#quai de la gare
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#personal photos#personal#paris#master's degree#avril 2024#april 2024#april#spring in paris#cleaning day#keep fighting#la seine#trees#spring#quai de la gare#paris 13ème#quai d'austerlitz
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Tache de Café sur dalle en béton
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Parfois
Je traîne
En sortant du m��tro.
Juste
Pour retrouver
La cathédrale de fer.
Il y a
Des piliers
Comme un temple païen.
Il y a
Des lampes
Comme des encensoirs de lumière.
Et la procession
Des employés
Dont les pas psalmodient
Sur le gris bitume.
Brune mélopée de la routine.
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Six haltérophiles d’une même équipe attendent leur train sur le quai 1 d’une grande gare. Une mamie toute courbée avance péniblement, portant une valise dans une main, et tirant une lourde valise à roulettes avec son autre main. Un des sportifs lui demande : - Vous allez loin comme ça, madame ? - Oh oui. Je vais sur le quai 12, tout au bout de la gare. - Oh putain ! Eh bien, bon courage alors !
#portant une valise dans une main#- Vous allez loin comme ça#madame ?#- Oh oui. Je vais sur le quai 12#tout au bout de la gare.#- Oh putain ! Eh bien#bon courage alors !
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Thank you, @swallowprettybird, for tagging me!^^ And I'm giving you... this disturbing, dark and alluring playlist. Sounds just like Wistful Poltergeist, I swear ;3
W - Written in blood - She Wants Revenge i - I'll be yours - Placebo s - Summertime - Mareux t - The Eucharist - Flesh Field f - From Persephone - Kiki Rockwell u - Used to the Darkness - Des Rocs l - Lucretia My Reflection (Alternative Version) - Destroid
P - Персонажі - SadSvit o - Out Of The Cage - ULTRA SUNN l - Le Quai de la Gare - Dernière Volonté t - Taste - Ari Abdul e - Exploding - mehro r - Ribcage - Andy Black g - Gjallarhorn - Danheim e - Eros - Ludovico Einaudi i - In Your Room - Depeche Mode s - Sixth breath the last breath - Ezio Bosso t - The Luxury of Insanity - Diary of Dreams
I tag @its-adrienpastel, @budgie2budgie, @aniraklova, @vermutandherring, @void-imp, @chirz-ua, @rottengurlz, @pralinesims, @birdietrait, @mwvwv-sims, @coloursul, @rhdweauni0, @stellarfalls, @mncgrt, @sikoi, @nefarrilou, @john-ts-sh-ai, @simmireen, @susen70, @hamsterbellbelle, @maggyzsims, @simstrouble, @simandy, @potatobuttcheek, @dustinbroke, @nocturne-vi, @puppycheesecake, @hi-land, @seluxerez, @qrqr19, @pasosgrandes aaand @kazuaru. Feel free to ignore the tag if you've already done it or don't feel like doing it at all;)
#WistfulArtSims4#WistfulA&A#Sims 4 art#sims 4 blender#my characters#gothic#blender render#sims 4 vampires#vampire#dark aesthetic#my sims#the sims 4#sims 4 tag game#simblr#sims 4 render#my ocs <3#longhaired men
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7 jours plus tard :
Je suis à ça de faire l'autruche et de me dire que le premier abruti qui promet de rendre cette entreprise de merde ponctuelle et enfin digne de ce qu'on attend d'un service public je lui donne mon vote fin juin.
"motif du retard : il n'y a pas d'électricité"
#Chier#Sncf de merde#Real life issues#C'est réglé à la Ratp cette histoire du “on reste sur le quai tant que les pompiers ne sont pas venus prendre en charge la personne malade”#Sérieux il y a du personnel en gare qu'est ce que ça apporte d'avoir un conducteur et 200 passagers qui attendent les pompiers ?#C'est pas le père Noël là où en chantant tous ensemble il arrive plus vite#Ce genre de conneries qu'on disait pendant les arbres de Noël pour tenir les gamins#Encore une réglementation à la con
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Il existe encore quelques Français qui sont français comme il ne faudrait déjà plus l’être. À ces êtres en souffrance pour qui la France n’est plus qu’une sorte de Thoiry mental, je dis “courage” ! Face à eux, cachés derrière la grande digue du nombre, les progressistes, les gauchistes, la bourgeoisie rentière, les barons du capital, les écolos, les wokistes et toute l’engeance produite par la pourriture révolutionnaire, prospère plus et mieux que jamais. Comme l’exigeaient Rousseau et Robespierre, ils ont fait fi du legs de leurs aïeux, ils se sont imaginés en hommes nouveaux : nouveau peuple, nouvel ordre, nouveaux bourreaux. Leur descendance, les lointains arrières petits enfants de ces crapules arrivistes et de ces cocus braillards, militent sans conviction, cultivent l’ignorance, demeurent volontairement aveugle et odieusement complice des crimes infinis de ce qui est finalement devenu un marxisme global.
