#pkj
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I don’t usually do this but it does look very fun so hi knock knock trick or treat
Patrick Karneigh junior (PKJ) is a 71 year old rap artist from Liverpool. I was only made aware of the Northern Boys due to this blog, and holy shit he's so funny.
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Technically, a cyberpunk story
Sexy Train by The Northern Boys
#The Northern Boys#Northern Boys#Cyberpunk#cyber punk#british#UK#United Kingdom#Rap#hip hop#Sci-fi#sci fi#scy fy#nanotech#Norman Pain#Patrick Karneigh Jr#PKJ#Kevin#Sexy Train
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What can I say but that I can’t wait for pkj writing Damian and Bruce ! Many of his books at the moment are focused on fatherhood so I at least have no worries on that front.
I loved how he wrote Jon and Clark’s relation but also Clark and the twins Osul and Otho in action comics . I know he also like Talia from her pre Morrison era and he did implied he will use her !!!!
Anyway I’m happy !
Also speculation time I think they might make Damian 15 since it’s said in the solicits that he will be around the age when Bruce left to go around the world. If they do age him , I hope they finally have a family birthday party with him since we still haven’t had a canon one where Bruce was there for Damian (see teen titans rebirth #1 for Bruce being absent…)
Like the only happy birthday Damian had was a non canon story in truth and justice #6 where all the bat family were there to celebrate !
#damian wayne#dc comics#batman#bruce wayne#robin#talia al ghul#damian al ghul#batfamily#batman and robin#pkj#dc writers
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Action Comics #1058
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Lisa Laubreaux signe la couv' du roman culte de Françoise Sagan pour la maison d'édition d'enfance & jeunesse PKJ.
Lisa Laubreaux signs the cover of Françoise Sagan's famous novel for PKJ, the publishing house of children's and youth literature.
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L'harcèlement scolaire
Bonjour tout le monde ! Comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux alors ! Si non, prenez soin de vous et prenez le temps qu'il vous faut pour récupérer. En plus, aujourd'hui, le thème de l'article est assez "dur", mais il me tenait à cœur. Si vous ne vous sentez pas de le lire, je ne vous en voudrais pas du tout, le plus important c'est vous et votre bien être. ♦♦♦♦ Le harcèlement scolaire n’est pas quelque chose d’anodin, pourtant on en parle peu et ce sujet reste malheureusement tabou quelque soit le pays. Ironiquement, avant cela restait dans la sphère « scolaire » et externe à chez soi, alors qu’à présent ce type de harcèlement est également entré dans le « cyber-harcèlement ». Vous vous demanderez sûrement pour quelles raisons je parle de cela, à présent, alors que ce sujet n’est pas en rapport avec le thème principal du blog. Et bien si, il existe des mangas en parlant, osant le mentionner mais également d’autres supports. Mais avant d’en parler revenons rapidement sur ce sujet, sur ce fait de société que beaucoup tentent de cacher ou qui peut sembler anodin aux yeux de certains. Malheureusement, le harcèlement peut mener à des circonstances dramatiques et marquera à vie la victime de celui-ci si cela ne mène pas à une fin prématurée. Les blessures liées au harcèlement peuvent être physiques, mais surtout morales. L’envie de disparaître, de comprendre ce que l’on a pût faire de mal, d’en finir peut assaillir la victime qui se replie sur elle-même car ses appels à l’aide ne sont pas entendu ou ne peuvent être formulés. Vous me direz sûrement « Mais Kymeria, il suffit d’en parler c’est tellement facile ! » et je vous répondrai par la négative. Ce n’est pas facile car la personne harcelée sait qu’il peut y avoir des répercussions, que tout peut s’envenimer autant que s’améliorer. C’est un peu comme s’il jouait à pile ou face… Avec sa propre vie. Une vie qui n’est déjà plus réellement la sienne, mais qui est devenue de la survie. Se taire, se faire tout petit, tenter d’éviter