#kouam Tawa
Explore tagged Tumblr posts
auxcaillouxdeschemins · 2 years ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
5 notes · View notes
jamesmurualiterary · 6 years ago
Text
Veronique Tadjo to chair Orange Book Prize in Africa 2018 jury.
Veronique Tadjo to chair Orange Book Prize in Africa 2018 jury.
Veronique Tadjo is the chair of the Orange Book Prize in Africa jury announced on January 22, 2019. The other judges are Valérie Marin La Meslée, Mohamed Mbougar Sarr, Wilfried N’Sondé, Michèle Rakotoson, Kouam Tawa, Elizabeth Tchoungui, and Fawzia Zouari.
In November 2018, a new literary prize aimed at French- speaking Africa called the Orange Book Award was launched. This prize was for fiction…
View On WordPress
0 notes
journaljunkpage · 6 years ago
Text
TEENAGE (G)RIOT
Tumblr media
Stéphanie Pichon / Gianni-Grégory Fornet © Christophe Pean
Les Francophonies en Limousin ont toujours privilégié les relations entre artistes des arts vivants et auteurs de langue française du monde entier. Cette 35e édition n’y coupe pas, du projet pluridisciplinaire Jusqu’où te mènera Montréal ? aux duos auteurs/chorégraphes inédits (Kouam Tawa et Andreya Ouamba, Nancy Huston et Salia Sanou). Et puis il y a la création de Par tes yeux, trois portraits croisés d’adolescents confiés à Martin Bellemare, Sufo Sufo et Gianni-Grégory Fornet. Nous avons rencontré ce dernier dans la torpeur de l’été pour évoquer ce nouveau projet autour de la jeunesse.
Tumblr media
Martin Bellemare © Christophe Pean
Tumblr media
Sufo Sufo © Christophe Pean
Gianni-Grégory Fornet serait-il resté un grand adolescent ? Ou aurait-il seulement quelque élan indécrottable pour le monde des moins de 25 ans ? Cela fait deux fois, en peu de temps, qu’on prend l’auteur/metteur en scène en flagrant délit de pièce consacrée à la jeunesse. La première fois, c’était il y a deux ans. Hodači (Ceux qui marchent) racontait dans une pièce documentaire la vie de jeunes adultes (18-25 ans) de la ville de Niš, en Serbie. « C’était un peu du Rohmer des Balkans : on y parlait beaucoup et il n’y avait pas beaucoup d’action. » Dans ce théâtre documentaire, joué par ces jeunes Serbes, Gianni-Grégory Fornet avait décelé une « jeunesse empêchée, à qui on dénie le droit de faire des études, d’avoir le job qu’elle veut ». La deuxième, ce sera donc au festival des Francophonies en Limousin pour la création de Par tes yeux, trois portraits d’adolescents, écrits par des auteurs de trois continents différents : Gianni-Grégory Fornet le Bordelais, Martin Bellemare le Québécois et Sufo Sufo le Camerounais. Le projet est une commande des Francos, qui ont eu envie de confronter trois écritures d’auteurs qu’elles connaissent bien et qui se sont croisés à la Maison des Auteurs (dont on fête cette année les trente ans).
