#mieux vivre ensemble
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bechirhouman · 19 days ago
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Comment se comporter face à une personne aigrie ?
L’aigreur n’est jamais un trait de caractère inné ; elle émerge souvent à la suite d’expériences douloureuses et de ressentiments mal digérés. Plusieurs facteurs peuvent en être à l’origine : Des blessures non cicatrisées : Les échecs, les rejets, les injustices ou les attentes déçues laissent des cicatrices émotionnelles qui, si elles ne sont pas traitées, alimentent un regard amer sur le…
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retrogeographie · 2 months ago
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St-Pol-sur-Ternoise, la cité "Mieux-vivre".
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ludivinevanckerwisky · 9 days ago
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"De leurs griffes à tes bras"
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Résumé : Alex, brisée par des relations abusives, tente de fuir après une nuit avec Spencer. Il la retient, patient et aimant, tandis qu’elle affronte les souvenirs d’un passé marqué par la soumission et la douleur. Peu à peu, il lui montre qu’elle mérite mieux.
Avertissements :Thèmes de traumatismes passés, relations toxiques, consentement, et reconstruction émotionnelle.
--- La chambre était plongée dans une douce pénombre, seulement troublée par la lueur vacillante des bougies.
Alex se redressa lentement, laissant glisser ses jambes hors du lit. Elle tira le drap autour d’elle, son esprit en proie à des pensées confuses.
Elle connaissait ce schéma par cœur : la passion, suivie de la distance, puis le départ inévitable. Pourtant, cette fois, alors qu’elle s’apprêtait à quitter la pièce, une voix douce, empreinte de chaleur, l’arrêta.
« Alex. » Elle se figea, ses épaules se crispant légèrement. Spencer était éveillé, ses yeux reflétant une tendresse teintée d’inquiétude.
« Tu vas où ? » demanda-t-il doucement en s’asseyant dans le lit, la couverture glissant sur ses hanches. Elle détourna le regard, serrant un peu plus le drap autour d’elle.
« Je... Je pensais te laisser un peu de temps. » Spencer tendit une main vers elle, son ton calme mais insistant. « Du temps pour quoi ? »
Alex hésita.
« Pour partir », murmura-t-elle, évitant son regard. Il attrapa délicatement son poignet, l’attirant doucement vers lui. « Je ne vais nulle part, » souffla-t-il, ses yeux cherchant les siens.
Elle resta immobile un instant, tentée de reculer, de fuir comme elle l’avait toujours fait. Mais il ne la laissa pas s’échapper, l’entourant de ses bras d’une étreinte rassurante.
Elle pouvait sentir la chaleur de son corps, la sincérité dans chacun de ses gestes. « Pourquoi es-tu encore là ? » murmura-t-elle, sa voix tremblante.
Spencer posa une main sur sa joue, son regard ne vacillant pas. « Parce qu’après ce qu’on vient de vivre, je veux être là. Pas seulement pour le plaisir, mais pour ce que nous sommes ensemble. »
Ces mots déclenchèrent en elle un flot d’émotions qu’elle ne pouvait plus contenir. Des souvenirs qu’elle avait si longtemps enfouis refirent surface.
--- **Flashback :**
Elle était assise sur le siège passager d’une voiture luxueuse, le cuir froid contre sa peau. L’homme à côté d’elle lui adressait un sourire condescendant. « Tu es vraiment mignonne quand tu te tais, » avait-il dit en posant une main possessive sur sa cuisse. Elle avait voulu protester, mais les mots étaient restés coincés dans sa gorge. « Tu veux me faire plaisir, n’est-ce pas ? » Le regard insistant, les attentes implicites, la peur de décevoir... Elle s’était figée, obéissant sans réfléchir.
--- **Présent :**
« Je n’ai jamais eu de relations comme celle-ci, » murmura-t-elle, sa voix à peine audible. Spencer fronça légèrement les sourcils. « Qu’est-ce que tu veux dire ? »
Elle inspira profondément. « Les hommes avec qui j’ai été... tout était toujours à leur manière, pour leur plaisir. Moi, je n’étais qu’un moyen pour eux. »
Spencer sentit une colère sourde monter en lui, mais il la ravala, serrant doucement la main d’Alex dans la sienne.
« Tu n’étais pas un moyen, Alex. Tu es bien plus que ce qu’ils t’ont laissé croire. » Elle baissa les yeux, submergée par un mélange de honte et de soulagement.
--- **Flashback :**
Une chambre d’hôtel impersonnelle, la lumière tamisée. Elle était allongée, fixant le plafond, son cœur battant trop vite. L’homme au-dessus d’elle ne cherchait ni à comprendre ni à demander. « Ce sera vite fait, » avait-il murmuré avant de se pencher sur elle. Elle avait fermé les yeux, attendant que ça passe, s’efforçant d’effacer chaque sensation.
--- **Présent :**
Alex frissonna malgré la chaleur environnante. « Je pensais que c’était normal. Qu’on devait toujours dire oui. »
Spencer posa une main rassurante sur sa joue. « Ce n’est pas normal, et tu ne dois jamais te sentir obligée.
Tu comptes, toi, avant tout le reste. » Elle hocha la tête, les larmes perlant au coin de ses yeux. « Je sais… mais les souvenirs restent là. »
Spencer l’attira doucement contre lui. « Tu n’es plus seule. Et tu n’auras plus jamais �� affronter ça seule. »
--- **Flashback :**
Le claquement sec d’une ceinture qu’on retire. Le bruit du cuir tombant sur le sol. Elle, assise au bord du lit, incapable de bouger. ---
Un sanglot lui échappa, et Spencer l’enveloppa dans ses bras, murmurant des paroles apaisantes.
« C’est fini, tu es avec moi. Ici et maintenant. » Peu à peu, ses tremblements s’apaisèrent, et elle releva lentement la tête vers lui.
« Pourquoi es-tu différent ? » demanda-t-elle, sa voix emplie de vulnérabilité. Spencer sourit doucement, caressant sa joue.
« Parce que je tiens à toi, et je veux que tu comprennes que tu mérites le respect et l’amour. »
Il l’embrassa avec une douceur infinie, et elle sentit son cœur s’ouvrir un peu plus à la possibilité d’un avenir différent.
--- Plus tard, lorsqu’ils étaient allongés dans le silence, Alex traça des cercles sur la peau de Spencer du bout des doigts.
« J’ai peur, » avoua-t-elle doucement. Il serra sa main.
« Je sais. Mais on prendra notre temps. Je suis là, et je ne vais nulle part. » Un léger sourire apparut sur ses lèvres. « Merci... pour tout. »
Spencer l’embrassa sur le front, puis sur les lèvres, mais cette fois, il n’y avait ni précipitation ni besoin d’aller plus loin.