Leur armée se compose de millions de fantassins débarqués de chaloupes incertaines, à l’assaut d’un monde sans foi seulement guidé par le profit et la jouissance. Ils ont un coran dans la poche gauche, un schlass dans la droite, et une carte téléphonique dans leur famélique portefeuille. Ils sont comme des spermatozoïdes en route par le Grand Ovule, au mépris des marigots acides et des douchettes cataclysmiques. Ils tortillent de la flagelle frénétiquement, sont prêts à tout pour gagner leur journée et souvent, livrent leur repas caricatural aux indigènes crétins. Les plus naïfs parmi ces derniers leur lâchent un billet de 5 en pourliche, joignent les mains et baissent la tête en signe de déférence, de confraternité ou de pure soumission – c’est selon. Ainsi ces tristes sires sont-ils contents et soulagés à la fois. Leur conscience est propre comme l’entrecuisse d’une communiante d’antan.
Français qui souffrez, dans votre chair et votre esprit, du spectacle de ce suicide non seulement consenti, mais savamment organisé, méticuleusement planifié et brillamment réalisé, abandonnez tout espoir de révolte collective et solidaire. Aucun de vos contemporains, ceux que vous croisez sur votre palier, dans votre rue, sur le quai de la gare, celui du métro ou l’escalator d’un aérogare, au bureau, chez le boulanger, au supermarché, à la station-service... aucun d’entre eux ne souhaite se sacrifier pour faire cesser tout cela. Votre sort, qui est aussi le leur, les indiffère. C’est ainsi, il suffit de les observer pour le constater. Ce peuple est prêt à disparaître en tant que tel. Ne subsisteront que les vrais résistants, ceux que la conviction d’être des héritiers maintiendra en alerte haute et permanente, ceux qui éduqueront leurs enfants, ceux qui prendront soin de la terre qui les nourrira, au propre comme au figuré. Inutile de verser dans la caricature du crâne rasé et du regard bleu... quelle que soit l’allure de votre gueule, ce qui compte, c’est votre détermination à survivre, coûte que coûte. Et il vous en coûtera, soyez-en convaincus.
J.-M. M.
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Bonjour, bon Dimanche à tous ☕️ 🥐 🍊
Amoureux sur le quai de la gare 🫂 1951
Photo de Erich Auerbach/ Getty Images
#photooftheday#photography#black and white#vintage#erich auerbach#amoureux#lovers#gare#bonjour#bon dimanche#fidjie fidjie
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Welcome to the 12th installment of 15 Weeks of Phantom, where I post all 68 sections of Le Fantôme de l’Opéra, as they were first printed in Le Gaulois newspaper 115 yeas ago.
In today’s installment, we have Part III of Chapter 5: “Suite de « La Loge N° 5 »” (“Box 5 Continued”), and Part I of Chapter 6, "Le Violon Enchanté" ("The Magic Violin").
This section was first printed on Saturday, 9 October, 1909.
For anyone following along in David Coward's translation of the First Edition of Phantom of the Opera (either in paperback, or Kindle, or from another vendor -- the ISBN-13 is: 978-0199694570), the text starts in Chapter 5 at Moncharmin's line, “I'm sorry to hear that, my good woman” and goes to the description of Christine and Daddy Daaé in Chapter 6, “They slept in barns, in preference to a room at an inn, snuggling up next to each other in the straw just as in the old days when they were so poor in Sweden.”
There are some differences between the Gaulois text and the First Edition text. In this section, these include (highlighted in red above):
1) Compare the Gaulois: des soirs, je retrouve même des fleurs dans la loge
To the First Edition: des soirs je retrouve même des fleurs dans ma loge
Translation from the Gaulois:
"some evenings, I even find flowers in the box"
Translation from the First Edition:
"some evenings, I even find flowers in my box"
This may have been a typo in the First Edition, since it seems odd that Mme Giry would refer to Box 5 as her box after establishing it as belonging to the Phantom.
2) Compare the Gaulois: ...se jeta dans une voiture, qui, quelque diligence qu'elle y mit, le déposa trop tard sur le quai de la gare Montparnasse...
To the First Edition: ...se jeta dans une voiture qui d'ailleurs le déposa trop tard sur le quai de la gare de Montparnasse...
Translation from the Gaulois:
...he jumped in a cab, which, although it made haste, deposited him too late on the platform of Montparnasse station...
Translation from the First Edition:
...he jumped in a cab, which by the by deposited him too late on the platform of Montparnasse station...
