#projection du mal-être
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bechirhouman · 19 days ago
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Comment se comporter face à une personne aigrie ?
L’aigreur n’est jamais un trait de caractère inné ; elle émerge souvent à la suite d’expériences douloureuses et de ressentiments mal digérés. Plusieurs facteurs peuvent en être à l’origine : Des blessures non cicatrisées : Les échecs, les rejets, les injustices ou les attentes déçues laissent des cicatrices émotionnelles qui, si elles ne sont pas traitées, alimentent un regard amer sur le…
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pompadourpink · 2 months ago
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Il y a
(Note: * means it is a negative sentence: il n'y a)
Anguille sous roche - there's something fishy going on
Belle lurette - it's been a while
Bien longtemps (que) - it's been a while (since)
Comme un goût de - it almost tastes like
De ça - you are right but there is more to it (casual)
De ça (+ duration), - it was (X time) ago that
De la friture sur la ligne - there's static on the line
De l'ambiance - there's a great atmosphere
De l'eau dans le gaz - there's trouble brewing
De l'idée - that's not a bad idea (although it's incomplete)
De l'orage dans l'air - there's trouble brewing
De quoi - it is justified (casual)
De quoi être fier - /one/ can be proud about that
De quoi faire - there are enough supplies for the project
*De roses sans épines - there are no roses without thorns
Des baffes/claques qui se perdent - /one/ deserves a slap
Des coups de pied au cul qui se perdent - /one/ deserves a kick in the butt
Des hauts et des bas - there are ups and downs
Des limites - there are limits (not to cross)
Des moments où - there are times when
Des nuages - it's cloudy
Du brouillard - it's foggy
Du boulot - we have a lot of work to do
Du monde/peuple - it is really crowded
Du monde au balcon - /one/ has big breasts
Du soleil - it's sunny
Du vent - it's windy
Du vrai (dans ce que tu dis) - /one/ is not wrong
Erreur (sur la personne) - /one/ is mistaken
Fort/gros à parier que - it is a safe bet that
Intérêt à (+ infinitive or que + verb) - there better (be): il y a intérêt que tu te calmes, il y a intérêt à se taire
Largement de quoi faire - there are enough supplies for the project
Le feu - fire!
Longtemps que - it's been a long time since
Méprise - there is a mistake
Moyen de moyenner - we can make that work (casual)
*Pas à dire - you have to admit
*Pas à tortiller - there's no getting away from it (casual)
*Pas de fumée sans feu - there's no smoke without fire
*Pas de mais (qui tienne) - no arguing with me
*Pas de mal - no worries, you meant no harm
*Pas de mal à se faire du bien - a little of what you fancy does you good
*Pas de petits profits - look after the pennies and the pounds will look after themselves
*Pas de quoi - you're welcome (casual)
*Pas de quoi s'énerver - no need to get annoyed
*Pas de sot métier - all job is noble
*Pas de temps à perdre - there is no time to lose
*Pas le feu au lac - we are not in a rush (casual)
*Pas longtemps que - it hasn't been long since
*Pas mort d'homme - calm down (casual)
*Pas photo - clearly (casual)
*Pas un chat/rat - there is no one around
Peu de temps que - it hasn't been long since
Prescription - it's time to move on
*Plus de saisons - seasons don't mean anything anymore
*Que ça de vrai - this is what really matters
*Que la vérité qui blesse/fâche - you're angry because you know it's right
Quelque chose qui cloche (chez) - something is wrong (with)
Quelque chose qui m'échappe - I don't understand something
Quelques années - a few years ago
*Qu'un pas - /something/ is only one step away
*Rien à faire - there's nothing to do (bored or stuck)
*Rien de nouveau sous le soleil - there is nothing new
Un avant et un après - there is a before and an after
Un coup à jouer - /one/ has an opportunity here
Une éternité que - it's been an eternity since
Un temps pour tout - timing is everything
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Il y en
A marre - /one/ has had enough, this is too much
*A pas un pour rattraper l'autre - you two are as bad as each other
+
Il y a X + X - there is a spectrum to it (unhappy): "Pierre said he stole the neighbours' cat as a joke!" "il y a blague et blague!"
Qu'est-ce qu'il y a ? - what's up ? what's wrong ?
S'il y a lieu - if applicable, needed
Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir - where there's life, there's hope
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lorienn-art · 5 months ago
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FR Heyyy J'ai l'impression que ça fait un petit moment depuis que j'ai fait une illustration — les vacances d'été sont presque finies et je pensais que j'aurais été plus productive que ça, pour être franche ça me rend un peu triste haha Mais je suis quand même contente d'avoir pu faire cette illu! La pose vient de l'illu originale d'Araki "Let's Dance!" pour l'artbook JOJO A-GO!GO! (2000). Je me suis bien amusée avec la gouache et les marqueurs acryliques et je n'ai pas pu résister à l'envie d'ajouter du washi tape sur les bordures jsjs Je voudrais également donner quelques nouvelles sur l'avancée du doujin/big ass comic : j'ai commencé à bosser sur le 2ème batch (qui sera deux fois plus gros que le 1er sauf si je le coupe) — à la base je voulais le finir avant mon retour en cours (la semaine prochaine) mais j'ai beaucoup de mal à me motiver donc je vais y aller à mon rythme. Je donne des nouvelles relativement régulièrement en story Insta donc n'hésitez pas à aller voir si besoin. Je suis désolée si certains d'entre vous sont déçus, je sais que j'ai posté le 1er batch il y a 6 mois déjà, mais soyez assurés que je fais de mon mieux pour donner vie à ce projet 💖 _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
EN Heyyy I feel it's kinda been a while since I made a full illustration — summer break is almost over and I thought I would have been more productive than that, ngl it makes me a bit sad haha But I'm still happy I managed to do this piece! The pose is taken from Araki's original artwork "Let's Dance!" from the JOJO A-GO!GO! artbook (2000). I had some fun with gouache paint and acrylic markers and I couldn't resist adding some washi tape on the borders jsjs I also would like so give some news on the doujin/big ass comic: I've started working on the 2nd batch (which will be twice bigger than the 1st batch unless I cut it) — at first I wanted to finish it before the start of my classes (next week) but I've been really struggling getting myself motivated so I'll do it at my own pace. I give more news relatively regularly in my IG stories so feel free to check them out if you need it. I'm sorry if some of you are disappointed, I know I posted the 1st batch 6 months ago already, but rest assured that I'm doing my best to give this project life 💖
Reference:
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e642 · 2 months ago
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J'écoutais un podcast d'une meuf qui parlait de ses expériences avec les hommes et elle mettait en exergue les nombreux désavantages à fréquenter un homme. À la fin, elle a conclu en disant "c'est pas vrai, les hommes n'aiment pas les femmes". Ça m'a fait réfléchir parce que moi aussi je me suis souvent fait cette remarque. Tout comme la remarque les femmes n'aiment pas vraiment les femmes. C'est vrai que quand je regarde mon passif avec les hommes et même quand je regarde autour de moi, que je me documente sur certains sujets, je me dis que les hommes aiment la projection de leur désir sur les femmes. Ils aiment ce qu'elles peuvent leur apporter, le désir qu'elles vont leur faire exprimer, l'idylle qu'ils pensent qu'une femme doit être, la possibilité de se sentir puissant, mais dans le fond.. si on parle d'un amour intrinsèque à la personne, je n'ai jamais eu l'impression que les hommes pouvaient aimer en ce sens. Contrairement aux femmes qui aiment elles de manière profonde et bien plus complète. Elles œuvrent pour un vrai confort mental, un respect parfois sans faille, un amour singulier et adéquat avec un reflet de leurs intentions. De plus, quand on voit l'avancée pitoyable des droits des femmes, du manque d'accès aux mêmes choses, mêmes traitements, mêmes vies, bloqués par les hommes avant tout, on peut se demander pourquoi ? Pourquoi prétendre aimer les femmes si au final, il n'y a aucune réelle conviction ni volonté de faire évoluer leur vie et leur bien-être ? En fait, la plupart ne veulent pas faire baisser leur image, droit, qualité de vie, en revanche, ils ne veulent pas l'augmenter non plus. L'inaction de tous les hommes, leur engouffrement récurrent dans des schémas que l'on sait toxiques, violents, sexistes, invisibilisants ne me fait pas me dire qu'ils ont des intentions louables à notre égard. J'ai plutôt l'impression qu'on est enfermées avec des hommes qui au mieux ne feront rien pour anéantir le peu de chose qu'on a, juste nous maintenir dans ça, et au pire, d'autres qui s'efforceront de récupérer chaque miette de privilèges pour finir d'assoir leur droits abusifs et restrictifs. Maintenant, la part de volontaire reste à déterminer mais il n'en reste pas moins certain que j'ai du mal à considérer leur amour avec de la valeur. Même le peu d'émotions qu'ils ont, ont un goût factice, perfide et persuasif. J'ai toujours ce sentiment désagréable de redevance, que si j'étais aimée par un homme, je lui devrais quelque chose. Presque lui dire merci de ne pas restreindre mon existence même s'il ne l'élève pas. Sûrement que je manque de critères et que je gagnerai à les rehausser mais qu'il resterait toujours ce moment où je me rendrais compte qu'il n'a aucune volonté d'être à mes côtés en étant mon égal et en prenant au sérieux les enjeux actuels. Si les hommes nous "aiment" de cette manière c'est parce qu'ils savent que sans leur action, leur aval presque, rien ne changera. Ça ne les culpabilise pas à échelle individuelle, ils nient même, mais finalement ils participent juste à l'emprisonnement des femmes. J'étais donc d'accord avec elle mais le constat m'angoisse à chaque fois.