Il y avait juste eux, et la promesse d’un lendemain sans ombres. Dans la chaleur de ses bras, Alex sentit que, peut-être, elle pourrait enfin se reconstruire.
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camisoledadparis · 3 months ago
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saga: Soumission & Domination 326
João
Il attend 2 jours avant de me rappeler. J'aurais même attendu une semaine pour l'avoir. Heureusement sa réponse est positive. L'aide qu'il reçoit de l'association qui l'a tiré de sa favela est tout juste suffisante pour vivre même s'il est très reconnaissant à cette dernière. Et son côté catho le rends pas très à l'aise avec ses " protecteurs " ! Il m'assure qu'il sera plus libre avec ce que je lui propose qu'avec leur bienveillance surannée. Je lui dis qu'il est totalement libre envers moi. Même s'il refuse ma proposition, on restera en contact s'il le veut.
Il me dit que c'est la meilleure offre qu'on ne lui ait jamais faite. Je lui donne l'adresse du labo d'analyse et lui dis de me rappeler dès qu'il aura les résultats. 48 plus tard, il me dit être nickel et m'envoie la photo de la feuille de résultats.
On se revoit rapidement. Il veut savoir quand il commence, et quelles sont les conditions exactes de mon offre.
Dossier João :
Age : 20ans
Taille : 1m78
Poids : 78Kg de muscles sous une peau dorée/cuivrée en permanence (génétique : indien + black + blanc)
Sexe : 22 x 6, frein cassé
Parents : orphelin sorti de sa favela par une organisation caritative française
Pratique sexuelle : gay depuis sa puberté, quasi abstinent depuis son arrivée en France il y a 5 ans.
Sport : Capoeira en club, enseignant des premiers niveaux
Etude : 1ère année de Fac de Science (retard dû à son intégration en France et à la reprise de niveau scolaire)
Même si je connais maintenant son corps, je lui demande de se remettre nu devant moi. Je lui dis que même s'il ne se laisse déjà que peu de poil, je souhaiterais qu'il coupe court ceux qu'il laisse au-dessus de son sexe. Les aisselles, si cela ne le dérange pas de les épiler aussi, il conviendra mieux au standard de ma société. Comme il est OK, nous passons de suite à la salle d'eau du premier où il y a tout pour entretenir les surfaces de mes escorts. Je me charge de tondre à 5mm la touffe de João et épile ses aisselles. Le temps de faire quelques photos et il se rhabille. Je lui fais remarquer que ses vêtements sont trop cheap pour ma clientèle. Il s'excuse mais son budget est assez limité et à part les sous-vêtements qui sont neufs, il s'habille avec des vêtements fournis par l'association. Je comprends mieux sa touche ! Je lui dis qu'il n'y aura aucun problème. Avec ce qu'il va gagner, il va pouvoir se vêtir de neuf et de façon personnelle. Pour le travail, je lui dis que c'est moi qui habille en costume et en smoking avec bien sur les sous-vêtements qui vont bien avec (sa morphologie pas avec les fringues !!), les chemises et les chaussures. Il ouvre de grands yeux, il n'avait pas pensé à ça. Ayant un véritable stock de boxers, shortys et autres trunks de différentes marques, je vais en chercher une douzaine (ES, Addicted, Aussiebum, CK, CR7, 2xi...) et lui dis de choisir. Il connait quelques marques pour les avoir matées sur internet mais n'en avait jamais eu en main. Il se remet à poil et les essaye. J'ai bien choisi, ils lui vont tous, mettant en avant son service trois pièces et son fessier rond. Je prends un sac et les mets tous dedans avant de lui tendre. Il me remercie et vient m'embrasser pour. Comme il n'est pas habitué, je lui dis de passer samedi prochain pour qu'on fasse les boutiques ensemble.
Samedi : En fait PH et Ludovic nous accompagnent. On passe en premier chez mes vendeurs de " vêtements de travail ". On y passe une heure et demi à choisir 2 costumes, pour le smoking c'est plus rapide, il n'y a que la longueur de jambes à épingler. Nous en profitons pour acheter les chemises, cravates et noeuds papillon. Je me laisse tenter par trois nouvelles cravates que j'acquière pour nous même. La carte chauffe et ils me promettent de me livrer tout ça dans la semaine. On file ensuite dans des magasins plus casual et nous y restons 2 heures à " jouer à la poupée ". Quand on termine notre shoping, nous avons les bras chargés de sacs. João a bien essayer de nous freiner mais c'était peine perdue ! Il est habillé pour l'hiver, en jeans de marque comme en polos, pulls et blousons.
En partant, nous passons à la colocation. Nous y trouvons mes deux " Com ". Ils ne s'étonnent pas que je ramène un autre escort. Ils nous font visiter. Ils ont mis de leurs identités dans la déco. João me demande si c'est là que je lui propose de vivre au lieu de sa cité U. Comme je confirme, les deux autres l'accueillent plus chaleureusement. Ils l'abreuvent de tant d'informations sur leur organisation de vie que je mets le holà. Ils lui demandent dans quelle fac il va et, sachant laquelle, ils lui donnent déjà la ligne de bus à prendre pour y aller. En attendant qu'il s'y installe définitivement, nous rangeons ses nouvelles affaires dans le placard de sa nouvelle chambre. Puis nous rentrons au Blockhaus. Je compte bien garder João tout le WE.
S'il est prêt coté poil, il ne l'est pas encore pour la relation sexuelle avec mes clients. Comme la nouveauté qu'il introduit dans mon équipe est suffisante pour que sa première fois soit lucrative, je peux le préparer sérieusement coté sodomie. Je ne veux pas qu'on me le casse à sa première prestation !
Il ne sait comment me remercier pour tout ce que je fais pour lui. Il comprend quand je lui dis que c'est juste un investissement. A ce propos, je vais l'inscrire au permis il ne pourra pas toujours se déplacer par des transports en commun. En attendant il utilisera les services des Taxis. Ça passera en charge comme les voitures. La soirée se passe à l'écouter parler de son pays. Même s'il est sorti de sa favela, il y a passé de bons moments, même s'il n'avait qu'un seul vieux short à se mettre sur les fesses.
Ludovic lui demande comment il avait su pour son homosexualité Il nous raconte alors sa prise en charge, lors de la mort de ses parents, par un clan auprès duquel il a appris la Capoeira et l'amour auprès de son chef, un métis de 25 ans. Il l'a protégé des drogues et des tatouages tribaux, de la délinquance armée et de l'exploitation sexuelle dans lesquelles, les gens de son type tombent souvent. Il l'avait même inscrit à l'école du curé.  Quand il s'était fait descendre par un clan adverse et que seul survivant du clan, il avait été attrapé par la police, il avait échoué à 100% dans les pattes du curé local. C'est par lui qu'il s'est retrouvé en France. D'origine française contrairement aux autres prêtres souvent portugais, il s'était arrangé avec cette association pour trouver une place en France. Tant mieux pour moi !