3) Compare the Gaulois: Il passa une journée maussade...
To the First Edition: Raoul passa une journée maussade...
Translation from the Gaulois:
He spent the day in a foul mood...
Translation from the First Edition:
Raoul spent the day in a foul mood...
4) Compare the Gaulois: Le père de Daaé était...
To the First Edition: Le père Daaé était
Translation from the Gaulois
Daaé's father was...
Translation from the First Edition:
Father Daaé was...
5) Compare the Gaulois: Il jouait du violon comme pas un ménétrier de toute la Scandinavie
To the First Edition: Il jouait du violon et était considéré comme le meilleur ménétrier de toute la Scandinavie
Translation from the Gaulois:
He played the violin like no other fiddler in all of Scandinavia
Translation from the First Edition:
He played the violin and was regarded as the best fiddler in all of Scandinavia
6) In the Gaulois, the Swedish town of Ljungby is spelled Ljmby. In the First Edition, is it spelled Limby.
7) Minor differences in punctuation and italicization.
Click here to see the entire edition of Le Gaulois from 9 October, 1909. This link brings you to page 3 of the newspaper — Le Fantôme is at the bottom of the page in the feuilleton section. Click on the arrow buttons at the bottom of the screen to turn the pages of the newspaper, and click on the Zoom button at the bottom left to magnify the text.
#phantom of the opera#poto#gaston leroux#le fantôme de l’opéra#le gaulois#phantom translation#15 weeks of phantom#phantom 115th anniversary
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Série « Ermont-Eaubonne… avant ».
Rue des Callais, à hauteur de l'accès aux quais de la gare. 22 juillet 2006.
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Hier est déjà du passé
Il y a eu ce gros chat qui, un jour de décembre 2023, m'a suivie d'un bout à l'autre de la rue jusque chez moi. Depuis, lorsque j'approche de son domicile, il miaule et vient à ma rencontre. Nous échangeons un bonjour et quelques caresses (à sens unique, cela dit). Un nouvel ami ?
Il y a eu des émotions d'ordre culturel, au cours de la même semaine, celle du 19 au 25 février 2024. Émotions cinématographiques d'abord, avec le film Sans jamais nous connaître d'Andrew Haigh, belle histoire d'amour et de fantômes sur fond de Pet Shop Boys ou de Frankie Goes To Hollywood. Émotions théâtrales ensuite, avec la pièce Il n'y a pas de Ajar, où planait un autre fantôme, celui d'Émile Ajar, double de Romain Gary, à travers la voix de son fils, Abraham, imaginé par Delphine Horvilleur pour nous questionner sur notre/nos identité(s) ; un spectacle hilarant, émouvant, talentueusement mis en scène et interprété par Johanna Nizard.
youtube
Il y a eu des pensées. Je sais que j'ai pensé à lui. Je crois que j'ai pensé à lui chaque jour sans en avoir conscience. Penser à lui, c'est un peu comme respirer, je le fais sans m'en rendre compte. Est-ce que si j'arrête de penser à lui, j'arrête de vivre ?
Il y a eu des oiseaux. Ces mouettes qui faisaient un boucan d'enfer (qui poussaient des cris d'orfraie ?) alors que je tentais de me concentrer sur ma lecture sur le quai de la gare d'Amiens. Et ces pies occupées à déheuter (verbe picard) la terre des jardins, captivantes à observer.
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Quai de la gare…
Parfois tout y commence…
Des fois tout s’y termine…
Bon voyage.
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Tony Linck - L'ancien GI Ernest Kreiling marchant sur le quai de la gare avec sa fiancée, Lunéville, Meurthe-et-Moselle, 1947.
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Immeuble moderne.
Quand le soleil levant
Vient faire chanter le bleu des ombres
Et rutiler le jaune si lumineux.
La ville devient quelques instants un tableau.
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Six haltérophiles d’une même équipe attendent leur train sur le quai 1 d’une grande gare. Une mamie toute courbée avance péniblement, portant une valise dans une main, et tirant une lourde valise à roulettes avec son autre main. Un des sportifs lui demande : - Vous allez loin comme ça, madame ? - Oh oui. Je vais sur le quai 12, tout au bout de la gare. - Oh putain ! Eh bien, bon courage alors !
#portant une valise dans une main#- Vous allez loin comme ça#madame ?#- Oh oui. Je vais sur le quai 12#tout au bout de la gare.#- Oh putain ! Eh bien#bon courage alors !
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purée hier j'étais à la gare et quand j'ai vu "lyon perrache" sur le tableau des départs vraiment mon cerveau il s'est arrêté deux secondes en mode j'allais tout plaquer pour courir jusqu'au quai et recommencer ma vie à zéro
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