#région grand -est
Explore tagged Tumblr posts
Text
Ribeauvillé
Canon EOS R
24-105mm F4 DG OS HSM | Art
ƒ/8.0
24.0 mm
1/125
iso 125
(FR)
Ribeauvillé est une commune française située dans le département du Haut-Rhin, en région Grand Est. Elle fait partie de la collectivité européenne d’Alsace et est située à environ 17 km de Colmar. Avec une population de 4 682 habitants (au 1er janvier 2021), Ribeauvillé est considérée comme une petite ville.
Histoire et patrimoine
Ribeauvillé a une histoire riche et variée, remontant au IXe siècle avec la présence d’un domaine agricole nommé Ratbaldsvilare. Au Moyen Âge, le village est mentionné comme un centre de production de vins et de bières. Les bâtiments historiques du village, notamment les maisons à colombages, datent du XVIe au XVIIIe siècle.
Tourisme et activités Ribeauvillé est un village touristique important, proposant de nombreuses activités et attractions :
Visites de caves et de domaines viticoles, tels que le domaine Louis Sipp et le domaine Agapé, pour découvrir les vins d’Alsace. Promenades à pied ou à vélo dans le village et ses environs, pour admirer les maisons à colombages et les vignobles. Châteaux de Ribeauvillé : deux des trois châteaux, Saint Ulrich et Girsberg, sont accessibles et proposent des visites guidées. Marché de Noël : chaque année, le village accueille un marché de Noël unique, avec animations, dégustations de vins et de produits locaux. Espace Balnéo : un centre de bien-être proposant des bassins intérieurs, un sauna et un hammam. Accès et hébergement Ribeauvillé est accessible par la route, à environ 17 km de Colmar. Il existe des parkings en bordure du centre-ville, payants pour les plus proches mais gratuits pour les plus éloignés. L’Office du tourisme est situé au 1, Grand-Rue.
Pour votre hébergement, vous trouverez des hôtels, des gîtes et des chambres d’hôtes dans le village ou dans les environs. Vous pouvez également réserver un séjour à la fois au centre de bien-être Espace Balnéo et au casino Barrière Ribeauvillé.
Culinaire Ribeauvillé est connu pour ses spécialités gastronomiques alsaciennes, notamment le kougelhopf, le pfifferdaj et les vins d’Alsace. Vous pouvez déguster ces spécialités dans les restaurants du village ou les caves viticoles.
(EN)
Ribeauvillé is a French commune located in the Haut-Rhin department, in the Grand Est region. It is part of the European collectivity of Alsace and is located approximately 17 km from Colmar. With a population of 4,682 inhabitants (as of January 1, 2021), Ribeauvillé is considered a small town.
History and heritage Ribeauvillé has a rich and varied history, dating back to the 9th century with the presence of an agricultural estate named Ratbaldsvilare. In the Middle Ages, the village is mentioned as a center of wine and beer production. The historic buildings of the village, including half-timbered houses, date from the 16th to the 18th century.
Tourism and activities Ribeauvillé is an important tourist village, offering many activities and attractions:
Visits to wine cellars and wine estates, such as the Louis Sipp estate and the Agapé estate, to discover the wines of Alsace. Walks or bike rides in the village and its surroundings, to admire the half-timbered houses and vineyards. Ribeauvillé Castles: two of the three castles, Saint Ulrich and Girsberg, are accessible and offer guided tours. Christmas Market: every year, the village hosts a unique Christmas market, with entertainment, wine tastings and local products. Espace Balnéo: a wellness center offering indoor pools, a sauna and a hammam. Access and accommodation Ribeauvillé is accessible by road, approximately 17 km from Colmar. There are car parks on the edge of the city center, paying for the closest but free for the furthest. The Tourist Office is located at 1, Grand-Rue.
For your accommodation, you will find hotels, gîtes and guest houses in the village or in the surrounding area. You can also book a stay at both the Espace Balnéo wellness center and the Barrière Ribeauvillé casino.
Culinary Ribeauvillé is known for its Alsatian gastronomic specialties, including kougelhopf, pfifferdaj and Alsace wines. You can taste these specialties in the village restaurants or wine cellars.
#VisitAlsace#SIGMA 24-105MM F/4 DG OS HSM ART#Lieux#Road-Trip#Alsace#Canon EOS R#Grand Est#24-105MM F/4 DG OS HSM#flickr#outdoor#photographers on tumblr#original photographers#extérieur
22 notes
·
View notes
Text
Voici 15 faits intéressants sur le Canada 🇨🇦
1. Le Canada est le deuxième plus grand pays au monde par superficie terrestre.
2. Le Canada a le littoral le plus long du monde, avec plus de 243 000 kilomètres de littoral.
3. Le Canada compte plus de lacs que tout autre pays, avec plus de 2 millions de lacs couvrant environ 8 % de sa superficie terrestre.
4. Le nom du pays provient du mot iroquoien du Saint-Laurent « kanata », signifiant « village » ou « colonisation. "
5. Le Canada abrite la plus ancienne roche connue au monde, l'Acasta Gneiss, qui a environ 4,01 milliards d'années.
6. Le pays compte six fuseaux horaires : Pacifique, montagne, centre, Est, Atlantique et Terre-Neuve-et-Labrador.
7. Le Canada abrite la plus longue rue du monde, la Transcanadienne, qui s'étend sur 7 800 kilomètres.
8. Le pays possède une vaste gamme d'animaux sauvages, notamment des ours, des orignaux, des loups et des castors.
9. Le Canada est le plus grand producteur mondial de sirop d'érable, représentant plus de 70 % de la production mondiale.
10. Le pays compte une population diversifiée, avec plus de 20 % des Canadiens nés à l'étranger.
11. Le Canada a deux langues officielles : l'anglais et le français.
12. Le pays abrite la plus grande île d'eau douce du monde, l'île Manitoulin, située dans le lac Huron.
13. Le Canada a une solide réputation pour sa beauté naturelle, avec de nombreuses attractions célèbres comme les chutes du Niagara, le parc national Banff et les Rocheuses canadiennes.
14. Le pays a une scène artistique et culturelle florissante, avec de nombreux musées, galeries et festivals.
15. Le Canada est connu pour son peuple amical et accueillant, avec un niveau de vie élevé et un filet de sécurité sociale solide.
Le Québec, la plus grande province du Canada par région, se distingue comme la seule où le français est la langue officielle. Réputé pour sa culture animée, ses villes dynamiques et sa beauté naturelle étonnante, le Québec offre un charme unique en Amérique du Nord. Des rues animées de Montréal et de Québec aux paysages paisibles et panoramiques le long du fleuve Saint-Laurent, cette province est un mélange captivant d'histoire, d'art et de nature. Plongez dans l'âme française du Canada et explorez ses charmantes villes, ses vastes forêts et son riche patrimoine culturel.
