#primaire de gauche
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Pétition pour demander l’union des gauches aux législatives 👆
On ne devrait pas désespérer ! Avec le report des voix le système à deux tours est défavorable au RN et on a encore une chance de les bloquer, mais à condition de se mobiliser 💪
Parlez-en, partagez, signez et surtout votez ! Le 30 juin et le 7 juillet les électeurs du RN et de reconquête ne resteront pas chez eux. Ne les laissez pas faire ! Ne leur donnez pas l’occasion ne taper sur les plus fragiles, ne les laissez pas saboter toutes nos lois contre la crise climatique, détricoter l’état social, ruiner encore plus le pays pour enrichir les grandes entreprises !
Allez voter, et proposez des procurations à ceux qui ne peuvent pas !
#signez#votez !!#french politics#frpol#upthebaguette#up the baguette#bagaitte#élections européennes#élections législatives
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Victime de l’expérimentation gauchiste de ses parents, un redditeur fait le récit de sa vie ruinée.
Rappel : Augusto Pinochet n'a rien fait de mal.
Voilà un moment Reddit fr particulièrement Reddit et particulièrement fr.
Reddit :
J’ai des parents de gauche. Plutôt éduqués. Ma mère a fait 2 ans de fac et a passé sa vie dans la fonction publique, mon père a lui passé la sienne dans l’industrie avec France Inter ou France Culture en arrière plan. On a eu des livres à la maison, mais on avait quand même droit à pas mal de télé. A la maison, nos parents n’étaient pas suuuper disponibles pour compléter notre éducation, en revanche. Ça casse un peu le mythe de la réussite scolaire héréditaire : papa rentrait claqué du travail à 20h30 pour mettre les pieds sous la table, maman s’occupait de la maison pendant ce temps, puis travaillait parfois jusqu’à minuit parce que, contrairement à mon père, elle ne pouvait pas « fermer la porte et éteindre la lumière. » Il fallait trimer à la maison aussi, parfois une partie des week-ends. Pour moi comme pour mes frères, le primaire s’est bien passé. Petite école de banlieue relativement paisible de Marseille, un peu piégée entre deux quartiers très, très chauds. Ce sera important pour plus tard.
Note : « très, très chauds » veut dire saturés d’Algériens, mais le redditeur étant une créature humainement médiocre et lâche, il préfère utiliser des euphémismes pour ne pas être maudit et banni par les autres redditeurs.
C’est pour notre entrée en 6e que les choses se sont gâtées. On n’avait beau ne pas avoir été des enfants bulle complètement déconnectés qui débarquent au collège avec un pull noué autour des épaules, mais mes frères et moi avons juste été… complètement inadaptés. Anti-intellectualisme, violence, harcèlement de quiconque franchissait le portail avec un livre dans le sac à dos (en pleines annees Harry Potter, j’étais littéralement le seul à lire). Un de mes grands frères a été tellement harcelé qu’il en a fait des dépressions. L’autre se battait à peu près une fois par semaine. J’ai été le seul à aller au lycée. Ce collège, donc, se trouvait dans un des quartiers chauds. Pas le plus chaud, et c’était loin d’être la misère, mais c’était loin d’être jouasse. Il ne se trouvait pourtant qu’à 1km de mon école primaire. Je n’ai découvert que très, très récemment que ce n’était pas mon collège de secteur. Ni celui de mes frères. Ils avaient demandé une dérogation. Sinon, nous aurions été envoyés dans un autre collège peu ou prou aussi glauque. Mais tant qu’à faire, pourquoi ne pas m’avoir envoyé au collège affilié au collège lycée où j’allais être reçu en seconde ? Il était infiniment, mais alors infiniment meilleur. Ma mère m’a répondu : à l’époque, on tenait beaucoup à la mixité sociale.
Ruine la vie de ses enfants par conformisme social et idéologique. Estime qu’ils doivent faire preuve de gratitude pour les avoir plongés dans un enfer quotidien. Conscience aussi légère qu’une plume et aussi dure que de l’acier trempé allemand. Votera à gauche quoi qu’il arrive pour les droits de l’homme et sa retraite. N’a pas envie de voir ses petits-enfants plus d’une fois par mois et seulement deux heures.
Alors, parlons de la mixité sociale. Ou plutôt, de la mixité des niveaux culturels et, par conséquence, des attentes des profs. Quand je suis arrivé au lycée, j’avais eu plus de 18 dans la plupart des matières, et même 20 en anglais. En seconde, au premier trimestre, j’ai eu une moyenne de 12. Et c’était un lycée normal, public, pas spécialement sévère. Sauf qu’il me manquait à peu près la moitié des acquis. En anglais on avait passé 4 ans à faire en boucle les 150 verbes irréguliers (j’ai découvert bien plus tard qu’il y en avait plus, de surcroît…). Rien sur les phrasal verbs , aucun travail de compréhension orale, on regardait Mr Bean (c’est MUET) avant Noël… n’importe quoi. En français, on a bien fait le programme de grammaire, à la marge, mais alors la culture littéraire… je suis arrivé au lycée avec pour seul bagage culturel Giono, Pagol (lus jusqu’à la nausée parce qu’on était en Provence), Harry Potter, et la collection de SF des années 50 que mon père avait accumulée dans sa jeunesse. Même les élèves les moins instruits connaissaient au moins un Flaubert, un Zola, et peut-être 2 ou 3 poètes classiques. Moi, nada. Même pas un Victor Hugo. Dans les autres matières, c’était mitigé. On finissait le programme ni en SVT, ni en histoire géographie à cause des problèmes de discipline. En seconde, donc, je me découvre si médiocre qu’on envisage de m’envoyer en lycée pro. Moi qui avais, l’année précédente, 17 de moyenne ! Je l’ai extrêmement mal vécu. Il a fallu que je convainque mes profs, de langues notamment, de me laisser une chance et de me faire passer en L. J’ai dû trimer comme un malade. Mais je n’ai jamais rattrapé mon retard en culture G. Une fois qu’on est derrière, on ne repasse jamais plus devant les autres. Toutes les bibliothèques du monde, même à 4 bouquins par mois, ne font pas en 3 ans ce qu’on aurait dû faire en 7. Je ne savais même pas qui étaient Balzac ou Maupassant. À la fac, j’étais toujours le clampin de province qui n’avait pas lu Sartre, Simenon, la Bible, Huysmans ou que sais-je. J’ai bien développé mon propre répertoire au gré de mes lectures plus personnelles, des noms un peu moins connus comme Troyat, N’Diaye, Zamiatine ou Gombrovitz qui m’ont permis de ne pas complètement passer pour une bille pendant mes partiels. Ma stratégie, c’était d’être au moins capable de me démarquer. S’il a fait de tels détours, c’est qu’il maîtrise bien ses fondamentaux.
Le type raconte un peu n’importe quoi pour justifier sa glande intellectuelle.
Une personne avec un cerveau fonctionnel peut s’astreindre à un programme de lecture solide et avoir une culture générale raisonnable au bout de deux ans, sans problème. Le plus complexe est de comprendre ce qu’on lit et surtout le contexte dans lequel il a été écrit, mais ce n’est pas surhumain.
Ceci dit, la culture générale n’a pas d’utilité en dehors de la navigation mondaine. On peut vouloir naviguer en société pour diverses raisons, bonnes ou mauvaises, mais la plupart des gens n’en a rien à faire. Certainement pas les gens du peuple en général. Après, certains veulent se dégager des horizons intellectuels, découvrir des champs de la pensée, mais ce n’est pas le cas de ce gars. On apprend pourquoi ensuite, mais c’est un détail.
Arrivé à la moitié de son récit, ce mec n’ose toujours pas parler de la raison pour laquelle les profs cultivent le sur place chez les élèves de son secteur, raison pour laquelle ça l’a rendu durablement inculte : les bicots et les nègres.
Ça relève de l’exploit mental.
Le déni reste intact, la peur de subir l’excommunication de son milieu social est toujours aussi forte.
Estimez-vous heureux d’être totalement dégagé de ce genre de prison psychologique, cher lecteur raciste.
Alors, quand ma mère m’a dit que tout cela, toutes ces épreuves, c’était un sacrifice sur l’autel de la mixité sociale, j’ai eu matière à réfléchir. Parce que sur le papier je ne suis pas contre.
