#réticules
Explore tagged Tumblr posts
Photo
MODE | Modes vestimentaires cycliques : crinoline, cachemire, vertugadins ➽ https://bit.ly/Modes-Vestimentaires « Déesse inconstante, incommode, bizarre dans ses goûts, folle en ses ornements, qui paraît, fuit, revient et naît dans tous les temps », la mode vestimentaire est un éternel recommencement, à l’image de la fraise, encombrant appendice adulé sous Henri II et refleurissant sous la Restauration, du châle tantôt désuet tantôt incontournable attribut de grand luxe, de la crinoline du Second Empire dont le vertugadin fut l’ancêtre sous François Ier, ou encore du séant postiche prenant ses marques sous François II
3 notes
·
View notes
Text
Napoleonic era reticule, c. 1810-1815
Tessier & Sarrou
#Tessier & Sarrou#lot 99#Réticule deux faces de forme oblongue à réserves#LA VIE ROMANTIQUE Mercredi 30 Septembre 2020#auction#purse#napoleonic era#napoleonic#embroidery#embroidering#flowers#reticule#drawstring#drawstring bag#handbag#women’s fashion#history of fashion#historical fashion#fashion history#French fashion#1810s#1810#1815#1810s fashion
24 notes
·
View notes
Text
Réticule Entre 1875 et 1900
8 notes
·
View notes
Text
Today I Learned: French Words & Expressions
stèle (f) – stone tablet, memorial stele
Il y a une stèle commémorative là où tomba l’avion.
arqué – arched
Les bébés ont naturellement les jambes arquées jusqu’à leurs trois ans.
convive (m/f) – guest
Les convives discutaient joyeusement autour de la table.
immondice (f) – (formal) filth, foul matter
Merci de débarrasser le trottoir de ce tas d’immondices !
voie (f) de la facilité – path of least resistance
affabuler – to plot, dream up (a plot)
L’auteur a mis deux jours pour affabuler son nouveau polar.
s’enliser – to sink, get stuck
Le tracteur est allé aider une voiture qui s’était enlisée dans la boue.
jupitérien – Jovian
éphéméride (m) – block calendar, tear-off calendar
bouclier (m) – shield
Les légionnaires romains portaient des boucliers rectangulaires.
tellurique – telluric, terrestrial
Le courant tellurique est un courant qui circule dans la croûte terrestre.
remue-ménage (m) – commotion, agitation, fuss, pandemonium, upheaval
Qu’est-ce que c’est que ce remue-ménage ? Tout est en désordre.
saccadé – jerky
La rotation de cette roue dentée est saccadée.
rodage (m) – setting up, establishment, trial period
Le rodage du nouveau service informatique se termine.
réticule (m) – (historic) reticule, drawstring bag/pouch
Les réticules étaient très à la mode sous le Directoire.
12 notes
·
View notes
Photo
"Sans Titre (Maria Motherwell dite Marua)" réticulation d'Erwin Blumenfeld (1941) à l'exposition "Les Tribulations d'Erwin Blumenfeld, 1930-1950" au Musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme (mahJ) de Paris, mars 2023.
5 notes
·
View notes
Text
Hypp : encyclopédie en protection des plantes - Tingidae
See on Scoop.it - Insect Archive
Famille surtout méditerranéenne d'hémiptères tous phytophages, appelés tigres ou punaises dentellières. Les adultes ont les parties dorsales de leur tégument et leurs ailes antérieures ornées de réticulations. Certaines espèces portent des plaques et des expansions très curieuses. Les larves n'ont pas ces ornementations.
Dernière modification : 24/05/2024
A INRA (INRA)
TINGIDAE
Parmi les Tingidae ravageurs des cultures on signalera le tigre du poirier (Stephanitis pyri) et le tigre de l'amandier (Monosteira unicostata).
Corythucha ciliata (Say 1832), le tigre du platane, insecte en provenance des États-Unis mais largement répandu en Europe, peut provoquer une défoliation de l'arbre et un affaiblissement marqué de celui-ci si les attaques se renouvellent sur plusieurs années (photos).
Depuis 2017 la punaise réticulée ou tigre du chêne, Corythucha arcuata (Say, 1832), est observée sur ce feuillu en France (photo), ravageur en provenance des USA. Cet insecte provoque par ses piqures des taches nécrotiques brun-orangé.
