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Le syndrome de Rubinstein-Taybi: Causes, symptômes et traitements
Qu’est-ce que le syndrome de Rubinstein-Taybi ? Le syndrome de Rubinstein-Taybi (SRT) est une maladie génétique se manifestant par un retard de croissance et de développement, accompagné de signes physiques distinctifs tels que des pouces et gros orteils larges, une expression faciale particulière, et une petite taille. Les manifestations, visibles dès la naissance chez certains individus, varient considérablement d'une personne à l'autre. Ce syndrome entraîne un déficit intellectuel allant de modéré à sévère. D'autres anomalies peuvent également être présentes, affectant notamment les yeux, le cœur et le système digestif. Est-ce que c’est un syndrome fréquent ? La prévalence du syndrome de Rubinstein-Taybi, c'est-à-dire le nombre de cas dans une population à un moment donné, est estimée à une personne sur 100 000 à 125 000. Qui peut en être atteint du syndrome de Rubinstein-Taybi ? Il touche aussi bien les filles que les garçons, indépendamment de leur origine géographique. A quoi est dû le syndrome de Rubinstein-Taybi ? Le SRT résulte d'une anomalie génétique, impliquant soit une altération (mutation), soit l'absence d'un gène. Un gène fonctionne comme un « code » fournissant les instructions pour produire une protéine. Les protéines remplissent diverses fonctions essentielles au bon fonctionnement des cellules et de l'organisme dans son ensemble. Dans plus de la moitié des cas de SRT, le gène impliqué est identifié : il s'agit du gène CREBBP (ou CPB), situé sur le chromosome 16, ou du gène EP300, présent dans moins de 5 % des cas et situé sur le chromosome 22. Bien que les chercheurs comprennent la fonction de ces gènes, leur rôle précis dans le développement fœtal demeure inconnu. La maladie est due soit à une anomalie de ces gènes (une erreur dans le « code »), soit à leur absence, connue sous le terme de « délétion » ou « microdélétion », indiquant la perte d'un fragment chromosomique contenant le gène. Dans l'autre moitié des cas, l'anomalie génétique reste inconnue et les gènes impliqués n'ont pas encore été identifiés. Lorsque l'un de ces gènes est défectueux, le fœtus ne se développe pas normalement durant la grossesse, entraînant diverses malformations et compromettant le développement psychomoteur des enfants. Dans la majorité des cas, l'anomalie génétique n'est pas héritée des parents, mais résulte d'un accident génétique survenu de manière aléatoire chez l'enfant. Quelles en sont les manifestations cliniques du syndrome de Rubinstein-Taybi ? Les manifestations du syndrome de Rubinstein-Taybi varient considérablement d'une personne à l'autre. Certaines sont présentes chez presque tous les malades, tandis que d'autres n'affectent que certains individus avec des degrés de sévérité divers. Ainsi, tous les enfants atteints ne présenteront pas l'ensemble des manifestations décrites. Chaque cas est unique et chaque enfant évolue différemment. À la naissance, il est souvent possible pour les médecins de diagnostiquer immédiatement le SRT en raison de certaines anomalies physiques, particulièrement visibles au niveau des mains et des pieds. Cependant, ce diagnostic immédiat n'est pas possible chez tous les enfants atteints. Il est fréquent que les bébés atteints de SRT aient des difficultés respiratoires et alimentaires dans les premiers mois de vie, nécessitant parfois une hospitalisation dès la naissance. Ces enfants sont plus fragiles que les autres, grandissent moins vite et sont sujets à des infections récurrentes (otites, bronchites). Ils présentent souvent une hypotonie, apparaissant "mous" avec un faible tonus musculaire. Parfois, les seuls problèmes observés dans les premiers mois de vie sont la constipation ou le reflux gastro-œsophagien (remontée du contenu de l'estomac dans l'œsophage). Anomalies des pouces et des gros orteils La majorité des enfants atteints présentent des anomalies des pouces et des gros orteils, souvent très larges. De plus, les pouces ont souvent un angle anormal, avec la dernière phalange déviée vers l'intérieur. Dans certains cas, la dernière phalange du pouce est dédoublée ou luxée, rendant difficile la prise d'objets. Les autres doigts peuvent également être élargis, mais de manière moins prononcée. Certains enfants présentent des doigts ou des orteils surnuméraires (comme un sixième orteil) ou des doigts palmés. Ces anomalies peuvent être corrigées chirurgicalement si elles sont trop gênantes. Traits physiques particuliers Les enfants atteints de SRT présentent des caractéristiques faciales distinctives, les faisant parfois ressembler plus à d'autres enfants atteints qu'à leurs frères et sœurs. Ces traits deviennent plus évidents avec le temps. Les signes principaux incluent une petite tête (microcéphalie) avec un petit menton, des yeux légèrement tombants avec de longs cils, et une petite bouche. Les sourcils sont souvent épais et en "accent circonflexe". Dès la naissance, certains bébés ont une pilosité corporelle importante et des cheveux particulièrement épais (hirsutisme). Les oreilles sont souvent basses et peuvent avoir une forme anormale. Dans la bouche, le palais est souvent étroit et voûté, avec des anomalies d'implantation ou de forme des dents. Les personnes atteintes ont un sourire typique, avec les yeux en "demi-lunes". Croissance Pendant la grossesse, le bébé atteint de SRT grandit normalement, mais après la naissance, sa croissance ralentit par rapport aux autres enfants du même âge. À l'âge adulte, la taille est généralement inférieure à la moyenne : environ 1,53 m pour les hommes et 1,46 m pour les femmes, bien que cela puisse varier. L'obésité est fréquente chez les adolescents atteints de SRT. La puberté et le développement sexuel se déroulent normalement. Développement et déficit intellectuel Les enfants atteints de SRT se développent plus lentement que les autres. Le retard psychomoteur varie d'un enfant à l'autre et peut parfois être difficile à percevoir dans les formes moins sévères. En général, il existe un retard psychomoteur modéré à sévère, affectant des capacités telles que s'asseoir, marcher et parler. La plupart des enfants apprennent à ramper entre 1 et 2 ans, et à marcher entre 2 et 4 ans. Les premiers mots sont généralement prononcés après 2 ans, le retard de langage étant notable chez 90 % des enfants atteints. Certains réussissent à bien s'exprimer par la suite, mais beaucoup restent incapables de maîtriser le langage et utilisent des gestes ou des bruits. La communication par signes est souvent très utile et efficace avec ces enfants. Anomalies des yeux Les anomalies oculaires, variables selon les enfants, sont courantes. Le canal lacrymal peut être bouché, entraînant un larmoiement constant. Beaucoup d'enfants voient flou et nécessitent des lunettes. Le strabisme est fréquent, et dans certains cas, le glaucome (pression excessive dans l'œil) peut se développer, nécessitant une intervention chirurgicale pour éviter la perte de vision. Le cristallin peut également devenir opaque (cataracte), nécessitant une surveillance ophtalmologique régulière. Anomalies du cœur Plus d'un tiers des enfants atteints de SRT présentent des anomalies cardiaques, de gravité variable. Certaines nécessitent une chirurgie dès les premières semaines de vie. La "persistance du canal artériel" est une malformation fréquente, pouvant entraîner des difficultés respiratoires et des infections pulmonaires. Autres anomalies Des anomalies des organes génitaux, des os et des articulations, et de la peau sont également fréquentes. Les anomalies du système digestif, comme la constipation sévère et le reflux gastro-œsophagien, sont particulièrement courantes. Les enfants peuvent également souffrir d'apnées du sommeil et de nombreux problèmes dentaires. En résumé, les manifestations du SRT sont très variées et chaque enfant évolue différemment, nécessitant une prise en charge adaptée et individualisée. Comment expliquer les symptômes ? L'anomalie génétique responsable du SRT provoque des problèmes de développement de plusieurs organes pendant la grossesse. Toutefois, les mécanismes précis à l'origine de ces différentes malformations restent inconnus. Quelle est l’évolution de ce syndrome ? Bien que les enfants atteints de SRT partagent de nombreux symptômes, chacun est unique, rendant difficile une généralisation de l'évolution du syndrome. Ainsi, toutes les personnes atteintes ne présentent pas l'ensemble des symptômes mentionnés. La gravité des malformations, notamment cardiaques, varie considérablement d'une personne à l'autre. De même, en ce qui concerne le développement psychomoteur, chaque enfant a son propre potentiel et son propre rythme de développement. À la naissance, les bébés ont souvent des difficultés à prendre du poids, ce qui les rend particulièrement fragiles et sensibles aux infections. Cette fragilité, associée à de possibles malformations cardiaques graves, peut mettre en danger la vie des nouveau-nés. Tout au long de leur vie, les personnes atteintes peuvent souffrir d'infections sévères, principalement respiratoires. De plus, elles semblent plus susceptibles de développer des tumeurs, cancéreuses ou non. Les enfants ont notamment un risque accru de leucémie, bien que cela reste rare. Le retard psychomoteur persiste toute la vie, avec une sévérité variable. Les problèmes visuels, dentaires ou articulaires peuvent s'aggraver avec l'âge, affectant négativement la qualité de vie. Toutefois, avec un encadrement adapté, les enfants peuvent généralement faire des progrès significatifs sur les plans physique et intellectuel. Une prise en charge médicale appropriée permet également de réduire les complications médicales, et la plupart des personnes atteintes vivent bien jusqu'à un âge avancé. En fonction de la sévérité de la maladie, certaines personnes peuvent, à l'âge adulte, exercer une activité professionnelle dans un environnement adapté et s'épanouir socialement. Comment faire le diagnostic du syndrome de Rubinstein-Taybi ? Le diagnostic repose principalement sur l'observation des divers symptômes présentés par l'enfant lors de l'examen clinique. La configuration typique des pouces et des orteils constitue souvent un signal d'alerte pour les médecins dès la naissance, les incitant à rechercher d'autres anomalies potentiellement associées au syndrome de Rubinstein-Taybi (SRT). Des tests génétiques, réalisés à partir d'une prise de sang, sont généralement entrepris, bien qu'ils ne permettent de détecter les anomalies que dans environ la moitié des cas (voir ci-dessous). Lorsque les caractéristiques physiques telles que les traits du visage et les anomalies des doigts ne sont pas clairement apparentes, il peut être nécessaire d'attendre plusieurs mois et d'évaluer le développement psychomoteur de l'enfant pour confirmer le diagnostic. Quels sont les examens complémentaires à réaliser? A quoi vont-ils servir ? Lorsqu'un médecin suspecte un syndrome de Rubinstein-Taybi (SRT), il prescrit divers examens pour identifier les anomalies associées. En parallèle, un test génétique est réalisé pour détecter l'anomalie responsable. Examen du cœur : Une échocardiographie est effectuée pour visualiser le cœur et identifier d'éventuelles malformations grâce aux ultrasons. Dans certains cas, un électrocardiogramme (ECG) est réalisé pour détecter des troubles du rythme cardiaque. Cet examen enregistre l'activité cardiaque à l'aide d'électrodes placées sur les poignets, les chevilles et le torse. Examen des reins : Une échographie des reins peut révéler des malformations. Des analyses de sang peuvent également être nécessaires pour vérifier le bon fonctionnement des reins. Examen des os : Une radiographie des mains ou des pieds permet d'identifier plus précisément les malformations des doigts et des orteils, comme la duplication de certaines phalanges. Cela aide les chirurgiens à visualiser les os avant une éventuelle chirurgie correctrice. Évaluation de la vision : Il est crucial d'évaluer régulièrement la vision des enfants, car ils présentent souvent des anomalies