Mais concrètement, ça a donné quoi ? À quoi ma présence dans ces classes a servi ? À donner aux autres un modèle « d’excellence » qui avait pour seul mérite de faire docilement ses devoirs sous le sifflement de la cocotte minute tous les soirs ? Quelqu’un qui apprenait avec plus d’application ses putains de 150 verbes irréguliers ? Quelqu’un qui lisait jusqu’au bout la version ultra abrégée de l’Odyssee qu’on a étudiée 2 fois en quatre ans ? Est-ce que j’ai tiré qui que ce soit vers le haut en m’ennuyant à mourir dans un bordel infernal ? En étant le seul à participer ? A attendre avec trépidation qu’on me donne quelque chose, n’importe quoi, à faire. Quelque chose de vaguement intéressant, de vaguement difficile. Non. Je n’ai servi rien. Mon sacrifice a été parfaitement vain et j’aurais pu aller beaucoup plus loin dans mes études. Aujourd’hui, une partie de mes amis qui n’ont eu aucun mal à faire prépa, ma femme y compris, s’étonnent tendrement de la différence de culture G. Parce que trop occupé à découvrir au moins superficiellement les russes, les penseurs des Lumières ou les grands philosophes et poètes antiques, c’est dans un café que j’entends parler pour la première fois de François Villon ou de Louise Michel ou de Gramschi ou du Futurisme ou de Primo Levi ou de Fitzgerald ou des sœurs Brontë.
Louise Michel, Gramsci, Primo Levi : ce gars est cerné de bourgeois de gauche qui cultivent leur judéo-marxisme dominical confortablement installés dans leur quartier écolo-décroissant.
Tu connais pas Louise Michel ?!
Il en a même épouser une.
Imaginez l’emprise mentale. Il n’en sortira jamais. C’est comme une secte.
Me voilà papa d’une petite fille de deux ans et demi qui baigne dans les livres, qui apprend sans effort les plus courts par cœur et qui les « lit » à ses poupées, qui utilise correctement la particule négative et la première personne du pluriel. Elle vit dans un appartement rempli de livres de tous genres, dans un quartier où, au milieu de chaque parcs, il y a des boîtes à livres remplies à ras bord de bouquins intéressants et originaux. Bref. Une enfant de presque trois ans qui, avec la mere qu’elle a, et dans une moindre mesure le père, aura dans sa vie un immense privilège en termes de culture générale. Et en mentionnant cela à ma mère, rebelotte. « Dommage, là où elle est, on aura moins besoin d’enfants comme elle. » C’est peut-être parce que c’est ma fille, ou parce que j’ai du recul sur ma propre expérience, mais je n’en peux plus de cette vision utilitariste de l’éducation des enfants. Ma fille n’est pas une goutte de javel à diluer dans l’eau la plus sale possible. Elle a le droit d’avancer au rythme qui lui convient dans la vie, et il m’est complètement contre-intuitif, en tant que parent, de la contraindre à la stagnation par idéologie. Pour moi, à ce stade, c’est comme essayer de nourrir un bébé avec un régime vegan.
Bref. Voilà. Je pose ça là, sans vraiment avoir de conclusions politiques ou sociétales, sans non plus avoir de solutions pour les milliers de gamins qui savent à peine lire en 4ème. La seule chose dont je suis à peu près certain, c’est que la « mixité sociale » sous la forme de « un ou deux enfants de bobos au premier rang qui essaient de se concentrer malgré les chaises qui volent » est loin d’être la solution.
Mais pourquoi ta fille a-t-elle un « rythme » bien supérieur à celui de Boubacar et Abdelkader ? Et pourquoi ta catin de mère qui a déjà ruiné ta vie veut absolument la noyer à son tour dans cette boue raciale ?
Notre redditeur n’est pas prêt pour ce saut qualitatif.
Quant aux redditeurs qui lui répondent, c’est nous qui ne sommes pas prêts à les calculer. Parmi les solutions offertes : « dispatcher » les bouègres partout.
Du Manuel Valls dans le texte.
Pour conclure ce sujet sans fin (en vue), une réponse à la hauteur de l’hypocrisie criminelle de ces gens.
Asseyez-vous :
Mon 2eme a failli vivre la même histoire que toi. Primaire en centre ville d’une ville huppée mais un découpage de la carte scolaire et un déménagement ont fait qu’il s’est retrouvé dans un collège à 150m de la cité la plus craignos de tout le département. Et lui qui était dans une bulle s’est retrouvé confronté à cette mixité sociale dont tu parles. En plus, c’était le seul de son école primaire à se retrouver dans ce collège. Au bout d’un mois de cours, ils avaient quasi un mois de retard dans à peu près toutes les matières d’après leur prof principal. Un tiers des gamins était « en grande difficulté scolaire » et foutait le bordel absolu, menaçait et insultait les profs. Après la première réunion parents-profs j’avais l’impression d’avoir échoué en tant que parent et d’avoir mis mon fils en danger. Mon fils rentrait terrorisé de l’école et y allait à reculons. Il n’a pas voulu qu’on prenne la photo de classe parce qu’il ne voulait garder aucune trace de son passage dans cette classe. En fin de 6eme, son prof de maths a donné 17 pages de trucs non vus en cours à cause de leur retard sur le programme. À la fin de la 6eme on pensait avoir trouvé la parade. « Tu feras Allemand LV2, mon fils. Et Latin. Comme ton papa. T’as pas le choix. Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas d’Allemand LV2 dans ton collège. Chat GPT nous a rédigé une très jolie lettre qui explique pourquoi l’Allemand est une langue importante dans ton éducation, déjà parce que tu es blond aux yeux bleus et qu’on aime bien l’Argentine comme pays, et donc pourquoi tu vas devoir changer de collège. » Mais… On en a parlé aux parents de son seul ami. Big Mistake. Eux en ont parlé à d’autres parents et la principale a donc trouvé la parade pour éviter la fuite de ses meilleurs élèves : elle a ouvert une classe d’Allemand LV2. Pour 8 élèves. Donc mail de remerciement à la principale. « T’as intérêt à cravacher en Allemand, mon fils. Ils ont ouvert la section à cause de nous. » La rentrée de 5eme avait l’air de bien se passer, les 10 premiers jours l’ambiance était calme dans sa classe mais en fait y’avait une raison. Les éléments les plus agités étaient rentrés en Algérie pendant l’été et ont fait leur rentrée plus tard. Grâce aux élections de délégués de parents d’élèves dont tout le monde se branle, moi le premier, la mère de l’élève le plus compliqué à gérer est devenue déléguée des parents et a fait la guerre aux profs. Les histoires que nous racontait mon fils en rentrant de l’école étaient ahurissantes. La proviseure du lycée de mon aîné nous a fait un laïus de 15mn sur les élèves qui arrivent de ce collège quand on lui a dit que notre 2eme y était.
L’élève « le plus compliqué à gérer » éternel
En fin de premier trimestre j’étais presque prêt à le mettre dans le privé, alors que ça allait à l’encontre de tout ce en quoi je croyais (mère et sœur profs dans le public) mais finalement la lumière est venue d’ailleurs. Une des pistes était de le mettre dans le collège de secteur de là où moi j’habitais (sa mère et moi sommes séparés) mais elle avait été écartée parce que le collège en question était situé à peu près de la même façon, pas loin d’un quartier tendu de la ville d’à côté. Mais après avoir parlé avec des parents d’élèves il s’est avéré que ce collège était infiniment plus calme parce que l’équipe pédagogique était extrêmement à cheval sur la discipline et avait une tolérance zéro. Dans le collège problématique c’était dingue à quel point l’équipe était laxiste sur la discipline. Donc changement de collège en pleine année en prétextant que mon fils habitait maintenant à temps plein chez moi, l’opération a pris très peu de temps entre la demande et le changement effectif et depuis mon fils revit. Ses notes qui avaient chuté en début de 5eme sont remontées en flèche, il était clairement en retard sur le programme dans certaines matières mais tout va bien, il va à l’école avec plaisir. Mais donc, au-delà de la mixité sociale elle-même, y’avait aussi clairement un souci dans la gestion des élèves pénibles dans son collège précédent. Le nouveau collège n’est pas spécialement moins mixte et pourtant il est beaucoup beaucoup plus calme. Y’a peut-être moins de cas désespérés scolairement, mon fils n’a pas l’air d’avoir d’élèves qui maîtrisent mal les bases de la lecture dans sa classe.
Ouf, tout va bien.
À présent que son gosse n’est plus bolossé par les bougnes, le père de gauche radicalisé va pouvoir reprendre sa vie normale d’électeur mélenchoniste et dénoncer le fascisme la conscience tranquille.
