#pour qui sonne le glas
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Il savait qu'à deux on pouvait être tout. Que c'était une exception. Que cela, une fois donné, ne pouvait être enlevé.
Ernest Hemingway, Pour qui sonne le glas
#littérature#ernest hemingway#nobel de littérature#prix nobel#pour qui sonne le glas#amour#exception
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Hasdrubal revient de Sicile
La lourde chaine qui barre l’entrée du port est levée. La trière qui me ramène de Sicile s’engage doucement dans le port marchand. Flop, flop, flop, font les rames, comme un gong qui sonne le glas. Cinq ans déjà que je suis parti guerroyer, cinq ans de tensions et de souffrances vaines, cinq ans sans revoir ma ville tant chérie.
Je m’étais juré, pendant tout le silence de la traversée, de rester froid, insensible à sa beauté, comme à celle d’une courtisane qui vous aurait trahi. Et pourtant, malgré tout, mes yeux se mouillent devant cet étourdissant mélange de couleurs, d’odeurs et de sons. Surtout, tout garder en mémoire, jusqu’à la fin.
À gauche, on décharge avec d’infinies précautions des blocs de marbre de Numidie. J’aurais tant aimé qu’ils soient pour moi, pour ma belle maison du quartier de Marsa. À droite, des corbeilles de figues, d’amandes, de raisins et de grenade s’empilent sur le quai : un festin se prépare, mais je n’y serai pas convié. On fait bien des mystères un peu loin, sans doute une cargaison de cuivre ou d’étain, tout droit venue d’Hispanie : Carthage pourra-t-elle payer ses mercenaires ? Rien n’est moins sûr. Ces lourdes amphores que l’on embarque, je les reconnais, ce sont des salaisons de poisson, délicieuses avec du garum.
Ah, voilà un éléphant que l’on fait descendre d’un gaulos. Parlons-en, des éléphants ! Ces maudites bêtes, criblées par les Romains de traits dans l’arrière-train alors qu’on traversait l’Oreto, se sont retournées contre nous et ont semé le chaos dans nos rangs. Ce sont eux qui ont causé notre défaite, alors que mon plan de bataille était parfait. Et le suffète qui ose dire que tout est de ma faute.Voilà, c’est fini, la trière accoste, tout près de la haute porte qui mène à la ville. Il faudra que l’on construise dans l’avenir un beau port militaire tout arrondi pour accueillir dignement les soldats vainqueurs. Hélas, pour moi Hasdrubal, fils de Hanno, vaincu devant Panormos (Palerme) par le proconsul Lucius Caecilius Metellus, c’est la croix qui m’attend : « Vae victis », disent les Romains. Un dernier regard vers le port, un dernier regard vers la vie. Adieu, ma belle Carthage, j’ai rendez-vous avec Baâl-Hammon.
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Dans le noir - Anne Perrin
Si loin le regardque l’horizon s’y déploie La lumière baigne le cœurdans sa rage d’émouvoir Sauve qui peutle glas sonne L’art s’enfuitdans les mémoires La vie se méritesous les feuillages Nous irons pour voirsi la vérité ne nous effraie pas Mais le temps qu’il restenous nous embrasserons dans le noir.
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La nuit du 4 août 1789. Quelles conséquences pour la Bretagne ?
La nuit du 4 août 1789 marque un tournant décisif dans l’histoire de la France, et plus particulièrement dans celle de la Bretagne. Cette nuit-là, l’Assemblée constituante abolit d’un coup les privilèges de la noblesse et du clergé, ainsi que les droits féodaux. Cet événement, qui sonne le glas de l’Ancien Régime, aura des répercussions profondes et durables sur la Bretagne. Continue reading La…
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14-510 Et ce fut Ben-Hur Correcteur : VERONIQUE
L'adresse est :https://soundcloud.com/jlgaillard/et-ce-fut-benhur
Lew Wallace, général anglais, au cours d’un voyage en train, rencontra le colonel Ingersoll, athée notoire.
Les deux hommes s’entretenaient du ridicule du christianisme et de toute forme de croyance religieuse.
— Mon cher Wallace, disait Ingersoll, avec votre intelligence et votre immense culture, je vous crois capable de réaliser un ouvrage qui sonne le glas et assène un coup de grâce à tout cet obscurantisme religieux qui retient nos semblables dans ses filets. Je suis assuré du succès d’un tel livre.
Wallace fut séduit par la proposition, et par la perspective d’atteindre la célébrité, mais ne voulant pas écrire n’importe quoi, il entreprit de faire des recherches sérieuses sur les sources des différentes croyances.