au maximum d’attirer l’attention même par mégarde et finir par s’éteindre cela arrive réellement. Le fait de parler du fait d’être harcelé peut autant être une bonne qu’une mauvaise chose, surtout dans nos pays où, ironiquement, la personne sera peu aidée. Pire lorsque les personnes l’apprenant nient cela alors que le harcèlement existe bel et bien. Après tout « Ce n’est qu’un jeu, tu n’es pas réellement une cible » voire tout simplement un « Je n’ai rien vu… Je ne savais pas. » Parce que oui, de telles brimades peuvent ne pas être visibles. Il est tellement simple d’être « gentil » avec la personne lorsque les parents apparaissent ou un adulte quelconque – à moins que l’adulte en question participe également à rabaisser la malheureuse personne – alors que le quotidien de la victime est un véritable calvaire. La pression sur ses épaules s’accentue, la crainte également et cet être humain pourra totalement chambouler sa manière d’être. Adieu la joie de vivre quotidienne, adieu l’envie de se rendre à l’école ou de rencontrer des gens, en réalité la personne peut même se dire adieu à elle-même. Je ne sais pas si vous réalisez ce que cela fait de voir des personnes tenter de mettre fin à leurs jours alors qu’autours de vous certains rient sous leurs vestes ou font, encore, des remarques désobligeantes. Je ne sais pas non plus si vous savez ce que cela peut faire de se sentir aussi bas que terre, d’être dans un puits sans fond et d’espérer au fond de vous de voir apparaître une main pour vous secourir, quelqu’un qui sera assez fort pour ne pas suivre le courant choisit par les autres et qui tentera de vous venir en aide. Il est tellement plus simple de détourner le regard ou d’être du côté des harceleurs, des bourreaux, que d’oser aller contre eux. C’est la nature humaine qui est ainsi, faite pour être solitaire malgré l’impression que cela donne. Après tout, rabaisser quelqu’un, c’est se montrer supérieur à lui et lorsque plusieurs personnes se liguent contre une autre cela semble naturel de traiter cet être comme étant « inférieur ». Même si cela ne sera jamais dit ainsi, même si certains se diront que « Ce n’est pas normal ». L’impuissance apparaît autant chez la victime que chez les observateurs de la scène qui peuvent penser que quelqu’un finira bien par agir, qu’il y a bien assez de monde pour cela. Et bien non. Non, parce que tout le monde pense ainsi, c’est une manière de se décharger sur les autres, de se dire que quoi qu’il arrive nous ne serons pas fautif alors que si… Cela peut vous sembler étrange dit comme cela, mais je vous assure que c’est le cas car il y a une chance parmi plusieurs milliers pour que quelqu’un ose. Parce qu’il faut sortir de la masse, se faire repérer et risquer de devenir également une cible pour les bourreaux. Ce n’est pas réellement le rêve de la majeure partie qui préfèrera rester tranquillement dans son coin afin de minimiser les risques. Jusqu’au jour où un événement se passera. Un drame, une réaction bien plus importante que précédemment ou juste un autre être osant quitter la masse d’observateur afin de tendre une main salvatrice. Quelque soit le grain de sable s’ajoutant, cela aura une répercussion et cette dernière sera soit positive soit négative. Et c’est à ce moment là que l’on entendra des « Je ne t’ai jamais rien fait moi, tu ne vas pas m’en vouloir », « On reste ami/e ? » voire « Je ne comprends pas ce qui l'a poussé à faire cela... ». Ce harcèlement se retrouve dans différents univers, dont les œuvres de fictions. Vous connaissez tous, ou presque, A Silent Voice de Yoshitoki Oima présent aux éditions Ki-Oon et existant en film d’animation. Nous y suivons Shoko et Shoya, la première est sourde et était la cible favorite du second lorsqu’ils étaient en primaire pourtant lorsqu’elle quittera l’établissement suite à tout cela, ce sera Shoya qui deviendra la cible de ses camarades au point qu’au début de l’histoire notre héros pense et s’apprête à se suicider, mais avant cela il décide de s’excuser auprès de Shoko. Ce faisant quelque chose d’inattendu se passera et chamboulera les plans de Shoya… Je n’en dirai pas