Et quand finalement tout le pays ne sera plus qu’un vaste « quartier prioritaire », ils prendront l’avion avec leurs gosses pour un pays sûr et sans Algériens. Là-bas, ils recommenceront le cycle en accusant les autochtones d’être racistes.
Aucun compromis n’est possible avec le Sentier Lumineux.
Seules les balades en hélicoptère peuvent résoudre ce problème.
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Démocratie Participative
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Coucou alors le peuple veut savoir : des informations sur l'histoire d'Aura (qui est-elle ? comment est-elle apparue ?), et sur ton idée en cours (quelles inspirations etc.) ?
Coucou ! :D Merci beaucoup pour les questions ! Et oui ! Des questions sur Aura ! Merci beaucoup !
(L'évolution du design d'Aura dans le temps, du plus vieux à l'actuel de gauche à droite, même si à la base, il y avait "que" 3 bandes de feuilles pour les habits de la plus vieille mais bon, je dessinais pas très bien à l'époque ^^')
Aura :
Alors, pour Aura, comme j'en ai déjà parlé, c'est mon plus vieux personnage et celle que j'utilise pour me représenter moi-même. En fait, de base, je l'avais créé avec des amis à l'école primaire (vers le CE2 de mémoire) : on regardait toutes les Winx alors, une amie qui aimait beaucoup écrire / dessiner avait imaginé qu'on vivait des aventures proches des leurs en combattant Lord Valtor, et chacune d'entre nous venait d'une planète différente. Elle m'avait attribué Pluton et un pouvoir du feu (j'ai jamais su pourquoi le feu sur le coup, mais je suppose que c'était parce que j'avais plus de reflets roux et la seule du groupe avec des taches de rousseur à l'époque) et là, j'avais choisi mon surnom, soit Aura, même si j'avais pas vraiment d'apparence différente, juste que j'étais la plus petite car je venais de Pluton qui est une petite planète contrairement à elle qui venait de Mars et Vénus.
C'est plus je me suis réapproprié son personnage qu'elle a pris sa forme actuelle et j'ai commencé à la dessiner à peu près au même moment où je me suis mis à dessiner. Cette fois, elle était toujours une plutonienne avec des pouvoirs de feu (mais aussi télékinétique pour déplacer des objets de taille normal tout en faisant la taille d'une poupée Barbie) mais, elle rejoignait d'autres enfants du reste du système solaire pour combattre le Soleil Noir (c'est surement de là que vient le fait que le soleil est souvent l'astre des méchants, là où la nuit est le moment propice à la magie et où les personnages se sentent bien) pour défendre le bon royaume de la Lune dirigé par Queen Serenity (oui, j'ai beaucoup bouffé des animes des années 80-90 quand j'étais petites, surtout Sailor Moon et Sakura Chasseuse de Cartes alors, des personnages de ses histoires revenaient souvent) et Aura partait sur Terre pour veiller à ce que le Soleil Noir ne corrompe pas les humains. C'est aussi là qu'elle a gagné sa queue de cheval haute sur le côté, qui va de plus en plus ressembler à une flamme au fil du temps, et ses ailes qui apparaissent et disparaissent aléatoirement vu que soit elle vole, soit elle flotte dans les airs étant donné qu'elle reste toujours toute petite (elle restait même souvent sur les épaules de ses amis, surtout son meilleur ami de Jupiter qui est immense).
(si, si, je jure, la queue de cheval est censé être à gauche ! ^^' Et ça, c'est le design plus travaillé, je ne suis pas arrivé à retrouver mes vieux vieux carnets avec son design original plus simple)
Ensuite, au fil de l'adolescence, elle restait en mission sur Terre mais, ça alternait entre "elle est là pour étudier les humains qui sont l'espèce la plus en retard du système solaire afin de les aider" et "elle est là pour étudier pour ensuite voter si les humains doivent continuer à exister ou pas vu qu'ils détruisent leur planète et veulent aller coloniser d'autres planètes une fois qu'ils auront pété la leur" (oui, le collège a été une période compliquée alors, j'aimais pas vraiment les autres humains, et j'avais pas encore le recul pour me dire que bon, la civilisation avancée qui vient aider les sauvages terriens, c'était pas une très bonne idée).
(j'avais un truc avec les horloges et les grosses mécaniques à l'époque du lycée... ça devait être quand les copains m'avaient poussé à aller sur Wattpad...)
A la fin du lycée où elle se calme aussi en même temps que moi niveau "je déteste les humains, je veux me barrer de cette planète", elle gagne un nouveau look avec un aspect plus steampunk vu que j'avais un gros délire sur les rouages et les design ultra complexe à ce moment-là qui remplace ses habits en feuilles. Elle a même gagné un frère "double" venant de Charon, le satellite de la planète Pluton (vu que les deux s'influencent beaucoup dans leur rotation et tournent de tandem, j'avais imaginé que dès que quelqu'un naissait sur Pluton / Charon, une autre personne naissait aussi sur l'autre planète et que les deux avaient un lien télépathique qui les unissaient comme des frères et soeurs) qui était spécialisé en géographie pendant qu'Aura préférait l'histoire. J'avais même l'idée de faire un manuel d'histoire romaine avec eux deux, où Aura se baladerait à Rome et dans l'Empire pour dire ce qu'elle voyait, avec son frère qui donnant des infos sur les environnements.
(Aura à gauche et en paysage, son frère Spirit à droite et en portrait, j'avais imaginé son design comme étant celui d'Aura mais en inversé [queue de cheval basse et à droite, un serre-tête à gauche au lieu d'un chapeau à droite, un tour de cou avec un pendentif en flamme plutôt qu'un pendant plus lâche des boutons droits au lieu de travers...)
A présent, même si je me sers d'elle plus comme d'une représentation de moi-même vu qu'on a vraiment grandi ensemble toutes les deux, elle a encore une petite histoire à elle pour le moment. C'est toujours une plutonienne qui vit sur Terre mais, comme journaliste avec son frère qui sert d'agent de liaison, et ses meilleurs amis viennent chacun d'une planète différente. Pour sa personnalité, c'est une personne assez vive et énergique, qui va facilement vers les autres et se fait plein d'amis (trait qu'elle a gardé de ma période adolescente, j'aurais adoré être bien moins timide et bizarre [j'arrivais pas à me plier à ce que je trouvais stupide comme le fameux "il faut souffrir {et geler} pour être belle"] à l'époque ^^'), très curieuse qui va fouiner n'importe où pour trouver des informations et se renseigner sur la Terre et maintenant, elle assume bien plus ses côtés plus étranges. Elle a aussi encore changé de look pour une apparence plus simple avec une veste, un haut croisé et son collier en forme de flamme que j'utilise à présent pour la représenter (beaucoup plus simple pour en faire des chibis qu'avec son design ultra détaillé ^^') même si je peux toujours la faire avec ses habits steampunk vu que j'aime toujours cette tenue ^^
C'est vraiment un perso que j'adore dessiner alors, elle évolue beaucoup et elle risque de faire d'autres apparitions sur ce blog ! :D
Idée en cours (et faut vraiment que je lui trouve un titre ^^') :
Pour cette idée, je me suis pas mal basée sur ce que j'avais déjà fait avec ma version de la famille Fraldarius mais, sans la contrainte du canon pour faire mon propre truc sans cet encombrant boulet au pied. Ma famille principale est principalement mes Fraldarius mais, où ils survivent tous jusqu'à la fin sans avoir besoin de les faire disparaitre par nécessité de coller au scénario du jeu (l'équivalent de Guillaume, Aliénor et Félicia survivent par exemple) avec une autre histoire qui se concentre plus sur leur ascension vu qu'ils sont de la toute petite noblesse cette fois mais, qu'ils montraient en grade petit à petit, même si l'aspect fantastique deviendrait de plus en plus important au fur et à mesure de l'histoire, notamment lors de la partie de la 2e génération (notamment avec le destin de Caemgen et la naissance de son petit dernier Dil, qui est né d'une vivante et d'un mort vu que son père a échappé de très peu à ça après avoir pâmé la discussion avec la faucheuse un moment alors, c'est plus ou moins une aberration car c'est pas censé arriver de naitre d'un ou d'une mort.e). Les origines aussi de cet univers seraient également vraiment imprégnés de magie qui aurait encore des retombés sur le présent, notamment parce qu'elle s'est imprégnée dans les environnements et influencent des régions entière.