Comme dans son pays, la foi chrétienne et biblique était la plus implantée, il s’attaqua au plus gros morceau : la Bible. Confiant en sa perspicacité et son esprit d’analyse, il ne doutait pas qu’il trouverait, dans la Bible elle-même, toutes les erreurs, contradictions et affabulations qui réduiraient à néant les croyances fondées sur ce « bouquin ». Il se mit au travail, lisant, étudiant, confrontant les textes.
Plus il avançait dans ses recherches, moins il trouvait d’arguments soutenant ses idées. Par contre, il en voyait de plus en plus qui plaidaient en faveur de l’authenticité des textes, de la réalité d’un Dieu vivant, et de la validité d’une foi vraie et active. Il finit par acquérir la conviction que Jésus était réellement le Fils de Dieu, venu pour lui pardonner son incrédulité, le réconcilier avec ce Dieu qu’il avait si longtemps nié. Par la repentance et la foi, il accepta Jésus comme Sauveur personnel et maître de sa (nouvelle) vie.
Et le livre prévu ? Il l’écrivit. Ce fut… « Ben-Hur », ce best-seller mondial, véritable plaidoyer en faveur de la Bible et de la foi en Jésus-Christ, qui en a convaincu plus d’un et d’une, partout dans le monde.
L’avez-vous lu ami ? Encore sceptique ? Si non, ce n’est pas grave. Vous trouverez dans la Bible, surtout dans les quatre Évangiles, tous les éléments que Wallace a développés en les romançant quelque peu, à condition que vous vouliez bien faire les investigations nécessaires. Mais… cela dépend de vous, et de vous seul.
Il m’a aussi semblé bon, après avoir fait des recherches exactes sur toutes ces choses depuis leur origine, de te les exposer par écrit d’une manière suivie, excellent Théophile, afin que tu reconnaisses la certitude des enseignements que tu as reçus. (Luc 1 :3-4).
#succès #christianisme #365histoires #histoire #conviction #athee #culture #enquête #mondial #célébrité
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Hugo Victor - Histoire d'un crime (tome 1)
Hugo Victor - Histoire d'un crime (tome 1): Comme l’indique son sous-titre, Histoire d’un crime est moins un essai historique au sens traditionnel du terme que la Déposition d’un témoin. Ce témoin, c’est bien sûr Hugo lui-même, qui a participé aux événements qu’il relate. À partir de notes griffonnées sur le vif, l’auteur d’Hernani et de Notre-Dame de Paris nous livre en effet un récit alerte et « saignant de réalité », un récit où le « nous » et le « on » alternent avec un « je » qui se fait tour à tour acteur, témoin, juge d’instruction et greffier (Hovasse, 30 et ss). Le crime dont il est question est le coup d’État du 2 décembre 1851 qui sonne le glas de la Deuxième République (1848-1852) et conduit à la proclamation du Second Empire (1852-1870). L’auteur du crime est nul autre que le médiocre neveu du premier Bonaparte : Louis-Napoléon Bonaparte, le « Prince-Président » de cette fragile république née de la Révolution de 1848, une république dont il a solennellement juré de défendre la constitution mais qu’il finira par trahir en s’arrogeant le titre de Napoléon III. À l’époque, Hugo est académicien, pair de France et chef de file du Romantisme. C’est un auteur engagé qui s’occupe déjà de politique, mais à partir de 1849, il devient représentant du peuple à l’Assemblée nationale --un rôle qu’il prend très au sérieux. Bien qu’officiellement élu à droite, il vote de plus en plus à gauche, mettant toute son éloquence de tribun à combattre la misère du peuple, la déportation et l’esclavage. Il soutient également l’éducation laïque et la liberté de la presse, toutes deux menacées par la droite parlementaire. En implacable observateur de la scène politique, il dénonce ouvertement le cynisme du gouvernement ultraconservateur et fustige publiquement les basses manœuvres du médiocre Louis-Napoléon qui cherche par tous les moyens à prolonger son mandat présidentiel pour s’octroyer peu à peu les pleins pouvoirs, au mépris de la constitution. Au début de 1851, l’impasse politique est telle que la France s’attend d’un jour à l’autre à un coup d’État… qui ne vient pas, au point que plus personne n’y croit. Lorsqu’il éclate enfin, dans la nuit du 1 au 2 décembre, tout va très vite : l’Assemblée législative est dissoute, le Conseil d’État et la Haute Cour sont supprimés, les cafés et les imprimeries fermés, les journaux interdits. Catapulté par les événements au cœur même de