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kilfeur · 1 year ago
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Comme je l'ai dit il est possible qu'Emily puisse devenir un ange déchu mais pas par Charlie mais par Alastor. Mais ce que je me rends compte c'est que Sera est un contraste mais partage aussi des similitudes avec Lucifer. Le fait que Sera est consciente de la sécurité du paradis mais cache des choses à Emily. Comparé à Lucifer qui est ignorant de ce qui se passe en enfer mais souhaite sincèrement renouer avec sa fille mais s'y prend mal. Tandis que Sera veut couver Emily dans l'ignorance pour éviter justement qu'elle se pose des questions. Alors que Lucifer finit par pousser Charlie dans son projet et voit qu'elle est bien plus forte qu'elle en a l'air.
Bien qu'il y a la possibilité qu'Emily finisse par être dégoûtée du paradis par elle même s'arrachant ses propres ailes ce qui serait assez symbolique en soit.
As I said it's possible that Emily could become a fallen angel but not by Charlie but by Alastor. But what I realize is that Sera is a contrast but also shares similarities with Lucifer. The fact that Sera is aware of the safety of paradise but hides things from Emily. Compared to Lucifer, who is ignorant of what goes on in hell but sincerely wants to reconnect with his daughter but goes about it the wrong way. Sera, on the other hand, wants to keep Emily in ignorance so that she doesn't start to wonder. While Lucifer ends up pushing Charlie into her project and sees that she's much stronger than she looks.
Although there is the possibility that Emily will end up disgusted with paradise all by herself, plucking her own wings, which would be quite symbolic in itself.
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sinvulkt · 6 months ago
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Ce que l’Abbé ne savait pas, c’est qu’il y a une raison pour laquelle les templiers n’ont jamais dépensé leur argent. Une malédiction de l’ancienne magie repose sur cette ile : quiconque hérite du trésor en devient son gardien.
Edmond n’en savait rien non plus. Il vit, toutefois, un immense squelette reposant sur la fortune cachée. Quelques baleines purent avoir été déposées là par ses prédécesseurs, peut-être.
Au début, ce ne fut que quelques écailles parsemant sa peau. Rien du tout. Edmond les pris pour une quelconque maladie de peau. 
Puis, ce fut une obsession. Un besoin fréquent de retourner sur l'île. La brise était bonne, là- bas. Et sans doute pouvait-il allonger son passage vers l'Italie par un petit détour? S'arrêter vers le trésor n’était qu’une question de prudence, de vérifier que quelques voleurs ne s’étaient pas accaparé ses biens.
L’obsession tourna vite en avarice, comme les ongles d’Edmond s’allongeaient et ses doigts se recourbaient. Chaque sous dépensé pour sa vengeance était légèrement plus dur à donner. Chaque pièce mise a bien pour la machine bien huilé de son plan semblait comme une goutte de sang versé sur l’autel du sacrifice, et lui brisait le cœur.
Quelque beau jour de février, il passa, par chance, près d’un chaman, qui eut tôt fait de le mettre au courant de la malédiction. En effet, le destin de tout héritier de la fortune de Monte-Cristo était de se transformer en dragon, et sous cette apparence draconique, de garder pour toujours le trésor.
Le chaman lui donna force d’amulettes et de concoctions, mais le prévint: tant que le trésor existait, il ne pouvait que ralentir le mal.
La vengeance d’Edmond était désormais une course contre la montre.
Quand ses mains deviennent griffes, il se met à porter des gants. Quand ses pupilles se fendent, il prend l’habitude de lentilles. Dès qu’il peut, malgré la douleur qui lui en déchire la poitrine, il dilapide le trésor; dans le vain espoir d’en affaiblir la malédiction. Plus d’une fois, la providence se joue de lui, et Edmond se retrouve enrichi par les mêmes investissements qu’il avait fait pour perdre sa fortune. 
André et Haydé ont beau avoir été ignorants, ils sont loin d’etre stupide. Il ne leur faut que quelques années avant de finalement découvrir le secret du comte; bien qu’ils se gardent de le dire à ce dernier. Comment ne pas remarquer la chose, quand deux ailes immenses déchire le dos du comte, le stoppant en plein milieu de l’accomplissement de sa vengeance à Paris?
C’est l'inquiétude pour son mentor qui pousse André à reporter sa vengeance. Après tout, en prison, son père biologique forme une proie facile.
Au final, seule force de maquillage permet au comte de cacher les écailles recouvrant son visage, et d'apparaître humain pour le chapitre final de sa vengeance. Les jambes courbées du comte, camouflé sous son pantalon, rendent la marche difficile sans sa fidèle canne. Ses dents, aiguisées comme un carnivore, sont ce qui lui remporte la victoire contre Fernand.
Après cela, il sait que c’est la fin. Un cœur qui n’est pas vraiment le sien bas dans sa poitrine, et lui ordonne sans cesse et sans cesse de retourner sur l'île. Pour chaque seconde passée loin d’elle, sa raison le quitte.
Il leur laisse une lettre. Elle ne dit pas un mot de sa transformation, mais elle formule une requête. Elle demande a Haydé et André de se rendre sur l'île de Monte-Cristo, avec une armée s’il le faut, et d’y subjuguer un monstre. Elle leur demande, également, de jeter le reste du trésor à la mer, où il sera enfin oublié par l’Histoire.
Haydé et André ne font rien de cela. 
La créature, ils subjuguent, car il ne reste à Edmond que très peu de raison. Mais c’était suffisamment de raison pour les épargner, aussi, quand bien même il demande la mort, les jeunes gens l'épargnent à son tour. Ils ne peuvent le laisser aux prises de la malédiction, aussi, ils l’enferme, mais ce n’est que le temps d’affaiblir cette dernière.
L’or maudit, ils parsèment au quatre vents. Une bonne partie finit dans l’océan, sans doute, mais dans tous les océans du monde, suite aux dangers du milieu marin qui font si souvent couler les bateaux. Le reste, ils échangent, ils négocient, ils jettent. Ils finissent ce qu’Edmond avait commencé, et échangent la fortune tant et si bien que la malédiction peine à les suivre. Elle ne peut s’installer dans ces étranges papiers, qui fait la mode de la monnaie de Paris. Elle ne peut s’installer dans les fermes, les forêts, les montagnes, qui soudainement sont inscrites sous le nom de ���Monte-Cristo’. Elle ne peut rester dans les quelques artefactes qu’on entrepose en chine, en amérique, ni dans les quelques pépites données aux africains. C’est trop grand, trop large, trop de choses différentes à trop d’endroits.
Tirée à quatre épingle, la malédiction se brise.
Il est trop tard pour Edmond, dont le large corp écailleux ne pourra jamais retrouver forme humaine. Mais son esprit est clair. Il reconnaît ses enfants, ses amis. Il reconnaît le ciel, l’océan, et leurs odeurs qui chatouillent ses narines. Il se souvient avec une douloureuse nostalgie du berceau des vagues, du sel qui prend à la bouche, de l'aventure qui guidait sa vie avant qu’elle ne s'écroule.
Il est libre, désormais. Libre de l’héritage du passé.
Et c’est libre qu’Edmond Dantès, comte de Monte Cristo, se perd dans l’immensité bleu qui l’appelle.
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ushioliddell-blog · 9 months ago
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Ayhalo : une analyse de leur dynamique.
À l'heure où j'écris ces mots, le Ayhalo n'est qu'une projection de certains esprits dans la commu de Bad et de Aypierre. Il est loin d'être en première position et les habitants eux-mêmes de Quesadilla ne l'envisagent pas, probablement dû au fait des sentiments très puissants de Q!Aypierre pour Q!Max ou de ceux qu'ils viennent de découvrir pour Cucurucho de Q!Bad. Les chances pour que ça évolue sont.....quasiment nulles, on va pas se mentir. Mais je disais ça aussi pour le Furryduo, à cause de l'Ohnana duo et du Chicomaxo, et voyez comment ça a évolué. Et moi-même j'ai évolué en passant d'une pensée que c'était un cracked ship d'une très forte amitié à la considération comme un ship réel. Un terrain parfait pour la Fanfiction, tout ça :) Mais y a des trucs. Des trucs qui font que, si ça se faisait, ça collerait.
