#pose la rochelle
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Plaque en hommage à : Quatre sergents de la Rochelle
Type : Lieu de travail
Adresse : 25 rue Descartes, 75005 Paris, France
Date de pose : Inconnue
Texte : Ici s'élevait le cabaret à l'enseigne du Roi Clovis où Bories, Goubin, Pommier et Raoulx, les quatre sergents de la Rochelle, membres de la Charbonnerie, préparèrent le complot qui devait les mener à l'échafaud le 21 septembre 1822
Quelques précisions : Jean-François Bories (1795-1822), Charles Goubin (1802-1822), Jean-Joseph Pomier (1796-1822) et Marius-Claude Raoulx (1798-1822) sont quatre militaires français, membres du 45ème régiment d'infanterie, communément dénommés les "Quatre sergents de la Rochelle". Opposés au retour de la monarchie sous la Restauration et profondément bonapartistes, ils s'associent et complotent pour provoquer une insurrection afin de renverser le pouvoir monarchique en place. Les membres du complot se réunissent au cabaret du Roi Clovis pour mettre au point les détails de leur plan avant leur départ prévu pour La Rochelle, où leur régiment a été transféré. Toutefois, ils sont arrêtés avant d'avoir pu mettre leur projet à exécution. Condamnés à mort, ils laisseront une image de martyrs de la liberté dans l'opposition (tant républicaine que bonapartiste) à la monarchie.
#collectif#travail#militaires#france#ile de france#paris#non datee#jean francois bories#charles goubin#jean joseph pomier#marius claude raoulx
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Rencontre avec Aurélien Ferreira
Rencontre avec Aurélien Ferreira
Le photographe Aurélien Ferreira, alias LULAH, présente son exposition “STREET DREAMS” au Bons Vivants Café à La Rochelle jusqu’à fin mai 2024. Une belle rencontre de Marguerite La Rochelaise. Aurélien Ferreira, en trois mots ? Ah c’est le genre de question que l’on pose à des proches ça (rires). C’est dur de se définir… Je dirais réservé, humain et curieux. Ton plus beau souvenir ? C’est ma…
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#art#artiste#Aurélien Ferreira#belles rencontres#clin d&039;art#La Rochelle#Lulah#marguerite la rochelaise#photographe#photographie#portrait#rencontre
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Lundi 05.02.24, 10h42
J-5. Le stress positif commence à monter. Nous avons pu nous appeler la semaine dernière, et faire le petit briefing dont tu avais besoin pour te rassurer. Tu m'as fait un vocal. Tu m'as dit que tu avais hâte d'y être. Je suis trop heureuse, j'ai moi aussi tellement hâte de te revoir, de te serrer dans mes bras, me lover contre ta peau, sentir ta bouche se poser partout sur moi et tes mains saisir les miennes.
Samedi mon train arrive à 12h33 à la gare de l'Est. Tu seras là. On file gare Montparnasse, 14h16 train pour Poitiers. On arrive, on se pose dans notre petit loc Airbnb et on passe 2 jours ensembles. Nous repartirons lundi soir chacun de notre côté, toi vers Paris, moi vers La Rochelle.
Je brûle d'impatience, j'en tremblerais presque intérieurement. Je ne sais pas comment je trouve le sommeil encore. Si j'ai eu le sentiment ces dernières semaines que le temps ne passait pas, depuis hier j'ai l'impression qu'il s'est mis à défiler soudainement beaucoup trop vite.
J'ai le coeur qui bat très fort.
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La Rochelle assure le minimum face à Bayonne en Top 14 - L'Équipe
La Rochelle assure le minimum face à Bayonne en Top 14 L’Équipe La Rochelle – Bayonne : le résumé de la victoire rochelaise Rugbyrama RUGBY. Top 14. Meilleur que les Saracens et le Munster, Bayonne domine l’Europe dans ce secteur ! Le Rugbynistère Top 14 : le Stade Rochelais pose une option sur les phases finales, l’Aviron s’en éloigne (26-6) Sud Ouest Grégory Patat (Bayonne) après la défaite…
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Information sur la société AUNIS DECORATION dans la commune LAGORD (17140) Pose revêtement de sol en Charente Maritime. Pose parquet flottant, massif ou pose parquet stratifié. Pose moquette. Pose sol vinyle, PVC, linoléum en lames collées ou pose dalles clipsables. Pose revêtement de sol Bolon. Pose jonc de mer, sisal. Pose sol La Rochelle, Royan, Saintes. Pose sol ile de Ré, Oléron.
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carrelet 5 by micheldmcmg
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Carrelet 4 by micheldmcmg
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Jours 145 et 146
Réveil matinal à Merate après notre dernière nuit italienne. On roule en direction du tunnel de Fréjus et on franchit la frontière française vers l'heure du déjeuner. On se cale manger à Montmélian au coeur des vignes de Savoie et en début d'après midi, on fait chacun un test PCR (nécessaire pour l'entrée en suisse et payant 90 euros en Italie, d'où notre choix de le faire en France). Ensuite, on rejoint les rives du lac du Bourget sous un magnifique soleil. Il y a de la neige partout et notre balade dans un parc au sud du lac est vraiment agréable. En fin d'après midi, on traverse le Rhône et on se cale pour la nuit dans un vignoble de l'Ain au pied du col du grand Colombier. Super accueil et surtout, on a l'electricite pour pouvoir chauffer le van. Première nuit en France depuis un gros bout de temps.