Place Royale
À visiter
À bientôt
10 notes
·
View notes
Text
" Après 2024, 2030 sera-t-elle une nouvelle année olympique en France ? Le Comité international olympique (CIO) a désigné mercredi 24 juillet les Alpes françaises comme site organisateur des Jeux olympiques d’hiver. Après plusieurs semaines d’incertitude liée à l’actuelle vacance du pouvoir, c’est une victoire pour Emmanuel Macron qui a défendu personnellement la candidature de la France devant le comité mercredi 24 juillet au matin.
Le CIO conditionne néanmoins la validation définitive de ce projet à la présentation des garanties financières et juridiques par lesquelles le pays hôte s’engage à couvrir les éventuels déficits de l’événement et à livrer les équipements en temps voulu. [...]
À quarante-huit heures de la cérémonie d’ouverture de Paris 2024, le sujet des Jeux d’hiver apparaît lointain. C’est pourtant maintenant qu’il faut s’en préoccuper, tant qu’il est encore temps de les arrêter. Coûts financiers, flou budgétaire, impact environnemental et verrou dans un modèle économique mortifère pour l’écosystème alpin : les problèmes posés par d’éventuels JO dans les Alpes sont nombreux et sérieux.
Si les plans climat et les schémas bas-carbone adoptés tant bien que mal par nos institutions ont un sens, si le souci budgétaire affiché par l’exécutif est réel, le projet de JO 2030 devrait être remis en question. Mettre en suspens la candidature et offrir aux citoyennes et citoyens la possibilité de se prononcer sur sa pertinence serait un signe de santé démocratique.
Ce serait aussi un geste de confiance envers la population, trop peu consultée sur les grands projets. Ceux-ci engagent pourtant les habitant·es, riverain·es et contribuables pour des années dans des trajectoires souvent polluantes et coûteuses.
Un demi-milliard de dépenses publiques
Le budget de fonctionnement annoncé pour les JO d’hiver s’établit à 2 milliards d’euros, selon le rapport du mois de juin de la commission de futur hôte – document qui comprend l’analyse du projet par un jury désigné par le CIO.
Cette enveloppe représenterait un coût de 462 millions d’euros pour la puissance publique – à partager entre l’État et les régions organisatrices. C’est autant que l’aide exceptionnelle débloquée par le gouvernement en février pour les hôpitaux. Ou que les financements annoncés en 2023 pour le plan logement devant permettre aux personnes sans domicile d’accéder à des solutions de logement pérennes. Ou encore que le fonds annuel de rénovation du bâti scolaire. C’est donc beaucoup d’argent, surtout dans le contexte du plan d’économie de 10 milliards d’euros décidé par Bruno Le Maire en février 2024.
Est-ce le meilleur usage à faire des subsides publics ? La question est d’autant plus pertinente que le montant à débourser sera en réalité sans doute beaucoup plus élevé : 2,4 milliards d’euros au total, pour une dotation publique comprise entre 800 et 900 millions d’euros, selon un rapport de l’Inspection générale des finances non publié, mais cité par le media La Lettre. Matignon, qui a commandé ce rapport, n’a pas répondu aux questions de Mediapart.
Une forte contribution de l’État
Dans le détail, les quelques informations publiques sur le volet budgétaire de cette candidature interrogent. La part de financement public, autour de 23 %, est beaucoup plus élevée que dans les dossiers d’autres pays, a remarqué Delphine Larat, membre du collectif No JO : 0 % pour la Suède pour les JO de 2026 – et retoqué de ce fait, 4 % pour l’Italie, 6 % pour la Chine (2022), 14 % pour le Kazakhstan (2022). Le montant et la part de provisions pour imprévus sont également « hors norme », autour de 258 millions d’euros pour la France, ajoute-t-elle.
Or les économistes des infrastructures ont bien documenté la sous-estimation systématique du coût des JO, dont les budgets ne prennent pas en compte tout un ensemble de dépenses plus ou moins cachées : les exonérations fiscales (nombreuses), les dépenses de sécurité ou de transports publics, etc.
Les rapporteurs de la commission de futur hôte s’inquiètent d’ailleurs à plusieurs reprises de la soutenabilité financière du projet, citant la construction des villages olympiques et d’une patinoire à Nice (Alpes-Maritimes).
Constructions massives dans les Alpes
Tout en promettant de « s’attaquer aux conséquences du changement climatique », le dossier des JO 2030 prévoit des constructions massives. Pas moins de cinq villages olympiques sont annoncés, avec 700 lits en projet au Grand-Bornand (Haute-Savoie), 700 supplémentaires à Bozel (Savoie), 1 500 à Nice – où la patinoire pourrait coûter 50 millions d’euros. Celle-ci pourrait prendre place sur des terrains destinés initialement à construire des logements sociaux. Et le projet serait particulièrement énergivore compte tenu du climat méditerranéen de la ville – un choix baroque pour des Jeux d’hiver.
Un « réseau routier olympique » devra par ailleurs être mis en place, notamment pour pallier les routes « étroites » dans les zones de montagne. L’empreinte carbone de l’ensemble est estimé entre 700 000 et 800 000 tonnes équivalent CO2 – sans aucun élément pour le vérifier –, soit autant que la consommation annuelle moyenne de 80 000 personnes en France.
Avec le réchauffement des températures, la neige tient de moins en moins en petite et moyenne montagne. Lors de l’édition 2022 de la Coupe du monde de biathlon au Grand-Bornand, en Haute-Savoie, elle a dû être livrée par camion avant la tenue des épreuves. Comment imaginer que la situation sera différente en 2030 ? Les canons à neige et retenues collinaires sont très consommatrices en eau, et, de ce fait, remis en cause par les défenseurs des écosystèmes. En 2022, la justice a suspendu l’autorisation d’une retenue d’altitude à La Clusaz, en Haute-Savoie, que la mairie voulait construire pour produire de la neige artificielle. C’est l’un des lieux choisis pour les JO de 2030.
Opacité antidémocratique
En l’absence de consultation et de référendum sur la tenue de JO d’hiver en France en 2030, il n’y a pas eu d’information correcte du public : le budget n’est pas publié en détail et le dossier de candidature n’est pas consultable en ligne. La clé de répartition entre État et régions n’est pas connue. Il n’y a pas eu d’étude alternative à la construction des nouvelles infrastructures, ni de contre-expertise du budget présenté par la France.
Avoir des JO dans les Alpes en 2030 « serait formidable pour inventer le modèle de Jeux d’hiver de demain qui doit être plus durable, qui doit s’adapter aux changements climatiques », a encore déclaré Emmanuel Macron au JT de France 2. Le chef de l’État semble se tromper de priorité : plutôt que le business olympique, c’est la montagne, son milieu naturel et les personnes qui y vivent qui doivent être défendus pour avoir une chance de perdurer.
La bonne question à poser est simple : cela est-il compatible avec des JO d’hiver ? Car, au vu des investissements nécessaires, ils enfermeraient ces territoires en plein bouleversement climatique dans un modèle touristique inadapté et dépassé.