oculaires. L'examen ophtalmologique, bien que délicat chez les très jeunes enfants, peut déterminer si l'enfant réagit à la lumière et s'il suit des objets des yeux. Examen génétique : Le diagnostic génétique est confirmé dans près de la moitié des cas. Il consiste à rechercher l'anomalie génétique responsable du SRT à partir d'un échantillon de sang envoyé à un laboratoire spécialisé. Les résultats, souvent disponibles après plusieurs mois voire un an, visent d'abord à détecter des délétions du gène CPB, présentes chez environ 10 à 15 % des patients. Si aucune délétion n'est trouvée, des anomalies du gène (mutations) sont recherchées. En l'absence d'anomalies du CPB, le gène EP300 est analysé. Les analyses peuvent également être effectuées sur les parents pour confirmer que l'anomalie trouvée chez l'enfant est pathogène et non une variation génétique familiale normale. Dans environ la moitié des cas, les analyses génétiques ne révèlent aucune anomalie, et le diagnostic repose alors uniquement sur les manifestations cliniques de l'enfant. Peut-on confondre ce syndrome avec d’autres ? Lesquels ? Le syndrome de Rubinstein-Taybi (SRT) peut être difficile à différencier du syndrome de Saethre-Chotzen et du syndrome de Cornelia de Lange, tous deux associés à un déficit intellectuel. Comme le SRT, le syndrome de Saethre-Chotzen se manifeste par un élargissement des gros orteils, des malformations des doigts et des traits faciaux distinctifs. Toutefois, certaines anomalies crâniennes, visibles par radiographie ou imagerie par résonance magnétique (IRM), permettent de le distinguer du SRT. Le syndrome de Cornelia de Lange se caractérise également par un petit menton, des sourcils arqués et des anomalies des doigts. Cependant, les enfants atteints présentent aussi un retard de croissance significatif avant la naissance, ainsi que des membres particulièrement courts, ce qui n'est pas le cas pour le SRT. Enfin, en présence de malformations cardiaques graves à la naissance, les médecins peuvent initialement suspecter une trisomie 13, une affection généralement très grave. Le diagnostic de trisomie 13 peut être rapidement écarté par une analyse chromosomique (caryotype), réalisée à partir d'une prise de sang. Quels sont les risques de transmission du syndrome de Rubinstein-Taybi aux enfants et aux autres membres de la famille ? Dans la grande majorité des cas, le syndrome de Rubinstein-Taybi (SRT) est sporadique, ce qui signifie qu'il survient de manière isolée sans qu'aucun autre membre de la famille ne soit affecté. Autrement dit, le syndrome résulte d’un « accident » génétique et n’est pas hérité des parents. Par conséquent, pour des parents ayant déjà eu un enfant atteint du SRT, le risque de donner naissance à un autre enfant affecté est très faible, environ 1 pour 1000. Les modes de transmission du SRT et les risques pour un couple d’avoir de nouveau un enfant atteint peuvent être précisés lors d’une consultation de génétique. Pour les personnes atteintes du SRT qui deviennent parents, le risque de transmettre le syndrome à leur enfant est de 50 % à chaque grossesse, car le mode de transmission est autosomique dominant. Peut-on faire un diagnostic prénatal du syndrome de Rubinstein-Taybi? Généralement, les échographies réalisées au cours de la grossesse ne permettent pas de détecter le SRT, car les anomalies physiques associées ne sont pas toujours visibles. Toutefois, des anomalies des extrémités et du cœur peuvent parfois être détectées, bien que cela ne permette pas de conclure définitivement à un SRT. Pour les couples ayant déjà eu un enfant atteint, un diagnostic prénatal peut être proposé si l’anomalie génétique a été identifiée chez cet enfant. Il existe deux types principaux d'anomalies : Cytogénétique : correspond à la délétion d’un morceau d’ADN (microdélétion), détectée par un caryotype de l’enfant à naître. Cette technique utilise la FISH (fluorescent in situ hybridization) pour rechercher une éventuelle délétion. Moléculaire : implique la recherche de mutations dans le gène CBP (sur le chromosome 16) ou dans le gène EP300 (sur le chromosome 22). Cette analyse peut être réalisée sur des cellules prélevées lors d’une amniocentèse ou d’un prélèvement de villosités choriales. L'amniocentèse permet d’examiner les cellules flottant dans le liquide amniotique entourant le fœtus. Ce prélèvement se fait à travers la paroi abdominale de la mère et est généralement réalisé vers la 14e semaine d’aménorrhée (absence de menstruation). Le prélèvement de villosités choriales se pratique plus tôt dans la grossesse, vers la 12e semaine d’aménorrhée. Ce prélèvement consiste à collecter une petite quantité de tissu à l’origine du placenta (trophoblaste), soit par voie vaginale soit à travers la paroi abdominale, selon la position du placenta. Ces procédures comportent un faible risque de fausse couche, variant selon la technique de prélèvement utilisée. Il est essentiel de discuter de ces risques lors d’une consultation de génétique, surtout compte tenu du faible risque d’avoir un second enfant atteint de SRT. Existe-t-il un traitement pour ce syndrome ? Quels sont les modes de prise en charge ? Il n'existe pas de traitement curatif pour le syndrome de Rubinstein-Taybi (SRT). Les personnes atteintes présentent des symptômes très variés et de gravité diverse. Par conséquent, la prise en charge doit être personnalisée pour chaque patient. Toutefois, tous les enfants atteints du SRT doivent bénéficier de programmes éducatifs adaptés pour maximiser leur potentiel et acquérir le plus d'autonomie possible. Stimulation sensorielle et communication : Il est essentiel de stimuler les sens des enfants à travers des manipulations douces, des massages et divers modes de communication tels que les images, les symboles, les pictogrammes et le langage des signes. L'apprentissage du langage des signes est particulièrement bénéfique pour aider les enfants à s'exprimer par tous les moyens disponibles. Rééducation du langage : Une rééducation orthophonique est indispensable, car les enfants atteints de SRT rencontrent souvent des difficultés majeures dans ce domaine. L'orthophoniste joue un rôle crucial dans l'amélioration des compétences linguistiques de l'enfant. Prise en charge motrice : Une prise en charge psychomotrice est souvent nécessaire pour compenser les déficits moteurs. Elle aide l'enfant à utiliser ses capacités visuelles, à développer sa force musculaire pour se tenir debout et à apprendre à marcher. La physiothérapie est également importante pour optimiser les capacités physiques de l'enfant. Elle peut inclure diverses techniques de rééducation, telles que les massages, les exercices et les séances en piscine. Kinésithérapie : Pour les enfants ayant des problèmes d'articulations, des séances de kinésithérapie sont recommandées. Ces séances aident à maintenir l'amplitude des mouvements, à améliorer la digestion et la respiration, et à limiter les douleurs articulaires. Quelles sont les autres options de prise en charge ? Tous les symptômes du syndrome de Rubinstein-Taybi (SRT) nécessitent une prise en charge spécifique dès le diagnostic, voire avant si le bébé présente des problèmes. Première année de vie : Un suivi médical spécialisé est instauré pour s'assurer que l'enfant mange et grandit bien. Les problèmes de reflux gastro-œsophagien et de constipation sont traités par divers médicaments, bien que ces derniers ne soient parfois pas totalement efficaces. La constipation persiste souvent durant l'enfance et reste difficile à traiter. Certains aliments, recommandés par le médecin, peuvent faciliter la digestion et soulager l'enfant. Malformations cardiaques : En cas de malformation cardiaque grave, une intervention chirurgicale est rapidement programmée. Read the full article
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Ostéopathe Besançon. Diplômée d'ostéopathie ISO Lyon formation en 6 ans. Votre ostéopathe accueille bébés, mamans, enfants, adultes, séniors, sportifs. Ses champs de compétences: projet de parentalité, suivi de grossesse, naissance, déformations crâniennes. Techniques manuelles pour soulager les douleurs et les tensions musculaires, articulaires et viscérales. Que ce soit pour des problèmes de dos, lumbago, de migraines, de digestion, constipation, ballonnements, reflux gastrique, douleurs liées à la grossesse (lombalgies, sciatalgies, etc.), troubles respiratoires (asthme, bronchites, sinusites, etc.), fatigue chronique, douleurs liées à la pratique sportive, douleurs liées à la posture et à l'ergonomie, blessures traumatiques (entorses, contusions, etc.) ou de stress, votre ostéopathe Besançon peut vous aider à retrouver votre bien-être.
Christine Bonnet ostéopathe Besançon.
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20 astuces pour s'occuper de votre bébé au quotidien| Comment bien changer votre enfant pendant la nuit| Les meilleurs accessoires pour nourrir votre bébé| La maternité : les astuces pour bien gérer cette période| Nos conseils pour gérer travail et maternité| S'occuper de soi après la grossesse : nos astuces
Le portage : idéal pour apaiser bébé
Il possède un système d’extension invisible et d’un cache-cœur intégré. Long et doux, il a une capuche et de longues manches et des passe-pouces. Dans une déclaration du 13 février, le collectif Pas de bébés à la... Le lien d’attachement est la première étape, qui conduira ensuite les tout-petits à développer émotionnellement un lien social. Comment les mères des enfants prématurés se substituent aux couveuses, ESF, 1996.
Et puis il ne peut pas aider à l'installation, plus complexe, car il n'est pas encore capable de s'accrocher» précise-t-elle. «En le portant tout contre lui, le parent peut l'observer finement, percevoir ses signaux corporels, repérer ses cycles de sommeil, le moment où la faim survient» souligne l'ostéopathe. Porter son bébé tout contre soi grâce à une écharpe, une expérience riche en émotions et source de nombreux bienfaits. Les explications et conseils d’Alexandra Richard, ostéopathe périnatale et pédiatrique. Il faut bien l’avouer, les nerfs sont souvent mis à rude épreuve lorsque bébé pleure beaucoup.
Ici, seules les 4 lanières situées aux extrémités de l’assise en tissu sont à nouer. Porter avec le Mei Tai est plus aisé et rapide qu’avec une écharpe tissée classique. En outre, l’écharpe n’entrave pas les mouvements du petit, il peut tout à fait bouger et prend même conscience de son corps plus rapidement.
Parrainez vos amis et bénéficiez de 5 € pour chaque filleul parrainé passant commande ! Ces euros sont cumulables et transformables en bons d’achat utilisables sur tout notre site. La tête se trouve dans l’alignement du tronc et les mains sont à portée de sa bouche. Collé à son parent (comme le petit chimpanzé accroché à sa mère), le nouveau-né est apaisé. Lors des déplacements, le portage protège l'enfant des stimulations. Si leportage est physiologique,il favorise le bon développement des hanches et du dos.
Vous trouverez ci-dessous les instructions étape par étape pour attacher une écharpe de portage dans la position contre soi, ainsi qu’une vidéo pour vous montrer comment procéder. Le bébé est placé en vertical, position qui évite les reflux, favorise les rots, et diminue les coliques. Seul hic, l'écharpe de portage est souvent bien compliquée à utiliser sans un bon entraînement. L'écharpe de portage Néobulle permet un portage harmonieux et respectueux de votre bébé, en totale sécurité.Elle vous permettra, selon le noeud... Pour porter bébé lors des saisons chaudes, la marque Boba a créé une nouvelle version de sa Boba Wrap en créant une nouvelle écharpe en bambou.... Le marque polonaise Lennylamb a créé une gamme d'écharpe de portage "Basic Line" pour allier portage de qualité et petit budget.
Dans ces moments-là, on peut même avoir l’impression de mal faire et se sentir parfois dépassé. Ça coule de source, la proximité qu’offre le portage rend la relation parent-enfant encore plus intense. Durant le portage, vous êtes bien placé pour remarquer les signes d’inconfort de votre bébé et répondre rapidement à ses besoins.