Le jour 146, on quitte le vignoble, on traverse Annemasse et Evian en faisant le tour du lac Léman par le Sud. On passe la frontière suisse sans se faire contrôler, on traverse Montreux et on arrive dans les vignobles magnifiques du Léman. On se pose déjeuner au milieu des vignes à Chexbres. En début d'après midi, on file découvrir le joli village de Cully en se baladant au bord du lac. On rejoint ensuite la ville de Lausanne que l'on découvre tranquillement tous les 3. Les illuminations de Noël se mettent en place, c'est très joli. On retrouve alors Jonas (un copain de Marion d'iut à la Rochelle) et Adrien et Thibault (copains ESB) avec qui on enchaine les vins chauds au marché de Noël. On termine avec Adrien et Thibault dans un très bon resto de fromages. Nuit hébergé dans la coloc de Thibault #hébergéscommedesrois
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Quand tu prends ta place dans ton royaume 👸🏻 . Tu sais dire oui aux autres bien plus que tu sais te dire oui à toi. Tu te fonds dans les attentes de ton entourage - plus ou moins proche. Tu ne veux pas faire souffrir. Tu ne veux pas blesser. Tu ne veux pas contrarier. Tu ne veux pas faire de vagues. Alors, tu as enfilé la carapace de cette femme qui n’ose pas, qui se tait, qui se retient, qui doute, qui a besoin de validation des autres, qui s’interdit de tester de nouvelles choses, qui se sent mal à l’aise dans tout un tas de situations… De peur de devenir (enfin), d’incarner qui tu es réellement. Celle que tu as toujours su qui tu étais mais que tu as enfermé dans une tour à double tour. Celle qui, une fois libérée, ne pourra plus se laisser faire, se taire, faire semblant. Cette reine qui ne demande qu’à te faire vivre la vie que tu mérites, qui veut que tu sois au rdv pour toi car tu es souveraine, tu es ton premier rôle. Cette reine que tu as peur de devenir car les souveraines sont souvent seules…Tu as peur de perdre. Mais perdre quoi ? Une vie qui ne te correspond pas ? Des relations qui sont toxiques et pas justes pour toi ? Pose-toi la question de qu’est-ce que tu gagnes à être la souveraine de ta vie ! 👑 tu tiens les rênes de ta vie 👑 tu es dans ta vérité 👑 tu es libre 👑 tu te respectes 👑 tu es dans l’expansion de toi-même 👑 tu décides de qui rentre ou non dans ton château 🏰 👑 tu t’aimes 👑 tu es inébranlable 👑 tu es unique 👑 tu es sereine 👑 tu es épanouie Alors, si tu as envie de ramasser cette couronne que tu as laissé de côté pendant trop longtemps et d’incarner cette merveilleuse Âme Fauve que tu es, cette reine de ta savane, contacte-moi ! #fidélité #souveraineté #liberté #mindset #mantra #coaching #femmepuissante #femmefatale #femme #amourdesoi #developpementpersonnel #bienetre #oseretresoi #oser #queen #reine #puissancefeminine #confiance #sérénité #paixinterieure (à Hôtel de ville de La Rochelle) https://www.instagram.com/p/CS7REIMieip/?utm_medium=tumblr
#fidélité#souveraineté#liberté#mindset#mantra#coaching#femmepuissante#femmefatale#femme#amourdesoi#developpementpersonnel#bienetre#oseretresoi#oser#queen#reine#puissancefeminine#confiance#sérénité#paixinterieure
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Pierre Drieu la Rochelle, “Les Mémoires de Dirk Raspe” (1966)
Dans ce dernier roman, posthume, Drieu la Rochelle semble enfin se mettre à distance de lui-même en laissant la place à un autre. Ce n'est pas sa vie qu'il entend raconter, mais celle de Van Gogh, sous la forme de mémoires apocryphes. Un Van Gogh imaginé, rêvé, fantasmé par Drieu néanmoins, et dont les questionnements restent ceux de l'auteur. Somme toute, encore un double de Drieu, non pas cette fois-ci un "homme couvert de femmes" (sa laideur, au contraire, les repousse), mais obsédé par elles, cherchant hors de lui la beauté qui lui fait défaut. C'est le combat sans fin de l'ombre et de la lumière que raconte Drieu dans ces mémoires, celui que le peintre observe dans les paysages qu'il contemple et cherche à retranscrire dans ses toiles autant que celui qui se joue dans l'âme humaine. "J'avais toujours eu mon enfer en moi" confesse le héros (p.210), conscient qu'il n'est pas toujours possible de distinguer le bien du mal et de démêler l'œuvre de Dieu de celle du Diable. Les mémoires restent inachevés. Drieu se suicide en cours de route, en cours d'écriture, laissant en suspens toutes les questions qu'il pose. Comme s'il n'y avait pas de réponse, ou pas de réponse définitive du moins. Les questions n'en résonnent que plus fort encore, dans le silence ouvert par la mort.
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Richard Cromwell (born LeRoy Melvin Radabaugh, also known as Roy Radabaugh; January 8, 1910 – October 11, 1960) was an American actor. His career was at its pinnacle with his work in Jezebel (1938) with Bette Davis and Henry Fonda and again with Fonda in John Ford's Young Mr. Lincoln (1939). Cromwell's fame was perhaps first assured in The Lives of a Bengal Lancer (1935), sharing top billing with Gary Cooper and Franchot Tone.
That film was the first major effort directed by Henry Hathaway and it was based upon the popular novel by Francis Yeats-Brown. The Lives of a Bengal Lancer earned Paramount Studios a nomination for Best Picture in 1935, though Mutiny on the Bounty instead took the top award at the Academy Awards that year.
Leslie Halliwell in The Filmgoer's Companion, summed up Cromwell's enduring appeal when he described him as "a leading man, [the] gentle hero of early sound films."
Cromwell was born LeRoy Melvin Radabaugh in Long Beach, California, the second of five children, to his mother Fay B. (Stocking) and his father, Ralph R. Radabaugh, who was an inventor. Among Ralph's patented creations was the amusement-park swing ride called the "Monoflyer", a variation of which is still in use at many carnivals today. In 1918, when young "Roy" was still in grade school, his father died suddenly, one of the millions of people who perished during the "Spanish flu" pandemic.