Quand on lui pose la question de ce tropisme pour la jeunesse, Gianni-Grégory Fornet répond : « J’ai toujours eu prétention de m’intéresser à la jeunesse. Il se trouve que jusqu’à un certain âge, ça n’était pas visible parce que c’était moi qui jouais avec mes potes... Avant, on ne me posait pas la question. » Eh oui, à 42 ans, l’auteur et metteur en scène bordelais, parfois encore classé dans le fourre-tout de la « jeune création », prend de la bouteille et multiplie les médiums, du théâtre au film, de la musique au multimédia. « Je fais des pièces mais ça peut s’appeler autrement », dit-il. Par tes yeux pose donc une nouvelle pierre à l’échafaudage, toujours trempé dans un théâtre documentaire qui prend le temps de l’observation et de l’immersion. L’auteur a ainsi battu la campagne de la Nouvelle-Aquitaine, dans des lycées agricoles de Bergerac, Barbezieux ou Magnac-Maval, où il a passé en tout onze semaines en résidence au plus près des adolescents, loin des métropoles, « dans cette diagonale du vide où le déclassement fait rage », thématique qui est devenue le filtre principal du texte qu’il propose pour cette création à trois voix. Le portrait d’adolescent qu’il brosse sera celui de Norma, lycéenne en internat, que la séparation de ses parents oblige à déménager loin de la ville, devenue trop chère pour sa mère. « C’est un portrait, mais pas un solo. Autour de ce personnage apparaissent une multitude de silhouettes, d’autres élèves et la figure de la mère, centrale. »
Aux côtés de Norma, il y aura aussi Mimi, jeune fille qui rêve de confort et d’argent dans la banlieue de Montréal et écrit des web séries. Et un vendeur de bananes de Yaoundé, « qui regarde la fille de l’heure dont il rêve depuis longtemps ». Les auteurs, qui ont écrit leurs textes, chacun de son côté, ont préservé dans la pièce la voix de chacun des parcours pour en préserver la clarté, tout en jouant d’interactions entre les trois personnages au plateau, joués ici par des acteurs professionnels. C’est Gianni-Grégory Fornet qui signe la mise en scène. « On tenait à ce que chaque ton soit authentique, que personne ne se sente gêné à faire couleur locale. Moi j’écris ce portrait dans un français qui est un savant mélange de classique et de brut, de phrases longues et denses, là pour dire des choses qui piquent. Le Québécois est plutôt dans le spontané, avec des mots très particuliers. L’équilibre est réussi, on évite les clichés et chacun respecte sa dramaturgie. On arrive à un point commun sans s’être entendus au préalable. Les trois écritures laissent sa place au réel. »
À quel endroit ces réalités de Yaoundé, Montréal ou Bergerac se croisent-elles ? Où se situent les différences et les similitudes dans les regards que les adolescents portent sur le monde ? « Au Canada, les adolescents sont hyper-encadrés, on les occupe pour savoir ce qu’ils font, on les contrôle par peur de ce qui pourrait leur arriver. Au Cameroun, on s’est retrouvé dans une bibliothèque où 200 jeunes étaient rassemblés. Sur les murs, écrit en français et en anglais, il y avait “Une fille sans éducation est une proie facile”. En France, la fragilité n’est pas la même, nous avons un rapport très particulier à la jeunesse, notamment dans notre façon d’aborder l’autonomie. »
La pièce, fruit de résidences dans les trois pays, tournera aussi sur les trois continents. En Nouvelle-Aquitaine, après sa première à Limoges, elle sera montrée dans le FAB en octobre, puis à Bergerac en novembre à la Gare Mondiale, pour le festival Traffik consacré à la jeunesse.
À noter que Gianni-Grégory Fornet arrive à Limoges avec une autre création, multimédia cette fois : Limbo, une biographie du perdu. Ou que reste-t-il du voyage à l’ère du numérique ? « C’est une correspondance imaginée avec l’artiste portugais João Garcia. On y mélange des images, des textes, des voix off, glanés au gré de nos voyages. » L’objet, est diffusé sur Canalsup, la web tv de l’université de Limoges, en une série de 17 épisodes de huit minutes. Pendant le festival, il prendra aussi la forme d’une installation vidéo, à découvrir au musée des Compagnons du Devoir.
Les Francophonies en Limousin, du mercredi 26 septembre au samedi 6 octobre, Limoges (87000). www.lesfrancophonies.fr
0 notes
residence-mbn-2018 · 6 years ago
Text
La quatrième semaine de Marine Bachelot Nguyen à Grenoble ! 2/2
Tumblr media
Mercredi 23 mai. 1ère journée du studio lycéen à la MC2 avec 11 élèves. Nous lisons à la table des extraits de 4 textes de moi : Tabaski, Histoires de femmes et de lessives, Les ombres et les lèvres, Le fils. Remarques et discussions passionnantes de la part des élèves, c'est très agréable et stimulant de partager cela avec eux. Puis on passe un peu au plateau, sur la séquence inaugurale d'Histoires de femmes et de lessives, un mur d'insultes sexistes trans-historiques que les élèves prennent à bras le corps.
Tumblr media
Comme hier midi, Marina et François-Xavier et moi on se retrouve dans l'espace cantine de la MC2 sur ma pause déjeuner, et travaillons pour la mise en lecture de Circulations Capitales qui aura lieu vendredi pour le 3ème apéro.