Dans la première partie, même s'il y a de la magie, on se concentrait surtout sur Gwilim et Siofra Fontanges qui bâtissent petit à petit leur fortune et leur nom, tout en restant les rois de la débrouille et en n'hésitant pas trop avant de donner un coup de main à leurs sujets dans le but d'éviter les impôts, eux-mêmes étant opposés à pas mal de mesures du souverain, même s'il y aurait surement un équivalent à Ludovic étant donné qu'il finirait par aider un bon souverain à monter sur le trône, ce qui permettrait aussi de valider officiellement leur ascension. Pour les inspirations, ça irait surement beaucoup chercher dans l'histoire de France, mais aussi dans celle de mon coin en particulier. J'aimerais bien casé un équivalent à la Salle Héraldique, une très grande salle où tout le plafond est recouvert de blasons représentant les alliés des comtes du Forez, qui a été soit construite pour un mariage, soit pour l'émancipation d'un des comtes (si vous passer dans le coin, allez la voir, c'est magnifique !), peut-être pour quand Gwilim et Siofra marquent leur ascension pour montrer leur puissance avec une salle similaire. Un autre truc serait que pas mal de monastères fortifiés. Le Forez, c'est une zone frontalière avec des terres d'Empire (genre Lyon qu'on déteste depuis des générations) alors, y a pas mal de places fortes et fortifié tout le long de la frontières (je veux dire, ça c'est Saint-Romain-le-Puy, la tête de l'église qui est au sommet d'un piton rocheux avec une bonne enceinte, même si lui, c'est particulier, y a aussi un château avec -et là aussi, si vous êtes dans le coin, allez-y). ça pourrait être une bonne base pour la ville des Fontanges qui pourrait être perché en hauteur comme ça.
Mais pour la deuxième partie où on suit leurs enfants, là, on tournerait plus vers du fantastique où j'aimerais bien m'inspirer des contes français, et encore une fois foréziens comme les contes des quenouillères (oui, grande région où on faisait de la dentelle en hiver pour compléter ses revenus). J'aime beaucoup les contes de fées et les légendes alors, j'aimerais arriver à retranscrire leur ambiance, notamment avec les personnages encore humains qui ne comprennent pas ce qui se passe et reçoivent une punition karmique après avoir mal agi et continuer à mal agir en connaissance de cause.
J'aimerais bien caser une punition ressemblant au conte "L'Auvergnat" par exemple, où un homme particulièrement radin fait tomber son poisson (pourri car il a acheté le moins cher), ramasse à la place un gros crapaud qu'il mange mais, l'influence maléfique du crapaud (animal très lié au diable vu que plusieurs d'entre eux sont au mieux urticants, au pire toxiques - par pitié, n'en toucher jamais à mains nues, mettez des gants épais si vous devez en manipuler !) le rend complètement fou et vivre un véritable enfer avant de se faire brûler lui-même, où ce serait Dil qui - en pensant faire une farce à quelqu'un qui a mal parlé à son papa - met un crapaud dans le sac de cette personne en l'ayant chargé de sa magie.
Enfin, pour les origines de cet univers, ce serait aussi pas mal inspiré de mes Braves mais, sans devoir tous les faire mourir dans d'affreuses souffrances à la fin et qui ont un avenir un peu moins noir bouché foutu pour tout le monde en attendant que les persos du jeu viennent les sauver. ça partirait en cacahuète à un moment ou un autre pour que la suite de l'histoire arrive dans cet univers mais, ça me permettrait de faire une histoire qui se déroule pendant l'Antiquité, qui est ma période historique préférée.
En fait, le truc avec cette histoire, c'est que j'aimerai finir celles que j'ai en cours, même si c'est de la fanfic (notamment mon billet sur Pyrkaïa, une "petite" histoire tournant autour des lions de saphir qui trouve une pierre de résurrection, et j'aimerais aussi écrire une petite histoire sur Halloween, que ce soit en reprenant mon histoire de chasse fantastique de l'année dernière ou autour du fait que plusieurs personnages soient contrôlés mentalement sur AG avec tous les sacrifices qu'il faut faire pour les libérer) alors, je n'ai pas encore commencé à l'écrire. Au moins, ça fera bien mijoter l'idée avant de le mettre sur papier et ça me permettra de me décider si j'écris l'histoire de la famille Fontanges en premier ou l'origine de cet univers afin d'avoir un monde bien solide... enfin on verra bien !
#écriture de curieuse#dame ladyniniane#jeu de questions#merci beaucoup pour les questions !#j'étais vraiment contente de pouvoir parler d'Aura !#Et j'espère que l'idée en cours -qui aura un titre un jour ^^'- te plait !#Il y aura au moins une personne qui fera de la pub pour que vous alliez dans le Forez et ce sera moi ! C'est super comme coin !#Et on est pas envahi ni par les touristes ni par les Lyonnais c'est pas mal ! Et c'est pas cher ! Vous verrez c'est super ! XD#y a pas mal de site à visiter sur le lien avec Saint-Romain-le-Puy et la Diana vous montrera tout ce qu'il y a à faire !
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Retour sur l'année 2023
Des tremblements de terre meurtriers, une guerre qui s'enlise et une autre qui éclate, le mercure qui s'emballe. Les grands événements de cette année sont pour moi:
1. Émeutes pro-Bolsonaro au Brésil
8 janvier 2023, des centaines de partisans de l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro ont envahi le Congrès, le palais présidentiel et la Cour suprême à Brasilia, une semaine après l'investiture du président de gauche Lula, dont ils rejettent l'élection.
2. Séisme meurtrier en Turquie et en Syrie
6 février 2023, un séisme de magnitude 7,8 a fait plus de 50'000 morts en Turquie et en Syrie. Ici la ville de Kahramanmaras, au sud de la Turquie, proche de l'épicentre.
3. Ukraine, une guerre qui s'enlise
8 mars 2023, un soldat ukrainien s'abrite dans une tranchée près de la ville de Bakhmout lors d'un bombardement. Plus d'un an après le lancement de l'"opération militaire" russe en Ukraine, le conflit s'enlise.
4. La grande peur de la montagne
4 avril 2023, vue sur le village de Brienz-Brinzauls (GR), menacé par un éboulement. Quelques jours plus tard, les autorités annoncent aux habitants qu'ils doivent se préparer à devoir évacuer.
5. Au Soudan, les habitants fuient le chaos
1er mai 2023, des réfugiés soudanais entrent au Tchad près de Koufroun. Les combats meurtriers qui ont éclaté mi-avril au Soudan entre l'armée régulière et des paramilitaires ont poussé des centaines de milliers de personnes hors du pays. Plus de 7 millions de personnes ont été déplacées dans le pays depuis le début du conflit, a annoncé l'ONU fin décembre.
6. Canada, une saison en enfer
10 juin 2023, vue d'une forêt ravagée dans la province du Québec, au Canada. Cette année, le pays a dû affronter la pire saison des feux de forêt de son histoire. La fumée s'est propagée jusqu'à New-York.
7. Températures excessives en été, 37 degrés en juillet
8. A Hawaï, une ville rasée par les flammes
11 août 2023, un homme marche entre les carcasses de voitures à Lahaina, Hawaï. De violents incendies ont quasiment rasé toute la ville touristique le 8 août et fait près de 100 morts.
9. Deuil national au Maroc après un séisme
9 septembre 2023, une femme devant sa maison à Marrakech détruite par un puissant séisme la veille. Le catastrophe qui a frappé le Maroc le 8 septembre a coûté la vie à près de 3000 personnes, selon un bilan officiel publié fin septembre.
10. A Gaza, la guerre est déclarée
8 octobre 2023, Israël déclare l'état de guerre après une attaque sanglante du Hamas, la veille, qui a fait environ 1140 morts. A Gaza, 21'110 personnes, dont une majorité de civils, ont été tuées par les opérations militaires israéliennes
11. Exode massif des Afghans du Pakistan le Pakistan a donné jusqu'au 1er novembre aux sans-papiers afghans pour quitter le pays volontairement. Ils sont 1,7 million à vivre sur sol pakistanais, estiment les autorités. Beaucoup ont peur de rentrer en Afghanistan, où le gouvernement taliban a imposé son interprétation rigoriste de l'islam, interdisant par exemple aux filles l'accès à l'éducation après l'école primaire
12. ChatGPT a pris le monde d’assaut il y a un an et il est facile de comprendre pourquoi. Le chatbot révolutionnaire d’OpenAI peut effectuer une quantité surprenante de tâches, de la tenue d’une conversation plausible à la rédaction d’un document correctement ponctué
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Faut que je trouve l'énergie pour lâcher twitter et l'attaque du Hamas. J'y arrive pas. Mais comme toujours, les très gauchistes (de mon bord donc, en théorie) très sont toujours aussi cons.