Later, while enrolled as a teenager in the Chouinard Art Institute in Los Angeles on a scholarship, young Roy helped to support his family with odd jobs. The school was the precursor of the California Institute of the Arts, and it was there where he met fellow classmate Edith Posener. Posener, later known as Edith Head, would become one of the leading costume designers in American film history.
Cromwell ran a shop in Hollywood where he sold pictures, made lampshades, and designed colour schemes for houses. As Cromwell developed his talents for lifelike mask-making and oil painting, he formed friendships in the late 1920s with various film starlets who posed for him and collected his works, including Tallulah Bankhead, Joan Crawford, Greta Garbo, Claire Dubrey and Ann Sothern. Actress and future Academy Award-winner Marie Dressler was also a friend; the two would later share top-billing in the early talkie film Emma.
Still known as "Roy Radabaugh", he had just two days in film extra work on the side, and can be seen in King of Jazz (1930), along with the film's star, Paul Whiteman and his orchestra. On a whim, friends encouraged Roy to audition in 1930 for the remake of the Richard Barthelmess silent: Tol'able David (1930). Radabaugh won the role over thousands of hopefuls, and in storybook fashion, Harry Cohn gave him his screen name and launched his career. Cromwell earned $75 per week for his work on Tol'able David. Noah Beery Sr. and John Carradine co-starred in the film. Later, Cohn signed Cromwell to a multi-year contract based on the strength of his performance and success in his first venture at the box-office. Amidst the flurry of publicity during this period, Cromwell toured the country, even meeting President Herbert Hoover in Washington, D.C.
Cromwell by then had maintained a deep friendship with Marie Dressler, which continued until her death from cancer in 1934. Dressler was nominated for a second Best Actress award for her 1932 portrayal of the title role in Emma.
With that film, Dressler demonstrated her profound generosity to other performers: Dressler personally insisted that her studio bosses cast Cromwell on a loan-out in the lead opposite her — it was another break that helped sustain his rising status in Hollywood. Emma also starred Myrna Loy in one of her earlier screen performances. After production on Emma was completed, Director Clarence Brown tested Cromwell for the male lead in his next feature: The Son-Daughter, which was set to star Helen Hayes. However, the part of the oriental prince ultimately went to Ramón Novarro, and Cromwell never again worked at MGM.
Cromwell's next role in 1932 was on loan to RKO and was as Mike in Gregory La Cava's, The Age of Consent, co-starring Eric Linden and Dorothy Wilson. Cromwell is also remembered during this period in Hoop-La (1933), where he is seduced by Clara Bow. This film is considered the swan song of Bow's career. Next, the much in demand Cromwell starred in Tom Brown of Culver that year, as well.
Around this period in his career in the early to mid-30s, Cromwell also did some print ads and promotional work for Lucky Strike brand cigarettes. According to his niece, Joan Radabaugh, Cromwell was a very heavy smoker. Nevertheless, at his home he was always the gracious host, as his niece related, and as such he took great care to empty the ashtrays regularly, almost to the point of obsession.
Next up, was an early standout performance by Cromwell in the role as the leader of the youth gang in Cecil B. DeMille's now cult-favorite, This Day and Age (1933). To ensure that Cromwell's character used current slang, DeMille asked high school student Horace Hahn to read the script and comment (at the time, Hahn was senior class president at Los Angeles High School). While again on loan from Columbia, Cromwell's by then salary of $200 per week was paid by Paramount Pictures, DeMille's studio. Diana Serra Cary, in her biography of Jackie Coogan, relates an episode on the set wherein Cromwell came to the aid of actress Judith Allen:
I watched as he (DeMille) systematically reduced ingenue ... Allen to screaming hysterics by calling her every insulting name in the book in front of company and crew simply to bring on tears ... Cromwell was the only man on the set who dared confront the tyrannical DeMille. White with rage, Cromwell stopped the scene and threatened to deck him if he didn't let up on the devastated girl. He (Cromwell) then drove her home himself. After that courageous act the chivalric Cromwell was unanimously praised as a veritable dragon slayer by everyone who had witnessed that scene.
After a promising start, Cromwell's many early pictures at Columbia Pictures and elsewhere were mostly inconsequential and are largely forgotten today. Cromwell starred with Will Rogers in Life Begins at 40 for Fox Film Corporation in 1935, it was one of Rogers' last roles and Poppy for Paramount in 1936 wherein Cromwell played the suitor of W.C. Fields' daughter, Rochelle Hudson. In 1937, he was the young bank-robber in love with Helen Mack and on the lam from Lionel Atwill in The Wrong Road for RKO.
In 1936, Cromwell took a detour in his career to Broadway for the chance to star as an evil cadet in an original play by Joseph Viertel, So Proudly We Hail!. The military drama was directed by future film director Charles Walters, co-starred Edward Andrews and Eddie Bracken, and opened to much fanfare. The reviews of the play at the time called Cromwell's acting "a striking portrayal" (New York Herald Tribune) and his performance an "astonishing characterization" (New York World Telegram). The New York Times said that in the play, Cromwell "ran the gamut of emotions". However, the play closed after only 14 performances at the 46th Street Theater.
By now, Cromwell had shed his restrictive Columbia contract, with its handsome $500 per week salary, and pursued acting work as a freelancer in other media as well. On July 15, 1937, Cromwell guest-starred on The Royal Gelatin Hour hosted by Rudy Vallee, in a dramatic skit opposite Fay Wray. Enjoying the experience, Cromwell had his agent secure for him an audition for the role of Kit Marshall, on the soap opera Those We Love, first on NBC Radio and then CBS Radio. As a regular on the Monday night program which ran from 1938 until 1942, Cromwell played opposite Nan Grey who played Kit's twin sister Kathy. Cromwell as Kit was later replaced by Bill Henry. Rounding out the cast were Robert Cummings and Gale Gordon.
In the late 1930s, Cromwell appeared in Storm Over Bengal, for Republic Pictures, in order to capitalize on the success of The Lives of a Bengal Lancer. Aside from the aforementioned standout roles in Jezebel and The Lives of a Bengal Lancer, Cromwell did another notable turn as defendant Matt Clay to Henry Fonda's title-performance in Young Mr. Lincoln (1939).
