Seconde Armée et sont souvent haut-gradés.
Les healers sont capables de guérir des blessures et de réparer des os cassés. Leur don n'a cependant aucun effet sur les maladies. Ils sont reconnaissables à leurs keftas rouge brodés de gris. Illimités.
Les tailors ont la capacité de changer leur apparence ainsi que celle des autres. Très rares, les tailors sont généralement peu considérés. Leur valeur est pourtant inestimable, les mieux entraînés peuvent modifier l’apparence d’une personne durant plusieurs heures voire plusieurs jours. Leur kefta est rouge avec des broderies bleues. Limités.
Les heartrenders sont sans doute les Grisha les plus dangereux et sont de ce fait craint par tous. Capables de manipuler le corps humain, ils peuvent influencer le rythme cardiaque de leur cible, la priver d’air et littéralement faire exploser son cœur. Les meilleurs heartrenders pourront influencer les émotions d’une cible en encourageant le relâchement de certaines toxines dans le corps. Ils portent un kefta rouge brodé de noir. Illimités.
ETHEREALKI
the Order of Summoners
Liés à la nature, les Etherealki (Etherealnik au singulier) sont capables de manipuler les éléments naturels autour d’eux. Ils ne créent pas mais commandent, plient à leur volonté les éléments. L’ordre est divisé en cinq castes :
Les squallers ont la capacité de manipulé le vent et l’air tout autour d’eux. Ils peuvent ainsi projeter des objets ou encore se protéger d’attaques en créant une bulle d’air tout autour d’eux. Très prisés par la Seconde Armée, les squallers sont bien souvent réquisitionnés pour naviguer les bateaux à travers le Fold. Ils portent des keftas bleu aux broderies argentées. Illimités.
Les tidemakers sont capables de contrôler l’eau et de commander sa structure. Ils peuvent ainsi changer sa température mais aussi et surtout jouer avec ses molécules. Il n'est pas rare de trouver un tidemaker tout proche d'un squaller. Ils portent des keftas bleu aux broderies bleu pales. Illimités.
Les inferni sont capable de manipuler le feu en faisant appel aux gaz naturels qui flottent tout autour d’eux. Néanmoins, ils ont besoin d’une étincelle pour initier la combustion, c’est pourquoi ils portent toujours sur eux un silex ou un vêtement créé dans cette matière. Les inferni portent un kefta bleu brodé de rouge. Illimités.
Les shadow summoners ont la capacité de manipuler les ombres. Seule la lignée de l'Hérétique Noir, créateur du Shadow Fold, est connue pour posséder ce don. Le Général de la Seconde Armée et descendant de ce dernier, Miran Arsenyev, est le seul shadow summoner connu. Son kefta est noire. La lignée s'est cependant séparée en deux il y a des centaines d'années, diluant le don mais le gardant bien vivant à travers les âges. S'il existe d'autres shadow summoners, ils se cachent ou disparaissent mystérieusement avant d'atteindre le Petit Palais... Jouables, limités. S'ils n'ont pas nécessairement conscience de l'existence des uns et des autres, les shadow summoners sont tous apparentés à des degrés différents.
L'existence des sun summoners n'est qu'une légende populaire. Selon le folklore, ils seraient capables de manipuler la lumière et de détruire le Shadow Fold. Non-jouables à ce stade du jeu.
MATERIALKI
The Order of Fabrikators
Grisha les moins respectés, les Materialki sont pourtant d’une valeur inestimable. Experts en créations et innovations en tout genre, leurs pouvoirs se concentrent sur les matériaux brutes et chimiques. Leur ordre se divise en deux castes : les durasts et les alkemi. Les deux ordres sont souvent assimilés l’un à l’autre.
Les durasts travaillent la matière brute comme le métal, les textiles, le verre, le bois ou encore la pierre. Ils sont surtout connus pour développer des inventions servant la Seconde Armée. Certains choisissent de s’entraîner afin d’être utilisé de façon offensive. Ils portent des keftas de couleur violette aux broderies grises.