Je prends appui parfois sur des posts vu ici (notamment l'analyse de Q!Bad super bien faite partagée juste avant ) ou le Discord (la discussion du jour du "malin mais fou" ).
On explore un peu ça ?
I ) Leurs points communs et leurs liens.
Le titre vous surprend peut être, mais oui, ils en ont. Probablement plus évidents qu'entre Q!Max et Q!Aypierre, d'ailleurs.
A) Leur boussole morale.
On commence par du lourd et du évident. XD Ils sont clairement dans une boussole morale complètement fuck up et grise. Ce n'est pas qu'ils sont immoraux, plutôt amoraux. La différence ? Immoral veut dire qu'il enfreint délibérément la morale en sachant pertinemment qu'il s'agit d'actes immoraux, qu'il la rejette, amoral, qu'il n'a tout simplement pas de morale, pas qu'il l'a rejeté mais plutôt que la morale n'est pas prise en considération dans ses actes. Et là, vous vous dites, "pourquoi amoraux ? Ils ont déjà trahi leurs camarades notamment dans le Purgatoire ". Mais pourquoi l'ont-ils fait ? Telle est la question à se poser ici. Ils l'ont fait pour survivre et parce qu'il (Ayrobot ) considérait qu'il n'y avait déjà plus de morale et absolument pas à en prendre compte, s'il ne voulait pas être trop faible et offrir une occasion d'être exploité. En d'autres termes, refus de prise en considération de la morale qui eut été un choix naïf quitte à passer pour immoral. Ayrobot a t-il conscience que ce soit mal ? Non. Ce qui importe pour Ayrobot, c'est la survie, et ce depuis toujours. Il n'a PAS de base de morale, n'étant pas humain. Et Q!Bad ? Q!Bad est un démon et un ancien régulier de ce genre de jeu comme Q!Aypierre, ou la morale est à oublier pour ne pas être trahi et survivre. Ils appliquent les règles, conscients que quoi qu'ils fassent, ils seront jugés négativement de toute façon.
Aussi étrange qu'il soit possible, ils ont pourtant une moralité. Leurs proches sont tout pour eux. Et ils feraient absolument TOUT pour eux. Jusqu'à se donner en pâture à des Vultures, jusqu'à fournir des objets illégaux sans savoir pourquoi. Jusqu'à tuer, si besoin. (Plus Ayrobot que Q!Aypierre sur ce point. Une preuve ? L'épreuve de combat durant la prison. Le premier choix de Q!Aypierre ? Plutôt que se battre....Danser. ) Et ils soutiennent de bout en bout leurs proches, même dans les idées les plus saugrenues (des trous au Spawn permettraient de retrouver les oeufs ? Lets go ! Un train de siége ? Allons y ! ). Ce sont des Ride or Die, tous les deux. Et ils se soutiennent toujours. Approuvent les idées de l'un l'autre quand bien même elle soit fucked UP as fuck, offrant même leur aide si besoin (la prank sur le toit de Q!Tubbo ). Pire que ça : ils alimentent les excentricités de l'un l'autre constamment. Les apprécient même (surtout Q!Aypierre ) à leur juste valeur. Là où un Q!Tubbo, un Q!Roier ou un Q!Mike se désespéreraient et maudiraient Q!Bad, Q!Aypierre va reconnaître le génie de la prank, l'apprécier, l'admirer et même la déclencher en sachant pertinemment ce que cela va faire. Puis va rendre la faveur. En un peu plus fort mais sans jamais y aller TROP fort, pour rester dans une bonne équivalence. Q!Bad.....est plus mauvais joueur sur ça. "Ne fais pas aux autres ce qu'on ne voudrait pas qu'on te fasse " ne s'applique pas du tout pour lui XD Mais il reconnaît aussi le génie de certaines pranks, tout en craignant parfois qu'elles lui arrivent (la fois où Q!Aypierre a parlé de remplacer UN truc dans un décor sans rien dire et qui aurait angoissé Q!Bad ).
B) Leur génie et leur folie
Comme je l'ai dit leurs seuls limites sont ce que leurs proches ont besoin. Surtout les oeufs pour Q!Bad, les oeufs et le cercle très rapproché (les Français, Q!Bad et Q!Max ) pour Q!Aypierre. Ils ne feront pas de mal consciemment aux autres (ou du moins ce qui ne correspond pas à faire du mal à quelqu'un selon eux ) sans aucune raison (et non les pranks à Q!Tubbo n'étaient pas gratuites ) mais ça n'ira jamais au delà de pranks, hors Purgatoire. Ils considèrent même ça comme des moyens de souhaiter des bons retours et offrir de l'attention (Q!Bad ) ou de simplement entretenir une rivalité amicale (Q!Aypierre ). Ils passent les trois quart de leur temps à conspirer ensemble sur de nouvelles manière de détourner le serveur, les bugs, ou créer de nouvelles choses....Et vont immédiatement chercher l'autre pour en parler. On ne compte plus les fois où Q!Aypierre a laché un "j'en parlerais à Bébou " durant un stream.
Une conversation avec Bébou, on sait quand elle commence, jamais quand elle prend fin et Q!Aypierre en a parfaitement conscience xD
Ils admirent également l'ingéniosité de l'un l'autre constamment et se le disent et là où d'autres s'arrêtent la, ils sont curieux et se demandent comment l'autre a procédé et se le font expliquer et si besoin est, se prodiguent des conseils pour améliorer.
Ce sont des génies, tout les deux. L'un est un mastermind dans l'élaboration de plans (Q!Bad ), l'autre un support technique, un Q en puissance en somme (Q!Aypierre ) qui élabore également des plans quand il faut appuyer ses proches, notamment Q!Bad (les waystones ) et.....pour vendre ses objets. XD
Mais le génie va de pair avec la folie....Et pour eux, c'est TRES vrai. Pour Q!Bad, c'est la démesure, comme placer des blocs de neige pour couvrir le Tubbhole, pour Q!Aypierre l'excentricité notamment avec le Furry Club. C'est jouer avec le nucléaire parce qu'ils peuvent le faire, même si pour le coup, Q!Aypierre est un chouia plus responsable sur ça XD
C) Leur amour des pranks
On en a déjà parlé, un peu en diagonale, alors ce point sera court. Ils aiment ça. Tous les deux, et plus que de raison. Au point de faire des productions immenses, juste pour en réaliser une. Leurs raisons divergent (que ce soit pour offrir de l'attention ou un bon retour ou entretenir une rivalité amicale ou simplement en réponse à une prank ) mais leur amour commun des pranks fait qu'ils s'aideront toujours, se montreront leurs pranks respectives sans hésiter. Et se gaslighteront sur qui l'a fait chez eux pour entretenir la guerre des pranks tout en sachant pertinemment que celui en face de l'autre en ait l'auteur. Q!Aypierre est même à présent capable de déceler les pranks de Q!Bad en reconnaissant son style XD
Q!Aypierre est cependant plus un adepte des blagues à l'oral et en fait constamment à Q!Bad qui les apprécie.
D) Leurs Trust Issues
Oh qu'ils en ont. Q!Bad est un paranoïaque qui n'accorde sa confiance que très peu et à très peu de personnes. Q!Aypierre ne se confie que très peu également, de peur d'être utilisé ou vu comme faible et se dissimule derrière ses plaisanteries constamment. Et.....ils acceptent ça chez l'autre. Font en sorte de respecter ce sentiment chez l'autre et le prennent en considération (entrer en premier dans le musée de peur qu'il y ait une cage pour Q!Bad ) par exemple, comme un post ici l'avait bien souligné. Comment est née leur confiance, @issialou l'a très bien expliqué, donc j'y reviendrai pas, mais..... Pour l'heure Q!Bad est la seule personne en dehors de sa fille en laquelle Q!Aypierre a entièrement confiance et la seule sur laquelle il sait pouvoir compter. Il ne lui dira pas tout, tout comme Q!Bad, mais si l'un l'autre se posent des questions sur leurs états, ils se répondront ("Comment tu vis l'absence de Pomme " "Je bois " ). Ce ne sera pas très clair et très vite la blague reviendra minimiser le truc, mais c'est bien plus que pour la plupart des gens (à l'exception des oeufs qui sont sa faiblesse et à laquelle il dira tout en minimisant cependant ).
