#réagissons

[jonathanarbeitsmappe]

Réflexion Guide 3 Actualité

Mon apprentissage du français, axé sur l'actualité, a été stimulant. J'ai développé des compétences pour discuter de faits d'actualité, comprendre la presse, réagir, donner des précisions, faire des suggestions, exprimer des souhaits, et aborder l'actualité littéraire. La préparation au DELF a renforcé mes connaissances de manière formelle. Malgré quelques défis, comme la compréhension de termes spécifiques, j'ai surmonté ces obstacles par une recherche active. Cette expérience m'a immergé dans la culture francophone à travers la Twingo, Le Quotidien, France Bleu, la protection des récifs coralliens, et le Prix Goncourt. En résumé, j'ai trouvé une satisfaction particulière à discuter de sujets variés en français et j'attends avec impatience de continuer à explorer la langue à travers l'actualité et la culture francophone.

[cheminer-poesie-cressant]

nous réagissons avec le matin comme des fleurs à la lumière mais cette réaction n’est pas extérieure comme pour elles mais toute intérieure ; les pétales de nos muscles et ceux de notre esprit qui s’ouvrent peu à peu, fleur intérieure que nous sommes alors, en tension, en épanouissement ; mais nous ne savons pas la cultiver ; dans les heures du jour qui se succèdent, rapidement elle fanera avec notre illusion d’être pensant, supérieur à tout ; le fragile nous construit mais nous refusons son appui

© Pierre Cressant

(mercredi 5 octobre 2022)

[transparentgentlemenmarker]

Ce souvenir est resté bien vivant en moi au petit-déjeuner, mon père mangeait des restes de pain dur plongés dans le café, tandis que nous, les 14 enfants, avions droit au pain frais. Nous nous étonnions qu’il ne se serve pas lui aussi un peu de pain frais. Très attaché à ne rien jeter, mon père ne tenait pas pour autant de discours moralisateur. Raison pour laquelle, sans doute, ces souvenirs d’enfance auront peu influencé mes habitudes de consommation en tant qu’adulte. Je m’efforce certes de réutiliser mes restes de pain dans des recettes d’autrefois comme le pain perdu, ou les croûtes au fromage, avec les légumes moches j'en fais des soupes. Trop souvent encore, une bonne partie des aliments finissent à la poubelle. Il semble que je ne sois pas le seul. Ce qui correspond à environ 330 kg de déchets alimentaires évitables par personne et par an. Réagissons mangeons moins mangeons mieux

This memory remained very vivid in me at breakfast, my father ate leftover hard bread dipped in coffee, while we, the 14 children, were treated to fresh bread. We were surprised that he didn't help himself to some fresh bread too. Very attached to not throwing anything away, my father did not hold moralistic speeches. Reason why, undoubtedly, these childhood memories will have little influence on my consumption habits as an adult. I certainly try to reuse my leftover bread in old recipes like French toast, or cheese crusts, with ugly vegetables I make soups. Too often, a lot of food ends up in the trash. It seems I'm not the only one. This corresponds to approximately 728Ib of avoidable food waste per person per year. Let's react, let's eat less, let's eat better

[coolvieilledentelle]

Je me souviens d’hier où j’étais amoureux, Dans le plus grand secret d’une fille aux yeux bleus, Qui habitait tout près l’immeuble d’à côté, Et qui me fascinait par sa fraîche beauté. Elle me connaissait, nous nous croisions souvent. Quand elle apparaissait, je partais en courant Contourner le quartier, et feignant le hasard, J’allais à sa rencontre au bout du boulevard. Je connaissais son nom, elle s’appelait Lise. Il m’a fallu du temps avant que je lui dise Que nous étions voisins et qu’on pourrait peut-être, Echanger quelques mots, chacun à sa fenêtre. J’avais seize à peine, elle était de mon âge, J’avais pu lui parler un jour de grand orage, Mon parapluie aidant, j’avais eu ce courage, Ma main qui le tenait effleura son visage. Il faisait assez bon mais elle frissonna, J’ôtais mon cache col, elle s’en protégea. Puis lorsqu’on se quitta,elle dit à ce soir. Sa fenêtre plus tard s’éclaira dans le noir. Dès après le dîner, j’avais pris position, Un bouquin à la main, révisant mes leçons. Sur un banc dont j’avais réglé l’orientation, Pour qu’en face elle fut dans mon champ de vision. Dans la clarté son ombre m’apparut enfin. Elle eut sur le visage un sourire mutin. Quand elle laissa pendre, accrochée à sa main, Balayée par le vent mon écharpe de lin. C’était à une époque où à l’adolescence, Les tout premiers émois avaient une importance Que les jeunes aujourd’hui ne peuvent pas comprendre, Il leur suffit d’un clic, inutile d’attendre !Dans la clarté son ombre m’apparut enfin.