L’adulte peut commenter ce que semble regarder bébé, le parent parle beaucoup plus à son enfant. Pendant le portage, bébé peut s’endormir tranquillement bercé par les mouvements. Le sommeil en mouvement en journée étant différent du sommeil de nuit, dans le noir et dans son lit. Bébé se retrouve dans un contenant qui lui rappelle quand il était encore dans le ventre de sa mère, cela va donc lui permettre une transition en douceur dès la naissance.
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L'écharpe de portage Sling est une écharpe de portage classique, de très bonne qualité avec un tissu respirant et élastique grâce à un maillage spécifique, permettant une excellente tenue dans le temps. Souple, dense et respirante, cette écharpe de portage enveloppe l'enfant et maintien son corps sans faux plis ; elle procure un portage unique, efficace et très agréable pour bébé et pour le porteur. Votre enfant marche depuis un moment maintenant, alors pourquoi continuer à le porter ? Certes, il sait marcher, mais ses petites jambes fatiguent très vite et il réclame rapidement vos bras. Le portage à bras d'un grand bébé de plus de 2 ans fatigue très vite les bras, le dos ou le cou si vous le portez sur vos épaules. C'est pourquoi Ling Ling d'amour a créé des porte-bébés spécialement conçus pour le portage des bambins.
Vous disposez d’un délai de 30 jours à compter de l’expédition de votre commande pour échanger ou retourner le article ne convenant pas dans la boutique de votre choix. Nous avons choisi ces portes bébé par rapport à notre style de vie et par rapport au stade de développement d’Arthur. A partir de toutes ces données, les chercheurs concluent que le portage est très bénéfique aux bébés. Il stimule la production de lait et la délivrance d'hormones qui procurent du lait, mais aussi de la détente et des antalgiques au corps de la jeune maman (même non allaitante). En plus de favoriser le sommeil, il stimule le développement cognitif avec des stimulations sensorielles multiples.
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10 conseils pour gérer votre nouveau-né au quotidien| Pourquoi bien mieux nourrir votre nouveau-né la journée| Les meilleurs accessoires pour nourrir votre enfant| Devenir mère : nos astuces pour bien mieux vivre cette période| Nos idées pour concilier carrière et maternité| S'occuper de soi après la naissance : nos idées
Les bienfaits du portage
Ultra confortables en toute saison et physiologiques, le HoodieCarrier et le PhysioCarrier vous accompagnent pour les petits dodos chez vous comme les grandes balades à l'autre bout du Monde. Par ailleurs, il peut facilement émettre des rots, ce qui évite les reflux et diminue les coliques. Questions de parentsQuestions de parents Santé, éducation, alimentation, sommeil… découvrez des astuces de parents pour mieux vivre votre parentalité. Cela permet de multiplier les modes de portage et les contacts. Cet environnement physique, affectif, va permettre à l’enfant d’expérimenter sereinement.
Par exemple, un portage asymétrique n’est pas indiqué pour un bébé de 10 kg, en tout cas pas sur une longue période… Porter devant un gros gabarit peut être confortable, mais pas pendant des heures. Si l’on part en randonnée par exemple, mieux vaut adopter un portage dans le dos. Le portage, par ses mouvements de bercement, réveille les sensations kinesthésiques du bébé (il lui permet de prendre conscience de son corps ainsi enveloppé et en mouvement) et stimule son système vestibulaire. Ce système présent dans l’oreille interne contribue à la sensation de mouvement et au sens de l’équilibre. Certains spécialistes affirment que cela influence favorablement le développement moteur des bébés portés.
Ce n’est pas seulement une manière douce de créer des liens avec votre bébé, c’est aussi un moyen de commencer à vous reconnecter à votre beau corps après la naissance. Tout d'abord, porter son bébé dès sa naissance va favoriser l'attachement à son porteur. L'écharpe de portage Néobulle Anthracite est une écharpe à nouer d'une couleur gris foncée qui permet de porter bébé en respectant la physiologie... Le portage est http://camillechauvet551.over-blog.com/2023/03/15-conseils-pour-gerer-votre-enfant-au-quotidien-comment-bien-mieux-nourrir-votre-enfant-pendant-la-nuit-les-plus-pratiques-produits-pour-prendre-soin-de-votre-nouveau-ne-devenir-mere-les-conseils-pour-bien-vivre-sa-periode-nos-conseils-pour-gerer donc un moment de partage et de bienveillance entre le parent et l’enfant pour favoriser le lien d’attachement. Pour en savoir plus sur le portage consultez notre articleici.
Et, à retenir car c’est souvent une angoisse des jeunes parents, le portage facilite la digestion, et diminue les coliques. En gardant bébé en portage contre soi, après l’allaitement ou le biberon,on évite les régurgitations dû au fait que l’estomac de bébé n’est pas encore fermé. Le contact étroit facilite l’allaitement, favorise la succion, les tétées fréquentes. Certaines positions en écharpe sont très pratiques pour allaiter discrètement en toutes circonstances ou donner le biberon sans défaire l’écharpe. L’écharpe de portage est idéale pour les hanches du bébé puisqu’elle respecte leur position physiologique.
Le portage assure une proximité mère-père/enfant très importante et contrairement à l’idée reçue, les bébés portés deviennent plus rapidement indépendants. En effet, ils se sentent ainsi en sécurité, aimés et respectés dans leurs besoins. L’écharpe tissée consiste en un large pan de tissu qui est plus polyvalent, mais qui nécessite une bonne connaissance des différents nouages. Elle s’adresse principalement aux futurs parents désireux d’apprendre la technique ou aux parents ayant déjà pratiqué le portage. La méthode de tissage permet d’utiliser ces écharpes plus longtemps, puisque le poids supporté est plus lourd. Le porte-bébé prend également soin de vos membres, puisque porter bébé de cette façon est moins fatigant que de le tenir dans les bras.
C’est sûrement l’acte le plus commun d’un jeune parent et même d’un plus aguerri. Pourtant porter correctement son enfant, en respectant ses besoins, son anatomie, et la nôtre, n’a rien d’évident. La tête doit toujours être bien à l’extérieur de l’écharpe et les voies respiratoires bien dégagées.
Les slings sont des écharpes courtes avec deux anneaux cousus à une extrémité. Pensez seulement à la manière dont votre enfant se sent maintenant, il n’est plus dans votre ventre, bien au chaud et confortable. Il n’entend plus le son rassurant du cœur de maman, au contraire, il entend les sons très clairement. C’est normal qu’il ait parfois peur, qu’il ressente la solitude et des regrets et demande votre proximité. Les bébés expriment leurs émotions en pleurant et ne se calment qu’une fois dans vos bras, avec une odeur et un battement de coeur familier. Le CRP Les Relevailles de Montréal offre une formation de 35 heures pour devenir formateur de portage en écharpe.
Le bon choix du type de portage d’un bébé offre de nombreux bienfaits sur son bien-être. Non seulement l’écharpe vous aidera dans la maternité, mais elle pourrait aussi devenir votre vêtement préféré. Les couleurs et les motifs vous permettront de choisir l’écharpe parfaite pour toutes les occasions. Vous pouvez nettoyer, cuisiner, suspendre vos vêtements, faire les courses, lire, travailler à votre ordinateur, jouer avec votre enfant plus vieux, sortir le chien pour une promenade, tout en portant!
Répondre à toutes les questions que les parents se posent et soutenir leur parentalité, dans un climat de partage et de bienveillance. Le bébé qui vit une relation d’attachement sécurisante va pouvoir se développer et découvrir le monde qui l’entoure avec confiance. L’un des bienfaits principal du portage physiologique est de rassurer bébé. Si vous avez le sentiment de devoir tenir votre bébé, c’est qu’il y a certainement un problème avec le nouage de votre écharpe ou les attaches de votre porte-bébé. Il est alors préférable de sortir l’enfant du dispositif de portage, de le vérifier puis de recommencer son installation.
Favorise l’allaitement maternel en créant un contact corporel. Libère les bras et permet de continuer ses activités librement. Facilite la digestion et l’évacuation de l’air dans le système digestif, diminue les problèmes de reflux. Inscrivez-vous comme adhérents de l'association Porter Son Enfant et bénéficiez de nombreux avantages. Le bassin des femmes n'étant pas devenu plus large, alors nos bébés naissent plus tôt que l'état d'achèvement des autres mammifères.
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Sommeil de bébé : notre deuxième expérience
Si vous suivez mon blog depuis plusieurs années, vous savez peut-être qu’on a traversé une première année compliquée avec notre fille aînée, Lou, à cause de son RGO, mais aussi de son sommeil. Ma deuxième fille, Suzanne, a eu 2 ans il y a quelques semaines, et je ne crois pas avoir déjà parlé de son sommeil ici. Mais avec un peu de recul sur ces deux expériences différentes, je trouve ça intéressant de faire un point à ce sujet.
Historique de notre première expérience en matière de sommeil d’enfant
Pour faire un rapide rappel, Lou avait donc un RGO interne sévère, qui a été traité pendant 2 ans, et une allergie retardée aux protéines de lait de vache (et autres laits animaux) découverte sur le tard. On a pu réintroduire les produits laitiers à ses 2 ans et demi.
Elle a extrêmement mal dormi sa première année, à raison de 10 à 15 réveils par nuit entre ses 3 mois et ses 13 mois. Avant la régression du sommeil à 3 mois, elle ne faisait pas ses nuits mais c’était correct, des plages de sommeil de 2-3 heures d’affilée. À 13 mois, on a fait un sevrage nocturne, car je l’allaitais jour et nuit, et cela a mené à des nuits un peu moins pires. Environ 5 réveils par nuit, rapidement réglés en lui redonnant sa tétine.
Puis petit à petit elle a baissé le nombre de réveils nocturnes, on est restés longtemps à 1 ou 2, mais pour être honnête, après l’enfer de la première année à ne jamais dormir plus de 20 minutes d’affilée je trouvais ça tout à fait acceptable. Ce qui m’embêtait plus c’est que les couchers étaient longs et qu’il fallait rester avec elle jusqu’à son endormissement.
À 18 mois elle a arrêté les siestes, et les couchers se sont améliorés, elle s’endormait en 10 minutes. Puis je crois que vers 2 ans et demi – 3 ans on a doucement glissé à 0 réveils la plupart des nuits, et un endormissement autonome. On a testé des trucs, mais rien de particulièrement remarquable, je crois que c’est surtout le temps qui a fait son œuvre, elle était enfin prête.
Deuxième bébé, un modèle différent
On en a profité quelques mois et puis hop, une petite sœur ! On appréhendait de se replonger dans des nuits compliquées. Évidemment on était terrorisés de repasser par l’exact même scénario : RGO, APLV, nuits d’enfer, endormissements compliqués. Sachant que les reflux et les allergies se retrouvent assez communément dans les fratries, puisqu’il y a un terrain familial.
Bingo, 1 semaine après la naissance de Suzanne, la pédiatre nous annonce le verdict : elle a un reflux et probablement une APLV. Mais quand même, cela semblait moins sévère que pour Lou, et cela s’est confirmé. Au bout de 6 mois on a même pu la sevrer de l’Inexium, et j’ai pu reconsommer des produits laitiers. Et sous Inexium c’était un bébé quand même assez calme et facile, rien à voir avec les hurlements constants de sa sœur au même âge. Peut-être aussi parce que cette fois-ci la cause a été identifiée et traitée très tôt.
Mais on se disait : mouais, son calme c’est peut-être juste le temps qu’elle atterrisse de l’accouchement, c’est un coup de chance mais ça ne va pas durer, on ne nous la fait pas ! On était tellement traumatisés par notre première expérience en la matière qu’on s’attendait à tout moment à ce que la tempête arrive et dévaste tout sur son passage. Tout n’a pas été un long fleuve tranquille, mais la tempête redoutée n’est pas arrivée.