Ludovic, toujours curieux, lui demande comment il arrivait à maitriser ses pulsions depuis son arrivée. João est en confiance. Il nous explique que beaucoup de branlettes et quelques pipes quand dernièrement il osait aller dans les lieux de dragues. Mais que c'était quand même un peu la misère sexuelle. Il regrettait souvent sa vie avec son chef de gang. Gentiment il ajoute " un peu moins depuis que je vous connais ". C'est gentil !
Samir a cherché sur internet des recettes de là-bas et nous sert ce soir-là un premier essai. João est touché par l'intention même si le résultat n'est pas à la hauteur de ce que notre cuisinier espérait. C'est pas mauvais mais pas fantastique non plus. João lui donne quelques conseil et lui dit que la prochaine fois, il cuisinera avec lui.
Nous passons la soirée tous les 4. Pas de film sur la télé ni de cinéma. Nous passons 4 heures à faire l'amour et à le baiser. Il kiffe trop ça et nous aussi. Sa peau est douce et ses lèvres appellent le baiser. Elles sont aussi très " chaudes " quand une bite les écarte ! Sa rondelle est pareille quand on s'enfonce dedans. Il apprécie de plus en plus la sodo. Faut dire que nous nous y mettons tous les trois pour lui rappeler combien c'est bon. Il nous a pris tous les trois bien longuement avant de jouir. Sa résistance augmente et il reprend confiance en lui. Ses 22 sont aussi très agréables à prendre dans le cul et Ludo comme PH sont d'accord avec moi. Il a une façon de bouger en vous très excitante, son roulé de hanche !! Et si on ne se concentre pas un peu, il vous ferait jouir en 10/15mn !
Nous avons juste le temps de nouer les kpotes avant de nous écrouler de fatigue. Le réveil est poisseux ! Bousculades pour nous doucher alors qu'il y a la place pour nous 4 sans problème. C'est seulement avec une serviette autour des reins que nous montons prendre le petit déjeuner. Jona nous rejoint vers 10h30 pour établir le programme sportif de João et voir avec lui comment intégrer des cours de Capoeira.
Je les présentes. João sent très vite à qui il a à faire. Alors que je n'ai rien dit concernant les activités particulières de mon coach sportif, João a pris sa mesure et son comportement change imperceptiblement. Quand Jona lui demande une démonstration de Capoeira version " survie ", João se lâche et il est heureux que Jona se soit encore amélioré cet été. Les coups pleuvent et Jona encaisse, parant et reculant quand il n'avait pas le choix. C'est autre chose que les passes que j'ai pu voir au club. Là-bas, elles ressemblaient plus à une chorégraphie qu'à un combat. Jona demande un temps mort. João se redresse en sueur. Il s'excuse d'avoir été pris par le " jeu " mais c'était la première fois qu'il pratiquait façon " favela " depuis qu'il avait quitté Rio. Jona écarte les excuses qui n'avaient pas lieu d'être et commence à discuter technique. João peine parfois un peu avec les termes techniques mais ils finissent par bien communiquer tous les deux. On les laisse et entamons nous aussi notre décrassage physique. Tout en soulevant des poids, je laisse trainer mon oreille de leur côté. Jona est déjà en train d'intégrer la Capoeira. C'est d'autant plus facile qu'il retrouve une bonne part de ce qu'ils ont appris l'été dernier. Et quand il me demande comme partenaire pour une démo devant João, ce dernier confirme. Il retrouve certaines parties propres à son sport de combat. Il capte vite ce que les autres techniques apportent en efficacité et dangerosité. En riant il nous dit qu'il ne doit pas falloir nous embêter quand on nous croise en groupe ou même tout seul ! Sans entrer dans les détails, Ludovic confirme que nous réglons nos problème nous-même. C'est plus rapide et plus économique pour la société, pas d'enquête ni de procès à rallonge. João se tourne vers moi pour avoir confirmation. Je lui dis qu'il n'est pas tombé dans un nouveau gang. C'est juste que quand ce n'est pas nécessaire de faire participer la police c'est mieux. Et que c'est vrai, ce n'est pas parce qu'on est gay qu'on se laisse marcher sur les pieds.
Il me dit que ça lui va aussi. Par contre son visa temporaire l'oblige a plus ce circonspection. Je le comprends bien.
Je me promets de voir avec l'organisation qui l'a fait venir si on peut trouver une solution plus permanente.
La séance de sport nous laisse ne sueur. Je sonne la fin et nous passons sous les douches avant d'aller tremper dans la piscine de cet étage. L'eau y est plus chaude que dans les autres car elle ne nous sert plus que comme énorme jacuzzi depuis que la piscine de la serre a été construite. Les bras sur les rebords, nous nous détendons. J'entends João dire que c'est le paradis. Quand même pas, mais pas loin peut être !!
François nous rejoint pour déjeuner. De retour d'un contrat, il arrive direct et porte encore son smoking de la veille. Il monte nous dire bonjour avant de descendre au premier se changer. Comme Jona l'accompagne, je leur dit de ne pas prendre trop de temps quand même, sinon le repas serait froid. Ils auront été brefs et nous reviennent après 20mn seulement.
Pendent le repas, François nous parle de sa prestation. João l'écoute, concentré sur ce qu'il dit. Je lui demande s'il avait eu une gratification supplémentaire. Il sort alors une enveloppe de sa poche et la fait passer à Jona qui s'interrompt de manger pour compter les billets. Quand il annonce 1000, João s'écrie " en plus du salaire ? ". François lui répond en riant que bien sûr c'est en plus. Et qu'il ne s'inquiète pas. Lui, avec sa tête, s'il n'était même que moitié aussi bon qu'eux autres, il est sûr de s'en faire autant. Sans compter le bonus de sa première prestation.
Comme je ne lui en avais pas encore parlé, je précise ce que François entendait par là.  Il hallucine quand j'avance un montant probable et que je lui dis que c'est net pour lui.
Ludovic appelle sa mère pendant le café. Il voulait savoir si elle ne connaissait pas quelqu'un dans l'association caritative, après tout elle passe une bonne partie de son temps dans ce genre d'occupation elle aussi. C'est tout content qu'il nous annonce que non seulement elle en connait le président mais qu'en plus elle en fait partie. Avant qu'il coupe, je lui demande de me prendre un rendez-vous avec elle. Je n'ai que 2 ans de plus que lui mais je me sens une âme de grand frère avec lui. (Et oui, même si nous baisons ensemble de temps en temps. C'est pas moi qui aie inventé l'inceste mais ça existe !).
La fin d'après-midi est étrangement non sexuelle, juste reposante pour bien démarrer la semaine.