E) Leur manière de gérer l'abandon.
......Mal ? Ni Q!Bad ni Q!Aypierre ne supportent l'abandon. Surtout après s'être laissé s'attacher. La trahison offre des occasions à Ayrobot de se réveiller, également, visiblement, probablement du à son passé. Si Q!Bad semble en recherche d'attention constante à présent, Q!Aypierre est semble t-il un peu plus indépendant, probablement dû à cette fameuse peur d'être exploité si trop dépendant et la rupture avec Q!Max a aggravé le truc au point d'exacerber le lien commercial comme seul lien possible pour obtenir un truc, hors cas d'urgence et se dissimuler derrière ses blagues ou faire peur pour ne pas qu'on l'approche trop près de nouveau.
Mais une chose est sûre : abandonnez les, ils vous le feront PAYER (plus Ayrobot sur ce coup là ).
Vous en tiendront-ils rigueur ?. ......Non. revenez vers eux et hop, fini, terminé. XD Ride or Die XD
Où ils vous feront revenir vers eux. En explosant votre bureau, par exemple :D
F) Le capitalisme.
C'est probablement les deux sur le serveur qui le prennent autant au sérieux et y sont attachés. Et qui se sont associés. Au point de bassiner leur fille avec ça, à chaque fois qu'ils s'emportent dans leur roleplay de vendeur et d'acheteur radin xD
Le capitalisme est aussi devenu une manière pour Q!Aypierre de se dissimuler, ne plus se montrer comme possible à exploiter et empêcher les gens de venir voir trop près. Le paiement en nature est en effet devenu impossible avec lui (son refus à Q!Mike ).
G) Leur haine de l'ennui.
Ils ont du temps devant eux ? Trop d'objets à vendre et personne d'assez riche pour les acheter ? Et bien essayons de le vendre à l'autre même s'il en a pas du tout besoin et qu'il est radin :D
Ils jouent, constamment l'un avec l'autre. Et ils savent TRES bien que ce n'est qu'un jeu. Ils le poussent parfois loin, (notamment les dix mille patates ) mais à leurs yeux, ce n'est rien de plus que des blagues et une espèce de jeu de rôle play dans le rôle play. C'est souvent à qui ira le plus loin, et Q!Bad gagne constamment car Q!Aypierre ne s'attend jamais à ce qu'il pousse leur mini roleplay aussi loin XD Ils en arrivent même à une certaine domesticité, dans la complicité de leurs blagues et leur récurrence, sans même s'en rendre compte, au point de parfois ressembler à un vieux couple. XD
Le jeu est même parfois utilisé pour aider l'autre, avec sa mémoire, ou pour son moral.
Ils suivent instantanément l'autre dans une tentative de roleplay, également. Une musique dramatique pour aucune raison ? Le ton le devient également. Tu te dis nouveau banquier ? Je serais un nouveau client :D
Et.....ils ne laissent jamais l'autre déprimer ou s'ennuyer. S'ils sont parfaitement capables de s'occuper tout seuls (un plus chaotiquement que l'autre ), si l'autre leur confie une tâche, ou a une idée, leur permettant de pas penser et pas s'ennuyer....Ils prennent. Il a également été prouvé que Q!Bad est celui qui a été chercher Q!Aypierre au reset et ce qui a mené aux débuts de la Stonks and Muffin.
H) Leur soucis de l'autre.
Absolument pas conventionnel, sauf pour les oeufs. L'un va demander aux autres, de veiller si besoin et veiller dans l'ombre (Q!Aypierre), l'autre va de temps à autre poser des questions mais surtout s'assurer de maintenir le moral par des actes et propositions, tout en dissimulant son propre état (Q!Bad ).
Ils se soucient beaucoup de l'autre, mais font en sorte de ne pas inquiéter sur leur état et faire ce qu'ils peuvent pour aider l'autre.
Bon, ce post est LONG, alors on va le découper en deux parties. La prochaine fois, je parlerai des obstacles pour le Ayhalo et ptêt comment je verrais une évolution, si ça devait arriver et se concretiser.
Si d'autres points me viennent, j'en parlerai.
Merci de m'avoir lu. ^^
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mailamoon · 1 year ago
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Oye oye bonnes gens !
Voici ma dernière fanfiction !!!
Il s'agit d'un petit intermède tout doux, tout tendre, tout fluffy, plein de bulles et d'amour.
(vous noterez comme je me suis éclatée pour la mise en page 😁)
(c'est du tout public, un peine un bisou à la fin)
(profitez de la bulle de douceur qu'est ce texte, ma prochaine fanfic va être beaucoup plus sombre...)
English text coming soon ^^
Résumé :
"Parfois, pendant cette course effrénée au One Piece, les émotions de Zoro deviennent trop intenses. Le destin qu'il a choisit le mène sur un chemin impitoyable, exigeant de lui qu'il soit infaillible.
Alors quand Sanji est blessé dans une bataille, la culpabilité envahit Zoro, amenant avec elle tout un tas de sentiments qu'il a du mal à définir.
Sanji le rejoint dans la salle de bain pour tenter d'apaiser les émotions qui assombrissent son compagnon d'équipage."
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megaverserpg · 8 months ago
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Les Fléaux - loups-garous
TRANSMISSION ‧₊˚ Les nombreux préjugés sur les loups-garous laissent penser le contraire, mais on ne naît pas loup·ve — on le devient. Le danger s’éveille à la lueur d’une lune pleine : morsure trop souvent cruelle et fatale à laquelle les victimes ne survivent qu’à la condition d’être soigné·e·s par un·e oracle nocturne. Leur reste une cicatrice au reflet lunaire, qui inflige une brûlure permanente si elle n’est recouverte par un tatouage rituel, douloureux mais nécessaire. L’encre, mêlée de poussière d'étoile et préparée à la nouvelle lune, dégorge progressivement et doit être gravée par l’oracle dans la chair des lycans (en solitaire ou en meute) tous les quarts d'année.
CARACTÉRISTIQUES ‧₊˚ Certain·e·s demeurent dans le déni bien que s’imposent des signes de mutation même sous la forme humaine : un goût pour la viande saignante, l'intensification de la vitesse et de la force, une carrure semblant plus imposante, des colères injustifiées et une possessivité propre au caractère territorial des loups, une impulsivité et des pulsions agressives plus persistantes encore à l'approche de la pleine lune, une ouïe et un odorat surdéveloppés, un métabolisme plus résistant que la moyenne, une régénération cellulaire améliorée…
Impossible toutefois de se voiler la face lorsque survient la pleine lune suivante : la transformation inévitable en loup géant ne laisse plus l’ombre d’un doute. La carrure varie en fonction de la personnalité (dominante ou non, la première étant rare). Elle est excessivement douloureuse et les suivantes ne le sont guère moins pour celleux qui choisissent d’évoluer en solitaire. Les premières nuits de pleine lune voient l'individu perdre totalement le contrôle, au point qu’au réveil iels ne conservent généralement aucun souvenir de cet épisode empreint de brutalité. L’utilisation de potion Tue-Loup est peu répandue à Elysium et Neferis. Si elle permet de conserver sa lucidité et rend ainsi les loup·ve·s moins dangereux·ses, elle tend à dissocier l'humain·e du/de la loup·ve, à faire taire ce·tte dernier, rendant caduques toutes perspectives d'évolution. Les populations lupines d'Elysium et Neferis ont donc tendance à opter pour le soulagement offert par la symbiose entre animal et loup et les bénéfices d’une meute . À terme, un·e loup·ve en communion avec son animal parvient à se transformer sans douleur en dehors des nuits de pleine lune, totalement ou de manière partielle.
RELATION DE MEUTE ‧₊˚ Au sens strict, la meute comprend les loup·ve·s réuni·e·s autour d’un·e dominant·e, acceptant tant son autorité que sa protection. La malédiction qu’iels partagent les unit de plusieurs manières : en plus de pouvoir partager, sous leur forme lupine, leurs sens (projection/partage des sensations, images, odeurs, …) et leur énergie, les lycans se font tatouer le même soir par un·e oracle (ou plusieurs si nombreux·se), avec la même encre. Le rituel, rendu supportable par l’usage d’un encens magique qui les plonge dans une transe partagée, contribue à stimuler leurs liens magiques, à les renforcer. Enfin, le·a transformateur·ice a un rôle d’éducateur·ice envers sa·on transformé·e et tend à s’en soucier volontairement ou non : iel est sa·on protégée, le·a loup·ve intérieur·e le·a considérant comme sien·ne.
La meute s’organise comme suit :
Un·e chef·fe de meute dont les phéromones atténuent les douleurs de la transformation en pleine lune, mais peuvent aussi terrasser ou soumettre un·e louve lui manquant de respect.