l’action, Hugo se retrouve à la tête d’un comité d’insurrection qui tente d’organiser la lutte contre l’usurpateur. La résistance ne tiendra que cinq jours. Elle se soldera par la défaite cuisante de l’opposition républicaine, forçant Hugo à s’enfuir à Bruxelles le 11 décembre 1851. Le 9 janvier 1852, il sera officiellement expulsé de France avec 65 autres représentants du peuple. À sa sortie en octobre 1877, ce premier tome dans lequel l’auteur fait revivre les événements des deux premières journées du coup d’État (1 et 2 décembre 1851) est immédiatement salué par une critique enthousiaste : « M. Victor Hugo peint cela avec sa puissance d’évocation, son style sobre, nerveux, taillé et comme sculpté dans le granit — style unique d’énergie, d’ironie mordante, luisant et tranchant comme une épée où, sous la tragédie, court une verve de comique incomparable. » (Bérard-Varagnac, Le Journal des débats, 13 octobre 1877 ; voir les annexes du Tome II.) Téléchargements : ePUB - PDF - HTML - DOC/ODT Read the full article
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Dernier inventaire avant liquidation, un livre pratique et très drôle de Frédéric Beigbeder. Le top 50 des romans selon la France :
L' Etranger d'Albert Camus
2. A la recherche du temps perdu de Marcel Proust
3. Le Procès de Frantz Kafka
4. Le petit Prince d'Antoine de Saint-Exupéry
5. La condition humaine d'André Malraux
6. Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline
7. Les raisins de la colère de John Steinbeck
8. Pour qui sonne le glas d'Ernest Hemingway
9. Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier
10. L'écume des jours de Boris Vian
11. Le deuxième sexe de Simone de Beauvoir
12. En attendant Godot de Samuel Beckett
41. Bonjour tristesse
27. Lolita de Vladimir Nabokov
(....)
" Et Marie, son amour, était désormais comme les pochettes de disques et les photos jaunies, et ces styles vintage, et ces sourires d'hier, et toute la beauté du monde de Vincent qui était mort, et qui doucement s'abîmait, et c'était le propre de l'homme, de retenir la beauté fuyante et les paradis perdus. Et l'art, aujourd'hui, c'était bel et bien comme les ongles d'un mort. Qui poussent encore---et au-delà de la mort."
Patrick Eudeline, dernier paragraphe de
Ce siècle aura ta peau.
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Ben-Hur 31/01/2024
Il m’a aussi semblé bon, après avoir fait des recherches exactes sur toutes ces choses depuis leur origine, de te les exposer par écrit d’une manière suivie… Luc 1.3
Au cours d’un voyage, le général anglais Lewis Wallace, rencontra le colonel Ingersoll, athée notoire. Ils parlèrent du ridicule du christianisme et de toute forme de croyance religieuse. Ingersoll proposa : « Je vous crois capable de réaliser un ouvrage qui sonne le glas et assène un coup de grâce à tout cet obscurantisme religieux qui retient nos semblables dans ses filets. » Wallace accepta la proposition, mais ne voulant pas écrire n’importe quoi, il entreprit de faire des recherches sérieuses sur les sources de ces croyances. Il se mit au travail, lisant, étudiant, se confrontant notamment aux textes de la Bible. Confiant en sa perspicacité et en son esprit d’analyse, il ne doutait pas qu’il y trouverait bien des erreurs, contradictions et affabulations qui réduiraient à néant le christianisme…
Mais en avançant dans ses recherches, les arguments soutenant ses idées diminuaient, et plus il en voyait au contraire qui plaidaient en faveur de l’authenticité des textes, de la réalité de Dieu, et de la validité d’une foi vraie et active. Il finit par acquérir la conviction que Jésus était réellement le Fils de Dieu venu pour le réconcilier avec ce Dieu qu’il avait si longtemps nié. Et le livre prévu ? Il l’écrivit en 1880… Ce fut le célèbre roman Ben-Hur !
Jean-Louis Gaillard
__________________ Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 1, versets 1 à 4.
1 Plusieurs ayant entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous,
2 suivant ce que nous ont transmis ceux qui ont été des témoins oculaires dès le commencement et sont devenus des ministres de la parole,
3 il m'a aussi semblé bon, après avoir fait des recherches exactes sur toutes ces choses depuis leur origine, de te les exposer par écrit d'une manière suivie, excellent Théophile,
4 afin que tu reconnaisses la certitude des enseignements que tu as reçus.