Jade Lindgaard "
#MAIS QUEL PUTAIN DE TARE CE MACRON MAIS JPP DE CE SALOPARD J'EN PEUX PLUS !!!!!!#article copié en entier car réservé aux abonnés#j'ai juste enlevé quelques lignes pas trop importantes de l'intro pour faire plus court.#upthebaguette#en français#french side of tumblr#ecocide#climate emergency#olympics#winter olympics#france#french#pollution#biodiversity destruction#bee tries to talk
20 notes
·
View notes
Text
– Je vais vous le dire. Une fois pour toutes. Ce qui nous arrive à nous autres Français descendants de Français, c’est tout à fait dans l’ordre des choses.
– Une baisse de moral, Monsieur le Comte ?
– Tsss tsss. J’irai même plus loin, mon cher : ce qui risque d’arriver à l’humanité entière se justifie pleinement. Les Occidentaux ont complètement perdu le goût de vivre en crucifiant tout ce qui les retenait au sacré. Partout ils exhibent leurs tares et leurs vices. Ils se disent “fiers”. Tristes cloportes, incapables de réagir à la disparition programmée de leur vieille nation. Mais si ça se trouve, le processus va s’accélérer et prendre un chemin bien plus radical que l’asservissement à coups d’impôts, de normes, de flicage et de surinades. Les probabilités d’une guerre étendue à l’Est se confirment chaque jour. Décidément, ces Américains sont d’immondes salopards, et leurs vassaux ne valent pas mieux.
– Ah, vous aussi êtes inquiet de cette situation... Le fils du filleul de mon épouse qui est dans les transmissions, à un niveau que je ne puis divulguer, a prévenu ses parents d’un départ imminent à l’étranger, et pas besoin d’être grand clerc pour savoir de quelle région il parle.
– Vous voyez... Cent dix ans après la plus épouvantable catastrophe de l’histoire de ce continent, les veules crétins qui prétendent nous gouverner sont disposés à remettre le couvert. À cela près que la grosse Bertha d’aujourd’hui, si elle devait cesser de dissuader ces malades mentaux, cracherait des gigatonnes de souffle radioactif sur nos têtes de linottes. Et là, même si nos caves sont profondes, je crains que nous n’ayons le temps de vider tous les cols qui s’y trouvent.
– Ce serait fâcheux, Monsieur le Comte. Quand je pense que Monsieur le Comte votre père était parvenu à les soustraire à la connaissance de l’occupant d’avant...
– Oh, vous savez, l’occupant d’aujourd’hui prétend ne pas boire d’alcool. Mais ça ne compte plus. Si tout cela doit péter, ils seront caramélisés ou cancérisés de la même façon. L’égalité par l’atome, quelle méchante farce !
– Vous avez raison d’en rire, Monsieur le Comte. De toutes les manières, nous n’aurions pas longtemps à pleurer.
– Je me demande qui portera le chapeau, cette fois. Les Danois, ces socialistes qui se prennent pour des vikings ? Les Polonais, ces abrutis de boutefeux ? Les Estoniens, ces acariatres acariens ? Le flamboyant inverti de l’Élysée, les fesses au chaud au dix-septième sous-sol du palais, en compagnie de son messieurs-dames ?
– Ha ha ! Quelle galerie ! C’est la magie de l’UE, Monsieur le Comte ! – Ce qui me contrarie le plus, c’est que l’atome n’a rien de sélectif. Cela nous condamne à périr avec ces ploucs. Vous rendez-vous compte ? Quel embarras que cette ultime promiscuité !
J.-M. M.
21 notes
·
View notes
Text
Mercredi 3 juillet 2013.
Les "MYOP" travaillent sur un projet sur la France avec le Secours Catholique. Il sera baptisé "les oubliés de nos campagnes". Avec Lionel Charrier, nous choisissons de travailler sur la diagonale du vide, un désert français. Les autres photographes de l'agence qui participent au projet iront dans d'autres régions.
La diagonale du vide est une zone qui a été particulièrement touchée par l'exode rural depuis la révolution industrielle au XIXème siècle jusqu'à maintenant.
Du Nord-est au Sud-ouest, en tandem, Lionel en couleur et votre serviteur en noir et blanc, nous avons parcouru la diagonale, de la frontière belge dans les Ardennes jusqu’à la frontière espagnole, dans les Pyrénées. Nous faisons le choix de suivre des routes secondaires, c'est là que se trouve la vraie vie, pas loin des villes, souvent à quelques kilomètres des grandes autoroutes, mais fréquemment ignorée des pouvoirs publics et des politiques qui trouvent très peu d’intérêt dans ces endroits de très basse densité, où il n'y a pas beaucoup de voix à glaner lors d'élections.
Grâce à certaines branches locales du secours catholique, nous rencontrerons des personnes dans le besoin. Nous en enregistrons aussi certaines. Devant le micro, elles se lâcheront beaucoup plus que devant un appareil photo. Très isolées, elles éprouvent un énorme besoin de se confier.
Photo : route départementale. Nièvre.
12 notes
·
View notes
Text
Pour ceux qui savent (ou acceptent d’apprendre à) lire, voici de nouveau l’histoire – vraie – des Xhosas lors de la colonisation de l’Afrique du Sud par les Britanniques dans la deuxième moitié du dix-neuvième siècle (d’après FG).
Les Xhosas étaient la seconde peuplade de la région après les Zoulous.
Ils résistèrent aux colonisateurs mais subirent plusieurs défaites.
Ils finirent par développer un sentiment d’infériorité.
Cette situation émotionnelle se révéla par la suite éminemment propice à la propagation d’une prophétie.
Une fille de quinze ans, Nongqawuse, prétendit avoir entendu une voix lui dire que les Xhosas devaient tuer tous leurs bovins, cesser de cultiver leurs champs, détruire leurs céréales et autres aliments, et même démolir leurs instruments agricoles.
Elle prétendait qu’une fois ce sacrifice accompli, la magie ferait naître une nouvelle ère d’abondance, plus prospère, et que l’ancienne gloire des Xhosas serait restaurée.
Les guerriers tués dans les combats se relèveraient de leurs cendres et rejetteraient les Britanniques à la mer.
En l’occurrence, Nongqawuse réussit à convaincre son oncle Mhlakaza, sorcier de son état.
D’autres versions prétendent que c’est le sorcier qui aurait influencé sa nièce.
Toujours est-il que Mhlakaza devint le chef du mouvement d’extermination du bétail. Il finit par persuader le roi Sarhili.
Dans un acte symbolique, le roi tua son bœuf favori.
L’hystérie s’étendit.
Certains prétendaient voir les ombres des guerriers morts surgir de la mer.
Les gens s’aveuglaient et se trouvaient des preuves à l’appui de ce qu’ils voulaient désespérément voir devenir la réalité.
Le bétail fut massacré à un rythme tel que même les vautours n’avaient plus le temps de le dévorer.
La résurrection des morts était prévue par la prophétie lors de la pleine lune de juin 1856.
Évidemment rien ne se produisit.