During this period, Cromwell was continuing to enjoy the various invitations coming his way as a member of the A-list Hollywood social circuit. According to Bob Thomas, in his biography of Joan Crawford, Cromwell was a regular at the Saturday Night dinner parties of his former co-star Franchot Tone and then-wife Crawford. Other guests whom Cromwell dined with there included Barbara Stanwyck and then-husband Frank Fay, and William Haines and his partner Jimmie Shields. During the freewheeling heyday of West L.A. nightlife in the late 30s, Cromwell is said by author Charles Higham to have carried on a sometime, though obviously very discreet, affair with aviator and businessman Howard Hughes.
In 1939, Cromwell again tried his luck on the stage in a regional production of Sutton Vane's play Outward Bound featuring Dorothy Jordan as his co-star. The cast of the production at the Los Angeles Biltmore Theater also included Cora Witherspoon and Reginald Denny
Cromwell served during the last two years of World War II with the United States Coast Guard, along with fellow actor and enlistee Cesar Romero. Actor Gig Young was also a member of this branch of the service during the war. During this period, Cole Porter rented Cromwell's home in the Hollywood Hills, where Porter worked at length on Panama Hattie. Director James Whale was a personal friend, for whom Cromwell had starred in The Road Back (1937), the ill-fated sequel to All Quiet on the Western Front. With the war's end, and upon returning to California from the Pacific after nearly three years of service with the Coast Guard, Cromwell acted in local theater productions. He also signed on for live performances in summer stock in the East during this period.
When in town, Cromwell was a fixture within the Hollywood social scene. According to the book Cut! Hollywood Murders, Accidents and Other Tragedies, Cromwell was a regular at George Cukor's "boys nights".
Back in California for good, Cromwell was married once, briefly (1945–1946), to actress Angela Lansbury, when she was 19 and Cromwell was 35. Cromwell and Lansbury eloped and were married in a small civil ceremony on September 27, 1945, in Independence, California. In her authorized biography, Balancing Act, Lansbury recounts her life with Cromwell, as well as the couple's close friendship with Zachary Scott and his first wife, Elaine. Lansbury and Cromwell have stars within walking distance of each other on the Hollywood Walk of Fame.
Cromwell made just one statement to the press regarding his wife of nine months and one of her habits: "All over the house, tea bags. In the middle of the night she'd get up and start drinking tea. It nearly drove me crazy."
According to the biography: Angela Lansbury, A Life on Stage and Screen, Lansbury stated in a 1966 interview that her first marriage, "was a mistake" and that she learned from it. She stated, "I wouldn't have not done it", and, "I was too young at 19. [The marriage] shouldn't have happened." Articles based on interviews with Lansbury have stated that Cromwell was gay. Cromwell and Lansbury remained friends until his death in 1960.
Before World War II, in the early 1940s, Universal Pictures released Enemy Agent starring Cromwell as a draftsman who thwarts the Nazis. In 1942 he then went on to appear in marginal but still watchable fare such as Baby Face Morgan, which co-starred Mary Carlisle and was produced by Producers Releasing Corporation, one of the "Poverty Row" studios.
Cromwell enjoyed a career boost, if not a critically acclaimed performance, in the film adaptation of the hit radio serial: Cosmo Jones, Crime Smasher (1943), opposite Gale Storm. Next up at Monogram Pictures he was cast as a doctor working covertly for the police department to catch the mobsters in the very forgettable, though endearing Riot Squad, wherein his "fiancée", Rita Quigley, breaks their engagement. Cromwell's break from films due to his stint in the Service meant that he was not much in demand after the War's end, and he retired from films after his comeback fizzled. His last role was in a noir flick of 1948, Bungalow 13. All told, Cromwell's film career spanned 39 films.
In the 1950s, Cromwell went back to artistic roots and studied ceramics. He built a pottery studio at his home. The home still stands today and is located in the hills above Sunset Boulevard on North Miller Drive. There, he successfully designed coveted decorative tiles for himself and for his industry friends, which, according to his niece, Joan Radabaugh, he marketed under his stage name.
Around this time, Baby Peggy Montgomery (a.k.a. Diana Serra Cary), who had appeared in This Day and Age with Cromwell many years earlier, recalled visiting Cromwell at his home along with her late husband during this period to see his "beautiful ceramic screen which had won him a prize at the L.A. County Fair." His original tiles as well as his large decorative art deco-style wall paintings of Adam and Eve can still be seen today in the mezzanine off the balcony of the restored Pantages Theatre in Hollywood, which is today considered a noted architectural landmark.
Under the name Radabaugh, Cromwell wrote extensively, producing several published stories and an unfinished novel in the 1950s. After years of heavy drinking with a social circle of friends that included the likes of Christopher Isherwood, Cromwell ultimately changed his ways and became an early participant and supporter of Alcoholics Anonymous in the Los Angeles Area.
In July 1960, Cromwell signed with producer Maury Dexter for 20th Century Fox's planned production of The Little Shepherd of Kingdom Come, co-starring Jimmie Rodgers, Bob Dix (son of Richard Dix), and Neil Hamilton who replaced Cromwell in the film. Cromwell became ill and died on October 11, 1960 in Hollywood of liver cancer, at the age of 50. He is interred at Fairhaven Memorial Park in Santa Ana, California.
Cromwell's legacy is preserved today by his nephew Dan Putnam, and his cousin Bill Keane IV, both of the Conejo Valley in Southern California, as well as the family of his late niece, Joan Radabaugh, of the Central Coast. In 2005, Keane donated materials relating to Cromwell's radio performances to the Thousand Oaks Library's Special Collection, "The American Radio Archive". In 2007, Keane donated memorabilia relating to Cromwell's film career and ceramics work to the AMPAS Margaret Herrick Library in Beverly Hills.