Comme beaucoup de bébés elle a fait de longs pleurs de décharge, plusieurs heures chaque soir pendant 2 mois. Rémy rentre très tard du travail donc j’ai le souvenir vif de la gestion de ces moments difficiles seule. Une fois Lou couchée, j’allumais la tortue lumineuse qui fait des bruits de vagues, je m’allongeais sur mon lit, Suzanne sur mon ventre puis je la berçais comme ça en fixant le plafond, et en relançant la veilleuse toutes les 20 minutes. La lumière bleue de la tortue est à jamais associée aux pleurs de bébé dans mon esprit.
Mais à part ça, c’était un bébé assez tranquille, qu’on pouvait poser la plupart du temps, qui passait de longs moments sans pleurer, qui s’endormait même spontanément sur son tapis d’éveil, une situation vraiment inédite et inespérée pour nous !
Une préparation de choc
Vous me connaissez (ou pas), je suis sur-organisée et je n’avais pas l’intention de me faire avoir deux fois niveau bébés qui ne dorment pas, c’est bon j’ai eu ma dose. Donc j’avais préparé tout un tas de trucs pour être sûre que mon bébé pourrait être posé, et qu’il ne s’endormirait pas qu’au sein ou en portage.
J’avais prévu des gadgets pour convaincre ce bébé qu’il y avait d’autres endroits sympas où se poser que sa maman : des topponcinos, des tissus qui gardent la chaleur et l’odeur du bébé, je l’allaitais avec ça entre nous, puis je la déposais dans son berceau, toujours sur le topponcino, l’objectif est que le froid du berceau ne réveille pas l’enfant ; il y avait aussi le Cocoonababy (en plus du transat qu’on avait déjà) ; et tout un tas de veilleuses et de choses dont je ne me rappelle plus.
Je voulais aussi à tout prix qu’elle ne prenne pas l’habitude de s’endormir au sein (Lou ne s’endormait QUE au sein, pendant très longtemps), donc très rapidement j’ai pris le pli de faire la dernière tétée du soir dans le salon, assise, lumière allumée, pour distinguer ce moment du coucher et de l’endormissement. L’objectif était donc de ne pas faire la dernière tétée du soir allongée dans le lit, dans le noir (même si les tétées de la nuit se faisaient sur ce mode).
Enfin, je l’ai emmaillotée dès sa première nuit à la maternité, parce que ça fonctionnait bien sur Lou, et ça a eu l’effet escompté sur elle aussi, même si elle a quand même beaucoup dormi sur moi au début, ventre contre ventre (je ne m’en souviens absolument pas, je l’ai relu dans mon journal que j’écris pour elle). Mais je tenais tout autant à la sevrer de l’emmaillotage tôt. Là encore, pour Lou cela avait été très compliqué, elle n’a réussi à s’en passer complètement qu’à… 10 mois ! Pour Suzanne, à 2 mois et demi c’était terminé, grâce notamment à l’usage d’une gigoteuse de transition.
La différenciation tétée / endormissement et le sevrage de l’emmaillotage, je voulais absolument que cela soit réglé avant ses 3 mois. Je ne sais absolument pas si c’est vrai mais je voyais ce cap des 3 mois comme le moment où on instaure de « bonnes habitudes » durables, un coche à ne pas louper. Je ne voulais pas me sentir dépassée comme je l’avais été avec Lou, et avoir l’impression d’avoir raté quelque chose.
Ce ne sont pas forcément des choses que je conseille, mais j’avais besoin MOI de les mettre en place pour me sentir actrice du truc. Est-ce que ça a fonctionné ? Aucune idée, parce qu’en fait Suzanne étant un bébé cool, elle avait déjà pas mal de ressources en elle. Elle s’est endormie seule dès le premier jour par exemple, elle a très très vite trouvé son pouce pour s’apaiser seule et s’endormir comme ça. Elle ne s’endormait pas au sein, on pouvait la poser, elle dormait relativement bien. Est-ce que mes trucs ont aidé ? Vraiment, je ne sais pas, je pense que sans ça le scénario aurait été sensiblement le même.
On a juste eu pas de bol la première fois, et relativement du bol la deuxième. Et quelque part j’ai trouvé ça rassurant, ce n’était pas nous le souci, on avait rien raté avec Lou, on n’aurait pas forcément pu faire mieux, c’était juste comme ça. Son reflux la faisait horriblement souffrir et ça a entraîné d’autres souffrances et difficultés. Mêmes parents, enfants différents, et surtout contextes différents.
Le cheminement vers des nuits sans réveils
Mais alors, elle dormait comment la Susu ? Elle a assez vite fait de bonnes plages de sommeil et les a allongé petit à petit, jusqu’à faire de vraies nuits complètes de plus de 10 heures d’affilée à 2 mois !
Fin de l’histoire ? Non, cela aurait été trop beau ! On redoutait la fameuse régression du sommeil à 3 mois, qui avait tout foutu en l’air chez Lou, et elle est venue à l’heure dite. Les bonnes nuits n’ont donc duré que quelques jours. Mais c’était déjà ça de pris, et surtout je trouvais ça très positif qu’elle en soit capable.
Par la suite, elle a fait de temps en temps une bonne nuit, et la plupart du temps des nuits avec quelques réveils tétées. Vers 8-9 mois elle n’était plus qu’à 1 ou 2 réveils pour téter, cela devait durer seulement 10-15 minutes je crois. Elle dort dans la même chambre que Lou depuis ses 6 mois donc je devais désormais me lever pour aller l’allaiter dans son lit au sol. Fini le côté pratique du berceau cododo, mais elle était trop grande pour rester dedans.
Dans son journal, j’ai noté qu’autour de 10 mois elle faisait une nuit complète de 12 heures environ 2 fois par mois. Puis à 1 an on est repassés à 2-3 réveils, et à une nuit complète toutes les 6 semaines. Le sommeil n’est vraiment pas un long fleuve tranquille, un pas en avant, deux en arrière.
Et moi, autant la première année d’un bébé j’encaisse les nuits parce que c’est « dans l’ordre des choses » et que j’ai encore un peu de patience en réserve, autant dès le premier anniversaire je switche sur un autre mode et je ne supporte plus cette privation de sommeil répétée, je le ressens comme de la torture !
Vers 15 mois, on a fait un sevrage nocturne. On a opéré de la même manière que pour Lou (j’en parle dans cet article), c’est-à-dire que Rémy a pris le relais à 100 % des nuits. Ça a bien pris, et dès la deuxième nuit elle a dormi 14 heures d’affilée !
Mais c’est là qu’un nouvel obstacle s’est présenté : les insomnies.
Les insomnies, ou quand tu crois avoir déjà connu toutes les pires galères possibles en matière de sommeil, et en fait non
Les réveils multiples, les endormissements à rallonge, ça c’est des choses qu’on connaissait bien avec Lou. Mais les insomnies de bébé ? Absolument pas ! Suzanne nous a fait le plaisir de nous les présenter !
Cela a commencé quand elle avait 9 mois, une fois de temps en temps elle faisait un réveil de 2 heures pendant la nuit. Impossible de la rendormir, ni avec une tétée, ni en la berçant, rien. Mais c’était assez rare pour ne pas être vraiment souligné. Juste des petits accidents de parcours.
Puis à 15 mois, quand on l’a sevré pour la nuit, les réveils nocturnes ont quasiment disparu. Les nuits complètes sont devenues de plus en plus nombreuses ! Mais lorsqu’il y avait un réveil… c’était alors systématiquement une insomnie.
Au début elles duraient 2 heures, puis 3 heures, 4 heures, et jusqu’à 5 heures ! Quand ton enfant se réveille à minuit et ne se rendort qu’à 5 heures du mat, ta nuit est clairement foutue (et celle de ton autre enfant aussi au passage).
C’est devenu de plus en plus fréquent, 1 à 2 fois par semaine, ça nous rendait fou ! J’ai même essayé d’annuler le sevrage nocturne et de lui redonner le sein la nuit mais c’était fini, ça ne la rendormait plus.
On a essayé un tas de trucs, on constatait que si on n’était pas avec elle elle pleurait (pas des hurlements comme avec Lou, plutôt des petits pleurs sporadiques), et si on restait avec elle elle rigolait, chantait, criait, nous escaladait, nous filait des coups. Il n’y avait pas de bonne option.
La mise en place d’une solution
L’apothéose a été l’été dernier, car ses insomnies empiraient dès qu’on ne dormait pas chez nous, elle en faisait parfois toutes les nuits. Elle avait alors 18 mois, et une amie m’avait parlé de Dormium, un institut de psychologie du sommeil. L’agenda ne rouvrait qu’à la rentrée, et j’ai eu un premier rendez-vous téléphonique fin septembre.
Ces entretiens téléphoniques sont gratuits si l’on s’engage à bien remplir les documents demandés, et notamment à noter les nuits de son enfant pendant au moins 2 semaines avant le rendez-vous. C’est une équipe de psychologues bénévoles qui répond.
En parallèle j’avais aussi sollicité la pédiatre de mes filles sur ce sujet, elle m’avait conseillé d’aller la voir toutes les 10 minutes quand elle pleure la nuit en lui disant « c’est la nuit, tu sais te rendormir seule », finalement quelque chose proche de la méthode Chronododo. C’est aussi ce que m’a conseillé la psychologue de Dormium : éviter d’aller dormir avec elle pour ne pas la maintenir en éveil, faire des interventions brèves dans la chambre et revenir très régulièrement si nécessaire, au bout de 2 minutes, puis 3, puis 4, etc. Elle m’a expliqué que cela permet à l’enfant de se sentir en sécurité car il sait que son parent va revenir, mais ne pas savoir quand favorise son rendormissement.
J’étais trèèèès réticente avec le « laisser pleurer » quand Lou était bébé. Et de fait elle ne pleurait pas, elle hurlait. Avec Suzanne j’ai découvert qu’un enfant pouvait « simplement » chouiner ou pleurer, et que c’était même parfois dans un demi-sommeil. J’étais quand même un peu réticente à la laisser pleurer, mais finalement le fait est qu’elle semblait avoir besoin de décharger quelques minutes entre les cycles du sommeil.
En une nuit c’était réglé, et elle a fait un mois de super nuits avec très peu d’insomnies. Puis les insomnies ont un peu regagné du terrain donc en janvier j’ai de nouveau eu un appel avec Dormium, surtout pour m’épancher et avoir le sentiment de faire quelque chose. Et un dernier entretien début février, pendant lequel on a conclu ensemble que la problématique semblait résolue.
Dans les autres conseils reçus (qu’on appliquait déjà quasi tous depuis Lou), il y a le fait d’avoir un rituel du coucher court et toujours dans le même ordre, des horaires de couchers stricts (et le plus tôt est le mieux), ne pas parler la nuit à part une phrase d’ancrage du type « shhh dodooo, c’est la nuit », ne pas laisser l’enfant faire de siestes au-delà de 15-16h, et ne pas se précipiter quand l’enfant pleure la nuit.
Ce dernier point on ne le faisait pas avec Lou, mais je l’ai très vite pratiqué avec Suzanne, justement parce qu’elle chouinait et ne hurlait pas, ça aide à ne pas courir voir ce qu’il se passe. Et effectivement très souvent quand elle pleure la nuit ça dure littéralement 2 secondes et puis on n’entend plus rien, elle ne se réveille probablement même pas. Si on intervenait directement, on risquerait par contre de la réveiller pour de bon.
Et maintenant ?
C’est encore frais mais depuis quelques mois (et plus encore depuis janvier), les insomnies deviennent rares et elles font de nouveau 2 heures et non plus 5 heures. Je vais me porter la poisse en disant ça, je le sens, mais je crois qu’en 2023 – donc en quasi 2 mois –, elle n’en a fait qu’une.