Qu’à cela ne tienne, elle fut de nouveau annoncée par le grand sorcier Mhlakaza comme devant se réaliser 2 mois plus tard.
Toujours rien n’advint.
On imputa donc l’échec de la prophétie à une extermination incomplète du bétail.
On avait gardé quelques vaches laitières.
Une petite minorité d’incroyants avait refusé de tuer son bétail.
Plusieurs fois reportée tout au long d’une année entière, la résurrection resta un fol espoir aux antipodes de la dure réalité.
L’échec répété ne pouvait que signifier le manque de foi des Xhosas qui n’avaient pas tué tout le bétail.
Non seulement on l’abattit jusqu’au dernier mais avec lui les poules et les chèvres pour faire bonne mesure.
Toute nourriture avait disparu au printemps 1857.
La disette s’installa.
Rendus fous par la faim, certains des Xhosas devinrent cannibales.
La population mourut de la famine ou, trop affaiblie, de la maladie.
Les croyants mouraient en accusant les incroyants d’être la cause de l’échec de la prophétie.
Ils accusaient aussi les rares missionnaires installés depuis peu.
Eux aussi avaient gardé leur bétail.
Un quart seulement de la population avait survécu un an plus tard.
Ce que cinquante ans de conquêtes armées et de guerres coloniales britanniques n’avaient pu réussir, seulement deux années d’une croyance religieuse mystique et fanatique l’offrirent aux colonisateurs sur un plateau d’argent.
Les Britanniques s’installèrent et trouvèrent chez les survivants Xhosas une main-d’œuvre docile et efficace...
7 notes
·
View notes
Text
À quoi ressemblait la vie d’un cow-boy ?
Ah, la vie de cow-boy ! C’est un mythe qui fascine encore aujourd’hui, des films western de John Wayne aux romans inspirants de l’époque. Mais qu'en était-il vraiment ? Entre l’image romancée du cow-boy des western classiques et la réalité plus terre-à-terre, découvrons ensemble à quoi ressemblait la vie d’un cow-boy.
Une journée dans la vie d’un cow-boy
Le cow-boy typique passait ses journées dans les grands espaces du Far West, travaillant sur des ranchs pour s’occuper du bétail. La journée commençait tôt, souvent avant le lever du soleil, avec des tâches comme le rassemblement des troupeaux ou la vérification des clôtures. Travailler dans le canyon ou les prairies demandait une équitation habile et une endurance à toute épreuve.
Les chevauchées fantastiques étaient fréquentes, avec des trajets qui pouvaient durer des heures pour trouver de l’eau ou surveiller les bovins. La selle et le chapeau de cow-boy étaient des accessoires indispensables, offrant protection et style dans un environnement rude.
Les défis de la vie de cow-boy
Contrairement à l'image du cow-boy dans les films américains, la vie réelle était souvent difficile et monotone. Les cow-boys travaillaient jusqu'à 20 heures par jour, en se protégeant non seulement des prédateurs mais aussi des tempêtes et des bousculades nocturnes. Les salaires étaient modestes, oscillant entre 25 et 40 dollars par mois, malgré le dur labeur.
Les rassemblements de printemps et d'automne étaient des moments cruciaux. Les cow-boys marquaient les veaux, castraient les bêtes, et préparaient le bétail pour les longues conduites vers les villes de l'élevage de bétail. Ces chemins comme la piste Chisholm étaient souvent semés d'embûches et de risques.
La diversité des cow-boys
L'image du cow-boy blanc et solitaire est largement véhiculée dans les western modernes, mais la réalité était beaucoup plus diverse. Au Texas, par exemple, un tiers des cow-boys étaient afro-américains ou mexico-américains. La répartition raciale variait selon les régions, et chaque cow-boy apportait sa propre histoire et ses compétences à ce métier exigeant.
Les équipements et la tenue vestimentaire
La tenue d’un cow-boy était avant tout fonctionnelle. Des bottes hautes, un chapeau de cow-boy pour se protéger du soleil, et des vêtements robustes étaient essentiels. Les éperons et le lariat faisaient aussi partie de l’équipement standard. En effet, le cow-boy devait être prêt à affronter tous les éléments de la nature tout en gérant le cheptel et les bovins.
Vie sociale et culturelle
Le cow-boy vivait dans un monde où les relations sociales étaient souvent aussi rudes que le travail lui-même. Les soirées dans les saloon étaient un moment de détente, parfois accompagné de danses country et de musique. Cependant, la vie en ville n’était pas sans conflits. Les portraits des cow-boys variaient entre l’image du héros courageux et celle du voyou de la frontière.
L'héritage du cow-boy
Malgré la rudesse de la vie de cow-boy, le métier a laissé une empreinte durable dans la culture américaine. Les récits de cow-boys ont inspiré des films westerns, des bandes dessinées comme Lucky Luke, et même des festivals de country. Le cow-boy est devenu un symbole de liberté et d’indépendance, même si la réalité était parfois bien différente de la légende.
En conclusion, la vie d’un cow-boy était loin d’être une simple aventure à cheval dans les grandes plaines américaines. C’était un métier exigeant, souvent sous-estimé, mais toujours empreint d’un esprit de liberté et de courage. Que ce soit en équitation western ou en rodéo, le cow-boy continue de captiver notre imagination et de définir une partie importante de l’histoire de l’Ouest américain.
FAQ : À quoi ressemblait la vie d’un cow-boy ?
1. Qu'est-ce qu'un cow-boy exactement ?
Un cow-boy est un ouvrier agricole spécialisé dans l’élevage du bétail, principalement dans les vastes espaces du Far West américain. Contrairement aux images romantiques véhiculées par les films et les romans, les cow-boys étaient souvent des travailleurs mal payés, engagés dans des tâches épuisantes et difficiles. Le terme cow-boy est apparu au début des années 1830 au Texas et désignait à l'origine des pillards de bétail avant d'être attribué aux ouvriers agricoles après la Guerre de Sécession.
2. Quelle était la vie quotidienne d'un cow-boy ?
La vie quotidienne d'un cow-boy était centrée autour des grands rassemblements de bétail et des longues conduites vers les marchés. Les journées étaient marquées par des heures de travail intenses, souvent jusqu’à 20 heures par jour. Les cow-boys s'occupaient de tâches variées telles que marquer les veaux, castrer les animaux et gérer les troupeaux. Ils faisaient face à des défis comme les conditions climatiques extrêmes, les prédateurs et les bêtes sauvages.
3. Quels étaient les défis majeurs auxquels les cow-boys étaient confrontés ?
Les cow-boys faisaient face à de nombreux défis, notamment :
Conditions climatiques extrêmes : chaleur brûlante, froid intense et tempêtes.
Risques liés au bétail : bétail errant, bousculades nocturnes et attaques de prédateurs.
Travail difficile : tâches lourdes et salissantes avec des salaires souvent bas.