Une minorité de loups dominants parmi lesquels un·e bras droit et un·e rival��e (facultatif).
Un·e stratège dont le sens logique contribue à préserver la meute et à favoriser ses intérêts.
Un guérisseur·se caractérisé·e par une affinité avec les plantes datant d’avant ou après la morsure, et également par son aptitude à absorber partiellement le mal en cas de blessure grave.
Les membres dont le nombre fait la force de la meute RELATIONS AVEC LA COMMUNAUTÉ MAGIQUE ‧₊˚ Au sens large, le terme « meute » s’étend aux êtres chers qui, bien que non loup·ve·s, sont nécessaires à l’équilibre émotionnel des lycanthropes. Elle peut aussi inclure des animagus loup·ve qui, bien que de carrure plus frêle, peuvent partager leurs transformations. Les lycans ont la spécificité de bénéficier du duumvirate : lien spontané intensément magique et émotionnel avec une autre personne, et de nature variable (romantique ou non). Les émotions de l'un·e se répercutent sur l'autre, leurs magies intensément compatibles leur permettent d'utiliser la baguette de l'autre, au point que celle-ci soit incapable de les blesser. Avec le reste des sorcier·e·s les tensions sont persistantes, ayant tendance à être vu·e·s comme des menaces les loup·ve·s sont fréquemment victimes de discrimination, notamment au travail.
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dhiatzs · 2 days ago
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C'est terrible, parce que d'un côté je n'arrive pas du tout à process la scène entre Headache et Fagor, vu que c'est un passage qui sort de nulle part, sans lendemain et qui ressemble davantage à un gag qu'autre chose,
Mais d'un autre côté...
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Je crois que cette case, extraite de cette scène, est l'un des éléments qui a le plus contribué à me faire aimer Fagor.
C'est la seule et unique fois dans Mutafukaz 1 qu'on a le droit à un aspect du personnage qui l'humanise et ne le fait pas parler uniquement de sa fonction de scientifique, aussi suggéré que ce soit. Et j'adore le fait qu'il ait une expression aussi awkward et mal ajustée, alors qu'on ne le voit que sérieux et dans son élément le reste du temps.
Le souci de cette scène c'est qu'on peut l'interpréter de deux manières drastiquement opposées, selon que Fagor soit voulu par Run comme attiré par les hommes ou non. Étant donné qu'il y a plutôt un sentiment de gêne distillé dans le dialogue, j'ai tendance à penser que c'est la deuxième option qui est la bonne dans le canon, mais après, est-ce que j'irais demander validation à l'auteur- sans doute pas aha.
Perso, dans mon petit fanon personnel, je préfère imaginer que Fagor est queer. Déjà parce que je queerise tous les personnages que j'aime et que personne ne peut me stopper, ensuite parce que ça peut donner une couleur intéressante à un personnage enfermé dans son travail et sans famille connue (pour un peu, être gay peut l'avoir isolé d'une famille bigote, surtout étant donné qu'il est âgé et que plus on remonte le temps, moins c'était socialement accepté d'être queer) et ensuite parce que pardon le boug a littéralement une insulte homophobe dans son blase, est-ce qu'on peut avoir ça svp-
Bref, j'en profite pour ressortir cette vieille fic parce que je l'ai relue l'autre fois et que je garde un attachement pour un post-scène plus chill
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maneki-art · 4 months ago
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Projet d'Octobre
(english under the french and picture)
Pour inktober, Drawloween et juste parce que j’ai envie, j’ai décidé que le mois d’octobre sera consacré à lancer un projet personnel.
Et professionnel. Enfin semi-professionnel.
Bon, ok, ça fait un moment que je me dis qu’il faudrait que je me remette au story board et après avoir fouillé mes vieux projets (20 ans et +, j’ai mal) j’ai décidé de tenter l’exercice sur un des scénarios de court métrage que je voulais proposer pendant ma scolarité à Supinfocom mais sur lequel j’avais chocotté au dernier moment.
Swing Macabre
Je vous présenterais tous les personnages au fur et à mesure, mais pour commencer voici mes buts.
But 1 : Définir le design d’un des deux personnages principaux, l’adorable François, et accessoirement, éventuellement, le style graphique du tout.
But 2 : Faire une illustration de François, pour me servir de carte d’Halloween.
But 3 : Définir le design du second personnage principal, parce qu’à l’époque, c’était une self insert très très vaguement déguisée, on va tenter de lui donner une vraie personnalité (ce qui va être dur pour une histoire courte et sans parole) et tant qu’à faire, un nom, parce que la jeune fille et la mort, ça va un moment mais c’est long.
But 4 : Définir le design des personnages secondaires, entre autres l’Ankou, les Deuillants, les Grâces, Les Pendus et la Dame Blanche (et les poneys de l’Ankou. Si j’ai le temps)
But 5 : Commencer le story-board.
But 6 : Avancer le storyboard le plus possible.
But 7 : Finir ? … Naaaaaaan.
Petit warning !
Le titre est Swing Macabre. Voilà. C’est le warning.
Plus sérieusement : A part la Jeune Fille, tout le monde dans cette histoire est un squelette, plus ou moins décharné, inspiré par les transis et autres monuments funéraires.
Cette histoire parlera de deuil, d’acceptation de la mort et d’un squelette bariolé qui danse le swing.
Et sans transition, voici la première image du projet !
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For Inktober, Drawloween and just because I want to, I decided October will be dedicated to a personal project’s launch.
Personal and professional. Kinda.
Well, ok, I have been trying to fill my portfolio recently and I wanted to do a bit of story boarding and after digging up my old projects (20 years and more, it’s painful) I decided to try with the scenario of a short film  I wanted to do when I was in school but chickened out at the last moment.
Swing Macabre
You will meet all the characters in time, but for the beginning, here are my goal.
Goal 1: Designing one of the main characters, the adorable François and, if possible, the art style.
Goal 2: Do a full color illustration of François, so I can use it as a Halloween card.
Goal 3: Designing the second main character, because at the time, it was a thinly veiled self-insert, so I need to give her a real personality (which is going to be hard in speechless short story) and while I’m at it, I need to give her a name because calling her The Maiden of The Death is a bit LONG.
Goal 4: Designing the secondary characters, among them, the Ankou, the Mourners, The Graces, the Hanged men and the White Lady (and the Ankou’s ponies. If I have the time.)
Goal 5: Starting the storyboard
Goal 6: Advancing the story board as much as I can.
Goal 7: Finishing? … Naaaaaah.
Small content warning!
The title of the project is Swing Macabre. That’s it. That’s the warning.
More seriously: Beside the Maiden, everyone in this story is a more or less gaunt skeleton, inspired by Medieval and Renaissance’s Transis and others funerary monuments.
This story will be about mourning, death acceptance and a colorful skeleton dancing the swing.
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leparfumdesreves · 1 year ago
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Parfois, j'aimerais faire partie du troupeau...
De ceux qui vont où on leur dit d'aller, d'aimer ce qui doit être aimé, de se rallier à celui qui a la voix plus forte que ses idées, de partir aux mêmes endroits fashion que tous les autres, de s'afficher avec des influenceurs, parce-que c'est tendance, de se prendre en selfie à tout moment parce-que tout le monde le fait, de raconter sa vie du lever au coucher sur Facebook parce-que sinon on passe pour un con, de comptabiliser des amis et comparer leur nombre avec d'autres, alors que les trois-quart n'en ont rien à foutre de vous, de courir tous les week-ends aux mêmes heures et aux mêmes endroits que tout le monde parce-que sinon que vont penser les collègues au bureau le lundi matin, de claquer un pognon monstre au resto à la mode parce-qu'il faut au moins avoir vu la dernière déco du dernier si talentueux designer alors qu'en rentrant chez vous vous avez avalé tous les paquets de gâteaux tellement il n'y avait rien à manger dans l'assiette, de faire cinq heures de queue pour voir une expo à laquelle vous n'y comprendrez rien mais c'est tellement chic de laisser traîner le catalogue sur votre dernier canapé que vous avez du mal à finir de rembourser mais il le valait bien parce-que ma chériiiiie on est teeeeellement bien dedans tu verras, de paraître sur-bookée, pressée, stressée, affolée, dépassée, parce-que tout le monde l'est, donc vous aussi, d'assister dans une salle d'Art et d'Essai à la projection du dernier film d'un Réalisateur dont vous êtes incapable de prononcer le nom d'ailleurs vous avez décidé de vous mettre au finlandais parce-que la meilleure amie de la belle soeur de votre ex s'y est mise et qu'avec le réchauffement climatique vous serez prête au cas où......
Oui, comme j'aimerais parfois faire partie du troupeau.