Les alkemi sont capables de séparer les différents composants chimiques et de les manipuler. Au sein de la Seconde Armée, la plupart des alkemis sont des chimistes spécialisés dans la création de poisons et d’explosifs et ne quittent que rarement leurs laboratoires. Leur kefta est violet aux broderies rouges.
RELATIONS
Ravka dépend énormément des Grisha, bien que toute la population ne leur soit pas favorable. La Seconde Armée est entièrement composée de Grisha. Malgré tout, de nombreux ravkans ne leur accordent aucune confiance. Il n'est pas rare de voir des Grisha d'autres contrées sur le sol de Ravka. La plupart ayant été recrutés par l'armée.
Fjerda considère les Grisha comme des sorciers. Ils sont pourchassés sans relâche par les Drüskelles, des soldats d'élite. Les Grisha capturés sont ensuite jugés puis exécutés par la Cour de Glace.
Novyi Zem est un rare havre de paix pour les Grisha. Ils y sont bien traités et même appelés zowa qui se traduit par béni. De nombreux Grisha y trouvent refuge et sont entraînés par des enseignants venus de l’Ouest.
Kerch est un repère de criminels. Neutre dans les conflits, ses habitants voient les Grisha comme une opportunité et une marchandise comme une autre. Les Grisha sont donc bien souvent capturés et vendus comme esclaves bien que certains parviennent à s'adapter sans tomber dans le piège tendu par la cupidité.
Shu Han n’est pas favorable aux Grisha et n’hésite pas à les capturer pour expérimenter sur eux. Les scientifiques et le pouvoir en charge cherchent à déterminer la source des pouvoirs des Grisha.
Les Wandering isles sont réputés pour tuer les Grisha afin d’en boire le sang. Ses habitants pensent qu'ils peuvent ainsi se guérir de tous les maux.
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"Toute vigueur, toute santé, toute vitalité, témoigne de la tension accrue vers l'instinct dominateur du moi. Tout relâchement est décadent."
Nietzsche, "Fragments posthumes. Début 1888 - début janvier 1889"
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Qu’il dorme ou qu’il veille, qu’il courre ou qu’il marche, qu’il utilise un microscope, un télescope ou l’œil nu, l’homme ne découvre jamais rien, ne dépasse jamais rien, ne laisse jamais rien derrière lui, sinon lui-même. Quoi qu’il dise, quoi qu’il fasse, il ne rend compte que de lui-même. S’il est amoureux, il connaît l’amour, s’il est au Ciel, la félicité, s’il est en Enfer, la souffrance. Son état spécifique détermine sa localisation. La principale, la seule chose qu’un homme puisse façonner est son état, ou encore son destin. Néanmoins, la plupart du temps, il n’en a pas conscience et ne signale pas cette activité au moyen d’un panneau qui dirait : « Ici s’accomplit et se répare ma propre destinée » (et non pas la vôtre). Il est pourtant passé maître dans cette tâche et s’y consacre 24 heures par jour pour la mener à bien. Quand bien même il négligerait ou saboterait tout le reste, on n’a jamais vu personne négliger cet ouvrage-là. Nombreux sont ceux qui prétendent que leur occupation principale consiste à fabriquer des souliers et qui réfuteraient avec mépris l’idée qu’ils ont leur part de responsabilité dans ces temps difficiles qu’ils subissent. Tout effort tendu vers quelque chose, toute aspiration, est un instinct qui reçoit assistance et collaboration de toute la nature et, en cela, il ne saurait être inutile. Hélas, chaque relâchement dans l’effort, chaque marque de désespoir est également un instinct. Il faut un courage exemplaire pour être actif, en bonne