4. Les cow-boys étaient-ils tous des hommes blancs ?
Non, loin de là ! Bien que les cow-boys les plus connus dans les récits populaires soient souvent décrits comme blancs, la réalité était beaucoup plus diverse. Au Texas, par exemple, environ un tiers des cow-boys étaient afro-américains ou mexico-américains. La répartition raciale variait considérablement selon les régions.
5. Comment les cow-boys étaient-ils perçus à l'époque ?
Les perceptions des cow-boys étaient très variées. Certains les voyaient comme des aventuriers courageux et loyaux, tandis que d'autres les décrivaient comme des voyous sans foi ni loi. Les descriptions négatives venaient souvent de ceux qui les observaient en ville après une longue période sur les sentiers, tandis que ceux qui passaient du temps dans les pâturages les voyaient comme des travailleurs acharnés et courageux.
6. Quelle était la tenue vestimentaire typique d'un cow-boy ?
La tenue des cow-boys variait en fonction du climat et du terrain. Les éléments essentiels comprenaient :
Chapeau de cow-boy : large pour se protéger du soleil.
Chemise et pantalon : souvent en flanelle pour la chaleur.
Bottes à éperons : pour faciliter l'équitation et le travail avec le bétail.
Gilet et ceinture : pour porter des outils comme les cordes et les révolvers.
7. Les cow-boys utilisaient-ils des armes à feu ?
Oui, mais leur usage était souvent exagéré dans les récits populaires. Les cow-boys portaient des révolvers et des pistolets, mais la plupart d'entre eux n'étaient pas particulièrement habiles avec ces armes. Dans la réalité, les armes étaient principalement utilisées pour se défendre plutôt que pour des duels spectaculaires.
8. Comment la vie des cow-boys a-t-elle évolué avec le temps ?
Avec la clôture des pâturages et l'expansion des voies ferrées dans les années 1890, le cow-boy classique a commencé à disparaître. Le travail est devenu plus structuré et les grandes entreprises ont remplacé les petits ranchs. Cependant, l'image du cow-boy romantique perdure dans les films, les livres et les festivals western.
9. Quelle est l'héritage des cow-boys aujourd'hui ?
Aujourd'hui, l'esprit des cow-boys continue de vivre dans la culture populaire, les festivals western et les événements comme les rodéos. Les valeurs d'indépendance, de courage et de travail acharné associées aux cow-boys sont encore célébrées, et leur image reste un symbole emblématique de l'Ouest américain.
Si tu as d'autres questions sur la vie des cow-boys ou si tu souhaites explorer plus en détail cet univers fascinant, n'hésite pas à nous le faire savoir !
À voir aussi : D'où vient le nom "Cowboy" ?
#kleon rivas#rivastraut#mike ehrmantraut#self ship#oc x canon#self ship community#self insert#fanart#digital art#rdr2 fanart#rdr2#red dead redemption 2#cowboy#charles rdr2#charles smith#logan howlett#wolverine#dorkszn#logan howlett x reader#dorkfilmz#cowboy au#james howlett logan#one piece#trafalgar law#fem law#my art#Halloween#spooky season#cowboy skeleton#skeleton
9 notes
·
View notes
Text
Avertissement: ouais je ne vous ai pas parlé du Québec la semaine dernière parce que la délégation française était en visite. Un genre de stage d’immersion ^^. Donc 2 posts pour le prix d’un cette semaine!
Parlons régions!
Le Québec c’est grand, 17 régions! Et tout comme le français en France et au Québec est différent, chaque région a ses particularités et ses expressions.
Voici donc un petit condensé de quelques expressions spécifiques à quelques régions afin de ne pas être pris au dépourvu lors de vos visites québécoises.
NDLR: une même expression peut être utilisée dans plusieurs régions.
Saguenay-Lac-St-Jean
À cause
Pourquoi
Cotteur
Bande de béton d’environ 10 cm de large bordant les rues.
Faire simple
Faire le con, être un connard.
Grand talent
(Insulte) Se dit de quelqu’un qui croit tout savoir.
Soutte
Habit de neige 1 ou 2 pièces
Outaouais
Faire sa grocery
Faire l’épicerie, ses courses
Faire sûr
S’assurer
Porter des sleepine
Porter des bobettes (petite culotte)
Prendre le ditch
Aboutir dans le fossé.
Se faire lutter
Se faire happer.
Touter d’la horn
Klaxonner
Capital-Nationale
C’est pas si tant pire
C’est pas si mal
S’assir
S’asseoir
T’es ben agrès
T’es stupide
Bas-St-Laurent
Avoir la plotte à terre
Être fatigué
Culottons
Pantalon de neige (partie du bas d’un habit de neige.
Abitibi-Témiscamingue
(La plus belle région)
Aller faire du bois
Aller couper du bois dans la forêt ou aller fendre les bûches 🪵.
Exemple:
Des bottes à pines
Des bottes de pluie
La guerre de la 117
Se dit pour parler de la rivalité entre les équipes de hockey de Rouyn-Noranda (Les Huskies) et celle de Val d’Or (Les Foreurs) évoluant dans la ligue junior majeur du Québec. La 117 étant la route reliant les 2 villes.
Veuve de chasse
La chasse est une activité encore très populaire en Abitibi-Témiscamingue, grande région de lacs et de forêts. À l’automne, lorsque la saison de chasse s’ouvre, les hommes partent plusieurs jours voire même semaines laissant leurs conjointes à la maison. L’expression à l’utilise donc pour désigner ces femmes.
4 notes
·
View notes
Text
mais l'accent normand.................................................. ok c'est moi qui suis con hein mais j'ai passé genre 20 minutes à essayer de comprendre ce dont parle un représentant syndical en parlant du "PEUR" qui est apparemment (vu le contexte) une grande entreprise et "le premier employeur de la région havraise", j'ai essayé tous les acronymes, et au final c'est le PORT. bon.
#tu me diras j'aurais pu m'en douter parce qu'il a dit ''MEURT'' à la place de ce que j'ai deviné contextuellement comme étant ''MORT''#et j'étais là ❓❓mais il a pas vraiment d'accent à part ça donc j'ai pas trop fait le lien#LE PORT PUTAIN. okay#subitement tout s'éclaire
6 notes
·
View notes
Text
Ribeauvillé
Canon EOS R
24-105mm F4 DG OS HSM | Art
ƒ/8.0
24.0 mm
1/250
iso 125
(FR)
Ribeauvillé est une commune française située dans le département du Haut-Rhin, en région Grand Est. Elle fait partie de la collectivité européenne d’Alsace et est située à environ 17 km de Colmar. Avec une population de 4 682 habitants (au 1er janvier 2021), Ribeauvillé est considérée comme une petite ville.
Histoire et patrimoine
Ribeauvillé a une histoire riche et variée, remontant au IXe siècle avec la présence d’un domaine agricole nommé Ratbaldsvilare. Au Moyen Âge, le village est mentionné comme un centre de production de vins et de bières. Les bâtiments historiques du village, notamment les maisons à colombages, datent du XVIe au XVIIIe siècle.