A l’époque, on s’aimait, aujourd’hui on se kiffe. S’il faut attendre un peu, le mâle se rebiffe. Il ne fait plus la cour, il envoie des memos, Dont je vais m’efforcer de traduire les mots. La femme est une meuf… il fallait l’inventer ! C’est écrit à l’envers… pas de quoi s’épater. Mais le flic est un keuf… ça ne va pas coller. Ah ! Mais oui c’est normal… ils insultent en anglais ! Savent-ils seulement ce qu’est le romantisme ? Et peuvent-ils aimer de Musset le lyrisme ? Eux qui apprécient tout à travers le seul prisme, D’une réalité marquée par le cynisme. Réagissons enfin, comme on livre une guerre, A tous ces barbarismes arrivés d’Outre-mer, Et défendons ce bien dont nous sommes si fiers, Ce chef-d’oeuvre en péril, la langue de Molière…

Henri Zenati ( notre langue se meurt - 2017)

[derecjanska]

Les Bonnes

À première vue, l'image que je vous partage est une représentation négative qui nous rend triste. Par contre, à mon avis, l'image exprime un fait par rapport à notre vie actuelle. À savoir, j'interprète cet image en étant une illustration des influences subconscientes qui dictent comment nous agissons en société. Les aspects comme notre classe sociale, race et religion sont tousses des éléments qui influencent notre comportement. Ceci n'est ni un fait positif, ni négatif, mais plutôt une façon dont on peut mieux comprendre les autres. La vie est une performance, pour le meilleur et pour le pire.

Dans le cas des Bonnes, il semble que Claire et Solange sont deux personnages très conscient de leur rôle dans la société. Par conséquent, elles sont capables de manipuler ceux et celles qui ne se rends pas compte du rôle qu'ils jouent. Notamment, la Madame est le personnage incapable de s'apercevoir leurs performance comme les bonnes dociles et gentilles . Elle proclame: "Qui peut être assez méchant pour me punir. Et me punir de quoi? Je me croyais si bien protégée de la vie, si bien protégée par votre dévouement" (79). D'un côté, elle est consciente du fait qu'elle a eu la chance en vie. De l'autre, sa haute classe sociale l'empêche de reconnaître les intentions malfaisantes des bonnes. Autrement dit, ce n'est que les bonnes qui profitent de cette performance; un jeu que la Madame ne pourrait jamais jouer.

Évidemment, les bonnes démontrent que cette prise de conscience n'est pas avantageuse au extrême. À vrai-dire, c'est la notion que la vie n'est qu'une performance qui mènent à la mort de Claire. À la place de cette perspective pessimiste, je trouve qu'il y a un terrain d'entente. Les influences sociétales jouent un grand rôle sur comment nous nous comportons, certes, mais ce n'est pas de dire que nous n'avons pas un choix en ce qui concerne notre avenir. En particulier, nous avons toujours un mot à dire quant à comment nous réagissons. Vous pouvez soit réagir à votre situation en vie comme les bonnes, c'est à dire en méprisant ceux et celles qui ont plus, ou vous pouvez l'utiliser comme motivation pour faire mieux en vie. Autrement dit, profitez de votre performance en société (sans le meurtrier d'une Madame).

