#poésie musicale
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Flaux flow
Improvisation peinte, musicale et poétique, avec Bert & CathA (peinture), Raquel Freitas (Piano) et Caddyplace (texte) à Flaux (Gard) le 16 septembre 2023 Nous …Nous avons vu des lignes se tendreNous avons cru des lignes s’étendreEt s’emmêler aux confins de l’étéNous avons tracé des fils noirsPourtant remplis d’espoirNous savons… Du…
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où prend naissance le geste musical ?
peut-être dans une part sonore qui n’est pas encore née ; un monde en réserve, constant, qui existe mais qui ne serait accessible que furtivement à nos sens
ce qui se crée est peut-être déjà créé ?
.
© Pierre Cressant
(lundi 24 avril 2006 - lundi 30 janvier 2023)
#poésie#poème#poésie en prose#poème en prose#prose poétique#french poetry#poésie contemporaine#poètes sur tumblr#poètes français#création#création poétique#création musicale#composition
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Une chic soirée de slam poésie
Mardi 16 avril 20h00, au CEM (21, rue Rhainds, Chicoutimi-Nord) Continue reading Une chic soirée de slam poésie
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Pause musicale... Une parenthèse enchantée !
Au rythme de l'amour, musique et poésie dansent dans une idyllique harmonie...
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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1️⃣
Aujourd’hui, samedi 07/09/24, Journée mondiale de la myopathie de Duchenne 🙏 Journée mondiale du fair-play 🤼♂ et comme chaque premier samedi de septembre, Journée mondiale de la barbe 🧔
2️⃣
Sans oublier les Journées mondiales des vautours tout le week-end 🦅 Ces espèces remarquables indispensables aux écosystèmes pastoraux et au monde de l’élevage, et pourtant menacées de par le monde 🌍
Lancé en 2014 par la LPO et le réseau vautour, cet évènement a pour but de faire connaître et sensibiliser un public le plus large possible sur les nécrophages de notre pays, les caractéristiques exceptionnelles de chacune des quatre espèces 🧐
Mais également les menaces qui pèsent sur ces oiseaux, les programmes de réintroduction, la manière de les protéger… Et ceci à l’occasion d’activités ouvertes à tous et à toutes telles que des sorties de terrain, des points d’observation, des conférences, des expositions 👌
3️⃣
Trois marchés le samedi à Annecy : marché du boulevard Taine (alimentaire et produits divers) de 7h à 13h, marché de Vieugy (marché alimentaire) de 8h à 12h et le P'tit marché du Vieux Meythet (marché alimentaire) de 8h30 à 12h30 🧺
Régate voile : Lac d'argent (manifestation annuelle de la FFVoile, sur le lac d'Annecy, qui donne à voir deux épreuves régionales sur bateau habitable -Osiris- de grade 4 et sur quillard -intersérie- de grade 5B 🎫 Accès libre 📆 Ce samedi 07/09/24 de 9h à 17h 📍 Club de voile (31 rue des Marquisats) ⛵
Ouverture mensuelle du magasin Méli-mélo (la vitrine solidaire et éco-responsable du Secours populaire français) ℹ️ Café et sourire à volonté 🎫 Accès libre 📆 Ce samedi 07/09/24 de 9h à 17h 📍 7 rue Jules Barut (rue perpendiculaire à l'avenue de Cran) 🛒
Vide-garage, une première édition❗️Au programme : ambiance musicale à midi avec le groupe Jam Pop et barbecue toute la journée préparé par les Copains gourmands 🎫 Accès libre 📆 Ce samedi 07/09/24 de 9h à 19h 📍 Le Loft 501 (501 avenue d’Aix-les-Bains) 🖼️
Je partage ce “plan” annécien pour celles et ceux qui ne connaissent pas encore ce lieu d’accueil et d’échange ℹ️ Boissons sans alcool, livres, jeux 📆 Ce samedi 07/09/24 de 9h30 à 15h (café solidaire avec l’Ukraine) 📍 Café du curé (6 quai de l’Évêché, vieille ville) ☕
Dernière édition estivale❗️Marché des créateurs des Alpes : bijoux, vêtements, accessoires, décoration, art. L'originalité et la créativité sont à l'honneur, dénichez des pièces uniques et artisanales, réalisées avec passion et savoir-faire 🎫 Accès libre 📆 Ce samedi 07/09/24 de 10h à 19h 📍 Quai de Vicenza (vieille ville) 💍
Jeune public : déambulation musicale dans les rues de Talloires (après l’atelier création maracas au Forum des associations à 11h) ℹ️ Dans le cadre du festival Les Bestivités Musicales ⌚️ 1h 🎫 Gratuit 📆 Ce samedi 07/09/24 à 11h30 📍 Départ Place du Lavoir (Talloires-Montmin, Grand Annecy) 🎵
Entre mer et montagne : cette exposition d'Isabelle Jouan met en avant des paysages marins et montagneux, reflétant ses inquiétudes quant aux changements du monde et de l'environnement 🎫 Entrée libre 📆 Ce samedi 07/09/24 de 15h à 18h (présence de l’artiste) 📍 Forum Exposition Bonlieu 🖼️
Festival d'improvisation théâtrale : L'Improtant présente le Tournoi des Anne’6 Nations ➡️ Six équipes annéciennes vont s'affronter lors de matchs épiques (les Acides Animés, les Anonymes, les Chabadass, les Nimprotekoa & les Seynodrmal) 🎫 12 € 📆 Ce samedi 07/09/24 à 17h 📍 Salle la Rioule (23 impasse des Fusains) 🎭
Rodrigue et Michel : plongez dans l'univers du Bacalhau Disco Mobil, dénichez votre morceau préféré parmi les vinyles, ajoutez votre nom, et ils le joueront pour vous ℹ️ À l'occasion des 7 ans du lieu 🎫 Entrée libre 📆 Ce samedi 07/09/24 de 17h à 23h30 📍 Bistro des tilleuls (13 chemin de la Prairie) 🎂
Vernissage de l'exposition Mythologies & faux-semblants de Michel Pourchet : la sculpture s'est imposée très tôt comme le médium le plus évident mais la relation dessin-peinture-poésie ne s'est jamais tarie 🎫 Accès libre 📆 Ce samedi 07/09/24 de 18h à 21h 📍 L'Atelier 9 (9 avenue de la Mandallaz) 🖼️