Tourisme et activités Ribeauvillé est un village touristique important, proposant de nombreuses activités et attractions :
Visites de caves et de domaines viticoles, tels que le domaine Louis Sipp et le domaine Agapé, pour découvrir les vins d’Alsace. Promenades à pied ou à vélo dans le village et ses environs, pour admirer les maisons à colombages et les vignobles. Châteaux de Ribeauvillé : deux des trois châteaux, Saint Ulrich et Girsberg, sont accessibles et proposent des visites guidées. Marché de Noël : chaque année, le village accueille un marché de Noël unique, avec animations, dégustations de vins et de produits locaux. Espace Balnéo : un centre de bien-être proposant des bassins intérieurs, un sauna et un hammam. Accès et hébergement Ribeauvillé est accessible par la route, à environ 17 km de Colmar. Il existe des parkings en bordure du centre-ville, payants pour les plus proches mais gratuits pour les plus éloignés. L’Office du tourisme est situé au 1, Grand-Rue.
Pour votre hébergement, vous trouverez des hôtels, des gîtes et des chambres d’hôtes dans le village ou dans les environs. Vous pouvez également réserver un séjour à la fois au centre de bien-être Espace Balnéo et au casino Barrière Ribeauvillé.
Culinaire Ribeauvillé est connu pour ses spécialités gastronomiques alsaciennes, notamment le kougelhopf, le pfifferdaj et les vins d’Alsace. Vous pouvez déguster ces spécialités dans les restaurants du village ou les caves viticoles.
(EN)
Ribeauvillé is a French commune located in the Haut-Rhin department, in the Grand Est region. It is part of the European collectivity of Alsace and is located approximately 17 km from Colmar. With a population of 4,682 inhabitants (as of January 1, 2021), Ribeauvillé is considered a small town.
History and heritage Ribeauvillé has a rich and varied history, dating back to the 9th century with the presence of an agricultural estate named Ratbaldsvilare. In the Middle Ages, the village is mentioned as a center of wine and beer production. The historic buildings of the village, including half-timbered houses, date from the 16th to the 18th century.
Tourism and activities Ribeauvillé is an important tourist village, offering many activities and attractions:
Visits to wine cellars and wine estates, such as the Louis Sipp estate and the Agapé estate, to discover the wines of Alsace. Walks or bike rides in the village and its surroundings, to admire the half-timbered houses and vineyards. Ribeauvillé Castles: two of the three castles, Saint Ulrich and Girsberg, are accessible and offer guided tours. Christmas Market: every year, the village hosts a unique Christmas market, with entertainment, wine tastings and local products. Espace Balnéo: a wellness center offering indoor pools, a sauna and a hammam. Access and accommodation Ribeauvillé is accessible by road, approximately 17 km from Colmar. There are car parks on the edge of the city center, paying for the closest but free for the furthest. The Tourist Office is located at 1, Grand-Rue.
For your accommodation, you will find hotels, gîtes and guest houses in the village or in the surrounding area. You can also book a stay at both the Espace Balnéo wellness center and the Barrière Ribeauvillé casino.
Culinary Ribeauvillé is known for its Alsatian gastronomic specialties, including kougelhopf, pfifferdaj and Alsace wines. You can taste these specialties in the village restaurants or wine cellars.
#VisitAlsace#SIGMA 24-105MM F/4 DG OS HSM ART#Lieux#Road-Trip#Alsace#Canon EOS R#Grand Est#24-105MM F/4 DG OS HSM A#flickr#outdoor#photographers on tumblr#original photographers#extérieur#ribeauville
14 notes
·
View notes
Text
Étretat, France 🇲🇫
Est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie. Jadis modeste village de pêcheurs, Étretat devient au xixe siècle une station balnéaire de renom. Jacques Offenbach ou Guy de Maupassant y organisent des fêtes pour leurs cercles d'amis. Ce bourg se trouve au nord du Havre, sur le littoral de la Manche, sur la côte d'Albâtre qui fait partie du pays de Caux. Ses falaises de craie blanche et ses plages de galets grisâtres en ont fait un des lieux du tourisme international avec plus de trois millions de visiteurs par an, exposé aux même risques que d'autres grands sites mondiaux, avec trois chutes mortelles en 2022, le tourisme de masse dégradant le site. Des peintres comme Albert Marquet, Gustave Courbet, Eugène Boudin ou encore Claude Monet ont contribué alors à sa publicité, tout en en immortalisant la spécificité. Des écrivains normands comme Maupassant et Gustave Flaubert furent des fidèles du lieu. Maurice Leblanc, qui y vécut, contribua au mythe entourant le site entretenu dans une aventure d'Arsène Lupin intitulée, l'Aiguille creuse.
20 notes
·
View notes
Text
"Les JO, c’est super. Mais pour qui et à quel prix ? [...]
Les fan zones sont pleines de gens qui rient et pleurent ensemble devant les transmissions des épreuves ; 5 200 personnes ont été expulsées de squats et de campements de rue en Île-de-France en un an et envoyées en région sans solution de logement.
Les transports publics roulent bien et les agent·es d’accueil sont plebiscité·es pour leur bonne humeur ; les émissions de CO2 des Jeux olympiques de Paris (JOP), 1,58 million de tonnes au minimum, seront l’équivalent de ce que rejettent 150 000 personnes en France en un an.
Des athlètes couronné·es sont d’anciens enfants placés ou ont grandi dans des quartiers pauvres ; le prix des places pour la cérémonie de clôture des Jeux va de 250 à 1 600 euros – plus qu’un mois de salaire minimum.
C’est officiellement la trêve olympique, et la délégation ukrainienne a remporté deux médailles d’or (sabre et saut en hauteur), ainsi qu’une de bronze (lutte gréco-romaine), qui deviennent des symboles de résistance face à l’agression militaire russe ; les bombardements israéliens n’ont pas cessé à Gaza, visant une école transformée en refuge le 10 août, veille de la clôture des Jeux, tuant près de cent personnes selon un premier bilan. [...]
La vasque et sa flamme olympique en LED et vapeur d’eau flottant au-dessus des Tuileries émerveillent le public ; les enfants du quartier Pleyel à Saint-Denis vont subir les pots d’échappement de la voie vers l’autoroute construite collée à leur école pour les JOP.
Imaginaire collectif coupé en deux
Cette liste pourrait s’allonger encore et encore. Dans ces conditions, quelles conclusions en tirer sur la portée de l’événement ? [...]
Une situation peut être à la fois agréable et pourtant néfaste. On peut aimer boire du Coca-Cola ou de la vodka, cela n’empêche pas que ce soit mauvais pour la santé ; adorer voyager vers des pays lointains alors que les trajets en avion contribuent à la destruction du climat [...]. Les émotions, aussi fortes soient-elles, ne suffisent pas à façonner la réalité.