De temps en temps elle fait un ou deux réveils nocturnes qui nécessitent d’aller la voir, mais pareil c’est rare. Et c’est toujours lié à une maladie ou à une poussée dentaire, ou quand elle est habillée trop chaudement pour la nuit. Donc je crois qu’on peut dire qu’on est quand même globalement sur le bon chemin (je prends 1 000 pincettes, ça se voit ? Parce que le sommeil n’est pas acquis avant 3 ou 6 ans, blabla, et que j’ai peur d’un retour en arrière !).
Au moment où j’écris ça, Suzanne pleure (il est 23h30), ils ont vraiment un sixième sens ?! (mais c’était en fait un de ces fameux pleurs de 2 secondes sans nécessité d’intervention)
Bref, courage à tous les parents qui traversent les affres et montagnes russes du sommeil infantile, ça fait vraiment partie des pires cadeaux de la parentalité à mon sens. Mais ça passe, tout passe, un jour on dort et on se dit « plus jamais ! », ou alors on tente le pari fou de recommencer en espérant tirer le gros lot du bébé qui dort 12h par nuit dès la maternité. Est-ce que ça existe pour de vrai ? (non ne me dites pas, je ne veux pas le savoir) (histoire que je n’ai pas l’impression d’être la seule à avoir dormi de façon hachurée pendant 5 ans) (bref, bye !)
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Bébé RGO : que faire en cas de Reflux Gastro-Oesophagien ?
Les bébés peuvent souffrir très tôt de reflux gastro-oesophagien, communément appelé RGO. En cause, leur estomac tout neuf. La machine n’étant pas encore rôdée, le sphincter surplombant l’estomac ne remplit pas bien sa fonction et laisse le bol alimentaire remonter dans l’oesophage. Les bébés prématurés, nés par césarienne ou encore non allaités seraient davantage concernés. Comment reconnaître…
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Syndrome de KISS : un an après
Il y a plus d’un an et demi, je découvrais le syndrome de KISS et le doute naissait au sujet d’une de mes filles. Finalement diagnostiquées toutes les deux “KISS Kinder”, nous avons été au bout de la démarche pour le traiter. Et un an après, on en est où ?
Partie 1 : Double KISS Partie 2 : Le syndrome de KISS
Partie 3 : du traitement du syndrome au travail de fond
Chaque enfant diagnostiqué “KISS Kinder” a son histoire, ses symptômes et sa façon de réagir. Chaque cas est unique, le nôtre n’est qu’un exemple parmi tous ces enfants subissant ces blocages des cervicales. Pour rappel, un syndrome est un ensemble de symptômes ; le syndrome de KISS n’est pas grave en soi, puisqu’il s’agit simplement d’un blocage au niveau des cervicales, mais ses conséquences, à court comme à long termes, peuvent être très douloureuses et perdurer jusqu’à l’âge adulte si elles ne sont pas traitées.
Ceci dit, je pense que ce syndrome, comme tout ce qui survient dans nos vies, est empreint de notre histoire familiale, de nous-mêmes et de ce qu’il y a au fond de notre cœur.
Crédit photo : Rene Bernal sur Unsplash
La seconde séance de travail
Lorsque nous avons quitté Madame M., chiropractrice à Guérande (44), après la première séance de travail sur mes deux filles, elle m’avait dit de revenir dans 3 à 4 semaines environ, soit après l’effet rebond qui pouvait durer jusqu’à 3 semaines. Je laisse donc passer cette période (voir “Le syndrome de KISS” pour les détails), mais dans la semaine suivante, je sens qu’il est temps d’y retourner... Malheureusement, l’organisation nécessaire pour me rendre à Guérande et la concordance de nos disponibilités repousse le rendez-vous à 6 semaines après le premier travail. J’ai l’impression d’être revenue au point de départ, que tous les symptômes remontent à la surface... d’avoir “loupé le coche”, finalement.
Je me rends à ce rendez-vous avec mes deux filles et ma maman, afin d’être pleinement disponible pour celle qui passera entre les mains de la chiropractrice. Ni l’une ni l’autre n’a envie de se laisser toucher : elles préfèrent jouer avec leur Mamie ! Un peu de patience et quelques explications plus tard, je propose une tétée, acceptée presque de mauvaise grâce (c’est rare !). Je m’allonge, comme la fois précédente, L. sur mon ventre. Mme M. vérifie rapidement sur le corps de ma fille, puis vient poser ses mains sur mes chevilles ! Quelques mouvements, une ou deux impulsions aux mêmes endroits sur L. et sur moi... C’est fini, L. retourne jouer : il n’était pas question de traîner. C’est au tour d’A., qui a du mal à quitter sa Mamie. Là non plus, l’heure n’est pas aux tergiversations : à peine installée qu’elle a presque terminé. Mme M. pose à nouveau ses mains sur mes chevilles et me lance : “Vous cogitez beaucoup en ce moment ?!” Une impulsion à la base de mon crâne et je sens mon cerveau qui s’apaise. A. a terminé et elle s’enfuit à son tour de l’autre côté de la pièce. Me voilà seule avec Mme M., qui m’offre ce jour-là un espace pour déposer ce qui pèse trop lourd. Elle me rassure, car les manipulations sur mes filles ont été rapides et peu nombreuses, et surtout parce que les blocages avaient bien évolué : pas de retour à la case départ, donc ! Ouf ! D’ailleurs, pour elle, le syndrome est à présent derrière nous et il nous suffit désormais d’un suivi régulier chez un chiropracteur ou un ostéopathe, puisque j’en ai une de confiance.
Comme vous le savez peut-être, les émotions sont pour moi le point de pivot de tous les événements de notre vie. Avec le syndrome de KISS, je les avais pourtant mises de côté, du fait de sa complexité physiologique touchant potentiellement toutes les sphères de notre corps, m’en remettant alors à son aspect physique. Mais Mme M. a su me ramener à moi lors de cette consultation, en me disant que, oui, il y avait un blocage des cervicales typique du syndrome de KISS, mais que, derrière “KISS”, il y avait bien les émotions... Elle m’a fait prendre conscience que je n’avais pas posé de mots avec mes filles sur toutes celles qui bouillonnaient en moi à cette période-là et que mes filles étaient simplement en train de les absorber comme des éponges, ce qui expliquait tout bonnement ma sensation de rechute.
Un suivi régulier
Après cette séance, j’ai pu lâcher prise sur ce syndrome et ses conséquences. C’était une année particulière pour notre famille et j’avais un quotidien plus urgent à gérer. J’ai pu mettre en mots mes émotions et permettre à mes filles de s’en décharger.
L. nous rappelle régulièrement, par des asymétries gestuelles, qu’elle a besoin d’une consultation ostéo. Au printemps de cette année-là, il était temps de libérer une grosse tristesse qui générait beaucoup de tiraillements tout le long de sa colonne, bloquant ainsi son bassin et son occiput. A. profite généralement dans la même quinzaine du suivi de contrôle et c’est l’occasion de libérer les petites tensions qui s’accumulent sans qu’elle nous le montre.
Ma pratique autour des émotions a beaucoup ��volué durant cette période et elle m’a offert de nombreuses opportunités d’aider mes filles à traverser les leurs. C’est finalement là aussi une forme de suivi pour elles, un travail de fond que je fais dès que le besoin s’en fait ressentir et que j’ai l’énergie disponible pour cela.
Aujourd’hui, plus d’un an après cette seconde séance de travail, L. chute toujours un peu plus et est plus sensible aux dérèglements du sommeil que sa sœur. A. dort de nouveau en hyper-extension complète, avec une respiration fréquemment bruyante. Est-ce leur reflux interne qui est toujours présent ? Est-ce un blocage des cervicales ? Quelles émotions les ramènent à cet état “d’origine” ? Dès que l’occasion se présentera, j’aimerais les emmener de nouveau à Guérande. En attendant, elles grandissent bien, évoluent normalement, ne semblent pas souffrir et s’adaptent tranquillement au nouveau rythme de l’école... Alors on les laisse vivre sans nous torturer l’esprit.
Crédit photo : Julie Liebermann sur Unsplash
Au-delà du syndrome de KISS, être attentifs à leurs émotions et à leurs symptômes physiques donne du sens à leurs maux, petits et grands, et c’est ça l’important – en tout cas chez nous – : écouter les émotions pour que le corps se porte mieux.
#enfant#bébé#chiropractic#kiss#syndrome de#kisskinder#pleurs#douleur#traitement#ostéopathie#émotions#reflux#gastroesophageal reflux disease#rgo
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Me: *preps bottle for Le bébé*
Le Bébé: *cries LOUDLY because HUNGER!*
My brain: *primal parts of central nerve system go into overdrive. Must. Feed. Must protect. Bébé!!!!!!*
*rocking bébé while waiting for the bloody bottle to reach the correct temp* (bébé was NOT impressed)
Moral of story; a crying bébé. Nee, a screaming enraged bébé, wrecks havoc on your brain, adrenaline levels and no charm muttered will be able to do anything. Cramps are horrible and thank bloody gods for modern medical solutions for cramps and reflux in bébé's.
On another note; le bébé who actually smiles when you tell it it might end up in the oven with the potatoes, lemon en thyme. Jup. That kid is definitly related to me.
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Charge mentale #4
La charge mentale c'est quand il va être 3h du matin et que tu n'as pas encore pu fermer l'œil de la nuit. D'abord parce que ta grande ne voulait pas dormir et qu'il a fallut l'accompagner encore plus que d'habitude pour qu'elle accepte enfin de se laisser sombrer. Pendant ce temps, ton mari dort.
Puis parce que ton bébé s'est endormi sur ton mari et que donc tu dois surveiller. Oui parce que ton mari dort et qu'il ne se rends pas compte qu'il est en train de se crisper sur la tête de ton bébé Flocon. Qu'il ne se rend pas compte que bébé glisse et qu'il risque de le faire tomber...
Puis parce que ton bébé a voulu manger donc tu lui a donné son biberon. Mais quand a bout de force tu as voulu réveiller ton mari pour avoir du relai ça a été très compliqué. Et quand finalement il s'est levé (après 4 sollicitations), tu lui a bien dit "Il vient de manger, tu peux le garder droit et lui faire faire son rot stp ?". Mais tu dois encore et toujours surveiller au lieu d'aller te coucher. Parce que ton mari décide que c'est le bon moment pour mettre bébé dans son couffin sur le dos. Bingo reflux méga activé...
Bref, il va être 3h du matin, je n'ai pas encore pu fermer l'œil car je dois être hyper vigilante pour deux tout le temps. Il va être 3h du matin, je n'ai pas encore pu fermer l'œil et mon mari dort.
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10 conseils pour nourrir votre nouveau-né au quotidien| Comment bien mieux habiller votre bébé pendant la nuit| Les plus simples accessoires pour nourrir votre bébé| Devenir mère : nos conseils pour bien vivre cette nouvelle vie| Les conseils pour gérer travail et maternité| Prendre soin de soi après la grossesse : les meilleurs conseils
19 bénéfices du portage physiologique chez les bébés
Il est également moins enveloppant que l’écharpe, avantage non négligeable en été dans les régions chaudes. Très facile et rapide d’utilisation, puisqu’il suffit de fermer un clip et régler des sangles (ce qui ne dispense pas de soigner l’installation du bébé dans le corps du préformé). Ce porte-bébé est souvent perçu comme sécurisant, notamment au moment du passage au dos. Elle nécessite un apprentissage, car utilisée incorrectement elle montrera vite des limites. Mon second, 2 ans d’écart avec son frère, bébé qui pleure pendant 7 mois jour et nuit avec de l’asthme ++ et un gros reflux… Des heures avec mon bébé dans les bras, ou à le bercer dans sa poussette . Mais surtout l’impression d’abandonner soit mon grand, soit mon bébé, car trop compliqué de s’occuper des 2 en même temps avec autant de pleurs.