Musique classique : concert Nordique (tout public) ℹ️ Dans le cadre du festival Les Bestivités Musicales ⌚️ 1h 🎫 Participation libre 📆 Ce samedi 07/09/24 à 18h30 📍 Ermitage Saint-Germain, Talloires-Montmin, Grand Annecy 🎼
Théâtre : Station Bonne Nouvelle (pièce en deux actes) ℹ️ Création 2023-2024 de la Cie les Indécis 🎫 10 € (réservation au 06 77 94 83 74) 📆 Ce samedi 07/09/24 à 20h 📍 Théâtre de l'Échange (26 rue Sommeiller) 🎭
Théâtre : 4 211 km d’Aïla Navidi (dès 14 ans) ℹ️ Dans le cadre de la 13e édition du festival Coup de théâtre (du samedi 7 au dimanche 15/09/24) ⌚️ 1h35 🎫 Participation libre 📆 Ce samedi 07/09/24 à 20h 📍 Cour du Château 🏰
Un voyage musical : laissez-vous transporter par Papagal, un duo qui fait vibrer l'âme des Balkans avec des rythmes envoûtants et pleins d’énergie ⌚️ 1h 🎫 Entrée libre 📆 Ce samedi 07/09/24 à 20h30 📍 Les Steppes (3 place des Rhododendrons) 🎶
Théâtre : Venise sous la neige (Compagnie Accro-planches) ℹ️ Une comédie de Gilles Dyrek mise en scène par Jean-Marc Patron ⌚️ 1h 🎫 12 € (réservation au 06 84 32 03 96) 📆 Ce samedi 07/09/24 à 20h30 📍 Salle Pierre Lamy (12 rue de la République) ❄️
The Discomobilette (concert 80s) ℹ️ Dans le cadre de la 13e édition du festival Coup de théâtre (du samedi 7 au dimanche 15/09/24) ⌚️ 1h35 🎫 Participation libre 📆 Ce samedi 07/09/24 à 21h30 📍 Cour du Château 🏰
Musique classique : ciné-concert (à partir de 10 ans) ℹ️ Dans le cadre du festival Les Bestivités Musicales ⌚️ 1h 🎫 Participation libre 📆 Ce samedi 07/09/24 à 21h30 📍 Prieuré de Talloires (chemin de la Colombière, Talloires-Montmin, Grand Annecy) 📽️
4️⃣
Indices ATMO à Annecy : la formation d’ozone sera un peu plus active sur le centre et la partie Est de la région où les conditions seront plus favorables à la photochimie 🌡 La qualité de l’air devrait être plutôt moyenne sur la partie Ouest et moyenne à dégradée sur le reste du territoire 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est moyen (niveau 2) ➡️ Ambroisies : niveau 2 ; graminées, plantain et urticacées : niveau 1 ; platane et saule : niveau 0 ➡️ Indice communal valable du 31/08/24 au vendredi 13/09/2024 inclus 🤧 Personnes allergiques : aérez le matin tôt ou tard le soir car les pollens sont moins présents 😷
5️⃣
Tout comme hier, trois dictons du jour pour le prix de deux : « Au sept septembre sème ton blé, car ce jour vaut du fumier. » 🤔 « À la sainte Reine, sème tes graines. » 🌱 « Septembre se montre souvent comme un second et court printemps. » 🌼
Et cinq autres dictons du jour pour la route : « Au mois de septembre, figues à vendre. » 🤝 « Beaucoup de mûres veulent hiver dur. » 🥶 « Chenille pas sortie, mets-toi à l’abri. » 🐛 « Septembre de noix, hiver froid. » 🥥 « Vigne grêlée, vigne vendangée. » 🍇
6️⃣
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et une excellente fin d’été à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🏖️
Bon sixième jour de la semaine à tous et à toutes 🎳
Bonne fête aux Reine et demain aux Adrien·ne 😘
📷 JamesO PhotO aux Diablerets (canton de Vaud, Suisse) le 06/09/24 📸
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L'art, les femmes et un supermarché japonais
Ces dernières semaines j'ai vu (et revu pour l'un) deux films que j'ai vraiment adoré, deux films qui parlent d'agentivité, du carcan dans lequel sont coincées les femmes dans la société, de comment faire cohabiter l'art, le désir et le couple dans une société hétéropatriarcale. Et puis j'ai aussi regardé un film sur un supermarché japonais, ça n'a aucun rapport but bear with me !
Maternité éternelle, Kinuyo Tanaka (1955)
Le premier était un rattrapage puisque j'avais raté la ressortie en salles des films de la cinéaste japonaise Kinuyo Tanaka (1909-1977) dont j'avais pourtant entendu beaucoup de bien. J'ai donc commencé par Maternité éternelle (dont je préfère largement le titre anglais Forever a woman), un film de 1955 qui s'inspire de l'histoire vraie de la poétesse Fumiko Nakajō, décédée à l'âge de 31 ans d'un cancer du sein — et qui est écrit par une femme, Sumie Tanaka. Comme vous vous en doutez, c'est un film d'une tristesse infinie. Quand le film commence, Fumiko est coincée entre un mari qui ne l'aime plus, deux enfants dont elle doit s'occuper et un cercle littéraire qui critique sa poésie dans son dos parce que ses sujets ne semblent pas assez nobles. Comprendre par là que ce sont des sujets "de femme".
Elle divorce de son mari et apprend qu'elle doit lui laisser son fils, tandis qu'elle a la garde de sa fille. Ses liens amicaux / secrètement amoureux avec son mentor Takashi Hori (l'un des rares à aimer et comprendre ses poèmes) s'achèvent quand ce dernier décède (oui ce film est vraiment triste, j'ai essayé de vous prévenir). Dans la foulée, elle est diagnostiquée d'un cancer du sein et est hospitalisée. Au même moment, Fumiko apprend la publication de quelques-unes de ses œuvres dans une revue de poésie, ce qui lance sa carrière au pire moment. Évidemment, elle soupçonne son état de santé d'influencer la popularité soudaine de ses écrits.
Elle accepte après de longues tergiversations de s'entretenir avec un journaliste — bien qu'elle sait qu'il ne vient là que pour chercher le récit racoleur de ses derniers jours — et entame avec lui une relation sentimentale et sexuelle. Je précise sexuelle parce qu'il y a des scènes assez incroyables dans ce film dans lesquelles Fumiko exprime son désir sans détours alors même qu'elle souffre de regarder son propre corps suite à sa mammectomie.