Durant cette semaine-là, João informe l'association de son changement d'adresse. Et intègre la colocation. Il est très content de revivre en communauté. C'est là chose qui lui manquait le plus de sa vie d'avant. Jamais il n'avait été aussi seul que depuis son arrivée en France. Au Brésil, il était le 5ème de sa famille et après, il n'y avait jamais moins de 10 personnes autour de lui et du chef.
Les deux autres sont contents aussi, il leur a déjà cuisiné un plats de chez lui qu'ils ont trouvé trop bon. Ils se chargent aussi de corriger ses fautes de français mais pas son accent chantant. Le déménagement de sa chambre a été rapide, deux valises plus ses livres de cours ! La 300C a suffit et en un seul voyage !
J'accompagne Ludovic un soir pour voir sa mère. Elle m'explique en quoi consiste l'association qui s'est chargée de faire venir João. Ludovic lui explique que je lui ai trouvé un petit travail et qu'il va bient��t être indépendant financièrement. Elle s'étonne et nous dit qu'il doit quand même poursuivre ses études jusqu'au bout. Là-dessus je m'y engage. D'un autre côté cela va dégager des fonds pour un autre cas.
Elle me dit qu'elle en fera part à la secrétaire et que João n'aura qu'à passer leur signifier sa nouvelle adresse, pour qu'ils puissent continuer à le suivre. Je laisse glisser. Il sera toujours temps pour João de couper les ponts plus tard. Quand nous allons pour partir, Enguerrand dévale l'escalier pour nous saluer. Il me tombe dans les bras et me fait un gros bisou. Sa mère l'excuse et me dis que depuis trois semaines, elle ne le reconnaît plus ou plutôt elle retrouve son enfant qui a enfin terminé sa crise d'adolescence. Comme il est encore contre moi, je passe ma main dans ses cheveux et les ébouriffe en ironisant "hé bien mon petit, on s'est finalement calmé ". Il éclate de rire et passe dans les bras de son frère. Le jeudi soir, je suis avec João dans mon bureau. Il m'a pressé pour que je le fasse travailler. Il me dit qu'il vit à mes crochets et que ça le gène. J'ai beau lui dire de ne pas s'inquiéter, il m'a tanné jusqu'à ce que j'accepte. Il voit sa fiche pour la première fois. Il trouve les photos bien faite et me demande en rigolant qui est le mec dessus. La fiche est envoyée à mes clients. Les retours sont rapides, je les avais prévenus qu'un nouvel escort atypique venait d'intégrer ma boite. Même si le rendez-vous est pour dans 2 semaines (le temps de finir de préparer mon João), les offres se bousculent. Son physique brésilien affole le réseau ! Comme d'habitude, un ralentissement se produit après une demi-heure. La relance est facile, j'ajoute deux nouvelles photos où il apparait nu de face comme de dos. Nouvelle demi-heure de folie. A mes côtés João est scié par le montant qui ne cesse de croitre au bas de l'écran. Quand les chiffres s'arrêtent de bouger, ils ont atteint la plus belle enchère de puceau jamais réalisée. Par contre le client est dans la partie haute du classement en taille de bite. Je devrais le préparer pour un calibre 25x6,5.
Je sors la fiche client et la donne à João.  Il la lit et s'aperçois du boa qu'il va devoir apprivoiser. Lui est un brésilien des favela pas de la forêt amazonienne et les boas c'est pas son truc, même s'il m'avoue qu'il ressemble assez à celui de son " mentor " en blanc puis il ajoute en plus gros quand même.
Je le rassure et lui dis qu'il n'y a rien qu'une bonne préparation ne peut arranger. Quand nous remontons et que PH apprend le nom du gagnant, il dit à João qu'il aurait pu tomber pire. Mais qu'il doit quand même bien se préparer.
Pendant les 15 jours qui vont suivre, il viendra 6 fois pour qu'on le mette à niveau. Là ce sera passage au sous-sol et il fera connaissance avec le donjon et sa collection de gode. Lavements plus graissage en quantité, plus poppers qu'il ne connaissait pas et sodos plus godes, il est rapidement au point où il s'en sortira sans difficultés le jour du rendez-vous. J'en profite aussi pour lui faire ouvrir un compte à la banque d'André et lui obtient une Visa en créditant le compte d'une avance sur honoraires.
Pour le rassurer, je l'emmène et l'attend. Il se débrouille comme un pro. Ses pipes sont convaincantes et sa rondelle élargie juste ce qu'il fallait pour que le client soit quand même serré dedans. La performance lui vaudra comme souvent un bonus intéressant. Quand je lui remets les billets dans les mains, il me les rend et me dit que ça couvrira une partie de ce qu'il me doit. J'éclate de rire et me dit que ça c'est déjà fait avec mon pourcentage. C'est donc tout pour lui. Il n'en revient pas. Nous repassons par le Blockhaus. Tout fier il dit à PH combien le mec lui a donnée en plus. PH sourit et lui dit que c'est uniquement parce qu'il a été très bon. João se tourne alors vers moi et me roule une pelle de remerciement. Puis il s'écarte violemment et s'excuse auprès de PH. Eclats de rire de ce dernier qui lui dit qu'il n'y a pas de malaise, il sait bien que mes escorts m'aiment tous un peu.
Les 3 semaines en immersion presque totale avec João nous ont fait l'apprécier encore plus. Sa simplicité toute brésilienne, la chaleur qu'il met dans ses rapports humains (et oui pas que sexuels), réchauffe le blockhaus plus sûrement que le chauffage au sol. Son accent ensoleille la maison et lui-même semble heureux de sa nouvelle situation. Je crois qu'il retrouve un peu de cette ambiance de groupe masculin dans lequel il a passé sa jeunesse. Il se sent aussi protégé du monde extérieur par notre présence et sait qu'il peut compter sur des amis qui le comprennent vraiment. Pas juste des gens pleins de compassion pour son état d'orphelin de favela. Il a passé 5 ans sous ce régime de " protégé de l'église " et ça lui pesait beaucoup, même s'il leur en était reconnaissant.
Il s'épanoui avec nous comme il ne le pourrait pas avec eux. Même le dirigeant du club où il officie n'avait pu percer sa carapace comme nous, nous avons pu le faire. Méfiant et un peu timide, il n'avait jamais osé se confier avant nous.
C'est un honneur qu'il nous fait et il ne m'en est que plus cher à mon coeur. 
Jardinier
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ptns-orageuses-rpg · 2 months ago
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TW — drogue inventée (légère mention), oppressions (mention).