Grâce à nos articles, vous pourrez garder bébé avec vous au quotidien, sans laisser de côté vos occupations. On trouve dans le commerce et sur Internet une multitude de porte bébé et d’écharpe de portage physiologique. Il faut que vous trouviez celui ou celle qui vous convient le mieux suivant l’âge de votre enfant et votre style de vie.
Ce n’est pas seulement une manière douce de créer des liens avec votre bébé, c’est aussi un moyen de commencer à vous reconnecter à votre beau corps après la naissance. Tout d'abord, porter son bébé dès sa naissance va favoriser l'attachement à son porteur. L'écharpe de portage Néobulle Anthracite est une écharpe à nouer d'une couleur gris foncée qui permet de porter bébé en respectant la physiologie... Le portage est donc un moment de partage et de bienveillance entre le parent et l’enfant pour favoriser le lien d’attachement. Pour en savoir plus sur le portage consultez notre articleici.
Au fur et à mesure du temps, il sait qu’il pourra toujours s’appuyer sur votre soutien et votre réconfort, vous serez sa base de sécurité. Il sera ainsi suffisamment sûr de lui pour explorer le monde et progressivement gagner en autonomie. Parce que dans notre culture, nous accordons beaucoup d’importance aux échanges de regards et à la parole en face à face. Nous pensons mieux protéger notre petit parce que nous le voyons. Pour vous comme pour bébé, mieux vaut éviter les gros pulls ou gilets. D’une part parce que les tenues légères faciliteront nos mouvements.
Voici quelques avantages que votre bébé et vous pourrez tirer du portage en écharpe. Vous pouvez utiliser une écharpe de portage pour pouvoir réaliser vos tâches ménagères, sans laisser votre bébé dans sa chambre. Avec votre petit en écharpe, vous pourrez vous reposer sur le canapé et lire tranquillement un livre en toute tranquillité. Vous pourrez même réaliser quelques exercices physiques tout en portant votre bébé contre vous.
Certains porte-bébés physiologiques utilisent des textiles aérés, prévus pour lutter contre la chaleur et vous permettre d’être tous deux à l’aise durant le portage. Si le portage offre de nombreux bienfaits parent-enfant, certaines règles de sécurité sont à respecter. Lorsqu’on aborde la thématique du portage, on pense souvent aux avantages que cela confère à l’enfant.
On va privilégier les nouages en suspension ou le sling et éviter les nouages qui compriment le ventre. Quand on porte en écharpe, on peut faire une finition avec des vrilles pour éviter de serrer sur le ventre et descendre le tissu au niveau des hanches. Si on utilise un porte-bébé (même si ce n’est vraiment pas l’idéal pour les premiers mois de bébé), il faudrait privilégier les modèles avec bretelles qui s’accrochent à la ceinture. Dans cette configuration, le poids est porté par les épaules, pas la ceinture et on va laisser la ceinture un peu desserrée, pour éviter toute compression. Par ailleurs, tous les experts s’accordent à dire que les bénéfices du portage chez le nouveau-né sont très importants. Après la naissance, le bébé peut ressentir un sentiment d’insécurité du fait qu’il n’est plus en contact permanent avec sa mère.
Afin de vous aider à porter votre bébé, je vous propose des ateliers de portage physiologique individuel au sein du Studio Des Mamans. La technicité du tissage en sergé croisé de l’écharpe de portage lui confère de très bonnes qualités de portage, essentielles pour le confort du porteur sur de longues durées. Le serrage de l’écharpe permet de l’ajuster à toutes les morphologies du porteur et du porté et offre un soutien parfait et précis de l’enfant de sa naissance à 3-4 ans (3,5-15 kg).
Répondre à toutes les questions que les parents se posent et soutenir leur parentalité, dans un climat de partage et de bienveillance. Le bébé qui vit une relation d’attachement sécurisante va pouvoir se développer et découvrir le monde qui l’entoure avec confiance. L’un des bienfaits principal du portage physiologique est de rassurer bébé. Si vous avez le sentiment de devoir https://postheaven.net/gwennobdos/19-bandeacute-nandeacute-fices-du-portage-physiologique-chez-les tenir votre bébé, c’est qu’il y a certainement un problème avec le nouage de votre écharpe ou les attaches de votre porte-bébé. Il est alors préférable de sortir l’enfant du dispositif de portage, de le vérifier puis de recommencer son installation.
Favorise l’allaitement maternel en créant un contact corporel. Libère les bras et permet de continuer ses activités librement. Facilite la digestion et l’évacuation de l’air dans le système digestif, diminue les problèmes de reflux. Inscrivez-vous comme adhérents de l'association Porter Son Enfant et bénéficiez de nombreux avantages. Le bassin des femmes n'étant pas devenu plus large, alors nos bébés naissent plus tôt que l'état d'achèvement des autres mammifères.
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Fluguropoigts
Bien que n’étant pas un contemporain de Goldorak, ni spécialement du club Dorothée (j’étais un peu jeune, mais je connais tout de même mes classiques), il y a peu, je me suis remémoré une anecdote datant de mon passif hospitalier.
J’étais de renfort aux Urgences un jeudi après-midi somme toute comme d’habitude. Un patient nous est amené par la Police. Je m’attends à un patient “habituel” dans de telles conditions. Un entretien et un examen médical préalable avant une garde à vue ou bien quelqu’un en état d’alcoolisation massive, nécessitant une surveillance.
Erreur : Le patient a été retrouvé, courant à moitié nu sur une aire d’autoroute. J’ai du mal à comprendre pourquoi ce patient atterri chez nous alors que nous ne sommes pas les Urgences psychiatriques de première intention. Je râle sur le pourquoi le patient arrive chez nous et envisage deux trois hypothèses : la régulation du SAMU “s’amuse” à nous envoyer des patients pour nous emmerder; un complot judéo-maçonnique, le fait que le patient réside dans le coin (chose probable, mais quand même compliquée, du fait que le patient ne sache déjà pas comment il s’appelle...), un peu de mauvaise foi, tout est possible. Bref ! Ce patient arrive, menotté, encadré par deux policiers et on me demande de m’en occuper. Ce que je fais puisque telle est ma mission au service de la France et que je le fais bien ^^.
Rapidement, je l’examine, puis demande à un médecin de venir, afin de “libérer” les deux policiers, de toute évidence, aussi heureux d’être dans ces Urgences que d’aller se faire arracher TOUTES les dents sans anesthésie. L’odeur d’urine et de crasse du patient y étant peut-être pour quelque chose. Ainsi que quelque chose comme un repas régurgité sur les bottes de l’un d’entre-eux. Peut-être... On fait virer les menottes, au passage.
Bref, le patient va pour être installé en UHCD (Unité d’Hospitalisation de Courte Durée), quand soudain, il se débat, puis me décoche un coup de poing pas piqué des hannetons qui me fait voir quelques chandelles (anecdote malheureusement bien trop commune, et oui, le patient était démenotté, suivez, ou prenez des notes) accompagné d’un cri “FULGUROPOINGS” ! Et en effet, il fut fulgurant. Je l’ai pas vu venir. Bref, je m’écroule et un collègue vient immédiatement voir quelle est la source de ce bruit. Là, il demande de l’aide, tandis que j’essaie de comprendre pourquoi je vois des licornes gambader autour de moi.
Je me relève, tant que le patient, commence à saisir toutes sortes d’objets à sa portée (c’est d’ailleurs incroyable ce qui peut traîner dans un couloir d’hôpital)...
Nous avons la chance ce jour-là de n’être QUE des hommes. Mes deux collègues sont bien portants, sportifs tous les deux, en passe de rejoindre des unités prestigieuses, tandis que le médecin et moi sommes d’anciens rugbymens. Je me retiens de lui en coller une aussi, étant un professionnel (enfin, presque...). Ni une, ni deux, on essaie de calmer le patient qui tente de procéder à une révolution solitaire des murs et des brancards, tandis que j’ai l’impression que ma joue enfle et rougit (peut-être pas qu’une impression d’ailleurs)... C’est quand il commence à vouloir s’en prendre à un petit papy dans un fauteuil qui attendait un examen que le médecin décide d’arrêter les frais. Il me demande de préparer 4 ampoules d’Haldol (un neuroleptique puissant). Je lui demande de confirmer, la dose étant la double de celle de d’habitude. Il me confirme qu’au regard du poids du patient et de son amour des mangas japonais, on va éviter d’autres problèmes, un infirmier au tapis étant tout de même beaucoup pour une après-midi. On fini par le coincer sur un brancard, à 4, pesant de tout notre poids sur lui, pour essayer dans un premier temps de le contentionner avant de procéder à l’injection de calmants. Mais devant le problème que le patient présente, il est hors de question de lui poser une voie veineuse périphérique. Ce sera de l’intramusculaire. On arrive tant bien que mal à l’immobiliser, en le retournant et en contentionnant une main tandis qu’il hurle des insanités, et autres répliques de Goldorak (de toute évidence un amateur) et se rue (à grand mal, alors que nous sommes 4, imaginez sa force !).
Ce qui est beau dans ce métier, c’est que la littérature préconise tout un tas de choses (entre autre de réaliser l'antisepsie cutanée, de demander au patient d'expirer afin de détendre son muscle - en général le quart supéro-externe de la fesse - et diminuer la douleur lors de la piqûre, de tendre la peau et de piquer franchement la peau lors de l'expiration, en vérifiant l'absence de reflux sanguin). Ça, c’est sur le papier, j’ai rien fait de tout cela. J’ai piqué comme un barbare à travers le survêtement dégueulasse et déchiré qu’il avait, sans désinfection, ni rien.
Tandis qu’on arrive enfin à finir de le contentionner, on fini par le laisser tranquille, tant en venant vérifier de temps en temps qu’il se soit bel et bien calmé, et qu’il n’avale pas sa langue ou autre surprise. On arrive à le déplacer et à l’installer dans une chambre pour qu’il passe la nuit, avec la circonspection d’un couple de parents allant dans la chambre d’un nouveau-né sans réveiller le bébé.
Le lendemain, le patient est examiné par un psychiatre : Schizophrénie atypique avec hallucinations, visuelles et auditives. Il sera transféré dans une unité fermée psychiatrique.
Je m’en suis tiré avec un coquard et un hématome sur la joue, ainsi qu’un désamour prononcé pour Goldorak... Je me demande bien pourquoi.
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Qu’est-ce qu’un biberon anticolique ?
Les coliques et les gaz sont fréquents chez les bébés. Bien que certains prétendent qu’ils sont plus fréquents chez les nourrissons nourris au lait maternisé, ce n’est pas tout à fait vrai. Les coliques touchent un bébé sur cinq, qu’il soit nourri au sein ou au lait maternisé.
Les coliques commencent généralement lorsque le bébé a quelques semaines et cessent vers l’âge de six mois. Les pleurs incoercibles et sans fin sont épuisants pour les bébés et les parents, qui cherchent donc désespérément une solution.
Malheureusement, il n’y a pas de remède, mais il existe des méthodes, des articles et des techniques qui peuvent les réduire considérablement. Et le biberon anticolique est l’un des meilleurs pour les bébés nourris au biberon.
Les biberons anticoliques préviennent-ils les coliques et les gaz ?
Si votre bébé souffre de coliques et de gaz et qu’il est nourri au biberon, il y a de fortes chances qu’ils soient causés par la façon dont il s’alimente.
La succion du bébé crée un vide dans le biberon. Cela est particulièrement fréquent chez les bébés qui ne peuvent pas tenir correctement la tétine du biberon. De cette façon, le bébé introduit de l’air dans le lait et l’avale avec le lait. L’air avalé lui cause ensuite des malaises, des gaz et des coliques.
Si c’est le cas de votre bébé, vous remarquerez que de petites bulles d’air remontent le long du biberon. Grâce à leur conception unique, les biberons anticoliques réduisent la formation de ces bulles d’air et préviennent ainsi les coliques et les gaz.