Selon eux, Hamas = résistants. Ca laisse coi.
Ils sont incapables de penser que le Hamas est un cancer religio-fasciste tout en restant convaincus que l'état d'Israël est un état d'apartheid colonialiste qui par ses actions, galvanise les organisations terroristes de la région.
Les deux idées ne s'excluent pourtant pas l'une l'autre mais non, leurs opinions ne sont pas une question de réflexion, mais une question de dogme, d'idéologie, de ligne narrative. Avoir une opinion nuancée et risquer d'être vu comme un traître aux luttes? Jamais de la vie, voyons!
Je suis trop neurodivergent que pour pouvoir tolérer la pensée dogmatique. Elle me sort des yeux qu'elle soit d'extrême gauche ou d'extrême droite. Les moutons et moi ça n'a jamais fait bon ménage, pas en primaire, pas en secondaire, pas dans ma vie d'adulte. Peut-être que l'autisme joue un role dans le fait de pouvoir reconnaître le dogmatisme et d'y avoir développé une certaine immunité? Je me souviens déjà tout petit, de cette impression très claire d'être poussé dans certains schémas de pensées par les gens qui m'entouraient. Cela m'a toujours été très désagréable.
L'Ukraine et ce genre de situations comme ce weekend c'est ce qui m'a dégouté de la politique internationale des partis d'extrême gauche, que l'on peut tout à fait entendre lorsqu'il s'agit d'idées de justice socio-économique, mais alors, à l'international c'est la catastrophe.
Ils ont tous un cas de "vers de cerveau" (brainworms) anti-américain, par principe. USA=BAD donc tout ce qui est ANTIUSA=GOOD. C'est de la logique de bac à sable, c'est usant et ce n'est pas une question d'intelligence car ce genre de positions sont tenues par tellement de gens brillants aussi *tousse* Noam Chomsky, vieille crevure *tousse*.
Je crois que les élections qui viennent je serai plutôt à géométrie variable, entre vote utile (social démocrate) et vote pour des personnes dont j'aime le travail en général (peu importe leur parti). Mais le vote de protestation à gauche de la gauche, c'est terminé.
Les relents stalinistes et la myopie volontaire pour ne pas froisser son électorat, ça me sort par tous les pores.
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VOICI LE N° 009 💎🌺 DE NOTRE HISTOIRE AVEC JÉSUS-CHRIST 💐🌹🌿💮☘️🍁🍂🌵🌻🌳🌷🌼🍀🌸
Bien-aimés, pour clôturer ce chapitre qui parle du Pasteur DIAS, et avant de dire aussi quelque chose sur Maman MIREILLE, voici quelques temps forts et quelques récits et faits étonnants de l'enfance du Pasteur DIAS: 💎🌳🌹🍂🌼🌵❤️☘️
Né à Kinshasa en 1973, des parents catholiques, DIANIEKASANI MUNKONGIMISA DIAS SÉBASTIEN MONGALI MOGAÔ, aujourd'hui le Pasteur DIAS, a connu une enfance heureuse, malgré les difficultés dues à la situation familiale très modeste.
❤️🌳💎🌺💐 La photo ci-dessous, prise en 2010, une année avant le décès de mon père Maître Véron DIANIEKASANI (assis à droite), et où on voit ma mère LINGO MARIE "MADIYA" (à gauche), en témoigne.
👉À 3 ans, mes tantes étaient descendues avec moi à la rivière N'djili (Ngwele), où elles faisaient d'habitude leurs lessives et la vaisselle. Et pendant qu'elles étaient occupées, 🌿🍂🌿elles ont constaté que je n'étais plus là, j'avais disparu. Et pendant qu'elles ne savaient que dire, ❤️soudain, un Homme❤️, cria : "Regardez là-bas sous l'eau, je vois un vêtement rouge emporté par le courant !" Et cet homme plongea dans la rivière, suivit cet habit rouge qui était déjà à plus de 10 mètres de la rive. Et lorsqu'il le sortit de l'eau, c'était moi. 💎❤️💎❤️🌿☘️🌸🌼🌺
👉Enfant surdoué à l'école, le Pasteur Dias a terminé l'école primaire avec 93%, et au secondaire, il nageait toujours vers le 70%.🌳🌷
👉À 11 ans et demi, alors élève à l'Institut Technique Commercial de Limete (Saint Raphaël), j'ai reçu pour la première fois de ma vie, un livre auquel je me suis attaché, c'était un "NOUVEAU TESTAMENT" (Gédéon).
Et mon premier verset que j'ai lu, celui qui a touché tout mon cœur d'enfant, lors d'un cours de Religion, c'est Matthieu 5, 48: ««Soyez donc parfaits comme votre Père céleste est parfait.»»❤️💎☘️🌺💐🌼🌳🌹
Depuis ce jour-là, bien qu'encore tout petit, cette parole du Seigneur Jésus-Christ a commencé à agir en moi ! Croyez-moi, elle agit encore !
🌍 Partagez, je vous prie, cette histoire, et ne manquez pas un seul numéro, car le prochain (010) est prévu pour le Jeudi 23 janvier 2025.
Grâce et paix à vous tous !
🌹☘️💐❤️💎🌿🌸🌺🍀🌷🌵🍂🌳
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19 janvier : la journée du kokborok, langue tibéto-birmane
Les locuteurs du kokborok, une langue tibéto-birmane parlée principalement dans les États indiens du Tripura (25% des habitants), mais aussi plus marginalement au Bengale occidental, dans l’Assam et au Mizoram, mais aussi dans dans les Chittagong Hill Tracts, au Bangladesh, soit en tout guère plus d’un million de personnes, ont toujours défendu leur langue afin qu’elle ne disparaisse pas comme de nombreuses langues de l’Inde chaque année.
Face au sanskrit et au persan (jadis), au bengali, puis à l’anglais de la puissance occupante, le kókborok n’était qu’un ensemble de dialectes, sans nom défini : c’était la langue (kók) des gens (borok), des autochtones. Aujourd’hui, elle est aussi appelée le tripuri. Dans les années 1970, les tribus ont lancé une revendication pour que la langue kokborok soit reconnue comme langue d'État, avec le soutien des formations de gauche. En 1975, une manifestation s’était même terminée par un mort et de très nombreux blessés, la police ayant ouvert le feu sur le cortège pacifique. D’ailleurs, un Jour des Martyrs est célébré le 3 mars de chaque année en mémoire du martyr de la langue, nommé Dhananjay Tripura.
Finalement, après la formation d’un premier gouvernement du Front de gauche en 1978, des initiatives ont été prises pour répondre aux quatre revendications des tribus. Le 19 janvier 1979, la langue Kokborok a reçu le statut de langue d'État. La Journée de la langue kokborok, chaque 19 janvier, célèbre l’anniversaire de cette reconnaissance. En même temps, la reconstruction des réserves tribales et la restitution des terres cédées aux tribus ont commencé. Dans cet État peuplé à 60% de Bengalis, les montagnes sont occupées par des tribus réclamant toujours plus d’autonomie. Aujourd’hui le BJP (droite nationaliste) est au pouvoir, certains mouvements d’extrême gauche entretiennent une agitation endémique.
La langue kókborok est enseignée dans les écoles du Tripura du primaire au secondaire supérieur depuis les années 1980. L’université du Tripura l’enseigne à partir de 1994 et délivre un diplôme d'études supérieures en kókborok depuis 2001. Il existe actuellement une demande de reconnaissance de la langue comme l'une des langues officielles reconnues de l'Inde conformément à l'annexe 8 de la Constitution. La forme officielle est le dialecte parlé à Agartala, la capitale de l'État du Tripura.
La question de l'écriture est très politisée, le gouvernement prône l’écriture bengali mais les organisations nationalistes ethniques (Kokborok Sahitya Sabha, Kokborok tei Hukumu Mission, Movement for Kokborok, etc.) préfèrent l'utilisation de l'écriture romaine. Récemment, la Fédération des étudiants de Twipra (TSF) a encore manifesté à Agartala pour cette seconde écriture. Les deux écritures sont désormais utilisées dans l’enseignement ainsi que dans les cercles littéraires et culturels.
La Mission Kokborok tei Hukumu (KOHM) est une organisation apolitique et non religieuse, créée en 1993, dont la mission est de promouvoir le développement et la préservation de la littérature, de la culture, de la tradition et du patrimoine tripuri.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 19 janvier 2025
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Développement des définitions
Métisse Nationalism
Elément constitutif d'un courant de pensé d'extrême droite, naissant, actuellement nommé Front National Métisse, originaire de France. Inspiré par le concept de Black Nationalism développé par Malcolm X, appliqué à cette communauté naissante.