plus, mais il est facile de voir à quel point un retournement de situation est possible tout en voyant jusqu’où l’intimidation, le harcèlement, peut mener. Suivre l’évolution de Shoya au fil des sept tomes formant cette série, mais également celle de Shoko était un véritable régal qui m’aura également fait pleurer en plein milieu de la gare. A côté de ce gros titre, je peux également mentionner Vitamine de Keiko Suenobu qui est un One-Shot sortit aux éditions Panini et qui n’a pas été réédité à ce jour si je ne me trompe pas. Trouvé par hasard en occasion, je l’avais prit sans savoir ce qui m’attendait et j’ai rapidement été mise dans le bain. Sawako – l’héroïne – semblait avoir une vie normale, pourtant ce n’est pas le cas. Non, ce n’est pas une magical-girl camouflée, mais une collégienne ayant un petit-ami abusant d’elle physiquement alors qu’elle n’est pas d’accord. Sa vie au collège changera de tout au tout lorsqu’elle sera vue dans une position douteuse avec ce dernier – alors qu’elle ne voulait pas du tout – et Sawako deviendra le souffre-douleur de sa classe. Ses parents ne l’aideront que très peu et ce sera ses retrouvailles avec une ancienne passion que la sauvera de l’enfer dans lequel elle se trouvait. La douleur de notre héroïne est belle et bien présente, du début jusqu’à ce qu’elle se retrouve réellement et recommence à avoir confiance en elle. Une confiance détruite au début lorsque tout son « monde » s’écroule et il lui faudra du temps avant de se relever grâce à cette passion qui avait été rangée dans un carton durant des années, jusqu’à ce jour… Un rien peut sauver une vie et ici ce sera quelque chose d’anodin aux yeux de la majeure partie des gens, mais qui avait en réalité une place importante pour Sawako même si ne pas être soutenue durant un bon moment l’aura blessée, elle aura fini par se reconstruire et c’est ce qui compte réellement. Si l’on se base plus simplement sur la phobie scolaire et la peur du regard des autres le titre Sans aller à l’école, je suis devenu mangaka de Syoichi Tanazono présent aux éditions Akata peut également être mentionné sans difficulté. Ici, c’est l’action d’un professeur qui engendrera le fait que Masatomo ne désire plus se rendre à l’école. Il a peur du regard des autres, des rumeurs pouvant circuler et il n’arrive plus à s’intégrer ou à se comporter naturellement avec autrui. Sa scolarité ne sera plus « ordinaire », mais une vocation naîtra au fil du temps. Une vocation qui lui permettra d’avancer, de faire une rencontre importante et d’être, au final, une personne ayant retrouvé sa joie de vivre. (Mon Avis) Par rapport à la phobie scolaire, je suis tombée grâce à Raven sur la courte BD LUCE réalisée par AmeFumikka et Eurasiam qui se trouve sur Mangadraft. Cette BD nous parle avec un ton juste de la phobie scolaire, de ce que l’on ressent et de ce qu’il est possible de faire pour s’en sortir, de l’aide que l’on peut recevoir. Ce fut une très belle surprise et je remercie Raven pour m’avoir envoyé le lien. Que ce soit les dessins ou les dialogues, ils font mouche – à mes yeux – marquant le lecteur et pouvant le renvoyer à son passé ou le faire réaliser que cela n’est pas simple pour les personnes touchées par la phobie scolaire. (BD) Dernièrement, j’ai également regardé le film La chasseuse de géants d'Ander Walter où la morale m’aura touchée : « On est plus fort que ce que l’on croit ». Barbara est une jeune fille solitaire, vue comme étant une originale, et partant en croisade contre des géants. Est-ce vrai ou tout cela se passe-t-il dans sa tête ? La réponse est donnée dans le film au bout des 1h45 de visionnage. Ne vous attendez juste pas à voir un film fantastique, mais préparez-vous à un film plutôt psychologique. Ici, notre héroïne sera malmenée par certains de ses camarades et avancera petit à petit jusqu’au final. On réalise aisément les raisons l’ayant poussée à se protéger et à vouloir protéger autrui, même si aux yeux des gens cela semble étrange. Non… C’est réellement la morale qui m’aura touchée – que vous avez lue plus haut – et les liens se formant entre quelques personnages qui finiront par