Parce-que ce troupeau ne pense pas, ne réfléchit pas, il avance. Tête baissée, les oreilles fermées, les yeux voilés, insensible à la beauté d'un vol d'hirondelles, au bruissement du vent dans les champs de blé, sourd à la musique du temps.
Parce-que ce troupeau ne ressent pas la souffrance du Rêveur, de l'Idéaliste, du Poète, de celui qui est attiré par la beauté du Diable et la noirceur de l'Ange, de l'Artiste qui enfante dans la souffrance.
Est-ce ça la vraie Vie, celle où pataugeant dans les vases nauséabondes de ce Monde d'en bas, on est à l'abri de toutes émotions sincères, de toutes douleurs existentielles, de tous les silences qui font du bruit à s'en déchirer le coeur.
Oui, j'aimerais parfois faire partie du troupeau...
L.PDR
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nvminnd · 1 year ago
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Allez je réponds au ask meme de @girafeduvexin
1/ Personnage(s) préférés ?
Ça change souvent, mais en définitive je dirais Léodagan, Loth et Galessin (après y'en a plein d'autres que j'aime beaucoup)
Léodagan parce qu'il me fait beaucoup rire et que j'aime bien son côté "aboie plus qu'il ne mord". J'aime surtout les fois où il veut juste faire la conversation, comme ça, pour parler
Loth, me jugez pas, mais c'est de la pure projection. On se ressemble sur pas mal de points, (en ce qui concerne la manière de penser, j'entends. Je vous rassure, je ne trahis pas systématiquement toute personne qui m'est proche....pas systématiquement.)
Galessin c'est surtout que j'aime bien les personnages sous developpés, et si en plus le perso en question est sarcastique, un peu renfermé et moralement gris, il m'en faut pas plus
2/ Personnage(s) que tu détestes ?
Déteste c'est un peu fort, mais j'aime vraiment pas Lancelot (quel que soit le moment dans la série). Je le trouve très intéressant et bien construit en tant que personnage, mais je ne l'apprécie pas du tout...
Je suis pas fan d'Aconia non plus, ni de Karadoc (surtout à partir du livre IV)
3/ OTP
Ce qui se rapprocherait le plus d'un OTP serait Bohort/Léodagan, je les ship, c'est indéniable, mais plus dans le fandom que dans la série. J'aimerais pas forcément qu'ils concrétisent dans la série mais j'aime lire des fanfics sur eux, vous voyez ?
4/BroTP
Arthur/Perceval, leur relation est incroyable
Bohort/Le duc d'Aquitaine. Ils sont faits pour être BFFs
Bohort/Guenièvre, pareil ils sont faits pour s'entendre et parler fleurs et déco
Yvain/Gauvain, pas besoin d'expliquer je pense
Loth/Guenièvre, je sais c'est étrange mais ils m'avaient l'air d'avoir une bonne complicité quand Lancelot et elle sont venus déjeuner en Orcanie. Loth, étant assez bavard, entretient le besoin de discuter de Guenièvre, et Guenièvre a une sincerité dans ses relations et une bienveillance qui pourraient être bénéfique à Loth.
Léodagan/Galessin, vous allez me dire que ces deux là ont été assis l'un à côté de l'autre à la table ronde pendant 15 ans et qu'ils se sont jamais amusés à cracher dans le dos d'Arthur et Lancelot en douce ? Sarcastic soulmates. C'est les deux collègues qui passent leur pause café à rouspéter de tout et qui deviennent potes liés par le seum.
5/ Notp
Je sais, je vais en offenser plus d'un, mais je déteste vraiment Pendranièvre. Guenièvre mérite mieux, la manière dont Arthur la traite me met souvent mal à l'aise, et même si j'adore leurs moments de complicités, j'espère surtout pour eux une belle relation platonique.
6/ Tu as aimé le film ?
Malheureusement, pas tellement. Je l'ai trouvé très mal rythmé, le développement des persos qu'on connait n'était pas terrible, trop de fan service (parfois on avait l'impression que c'était écrit pas des fans lourdinges), et beaucoup de points qui auraient dû être assez épiques (les moments de retrouvailles par exemple) ont manqué de saveur à mon humble avis. Je pense que A.A aurait eut intêret à avoir un co-réal, comme sur ses Astérix. Après je comprends et je respecte sont ambition de vouloir faire lui-même son projet. Très honnêtement, j'irai voir la suite uniquement parce que je veux savoir comment tout ça se finit.
7/ Est-ce que les fans de Kaamelott sont relous ?
Ça dépend lesquels...En fait le soucis c'est que la plus grosse majorité des "fans" de Kaamelott se limitent à une approche très superficielle de la série. Ils balancent des répliques, refont des épisodes....mais quand tu commences à vouloir parler théories, analyses, relations entre les personnages, etc. Ils sont paumés. Le meilleur exemple, c'est tout ces "fans" qui sont persuadés que Guenièvre est conne. Alors ça pour balancer des "Arthour Cuouillère" ils savent faire du bruit, mais quand c'est pour débattre sur la profondeur du personnage de Guenièvre y'a plus personne. Maaaais il y a tout de même des fans qui sont très sypas et intéressants. Ils se trouvent en général sur tumblr ;)
8/ Headcanon que tu adores
Que Galessin a en partie élevé Gauvain. C'est tellement logique quand on y pense. Dommage qu'ils ne se parlent jamais dans la série.
Que Arthur, sûrement inconsciemment, considère Perceval comme un fils, et que c'est son départ qui a provoqué un vide en lui, lui donnant envie de chercher ses enfants dans le livre V
9/ Headcanon adopté par le fandom que tu détestes
Je sais pas...que Arthur et Guenièvre sont endgame peut être ?
10/ Musique pref
Est-ce que ça compte le "L'auberge était complète, revient petit oiseau ?"
11/ Épisodes préférés ?
La délégation Maure. Perceval est en roue libre
La poétique. En plus de la relation Perceval/Arthur, y'a aussi une belle petite leçon d'ecriture qui n'est pas pour me déplaire
Celui où Perveval demande à Arthur s'il l'aime, je me souviens plus du nom
L'Escorte. On se sait.
Le Oud II. Tout est parfait dans cet épisode.
Dagonet et le Cadastre. Le début des embrouilles
Après y'a aussi des scènes que j'aime beaucoup, en gros tout ce qui concerne les Orcaniens, et le dîner avec le duc d'Aquitaine dans le livre V
12/ Unpopular Opinion
À partir du livre V, Perceval se transforme peu à peu en comic relief relou. Il est le meilleur de lui-même quand il est avec Arthur, et même si je comprends l'idée de le faire s'émanciper, je trouve que Karadoc (et plus généralement son duo avec Karadoc) le tire vers le bas. Son développement ne va pas du tout dans le bon sens. Dans KV1 il est même agaçant. C'est presque un assasinat de personnage, tant il passe de "un des meilleurs persos de fiction jamais conçu" à "comic relief qui gueule trop".
L'acharnement de la série contre Mewanoui est très lourd. Elle fait ce qu'elle a à faire pour se sortir de sa situation, et même si ses méthodes sont discutables, elle n'est pas la seule à faire des coups tordus. Pourtant on nous rappelle bien 12 fois par épisodes que c'est une grosse morue.
A.A a du mal avec le format long. Ce n'est pas la tournure plus sombre à partir du livre V qui me dérange, c'est le manque de rythme. Pour quelqu'un qui s'y connait autant en storytelling, je trouve qu'il n'en maîtrise pas trop les codes et qu'il se perd dans le fait de voulour raconter trop d'histoires en même temps.
Paradoxalement, les personnages avaient de meilleurs développements dans les épisodes courts. On les voyait évoluer subtilement, peut être parce qu'il n'y avait pas (ou moins) la pression d'une intrigue fil rouge à mener. À partir du livre V, les personnages sont au service du plot. Leurs caractères, leurs relations et leurs ambitions changent pour s'accomoder aux besoins du plot, et parfois ça n'a pas trop de sens.
Et sinon, je n'aime pas les passages à Rome (je ne trouve pas ça spécialement interessant à titre purement subjectif. Les amourettes d'Arthur me soulent plus qu'autre chose)
13/ Espoirs pour la suite ?
KV2 : reconstruction de Kaamelott, y compris reconstruction des relations entre les personnages. Je veux voir de vraies retrouvailles, avec des conflits, des interrogations, de la joie...
Une évolution travaillée de la relation Arthur/Guenièvre. Escalader une tour c'est gentil mais ça compense pas 15 ans de maltraitance. Si Arthur et Guenièvre devaient développer une relation romantique, j'espère que ça se fera sur le long terme et que Arthur se ratttapera vraiment. Pas juste "j'ai fait UN truc gentil et c'est bon ça efface tout"
Un retournement de veste (voire une rédemption ?) de Loth. Encore mieux si c'est Galessin qui a enfin une prise de conscience et qui suggère à Loth de se ranger du côté d'Arthur (du moins le temps de rétablir l'équibre à Kaamelott, avant, éventuellement dans un second temps, de trahir.)