Front National Métisse
Profondément Anti-racistes, Nationaliste, Protectionniste Rationnel, Paternaliste et Autoritaire. Pour rompre tout malentendu, L'initiative émane d'une majorité de membre de phénotype à dominance caucasienne Française et Français, ayant élevé Henry Salvador au rang de "Messi". Dont les convictions profondes demeurent plus ou moins obscures et tabous. Au même titre que tout mouvement d'extrême droite.
Parmi les éléments controversés qu'ils véhiculent :
Ils souhaitent voire appliqué mot pour mot le Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 | Conseil constitutionnel ;
Souhaitent inscrire le terme "Nation Métisse" dans la constitution Française ;
Pratiquent le Métisse Nationalism ;
Vouent un culte à Henry Salvador ;
Demandent la fin de toutes formes d'impunité en matière de malveillance envers autrui et la sanction systématique de tout acte de malveillance constaté sur le territoire National ;
...
Dernières minutes : L'un des fondateurs de ce mouvement m'informe que toute initiative de militants Anti-Racistes de Gauche, de Droite ou du Centre pour une France Métisse Assumée et sa représentation, leur objectif primaire, pourra faire l'objet d'une alliance dès lors que le mouvement en question conçoit le même niveau d'attachement à la Justice *et au Protectionnisme "Rationnel" et/ou accepte d'intégrer certaines de leurs propositions à leur programmes et guidelines, et/ou des membres à leurs listes. Il m'indique également, que le mouvement est né spontanément, constatant un manque de représentation, et qu'ils ne se présenteront jamais à des élections, si la démarche s'annonce contre productive. Mais préféreront se porter force de proposition dans de tels cas et apporter leur soutien lorsque leurs revendications essentielles seront satisfaites.
Dernières minutes (Concernant l'immigration ?) : "Nous n'avons pas encore de politique clairement définie. Il y a de nombreux cas de figures différents à prendre en compte. L'objectif est d'obtenir un rapport émigration/immigration proche de 1,00. Et de développer, autant que possible, avec les ambassades, des stratégies d'accompagnement et autres, visant à limiter les tentations. La question des réfugiés politiques n'est pas encore tranchée. Elle constitue une obligation constitutionnelle, mais il serait peut être bon de développer un maximum de solutions alternatives. Parmi les mesures épars et relativement simples. Il y a l'inclusion du coup d'un voyage retour dans le cout d'obtention des visas touristiques (remboursable une fois rentré, si non consommé), le développement de plateformes d'enseignement à distance et autres partenariats. Le soutien moral et intellectuel au développement économique et organisationnel des pays de départs. Des programmes d'accompagnement par les ambassades autant que possible. Pourquoi pas d'éventuel programmes de soutien à l'émigration dans des secteurs définis. Dans le cadre de retour aux racines, de choix culturel ou idéologique, de volonté de changer de vie, de projets individuels caritatifs ou de développement d'activités par exemple. autant que raisonnablement possible etc." (X)
"J'ajouterai que nous nous intéressons davantage à la sauvegarde de notre économie, au plein emploi et à l'application d'une Justice intransigeante." (X)
Eco-Equilibrisme
Doctrine politique "Centriste", Scientiste, Légiste, Humaniste ... Avant tout conceptuelle. Ces concepts essentiels, principalement accès sur l'organisation et la stabilité, peuvent aussi bien s'intégrer et véhiculer un programme de Droite qu'un programme de Gauche. Suivant ce que l'on y ajoute et la façon de paramétrer ses éléments variables. Souligne toutefois l'importance d'un socle social minimal indispensable à la stabilité de son schéma structurel et bénéfique au capital. Pour ce qui nous intéresse ici concernant sa définition. Seule Doctrine, développée et connue, centrant sa réflexion et son argumentaire* sur la Stabilité et les principes éthiques qui s'y impose.
*ce qui présente une importance plus conséquente que ce que l'on peut imaginer de prime abord. Et mérite réflexion. Quelle influence cela pourrait-il avoir sur les éléments qu'elle développe et entant proposer...
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POUR UNE VRAIE CONCORDANCE DES TEMPS
Charlize Theron
Considérée NSA Orange
Créature grise
Du néolibéralisme américain Trumpien
Par des fiers d'être Ch'tis
Vague d'anti-américanisme primaire
Une gauche complice de l'impérialisme français
Mercredi 27 novembre 2024
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Austérité budgétaire, formation professionnelle
mon compte-rendu subjectif du conseil régional du 26 novembre 2024
Concernant les questions d’actualité, le PC pose la question du fiasco de la mise en concurrence des bus en grande couronne. Valérie Pécresse défend son formidable “dialogue social” et ce en pleine grève des chauffeurs de bus de Cergy Pontoise. Bof.
Nous posons la question de la prévention des inondations, en interpellant la présidente sur sa politique de “non adaptation” aux dérèglements climatiques, et d’artificialisation des sols encore permise par le récent SDRIF. Elle répond que la compétence sur la gestion des inondations revient aux intercommunalités. Quant à une véritable politique de résilience et de prévention, elle dit encore son satisfecit alors que les écolos (élus et associations) sommes unanimes sur la bétonisation catastrophique de notre région. Face à une catastrophe du type de celle de Valence, nous ne sommes pas prêts.
Le PS demande à la région de réagir face au “racket budgétaire” du gouvernement. V. Pécresse se plaint (un peu) mais est bien contente de jouer la bonne élève de l’austérité du gouvernement Barnier.
La droite et le RN parlent de laïcité et de sécurité. Petite surenchère malaisante.
A une question de l’UDI, elle annonce une aide exceptionnelle aux agriculteurs pour 5 millions d’euros. Elle travaille son électorat (mais en même temps, soutient la destruction de terres agricoles)
Vient le débat d’orientation budgétaire, V. Pécresse parle de la baisse des crédits de 320 Millions d’euros, alors elle décide de baisser le budget de plus de 700 millions ! Elle dénonce “le coup de rabot” de l’Etat qui baisse drastiquement les recettes. Le budget de la région c’est 390 € par habitant, soit 100 € par an de moins que les autres régions. En réalité cette baisse, ca va être une nouvelle casse du service public, notamment pour les organismes associés, qui se voient amputer de 15 à 20% de leur budget : Institut Paris Région, Airparif, Bruitparif, CRIPS (qui lutte contre le Sida), IDF Nature... alors qu’elle continue sa politique sécurité (alors que ce n’est pas la compétence de la région) et anticipe la baisse sur les 3 prochaines années, rabote encore plus le budget et nous propose une cure d’austérité inédite.
Intéressant ; le PC propose par un amendement la suppression de la Métropole du Grand Paris. On se donne la liberté de vote, certains votent pour, d’autres s’abstiennent. Mais le débat est lancé !
Avec les groupes de gauche, on propose d’ajouter une taxe sur la livraison de colis du e-commerce, pour financer les transports en commun. Rejeté.
Le PC propose plusieurs amendements intéressants, comme la gratuité des cantines des lycées pour les tranches de revenus basses, de nouvelles taxes et recettes pour les transports en commun, le maintien de la tarification sociale des transports.
La Mission d’Information et d’Evaluation sur la formation professionnelle est présentée par la majorité. Après 6 mois d’auditions, l’opposition exprime sa frustration sur le manque de réponses notamment sur la fraude, le manque de démocratie et de pluralité de la MIE. En fait c’est même le prétexte pour réduire les dispositifs de formation, et carrément supprimer le dispositif AIRE (aide régionale pour les chômeurs et les reconversions professionnelles).
Le bilan des aides aux entreprises est présenté. Hélas toujours aucun critère sociaux ou environnementaux. On note une baisse des aides de 22% pour les entreprises de l’audiovisuel, et une baisse concernant les politiques environnementales.
La droite présente un voeu pour faire des écoles primaires privées (ah non pardon on dit “libres”) régionales : c’est vrai que c’est bien de sélectionner l’élite dès 3 ans et d’aider le secteur privé !
Les socialistes présentent un voeu sur la lutte contre les troubles du comportement alimentaire.
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La malédiction...
Que l'on soit ou non labellisé ''complotiste'' par les vrais promoteurs du méga-complot qui vise à assassiner notre civilisation pour enfermer l'humanité dans une sorte de fourmilière où l'homme, privé de toute espérance, serait exclusivement ramené au rôle d'animal au service d'un Etat-vampire anthropophage, il devient difficile d'échapper à ce syndrome inquiétant : la France ne serait-elle pas la victime expiatoire d'une malédiction séculaire, et nous avec elle ?