comprendre Barbara, à ne pas la voir comme une personne ayant des problèmes. Il est difficile d’en dire plus sans vous parler des raisons la poussant à faire cela et bien que le film ne tourne pas autour du harcèlement scolaire à proprement parler – même si Barbara le vit d’une certaine manière – je pense que cela peut permettre de se rendre compte de la force que l’on a en chacun de nous. Enfin, je parlerai de Cœur Vanille de la saga des Filles au chocolat de Cathy Cassidy et se trouvant aux éditions Nathan ainsi que Pocket Jeunesse. Cela pourra en étonner certains, pourtant Honey sera la cible du cyber-harcèlement alors qu’elle se trouve en Australie, près de son père, au point que certaines de ses nouvelles camarades changeront de point de vue sur la demoiselle. Cela la blessera moralement, jusqu’à un certain point, et je me suis mise à apprécier ce personnage lors de ma lecture. Une lecture qui m’aura permit de changer ma vision sur Honey, de la voir différemment et de souffrir à ses côtés pendant que son monde se fissurait au fil des pages. Pourra-t-elle se reconstruire ? Arrivera-t-elle à s’en sortir ? Tout cela apparaît durant le roman. Bien entendu, ce « thème » peut se retrouver dans d’autres titres mais également toucher des personnages secondaires. Après tout, ce n’est pas spécialement le héros qui peut être une cible. Un peu comme dans le monde réel au fond, où nous ne sommes pas toujours celui qui est victime du harcèlement. Parce que oui, lorsque nous lisons nous ne sommes que spectateur de ce qu’il se passe sur les pages nous faisant face, des pages nous percutant la majeure partie du temps ou nous faisant réaliser la souffrance d’autrui. Nous nous trouvons à la place des observateurs lointains, de ces personnes qui ne peuvent pas réagir, mais qui voient la souffrance d’autrui. Nous ne sommes pas avec eux, comme ses amis se trouvant au loin, et pourtant on encourage les personnages, on tente de les aider à surmonter ce qu’ils vivent… Mais surtout nous nous mettons à leurs places, parce que c’est par leurs yeux que nous découvrons l’œuvre. Cette souffrance devient la nôtre, d’une manière ou d’une autre, et lorsque l’on a vécu des situations proches elle peut devenir bien plus forte, résonner en nous. Une résonance pouvant nous faire réaliser jusqu’où on a été, ce que nos proches ont pût subir s’ils ont essayé de nous aider ou de se dire qu’au fond, eux aussi étaient perdus. Il est difficile de comprendre, au premier coup d’œil, ce que l’autre ressent, ce qu’il vit et comme souvent la communication est rompue lorsque quelqu’un est harcelé cela devient encore plus difficile. La majeure partie du dialogue est, pratiquement, non verbal à moins que l’harcelé trouve le courage de passer le mur s’étant construit entre lui et les autres. Pour se faire, il lui faudra du temps et se rendre compte qu’il y a des personnes qui ont réellement confiance en lui, des personnes qui seront toujours là quoiqu’il arrive. C’est extrêmement difficile, mais possible. Le plus important est de ne pas abandonner, de tenter de montrer à la personne que vous êtes là pour elle et ce même dans les moments les plus difficiles, même si vous avez peur. Un jour, elle vous remerciera d’avoir toujours été présent, de ne pas l’avoir laissé sombrer dans un puits sans fond et vous pourrez revoir cet être sourire. Tout du moins s’il ne se renferme pas, encore et encore, sur lui-même… Je n’ai aucune idée de la manière dont cet article vous touchera, mais j’espère tout de même qu’il « résonnera » d’une manière ou d’une autre en vous. Pour être sincère, j’ai souffert en l’écrivant car de nombreux souvenirs sont revenus, certains positifs et d’autres négatifs. Comme beaucoup, j’ai eu du mal à en parler, j’ai encore des difficultés maintenant car je sens ma gorge se nouer et mon cœur se serrer. Actuellement, mes yeux sont encore embués. Pourtant, je sais le bien que cela peut faire de se libérer, de se savoir entendu, d’avoir quelqu’un à ses côtés et de ne plus sentir que l’on s’enfonce dans quelque chose de gluant dont on ne peut s’extirper. Il est possible de s’en sortir, mais il ne faut pas