Cromwell was mentioned in Gore Vidal's satirical novel Myra Breckinridge (1968) as "the late Richard Cromwell, so satisfyingly tortured in Lives of a Bengal Lancer".
#Richard Cromwell#classic hollywood#classic movie stars#golden age of hollywood#old hollywood#1930s hollywood#1940s hollywood
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[Barre composite #nautex] Les barres à roue représentent la signature du propriétaire de voilier. Nautex a accompagné celui d’un X-34 basé à La Rochelle jusqu’à la pose de sa nouvelle barre à roue en composite fibre de verre. Produits “custom” de haute qualité, elles sont proposées en standard en noir ou blanc mais il est possible de les livrer à la couleur demandée. https://www.nautex-international.com/barre-a-roue-fibre-verre.html
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Velhos tempos (Part 1/3)
| Contagem de palavras: 3.1k |
—
Os raios de sol que entravam pelas frestas da cortina começaram a incomodar. Para muitos, um dia ensolarado é associado a um dia bom. Menos para Annie. A alta temperatura chegava a incomodar, o suor que começou a se formar nas têmporas incomodava mais ainda.
Annie France preferia dias frios debaixo da coberta.
No entanto, o incômodo soou como um alarme, o despertador já havia tocado várias vezes naquela manhã e todas as vezes fora ignorado. Em uma tentativa de colocar no modo soneca, acabou desligando o aparelho, o que resultou em várias chamadas perdidas.
— Droga, acho que to atrasada – disse enquanto se espreguiçava na cama de solteiro.
A morena deu leves tapinhas no rosto na tentativa de acordar. Observou que sua colega de quarto não tinha voltado da festa na noite anterior. Annie queria dormir mais, porém se ela não fosse ao treino e nem desse sinal de vida, Bokuto ficaria preocupado e com certeza atrasaria todo o treinamento para ir até o seu dormitório.
Ela estendeu a mão na mesa de cabeceira, apalpando a procura do celular. Quando o pegou na mão, pressionou o botão de ligar, o deixou apoiado na barriga e fechou os olhos.
“Só 1 minutinho…” pensou enquanto já ressonava.
Literalmente 1 minuto foi suficiente, pois despertou no susto ao ouvir as porradas que eram distribuídas na porta.
— Meu Deus! – exclamou com a mão no peito — Vai quebrar, merda! – gritou, já calçando as pantufas e se dirigindo à porta.
Deu uma olhada no olho mágico, vislumbrando um dos olhos verdes praticamente enfiado na pequena abertura e agradeceu por ser Chele e não seu namorado.
— Se tu tá aqui, então não tô tão atrasada – disse, abrindo a porta para a melhor amiga — A gente não combinou de se encontrar lá no ginásio?
Rochele era sua melhor amiga desde o ensino médio, na época era mais uma amizade a distância do que presencial, visto que moravam em cidades diferentes. Se conheceram em um dos jogos do Nekoma contra o Karasuno.
— Sim, France, mas tu não recebe as mensagens, nem atende o celular – ela disse exasperada, enquanto sentava na cadeira da mesa do computador, arrumando os cachos castanhos e limpando o suor da testa.
— Devo ter desligado o celular em vez de colocar o alarme no soneca – respondeu enquanto prendia o cabelo preto em um coque mal feito.
Chele pegou o celular de Annie na cama, teoricamente para verificar se ela já tinha ligado. Desbloqueou a tela e uma avalanche de mensagens de Bokuto começou a piscar na tela.
— O Bokuto tá desesperado – ela disse, rindo da situação.
Nem parece que ela estava quase quebrando a porta há minutos atrás.
— Hum, imagino – disse preguiçosamente enquanto se arrastava pegando a toalha e outros itens de higiene para ir ao banheiro — Que horas são, Chele?
— 7h45 – respondeu, observando Annie abrir a porta, os olhos ainda inchados de sono — Tu tem exatos 15 minutos, go go!
Annie apenas balançou a mão em resposta, aliviada por não estar atrasada.
[...]
Exatos 15 minutos, como desafiada por Chele, Annie estava de banho tomado, roupa vestida, terminando de passar o protetor solar e um batom vermelho, era tudo que precisava. Chele tinha que admitir, ela era rápida e gostava de ser pontual, mesmo que o sono atrapalhasse o processo de se arrumar.
Vendo que seu tempo tinha extrapolado em 2 minutos. Annie se apressou em pegar o celular e passou os olhos rapidamente nas mensagens preocupadas e desconexas do namorado.
“Bom dia, meu anjo precioso 🌞” – 6h15.
Kotaro Bokuto acordava cedo quando estava muito animado, então conhecendo a namorada, obviamente ele não esperava que ela respondesse tão cedo.
“Eu já to pronto, espero que você não demore a acordar 😝” – 6h50. “Saudades. Quero te ver 🥰” – 6h51. “Ainda não acordou? 😳” – 7h. “Annieeee, meu amor, você não está mais recebendo as mensagens… 😫” – 7h05.
A partir daí várias e várias ligações perdidas e mensagens preocupadas perguntando se alguma coisa tinha acontecido ou se tinha sido raptada no meio do caminho. Então Annie, com pressa em sair logo, desatou a mandar várias figurinhas tristes para o namorado, que não tinha mais mandado mensagens há alguns minutos.
“Desculpe, bb. Dormi demais, estou chegando com a Chele” – 8h02.
— Avisei o Kuroo, ele deve ter avisado o Bokuto – Chele avisou ao observar o bico lateral que se formou nos lábios da amiga — Vamos logo, senão chegaremos atrasadas.
Com um aceno de cabeça, France levantou da cadeira, enfiou o celular na shoulder bag, já em direção a porta, abrindo para que ambas pudessem sair, recebendo um afago de tranquilidade, bagunçando o topo do cabelo preto que estava solto. Rochele ouviu a sonorização de reclamação enquanto sorria, ser mais alta tinha suas vantagens.