condition et heureux. Être prêt à se battre en duel ou à livrer bataille implique du désespoir, ou bien c’est que vous faites peu de cas de votre vie. Si vous considérez votre existence à la façon des vieilles gens religieux (j’entends par là ceux qui ont fait leur temps et qui sont montés en graine au milieu de la sécheresse, de simples galles humaines inoculées jadis par le diable en personne), alors tout ce qu’il y a en vous de joie et de sérénité disparaîtra et vous en serez réduit à faire contre mauvaise fortune bon cœur. Le fait est que vous devez prendre le monde sur vos épaules, comme Atlas, et progresser avec lui. Vous y parviendrez au nom d’une idée et vous y réussirez en proportion de l’attachement que vous portez à celle-ci. Il se peut que de temps à autre votre dos ait à en souffrir mais vous éprouverez en revanche la satisfaction de le suspendre ou de le faire tourner à votre guise. Les lâches souffrent, les héros prennent du plaisir. Lorsque vous aurez marché avec lui pendant une longue journée, installez-le dans un creux, asseyez-vous à côté et mangez votre dîner. Vous verrez qu’à l’improviste vous serez dédommagé de votre effort par quelques pensées d’un genre immortel. Le talus sur lequel vous êtes assis se couvrira de parfums et de fleurs et, dans ce creux, votre monde deviendra une gazelle légère, au pelage luisant. Henry D. Thoreau, Concord, 20 mai 1860
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Belle entrée en matière d’Elie à 15/1 à Pornichet. Victoire 6/1 1/6 10/8 avec un p’tit relâchement au 2eme avant de s’offrir un STB sous une ambiance de jeu. Merci à son Fan Club.
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L'UE ''en état de mort cérébrale'' ?
Le Royaume-Uni a préféré faire face à d'énormes difficultés économiques et politiques plutôt que de rester dans l'étouffoir bruxellois, enrégimenté, pervers, et amoral puisque progressiste... Le pseudo couple franco-allemand bat de l'aile sans avoir jamais existé –sauf dans les rêves d'enfants de cœur... L'Italie est ''sous surveillance'' pour avoir fait un ''mauvais choix'' (?)... Les pays dits ''du Pacte de Visegrad'' ont de plus en plus raison... Ursula poursuit ses dérapages aux relents nauséabonds... Et l'Ukraine souligne la dépendance aux USA de cette soi-disant ''Europe'' qui n'est plus qu'une usine à gaz, normative, liberticide et de plus en plus lourde à subir, à laquelle les peuples tournent le dos.... L'Europe, c'est quoi ?
Le 7 novembre 2019, Emmanuel Macron, pour une fois bien inspiré (c'est si rare qu'il faut le souligner !) avait déclaré : ''l'Otan est en état de mort cérébrale'' (seul ennui, la mort clinique n'a pas suivi : cela nous eût épargné la calamiteuse gestion de la crise du covid et l'actuelle crise ukrainienne qui, de moins en moins limitée, risque d'exploser, à tout instant, en un champignon vénéneux). La tentation est grande, de se demander si ce ne serait pas l'Europe, qui est en état de mort cérébrale... à ceci près qu'il eût fallu qu'elle ait un cerveau... alors que, à la place de cet organe de toute première nécessité, on trouve, et ''c'est vraiment pas de bol'', la pernicieuse Ursula ''Von der des der'' qui est aussi dangereuse (et aussi ''con'', mais des choses comme ça ne s'écrivent pas ! Je ne vais donc pas l'écrire) qu'elle est jolie ! (NDLR : c'est dire combien elle est belle !). Il ne reste guère que la grosse Commission du Berlaymont dont les membres croient encore pouvoir nous persuader que quelque chose de bon pourrait sortir de... rien !