croire que l’on sera réellement indemne… Quelque chose se brise à l’intérieur lors de cette période pouvant être plus ou moins longue, une part de nous-mêmes et comme les personnages que l’on découvre lors de nos visionnages et lectures nous devons nous reconstruire. Cela se fait à son rythme, variable en fonction de chacun lorsque cela est possible. Je vous laisse à présent, en espérant ne pas avoir été trop radicale… J’ai eu du mal à mettre des mots à certains moments, mais cet article me trottait dans la tête depuis un moment déjà. C’est chose faite et les prochains seront moins radicaux (je pense…), mais il fallait vraiment que j’en parle. Je me doute que cela ne plaira pas à tout le monde, mais tant pis. Ce qui est certain, c’est qu’écrire tout ça m’aura fait du bien même si tout le long j’aurai eu du mal. Tout plein de câlins et de rayons de soleil, sachez que vous méritez le meilleur. Read the full article
#Akata#Désespoir#Douleur#Film#Harcèlement#Ki-Oon#Lumière#Manga#Mangadraft#Nathan#Oneshot#Panini#Pertedeconfianceensoi#Peur#PKJ#Pocketjeunesse#Renfermementsursoi-même#Roman#Secours#Suicide#Tranchedevie#Viescolaire
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Le syndrome du spaghetti, Marie Vareille
Léa a 16 ans, un talent immense pour le basketball et des rêves plein la tête. Entraînée par son père, son modèle et son confident, elle avance avec confiance vers cet avenir tout tracé. Anthony, lui, a 17 ans et est obligé de faire face à l’absence de son père et aux gardes à vue de son frère. Léa et Anthony n’aurait jamais dû se rencontrer, mais lorsque la vie de Léa s’écroule, il est le seul à pouvoir l’aider à se relever...
J’ai reçu ce roman dans ma précédente Kube, et j’étais plutôt contente parce que j’avais prévu de le lire depuis quelques temps. J’ai bien aimé ma lecture, c’était un peu mignon, mais j’ai eu du mal à m’accrocher aux personnages… Je suis rentrée dedans tout de suite, mais c’est comme si j’étais restée en surface. Ça m’a plu, mais c’était vraiment pas le coup de cœur du siècle. Et pourtant, malgré tout ça, ça ne m’a pas empêchée d’avoir la boule dans la gorge à la fin du livre ! C’était super touchant. Ça parle de deuil, du premier amour, de rêves brisées, de maladie… tout est là pour que ce soit touchant ! Et encore plus lorsqu’on lit la postface de l’autrice. C’est parfait dès 13 ans, et parfait pour les adultes aussi !
24/05/2024 - 26/05/2024
#livres#books#livre#book#littérature#littérature young adult#young adult#young adult books#marie vareille#le syndrome du spaghetti#éditions pocket jeunesse#pkj
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Thieve's gambit de Kayvion Lewis
8/10 Mentir. Tricher. Voler. Gagner. Dans la famille Quest, on est voleur de génération en génération. Ross, dix-sept ans, a pourtant d’autres projets en tête : elle a prévu de s’enfuir pour repartir de zéro, aller à la fac, mener une existence normale… Mais le soir de son départ, lors de leur dernière expédition, sa mère se fait kidnapper. Or, le même soir, Ross reçoit un mail lui…
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Blanche, T.01 : Espionne de la Reine.
Angélique Chevalier.
2021.
Synopsis :
1633, à la cour de France.
Blanche de la Fère, quatorze ans et l’esprit plus affûté qu’une épée, est dame de compagnie de la reine Anne. Mais elle cache bien son jeu : espionne au coeur vaillant, elle est prête à tout pour protéger sa reine des complots !
Ses talents lui valent de nombreux ennemis… Alors quand le Lys Écarlate, roi des voleurs, cherche à s’emparer d’un joyau de la souveraine, Blanche saura-t elle se montrer plus rusée et déjouer ses plans machiavéliques ?
Plaisir de lecture :
Une lecture très plaisante. Très bonne l’idée de faire une héroïne qui joue les agents doubles entre Anne d’Autriche (gentille) et Richelieu (méchant comme j’aime).
Note : 3 chats.
Historicité :
Très relative, mais ce n'est pas le but. Mais l’ensemble reste cohérent.
Des liens avec Les Trois Mousquetaires de Dumas intéressants.
Note : 3 chats
Disponibilité :
Papier ou numérique payant.
Neuf ou occasion.
Adaptation audiovisuelle :
Aucune à ma connaissance.