Comment reconnaître un biberon anti colique ?
Les biberons à valve anti air comportent un évent interne intégré, qui ressemble à un tube ou à une paille. Ces évents maintiennent la tétine pleine de lait tout en empêchant l’air de s’y accumuler.
Les tétines des biberons anti coliques les mieux cotés restent pleines même lorsque le biberon est horizontal. Bébé peut boire dans un tel biberon en position verticale, ce qui contribue également à prévenir le reflux.
Nous avons fait des recherches et examiné des tas d’avis sur les biberons. Mais ce sont les expériences qui comptent le plus ! Ainsi, avec l’aide de nombreux parents, nous pensons que le meilleur biberon anti-colique est le Philips Avent.
Notre biberon anti-colique préféré est :
biberon anti colique philips avent :
Biberon anti-colique Philips Avent avec évent AirFree
Type : biberon anti-colique à évent
Matériau : Polypropylène, sans BPA
Tétine : sa forme est conçue pour une prise en charge sûre.
Taille : 4oz/120ml et 9oz/260ml
Débits de tétine disponibles : nouveau-né, débit lent, débit rapide Pourquoi nous l’aimons : Outre le fait qu’il prévient les coliques, c’est aussi un biberon de haute qualité, avec une gamme de débits pour votre bébé en pleine croissance. Vous pouvez l’utiliser avec ou sans l’évent. Ainsi, lorsque votre bébé grandira, vous pourrez retirer l’évent et l’utiliser comme un biberon ordinaire.
Sa tétine est dotée d’une texture nervurée, qui empêche l’affaissement de la tétine et permet une alimentation confortable. Les biberons à évent sont, en raison des pièces supplémentaires, généralement plus difficiles à nettoyer. Ce n’est pas le cas ici ! Le biberon a un col large et comporte moins de pièces que la plupart des biberons similaires, il est donc facile à assembler et à nettoyer. La caractéristique, que je trouve très utile, est également sa compatibilité avec d’autres produits Philips Avent. Le biberon anti-colique Philips Avent avec évent AirFree est compatible avec le tire-lait Avent, d’autres pièces de biberons et de tasses, le stérilisateur et le chauffe-biberon avent philips.
Choisir la bonne tétine de biberon peut également soulager les coliques et les gaz.Comme il s’agit d’un problème courant que personne ne souhaite subir, les fabricants de biberons ont mis au point diverses caractéristiques qui permettent d’éliminer l’air qui pénètre dans le système digestif de votre bébé. En plus des biberons ventilés, il existe des tétines spécialement conçues qui peuvent être d’une grande aide !Chaque bébé est différent, alors si un biberon ventilé ne convient pas à votre petit, essayez l’une des caractéristiques suivantes qui pourrait l’aider. La forme de la tétine : Les tétines existent en différentes formes et tailles. Certaines conviennent mieux aux bébés qui sont également nourris au sein, d’autres à ceux qui sont exclusivement nourris au biberon. Mais il n’y a pas de règle générale. Vous devez observer votre bébé et déterminer celle qui convient le mieux à ses besoins.
Le débit de la tétine : Nous savons tous que manger vite nous cause des désagréments au niveau de l’estomac. Il en va de même pour les bébés. La plupart des bébés souffrant de coliques et de gaz préfèrent un débit lent, mais là encore, ce n’est pas une règle.Si le débit du lait est trop lent pour le bébé, il fera trop d’efforts pour en absorber suffisamment et risque d’ingérer plus d’air. Votre travail consiste à trouver l’équilibre entre une prise de lait suffisante, qui n’est, en même temps, pas trop rapide pour ne pas perturber le ventre du bébé. La valve de la tétine : Les tétines munies d’une valve sont également appelées tétines anti-vide ou aérées. Elles ont un petit trou ou évent, qui empêche le vide dans le biberon. Elles laissent l’air sortir du biberon et, de ce fait, empêchent la formation de bulles d’air. En fait, elles fonctionnent selon le même principe que les biberons à évent.
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Pharmacie Vezere
Qu'est-ce que Protonix ? Protonix (pantoprazole) est un inhibiteur de la pompe à protons qui diminue la quantité d'acide produite dans l'estomac.
https://www.pharmacie-vezere.com/promotions/protonix/
Protonix est utilisé pour traiter l'oesophagite érosive (lésions de l'oesophage causées par l'acide gastrique et provoquées par le reflux gastro-oesophagien, ou RGO) chez les adultes et les enfants âgés d'au moins 5 ans. Le pantoprazole est généralement administré pendant une période pouvant aller jusqu'à 8 semaines, le temps que l'œsophage guérisse.
Protonix est également utilisé pour traiter le syndrome de Zollinger-Ellison et d'autres affections impliquant un excès d'acide gastrique.
Mises en garde Protonix n'est pas destiné à soulager immédiatement les symptômes des brûlures d'estomac.
Les brûlures d'estomac sont souvent confondues avec les premiers symptômes d'une crise cardiaque. Consultez un médecin en urgence si vous ressentez une douleur ou une sensation de lourdeur dans la poitrine, une douleur se propageant au bras ou à l'épaule, des nausées, des sueurs et une sensation de malaise général.
Un traitement à long terme par Protonix peut également rendre plus difficile l'absorption de la vitamine B-12 par votre organisme, entraînant une carence en cette vitamine. Parlez-en à votre médecin si vous avez besoin d'un traitement à long terme par Protonix et que vous vous inquiétez d'une carence en vitamine B-12.
Le pantoprazole peut provoquer des problèmes rénaux. Informez votre médecin si vous urinez moins que d'habitude, ou si vous avez du sang dans vos urines.
La diarrhée peut être le signe d'une nouvelle infection. Appelez votre médecin si vous avez une diarrhée qui est aqueuse ou qui contient du sang.
Le pantoprazole peut provoquer l'apparition ou l'aggravation des symptômes du lupus. Informez votre médecin si vous avez des douleurs articulaires et une éruption cutanée sur vos joues ou vos bras qui s'aggrave au soleil.
Vous pourriez être plus susceptible d'avoir une fracture osseuse si vous prenez ce médicament à long terme ou plus d'une fois par jour.
Avant de prendre ce médicament Les brûlures d'estomac peuvent imiter les premiers symptômes d'une crise cardiaque. Obtenez une aide médicale d'urgence si vous avez une douleur thoracique qui s'étend à votre mâchoire ou à votre épaule et si vous vous sentez anxieux ou étourdi.
Vous ne devez pas utiliser Protonix si :
vous prenez également un médicament qui contient de la rilpivirine (Edurant, Complera, Juluca, Odefsey) ;
vous avez eu des problèmes respiratoires, des problèmes rénaux ou une réaction allergique grave après avoir pris du pantoprazole dans le passé ; ou
vous êtes allergique au pantoprazole ou à des médicaments similaires (lansoprazole, oméprazole, Nexium, Prevacid, Prilosec, et autres).
Informez votre médecin si vous avez déjà eu :
un faible taux de magnésium dans votre sang ;
du lupus ; ou
une ostéoporose ou une faible densité minérale osseuse.
Vous êtes plus susceptible d'avoir une fracture osseuse si vous utilisez Protonix à long terme ou plus d'une fois par jour. Discutez avec votre médecin des moyens de garder vos os en bonne santé, surtout si vous êtes un adulte de plus de 50 ans.
On ne sait pas si Protonix peut avoir un effet sur un bébé à naître. Les études sur les animaux n'ont montré aucun effet nocif. Informez votre médecin si vous êtes enceinte ou si vous prévoyez de l'être.
Protonix est sécrété dans le lait maternel, mais on ne sait pas si Protonix a un effet sur le nourrisson. Prévenez votre médecin si vous allaitez avant de prendre Protonix.
Protonix n'est pas approuvé pour une utilisation par des personnes âgées de moins de 5 ans.
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Une année de Lou
Il y a quelques jours mon bébé a eu 1 an ! C’est l’occasion pour moi de revenir sur cette année riche et mouvementée. La dernière fois que j’ai donné de ses « nouvelles » ici elle avait 7 mois et subissait un retour en force de son reflux.
À ce niveau, cela va bien mieux depuis que l’on a changé de traitement il y a quelques mois. De l’Inexium on est passé au Ranitidine, sur conseil d’une gastro-pédiatre (pas la même que la première que nous avions vu et qui nous disait que le RGO n’existe pas), cela a eu notamment pour bénéfice de supprimer la toux qu’elle avait en quasi-permanence et qui la gênait, ainsi que les régurgitations. Le dernier contrôle de la gastro-pédiatre était positif, nous allons donc bientôt diminuer son traitement, pour le supprimer fin octobre si tout va bien. Elle aura alors presque 16 mois, ce reflux nous aura embêté pendant un bon moment !
Sujet directement lié : le sommeil. Elle a continué à très mal dormir toute l’année, avec des phases de mieux et des phases de pire. Depuis quelques jours cela va progressivement bien mieux, espérons que cela va durer ! Nous avons instauré il y a quelques temps un rituel du soir plus « cadré », dans le sens où nous faisons désormais notre routine toujours dans le même ordre, et autant que possible aux mêmes heures, pour que le coucher soit plus rassurant. Et nous avons vu récemment une psychomotricienne-kinésiologue avec qui nous avons pu explorer des pistes quant à ce qui cause ces problèmes de sommeil, on a pu comprendre les peurs de Lou et travailler dessus. Les progrès ont commencé à se voir à la suite de ce rendez-vous. Si cela continue et que Lou retrouve (ou plutôt trouve) un sommeil apaisé, je vous ferai un article plus détaillé sur ce que nous avons mis en place. Les jeunes parents n’osent souvent pas parler des difficultés de sommeil de leurs bébés, et à raison puisque même les professionnels de santé sont rarement compréhensifs et bienveillants à ce sujet, la société française considérant comme anormal qu’un bébé ne fasse pas « ses nuits » après 2-3 mois (là où ce n’est pas un souci dans la plupart des autres pays du monde). Donc si jamais je peux donner des pistes aux parents d’un bébé réticent au sommeil je le ferai !
Lou n’a pas été très malade, en dehors de son RGO, et ce malgré son année de crèche. Elle a eu son premier virus avec de la fièvre la semaine dernière seulement, et elle a eu la varicelle il y a 2 mois, juste avant nos vacances en Crète, qui s’est d’ailleurs suivi d’un mois de sommeil encore plus compliqué (c’est un classique de la varicelle apparemment) avec notamment des levers très tôt.
Au niveau de ses acquisitions, elle dit quelques mots : papa, maman, tata, tétée, je t’aime (« jetai »), allô (« aya ») et Bou (pour se nommer elle-même), plus un tas d’autres choses qui n’ont pas de sens à nos oreilles. Elle a fait un bond en compréhension récemment, elle comprend énormément de choses et de mots, c’est impressionnant ! Niveau moteur, elle se déplace debout en se tenant d’une main ou en poussant des meubles depuis un petit moment mais elle ne marche pas en se lâchant, il lui manque encore un peu d’équilibre.
Elle a une personnalité adorable, elle est très très souriante (elle l’a toujours été, je trouve que c’est vraiment sa caractéristique numéro 1), très câline (un peu brute aussi mais depuis peu elle arrive à faire un câlin sans avoir la tentation de tirer les cheveux en même temps), elle adore la musique, chantonner, regarder des livres, faire des « blagues » pour nous faire rire, escalader tout ce qu’elle trouve.
Je l’allaite toujours même si les tétées se réduisent et s’espacent de plus en plus et que je songe au sevrage pour la fin de l’été (je suis assez déterminée mais ça me semble un gros cap à passer pour elle, à voir si on y arrive !). Je suis très fière de lui avoir donné mon lait plus d’un an, et d’avoir passé des centaines d’heures à le tirer pour qu’elle en bénéficie à la crèche aussi ! Pour la nourriture solide elle a toujours eu un petit appétit, même si elle mange de tout et semble tout aimer, mais elle a ses périodes où elle mange plus ou moins bien. Elle a aussi une tasse 360 à sa disposition et elle boit de l’eau en toute autonomie quand elle a soif.