Car regardons l'actualité en évitant si possible de nous soumettre aux ''diktats'' de la lecture monoculaire que nous imposent le Pouvoir est ses affidés, la Presse et les Institutions : une fois encore, une fois de plus, une fois de trop (mais pas la dernière !), un premier ministre se prétendant à droite vient de soumettre un budget au Parlement, et comme toujours dans cette configuration, la seule et unique réponse à la totalité de nos problèmes est... (et tout le monde de psalmodier en chœur, en sanglotant) : ''L'augmentation-des-impôts'' !
En fait, le scénario est bien rôdé :la Gauche, dès qu'elle arrive au pouvoir, se dépêche de gaspiller tout l'argent disponible, visible, ou putatif, où qu'il soit planqué. Elle n'y peut rien : c'est dans ses gênes ! La pensée de Gauche est inséparable de l'idée de gaspillage : il FAUT tout claquer (et quand il n'y a plus de sous, on en invente, comme le lamentable Jospin qui croyait voir des ''cassettes'' cachées partout...). La Gauche, dans le fond, serait parfaite pour jouer le rôle de la cigale dans la fable de La Fontaine ! Et c'est là qu'intervient la fourmi...
Lorsque, très vite, les idées faussement généreuses (puisqu'elles se résument à refiler le rattrapage des comptes à nos enfants et à nos petits enfants) ont épuisé toutes les ressources du pays, force est de faire appel à la Droite qui, trop contente de l'aumône ainsi accordée (une petite fenêtre de temps en temps), n'a plus qu'une seule possibilité : augmenter les impôts... que la Gauche sait quelle pourra ainsi diminuer par pure démagogie dès son retour aux affaires. Il n'y a pas d'exception au bon déroulé de ce cycle infernal, et Juppé, Fillon, ou Sarko, par exemple, sont ''passés à la moulinette''... Puis vint Barnier, et ''que croyez-vous qu'il arrivât '' --pour continuer à citer La Fontaine ? Eh ! bien, il fait comme les copains ! C'est ''con-génital'', vous dis-je !
Il faut dire que les dés sont pipés à la base --et c'est là, peut-être, que se trouve l'essence du ''complot'' mentionné plus haut : nos cons le sont tellement (cons, bien sûr ! Il faut suivre !) qu'ils demandent systématiquement à des énarques de réformer l'Etat et de diminuer ''comme il faudrait'' le nombre de nos fonctionnaires. La double question suivante est : ''qu'est-ce qu'un énarque'' ?... et ''qu'est-ce qu'un fonctionnaire'' ?
A tout saigneur, tout déshonneur : commençons par l'énarque. Un énarque est un type qui, tout jeune, a opté pour un comportement résolument orienté : dés l'école primaire, des instits' puis des profs', tous encartés à gauche, lui ont expliqué et répété qu'on avait tué Dieu, au prétexte que, disait le ''Caté'', ''il sait tout, il voit tout, il entend tout, il est souverain maître de tout, et que nous Lui devions la vie, tout ce que nous possédions --qui, en vérité, est à Lui''. Ce ''pur esprit infiniment grand'' était une insulte permanente aux hommes qui s'imaginaient entre temps être devenus ''modernes'', sans que quiconque puisse expliquer ce que cela voulait dire.
Le seul ennui, dans tout le galimatias de notions approximatives que furent les conséquences de la révolution de 1789, c'est que l'homme n'est pas un animal tout-à-fait comme les autres (que les anti-spécistes de tout poil et de toute plume me pardonnent mon audace) : il a un besoin ontologique de ''croire en quelque chose de plus grand que lui''. Qu'à cela ne tienne ! On va refiler à une nouvelle déité toutes les qualités que prétendait avoir Dieu : dans un manque total d'imagination et de créativité, les maîtres à penser (de traviole) du progressisme se sont contentés d'un ''copier-coller'' des attributs de l'ancien. (NDLR : vous pouvez relire les 3 lignes en italique du § précédent : pas un mot à changer ! Si ce n'était pas si triste, ce serait du plus haut comique !). Et pour assurer une conformité parfaite entre les impétrants et le modèle-type, un concours d'entrée --difficile pour ceux qui, comme vos valises à l'enregistrement, ne rentrent pas parfaitement dans le ''moule-étalon'' qui sert de jauge-- vérifie que n'ont accès au Nirvanâ des douceurs de l'Etat que les clones parfaits.
Mais assez de théorie, revenons à nos moutons... ou à nos énarques... car parfois le différence est très faible ! Un énarque est donc un ex-citoyen devenu ''une élite'' qui a, re-donc, une religion, l'Etat... un seul dieu, l'Etat... une seule foi, l'Etat... et qui, devant tout à l'Etat, lui promet obéissance et fidélité. Et protection en toute circonstance. C'est, en somme, un homme libre... totalement asservi. Et c'est à des générations de clones comme ça qu'on demande de réguler le fonctionnement de l'Etat, d'optimiser les processus de l'Etat, de faire plus (ce avec quoi ils sont d'accord) avec moins (ce dont ils ne comprennent même pas le sens, puisqu'on a tout fait pour qu'il en soit ainsi), et comble du comble, de diminuer le nombre des ponctionnaires...
Michel Barnier est pile dans la cible, tout près du centre, et le résultat ne s'est pas fait attendre : sommé de faire des économies, il a inventé pour la 200 ième fois la recette-miracle qu'il pense inédite : augmenter les impôts des français, de tous les français mais en ne parlant que des 65 000 les mieux payés (qu'on peut donc supposer les meilleurs, ceux que toutes les entreprises hors de ''l'hexagone'' sont près à surpayer pour les avoir --je le sais : j'en ai fait partie, dans une autre vie, il y a bien longtemps !) et qui vont, une fois de plus, ''se tirer'' à l'étranger, nous laissant les mauvais ! En jargon républicain, le nom de ce véritable jeu de massacre masochiste est : ''la justice sociale'' (NDLR : Zazie avait un très beau mot en trois lettres pour qualifier ce gigantesque vol légal !).
Le résultat est à la hauteur des enjeux (ne perdons pas de vue que, semaine après semaine, nous pulvérisons tous les records connus : la dette publique s'élève à 3 228,4 Md€ (Insee-27 septembre 2024) : tous secteurs confondus, notre gouvernement prévoit une baisse iso-nulle du nombre de fonctionnaires : 2 201 postes supprimés (vous avez bien lu, deux mille deux cent un !)... sur un total de 5 696 900 budgétivores... C'est plus petit que le trait de l'addition, ce n'est même pas visible ! Mais, me diront les quelques macronistes survivants (on me jure qu'il en reste !), on a bien mis un Cahuzac menteur malhonnête au budget, une Buzyn menteuse et bête à la santé... un Pap Ndiaye, bête à en pleurer à l'éducation... ou un Macron après un Hollande, à la tête de l'Etat ! Donc Barnier à Matignon, c'est sans doute ''le moins pire''. Il n'empêche !
Ces chefs pour super-fonctionnaires (dont le rôle inutile et pervers se résume à ''con-trôler'' que les pauvres gens qui bossent font leur travail con-formément aux tonnes de normes inapplicables qu'ils pondent, le plus souvent sans raison ou à tort, sur des processus qu'ils seraient bien en peine de faire fonctionner 3 secondes !) s'imaginent qu'ils vont diminuer la dette d'Etat en se contentant de siphonner les comptes en banque des non-fonctionnaires et en sucrant peu à peu les retraites des vieux... Jamais autant qu'aujourd'hui, je crois, ma mauvaise astuce, souvent faite, ici, sur les mots ''fonctionnaires '' et ''ponctionnaires'' n'a été aussi dramatiquement vraie ! Et en attendant Godot (le dernier qui reste, après Barnier), ''Raquez, braves gens ! L'Etat veille sur vos économies (ou plutôt, les lorgne !''). Question suivante : '' Et le bordel, on en fait quoi ?''. Réponse prévisible : ''Après nous, le déluge'' !
H-Cl.
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Cher Papa,
Te perdre me fait peur.
Perdre le regard d'amour que tu m'as offert toute ma vie. L'Amour est unique, le tien encore plus. Mes crises de colère, mes lubies à l'opposé de notre culture familiale, ma sensibilité omniprésente et encombrante, tu n'arrêtais pas de me dire " Je comprends" suivi d'un silence compréhensif.