Hypp : encyclopédie en protection des plantes
Les ravageurs des cultures et leurs dégâts - HYPPZ
Insectes (Insecta)
Hémiptères
Punaises et tigres
Tingidae
Monosteira unicostata (tigre de l'amandier)
Stephanitis pyri (tigre du poirier)
0 notes
Text
Besoin d'aide pour choix lunette de vissée pour carabine PCP
Bonjour à tous, Suite à l'achat d'une ASELKON PCP de 50 joules, j'ai besoin d'aide pour remplacer ma LEAPERS UTG 3-9X50 qui c'est totalement déréglé lorsque les tourelles se sont dévissées totalement et je n'arrive plus à aligner le centre du réticule avec le laser de mon collimateur. Donc, je recherche une nouvelle lunette pour du tir de précision à 50m sans avoir à trop la dérégler pour ajuster les tirs à plus courte distance car je ne métrise pas les réglages de parallaxe et n'ayant ... http://dlvr.it/T8Hg0c
0 notes
Text
La Tortue Noire, part 4.
Il était dans les environs de midi et le soleil vibrionnait au-dessus du paysage boisé du parc. Une chaleur de four régnait sur le jour, à peine compensée par l’air marin. Dans le réticule de visée se déplaçait une silhouette d’arbres en arbres. Plus loin sur la gauche une autre se glissait de la plage à couvert, avec ce qui semblait être une machette à la main. Barney avait du mal à y croire…
View On WordPress
0 notes
Text
Par Chris Snellgrove | Publié il y a 18 minutes Le ver de cire adulte, un insecte mangeur de plastique Et si vous pouviez vraiment remettre le « bio » dans « biodégradable ? Les chercheurs ont passé des années à essayer de trouver des substituts efficaces aux contenants en plastique qui seraient tout aussi utiles et polyvalents sans être si mauvais pour l'environnement. A présent, il semble qu'une équipe entreprenante de chercheurs ait déchiffré le code : d'après Science Daily, un groupe de chercheurs a travaillé dur pour créer des plastiques biodégradables fabriqués à partir d'insectes. Le plastique ne se dégrade pas naturellement, les scientifiques ont donc identifié des bogues qui le décomposent, mais désormais ces mêmes bogues devraien être utilisés pour créer du plastique. Avant de le dire, nous l'avons compris : c'est bizarre d'imaginer mettre vos restes de dîner dans un récipient qui a été effectivement créé par des insectes. Mais la science derrière ce projet est fascinante, car les chercheurs ont trouvé des utilisations créatives pour les corps de mouches militaires noires mortes. Ces mouches sont élevées en grand nombre pour servir d'insectes nourriciers, mais à cause de la courte durée de vie des mouches, bon nombre de leurs corps sont jetés avant de pouvoir être utilisés aux fins prévues. En d'autres termes, le monde a un surplus de ces bogues particuliers et, jusqu'à dernièrement, peu d'idées créatives sur ce qu'il faut en faire. Cela dit, le Dr Karen Wooley et son équipe ont découvert des applications intéressantes pour la chitine recouvrant l'extérieur du corps des mouches militaires noires. Dans la nature, cette chitine est utilisée pour renforcer les exosquelettes des insectes, et les scientifiques travaillent sur un certain nombre d'utilisations pratiques différentes pour les corps jetés de mouches militaires noires inutilisées. Le plastique serait peut-être fabriqué à partir de la chitine d'insectes particuliers, y compris la mouche soldat noire, en utilisant des réactions chimiques pour créer du bioplastique. Par exemple, le coéquipier du Dr Wooley, l'étudiant diplômé Hongming Guo, a découvert un moyen simple et efficace de transformer cette chitine en un polymère connu sous le nom de chitosane. La technique de Guo consiste à éliminer les groupes acétyle de la chitine, à exposer correctement les groupes amino à l'intérieur et à employer des réactions chimiques pour les fonctionnaliser et les réticuler. Le résultat final est que l'extérieur du corps de ces insectes est transformé en bioplastique qui a un certain nombre d'utilisations différentes, notamment en servant de récipients en plastique très respectueux de la nature. Bien que nous donner des contenants en plastique biodégradables fabriqués à partir d'insectes morts serait assez cool en soi, cette équipe voit déjà beaucoup plus grand : Guo, par exemple, a utilisé cette technique pour créer un hydrogel qui, en l'espace d'une minute seulement, peut absorbe 47 fois son poids en eau. Il envisage d'employer cette percée pour capter l'eau des zones inondées et la libérer plus tard dans les zones touchées par la sécheresse, ce qu'il considère comme particulièrement utile pour des États tels que le Texas qui ping-pong des courants d'air aux inondations et vice-versa. En prime, tous les matériaux moléculaires que ce bioplastique libère aideraient en fait à nourrir les cultures. La réalisation de plastique à partir d'insectes n'est qu'un processus de recherche, un autre comprend un hydrogel super efficace qui retient 47 fois son poids en eau. Avec le temps, ces chercheurs espèrent créer un système dans lequel les insectes mangeraient les déchets bioplastiques, et après le décès des insectes, les scientifiques pourraient employer leur corps pour créer de nouveaux bioplastiques. Bien fait, cela pourrait aider à réduire la pollution et nous faire basculer vers un avenir plus vert et plus durable. Et même si nous espérions que tout le
monde aurait désormais son propre jet pack ou son armure Iron Man, nous ne pouvons pas nier que cette percée innovante en matière de bogues a le potentiel de complètement changer notre mode de vie.