Tanaka joue sans cesse avec ce regard douloureux que Fumiko pose sur elle-même. Dans une scène vraiment sublime elle tourne le dos à son amant, qui s'apprête à retourner à Tokyo, et on la voit le regarder dans un miroir. Tout ce jeu de regards dit beaucoup sur le rapport au corps et à la séduction. Maternité éternelle raconte la difficulté pour Fumiko d'être dans un même mouvement une mère, une poétesse, une amante et une femme. Combiner tous ces rôles sans en sacrifier aucun est un vrai fardeau. Et c'est très beau de la voir écrire dans sa chambre d'hôpital (simplement parce que les images de femmes qui écrivent au cinéma me paraissent trop rares), rongée par la peur de n'être aimée que pour son histoire personnelle, de ne trouver personne pour embrasser toutes les facettes de sa personnalité. J'ai fini le film en larmes mais avec aussi l'impression d'avoir vu une œuvre rare sur des sujets peu souvent traités.
Les chaussons rouges (Powell et Pressburger, 1948)
Et puis la semaine dernière j'étais à Paris et j'en ai profité pour faire un tour au Champo et revoir Les chaussons rouges (de Powell et Pressburger, 1948). J'avais déjà vu ce film il y a dix ans, et le redécouvrir m'a une nouvelle fois permis de mesurer à quel point le temps change notre perception des histoires. J'avais surtout gardé dans ma mémoire le souvenir du ballet central, qui n'est pas comme on a l'habitude de voir dans la comédie musicale un dream ballet mais plutôt un ballet cauchemardesque qui raconte l'histoire d'une femme possédée par ses chaussons de danse rouges. Une fois qu'elle les enfile, elle ne peut plus les enlever, ni s'arrêter de danser, elle est complètement manipulée. Si j'ai gardé un souvenir aussi précis de cette séquence c'est parce qu'elle est impressionnante visuellement, pleine de trouvailles, d'effets de perspective et de transparence, parce qu'elle invente de nouvelles choses à chaque seconde. Et aussi parce que, comme je l'ai dit de nombreuses fois, j'adore les films en Technicolor. Et tout le film fait tellement bien usage de la saturation des couleurs, des chaussons d'un rouge vif aux cheveux roux de l'actrice Moira Shearer.
Mais j'avais oublié que, comme Maternité éternelle, Les chaussons rouges raconte avant tout l'histoire d'une femme tiraillée entre les hommes et l'art dans un monde où l'art est contrôlé par les hommes. Elle est coincée entre celui qui l'a découverte, son "mentor" le tyrannique Lemontov, et celui dont elle est tombée amoureuse, le compositeur du ballet Julian Craster. L'un est machiavélique, l'autre se présente comme un homme bon, mais tous les deux empêchent Vicky, la danseuse, de laisser libre cours à sa créativité. L'un contrôle ses rôles, l'autre contrôle la musique sur laquelle elle danse. Tous les deux sont des marionnettistes.
Les chaussons rouges est une sorte de backstage musical, c'est à dire un film qui raconte les coulisses d'une production. Mais contrairement à ce qui est d'usage dans ce sous-genre de la comédie musicale, l'entertainement ne gagne pas à la fin. Le show ne fait pas tout oublier, il ne suffit pas à effacer les violences et les injustices. Au contraire, le divertissement et les hommes qui en tiennent les ficelles demandent un sacrifice. C'est un film très glaçant mais vraiment passionnant, que je vous conseille de rattraper si vous êtes à Paris !
Supermarket woman, Jūzō Itami (1996)
Le dernier film n'a pas grand chose à voir mais j'avais quand même envie de l'archiver par ici. C'est un film qui parle de supermarchés, d'ambition, de capitalisme et de sororité. J'ai eu envie de regarder Supermarket woman de Jūzō Itami parce que j'avais adoré son Tampopo, un film qui donnait vraiment envie de manger des ramen. Bref, Supermarket woman met une nouvelle fois en scène l'irrésistible Nobuko Miyamoto et son énergie contagieuse dans un contexte culinaire.
Le scénario tient sur un post-it : une femme qui se pense la "ménagère" moyenne décide d'aider un ancien camarade de classe à sauver son supermarché de quartier. Ce dernier risque de couler à cause de la concurrence d'un supermarché concurrent qui casse les prix. Gros TW morceaux de viande en gros plan, poissons morts, moult fruits et légumes emballés dans du plastique (le film date de 1996). Le personnage de Nobuko Miyamoto, Hanako, infuse donc sa bonne énergie et ses bonnes idées dans ce temple capitaliste. Avec sa modestie, elle fait passer ses trouvailles pour du "bon sens" : écouter les clientes, privilégier les bons produits, s'allier avec les petites mains du supermarché et se rebeller contre la misogynie du boucher et du poissonnier qui font régner la terreur.
J'étais un peu circonspecte devant certains aspects du film — oui, ça reste la victoire d'un supermarché contre un autre, et donc du gentil-capitalisme sur un très-méchant-capitalisme plus agressif — mais je dois avouer que j'ai été happée par le ton léger et les nombreuses intrigues en coulisse. Il y a cette bizarrerie très plaisante qu'on trouvait déjà dans Tampopo. Et puis je me suis retrouvée comme bercée par le côté très familier du supermarché, ses allées, ses promos, ses néons blancs. J'aurais suivi Hanako et son sourire pendant plusieurs heures, ce qui prouve que la magie étrange de ce film opère.
Comme je n'irai jamais au Japon (même si ça a été l'un de mes rêves pendant longtemps), j'ai eu aussi l'impression de pouvoir faire ce que je préfère en voyage : zoner au supermarché et regarder les différents produits. Eh, la magie du cinéma ! Voilà si vous êtes un enfant des années 90 qui adorait aller faire les courses avec sa mère, peut-être que ce film est aussi un peu pour vous ?
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Les souvenirs d'antan
Sont les crépitements
Provenant de l'âtre d'une cheminée
La source délicate
Et sucrée du pain d'épices
Et de cacao chaud
L'amertume d'un café corsé
Ils flottent dans l'atmosphère
Des fragrances de lavande,
Mélangées au doux parfum de fleur d'oranger
S'accorder le temps d'une parenthèse
Le temps d'un récit narratif
Tout en appréciant l'écoute musicale
Des perles de pluie,
Venues délicatement caresser les velux.