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encreboueuse · 10 months ago
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La Danse de l'Eau
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Petit hommage à une amie autrice de fanfiction, en l'honneur de la première que j'ai dû lire d'elle !
(Oui, bon, c'est en cherchant les références que je me suis rendue compte qu'ils étaient toujours couchés sur le lit, pardon)
"Il se blottit contre le ventre de Shun pour écouter encore une fois ce son si doux à ses oreilles. Il avait encore du mal à le percevoir si tôt dans la grossesse et il jalousait un peu l'instinct maternel de son compagnon qui lui permettait d'entendre ces battements sans effort, mais cela n'empêchait pas son bonheur.
Il allait enfin être père.
Shun le regarda faire, l'horreur et la confusion inscrites sur son visage."
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e642 · 23 days ago
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De l'émoussement affectif, voilà ce que je ressens à son égard. Le temps passant, les miettes de sentiments qui pouvaient exister commencent à s'avarier. Je le vois à l'impact ridicule que chacun de ses mots ou actes me procure. Là où je pouvais ressentir de la frustration ou de la colère, de la hâte ou de l'envie, maintenant, ça a fait place à de l'indifférence. Il n'y a toujours pas de motif défini qui rendra ma décision légitime mais je crois que je perds mon temps à essayer de chercher la faute. La faute est dans chaque infime chose qui a pu me déranger, puis me laisser si vide. Rien n'a changé, ça ne s'est pas empiré pour autant mais ça ne s'est pas amélioré. Ça fait bien longtemps que cette relation ne m'apporte plus grand-chose, même du négatif. Je suis la seule responsable et décisionnaire de cet enfermement avec lui. Il ne se rend pas compte de son insuffisance, ou peut-être que si, je dois dire qu'il est plutôt indéchiffrable. Je ne sais pas s'il en joue ou s'il en est victime. Ce sera le schéma classique, il sera surpris si j'annonce une séparation. Il n'y a que les hommes pour être étonné de la décision qu'ils nous forcent à prendre. Il n'y a que eux pour avoir le culot de faire culpabiliser quand ils n'ont rien fait d'autre à aucun moment. Je n'attends plus rien de lui et je pense que c'est sûrement la chose la plus terrible qu'on puisse penser de quelqu'un. En tout cas, j'aurais dû mal à entendre que quelqu'un de proche de moi n'attend plus rien de moi, n'a plus d'attente, de projection, d'espoir. Parce qu'au final, c'est ça, c'est la lente perte d'espoir. Les gens ne changent pas, mais le temps qu'on prend à le réaliser varie tellement d'une personne à l'autre, d'un déni à l'autre. Je vais avoir beaucoup de mal à m'en remettre mais pas sur le plan affectif en réalité, sur tous les autres points qui enveloppent un couple. La confiance qui a fait défaut. Le temps que j'ai mis pour ne rien construire avec lui. L'Indépendance que j'ai perdu. Le respect que j'ai renié. Le fait qu'il ait rencontré mes parents, ma famille. Je suis quelqu'un de très sélectif quand il s'agit de partager les choses les plus proches de moi, celles qui ont des impacts sur moi, je ne fais pas rencontrer mes parents, ni ma famille, ni mes potes, pas rentrer dans mon appartement non plus. Je considère que ce sont des repères qui vont durer plus longtemps qu'un couple, de ce fait, les imprégner d'une relation est quelque chose de sérieux et de réglementé. Je regrette de l'avoir présenté à tout le monde et qu'il m'ait présenté à tout le monde car on a fait entrer d'autres acteurs silencieux dans ces liens. J'ai dénaturé mon environnement. Je suis de plus en plus déterminée et sûre de ce choix futur. Le temps finira son travail d'alerte, je le sais. Jusqu'à mars je vais être bien trop occupée pour me séparer je pense, mais après.. J'aurai réellement eu envie d'écrire d'autres issues, retenir d'autres souvenirs, être épanouie, mais ce n'est pas le cas, après deux ans, il faut maintenant penser à l'avenir. Un vrai avenir, du moins, celui qui me rendra le moins triste.
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sinvulkt · 5 months ago
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Chap 1 ✯✯✯ ꒰ঌ ⚔ ໒꒱ ✯✯✯ Chap 3
La main d’Edmond serra le manche de son couteau. Le sac mortuaire puant qui le recouvrait battait au rythme des pas des hommes qui le transportait, le ballottant inconfortablement. Il faisait froid. D’après le calendrier que l’abbé avait insisté pour tenir, on était le 27 février. L’air marin passait à travers le sac comme une porte grande ouverte, et Edmond peinait à ne pas grelotter. Des frissons le secouaient malgré tout de temps à autre, à peine suffisamment discrets pour ne pas être repéré par ses transporteurs.
Il se força à détendre ses muscles, faisant sa meilleure impression de mort flasque que l’on emmenait au cimetière. C’était loin d’être chose facile. Il avait mal rentré une de ses ailes, et elle reposait douloureusement tordue, coincée sous son bras pour ne pas que les geôliers la remarque. Des fourmillements avaient parcouru le membre un peu plus tôt, mais ces derniers s’étaient tus, laissant place à une étrange sensation d’engourdissement.
Le sac s’immobilisa. Edmond se gaina, étonné que les geôliers aient déjà atteint le cimetière. Le château d’if était à peine assez grand pour être appelé une île. Peut être attendaient ils une barque pour les mener au dernier lieu de repos des prisonniers ?
Un flash lumineux perça à travers le sac. Peu de temps après, un grondement sourd retentit. Edmond pouvait entendre l’agitation des vagues non loin, annonçant une tempête imminente. 
“L’orage ne va pas tarder à tomber,” un des geôliers commenta.
“Cela fera une belle noce pour l’abbé,” le second ricana.
Il y eut plusieurs bruits de froissement, puis Edmond sentit quelque chose se resserrer autour de ses chevilles. Il raffermit pour la énième fois sa prise sur son couteau de fortune.
“Tu l’as bien accroché?”
“Oui, aucun risque qu’il flotte comme le dernier.”
Flotter ? Les pensées d’Edmond furent distraites par un mouvement du sac. On le prit par la tête et les pieds et on balança le sac de droite à gauche.
“À la une, à la deux,” les geôlier chantèrent.
“À la tr—”
Le craquement du fil trop tendu qui cède retentit.
Les coutures du pauvre sac, recousues à la hâte par les mains fébriles d’Edmond, se déchirèrent d’un coup. Les geôliers, surpris, lâchèrent le sac qui tomba lourdement sur le sol. Edmond hoqueta, la respiration coupée par le choc. La chute avait libéré ses pieds. Il cligna des yeux, aveuglé par la soudaine lueur du jour attisant ses pupilles, même atténué par les sombres nuages qui couvraient le ciel.
“Mais- mais ce n’est pas l’Abbé Faria!” l’un des hommes s’écria.
Edmond surgit du sac comme un diable, couteau à la main. Le plan jouait en boucle dans son esprit. 
Attaquer le geôlier le plus proche. 
Courir. 
S’envoler.
Ses ailes s’arquèrent d’un air menaçant, plumes battant dans le vent qui hurlait. Avant qu’il ne réalise vraiment ce qu’il faisait, Edmond plongea son poignard dans la poitrine de l’homme qui avait crié. La lame s’enfonça avec un bruit répugnant dans la chair. 
Choqué, il lâcha l’arme et recula d’un pas. Sa promesse a l’abbé de n’attaquer les sentinelles qu’en dernier recours tournait sans fin dans sa tête.
Déjà, le second geôlier sonnait l’alarme à grands cris. Tout en hurlant, le géolier porta sa main à la baïonnette sanglée dans son dos et s’avança vers son compagnon blessé et le prisonnier. 
Edmond sonda ses portes de sortie. Ils se trouvaient sur un des chemins de ronde du château d’If, juste au bord de la falaise. Le geôlier bloquait la voie d’accès à la cour, et aucune barque n’était en vue. Il jeta un regard derrière lui. S’il prenait le tournant du chemin de ronde, il aurait peut-être assez d’élan pour décoller. 
Sans perdre une seconde de plus, Edmond détala à toute jambe. Ses ailes suivirent par instinct, se déployant de toute leur envergure d’une façon dont elles avaient été incapable entre les étroits murs du cachot. Le vent se pris dans les plumes tout comme il gonfle une voile. Edmond, surpris, failli tomber à la renverse et ne redressa sa course qu’en repliant ses ailes.
Derrière lui, le geôlier lui aboyait des ordres.