''Couac'' qu'il en soit (orthographe de circonstance), les membres de l'Union s’opposent sur tout. Nous sommes entrés –durablement, semble t-il-- dans une ère du ''chacun pour soi'', au grand dam du président français (qui est le seul à n'avoir rien compris à cette nouvelle distribution des cartes). Même une crise majeure comme la guerre Russie-Ukraine, dont on a pu croire qu'elle allait resserrer les liens entre les nations européennes, n'a pu le faire autrement que ''en façade'' et ''en paroles'', sur des sujets qui peuvent paraître faire consensus, feu artificiel plus que d'artifice dont les excès-mêmes auraient du attirer l'attention (NDLR - J'écrivais ici-même le 27 février dernier, (éditorial n°1375) : ‘'Mourir pour Kiev ? Après un ''baroud d'honneur'', la réponse est maintenant connue, et c'est NON. L’Union européenne n'est pas prête à sacrifier son bien-être, même pas à avoir un peu froid ! La solidarité avec Kiev, les discours creux ruisselants de pseudo ''valeurs'' réinventées, et les grands serments, la main sur le cœur ? Un tsunami de bluffs''... qu'on essaye de faire oublier, à coup de tanks Abrams de 60 tonnes ou Leopard à 6 millions de US $ l'un... qui sont autant de chiffons rouges qu’on agite pour exciter Poutine ! A force de flirter avec la ''zône rouge'', on va finir vitrifiés ! Les soi-disant ''experts-télé'', ces va-t-en guerre, s'en pourlèchent d'avance les badigoinces !
Après l'illusion des premières années ''post CEE'', la crise larvée qui finira inévitablement par éclater au grand jour (la seule question étant : ''quand ?'') s'est peu à peu structurée, à travers quelques grandes étapes : le rêve des années '60... le réajustement des années '70... le sursaut des années '80... le relâchement des années '90... l'effondrement des années 2000... les mensonges et les promesses intenables des années 2010... et la chute terminale qui sera, tout porte à le croire, pour les années 2020. Contrairement à des espoirs insensés –dont ceux de notre Président, qui est le dernier (donc le seul) dirigeant européen à rêver encore à cette caricature d'Europe et à une souveraineté européenne qui croyait trouver une excuse dans sa jeunesse et son inexpérience abyssale-- l'union sacrée n'a pas eu lieu... Ces naïfs répétaient qu'ils attendaient un prodige, pendant que, au même moment, ils tiraient chacun de son côté. Ah ! Les cons ! Et... ''pauvres de nous'' !
Devant l'ampleur d'un tel désastre annoncé (voir le prix que paie le Royaume Uni pour s'être libéré de cette hydre –qui est si juteuse, pour les prébendiers qui la servent, qu'ils rendent presque impossible de se libérer de ses griffes), la question qui se pose est, évidemment : ''Que reste-t-il de l'Union européenne voulue par les ''Pères Fondateurs'' ? ''. Cette question paraît incongrue à beaucoup, tant nous sommes imprégnés par une phraséologie qui parle (dans le vide) d'une Union prétendue évidente et dite incontestable, travestie avec emphase et approximation par des formules incroyables telles que : ''La France est notre patrie, l’Europe est notre avenir'' (ça, c'est du Mitterrand. Ça ne veut rien dire !), ou : ''Il y a une souveraineté européenne à construire'' (celle-là est de Macron. Même remarque). Ces verbiages n'ont aucun sens... Ils peuvent faire illusion et même sembler beaux... tant qu'on ne voit pas qu'ils sont désespérément vides !
Je regardais hier une récente vidéo de la ''sulfurieuse'' Ursula (NDLR - je promets que le ''i'' (bienvenu) dans ''sufurieuse'' est involontaire. Ce n'est qu'à la relecture que je m'en suis aperçu... et ai décidé de le garder : il est trop beau, trop vrai !) : elle était toute vêtue en bleu et jaune, aux couleurs de l'Ukraine, comme une insulte à la neutralité-de-fonction due à son job. J'attends avec impatience le ''thésard'' qui osera lister tout le mal qu'elle a pu causer, à elle toute seule, à l'Europe, à la civilisation, à l'humanité, à la paix dans le monde... et aussi à l'intelligence ! Elle vaut Erdoģan ! Mais contre tout ce qu'elle croit, raconte ou représente, il reste un espoir : l’Histoire nous enseigne que c’est à l’épreuve de la guerre que les peuples prennent conscience de leur identité (l'Ukraine illustrant parfaitement cette vieille sagesse des nations). Un espoir, donc, mais aussi une crainte : dans ce cas précis, il semblerait plutôt que, par une ruse dont l’Histoire est coutumière, la guerre a rouvert les cicatrices mal fermées des précédentes crises.