Surement parce que tu étais pareil, encombré tout comme moi. ce qui est dur, c'est de savoir que dans n'importe quelle situation, cette sensibilité va me sauter au visage, dans mes rêves, dans mon corps.
Vivre aussi est éreintant, épuisant , décourageant.
Je me rappelle à Toulouse en prépa, j'avais 19 ans, je m'asseyais découragée devant le monde qui s'offrait à moi. Dieu m'a envoyé des anges : Cheikh Ibrahima, Judith, Jean Baptiste, Antoine, El Hadj, mais la mort semble toujours proche, elle évite la surstimulations, la fatigue extrême.
Etre brillante, être là pour les autres, mais des bras protecteurs sont rares.
Je suis épuisée Papa. Vivre me demande tellement d'efforts Papa, j'en ai assez d'être moi-même. Depuis l'école primaire.
L'univers marche à droite , je pars à gauche.
Papa, tu m'as protégé tellement d'années, tu m'as construite
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La juive Anne Sinclair éplorée face à la rébellion des goyim.
"C'est une rupture fondamentale depuis l'affaire Dreyfus"
Les citations font souvent gay, mais en l’occurrence c’est une bonne citation
En France, et dans les démocraties en général, il faut comprendre le juif et le fonctionnement de sa cervelle. Si vous ne comprenez rien au juif, vous resterez éternellement dans l’obscurité dans votre propre pays.
De nombreux Français ignorent que leur pays est contrôlé par les juifs. Ce serait d’ailleurs plutôt un envoûtement car c’est bien l’esprit et les réflexes des Français que les juifs ont méthodiquement conditionnés depuis plus de 150 ans.
Les Français ignorent pourquoi ils sont soumis à des lois de censure antiraciste et ils ignorent tout autant que ces lois sont en réalité des lois raciales en négatif conçues contre eux, les Blancs. Ils n’en connaissent pas l’origine, ni la finalité réelle, et se contentent de répéter depuis l’école primaire que le racisme et l’antisémitisme sont mal.
La conquête du pouvoir par les juifs en France est exactement parallèle à la mise en place de l’antiracisme comme arme d’éradication des Blancs.
Tout remonte à la pseudo « Affaire Dreyfus », du nom de cet officier de l’armée française d’origine juive qui espionnait pour le compte des services secrets allemands. Sur fond de tensions géopolitiques croissantes avec l’Allemagne, la France de droite, monarchiste et catholique, était en déclin au plan intérieur. La proclamation de la république avait permis aux juifs d’acquérir un formidable pouvoir politique que ces immigrés de fraîche date mettaient au service de la destruction systématique de la culture française pour mieux la supplanter par la leur. Une culture cosmopolite, déracinée, racialement hostile aux indigènes.
Quand l’affaire éclata, le bloc nationaliste désigna légitimement le juif Dreyfus comme le symptôme d’une conspiration juive plus large.
L’affrontement entre la gauche républicaine et la droite monarchiste se cristallisa autour d’une question simple : pour ou contre la juiverie ?
Cette question en entraînait une seconde : qui commande, les juifs ou les Français de souche ?
Sur fond de haines recuites issues de la Révolution française, la gauche opta pour la dictature juive. Elle fut d’ailleurs assez vite rebaptisée « dictature du prolétariat » par les adeptes du juif Marx.
En sauvant le juif Dreyfus, le régime républicain donna l’ascendant moral et politique à la juiverie organisée dont le régime républicain devint son régime.
La première guerre mondiale tomba à point nommé pour faire mourir en masse les meilleurs éléments de la race française et ne laisser aux commandes que les juifs et leurs associés démocrates. Fermement à la tête de la France, les juifs ouvrirent les vannes de l’immigration dès 1919. Ces masses vinrent gonfler le parti de l’étranger répartis en une myriade de partis de gauche.
Depuis, la France est juive, « Républicaine » dit-on en langage codé pour la plèbe, et sa raison d’être est : la France aux étrangers !
Le résultat de cette politique juive méthodique, tenace, sourde, vous l’avez dans les rues.
Tout devait durer ainsi jusqu’à ce que les derniers autochtones disparaîssent quelque part dans une réserve d’Auvergne.
Mais l’histoire est espiègle.
Par un retournement dialectique, les juifs sont désormais la classe dirigeante assiégée. Mélenchon a fait sauter ce statu quo historique en mobilisant une partie de la gauche contre les juifs sous le poids du vote musulman et ce au nom de l’antiracisme dont la juiverie avait le monopole contre les Français depuis Dreyfus.
Les juifs sont sidérés de cette défaite sans précédent.
Anne Schwartz (« Sinclair ») a bien résumé la situation, se lamentant du désastre.
Les juifs contrôlaient la France par la victimisation perfide et l’antiracisme légal et médiatique. Ce capital s’évapore rapidement et la religion de l’holocauste n’a plus l’effet sédatif qu’il avait sur les générations de goyim précédentes.
La panique n’est pas limitée aux juifs. Depuis 1945, les bourgeoisies démocrates voient dans le juif la source de l’omnipotence. Si le juif vacille, elles vacillent avec lui.
L’inquiétude atteint un niveau critique.
Pour le non-juif, ces appels à la mobilisation derrière 450,000 juifs sur une France de 68 millions d’habitants a un effet inverse à celui escompté. Il réalise que les élections n’ont aucun effet sur sa condition objective, puisqu’il est activement boycotté au parlement s’il vote RN ou gauche radicale, tandis que les juifs ont priorité absolue en toute matière, au plus haut niveau et ce publiquement.
Les juifs sont à court de ficelles.
Démocratie Participative
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Radiographie des démocraties municipales actuelles dans l'agglomération grenobloise à partir d'un cas concret : la crise durable (30 jours) de chauffage dans une école primaire (St Paul de Varces : les faits : pendant 30 jours, des enfants dont une maternelle ont été gardés dans un local à une température oscillant entre 09 et 15 degrés. 1) La Préfecture et l'Académie ont-elles pris une position publique sur des mesures à prendre ? Non. 2) L'association des parents d'élèves a-t-elle participé à une
action publique ? Non. Pourquoi ? Parce qu'elle est très proche de l'actuelle municipalité et sur aucun sujet clivant elle n'est intervenue dans des conditions de nature à gêner la municipalité. 3) Il a été question d'une "manifestation" ? En réalité, c'est une douzaine de parents, donc une délégation, qui se sont rendus en mairie pour exposer leurs doléances. 4) En mairie, ont-ils été reçus par le maire ou l'adjointe chargée des affaires scolaires ? Non. Ils ont été reçus par la directrice des services. 5) Dans ce dialogue, sémantique habituelle : "il ne faut pas céder à la polémique. Nous faisons tout notre possible et c'est prévu que ce soit réglé dans de brefs délais...". 6) Résultat : rien de concret. Mais des marqueurs dignes d'intérêt : la perte d'indépendance du tissu associatif, la démobilisation des citoyens, le retrait des "autorités" de l'Etat ... Suite à des démissions en très grand nombre dans la municipalité de cette Commune, des élections semblent probables au printemps 2024. La gauche espère regagner cette Commune à cette occasion. Ce sera peut-être le moment pour voir la réalité de l'impact dans les urnes d'une crise de ce type ... ?
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1er logo de Skhyruler
Mon 1er logo pour mes profils, inspiré des outils de mon logiciel d'illustrations. J'ai joué avec les couleurs primaires et RGB en utilisant la superposition pour crée la palette.
Version détourée à gauche et aérée à droite.
✏️ Design : Skhyruler 📕 Collection : Skhyruler ©️ Copyright : Skhyruler
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PSAUMES : 23 V 2 : IL ME FAIT REPOSER DANS DE VERTS PÂTURAGES : Peuple de Dieu ! Il y a un temps pour tout ici-bas nous courons tous a droite a gauche comme une girouette que le vent souffle dans tout les sens elle finit par perdre sa direction primaire . Nous ressemblons a cette girouette et nous avons besoin nous aussi de retrouver notre direction , mais cette fois-ci dans les voies droites du Seigneur . Penchons nous sur ce passage et arrêtons-nous sur le ( IL ) ce( IL ) c'est Dieu qu'il nous fait reposer c'est presque un ordre et nous devons obéir quand il nous demande de faire un break, s'éloigner de l'agitation de ce monde en effervescence . C'est pour notre bien physique et Spirituel . Alors Cessons de nous culpabiliser si nous pensons un petit a nous car c'est le Seigneur qui produit en nous le vouloir et le faire , laissons nous conduire tout simplement .
Amen merci Seigneur ✝️
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