Les feuilles d'automne
Cèdent leur place aux flocons hivernaux.
À chacun sa bulle, son petit nid douillet
Cotons tout doux
Plumes d'anges
Enveloppé d'une douce chaleur apaisante.
Que vous soyez amateur de fanfictions
Ou que votre cœur chavire pour des idylles romanesques
Course poursuite vers des thèmes mystérieux et fantastiques
Récits alternatifs et enquêtes à résoudre
Ou encore vous laissez abondamment submerger
Par un côté somptueusement sombre
Passant de l'art gothique à un zeste de poésie
Écrit brut et masculin
En paradoxe a des extraits de fragilité féminine
Jusqu'à s'attarder un instant sur
Le désir ardent d'érotisme...
Et bien dans ce cas,
Vous êtes arrivés au bon endroit.
Ce compte est pour vous et moi.
Plongez dans mon univers.
Venez... et rêvez...
Un espace cocooning
Aménagé spécialement pour vous !
Oui, vous...
Pour tous les rêveurs et destiné à mes lecteurs.
Je vous souhaite du fond de mon cœur un bon voyage,
Une escapade poétique,
Un séjour magique et essentiellement une bonne lecture.
🥀 La Petite Rose Noire 🥀
✦͙͙͙*͙*❥⃝∗⁎.ʚ 🥀 ɞ.⁎∗❥⃝**͙✦͙͙͙
𝕰́𝖈𝖗𝖎𝖛𝖆𝖎𝖓 [𝕽𝖊́𝖈𝖎𝖙 𝖊𝖓 𝖋𝖗𝖆𝖓𝖈̧𝖆𝖎𝖘]
𝕿𝖊𝖝𝖙𝖊 𝖎𝖓𝖙𝖊́𝖌𝖗𝖆𝖑 𝖆̀ 𝖗𝖊𝖙𝖗𝖔𝖚𝖛𝖊𝖗 𝖘𝖚𝖗
𝖂𝖆𝖙𝖙𝖕𝖆𝖉 & 𝕴𝖓𝖐𝖎𝖙𝖙
𝕾𝖔𝖚𝖘 𝖑𝖊 𝖕𝖘𝖊𝖚𝖉𝖔 :
🥀 𝕷𝖆𝕻𝖊𝖙𝖎𝖙𝖊𝕽𝖔𝖘𝖊𝕹𝖔𝖎𝖗𝖊 🥀
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4 décembre
s. vient de m'inviter à son mariage, j'ai du la féliciter et tout ça et ça me faisait bizarre de jouer le jeu de la société comme ça, ça me semblait totalement incongru de la féliciter pour ça, pourquoi on félicite les gens qui se marient? qu'est-ce qu'ils ont accompli au juste? elle m'a envoyé un lien vers le site du mariage avec toutes les infos et dans les faq y avait la question can i bring a date? et tout d'un coup je me suis rappelé qu'aller à un mariage en tant que célibataire était considéré comme problématique, du moins dans la pop culture, et j'ai pensé à toutes ces photos qu'on voit sur fb de gens en couple qui prennent des photos dans leurs tenues moches dans des décors champêtres quand ils sont invités au mariage de leurs amis. pendant une demie seconde l'idée m'a traversé l'esprit d'y aller avec r., comme ça on pourrait se moquer des gens ensemble et tout le monde tomberait sous notre charme parce que je suis sûre qu'on fonctionnerait comme ça si on était en couple, on serait un couple archi charmant. mais la vie étant ce qu'elle est (nulle) j'irai seule et je serai triste et je ferai de la peine à tout le monde.
je me demande si je devrais pas arrêter de lui écrire. je me demande si c'est pas le seul moyen pour guérir. ça fait six mois et j'avance pas parce qu'il est tout le temps là dans mon téléphone et j'essaie de repousser la delulu mais elle se laisse pas faire, elle est comme un brassard gonflé qu'on essaie de faire couler mais dès qu'on le lâche il remonte à la surface, PLOP. relentless, comme moi dans la voiture du prof de philo l'autre jour. je me lasserai pas parce que je suis tenace, je résiste à l'usure, j'ai l'espoir coriace. je fonctionne pas sur la même échelle de temps que le reste du monde humain, j'ai le temps moi, ça peut durer des années cette histoire.
à part ça je suis amoureuse aussi de l'écriture, c'est pas nouveau mais ce soir j'étais à la chorale avec a. et parfois quand je chantais en lisant la partition et en suivant le rythme du piano je pensais au poème que je suis en train d'écrire pour la revue mouche et les deux se mélangeaient dans ma tête, le rythme du requiem de fauré et mon poème, et je me disais quelle journée. ça m'a rappelé à quel point l'écriture est une affaire de rythme aussi. mon poème parle de a. et il est tellement bizarre qu'en le lisant à voix haute il me fait éclater de rire. ce weekend ils avaient mis l'appel à texte en story en mettant si jamais vous cherchez quelque chose à faire ce weekend... et je sais pas pourquoi mais le fait que la poésie puisse être une histoire d'activité de weekend pluvieux comme on ferait des mots croisés ou un puzzle ça m'a chatouillée. c'est une histoire de désacralisation? est-ce que je sacralise la poésie? non je crois pas justement, ou alors si, je la vois comme quelque chose de sacré mais sacré dans le sens trésors-noisettes qu'on ramasse et qu'on met dans sa poche, parce que le poésie infuse tout et que c'est pas juste une histoire de mots, c'est une façon d'appréhender le monde. mais bon, un poème reste un poème et pour l'écrire il faut des mots et du temps et le weekend c'est du temps. mais moi je veux pas que ce soit un truc de weekend, je veux que ce soit toute ma vie.
et la chorale c'était vraiment bien même si j'arrivais pas à monter dans les aigus assez haut mais j'adorais être debout avec mon livret de partitions et chanter en latin en suivant le piano à défaut de savoir lire les notes. j'ai vu magda de la comédie musicale, elle était assise derrière moi et elle m'a serré l'épaule avec sa main. quand je me perdais dans la mélodie j'essayais de la suivre comme dans le choeur de tonight de west side story. ce matin en déjeunant je regardais la neige tomber dehors en écoutant l'orchestre de l'arctique sur france musique et on entendait le chant d'un oiseau de l'arctique légèrement ralenti et ça m'a rendue un peu mélancolique, mais c'était beau.