[jilfykun]

Vous arrive-t-il de culpabiliser et de regretter vos erreurs du passé ? Vous vous reniez à cause de vos défauts ? C'est un sentiment que nous connaissons tous. Je me souviens d'une fois où j'ai raté une opportunité qui aurait pu changer ma vie. Pendant des mois, je me suis dit que j'aurais dû agir différemment. Mais en y réfléchissant, j'ai compris que ces erreurs font partie de mon parcours et m'ont aidé à devenir qui je suis aujourd'hui. Comme le dit Maya Angelou : 'Nous ne pouvons pas changer ce qui nous est arrivé, mais nous pouvons changer la façon dont nous réagissons à cela.'

Au lieu d'essayer de les ignorer ou de les oublier, acceptons nos imperfections, car ce sont elles qui nous rendent uniques. Avez-vous déjà ressenti cette lutte entre le regret et l'acceptation ?

[christophe76460]

LES DEUX FRÈRES

Lire Luc 15, versets 11 à 32.

Dans le récit de la parabole du fils prodigue, nous sommes confrontés à une histoire poignante de rédemption, de pardon, et de contrastes frappants entre deux hommes – deux frères. L’un est un jeune homme qui choisit de s’éloigner de la maison de son père, gaspillant son héritage dans les excès et les plaisirs du monde. L’autre, l’aîné, reste fidèle et travaille dur pour son père, mais son cœur reste éloigné de l’esprit de pardon et de grâce.

Cette parabole nous raconte leur réaction face à l’amour du père. Le plus jeune, le prodigue, revient à son père dans la repentance et trouve la grâce, tandis que l’aîné, plein de colère et de jalousie, refuse de participer à la joie du retour de son frère. Ces deux fils, bien que partageant le même père, manifestent des attitudes radicalement différentes qui nous enseignent sur la nature de Dieu, sa grâce et notre relation avec Père céleste.

Le contraste entre ces deux frères est frappant. Le fils cadet, le prodigue, réalise qu’il n’a aucun droit à l’amour du père, mais se repose entièrement sur sa grâce. Il se soumet à la miséricorde de son père, sans condition, sans prétention. À l’inverse, l’aîné se sent méritant de l’amour de son père, et son cœur est aveuglé par son incapacité à comprendre que l’amour du père n’est pas basé sur des critères de mérite, mais sur la grâce.

Dieu n'agit pas selon nos mérites, mais selon sa grâce. Notre relation avec Lui n’est pas fondée sur ce que nous faisons, mais sur ce qu’Il est – un Père plein de compassion et de miséricorde. Il nous appelle à venir à Lui tels que nous sommes, sans prétendre à rien, mais en reconnaissant notre besoin de Lui.

Comment réagissons-nous face à la grâce de Dieu ? Acceptons-nous de venir à Lui dans l’humilité, comme le fils prodigue, ou restons-nous enfermés dans une mentalité de mérite, comme le frère aîné ? Sommes-nous prêts à célébrer la réconciliation de nos frères et sœurs, ou la jalousie et l'amertume nous empêchent-elles de goûter à la joie du pardon ?

Aujourd’hui, Dieu nous invite à une relation fondée sur Sa bonté, Sa miséricorde et Sa grâce. Il nous appelle à sortir de nos systèmes de pensée basés sur la comparaison, le jugement, et le mérite, pour entrer dans une relation de grâce inouïe, où chacun de nous peut trouver accueil, pardon et réconfort. Amen.

[yes-bernie-stuff]

Mercredi 13 novembre 2024

On crie à cause de la multitude des oppressions, et on appelle au secours… Et on ne dit pas : Où est Dieu, mon créateur ?

Job 35. 9, 10

Seigneur !… mon gémissement ne t’est pas caché.

Psaume 38. 10

Cris de douleur ou cris d’appel ?

Attentats terroristes, catastrophes diverses, pandémies, guerres… Les hôpitaux ne désemplissent pas, la souffrance est partout.

Avons-nous été touchés récemment par un drame ? Si oui, comment réagissons-nous ? Gardons-nous notre souffrance pour nous-mêmes ? Nos cris de douleur s’adressent-ils uniquement à nous-mêmes et à notre entourage ?

Serions-nous de ceux qui souffrent sans élever un seul cri d’appel vers Dieu, sinon un cri d’accusation ? Dieu devrait-il dire de nous : “Ils n’ont pas crié à moi dans leur cœur” (Osée 7. 14) ? N’avons-nous pas, souvent, oublié, négligé ou ignoré l’unique remède à notre détresse ? Il vient de Dieu lui-même !