LES CATACOMBES
Il y a eu la cruauté, les discriminations ; et devant la haine, on s'est organisé là où on ne nous trouvera pas. Les communes altérées se construisent comme des oasis, cachés des non-altéré·es, où on peut vivre en paix. La plus connue, Providence, se dresse en cathédrale géante au-dessus du Point Némo. Elles sont, toutes, autogérées ; c'est-à-dire que les altéré·e·s les composant en prennent les décisions ensemble. En France, il en existe deux : une perdue dans les Alpes, l'autre située dans les Catacombes de Paris. Les galeries ne s'ouvrent que pour nous. Les non-altéré·es ont leur partie, on a la notre. Nos catacombes sont aménagées. Il y a des échelles pour les explorer, des appliques au mur pour les éclairer. Sur les carrefours, des pancartes ; mieux vaut quand même y descendre avec quelqu'un qui s'y connaît déjà pour éviter de se faire avaler tout rond.
POINTS NÉVRALGIQUES
C'est comme des lieux de rencontres ; des endroits où les galeries finissent par déboucher. Ils forment des petits villages, avec une bonne hauteur sous plafond, où l'on se sent presque pas sous terre. Certains cultivent même de la végétation ; c'est le cas du Refuge de Bescel.
LA COUR DES MIRACLES Zone de non-droit où on fait la loi. L'endroit où ta mère t'interdit d'y aller. Non, mais ; il y a des petites boutiques sympa à côté des boites de nuit et des bars. La nuit, tout le monde s'y rend pour s'éclater le crâne, se bruler les sinus, se percer les tympans. La journée, tout est fermé : la cour des miracles reste vide jusqu'à la tombée de la nuit, elle se remet de sa gueule de bois. Là-bas, t'y trouves tes meilleurs potes, des gens qui fêtent toutes sortes de choses ; des types recherchées par la loi, en cavale depuis 40 ans. Il y a plein d'histoires qui se racontent là-bas, plein d'histoires qui s'écrivent aussi.  C'est aussi le paradis parfait pour l'Érythryle et pour celles et ceux qu'organisent une révolution sans paillettes, mais avec beaucoup d'artifices.
LES THERMES Des galeries inondées ; où l'eau, purifiée et chauffée, permet de s'y baigner. C'est bas de plafond, mais bien éclairé. Des altéré·es y vivent, dans des alvéoles, mais c'est surtout l'endroit où celles et ceux qu'ont besoin de flotte pour respirer peuvent se reposer. On s'organise, comme on peut, pour aller les voir, leur parler ; faire des soirées. On commence à y faire pousser des plantes, à décorer l'endroit, mais ça reste bien sommaire : on en est qu'au début.
LE REFUGE DE BESCEL Le bâtiment, en Art déco, serpente dans les galeries, les ouvrent, les embellit. Il y a une partie à la surface, un dôme de verre pour laisser passer la lumière sur les jardins. Ses bras sont bâtis de vieilles pierres, l'acier se rouille, se fait vieux. Mais il y a un odeur de confort dans la poussière qui s'y repose. À l'intérieur, il ressemble à un orphelinat bloqué dans le temps. Il y a des rires, des pleurs quelques fois, mais tout le monde essaie de rendre l'endroit joli. C'est un effort commun, de toute la communauté, pour qu'il tienne debout. Et putain qu'il est précaire son équilibre. Certain·es altéré·es se la jouent profs, d'autres toubibs ; certains sont payés, travaillent jour et nuit là-dedans, d'autres viennent lorsqu'iels ont le temps. Ça arrive que des gens malintentionnés essaient de s'en prendre à la bâtisse. Et pour ça, t'as des types de la Cour des Miracles qui en assurent sa protection.
Il y a beaucoup d'animaux dans le refuge : des chats et des chiens, surtout. Le Refuge de Bescel a un partenariat avec la SPA. Les cabots aident souvent les altéré·es, il est pas rare d'en dresser certains pour qu'ils deviennent de véritables alliés. Les chats, eux, permettent à certains pensionnaires de trouver un peu de calme. Ça apporte un soutien, de la vie et un peu de réconfort.
À NOTER : Pour les altéré·es handi·es, on a creusé des galeries pour elleux. Elles sont sans échelles, avec des pentes plus abordables et des aides pour s'y déplacer. Si ça reste trop compliqué, on s'organise. Il y a des altéré·es spécialement formé·es à descendre celles et ceux qui peuvent pas le faire seul·es. Ça s'organise entre les concerné·es, c'est plutôt bien foutu et c'est dans l'écoute du respect et des besoins de chacun.
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chifourmi · 2 months ago
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On se déchire à cause du voyage. On s'était déjà quittés une fois puis on s'est remis ensemble. Là on s'est de nouveau quittés. On est tous les 2 complètement paumés. On sait qu'il n'y a pas de bonne solution, dans tous les cas on va souffrir. On pense une chose puis le lendemain on en pense le contraire. On ne sait pas ce qui nous ferait le moins souffrir. Il ne s'imagine pas vivre une relation à distance pendant 6 mois, c'est au delà de ses forces. D'ailleurs on a compris qu'absolument tous les problèmes qu'on a eu tournaient autour de ce fichu voyage. Tout était simple, doux et léger jusqu'au moment où j'ai commencé à concrétiser mon voyage. C'est là que tous les problèmes sont arrivés. Ses problèmes de désir, le fait qu'il ait du mal à se projetter,... Il voit ce voyage comme quelque chose d'absolument insurmontable. D'un côté il veut me revoir et faire comme d'habitude mais d'un autre côté il a toujours ce voyage en tête et ça le fait énormément souffrir de se rapprocher de ma date de départ.
On sait qu'au fond le mieux est de se quitter puis au pire on verra ce que la vie nous réserve à mon retour. Mais là on arrive pas à s'éloigner l'un de l'autre parce que putain on se sent forcés. On s'aime mais la séparation sera inévitable. J'ai l'impression de vivre une histoire à la Roméo et Juliette.
J'en veux trop à la vie que ma rencontre avec lui arrive en même temps que mon voyage. En plus je sais que si j'étais partie moins loin, il aurait voulu continuer. Là toutes les conditions sont atroces. Le vol de 20h, le décalage horaire de 12h, le vol qui coûte un bras. Mais bref, je vais pas commencer à parler de regrets.
Puis on était tellement imparfaits tous les deux. On était clairement pas prêts à être en couple à la base, on était chacun toxique à notre manière. Mais qu'est-ce qu'on a évolué ensemble. C'est ce que je trouve le plus beau dans notre relation, on a tout construit petit à petit. On a toujours eu conscience qu'on était imparfaits mais on a su se remettre en question et ne plus recommencer nos schémas toxiques. On a appris à être meilleurs individuellement et ensemble.
Je suis vraiment dégoûtée que ça se passe comme ça. Sans mon voyage, on aurait vécu quelque chose de tellement beau. Enfin, on a vécu quelque chose de très beau. Mais avec beaucoup d'insécurités et d'angoisses quand-même.