Bonus Point Chat :
Des chats sur les illustrations quand Blanche est chez Richelieu.
Note : 2 chats.
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If you like this show, please contact me; I have literally never encountered another fan in my life
#OMG IT'S ONE OF MY FAVORITE SHOWS EVER#those results are sad#but absolutely predictable#Painkiller Jane#pkj#polls
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The Enduring Myth of Superman ft. Phillip Kennedy Johnson | Superhero Project Podcast Issue #4
In this special, Danny Graydon and Mikayla J. Laird celebrate the 85th anniversary of Superman by interviewing the phenomenal Phillip Kennedy Johnson. In this special, we ask Johnson about his favourite moments in Superman history, the challeneges of writing such an important character, and just how influenctial the Christopher Reeve incarnation of Superman truly is.
youtube
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#Action Comics#Alien#Clark Kent#Comic#Comic Book#Comic Books#Comics#Danny Graydon#DC#DC Comics#Interview#James Bond#Julian Todesco#Phillip Kennedy Johnson#PKJ#Podcast#Superhero Project#Superman#The Superhero Project#Warworlds#Youtube
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damian: i volunteer at a hospital.
bruce: what is wrong with you?!
#bruce wayne will you ever learn how to be a good dad?#robin#damian wayne#wednesday spoilers#pkj finally cooking with this one#i wasn’t sold at first#but i’ll wait until the end of this arc to form my opinion
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kara wearing kon's glasses (given to her by tim) in supergirl v5 🫶 and her wearing his shirt (that she stole) after his death in infinite crisis:
#kara zor el#kon el#<- there in spirit#superfam#including the shirt panels even though it's from the cursed part of sgv5 bc it's cute 🫶#kara gaining a new cousin after krypton's destruction and then immediately losing him.... it's tew much#i like that they've been shown to be pretty close in pkj's action comics run but i need like. more in depth interactions between them.#need them to go on an intergalactic camping trip a la supergirl/superman: maelstrom#anyway. was just skimming through sgv5 for argoscity purposes. miss u linda lang.
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Am I the only one who thinks that damian retiring from superheoring would be the boringest decision on the planet
#fortunately i don't think pkj will have him. retire bc you know. batman and robin comic#but like when dick gets a bartender job I'm not like omg ge#he needs to quit nightwing and become a bartender 😻#he just gets stuff going on in his civilian life#but i feel like the only one withb this read bc ive seen multiple oh hes gonna quit ]#]pists#posts#dc comics#fade reads dc comics#wednesday spoilers#spoilers#batman and robin 2023#damian wayne#robin
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i've connected the dots btw
Convergence: Batgirl #1, Batman and Robin (2023) #16
#dc#batfam#panelposting#stephanie brown#damian wayne#steph&damian#pleaseeeeee pkj i miss them#i know this means nothing btw but it COULD mean everything#wednesday spoilers
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Do you have any recommendations for Superfam, Wonderfam, Flashfam and Arrowfam comics? I read your Batman starter list and I'm working my way through it, but I also wanted to try something different. Thanks!
Sort of, yeah! I put together a Wonderfam starter recs list awhile back; you can find it here.
Flashfam....I'm not nearly as familiar with, but Mark Waid's Flash run and Jeremy Adams' Flash run (both starring Wally) are fantastic, as is Impulse (1995). The Arrowfam is also generally out of my capacity to rec properly besides recommending Titans (1999) for Roy, Birds of Prey (1999) for Dinah, and a few scattered Arrowfam comics here and there (like Hard-Traveling Heroes, Quiver, and the Green Arrow Rebirth run).
And of course Young Justice (1998) if you want to read more Bart Allen, Cassie Sandsmark, and Kon-El.
....honestly, I would ask @ectonurites and @secretlystephaniebrown for Superfam recs. I have my own favorites, but they both know infinitely more about the Superfam than me and would be able to give you a much better "starter recs" list than I would. I would personally recommend Superman: Birthright and Superman Smashes the Klan as good intro comics. Everything after that kind of depends on what characters you want to read more about.
#like. I would sit here and recommend stuff like PKJ's Warworld Saga. which is fantastic but is also not very new reader friendly lmfao#bri's recs#comic masterposts#dc comics
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