En lever de rideau, des lycéennes lisent ma courte pièce Naissance, sur l'histoire d'une jeune fille qui perd les eaux et donne vie à un bébé qu'elle a eu avec un jeune homme, victime d'un meurtre policier... Voix de l'hôpital et voix de manif se croisent, c'est saisissant et intense.
Puis on assiste à la lecture-fleuve du formidable Nuit de veille de Kouam Tawa. Une veillée d'âmes et de paroles !
Tumblr media
Jeudi 24 mai. Levée de bonne heure pour continuer ma distribution d'Akila, et faire d'ultimes réécritures.
Dès 10h, 2ème journée du Studio Lycéen : on travaille sur une mise en espace d'un extrait de Tabaski, sur le retour au village d'un jeune homme expulsé de France au Mali : les élèves s'investissent avec justesse et brio, que ce soit pour les personnages ou le chœurs. Et on passe aussi un peu à l'écriture, de façon très ludique et très riche.
Tumblr media
En fin de soirée, sur la terrasse du resto L'Atypik, échange passionnant, drôle et inattendu avec Kouam Tawa sur les hommes d'Etat et dictateurs écrivant de la poésie : la poésie d'Hô Chi Minh est consacrée par Kouam, tout comme celle de Khomeini, mais Staline et Kim Jong Il sont rangés dans la catégorie des mauvais et piètres poètes... On se dit qu'on ferait bien une anthologie, avec le nombre de morts en vis-à-vis des vers...
Tumblr media
Vendredi 25 mai. Dernière journée du studio lycéen, on travaille sur Les ombres et les lèvres le matin, puis sur de l'écriture intime et autofictionnelle l'après-midi. Ces lycéens et lycéennes sont magnifiques...
Et puis ultime répétition du midi pour Circulations Capitales, avant notre apéro-lecture de 19h à la MC2.
Il fait beau et chaud, il y a du monde dans la cantine, le public du festival Regards croisés et de la MC2 se mélangent. C'est parti pour une trentaine de minutes de lecture préformée, avec sa fraîcheur et ses fragilités. On teste notre dispositif : commencer à 3 sur la scène, avant que je ne m'efface et devienne une voix off micro... Les dernières notes de la chanson viêtnamienne a capella de FX résonnent dans la salle... Discussion brève mais précieuse avec le public : notre dispositif semble fonctionner et les gens commencent à nous parler de leurs propres histoires familiales... Preuve que ça circule !!
0 notes
auxcaillouxdeschemins · 2 years ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Samedi 11 mars, le Marché de la Poésie de Bordeaux vous invite à voyager au-delà des frontières, avec une double soirée de lectures musicales !
Tumblr media
Kouam Tawa, poète et metteur en scène camerounais, nous guide au travers de l'histoire de l'Afrique, au son dépaysant du balafon de Mangane.
Inspirée des veillées traditionnelles d'Afrique, "Ôho est un chant d'adieu", explique Kouam Tawa. C'est sa réponse, la seule qu'il ait trouvée, à la perte soudaine de son meilleur ami, son plus-que-frère. Ôhó est un cri universel, un appel au sol et aux peuples de cette terre que l’ami habita. Ancré dans la tradition orale, Ôhó pétrit l’ocre des mots modelant peines et joies en une intense élégie dédiée aux hommes qui ont fait et feront l’histoire de l’Afrique, offerte à l’humanité.
(photo par Perez)
Tumblr media
Asselikoun est un récit poétique sur l’errance d'une femme rejetée, soumise à la violence, exilée dans le désert. “Les Cheminants” questionnent les archaïsmes et dogmes du patriarcat et retracent les luttes de cette femme, figure mythique et universelle du rejet et de l’oubli.
Une lecture musicale par Tarek Essaker (auteur tunisien), accompagné au oud par Ziad Ben Youssef (compositeur/traducteur), avec Myriam Vicq (comédienne).
Tumblr media
Réservez vos places en ligne sur le site du Marché de la Poésie : https://bordeaux-marche-de-la-poesie.fr/
Pour sa nouvelle édition, Le Marché de la Poésie de Bordeaux vous propose 6 soirées exceptionnelles de lectures poétiques et musicales.
3 notes · View notes