(11/12/2024)
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thankyouforthememoriesworld · 4 months ago
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Je ne vois pas de bague sur les photos où elles sont ensemble après la finale, par contre je l'ai vue quand elle est allée au stade soutenir Gabby , peut être que vous avez raison de penser cela et tant mieux si elles le sont, car elles sont vraiment sympathiques et talentueuses , par contre leur carrière ne leur permet pas beaucoup de se voir , à part en équipe de France, cela doit être dur à vivre .
J'ai hâte de voir leur confrontation quand les équipes vont se rencontrer en match , se sera presque un match franco/français , Fenerbahçe à l'air d'avoir une équipe très solide, mais Di côté de Mersin les trois françaises sont habitués à jouer ensemble, se sera un sacré match .
J'espère que la cheville de marine va aller bien et qu'elle pourra jouer
Je pensais que vous aviez déjà vu les photos de cette soirée mais voilà celle où on voit la bague. Elles s'organisent pour être dans le même club (quand elles étaient à Lyon) ou alors dans le même pays avec pas trop d'heures de voyage (en ce moment en Turquie).
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Les confrontations entre Fener et Mersin devraient nous donner des matchs impressionnants 🔥. On espère tous que la cheville de Jojo ne soit pas trop touché.
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pourlemeilleur · 4 months ago
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je me sens mieux au travail, enfin je me sens mieux dans la vie en général depuis cet été, j'aime toujours pas ce que je fais mais j'aime y aller pour mes collègues. Ceux que j'apprécie. Il y en a un avec qui on fait du sport ensemble. Certaines personnes avec qui je vais boire des verres. Une collègue m'a même invité à manger dans un restaurant gastro le mois prochain et ensuite finir avec un lancé de haches (ça n'a aucun sens 😭). Même avec mon équipe, je me sens + ok de parler.
Deux personnes m'ont dit "alors tu fais quoi après ton contrat ? tu prolonges j'espère ? ce serait bien. Ou tu as prévue de repartir ?" et honnêtement j'ai rigolé nerveusement, en disant que je prenais ce qu'il y avait à prendre, bien qu'au fond de moi je sais que c'est temporaire. Parce qu'il y a ma formation café. Et je vais pouvoir me renseigner dessus avant la fin d’année puisque je serai dans la ville en question. J'ai toujours envie de vivre à Montréal. Ou l'Australie. Je sais vraiment pas où je serai l'année prochaine, ça me tracassait énormément pendant un temps, et aujourd'hui je vis juste au jour le jour. Je me suis encore inscrite pour le pvt, et on verra ce qui s'en suit. Si ça se fait pas, ce sera l'année d'après. Si je dois prolonger, je prolongerai. Si je dois être barista, je le serai. Chaque chose arrive pour une raison. (Mais j'espère faire quelque chose que j'aime, et surtout dans un endroit où je serai épanouie, genre barista à Montréal..... je dis ça je dis rien)
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lisaalmeida · 1 year ago
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Depuis que je la connais, je ressens des trucs hallucinants
Et je me dis souvent que j'ai eu de la chance de lui avoir plu, sinon
J'aurais jamais su qu'un rire pouvait arrêter la Terre tourner
J'aurais jamais su qu'un regard pouvait habiller mes journées
Je comprends pas tout ce qui se passe, y'a pleins de trucs incohérents
Depuis qu'elle est là rien a changé, mais tout est différent
Elle m'apporte trop de désordre, et tellement de stabilité
Ce que je préfère c'est sa force, mais le mieux c'est sa fragilité
Ce n'est pas un texte de plus, ce n'est pas juste un poème
Parfois elle aime mes mots, mais cette fois c'est elle que mes mots aiment
Je l'ai dans la tête comme une mélodie, alors mes envies dansent
Dans notre histoire rien est écrit, mais tout sonne comme une évidence
J'ai redécouvert comme ça réchauffe d'avoir des sentiments
Et si tu me dis que c'est beaucoup mieux de vivre sans, tu mens
Alors je les mets en mots et tant pis si mes potes me chambrent
Moi je m'en fous, chez moi y'a une sirène qui dort dans ma chambre
J'avais une vie de chat sauvage, elle l'a réduite en cendres
J'ai découvert un bonheur tout simple, c'est juste qu'on aime être ensemble
On ne calcule pas les démons du passé, on n'a pas peur d'eux
Moi si un jour j'suis un couple, je voudrais être nous deux...
Grand corps malade
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au-jardin-de-mon-coeur · 1 year ago
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Le Lac Mc Donald dans le Montana, n'a certainement pas besoin d'aide pour être beau, mais avoir un rivage coloré ne fait certainement pas de mal !
La couleur des roches est déterminée par la présence du fer. Par exemple, les roches vertes ont été formées en eau profonde, ce qui signifie qu'elles ne contiennent pas beaucoup de fer.
Les roches rouges, par contre, ont été déposées dans un milieu océanique peu profond où le fer était oxydé par l'air avant qu'il ne se rende au lac.
Ma pensée du jour...
Un cœur qui tend à l'émerveillement, sentira battre la splendeur de la vie, en lui, par lui et avec lui...
Paix, amour et joie sur votre lundi...
Prenons soin de nous pour mieux prendre soin de notre prochain, et donnons-nous la main pour un vivre ensemble meilleur...🙏🫶🌻
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iranondeaira · 1 year ago
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Et encore on va vers l’été …
Blague à part, bon vent et belle mer à tous, « longue vie et prospérité 🖖 » comme dirait l’autre et que que la force soit avec vous …
🎶 nous vivons une époque épique mais nous n’avons plus rien d’épique 🎶 disait l’autre , « tout ce que nous avons à décider, c’est ce que nous devons faire du temps qui nous est imparti » lancerai un vieil errant gris … l’horizon s’assombrit lance un vieux marin sur le môle, une tempête arrive … il va falloir la chevaucher lâche laconique un vieux guerrier aux yeux bleus ou apprendre à surfer balancerai un sale môme … « à nouvel an, nouvel élan » lui répondrait une optimiste … « Et comme ton bonheur dépend tout de tes voeux, songes-y bien avant que de les faire. » raconte un conteur … si au moins on pouvait "Apprendre d’hier, vivre pour aujourd’hui, espérer pour demain." pose au tableau un vieil homme qui tire la langue … "Je vous apporte mes vœux. - Merci, je tâcherai d'en faire quelque chose." glousse un renard …
"Un optimiste reste jusqu'à minuit pour voir le Nouvel An. Un pessimiste reste pour s'assurer que l'ancienne année disparaît."
"Que cette année vous soit heureuse ; que la paix, le repos et la santé vous tiennent lieu de fortune " dit Madame
"Je vous souhaite tout ce que vous souhaitiez qu'on vous souhaite ... mais en mieux ! "
Miaule un chat
"Venir ensemble est un commencement; rester ensemble est un progrès; travailler ensemble est un succès." Jette un constructeur de voiture ( 😅 si vous saviez Sir le bordel aujourd’hui )
"Les problèmes du monde ne peuvent être résolus par des sceptiques ou des cyniques dont les horizons se limitent aux réalités évidentes. Nous avons besoin d’hommes capables d’imaginer ce qui n’a jamais existé."