7 décembre
je commençais à regretter d'avoir décidé de faire cette lecture au pantin mais finalement ça va parce qu'il me restait des trajets sur mon pass à utiliser et puis aussi ça m'a permis de me rendre compte qu'à défaut d'avoir confiance en moi (mes genoux tremblaient tellement de nouveau que j'ai du faire une pause dans ma lecture pour les secouer) j'ai un peu plus confiance en mon moi d'écrivaine. je me sentais légitime et j'avais confiance en mon texte. j'ai l'impression d'avoir fait beaucoup de progrès en un an et en même temps d'en avoir fait zéro parce que tout était déjà là. je sais pas. mais je crois que mon écriture a évolué. et puis ça valait la peine de venir rien que pour le trajet en train de hier parce que j'ai enfin commencé la note d'intention du projet d'écriture pour la résidence et j'étais on fire toute seule dans mon carré avec mon ordi, j'écoutais ma playlist de quand je stalkais le compte spotify de a. et tout s'est un peu éclairci dans ma tête, je sais pas si c'était le paysage de forêts et de petites villes belges monotones qui défilaient par la fenêtre ou la musique ou quoi mais c'était grisant de me sentir avancer.
et puis surtout: j'ai vu p. dans les bras d'un grand type qui portait un gros pull irlandais et une barbe de trois jours, il avait une tête de beau gosse de comédie romantique et peut être qu'ils étaient juste de très bons amis mais y avait quand même beaucoup de caresses. j'étais tellement contente que je crois que j'ai souri. elle est tellement jolie, ça me tue. j'ai l'impression qu'elle ressemble à la fille à qui je ressemblerais si j'étais belle. heureusement j'avais m. avec moi cette fois. c'est la première fois qu'elle venait à une lecture. elle m'a dit qu'en toute objectivité j'avais été une des meilleures. j'ai parlé avec a. p. aussi pendant qu'on faisait la queue au bar, il m'a parlé de f. de la kulturfabrik qui visiblement lui a parlé de moi et de mon texte que j'y avais lu en juin parce qu'il m'a dit qu'elle était fan, et puis juste après l. est passée devant nous pour sortir sur le trottoir avec les autres cool kids et elle s'est retournée pour me dire je suis fan de tout ce que tu fais et voilà un jour j'arrêterai de faire la liste de tous les gens qui me font des compliments. en rentrant on a regardé harry potter 6 au lit et j'ai du attendre que m. aille se laver les dents dans la salle de bain pour écouter les messages de r. qui me demandait comment ça s'était passé et qui me racontait qu'il avait passé la journée à chialer en écoutant anne sylvestre.
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Samedi 11 mars, le Marché de la Poésie de Bordeaux vous invite à voyager au-delà des frontières, avec une double soirée de lectures musicales !
Kouam Tawa, poète et metteur en scène camerounais, nous guide au travers de l'histoire de l'Afrique, au son dépaysant du balafon de Mangane.
Inspirée des veillées traditionnelles d'Afrique, "Ôho est un chant d'adieu", explique Kouam Tawa. C'est sa réponse, la seule qu'il ait trouvée, à la perte soudaine de son meilleur ami, son plus-que-frère. Ôhó est un cri universel, un appel au sol et aux peuples de cette terre que l’ami habita. Ancré dans la tradition orale, Ôhó pétrit l’ocre des mots modelant peines et joies en une intense élégie dédiée aux hommes qui ont fait et feront l’histoire de l’Afrique, offerte à l’humanité.
(photo par Perez)
Asselikoun est un récit poétique sur l’errance d'une femme rejetée, soumise à la violence, exilée dans le désert. “Les Cheminants” questionnent les archaïsmes et dogmes du patriarcat et retracent les luttes de cette femme, figure mythique et universelle du rejet et de l’oubli.
Une lecture musicale par Tarek Essaker (auteur tunisien), accompagné au oud par Ziad Ben Youssef (compositeur/traducteur), avec Myriam Vicq (comédienne).
Réservez vos places en ligne sur le site du Marché de la Poésie : https://bordeaux-marche-de-la-poesie.fr/
Pour sa nouvelle édition, Le Marché de la Poésie de Bordeaux vous propose 6 soirées exceptionnelles de lectures poétiques et musicales.
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WINTER WONDERLAND VERSION HEADCANON LOL
en réalité, lawrence et grand juke pourraient être grave potes, non ? jsp, mtn que je me suis attachée a juke même si au début comme le jeux me saoulait avec le mode lave (que je n'aime pas bcp) il m'insuportait, desormais je l'aime bcp, genre il est probablement l'un de mes favoris, lol. Par contre la map de noël de 2023 était bcp mieux que celle de cette année, chui désolée. (enfin, je crois, j'espére que ct pas la même lol..... c lawrence et sa nvle tenue qui me la fait detster mdr g trop tryhard TvT)
enfin bref !! en vrai, juke est probablement un gosse théatreux, a la base je l'imaginais cheerleader ou genre majorette ??? mais vu son trivia j'pense qu'il participe a des piéces de théatre et/ou des comédies musicales (casse noisette pr le coup là ? comme il est déguisé en casse noisette... enfin, je crois mdr) comme lawrence est aussi dans les arts (poésie) ils ferait un bon duo. surtout jsp si vous avez vu le nouveau render de lawrence mais il a l'air tlm déter', déter comme jamais, ce render va en insuporter plus d'un mais ça s'voit qu'il a l'inspi le mec prépare qlq chose
d'ailleurs les devs ils régalent, là, nouveau fit pour lawrence tah ils savent pas combien je les remercient c mon bébou j'l'ai même mis dans tomodachi life c pour vous dire (c triste que les rivaux aient flop aux yeux de pas mal -_-)
(j'ai aussi fait juke mdr TvT)
d'ailleur, truc intéressant, regardez ça :
dans les fichiers du jeu, Winter Wonderland s'apelle "vienna", ou vienne en français, c'est une ville en autriche ! et c'est connu, enfin je crois, que tte la région allemagne/autriche est ZE référence pour noël, donc Juke, et snowy aussi probablement, sont autrichiens ! certains les pensent russes, pk pas, mais je trouve qu'autrichiens fait plus sens, j'veux dire, on est déjà allés en russie pour noël sur subway surfer. perso je les voyaient bien scandinaves, genre, norvégiens ? finlandais ?
j'ai honnetement pas granc chose a dire sur snowy dsl je l'aime pas trop (rip u_u)
bonus : mon propre oc trouve lawrence insuportable mdr
#subway surfers#subway surfer#lawrence#grand juke#headcanon#winter wonderland#GJ jdoit lui faire justice#L aussi ils ont pas assez de fans#REVEILLEZ VOUS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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OPETH – The Last Will And Testament
Opeth est un groupe Suédois de rock/ death metal progressif (selon l’album) originaire de Stockholm, fondé en 1990.