Ses dents la font régulièrement souffrir mais elle n’en a toujours que 5, aucune nouvelle dent n’a poussé en 3-4 mois malgré les gencives gonflées et les litres de bave et de pleurs versés !
Et pour faire un petit bilan de ma première année de vie de maman, je pense que l’adjectif qui le qualifierait le mieux est intense ! Ca a vraiment démarré sur les chapeaux de roue avec le RGO de Lou, son très mauvais sommeil dès le départ et son fort besoin de contact (je pense qu’on a pu commencer à la poser sans qu’elle pleure vers 4 mois seulement), nos premiers pas en tant que jeunes parents n’ont pas du tout été facilités, ce qui me fait aussi me dire que je suis ravie d’avoir maintenant quitté la période nouveau-né et de voir mon bébé devenir un bambin ! Tout est bien plus simple et agréable maintenant, même si je sais bien que chaque âge a ses difficultés. C’est génial de pouvoir interagir avec Lou, de développer une complicité et une relation forte pleine d’amour, on en a bavé mais je ne regrette absolument rien, rien que pour voir son beau sourire et ses yeux pétillants tous les matins, sentir ses petits bras autour de mon cou, entendre son rire, je ne suis pas très originale en disant ça mais c’est vrai que ça embellit vraiment mon quotidien !
Je vous laisse avec une vidéo retraçant toute son année :
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Flo
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Alerte sur les glaires à la naissance !
Alerte sur les glaires à la naissance !
Je m’adresse aux futures mamans à propos d’un sujet qui me semble VITAL : les glaires à la naissance de son enfant. Je partage ici mon expérience de jeune maman -très jeune maman puisque bébé a pointé le bout de son nez le 1er mars- car le pire aurait pu arriver. Sois vigilante à la naissance de bébé ! Comme tu le sais probablement, il boit et respire du liquide amniotique durant ta grossesse,…
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La Santé humaniste© pour mon enfant ?
L’outil avec lequel je vous propose d'accompagner vos enfants actuellement s’appelle la Santé humaniste©*. C’est bien, mais ça ne vous évoque sûrement pas grand-chose. Voilà un article pour vous en dire plus : comment ça se passe et pour quoi on peut bien se servir de la Santé humaniste avec les enfants.
* La Santé humaniste© est une marque déposée. Le symbole copyright n’est pas répété dans cet article par souci de lisibilité.
Concrètement, qu’apporte la Santé humaniste ?
La Santé humaniste fait partie de ces approches énergétiques qui prennent en compte l’Être dans toutes ses dimensions : physique, émotionnelle, énergétique, subtile. Dans sa vie de tous les jours, l’enfant utilise les moyens à sa disposition pour alerter ses parents sur les sujets – souvent inconscients – qui le tracassent. Ces moyens, ce sont ceux qui vont nous toucher directement en tant que parents : sommeil, alimentation, santé, comportement...
La Santé humaniste permet de tenir compte de ces symptômes pour aider l’enfant : une séance, c’est finalement un espace pour lui, pour parler et lui donner de l’attention, et surtout mettre des mots sur ce qu’il vit intérieurement. Nous n’avons pas toujours conscience de ce qui se trame en nous, mais notre corps le sait, lui, et c’est grâce aux mémoires qu’il détient que l’on peut proposer des clés à l’enfant – et à ses parents – pour dénouer une situation.
Photo de Jordan Whitt sur Unsplash
Concrètement, donc, la séance nous amènera à parler du passé de l’enfant ou de celui de ses parents, et à lui expliquer les émotions et les enjeux du moment-clé mis en évidence. Bien souvent, le lien entre les symptômes pour lesquels ses parents l’emmènent me consulter et ce que l’enfant aura besoin d’entendre ne sera pas évident, mais rappelez-vous, ce symptôme n’est qu’un moyen : celui que votre enfant a trouvé pour que vous l’aidiez et creusiez plus profondément le sujet afin de répondre aux questions qu’il se pose.
Attention, la Santé humaniste n’est en aucun cas une démarche médicale et je ne saurai poser de diagnostic grâce à elle. Ce n’est pas mon rôle et je ne suis pas habilitée à le faire. Une consultation en Santé humaniste n’exclut donc pas les consultations et examens médicaux nécessaires à la bonne santé de votre enfant.
D’accord, mais alors pour quoi peut-on se rencontrer ?
Les raisons de faire appel à cette approche sont multiples. Il arrive que ce soit quand vous avez tout essayé et que vous ne savez plus par quel bout prendre le problème, mais vous pouvez tout à fait avoir cette démarche avant d’avoir épuisé vos ressources ! Voici quelques thèmes pour lesquels cette approche peut aider.
Le sommeil
Le sommeil est une préoccupation importante de la vie de parents. Il est évident qu’un nourrisson qui se réveille la nuit n’a rien d’anormal, bien au contraire. Mais plus tard... ? J’ai consacré un article entier à ce sujet, mais pour celui-ci, je dirais simplement que si vous sentez que le sommeil de votre enfant n’est pas aussi paisible qu’il le pourrait, voire qu’il est chaotique de manière anormale selon vous, c’est peut-être votre instinct qui parle et votre enfant cherche peut-être effectivement à vous alerter en se réveillant plusieurs fois par nuit !
Si votre enfant est encore tout petit, on vous a peut-être parlé de sommeil agité (pleurs, voire hurlements et mouvements pendant le sommeil). Se pencher sur les causes émotionnelles qui peuvent provoquer cette phase de sommeil – désarmante pour les parents – pourrait vous faire gagner du temps, à vous et votre enfant.
Plus tard, viennent parfois des endormissements difficiles, interminables, dans les pleurs... Et puis les cauchemars apparaissent. Pas toujours faciles à accompagner, la Santé humaniste peut apporter des pistes de compréhension et être une manière d’apaiser les émotions de l’enfant.
Les pleurs
On est bien d’accord, un bébé pleure et c’est normal. Dans une certaine mesure, cependant. Un enfant qui pleure, là encore c’est normal car d’un point de vue développement, la partie rationnelle de son cerveau n'est pas encore assez développée pour gérer toutes les émotions qu’il reçoit dans une journée. Mais si vous avez l’impression que votre enfant pleure vraiment beaucoup, souvent, tout le temps, à la moindre contrariété et que ça vous turlupine, il peut y avoir une raison qui prend ses racines plus loin que vous ne l’auriez imaginé.
L’allaitement et l’alimentation
Voilà une autre préoccupation parentale fort légitime ! Et ce, dès le plus jeune âge de nos enfants. Lorsque l’allaitement est difficile ou pas aussi fluide qu’il le devrait (crevasses, douleurs, bébé qui tétouille...), il peut y avoir une cause émotionnelle.
Ensuite, nos chérubins passent par différentes phases normales : appétit vorace, appétit de moineau... Ces comportements n’ont rien d’inquiétant quand ils sont ponctuels et font tout simplement partie du développement de l’enfant, qui écoute ses besoins. Mais l’enfant peut aussi refuser la diversification ou montrer un refus catégorique pour certains aliments, faire grève ou à l’inverse se goinfrer. Et quand en plus ce comportement ne se passe qu’à la maison ou qu’avec ses parents, je crois que c’est précisément qu’il y a un message à leur exprimer.
Le comportement
Les premières relations d’un enfant sont évidemment celles avec ses parents. Ce sont les premières aussi à être impactées, dans un sens ou dans l’autre : colère envers un des deux parents ou fusion excessive... Très tôt, l’enfant peut exprimer un mécontentement, voire pire, envers un de ses deux parents. Cette situation rend bien souvent la relation plus compliquée, le parent rejeté peut en être attristé et elle n’est certainement pas plus confortable pour l’enfant. L’équilibre à retrouver peut passer par la parole autour de mémoires que porte l’enfant.
Des peurs ponctuent la croissance de tous les enfants : peur de l’eau/du bain, peur du noir, peur des voleurs... Mais ce n’est pas parce qu’elles sont normales et courantes que nous ne devons rien en faire ! L’enfant peut parfois utiliser ce moyen pour exprimer le besoin d’être rassuré sur d’autres aspects, plus ou moins conscients, de sa vie. Si ces peurs vous paraissent exacerbées ou deviennent handicapantes, saisissez l’occasion que vous propose votre enfant.
L’apprentissage de la propreté est une étape ô combien importante dans la vie d’un tout-petit. Mais il est parfois loin d’être facile et peut être accompagné d’un point de vue émotionnel quand il génère des blocages.
Un manque de confiance en soi, du harcèlement à l’école, l’arrivée d’un petit frère ou d’une petite sœur... sont autant de raisons de constater un changement inconfortable dans le comportement de votre enfant. La Santé humaniste peut l’aider à retrouver sa joie de vivre. Cela vaut aussi pour les plus grands, dans des comportements excessifs jusqu’au mal-être pouvant surgir à l’adolescence.
La santé
Tout bébé déjà, la santé peut être touchée de bien des manières. On entend parfois dire qu’on n’y peut rien, mais je crois que, finalement, on a du mal à savoir ce que vit véritablement un bébé et c’est une impuissance qui n’est pas facile à vivre ni à accepter. Ma façon de voir la vie me pousse à croire qu'il y a moyen d’aller au-delà et de faire un pas vers votre enfant pour essayer de le soulager dans ces cas-là aussi où on ne peut apparemment qu’attendre que ça passe – en grandissant.
Les maux des tout-petits, plus ou moins visibles, plus ou moins présents : reflux, cassure dans la courbe de croissance, eczéma et allergies... dont certains peuvent bien sûr se retrouver ou perdurer plus tard.
Et puis ceux qui (ré)apparaissent et durent en grandissant : asthme, énurésie/encoprésie, maladies à répétition comme les otites, les bronchiolites, etc.
De manière générale, quand le souci est récurrent, soudain ou s’installe durablement, il peut être intéressant d’aller voir plus loin ; en tout cas c’est une possibilité qui s’offre à vous pour accompagner votre enfant.
La liste n’est pas exhaustive. Sans être une baguette magique, car c’est bien vous et votre enfant qui avancez sur un chemin qui vous appartient, l’accompagnement que je vous propose peut permettre d’apaiser un certain nombre de choses et de vous soutenir en tant que parents en vous apportant des clés auxquelles vous n’avez pas pensé, dont vous ne pouviez bien souvent même pas avoir conscience !
Bon, et comment la séance se déroule-t-elle ?
Pour débuter le rendez-vous, les parents m’expliquent ce qui les a amenés jusqu’ici avec leur enfant. Après quelques questions concernant leur famille et l’enfant en particulier, j'établis son bilan énergétique. Durant toute la consultation, l’enfant peut jouer ou s’occuper dans la pièce, je n’ai pas besoin de le toucher, sauf s’il est suffisamment grand pour souhaiter que je prenne son pouls directement à son poignet. À la fin de mon bilan, je pose en général de nouvelles questions plus précises au(x) parent(s), puis m’adresse à l’enfant.
Une fois que le message est passé, je vérifie le bilan énergétique. Je réponds également aux questions des parents s’ils en ont. Lorsque le bilan ne m’indique plus de nœud à défaire, la séance est terminée.
Le corps peut parfois avoir besoin de quelques jours pour intégrer les informations reçues durant ce rendez-vous et il peut également être nécessaire pour l’enfant que ses parents lui reparlent, une fois rentrés à la maison, de ce qui aura été évoqué avec moi.
Il vous reste encore des questions après la lecture de cet article ? Contactez-moi !
Merci à Gwenn Le Coz pour sa participation.
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