- un président mort dans sa voiture
"Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns."
- grand Jacques
"Pour comprendre l’esprit et le cœur de quelqu’un, ne vous demandez pas ce qu’il a accompli, mais ce à quoi il aspire."
- un vieux sage enturbanné ( quelle ironie 😅)
"Lorsqu’un seul homme rêve, ce n’est qu’un rêve. Mais si beaucoup d’hommes rêvent ensemble, c’est le début d’une nouvelle réalité." ( c’est sans doute un peu de ce qui explique du cela d’aujourd’hui )
Le monde progresse grâce aux choses impossibles qui ont été réalisées." ( y a de ces progrès 🙃 aujourd’hui 😅 )
"A l'an que ven ! Se sian pas mai, que siguen pas men. A l'an qui vient ! Si nous ne sommes pas plus, que nous ne soyons pas moins."
- de Provence
"Il vaut mieux suivre le bon chemin en boitant que le mauvais d’un pas ferme." Disait un Saint
“Tous les hommes font la même erreur, de s'imaginer que bonheur veut dire que tous les voeux se réalisent.” - un homme de Russie
“Un jour, on aura besoin d'un visa pour passer du 31 décembre au 1er janvier.” … ils ont essayé … ils ont déjà inventé le désespoir à vendre …
“Si les Dieux voulaient exaucer les voeux des mortels, il y a longtemps que la terre serait déserte, car les hommes demandent beaucoup de choses nuisibles au genre humain.”
“Le meilleur moyen de rester en bonne santé, c’est de manger ce que vous ne voulez pas manger, de boire ce que vous ne voulez pas boire, et de faire des choses que vous n’aimez pas faire.” - Marc T
En cette nouvelle année, on ne demande pas grand-chose : du travail et de la santé.
- Albert
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retrogeographie · 11 months ago
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St-Pol-sur-Ternoise, la cité mieux Vivre.
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bloggingboutburgers · 8 months ago
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Vue que tu prend du temps a lire et que c'est yuri sont pas encore sortie, autant que je prenne de l'avance pour voir si ça te conviens! Je suppose que tu veux des histoires à lire sans romance? Un autre qui est très bien et court, c'est "chacun ses gouts" une vraie ode aux personnes dont le monde de vie et atypique. On a une otaku et un homme très effeminé qui se retrouvent a vivre ensemble et au lieu de faire un classique "elle cesse d'être otaku et il deviens plus viril pour finir ensemble" c'est au contraire une histoire qui montre plutôt leur cohabitation et surtout leur relation qui se tisse en faisant la cuisine
J'aime bien donné des rec. Ca rappelle qu'il y a plus de personne qui nous ressemble qu'on le pense :3
Et encore une fois je suis super contente que tu aille mieux ^^
Ooooo, celui-là fait très envie j'avoue 👀 Merci beaucoup pour la recommendation^^. Et pour les paroles positives, je sais qu'on était pas mal fatiguées de tout hier mais ça fait du bien de s'en rappeler...
Prends bien soin de toi !
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christian-dubuis-santini · 12 hours ago
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Deux réflexions de Georges Canguilhem sur la santé
«Les normes de vie pathologiques sont celles qui obligent désormais l’organisme à vivre dans un milieu "rétréci”, différent qualitativement, dans sa structure, du milieu antérieur de vie, et dans ce milieu rétréci exclusivement, par l’impossibilité où l’organisme se trouve d’affronter les exigences de nouveaux milieux, sous forme de réactions ou d’entreprises dictées par des situations nouvelles. Or, vivre pour l’animal déjà, et à plus forte raison pour l’homme, ce n’est pas seulement végéter et se conserver, c’est affronter des risques et en triompher. La santé est précisément, et principalement chez l’homme, une certaine latitude, un certain jeu des normes de la vie et du comportement. Ce qui la caractérise c’est la capacité de tolérer des variations des normes
auxquelles seule la stabilité, apparemment garantie et en fait toujours nécessairement précaire, des situations et du milieu confère une valeur trompeuse de normal définitif. L’homme n’est vraiment sain que lorsqu’il est capable de plusieurs normes, lorsqu’il est plus que normal. La mesure de la santé c’est une certaine capacité de surmonter des crises organiques pour instaurer un nouvel ordre physiologique, différent de l’ancien. Sans intention de plaisanterie, la santé c’est le luxe de pouvoir tomber malade et de s’en relever. Toute maladie est au contraire la réduction du pouvoir d’en surmonter d’autres. […] Il ne peut rien manquer à un vivant, si l’on veut bien admettre qu’il y a mille et une façons de vivre.» (Georges Canguilhem, La Connaissance de la vie, 1952)
«À partir du moment où "santé" a été dit de l’homme en tant que participant d’une communauté sociale ou professionnelle, son sens existentiel a été occulté par les exigences d’une comptabilité […]
L’élargissement historique de l’espace où s’exerce le contrôle administratif de la santé des individus a abouti, dans le présent, à une Organisation mondiale de la santé qui ne pouvait pas délimiter son domaine d’intervention sans publier, elle-même, sa propre définition de la santé. La voici: “La santé est un état de complet bien-être physique, moral et social, ne consistant pas
seulement en l’absence d’infirmité ou de maladie.” […] Ce discours est celui de l’Hygiène, discipline médicale traditionnelle, désormais récupérée et travestie par une ambition socio-politico-médicale de règlement de la vie des individus […] L’hygiéniste s’applique à régir une population. Il n’a pas affaire à des individus. Santé publique est une appellation contestable.
Salubrité conviendrait mieux. Ce qui est public, publié, c’est très souvent la maladie. Le malade appelle à l’aide, attire l’attention ; il est dépendant. L’homme sain qui s’adapte silencieusement à ses tâches, qui vit sa vérité d’existence dans la liberté relative de ses choix, est présent dans la société qui l’ignore. La santé n’est pas seulement la vie dans le silence des organes, c’est aussi la vie dans la discrétion des rapports sociaux.» (Georges Canguilhem, La Santé. Concept vulgaire et question philosophique, conférence donnée à Strasbourg en 1988)
Il est clair qu’aucun des télétoubibs, membres du Conseil pseudo-scientifique, journalistes ou politiques covidiotistes n’a jamais lu une ligne du plus grand philosophe français de la médecine…
Les champs sémantiques recouverts par les termes de "santé" et de "numérique" sont originellement disjoints et n’ont radicalement rien à faire ensemble, sauf à vouloir induire un forçage idéologique voué à la catastrophe humaine et sociale.