[...]
Era uma boa caminhada do dormitório de France até lá, o dormitório de Chele era mais próximo, mas ela não parecia cansada. Apesar do sol, as roupas de verão que ambas vestiam facilitaram a luta contra o suor. Mas a essa altura do campeonato, Annie já tinha prendido o cabelo em um coque alto. Eram 8h37 quando as amigas chegaram no ginásio da faculdade, o treino estava marcado para às 9h, então tinham tempo o suficiente para jogar conversa fora e aproveitar a companhia dos namorados.
Ao entrarem no ginásio, boa parte da antiga equipe do colegial estavam reunidos e alongando-se na quadra. Embora Kuroo e Bokuto jogassem no mesmo time da faculdade, desde que terminaram o colegial e os membros dos times Nekoma e Fukurodani seguiram caminhos distintos, eles sempre tiravam um final de semana no mês para treinar e jogar, para relembrar os velhos tempos.
Rochele sorriu ao avistar Kuroo vindo em sua direção, o moreno sorriu de volta, esboçando um sorriso ladino enquanto a agarrava pela cintura, dando um abraço apertado, cheirando o pescoço da namorada. Alguns selinhos trocados e Annie desviou o olhar procurando pela silhueta do platinado.
Teve a atenção desviada quando sentiu a mão de Kuroo dando leves tapinhas em sua cabeça.
— Oi, France! – o ex-capitão do Nekoma cumprimentou, com os olhos fechados e um sorriso largo.
Mais baixa que todos ali, Annie fez um bico arrumando o cabelo. Ela era como um cachorrinho que todos queriam fazer um carinho na cabeça.
Exceto que ela não era um cachorro.
— Oi, Kuroo – sorriu levemente — Onde ele tá? – perguntou sem cerimônias, vasculhando o ginásio novamente.
Normalmente Bokuto viria correndo, praticamente pulando, em sua direção assim que entrasse no ginásio. Ele devia estar chateado.
— Ali – ele apontou com o polegar para uma direção atrás de si — Chegou todo preocupado e ta no “modo emo” desde então.
Chele deu uma risada com a informação.
— Oh France, vai lá animar teu homem – ela disse enquanto a morena partiu na direção informada — Tu não avisou ele, amor? – perguntou ao namorado, quando a amiga já estava mais longe.
— Avisei! – exclamou, de certa forma até ofendido, pois se tinha uma coisa que ele tinha feito, era avisado — E acha que ele me ouviu? Era só “Annie não me responde” pra cá, “To com saudade dela” pra lá. Mesmo quando eu disse que ela já estava vindo e só não respondeu porque tinha dormido demais, ele continuou assim. Eu parei de dar atenção pra doido.
Os dois sorriram e caminharam em direção a arquibancada, aproveitando o momento a “sós” antes do treino começar, botar o papo em dia e aproveitar mais um do outro.
Apesar da pose de macho alfa, Kuroo era totalmente rendido pela namorada, então qualquer oportunidade que tinha de ficar na companhia dela não deveria ser desperdiçada. Rochele sentou, enquanto o moreno começava a se alongar na frente dela.
— E como meu capitão está hoje? – ela perguntou.
Apesar do tom inocente, ouvir as palavras “meu capitão” saírem dos lábios carnudos e em sua opinião, extremamente beijáveis, de sua namorada poderia ser considerado até um pecado.
Ele gostaria de ouvir de novo mais tarde.
— Perfeitamente bem agora – respondeu inclinando o corpo e roubando vários selinhos enquanto fingia que ainda estava se alongando — E você, princesa?
As mãos astutas de Kuroo se apoiavam levemente nas coxas parcialmente despidas de Rochele, que vestia uma short biker preta. O antigo uniforme nº 1 do Nekoma, amarrado lateralmente, enchia o peito do bloqueador com um certo desejo e admiração, uma forma de lembrá-lo que ela era dele. Kuroo não pôde deixar de sorrir, os olhos semicerrados e desejosos que só ele tinha e que Chele conhecia bem, inclinou mais o corpo, enfiando o rosto no pescoço, desviando habilmente dos cachos curtos, respirando profundamente seu perfume atrás da orelha.
“Tão preciosa” pensou consigo.
— Safado – disse sorrindo com a mistura de cócegas provocadas pelo nariz em sua orelha e com o formigamento que se formava em suas pernas.
Seu namorado era uma tentação e se ela deixasse ele levar isso adiante, passaria por um belo aperto no banheiro do ginásio. Uma rapidinha não seria uma má ideia.
Ela afastou Kuroo levemente com uma das mãos, abanando a outra como se estivesse afastando mosquitos na frente do rosto. Na verdade, ela só queria tirar os pensamentos pervertidos do caminho. Ainda tinha um longo dia pela frente.
— Eu estou muito bem, viu? – perguntou retoricamente, ainda sorrindo — Pois o senhor volte a se alongar aí, tô de olho que tu tá só disfarçando.
O capitão voltou a sorrir, mais tranquilo e alongando-se de verdade. Provocá-la era divertido demais, mas se continuasse estaria com um problema na bermuda e cancelar o treino não era uma boa opção.
Em meio aos sorrisos e papo descontraído dos gatinhos, Annie se aproximava do namorado, que alongava-se desleixadamente no chão da quadra. Como se pudesse sentir a presença de sua amada, Bokuto virou levemente o tronco para trás, esboçando uma triste feição no rosto.
O olhar tristinho e caído, os lábios em um pequeno bico para baixo, sobrancelhas retas e franzidas, o cabelo que vive sempre em pé estava com as pontas para baixo, murchinho, como se estivesse demonstrando o quão triste estava o homem à sua frente.
Com certeza o Kotaro estava no seu “modo emo”.
Seria extremamente fofo a visão do homem de 1,90m se comportando como uma criança tristonha, a menos que ela não tivesse a total noção de que ele realmente estava sofrendo.