Je n’ai jamais trouvé aucune dichotomie dans la musique d’Opeth. Le premier album date de 1995 avec « Orchid » que « The Last Will and Testament » en 2024 revient à ses racines death metal tout en conservant la trame rock progressive d’une discographie de 14 albums studio, 4 albums live, 1 coffret et 4 DVD musicaux.
Le chanteur et guitariste Mikael Åkerfeldt a écrit, avec des paroles confiées à Klara Rönnqvist Fors (The Heard, ex-Crucified Barbara), composé l’ensemble de cet album conceptuel, chaque titre représente un paragraphe d’un testament. Conté par le narrateur Ian Anderson de Jethro Tull sur les titres « §1 », « §2 », « §4 » et « §7 », cette intrigue située dans les années 20 est basée sur la lecture d’un testament à des enfants illégitimes qui découvrent peu à peu les mensonges et les trahisons familiales d’un patriarche cruel et stérile.
Un album dont on retrouve le son, l’aspect, le timbre, le grain, l’élégance, la volumétrie de toutes la diversité de la formation suédoise. Le son des guitares électriques et acoustiques demeure dans la veine boisée du rock progressif 70’s où Opeth a façonné ses opus « Heritage » (2011), « Pale Communion » (2014), « Sorceress » (2016) et « In Cauda Venenum » (2019). Le nouveau batteur Finlandais Waltteri Väyrynen, (ex Paradise Lost, Bloodbath) apporte une nouvelle dimension, les solos de Fredrik Åkesson sont toujours aussi convaincants.
La première écoute c’est ‘’ah oui ok bon rien de nouveau si ce n’est le retour du growl…’’ mais au fur et à mesure des écoutes une nouvelle épaisseur musicale met une nouvelle lumière, dense et profonde à la subtilité éclatante. Opeth a toujours teinté de mystère, il l’est d’autant plus avec cet album. Opeth ne raconte pas une histoire, il façonne un conte, son album est fait de poésie, il fait la jointure avec la légende de sa discographie, il épouse toutes sortes de palettes musicales pour colorer son album avec faïence musicale du Moyen-Orient, fresque rock progressif, mood jazzy, ballade-rock Floydienne, épopée pastel deathalique…C’est passionnant, parfois s’en devient chiant aussi.
"The Last Will & Testament" a été coproduit par Åkerfeldt et Stefan Boman (Ghost, The Hellacopters), conçu par Boman, Joe Jones (Killing Joke, Robert Plant) et Opeth. Mixage aux studios Atlantis et Hammerthorpe à Stockholm Le mastering a été confié à Miles Showell (ABBA, Queen) aux studios Abbey Road à Londres. Les cordes ont été arrangées par Åkerfeldt et Dave Stewart (Egg, Khan), qui les a dirigées aux Angel Studios à Londres.
Ian Anderson de Jethro Tull intervient avec sa flûte sur les titres « §4 » et « §7 ». Joey Tempest (Europe) donne une voix d'accompagnement sur "§2’’, et Mirjam Åkerfeldt (fille d'Åkerfeldt) le spoken word dans "§1".
La date à l'Olympia de Paris 21 février 2025 via Garmonbozia avec Grand Magus en première partie est déjà sold out
Les histoires sont comme des récifs près d’un clair de lune sur la mer et une autre fois pâles et transparentes comme la brume à l'aube. Vous découvrirez ses profondeurs que vous ressentirez à mesure que vous dériverez de plus en plus loin. Sa passion brûlera plus fort que vous ne pouvez l'imaginer. Dans cette poésie il y a des moments d’illumination qui lève le brouillard, ne ressemble à aucune autre créature sonique. Ce trait de lumière renferme une mine de charbon où l’obscurité plus épaisse trace ses mélodies de sentier dans le firmament. Ici les roses sont bleutées par le ciel, la terre est drapée d’un manteau de verdure imaginaire et le bois est d’acier. Toute existence est un fantôme traversée de rosée et de tremblements. Adorez cet album pour tout ce qu'il est.
Opeth a sa propre lumière cryptique, imprimant légèrement son ombre sur le sol, ses séquences mélodiques sont douces avec des secousses envoûtantes, elles sont traversées de tempêtes énormes, de ténèbres, de tourbillons qui nous font comprendre combien coûte la violence de la maturité. Est-ce que ce disque vous révèle tout ? Non. Il vous donnera des indices, des subtilités.
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Les battements d’ailes constitue un opus de 16 titres, offrant 70 minutes de poésie non-stop. C’est le dernier disque de la chanteuse-auteure-compositrice Jeanne Morisseau. Le compositeur Christophe Jouanno y apporte sept superbes mélodies, ce qui élargit encore le spectre émotionnel qu’offre cet album, véritable hymne à l’amour et l’altérité qui se signale par la voix de Jeanne, empreinte de sensibilité toute féminine, environnée souvent de nature sauvage et océane. L’art de cette artiste complète ne s’arrête pas à l’écriture ou l’interprétation, elle suit aussi son chemin de création dans la peinture, la photographie, la poésie et les romans.
De ces battements d’ailes, j’ai aimé, en particulier dans Portland, Quand Jeanne s’est tue, L’eau qui coule en moi, Quand cigogne mère, ou D’où qu’il vienne mais le soleil et Tous univers, la nostalgie émanant d’une musique hypnotique. Une scansion si particulière, de célébration, presque une prière. Une voix. ” D’où qu’il vienne, mais le soleil… ”
Eric Desordre
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Pour elle - Richard Cocciante
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Pause musicale du jour...Bonjour !
Doux réveil, tout en poésie...