0 notes
Photo
Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 54110 photos (nouveau compte )
2014. Marseille en été. Le Musée Borély, Musée des Arts Décoratifs de la Faïence et de la Mode.
Ici des pièces pour l’expo “La Mode aux Courses - Un siècle d’élégance”
#souvenirs#marseille#expo#bastide borély#borély#musée borély#musée des arts décoratifs de la faïence et de la mode#mode#1900#la mode aux courses#chaussures#robe#sac à main#réticule
5 notes
·
View notes
Text
oh, to be a aristocrat lady wearing a yellow dress and slapping the rude gentleman that "forgot" his upbringing with a réticule in the shape of a pineapple in 1800
#history#i have seen this réticule with mine own two eyes#history facts#fashion#historical#historical fashion#they really gave n0 fucks back then
4 notes
·
View notes
Text
23 juin 22 | condensateur, plaisir | 17
23 juin 22 | condensateur, plaisir | 17
502. « Condenser : Empr. au lat. class. condensare « presser, serrer » notamment certaines substances (marc des raisins, fromage, etc.).” “Condensateur : Étymol. et Hist. 1. 1753 « appareil dans lequel on opère la condensation des gaz » (Encyclop. t. 3); 2. 1808 « appareil servant à emmagasiner une charge électrique » ici p. anal. en parlant des cellules nerveuses (Cabanis, Rapports du physique…
View On WordPress
0 notes
Photo
Un travail scolaire qui consistait à créer la carte d’une ville ainsi qu’un point de vue à l’intérieur de cette dernière se basant sur le livre “Les villes invisibles” D’Italo Calvino. Ici j’ai donc recréé la ville de Zora.
“Au-delà de six fleuves et trois chaînes de montagnes surgit Zora, ville que ne peut oublier celui qui l’a vue une fois. Mais ce n’est pas qu’elle laisse dans le souvenir comme d’autres villes mémorables une image hors du commun. Zora a la propriété de rester dans la mémoire endroit après endroit, dans la suc-cession de ses rues, et des maisons le long des rues,et des portes et fenêtres des maisons, bien qu’elle n’y déploie aucune beauté ou rareté particulière. Son secret est dans la façon dont la vue court sur des figures qui se suivent comme dans une partition musicale, où l’on ne peut modifier ou déplacer aucune note. L’homme qui sait de mémoire com-ment Zora est faite, la nuit quand il ne peut dormir il imagine qu’il marche dans ses rues et il se rappelle l’ordre dans lequel se suivent l’horloge de cuivre,l’auvent rayé du barbier, la fontaine aux sept jets d’eau, la tour de verre de l’astronome, le kiosque du marchand de pastèques, la statue de l’ermite et du lion, le bain turc, le café du coin, la traverse qui con-duit au port. Cette ville qui ne s’efface pas de l’esprit est comme une charpente ou un réticule dans les cases duquel chacun peut disposer ce qu’il veut se rappeler noms d’hommes illustres, vertus, nombres, classifications végétales et minérales, dates de batailles, constellations, parties du discours. On pourra, entre chaque notion et chaque point de l’itinéraire, établir un lien d’affinité ou de contraste, qui serve à la mémoire de rappel instantané. Si bien que les hommes les plus savants du monde sont ceux qui savent Zora par cœur.Mais c’est inutilement que je me suis mis à voyager pour visiter la ville : contrainte de demeurer immobile et égale à elle-même pour qu’on s’en sou-vienne mieux, Zora languit, s’est défaite, a disparu.La Terre l’a oubliée.“
“Les villes invisibles”- Italo Calvino
1 note
·
View note
Text
D’après Jean de La Fontaine, La Laitière confinée
Perrette dans sa tête ayant mille projets,
Bien définis et programmés,
Prétendait arriver sans encombre à l’été.