Le corps, c’est la part de "nature" qui entre dans la constitution du sujet.
Plus la "nature" (même étymologie que naissance) tarde à se venger des offenses commises contre elle, plus sa vengeance est cruelle…
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randomnameless · 7 days ago
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Coucou ! Pour le jeu de question des personnage, 1. 12 et 25 pour Catherine de FE si ça t'inspire ? Merci d'avance !
Salut!
Why do you like or dislike this character?
J'aime bien Catherine, pour pas mal de raisons, d'une parce que c'est l'une des rares persos qui ne va pas automatiquement suivre Billy parce que leur technique à l'épée l'impressionne, Catherine a sa propre histoire, ses propres loyautés et ne va pas tirer un trait dessus parce que Billy est super spécial (même si bon, le fait qu'elle rejoigne la campagne de Claude me parait quand même un peu bancale, même si le but avoué c'est de sauver Rhéa).
Et puis, on est sur un pseudo archetype des "chevaliers verts et rouges" qu'on trouve dans les autres FE avec Shamir qui fait le vert - même si je trouve que Cat est quand même mieux développée, ou au moins pensée, que les autres, je trouve que son histoire et sa loyauté envers Rhéa en font un personnage plus attachant et cohérent qu'un énième "chevalier sympathique et naif en duo avec chevalier taciturne mais sérieux".
J'aime bien ses soutiens aussi, ça participe à rendre le perso plus complet : Cat est un chevalier de l'ordre de Seiros, elle va boire et passer du temps avec ses amis chevaliers (Alois) et veiller sur eux, participer à l'entraînement de jeunes de l'académie parce qu'ils voient en elle un modèle (Caspar, Ingrid, Leonie) et, même, grâce à FEH, essayer d'expliquer à Flayn l'importance d'avoir un "partenaire" sur le champ de bataille.
Mais en plus du rôle de mentor, Catherine est bien au courant qu'elle choisi de vivre sa vie en tant "qu'épée" à cause des choix qui l'ont déchirée pendant toute l'affaire Christophe, et elle sait que dans l'absolu, ce n'est pas le meilleur choix à faire pour tout le monde, après tout elle essaie d'orienter Caspar dans ce sens avec leurs discussions sur la moralité de leurs actions, et du fait que parfois, un chevalier comme elle doit aussi tuer des civils/enfants -
(je me demande pourquoi ce soutien n'est pas dispo pour Caspar dans les routes où il rejoint Delagarde tiens!)
Bref, on est sur un personnage qui, je trouve, est assez complexe (enfin, dans l'échelle de complexité des jeux de Fodlan hein mdr) qui a une histoire et un développement cohérent, qui est sympatoche et une bonne unité de surcroît!
What’s a headcanon you have for this character?
Ses frères et soeurs lui écrivent souvent, même si elle a changé d'identité ils savent bien que "Catherine" reste leur grande soeur Cassandra. Ils utilisent d'ailleurs le surnom qu'elle avait à l'époque, soi-disant pour ne pas griller sa couverture, en l'appelant "Cassie", ce qu'elle trouvait, et trouve toujours, complètement ridicule.
Quand Shamir l'a appris, elle a explosé de rire, ce qui est tellement rare que personne n'a voulu le croire.
What was your first impression of this character? How about now?
Je me suis dit "tiens une unité pré-promue avec une arme attitrée et si je la recrutais tiens", mais bon, vu que ma première route c'était la route Dedel, ben... ça s'est jamais passé ^^
J'avais pigé qu'elle avait une sorte de lien avec Shamir, donc j'ai essayé de les faire se battre pendant la dernière carte (après avoir reset le jeu parce qu'elle avait réduit Bernie en bouillie) et dans le second run (neiges argentées) je me suis dit "ah tiens, en fait cette personne, c'est le chevalier de Rhéa! Sûrement qu'on va en apprendre un peu plus sur leur relations!" et, ben... ça s'est jamais passé non plus ^^
Bon grâce à FEH maintenant on sait qu'elles vont à la plage ensemble et que Cat ne voit absolument pas de mal à manger avec Rhéa, quitte à bousculer du monde pour se faire une place à ses côtés, donc vive le gacha pour ça!
Plus sérieusement, je la trouvais cool avant, et je reste sur la même idée - même si Fodlan met plus de billes sur les persos "étudiants" que ceux des chevaliers ou des membres de l'académie, je maintiens que Catherine est l'un des personnages les mieux foutus, que ce soit au niveau design ou histoire, de cet univers, et ses 3 pauvres soutiens dans Nopes n'ont fait que renforcer cette impression.
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ltalaynareor · 3 months ago
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Le balcon
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Alix de Tripoli observait avec inquiétude le visage pâle et affaibli de son ami. Depuis plusieurs jours, la lèpre qui le rongeait l'avait rendu presque incapable de se déplacer, le maintenant prisonnier dans son lit. Mais ce matin-là, il semblait y avoir un léger mieux. Baudouin avait retrouvé un peu de force et une lueur d'espoir brillait dans ses yeux fatigués.
"Je ne peux plus rester enfermé ici, Alix", murmura-t-il faiblement. "J'ai besoin de sentir le vent sur mon visage, de voir le ciel au-dessus de moi. Aide-moi à aller sur le balcon, s'il te plait."
Alix hocha la tête avec détermination. Malgré la gravité de la situation, elle savait qu'elle devait soutenir son ami dans ce désir simple mais essentiel. Elle l'aida à sortir du lit avec précaution, prenant soin de ne pas aggraver ses douleurs.
Ensemble, ils se dirigèrent lentement vers le balcon qui surplombait les remparts de Jérusalem. Baudouin respirait profondément l'air frais, les yeux clos, comme s'il se nourrissait de chaque sensation. Alix le soutenait, veillant à ce qu'il reste debout malgré sa faiblesse.
Le silence était entrecoupé par le bruit lointain des activités de la ville. Baudouin ouvrit enfin les yeux et sourit à son amie.
"Merci, Alix", murmura-t-il. "Merci de m'avoir permis de vivre ce moment de liberté, même si ce n'est que pour un instant. Je me sens un peu plus fort maintenant, grâce à toi."
Alix sourit à son tour, sentant un poids se lever de ses épaules. Elle savait que la lèpre ne reculerait pas, que le temps était compté pour Baudouin. Mais elle était déterminée à lui offrir tout le réconfort et l'espoir possible, jusqu'au dernier souffle.
Ensemble, ils restèrent là, sur le balcon, contemplant le monde qui s'étendait devant eux. Dans cet instant de paix et de complicité, ils étaient simplement deux jeunes confrontés à la cruauté de la maladie et à la fragilité de la vie. Mais ils étaient aussi des amis, prêts à se soutenir jusqu'au bout, dans la lumière comme dans l'ombre.
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