Satan nous persuade, à tort, mais parfois avec succès, que Dieu est lointain et indifférent à nos souffrances. En réalité, c’est Satan qui ne connaît ni amour, ni bonté, ni sentiment de miséricorde.

Pour Dieu, pas une seule de ses créatures ne souffre sans qu’il ait compassion. “Ses compassions sont sur toutes ses œuvres” (Psaume 145. 9). Elles sont “très grandes”, elles “ne cessent pas ; elles sont nouvelles chaque matin” (1 Chroniques 21. 13 ; Lamentations de Jérémie 3. 22, 23).

Il faut donc que nos cris de détresse prennent la forme de cris d’appel à lui ! Dieu entendra, il est “un secours dans les détresses” (Psaume 46. 2). Sa promesse est formelle : “Crie vers moi, et je te répondrai” (Jérémie 33. 3)

[fredericgallairand]

Les bienfaits de l’Equanimité... sont nombreux et profonds, apportant un équilibre intérieur qui enrichit notre vie quotidienne. En cultivant l'équanimité, nous apprenons à rester stables face aux hauts et aux bas de l'existence, à accueillir les changements sans être submergés par eux. Cela nous permet de réduire le stress et l'anxiété, car nous développons une perspective plus sereine et objective sur les événements. L'équanimité favorise également des relations plus harmonieuses. En restant calmes et centrés, nous écoutons mieux les autres et réagissons avec plus de compassion et de patience. Cette qualité améliore nos interactions, car elle nous aide à comprendre les points de vue différents sans jugement. En outre, l'équanimité contribue à une meilleure prise de décision. En étant moins influencés par les émotions fluctuantes, nous évaluons les situations avec clarté et prenons des décisions plus éclairées. Cela peut conduire à une vie plus satisfaisante et alignée avec nos valeurs profondes. Pratiquer l'équanimité, c'est aussi embrasser l'incertitude avec courage et confiance. Nous développons la résilience face aux défis, sachant que chaque expérience, qu'elle soit agréable ou difficile, est une occasion de croissance et d'apprentissage. Ainsi, l'équanimité devient un allié précieux sur le chemin de la vie, nous guidant vers une existence plus paisible et significative.

[stillsweetandwild]

LE MONDE DE L'AUTRE

L'amour, c'est vouloir comprendre le monde de l'autre.

Qui es-tu ?

Toi qui es si différent de moi et que mon cœur réclame ?

Je ne te connais pas, et souvent je ne te comprends pas car je te regarde à travers qui je suis.

J'essaie de faire correspondre tes pensées, tes comportements avec les miens car c'est tout ce que je connais.

En fait, nous ne sommes pas du même monde, nous ne parlons pas la même langue. Nous ne réfléchissons pas de la même façon, nous ne réagissons pas de la même façon.

Notre communication est différente, notre rythme totalement opposé, nos façons d'intégrer les choses, de traiter les données suivent des chemins différents en nous.

Et c'est pour cela qu'on a parfois tant de mal à se comprendre.

Car je ne connais pas ton monde, je ne connais que le mien et par facilité je voudrais, ou plutôt mon ego, te faire rentrer dans les cases de mon monde.

J'oublie souvent que tu as besoin de temps là où moi je vais vite. Que tu as besoin de silence là où moi j'aime parler. Que tu as besoin de cycles entiers de réflexion là où moi je suis spontanée.

Alors serions-nous incompatibles ?

C'est fou comme de suite le mental voit des limites là où le cœur voit des ouvertures.

Et si j'allais à la découverte de ton univers comme de grands explorateurs l'ont fait jadis. Et pas pour te changer ou t'imposer mon monde, mais pour pénétrer le tien sans jugement.

Ce sera peut-être long et compliqué car tu auras du mal à m'expliquer et il n'y a pas de visite guidée.

Mais si j'arrive à faire taire mon mental, j'aurais tout l'espace pour écouter ton monde sans le déformer, sans l'interpréter, sans chercher à l'influencer.

Et quand je me serais imprégnée de ton univers, que tu auras confiance en moi que je ne veux pas te forcer à changer, je te ferai découvrir le mien et nous pourrons nous partager le meilleur de chaque monde.