Insouciante et joyeuse, elle allait et venait,
La coiffure seyante, et le teint rehaussé,
Le jean décontracté, le foulard libéré.
Notre coquette ainsi troussée,
Comptait déjà dans sa pensée,
Les amis rencontrés, les plaisirs partagés.
Aller au Katorza voir les films d’Italie,
Des musiciens viennois ouïr les symphonies,
Ces délices occupaient les jours de la semaine,
Ainsi courait le temps, sans que rien ne la freine !
Aux vacances d’avril, elle serait la reine,
Aux trois petits mignons elle offrirait un nid,
Tandis que leur parents, délaissant l’Atlantique,
Se joueraient de la vague auprès de la Baltique.
Et qui l’empêcherait, venu le joli mai,
Parmi tous ses atours pour les noces de Pierre,
De choisir ceux qu’elle préfère,
Réticule vermeil et escarpins légers ?
Et de poursuivre son chemin,
Le long du noble fleuve, et jusqu’aux monts alpins,
Où l’attendraient pour les agapes,
Frères, sœur et cousins germains.
A peine de retour, qui pourrait l’arrêter ?
Les amis bien-aimés, elle s’empresserait,
Jusqu’aux Sables d’Olonne, d’aller les retrouver.
Et tombe la nouvelle, ainsi qu’un couperet :
La voilà confinée !
Adieu concerts, voyages, fêtes et amitiés,
Le poison s’insinue, insidieux, obstiné,
L’honni, le Couronné, il faut le terrasser !
Marie-Reine
1 note
·
View note
Text
Campo de l’Abazia. La Scuo laecchia della Misericordi jouxte l’église de La Misercordia. Photo © J. Brunerie.
Façade de la Scuola Vecchia della Misericordia. Photo © J. Brunerie.
Porte principale de la Scuola Vecchia della Misericordia. Photo © J. Brunerie.
« Il observait la façade gothiquede la Scuola Vecchia de Santa Maria della Misericordia. Elle comporte de curieux détails. Elle est décrépie mais si expressive avec sa collection d’enduits qui se sont succédé depuis le xive siècle. Les fêlures, les failles, soulignées par les tirants métalliques, barres destinées à soutenir la muraille, composent des signes, des caractères, des ratures qu’on peut déchiffrer comme une page imprimée. Mais avant tout, on y lit la pression du temps. Il appuie sur la surface usée, provoquant squames, saillies, bosselures et brèches de telle sorte que l’on sent le fronton proche de l’explosion. Contre ce phénomène de désintégration, l’Occident fauché n’a pas trouvé mieux que le filet pour protéger ses monuments. Un réticule coiffe l’un des clochetons de la façade. Voilà comment aujourd’hui l’on piège piteusement le poids des siècles dans ses filets.
Sous une pression proche de l’éclatement, la façade de la Scuola Vecchia rend assez bien compte de la présence implosive et pénétrante du passé. Ce passé nous picote à fleur de peau. Il se rappelle continûment à nous. Dire qu’il est mort n’a aucun sens. S’il y a un endroit où il nous harcèle, c’est bien à Venise. Non seulement les traces n’y sont pas effacées, mais elles sont exhibées avec impudence. Pour ne rien arranger, il se trouve qu’elles parlent, ces traces, et s’épanchent au-delà du raisonnable. En plus, elles nous somment de gloser sur elles. Ces signes si visibles ne cessent de nous relancer. Ils ne nous laissent jamais en paix. Ces marques, ces taches se glorifient de dégrader, d’endommager. Il faut les admirer. Dieu merci, nous sommes là, nous signifient-elles, c’est nous qui transfigurons le présent. »
Jean-Paul Kauffmann, Venise à double tour (pp. 56-57). © Éditions des Équateurs, 2019.
Le Paradis (Palais des Doges) peint par le Tintoret à la Scuola Vecchia della Misericordia. Photo D.R.
Arcades de l’Abazia par lesquelles on accède à la Scuola Vecchia della Misericordia. Photo © J. Brunerie.