“Au nom de la loi, arrêtez-vous !”
Edmond s'arrêta. Il fit quelques pas en arrière pour regagner un peu de distance, vérifia que les gardes étaient encore assez loin, et reprit sa course. Cette fois, il ne garda ses ailes qu'à moitié entrouverte, comme on baisse le grand mât pour prendre un vent trop fort.
“Avec la tempête, vous ne vous en sortirez jamais !”
Ignorant les cris du geôlier qui se rapprochait, Edmond prit le tournant qui le menait à une belle ligne droite, puis soit à une chute vertigineusement létale, soit à un envol libérateur. Chaque pas n’était plus qu’un battement de cœur qui s’accélère, un muscle qui se prépare. Chaque pas était un espoir qui s'ajoutait au dernier. 
“C’est du suicide !”
Le bout du chemin vint en vue. Les vagues rugissaient sur des rochers pointus en contrebas. De temps en temps, un éclair venait aveugler la vue encore sensible d’Edmond, illuminant les crocs du relief l’espace d’un instant comme une vision d’horreur. L’idée de sauter du rempart, un instant plus tôt parfaitement réaliste, semblait désormais effectivement un suicide.
Mais rester menait à une mort certaine, et si elle n’était pas physique, alors elle serait mentale.
Le pied d’Edmond atteint le bout du rempart. Fermant fort les yeux comme un enfant qui prie une étoile filante d'apparaître, il ouvrit grand ses ailes et s’élança.
Après quelques battements d’ailes, il ouvrit les yeux.
Edmond volait.
Le vent, qui avait semblé si furieux au sol, le portait sans effort vers l’immensité du ciel. Dès qu’une bourrasque le menaçait, ses membres ajustaient son équilibre par un étrange instinct qu’Edmond n’avait jamais remarqué jusqu’alors. Il pouvait sentir chaque tendons crispé par l’effort, chaque plumes tendues pour maintenir son cap, le tout formant une machine magique lui permettant de naviguer les airs.
Edmond leva les doigts pour sentir l’air courir contre lui. L’atmosphère lourde et cinglante de l’orage qui n'attendait qu’un signe pour éclater faisait fleurir de la chair de poule sur sa peau. Il s’en délecta. Le goût salé de la liberté flottant sur sa langue l’enivrait. 
Edmond ne vit pas la baïonnette du garde pointé sur la cible facile qu’il formait, balancé par les courants aériens. Il n’entendit pas le cliquetis de la gâchette que l’on actionne. Il entendit la détonation, mais c’était déja trop tard.
Le coup parti. 
Au début, Edmond n’entendit que le bruit du fusil. Se pensant hors d'affaires, il se força à lutter contre le vent à large coup de battements d’ailes avant qu’un second fusiller ne visa mieux. Des plumes blanches tachées d’écarlates tourbillonnèrent dans le vent. Puis, une explosion de douleur retenti comme un fouet brulant le long de ses cotes et de son aile droite. Quand il porta la main à son torse, elle revint trempée de sang. La vue vacillante, incapable de lutter contre la tempête avec son aile touchée se repliant à la première bourrasque, Edmond chuta.
L’eau était glaciale.
Il accusa le choc d’un coup de brasse vigoureux. Sa blessure le lançait, mais pas autant qu’il ne l’avait craint. Edmond devait sa chute à la surprise et à son manque de pratique quant à l'utilisation de ses ailes, plus qu'à la traînée sanglante laissée par la baïonnette. Le sel attisait sa brûlure d’une manière qui était familière à tout marin, mais la douleur restait tolérable. Dans la mer enragée, à des kilomètres de la côte, les conséquences d’un coup de feu étaient le cadet de ses soucis.  
Les ailes qui le portaient jusqu’alors le condamnaient désormais. Leurs mouvements brusques et agités conflictaient avec la brasse qu’il avait appris auprès des autres marins. Gorgées d’eau, elles le traînaient lourdement vers le fond. Edmond se débattit de toutes ses forces pour retrouver la surface. Se souvenant des leçons prodiguées quatorze ans plus tôt, il vida son esprit et fit de son mieux pour ralentir son cœur. Plus calme, il réussit à replier ses ailes sur son dos, plaquée de telle sorte qu’elles ne le génèrent plus lors de la nage. 
Edmond était toutefois loin d’être sorti d’affaire pour autant. Les longues secondes qu’il avait pris pour retrouver ses esprits l'avaient emmené vers les bas-fonds. La mer, noire et profonde, le pressait de toute part de telle sorte qu’il avait perdu le ciel de vue. Ses poumons le brûlaient, réclament un air absent qu’Edmond ne pouvait pas leur procurer.
Un éclair lumineux attira son attention. Désespéré, Edmond donna de vigoureux coup de pieds dans sa direction. Son cœur battait à tout rompre, renforçant la douleur montante de sa poitrine. Quelques instants plus tard, il perça les flots, victorieux, et aspira goulûment l’air qui lui avait tant manqué.
Comme pour le moquer, l’orage grondant choisit ce moment pour déverser sur lui tout son malheur. Un flot de gouttes se précipita sur lui, martelant son visage et tout ce qui avait le malheur de dépasser de l’eau. Pis, le vent avait impossiblement forci, et des vagues effrénées menaçaient de noyer sa bouche grande ouverte, manquant de l’étrangler. Peu importe la façon dont Edmond battait des paupières, ses yeux, pourtant habitués à la pénombre des cachots, ne pouvaient distinguer qu’eau et noirceur.
Edmond nagea.
Il nagea à l’aveugle, luttant contre le courant de peur que les flots déchaînés ne le précipitent contre une falaise. Ses dents claquaient sous le froid glacial de février. L’effilade que la balle avait laissé le long de son torse et de son aile droite s’enflammait douloureusement à chaque mouvement. De temps à autre, une vague plus imposantes que les autres le renversait, et Edmond devait redoubler d'effort pour retrouver la surface. 
Il nagea.
Ses forces s’amenuisaient. Les frissons qui le secouaient jusqu’alors s’étaient tuent. La piqûre du sel était omniprésente dans sa bouche, dans sa gorge, dans ses poumons. Ses pensées avaient laissé son passé, la prison, ses gardes et le corps de l’abbé loin derrière, et se réduisaient désormais à un fin fil d’espoir désespéré, érodé par la houle qui le frappait interminablement. Il ne voyait que la prochaine vague, et les coups qu’il faudrait donner pour la franchir.
Il nagea encore.
Une autre vague le renversa. L’eau salée s’infiltra dans ses poumons, pressée d’investiguer ce nouvel orifice. Edmond se crispa et attendit, guettant un des flashs aveuglants de la foudre qui déverse sa fureur sur le monde pour retrouver son chemin. Ce n’est qu’une fois la surface retrouvée que, toussant, il réalisa la position vainement déployée de ses ailes. Comme ce qui lui semblait être une éternité plus tôt, le réflexe, loin de l’aider à flotter, lui compliquait la tâche. Il dépensa un peu de l’énergie raréfiante qui lui restait pour lutter contre le courant et replier les excroissances gorgées d’eau. 
Il nagea, encore et toujours.
C’était tout ce qui comptait désormais. Perdu dans l’immensité de l’océan, luttant pour chaque gorgée d’air atteignant ses poumons, Edmond n’avait plus que cet objectif en tête. Nager .
Son genou racla soudainement contre une surface dure. Sans même y penser, Edmond se retourna et s'accrocha à l’objet qui se présentait. La pierre, froide et glissante sous ses doigts, ne bougea pas. Des bouts s’effritèrent, peut-être, mais trop peu pour stopper son avance frénétique comme il se hissait, désespéré, à cette bouée inespérée de l'océan.  
Une fois arrivé en haut, il s’écroula, la respiration sifflante. Le rocher qu’il avait frappé était en réalité un îlot de quelques mètres de large, sur lequel poussait de rares broussailles. Un peu plus loin, Edmond pensait apercevoir la bordure d’une île, mais le rideau de pluie rendait le paysage difficile à distinguer. Il pouvait encore entendre les vagues rugir à ses oreilles. Elles battaient rageusement autour de son refuge, comme endiablé par la perte de leur proie. 
Edmond rassembla ses forces pour se traîner un peu plus loin de leur portée, juste par précaution. Il atteint une des broussailles, et trouva son pied confortable. L’amas de branche protégeait quelque peu du fouet de la tempête, et le lit de feuilles mortes était aussi confortable que la paille du cachot qu’Edmond venait de quitter. Ses plumes, qui s'étaient gonflées sous l'effet du froid maintenant qu'elles n'étaient plus immergées, feraient une parfaite; si légèrement humide; couverture.
Exténué, tremblotant, il se roula en boule et s’endormit.
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