En 2015, les chercheurs Stefan Aykut et Amy Dahan parlaient de « schisme de réalité » pour décrire les négociations climat, car elles voulaient réduire les gaz à effet de serre sans s’attaquer à leurs principales émettrices, les industries fossiles. Elles avaient créé un théâtre de discours sans prise directe avec le problème à résoudre.
À sa manière, Paris 2024 aura été un schisme de réalité : il y a une dissociation entre le spectacle, excitant, prenant, populaire, et les conditions de sa fabrication, brutales, excluantes, coûteuses et injustes. C’est un déchirement sensible. Le sentiment d’une immense réussite s’entend dans les déclarations des organisateurs et des dirigeants politiques. La fierté et la joie s’expriment un peu partout, aux repas familiaux, entre collègues, avec ses voisins, sur les réseaux sociaux, dans les médias. Mais qui écoute la complainte, la colère et les douleurs de celles et ceux qui ont été éjecté·es de la fête ?
Si le prix à payer en « nettoyage social », en élitisme commercial (le prix des billets, du merchandising et d’un séjour à Paris) et en destructions environnementales (climat, arbres coupés au parc Georges-Valbon, jardins ouvriers détruits à Aubervilliers et pollution de l’air à Saint-Denis), est considéré comme acceptable, le risque est d’abaisser les critères d’exigence démocratique, sociale et écologique pour la suite.
Car si un pouvoir peut décider un tel événement sans consulter la population, en cédant aux exigences d’une association croulant sous les accusations de corruption (le CIO), en engageant au moins 10 milliards d’euros sans transparence sur le coût final en argent public, et en multipliant les promesses écologiques intenables, alors pourquoi ne pas continuer ?"
#french#en français#upthebaguette#french side of tumblr#paris 2024#olympics#bee tries to talk#france#ecology#pollution#classism
12 notes
·
View notes
Text
Printemps 1920 - Champs-les-Sims
1/5
Chère Eugénie,
Je vous remercie pour votre lettre et vous confirme que nous avons bien reçu de Jules une lettre assez inquiétante, même si Constantin continue de traiter les événements comme un simple retard des services postaux. Malgré le fait que nous lisions les journaux tous les matins, il est encore difficile pour lui de comprendre le rapport entre les événements et le fait que les chantiers sont actuellement suspendus. Il continue à protester en affirmant que les fouilles n'ont rien à voir avec des questions politiques et qu'il est navrant que de braves hommes se soient pris dans de tels événements. Il parle d'obtenir un permis de fouilles alors même que ses confrères sont tous rentrés en urgence, ou presque, pour sauver leur vie. J'aimerai parfois bien vivre dans le monde de mon mari, où une grave situation politique ayant fait des centaines de morts n'est qu'un simple contretemps agaçant. Il passe son temps à affirmer qu'il n'a jamais rien fait contre le peuple égyptien, si ce n'est exhumé sa culture perdue, et il lui parait inconcevable que des hommes puissent être lynchés pour cela.
Transcription :
Constantin « Et du coup, il me paraît évident que les textes funéraires du caveau de Sennefer me semble encore mal connus. Je vais demander un permis de fouilles séances tenantes, nous pourrions apprendre des choses révolutionnaires sur l’administration thébaine sous le règne d’Aménophis II. »
Eugénie « C’est beau de te voir retrouver ton entrain. »
Cléopâtre « Tiens, en parlant d’événements révolutionnaires… »
Eugénie « Cléopâtre, ma chérie, laisse donc ton père finir. Qu’avait-il de remarquable ce… Sennofeur ? »
Constantin « C’était un administrateur de la cité thébaine, Grand-Mère ! Gérant des greniers à blé de la région, il avait la main, au nom du pharaon, sur les possessions du clergé d’Amon. Il participait, entre autres choses, à limiter l’influence du clergé sur la politique royale. Imagine ce que nous pourrions apprendre en étudiant davantage sa tombe, les administrateurs adorent parler de leurs hauts faits, et ils sont d’ailleurs assez peu reconnus. »
Eugénie « Je suis bien d’accord, personne ne s’intéresse aux petites mains de l’ombre. En gros, il administrait les biens de l’église, un peu comme au Vatican n’est-ce pas ? »
Constantin « Non pas du… Oui, si l’on essaie de trouver une analogie, ce n’est sans doute pas si loin. »
Eugénie « Merveilleux, me voici enfin à comprendre quelque chose à toutes ces histoires égyptiennes. »
Cléopâtre « Bien sûr, Grand-Mère. Mais peut-être faudrait-il aussi parler de la situation en Egypte en ce moment ? »
Constantin « Oh, ça ne peut pas être si grave n’est-ce pas ? »
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Albertine Maigret#Eugénie Bernard#Constantin Le Bris#Jules Le Bris#Cléopâtre Le Bris
9 notes
·
View notes
Note
What are the best books you've read this year?
Why am I only seeing the notification for your ask now 😱 sorry about the delay dude!
So, best of books read in 2024 (thank you Goodreads for the list):
L'usage du thé: Une histoire sensible du bout du monde de Lucie Azéma: un ouvrage qui mêle histoire, géographie, récit de voyage, petite histoire dans la grande... c'était très intéressant et l'autrice a une jolie plume. Ça m'a donné envie d'aller boire du thé dans tout un tas de régions très différentes ! Et d'explorer un peu plus les différents types de thé que je bois, également... Aussi lu Les femmes aussi sont du voyage d'elle cette année.
The Rose Code by Kate Quinn: historical fiction set in Great-Britain during WWII, dealing with the intelligence service. It was fascinating, I learned a lot of things, and the author's writing style was quite pleasant to read. Loved the different characters too! From that author, I also read The Diamond Eye, which was pretty cool, but I preferred The Rose Code. I also added The Huntress and The Alice Network to my to-read pile of 2025.
La 7ème Victime d'Alexandra Marinina: murder mystery/whodunnit set in Moscow during the late 1990's, so relevant to my interests. I was so close to finding out who was the killer! But alas, no. Pretty interesting for who cares about the changes Russian society went through during the 90's. I also read L'illusion du Péché by the same author in 2023, it was good too.
The Beauty Myth by Naomi Wolf: doesn't need an introduction I think... still very actual. I find feminist theory to be quite disheartening to read lately, it feels as if things are getting worse instead of better. Depressing.
Comme un roman de Daniel Pennac: une relecture (pas lu depuis de nombreuses années cependant) qui est toujours aussi agréable ! Quelle belle ode à la lecture et la littérature... Ça commence à être daté par contre (les jeunes à banane et Santiag'), mais ça fait aussi son charme. Je me demande ce que Pennac écrirait s'il rédigeait cette ouvrage cette décennie...
Overall my hits of the year were more in the first half of the year than in the second half. There were a few disappointments, and a few books that were good, but that's it. (And I have to admit I preferred the movie to the book after having read The Martian. Matt Damon should have gotten the Oscar for that one damnit, he acted alone for most of the movie!)
4 notes
·
View notes
Text
L’espoir renaît : 17 djihadistes calibrés par l’armée syrienne !