« J’ai conscience qu’à cet instant je me monte la tête. Pourtant je n’ai pas eu à me forcer. Cette salle haute au pavement lisse et élastique, qui miroite faiblement, appartient à un autre monde par la paix absolue qu’elle renferme. Neuve, inentamée. Le temps semble n’avoir pas corrodé l’immense galerie. Une odeur légèrement acide de grenier à grain flotte dans l’atmosphère. On ne doit pas souvent ouvrir les fenêtres. Cela se sent. Un chauffage à air pulsé envoie doucement des bouffées tièdes sur l’immense surface.
J’essaie d’expliquer à Claudia l’étrange sensation que dégage ce lieu. Je ne la connais pas assez pour lui faire part de mes divagations sur les ravages de l’imagination.
– C’est normal, répond-elle d’une voix suave. C’est ici même que le Tintoret a peint le Paradis.
– Évidemment, ai-je failli répondre. Mais je n’ai pas envie de faire le malin. La révélation de Claudia me trouble au plus haut point. Le Tintoret, dans cet espace, aux prises avec son Paradis, cela saute aux yeux bien sûr. Dans quel autre atelier aurait-il pu peindre ! Claudia explique que la toile de vingt-quatre mètres de long, réputée pour être le plus grand tableau du monde, était composée en fait de trois bandes qu’il a fallu ensuite coudre. Domenico, le fils du peintre, dirigeait le chantier sous l’œil de son père, Jacopo. »
Jean-Paul Kauffmann, Venise à double tour (pp. 271-272). © Éditions des Équateurs, 2019.
L’Ange gardien et les anges transportant les âmes par Palma le Jeune. Photo © J. Brunerie.
« – Venez, dit Claudia.
Dans la pénombre, elle indique une toile d’au moins cinq mètres de haut posée sur des tréteaux.
– Palma le Jeune, indique-t‑elle laconiquement.
Je n’entends plus que le ventilateur à air pulsé. Sa confortable respiration est si basse et si amortie qu’on ne sent que le souffle de son haleine tiède.
Là encore, j’aurais pu rompre le silence en répondant évidemment. Palma l’accompagnateur. Celui-là ne me quitte pas d’une semelle. Là, c’est sûr, il me fait plus qu’un clin d’œil, il veut m’embobiner. Claudia mentionne en effet que le tableau qu’elle restaure provient des Gesuiti, l’église que ne manquait pas de visiter Lacan à chacun de ses séjours pour contempler le Saint Laurent du Titien. Les Gesuiti, elle dit cela en passant… Je lui demande de répéter.
– Oui, la première chapelle à droite en entrant.
Elle me regarde, étonnée :
– Qu’y a-t‑il ? Cela vous étonne ? Elle avait besoin d’être nettoyée et restaurée. Beaucoup de saletés, de moisissures. La partie inférieure est pourrie. L’humidité, comme souvent à Venise, est remontée.
Voilà où était passé le retable absent lorsque cet ami et moi avions marché sur les pas de Lacan. J’avais été frappé par les deux morceaux de bois en forme de X barrant l’emplacement. C’était comme si on avait condamné la chapelle. Rayée d’un seul coup. L’espace réservé à la peinture avait été remplacé par un affreux contreplaqué.
– La peinture reviendra aux Gesuiti ?
– Voyons ! Bien sûr, répond Claudia sur un ton de reproche. Dans au moins un an. Il y a eu auparavant deux restaurations malheureuses. L’une à la fin du xviiie, l’autre au xixe siècle. On n’hésitait pas à refaire la physionomie d’un personnage. Il faut enlever les vernis, la colle, et procéder à de nombreux essais pour avoir le bon solvant. »
Jean-Paul Kauffmann, Venise à double tour (pp. 277-278). © Éditions des Équateurs, 2019.
1 note
·
View note
Text
Tir de crise au calme,EDIT 1
Bonjour les amis, voici un tir avec la HW 97 a 17 mètres, coussin avant plombs JSB rs en 4.52,d'abord le tir avec la BSA comet. Même optique valiant 6x40 AO, réticule lumineux pour les deux carabines. Les mesures du petit stand (pour ceux qui doute, c'est mieux) je viens d'ajouté la photo a 10 mrs ! Comme ça on vois mieux ! Fenêtre de tir vers le jardin, on distingue une caisse sur un petite table,la on est a 10 mètres et au pied du talus on est a 17 mètres. Place aux cartons avec ... http://dlvr.it/T2ljCS
0 notes