Un seul point d'interrogation subsiste : y aura-t-il un miracle qui nous sauvera ? Et si ''oui'', nos vieilles nations, épuisées par des décennies –ou par trois siècles, si on prend 1792 pour ''point zéro'' de notre décadence-- d'attaques ininterrompues et de guerres ravageuses entre membres d'une même famille, auront-elles encore la force, le ressort et la santé morale pour rebondir ? Rien ne permet d'en être certain. Et en attendant, ce machin abusivement appelé l'Europe, plus proche d'une déroute programmée que d'un chemin vers l'espoir, s'élargit à l'infini : n'ayant rien de moral, d'intellectuel, de culturel, et surtout pas d'intelligent à proposer comme ''projet à partager'', elle se rabat sur la taille en km² et la contrainte normative des citoyens.
L'arrivée de la Croatie (pays sympathique, mais c'est hors sujet) dans le pervers et mortifère ''espace Schengen'' et sans doute de l'Ukraine, bientôt –qui pourtant ''coche un minimum de cases''-- n'est qu'une étape de plus vers la Turquie, à qui personne n'a jamais osé dire que ce n’est que comme envahisseur indésirable qu’elle a jamais joué un rôle en Europe... qu'elle aimerait tellement torpiller une bonne fois pour toutes, de l'intérieur... Mais nos européâtres sont si stupides, si incultes et si confits dans leur ''maso-aveuglement''... qu'ils finiront bien par inviter le renard dans le poulailler : ils semblent avoir fait le choix criminel de ne considérer souhaitables que les chemins sans issue et conséquences autres qu'effroyables !
H-Cl.
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Naturelle
“Tu ne sais pas être naturelle.”
C’est elle qui me le disais petite.
Elle ne le dit plus. Je lui ai depuis longtemps demandé
D’arrêter de me faire des remarques.
Mais c’est quoi ce naturel ? Est-ce la normalité
Qu’elle attend toujours de moi ? Ou une attitude
Innée dénuée des artifices de la culture ?
Ou encore un relâchement, genre de lâcher prise?
Quoiqu’il en soit, je n’ai toujours pas trouvé ce graal
Si nécessaire à ce modèle pour me reconnaître comme sienne.
J’ai même glissé à l’oreille de mon cher collègue J.
Lors d’un apéro en terrasse à Nantes
Que nous jouions chacun un rôle et un peu la comédie.
Que nous étions tous un peu en toc.
Je ne reprenais là que mon grand maître
William Shakespeare “All the world is a stage”.
Mais il l’avait mal pris, m’affirmant que lui
Ne jouait pas.
Mon naturel sur le naturel était donc tabou.
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Le relâchement général fait disparaître tout ce qui a une forme, tout ce qui donne une forme, tout ce qui maintient en forme : « Anything goes », « Venez comme vous êtes ». La généralisation du laisser-aller, du débraillé, du manque d'énergie, le goût de la facilité et du moindre effort, la vulgarité des rapports et des sentiments, le désir d'éviter tout ce qui « prend la tête », vont de pair avec l'appauvrissement du vocabulaire.
Alain de Benoist, Décadence, éditorial du n 199 de la revue Éléments.
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“On ne saurait nier que le sacerdoce, en France, n’eût besoin d’être régénéré ; et quoique je sois fort loin d’adopter les déclamations vulgaires sur le clergé, il ne me parait pas moins incontestable que les richesses, le luxe et la pente générale des esprits vers le relâchement, avaient fait décliner ce grand corps ; qu’il était possible souvent de trouver sous le camail un chevalier au lieu d’un apôtre ; et qu’enfin, dans les temps qui précédèrent immédiatement la Révolution, le clergé était descendu, à peu prés autant que l’armée, de la place qu’il avait occupé dans l’opinion générale.”
Joseph de Maistre, Considérations sur la France, 1797.
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