BACHAR seul et vrai président de la Syrie LIBRE !
Il a fallu quelques heures pour que la résistance syrienne écoute l’appel lancé ici même pour le retour de Bachar al Assad à la présidence de la Syrie libre !
Pas moins de 17 djihadistes ont été méthodiquement exécutés par l’armée syrienne dans la région de Latakié !
Ces gorets ont été saignés dans les règles de l’art.
Je connais mes lecteurs et je sais qu’ils apprécient ce sang à sa juste valeur.
Dernières nouvelles : Au moins 17 terroristes soutenus par Erdogan sont éliminés par les forces de la résistance syrienne dans le gouvernorat de Lattaquié.
Après toutes ces journées à endurer l’intolérable pendant deux semaines, enfin un rayon de lumière.
Confessons – hélas – que les Français ont un tableau de chasse bien moins spectaculaire par comparaison en dépit des crimes dont se sont rendus coupables les baiseurs de chèvres chez nous.
Il est trop tôt pour anticiper la suite, mais qui peut croire que les Alaouites vont laisser ces chiens de djihadistes occuper leur pays sans réagir, a fortiori si ces baiseurs de chèvres se livrent aux pires exactions ?
Pour notre plus grande honte, des rats venus de France figurent dans le lot de leurs oppresseurs.
J’ai un défaut : la loyauté.
Cela fait 14 ans que je soutiens farouchement la Syrie nationaliste et son seul et unique leader Bachar al Assad. Durant toutes ces années, j’ai passé des heures et des jours à expliquer la juste cause de la Syrie libre face aux Ottomans et à leurs hordes d’égorgeurs qui menacent l’Europe. Je n’ai aucune intention de changer de position et certainement pas parce qu’Ali Baba et ses quarante voleurs ont pris Damas sur un malentendu.
Il est grand temps d’élever nos standards moraux et de faire preuve de ténacité dans l’adversité, même quand elle est extrême.
Je n’ai jamais abandonné Adolf Hitler, je n’ai pas l’intention d’abandonner Bachar al Assad. Et au delà d’Assad, la cause essentielle : la destruction de l’abrahamisme et le salut du monde aryen.
Nous devons regarder le monde d’un regard neuf. Les Arabes, ni aucun peuple, ne sont condamnés à subir le joug du fanatisme abrahamique, et sûrement pas le joug des juifs. C’est le grand combat de notre temps : pulvériser les juifs, redresser l’aryanisme.
Ici, à notre modeste échelle, nous sommes prêts à porter assistance au peuple de Syrie – la résistance – assiégé par les bêtes de Jolani et du tyran Erdogan. La Syrie a été éduquée par 60 ans de baasisme. Il serait illusoire de croire qu’il n’en reste rien sur place, surtout une semaine après ce putsch djihadiste.
Tous les contacts sont utiles, toutes les initiatives sont nécessaires. D’autant que les nations arabes ne perçoivent pas la situation d’un bon oeil face au Grand Turc. Nous allons voir un front anti-ottoman se forger. Nous avons potentiellement là le moyen d’une amitié nouvelle face à la menace turco-mongole conjointe, d’autant plus qu’elle est armée et encouragée par le juif, ennemi des nations.
Et puisque j’y suis, je pense sincèrement que la Russie a vocation à reprendre Constantinople. Ce trou à cafards doit être oblitéré et les Russes, restaurateurs de l’empire romain d’Orient, ne pourront pas éternellement esquiver leur destin.
Ils devront tuer les Turcs, en MASSE.
Nous sommes tous des Syriens – en tenue kaki avec une très grande soif de sang.
youtube
Démocratie Participative
3 notes
·
View notes
Text
Quelques considérations sur le rôle des experts dans nos "démocraties"…
«Tous les experts sont médiatiques-étatiques, et ne sont reconnus experts que par là.
Tout expert sert son maître, car chacune des anciennes possibilités d’indépendance a été à peu près réduite à rien par les conditions d’organisation de la société présente.
L’expert qui sert le mieux, c’est, bien sûr, l’expert qui ment.
Ceux qui ont besoin de l’expert, ce sont, pour des motifs différents, le falsificateur et l’ignorant.
Là où l’individu n’y reconnaît plus rien par lui-même, il sera formellement rassuré par l’expert.
Il était auparavant normal qu’il y ait des experts de l’art des Étrusques ; et ils étaient toujours compétents, car l’art étrusque n’est pas sur le marché.
Mais, par exemple, une époque qui trouve rentable de falsifier chimiquement nombre de vins célèbres, ne pourra les vendre que si elle a formé des experts en vins qui entraîneront les caves à aimer leurs nouveaux parfums, plus reconnaissables. (…).
On sait, par exemple, combien l’expert en météorologie médiatique, qui annonce les températures ou les pluies prévues pour les quarante-huit heures à venir, est tenu à beaucoup de réserves par l’obligation de maintenir des équilibres économiques, touristiques et régionaux, quand tant de gens circulent si souvent sur tant de routes, entre des lieux également désolés ; de sorte qu’il aura plutôt à réussir comme amuseur.» (Guy Debord)
Quand l'anthropologue demande s'il y a des cannibales dans la région, l'indigène répond non, et quand l'anthropologue lui demande comment il peut en être sûr, l'autre sourit en lui disant qu'il a mangé le dernier.
Chaque notion, pour se réaliser, doit se fonder sur le principe antagoniste qui s'en trouve par là même refoulé, le sujet de l'énonciation n'a de cesse de vouloir disparaître derrière son énoncé, comme un agent contrariant ou un témoin gênant qu'il convient d'escamoter, à l'instar du "proton pseudos", le mensonge originel constitutif de l'ordre même du langage, et de toute "réalité" déjà constituée.
Dans l'idée de démocratie, ce qui est refoulé, c'est l'obscénité inhérente au pouvoir politique, et c'est ainsi qu'il faudrait entendre que la démocratie est un système "à venir", non encore atteint, non encore réalisé, et seul le souci constant d'un "toujours plus de démocratie" va dans le sens de la démocratie, en opposition radicale au pouvoir des politiciens "professionnels", au culte médiatique des "personnalités", bref des "experts".
À propos des ex-pères, remarquons avec Lacan que: «le propre des objets de l’expérience, c’est précisément de laisser de quelque côté - comme dirait Monsieur de La Palice - tout ce qui dans l’objet y échappe. C’est pour cela que, contrairement à ce qu’on croit, «l’expérience», la prétendue expérience est à double tranchant. C’est à savoir que quand vous vous fixez sur l’expérience pour résoudre une situation historique par exemple, les chances sont tout aussi grandes d’erreur et de faute grave que du contraire, pour la très simple raison que par définition, si vous vous fixez sur l’expérience, c’est justement par là que vous méconnaissez l’élément nouveau qu’il y a dans la situation»…
Hippocrate l’avait déjà énoncé: «La vie est courte, l'art est long, l'occasion fugitive, l'expérience trompeuse, le jugement difficile».
11 notes
·
View notes