C'est un sacré défi, mais je sais que la clef de nos guérisons et de notre réunion est là.

Car si nous comprenons le monde de l'autre, si nous le respectons, nous serons alors libres d'être pleinement nous-mêmes et de nous aimer pour qui nous sommes.

Texte : Barbara Alonzo

Les mondes opposés des flammes jumelles

[observatoiredumensonge]

LA ROUTE DE L'ENSAUVAGEMENT EN 10 ÉTAPES

Ne soyons pas dupes. Ceux qui défendent ces sauvages en France, dans la rue, dans les Universités ou à Sciences Po sont l'avant-garde de ce qui nous attend si nous ne réagissons pas dès maintenant, tous ensemble, à ce qui se prépare.

Temps de lecture = 3 minutes Analyse d’un ensauvagement insidieux…  Par Marc Le Stahler Nous avons besoin de VOUS pour poursuivre notre combat face à la dictature de la pensée unique.Cliquer ICI pour nous soutenir 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 LA ROUTE DE L’ENSAUVAGEMENT EN 10 ÉTAPES Nous pensons aujourd’hui à tous les martyrs du pogrom du 7 octobre 2023 en Israël. Ceux qui ont été tués pendant…

[deepthinker-society]

Humain. Sur un ancien compte Instagram, j'illustrais mes textes avec des photos libres de droits. En retournant dessus par hasard, je me suis rendue compte que ce compte avait continué à plaire même si je ne l'alimentais plus depuis longtemps. Et puis, en me penchant sur le sujet, une tendance est apparue : celle que les photos représentant des hommes ou des femmes, bref des humains, étaient plus appréciées que les autres photos. J'ai trouvé ça amusant et ça m'a donné envie de pousser le sujet. Il s'est avéré que cette tendance se retrouvait bien ailleurs. Des recherches ont par exemple montré que l'ajout d'une photo avec un humain sur un site permettait, en moyenne bien sûr, d'améliorer la première impression et/ou la confiance qu'on pouvait avoir en ce site par rapport à un site qui n'en avait pas. Vous pensez bien que le marketing et le e-commerce savent pleinement utiliser cette tendance. Mais ce n'est pas tout. D'autres tests ont aussi montré qu'une image d'humain est préférée à une peinture ou à une icône. Là aussi, cela a des effets sur les sites web. Bref, cette tendance à préférer l'humain se retrouve donc bien. Je trouve ce biais intéressant. Il montre que même une photo illustrative peut nous pousser à agir. Qu'il s'agisse de lire, apprécier, appeler ou acheter, nous réagissons en réaction à une illustration qui n'a fondamentalement rien à voir avec ce pour quoi nous agissons. La photo rassure, convainc, donne confiance et nous incite à agir. Je me demande si cette tendance n'expliquerais pas en partie pourquoi les gens postent de plus en plus de selfie sur LinkedIn, alors même que ce réseau est censé être réservé au contenu "pro". Prudence néanmoins dans mes propos. Il ne s'agit que d'une tendance, pas d'un réflexe absolu. Ne vous imaginez pas un flux massif de vente ou de réaction grâce à une simple photo non plus. Surtout que, je n'ai pas tout dit, mais la nature de la photo a son influence aussi. Une photo avec une personne qui sourit aura plus d'influence qu'une photo avec une personne avec un visage neutre. Les émotions déployées dans les photos mériteraient sans doute à elles seules une note dédiée. #humain #réaction #biais #tendance

[mileskingston]

La vie est précieuse. Elle est partout, en nous et autour de nous, sous d’innombrables formes. Nous voyons la souffrance causée par la destruction de la vie et devons former le vœu de cultiver la compassion et de l’utiliser comme source d’énergie pour protéger les personnes, les animaux, les plantes et les minéraux. Quand nous voyons la souffrance, la compassion doit naître en nous et afin de la garder vivante en nous, nous devons veiller à ne pas trop prendre sur nous. Tout remède doit être pris avec le dosage approprié. Si nous réagissons à l’injustice par de la colère comme source d’énergie, nous risquons de causer du tort et de le regretter par la suit