— Não me olhe assim – ela disse calmamente, fazendo um biquinho nos lábios e sentando-se ao seu lado, de frente pra ele, arrumando os fios platinados de raiz escura para cima, como deveria ser — Me desculpe, querido.
— Não aconteceu nada, princesa? Você está bem? – perguntou tristonho, encarando-a preocupado e apoiando os braços no chão em cada lado do corpo de Annie.
Insegurança não fazia o feitio de Bokuto, mas ele podia se tornar carente da mulher a sua frente. Definitivamente ele era muito apaixonado, apesar dos anos juntos.
— Está tudo bem – a morena respondeu, deixando vários beijinhos no rosto do ás, que vagarosamente inclinava mais na direção dos seus lábios, aproveitando o carinho — Eu só queria dormir mais em uma manhã de sábado – disse sorrindo, colocando as mãos em cada lado do rosto dele.
— Fiquei preocupado quando você deixou de receber minhas mensagens e o telefone só dava caixa postal – disse sincero.
Fofo.
Ela sorriu boba.
— Eu fiquei colocando o alarme no soneca e uma das vezes acabei desligando o celular – ele franziu as sobrancelhas e levantou os lábios, como uma criança brava e ela logo tratou de justificar — Você sabe como eu posso agir enquanto eu durmo.
Bokuto sorriu. Ele sabia.
— Você é praticamente uma sonâmbula – disse, já sorrindo e abraçando o pequeno corpo da baixinha a sua frente.
Ela era literalmente a menor pessoa que ele conhecia e ele só queria protegê-la.
[...]
Algumas horas após o almoço, os rapazes já estavam na sexta partida, que o antigo Nekoma estava em vantagem.
Rochele e Annie estavam na arquibancada, bancando as boas namoradas, torcendo pelos seus jogadores. Obviamente a rivalidade era de brincadeira, pelo menos para elas.
Kuroo e Bokuto, apesar de serem bons amigos entre tapas e beijos, agiam como verdadeiros rivais dentro da quadra, ambos querendo mostrar para o que vieram. Com uma leve pitada de ego ameaçado, pois para cada um, apenas para uma pessoa importava todo esse exibicionismo.
As duas torcedoras se assustaram com o barulho do impacto da bola no chão, Bokuto pulou de alegria por ter marcado e virou-se na sua direção, os olhos âmbares encarando os de Annie, quase como se dissesse “Você viu?”.
Chele cutucou a amiga no braço com o cotovelo, divertida com as demonstrações que os jogadores exibiam cada vez que marcavam.
Claro que Annie tinha visto.
Tetsuro, apesar de querer demonstrar que estava marcando e dedicando o ponto para sua amada namorada, fazia-o também por querer provocar Bokuto. No entanto, o Kotaro tinha outra rivalidade.
Quando todos estavam no ensino médio e Annie ainda estava na Karasuno, ela costumava ir assistir os amistosos contra o Nekoma, foi assim que conheceu o capitão do time e de imediato, desenvolveu um crush por ele. Afinal, Kuroo era – e ainda é – extremamente bonito, os cabelos negros como ébano e o olhar simples e dissimulado chamavam a atenção. Ele era popular com as garotas.
Todavia, não eram compatíveis, ela simplesmente chegou à conclusão de que a personalidade do capitão simplesmente não fazia o seu feitio. Kuroo parecia ser um cara que ela tinha que elogiar, porque ele era o melhor. E bom, ela não estava interessada.
Em um dos amistosos, ela avistou uma figura diferente. Uma garota de cabelos cacheados e tingidos de ruivo, com a farda da Fukurodani. Foi aí que ela e Rochele se conheceram, ela se apresentando para a Karasuno, extrovertida e sociável, totalmente diferente da morena. Aparentemente ela estava de rolo meio ead com Hajime Iwaizumi, um dos jogadores da Aoba Johsai. Como era um amistoso entre os times – Karasuno, Nekoma, Fukurodani e Aoba – ela tinha aproveitado para vê-lo.
O rolo não durou além desse dia, pois no momento em que Rochele e Annie estavam conversando e se conhecendo, a figura do capitão da Nekoma apareceu, cumprimentando as duas, Annie, que ele já conhecia e a garota bonita que ele nunca tinha visto.
Porra, o coração de Chele bateu tão rápido que tremeu as pernas. Kuroo percebeu que ela estava, de uma certa forma, interessada, exibiu um sorriso sugestivo para a novata e se despediu, voltando para a quadra.
Foi amor à primeira vista. Ou fogo à primeira vista, ela não sabia. E foi recíproco, pela forma óbvia que Kuroo demonstrou interesse na linda garota de olhos verdes.
Claramente não rolou nada além de uma paixonite unilateral e momentânea de Annie por Kuroo. Bokuto e Annie se conheceram no mesmo dia, mas demoraram bem mais para engatar em algo, foi uma amizade que demorou a iniciar, em partes porque ela não tinha interesse, seguida de uma troca de mensagens constantes, visto que eram de cidades diferentes. Conquistar Annie foi difícil, do ponto de vista do capitão da Fukudo. Na verdade, ela só era tímida demais para interpretar os sinais e se ele não tomasse iniciativa, seriam apenas amigos até hoje.
Aparentemente a história do crush por Kuroo era de conhecimento de todos, o casal de gatinhos levava numa boa. Mas possessivo como poderia ser, a rivalidade e farpas de Bokuto e Kuroo aumentaram saudavelmente depois que ele conheceu a história.
Outro impacto da bola de vôlei no chão chamou a atenção. Era ponto de Kuroo, que sorria desavergonhado para Chele. Era o ponto da vitória.
Empate. 3x3.
Ele correu para a arquibancada, pronto para pegar a namorada nos braços e enchê-la de beijos. Articulada como uma gata que era, ela facilmente pulou da pequena cerca e se atirou nos braços do seu capitão.