L'horizon
Se dévoile
Aux frissons
Des poètes
#au-jardin-de-mon-coeur
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Avant-cuvée 2024 : 7/8
Caxtrinho | Queda livre
🇧🇷 Brésil | QTV Selo | 29 minutes | 10 morceaux
Un tourbillon de samba mutante, de rock psychédélique, de funk carioca et d’expérimentations sonores : voilà ce qui définit à gros traits ce premier album magnifiquement surprenant de Paulo Vitor Castro (alias Caxtrinho). Dépeignant avec poésie et ironie les divisions sociales, raciales et économiques du Brésil contemporain, ce jeune musicien inventif allie à la charge politique engagée une vision musicale intense et percutante. Une virée exaltante dans les périphéries, tant géographiques (l’artiste décrit son quotidien de musicien noir dans la Baixada Fluminense, en marge de Rio de Janeiro) que créatives.
🎧 Queda livre
The Cure | Songs of a Lost World
🏴 Angleterre | Polydor | 49 minutes | 8 morceaux
Songs of a Lost World est un miracle né dans la douleur, un retour en majesté après seize années de silence et une myriade d’épreuves douloureuses. La perte de son grand frère Richard, mentor de jeunesse et pilier affectif, a particulièrement marqué Robert Smith et confère une profondeur saisissante à la mélancolie et à l’introspection irriguant l’album. Réflexion poignante sur la mortalité, l’œuvre est aussi intime qu’universelle, mêlant noirceur et instants de grâce lumineux, sonorités gothiques et épures poétiques. Avec ce nouveau chapitre d’une splendeur inespérée, The Cure ravive brillamment sa légende, celle d’un groupe intemporel qui a connu sa traversée du désert mais qui a su revenir au sommet de son inspiration au moment où le monde semble vaciller. Il s’agit tout simplement de leur meilleur album depuis le monumental chef d’œuvre Disintegration, sorti 35 ans plus tôt.
🎧 Alone
Taylor Deupree | Sti.ll
🇺🇸 Etats-Unis | Nettwerk | 61 minutes | 4 morceaux
Le défi technique était ambitieux, le résultat esthétique et émotionnel est saisissant de beauté. Le compositeur new-yorkais Joseph Branciforte est parvenu, sous l’impulsion du créateur de l’œuvre d’origine, à transformer un album d’ambient-glitch gorgé de boucles numériques complexes et de micro-détails (Stil., de Taylor Deupree, sorti en 2002) en une œuvre purement acoustique jouée par des instruments comme la clarinette, le vibraphone, le violoncelle ou encore la flûte. Loin de se résumer à un exercice de style virtuose, cela donne lieu à un univers méditatif à part entière, somptueusement enveloppant.
🎧 Recur (For Guitar, Cello, Double Bass, Flute, Lap Harp, & Percussion)
Monolake | Studio
🇩🇪 Allemagne | Monolake / Imbalance Computer Music | 62 minutes | 10 morceaux
Près de vingt-cinq ans après ses débuts, le projet Monolake reste l’un des plus captivants de la scène ambient techno. Studio offre à entendre des paysages sonores étonnamment organiques, comme si Robert Henke avait connecté ses machines directement à la nature. Explorant une palette sonore à la fois terreuse et futuriste, il parvient à créer une trame sonore profondément immersive mêlant rythmes industriels complexes, basses bouillonnantes, textures granuleuses, mélodies célestes et voix humaines échantillonnées.
🎧 Global Transport
Oranssi Pazuzu | Muuntautuja
🇫🇮 Finlande | Nuclear Blast | 43 minutes | 8 morceaux
Le sixième album de ce groupe finlandais reste fidèle à la philosophie du projet, à savoir l’exploration tous azimuts des territoires situés aux confins du black metal, du rock psychédélique et des musiques expérimentales. Mais il va également fureter dans des contrées plus industrielles et ajoute parfois à sa mixture ténébreuse les échos lointains d’un grand piano. Le titre finnois du disque signifie d’ailleurs « métamorphe » (être ayant la capacité de modifier son apparence physique, de changer de forme), ce qui caractérise bien l’approche versatile de ce collectif de six musiciens basé à Tampere. Quant au nom du groupe, il fait référence à la couleur orange (symbole du psychédélisme) et au roi des démons du vent de la mythologie assyrienne, Pazuzu, popularisé par le film L’exorciste.
🎧 Muuntautuja
Ekuka Morris Sirikiti | Te-kwaro alango-ekuka
🇺🇬 Ouganda | Nyege Nyege Tapes | 39 minutes | 10 morceaux
C’est le genre de belle histoire que seul le travail acharné de passeurs passionnés rend possible, et c’est en même temps magnifiquement révélateur de la philosophie défricheuse du label ougandais Nyege Nyege Tapes. L’exploration au long cours des archives radiophoniques africaines, notamment par le biais d’enregistrements d’époque fait par des auditeurs, est une composante importante de son activité ; elle porte encore une fois ses fruits en redécouvrant et en ouvrant les portes de ses studios à un artiste griot langi oublié (et vivant modestement dans le nord de l’Ouganda). Les chansons d’Ekuka Morris Sirikiti fascinent par leur simplicité et leur résonnance inexplicable, portées principalement par l’ostinato bourdonnant de son lukeme (piano à pouces) et sa voix agile, parfois agrémentés de percussions corporelles. Nul besoin de comprendre le langi pour être embarqué dans cet univers haut en couleur.
🎧 Kwalo jami amon too
#avant-cuvée 2024#mpb#experimental rock#samba#gothic rock#dream pop#ambient#post minimalism#chamber music#ambient techno#minimal techno#idm#avant garde metal#black metal#industrial metal#griot music#shona mbira music
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Mercredi 16 octobre 2024 à 19H, la Petite Boutique Fantasque retrouve une nouvelle fois Marius Pinel pour sa quarante-sixième chronique de l'univers place Pinel.