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Et Après - Colette Guinard
Et Après ? La question semble déranger Serait-elle devenue un secret Quand par-ci par-là vacillent nos idées Qui se transforment sans arrêt. Dans notre esprit avide de savoir Le pourquoi du comment très curieux Qui voudrait dans ces pensées mystérieuses Découvrir la vérité, connaître notre histoire. Alors que le résumé de celle-ci, un songe de l’enfance Me ramène, aux douceurs d’antan en abondance La scolarité, période d’apprentissage qui m’a nourri Pour cheminer sur mon chemin de la vie. Aux ballades printanières de mon adolescence Avec ma fratrie, mes parents, le dimanche Sorties entre amies et quelques flirts sans conséquence Puis une rencontre fortuite avec mon chéri, une évidence. Longues fiançailles séparés par la guerre d’Algérie Retour définitif pour célébrer notre union à la mairie Un bonheur, merveilleux pour nous deux, où celui-ci D’une moisson prospère s’est enrichie. Les enfants ont grandi, à leurs tours ont quitté le nid Pour former une tribu, chacun de leur coté, bien à l’abri Les années, se sont envolées dans une réelle féerie Puis, la maladie sournoise nous a démoli Ne reste plus que des regrets, véritable tragédie. A présent, pour nous deux, sonne le glas Malgré toutes les souffrances subies Respectons notre promesse, que dans l’infini Nous soyons réunis, alors viens je t’attends là bas Texte de Colette Guinard Read the full article
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Épigraphe
Ernest Hemingway, Pour qui sonne le glas
#littérature#ernest hemingway#nobel de littérature#prix nobel#pour qui sonne le glas#épigraphe#Espagne#guerre d'espagne#genre humain
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VIVRE EN LITTÉRATURE ET POÉSIE : LE LIVRE DE POCHE, SI JEUNE DEPUIS 70 ANS
COMMENT LE « LIVRE DE POCHE » RACONTE SON HISTOIRE « C’est en février 1953 que paraissent les premiers « Livre de Poche », Koenigsmark de Pierre Benoit (le n°1), L’Ingénue libertine de Colette, Les Clefs du royaume d’A.J. Cronin, Pour qui sonne le glas d’Hemingway… Ils valent alors deux francs, soit à peine plus que le prix d’un quotidien, un peu moins que celui d’un magazine. Les débuts de…
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Abandon de livre * Depuis mes débuts en lecture, j'ai abandonné très peu de livres. Je dois d'ailleurs être capable d'en citer quelques uns : Dune de Franck Herbert, Voyage au bout de la nuit de Céline, Pour qui sonne le glas d'Hemingway, Nana d'Emile Zola… Pourtant des classiques ! J'y reviendrais peut être. * Chose étrange, je me suis instauré une sorte de règle : si je passe la page 100, je termine le livre ! Cela doit certainement venir de mon adolescence où j'étais capable de lire 3 ou 4 romans en même temps, et une discipline devait me guider pour les terminer ! * Chose impossible aujourd'hui, une seule histoire à la fois est mon plaisir du soir. S'endormir en compagnie de personnages, à la lumière tamisée de la lampe de chevet, avec une bonne tasse de tisane (oui j'ai arrêté le thé le soir)… plaisir ultime! * La journée je lis des articles, des newsletter, des livres d'éducation et des essais féministes, parfois un peu d'actualité, mais je préfère les sujets de fond. J'ai découvert les podcast récemment, mais je n'ai pas assez d'une journée pour tout lire/écouter… * L'abandon donc ne fait pas vraiment partie de ma vie de lectrice, et pourtant cette semaine j'ai lâché un pavé… impossible d'aller plus loin, d'ennui et d'incompréhension… ça arrive, mais quelle déception… * Etes-vous dans l'équipe "je termine" ou "j'abandonne" ? * #roman #litterature #litteratureetrangere #spiritualite #amour #rencontre #livre #lecture #book #bookstagram #instabook (à Toulouse, France) https://www.instagram.com/p/CpfU8Bnqdqs/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#roman#litterature#litteratureetrangere#spiritualite#amour#rencontre#livre#lecture#book#bookstagram#instabook
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Devenir le rien
Putain d'esprit dérangé par l'envie de sauter dans le vide Des hauteurs mortelles, palpitations toutes écrasées sur le bide Pourtant toujours cette peur irrémédiable et absolue de la mort Pourquoi cet attrait irrationnel est-il de plus en plus fort
Au delà des espérances, je traîne en boucle un manque de tout Un départ foireux et une arrivée en dernier, le corps bien mou Flasques et tombants sont les bras qui pourtant portaient montagnes Mais c'est toujours à chercher des excuses pour celui qui ne gagne
Et ce surplein d'émotions qui déchire motivation et tout égo Jusqu'à la pathétique noyade dans une putain de goutte d'eau Même pas la moitié d'une vie vécue et le poids n'est qu'amplifié Par les pensées noirâtres d'un con qui n'aurait été que gracié
Même plus envie d'avancer, ni même de creuser pour ne plus exister Arrache toi les doigts et déchire ta gorge dans ton absente vanité À force de n'être rien, in ne devient que le nihil, petit homme Dans la survie, tout y est bien pire. Attends que le glas sonne
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Pour qui sonne le glas.
Quelque part en Isère.
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