Mais atrapalhada e claramente menor que os 1,70m da amiga com suas longas pernas, France fez um caminho maior para não correr o risco de fazer qualquer movimento errado e, sei lá, tropeçar e bater de cara no chão. Como se Bokuto fosse deixar isso acontecer.
“Doida, paranóica” cantou em sua mente enquanto terminava seu caminho.
— Agora é a hora do desempate – Bokuto disse ofegante, abraçando sua pequenina pelas costas, beijando a lateral do seu rosto.
— Nah, acho que já deu por hoje – o Tetsuro respondeu, apoiando a mão na cintura de Rochele, puxando ela pra si.
— Tu sabe que mesmo ganhando a última partida, o resultado ainda é empate, né? – ele perguntou, um pouco descrente.
— Tsc… Acho que não – Kuroo respondeu, fazendo uma careta e coçando a cabeça com a mão livre — Você lembra de algum empate, amor? – perguntou divertido para a namorada.
Entrando na brincadeira, Rochele negou com a cabeça, sorrindo.
— Pois você é um trapaceiro. Ali o placar, olha! – o platinado proferiu indignado, se era para resolver, que jogassem mais uma partida para o desempate.
— Do que você me chamou? – o outro perguntou, se soltando da namorada e apontando o dedo na cara do parceiro de time.
— Trapaceiro! – o mais alto respondeu, inclinando o corpo pra frente e exibindo a língua para Kuroo.
“Oh meu Deus, parecem duas crianças” as duas pensaram.
— Bebê – Annie chamou — acho que realmente já chega, vamos aproveitar o finalzinho do sábado, tudo bem pra você? – perguntou levantando-se um pouco na ponta dos pés e esticando os braços na direção dele, arrumando os fios platinados para trás — Foi empate, 3 a 3, tá tudo certo!
A expressão do coruja se suavizou com o toque. Ela parecia ser muito menor que 1,55m se esticando assim.
“Fofa, fofa” cantarolou em sua mente, envolvendo os braços curtos dela em seu ombro, espalhando beijinhos apaixonados em suas bochechas. Totalmente vencido.
— A France tem razão, eu só quero descansar, tenho certeza que estão todos cansados – Chele falou esticando os braços para cima, espreguiçando-se.
— Ainda tenho energia para o resto da noite – a voz lasciva de Kuroo alcançando seus ouvidos.
Sem vergonha.
— Pelo amor de Deus esperem chegar no quarto, por favor – a voz de Kenma foi baixa, mas facilmente entendível.
— Ok, ok! – Kuroo falou, com os braços na frente do corpo em trégua — Só vou tomar um banho e vamos, certo? – perguntou para a namorada.
— Vou estar sozinha no dormitório hoje – disse Chele, a voz próxima do ouvido do moreno. — Quer dormir lá hoje?
E mais uma vez aquele sorriso sem vergonha dançou no rosto de Tetsuro Kuroo, acompanhado daquele olhar lascivo.
— Pode apostar que faremos tudo, menos dormir.
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Cara Chiara,
anche io come te e come tutta l’Italia sono rimasto sconvolto dai fatti di Colleferro, e anche io come te e come tutta l’Italia, in questi giorni mi sto interrogando sulle cause che possono spingere dei ventenni a massacrare di botte un ragazzino in una maniera così brutale e vigliacca.
Quando ho letto la tua soluzione al problema mi sono immerso ancora una volta nei profili social dei quattro accusati di omicidio. Volevo trovare un riscontro nelle tue parole, volevo capire se davvero il problema si possa risolvere cancellando la “cultura fascista”. E allora sono andato a verificare quanto la “cultura fascista” avesse inciso nella formazione della personalità delle belve di Artena.
Mi aspettavo di trovare post o citazioni di almeno uno di quegli autori che compongono il “pantheon” della “cultura fascista”, personaggi come Corneliu Zelea Codreanu, Leon Degrelle, Robert Brasillach, Pierre Drieu La Rochelle, Benito Mussolini, Filippo Tommaso Marinetti, Gabriele D’Annunzio, Luis Ferdinand Celine, Knut Hamsun, Julius Evola, Ernst Jünger, Ezra Pound, Giovanni Gentile, Luigi Pirandello, e così via discorrendo. Invece ho trovato il deserto dei tartari, come lo chiamava Dino Buzzati, altro celebre autore iscritto al PNF.
Nei profili social delle iene di Artena in verità non ho trovato proprio alcun riferimento culturale, e francamente dubito che gli energumeni abbiano mai letto un libro. Quello che ho potuto vedere è invece quella spasmodica e ossessiva mania di ostentazione, quella patologica voglia di apparire, di essere a tutti i costi in linea con gli standard dettati dalle grandi star dei social network. Selfie in pose plastiche, abiti firmati, corpo scolpito e tatuato fino al collo, orologi e patacconi, foto pacchiane in località esclusive: questa è la sub-cultura che regna sovrana tra i giovani. E, guarda caso, è anche quella che fa fare tanti soldini agli influencer.
La tragedia forse è proprio questa: la mancanza di qualsiasi cultura, la mancanza di qualsiasi tensione ideale, e perciò di etica. Perdersi nella vacuità del jet set dei giorni nostri e buttare la propria esistenza tirando strisce di cocaina, ecco, forse questo è il vero problema. A proposito, perché tu e Fedez non fate una bella campagna contro l’utilizzo delle droghe? Siete seguiti da tanti giovani, perché non spiegate loro quanto fa schifo il mondo della cocaina?
Ma quali sono i modelli che seguono i ragazzi di oggi? Te lo sei chiesto? Sembra che abbiano in testa solo la cultura del numero dei follower, del numero dei like e delle impressions. Probabilmente perché inseguono il mito dell’influencer che fa la bella vita e guadagna soldi facili. Sarà forse per questo che tra le pagine seguite da almeno due dei quattro arrestati, anziché i profili di organizzazioni neofasciste ci siete tu e Fedez?
Un caro saluto
Francesco Filini
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