Programmation musicale : 1) Optimise mon âme (Fernand Bernadi) 2) Esperanto (Samarabalouf) 3 Rimes féminines (Juliette) 4) The island earth (Bryan Ferry jazz orchestra) 5) Masada Alef Taha (John Zorn) 6) Me semble que c'est facile (Lise Leblanc) 7) Toward (Mohini Geisweiler) 8) Assis (Ange)
+ 46ème chronique de l'univers place Pinel, poésie et place Pinel par Marius Pinel. Pour ceux qui auraient piscine indienne, ou toute autre obligation, il y a une possibilité de rattrapage avec les podcasts de la PBF : https://www.mixcloud.com/RadioRadioToulouse/rimes-féminines-et-pinéliennes-la-petite-boutique-fantasque/ Sus aux Philistins ! Photographie de tournage de Pierrot de fou (Jean-Luc Godard)
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Musique en France : Du Yéyé à la Zumba
Ah, la musique… Ce miroir de la société qui, autrefois, nous renvoyait des poèmes, des cris de révolte, des manifestes déguisés en chansons d’amour. Et aujourd'hui ? Eh bien, il suffit d’allumer la télé pour se rendre compte que la France musicale a troqué ses plumes d’antan pour des hashtags et des "nanana" sans fin. Permettez-moi en tant que journaliste ayant traîné mes guêtres dans ce domaine depuis plus longtemps que certains artistes n'ont même vécu, de poser la question qui dérange : Où sont passés les grands textes, ceux qui avaient quelque chose à dire ? Où sont les mots qui faisaient vibrer les cœurs et bouillonner les esprits ? Aujourd'hui, on a l'impression que les paroles des chansons se sont égarées quelque part entre un dictionnaire pour enfants et un compte TikTok. Les années 60 et 70 : Quand les paroles avaient une âme Il fut un temps et je parle d’un temps que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître, où la musique ne se contentait pas de divertir. Non, elle bousculait, elle interpellait, elle portait des idées. Prenez un Georges Brassens, qui avec une guitare et une moustache, pouvait évoquer tout à la fois l’anarchie, la liberté, la mort et l’amour d’une manière si fine qu’on en oubliait presque que ses textes étaient plus subversifs qu’un discours à l’Assemblée. Dans les années 70, un Michel Sardou, pourtant pas réputé pour son progressisme, pondait des chansons qui au-delà des mélodies racontaient des histoires, peignaient des tableaux. "Le France", c’était plus qu’un bateau : c’était une métaphore d’un pays en déroute. Aujourd'hui ? Un bateau, c’est juste… un bateau. Ou pire, un décor pour un clip où l'on danse en playback.
Et que dire de Léo Ferré ?
Ce génie qui mélangeait poésie et révolte, érigeant ses chansons en pamphlets. Lui n’aurait jamais chanté "Bella ciao" pour vendre du soda. On vivait dans une époque où les paroles prenaient aux tripes, où chaque mot comptait. Quand un artiste écrivait une chanson, il ne se contentait pas de chercher une rime facile, il cherchait une vérité. Les années 80 et 90 : Quand le sens commençait à se diluer Dans les années 80, la France a découvert le synthétiseur… et elle n’en est jamais vraiment remise. Les paroles ont commencé à perdre un peu de leur poids, étouffées sous une avalanche de sons électroniques. Mais même là, Jean-Jacques Goldman, malgré toute sa production pop, savait encore écrire des chansons à texte. Allez écouter "Envole-moi" ou "Il suffira d’un signe". Ce n’était peut-être pas la révolte de Mai 68, mais ça racontait quelque chose, ça vous accrochait encore. Puis sont arrivées les années 90, avec le rap français qui à ses débuts portait une voix, celle du peuple populaire. Le rap, c’était le poing levé, la colère des quartiers qui trouvait enfin une caisse de résonance. IAM, NTM, MC Solaar... On était encore loin des lyrics creux de certaines productions actuelles. A cette époque, les punchlines claquaient comme des manifestes, les textes rappaient la vie, la vraie. Ils dénonçaient, critiquaient, éveillaient les consciences. Bon, ça ne rimait pas toujours parfaitement, mais au moins ça essayait. Les années 2000 : La télé-réalité prend le relais, et les paroles trébuchent Puis est arrivée la grande décennie de la Star Academy et des télé-crochets. Ah, les années 2000, ce moment où l’on a décidé que pour devenir chanteur, il suffisait de savoir pleurer à la caméra et d’avoir une jolie voix. Le texte, lui ? Bof, on pouvait bien s’en passer. Une ritournelle suffisait. Un "Je t’aime" ici, un "pour toujours" par là, et hop, une chanson ! Ce fut l’époque où les paroles des chansons ont commencé à ressembler à des cartes postales sentimentales. L’époque où l’on a troqué la subtilité des mots pour des "La la la" qui remplissent les couplets quand on ne sait plus quoi dire. Les chanteurs sortaient d’une fabrique où le talent d’écriture semblait être une option facultative, et la qualité des textes, elle, a doucement pris la poudre d’escampette. Les années 2010 et aujourd'hui : Quand la forme a définitivement pris le dessus sur le fond Et nous voilà dans les années 2010, où tout le monde se mélange : la pop, le rap, l’électro, le trap… Mais là où l’on s’attendait à un festival de créativité, on se retrouve avec un gloubi-boulga de paroles qui auraient difficilement tenu tête à une rédaction de CE2. Prenez un tube récent, n’importe lequel, et écoutez bien les paroles. Vous y trouverez quoi ? Des "baby", des "yeah", des "oh-oh-oh" et des refrains qui se répètent en boucle comme si l’auditeur avait perdu la capacité de comprendre plus de trois phrases à la suite. Et le pire, c’est que ça marche. Le streaming a tué le texte : tout doit être court, accrocheur, facile à mémoriser pour passer sur les réseaux sociaux. On est passé de "Ne me quitte pas" à "Tu vas me manquer, nanana", et personne ne semble vraiment s’en offusquer. Même les rappeurs, qui autrefois utilisaient le verbe comme une arme, semblent aujourd'hui plus intéressés par le placement de marques de luxe que par la critique sociale. Les punchlines, elles, sont devenues des slogans publicitaires à peine déguisés. Et maintenant, que nous reste-t-il ? Alors, qu’est-ce qui a changé ? Pourquoi les artistes de jadis semblaient-ils si investis, si exigeants avec leurs textes, alors qu'aujourd'hui, on dirait que les paroles sont là juste pour faire joli ? Peut-être que la musique est à l’image de notre époque : rapide, éphémère, superficielle. Ou peut-être que nous, auditeurs, avons cessé de demander plus. La France, ce pays autrefois si fier de ses poètes-chanteurs, est désormais un terrain de jeu pour des créateurs de tubes jetables. Mais qui sait, peut-être qu’un jour, quelque part, un nouveau Brassens ou une nouvelle Barbara viendront nous rappeler que la musique, c’est aussi et surtout des mots. En attendant, profitons des "nanana"… David SCHMIDT Read the full article
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