#pique assiette
Explore tagged Tumblr posts
Text
Pique assiette.
122 notes
·
View notes
Text
Impression de gueule de bois post électorale non ?
On pourra dire qu'il y a 12 millions de racistes en France, c'est peut-être vrai mais n'oublions pas aussi que nos dirigeants portent une immense responsabilité dans le résultat de ce premier tour.
Voilà le résultat de la politique de casse sociale menée par Macron depuis son premier mandat (et les autres, depuis longtemps). Voilà le résultat d'une politique qui prétend s'adresser aux citoyens et qui ne sert qu'à tenter de relancer la machine de la croissance en France. Voilà le résultat d'une politique qui s'adresse d'abord aux agences de notation et aux créanciers de la France. Voilà le résultat d'une politique qui sacrifie progressivement de plus en plus de gens au sacro-saint marché.
Voilà aussi le résultat du discours d'incrimination de la gauche que Macron et ses sbires cherchent à nous faire avaler depuis des mois (s'il faut reconnaître et lutter contre les problèmes de la gauche, c'est bien à *nous* électeurs et militants de gauche de le faire, pas à cette bande d'hypocrites de droite). Voilà le résultat des ambiguïtés de Macron, qui se pose en rempart contre l'extrême-droite mais fait le pique-assiette quand il s'agit d'appeler à voter contre le RN.
Il n'y a rien d'anodin à dire que LFI est un parti antirépublicain aujourd'hui, alors même que le RN a clairement affiché et défendu des propositions discriminatoires toute cette campagne. RIP notre devise, j'imagine.
Ce n'est pas à Macron et ses pauvres 20 % de faire la police entre qui est un bon allié et qui ne l'est pas. Les macronistes ont prouvé qu'ils ne l'étaient pas en continuant à soutenir le Président qui nous a foutu dans cette situation dégueulasse, indirectement par sa politique et directement par cette dissolution dont on ne sait plus si elle relève du calcul politique ou de la pure bêtise.
Bon allez, j'arrête, j'ai une thèse à écrire...
#on me dire qu'on a toujours su que c'était de la bêtise#et je dirais que vous avez surement raison#upthebaguette#french politics
43 notes
·
View notes
Text
Pique-nique de Printemps à ‘Myshuno Meadows’ de PlumbobKingdom
Pique-nique dans le parc de San Myshuno "Myshuno Meadows" dans une de mes sauvegarde préférée "l'ultimate save" de Plumbobkingdom. Le terrain à été modifié pour l'adapter à mon gameplay. Crédit et remerciement à @Plumbobkingdom pour son incroyable création.
Pique-nique Alice + Tom
Couverture pique-nique de Cowbuild Couverture pique-nique de MelBennett Chemise de Imadako Panier pique-nique de Wondymoon Coussins de MelBennet Coussins rond de Hydrangea Coussin de Pierisim Coussin de Harrie et Felixandre Coussin de Cowbuild Pile couverture, coussin de PinkboxAnYe Lanterne de PinkboxAnYe Fleurs Hydrangea de Sooky Lapin déco, fleurs de PinkboxAnYe Baskets V1, V2 de SIMcredible! Rouleau essuie-tout de PinkboxAnYe Assiettes de Ddaengsims Verres de PinkboxAnYe Jus d'orange, plateau pancakes de Tamaylasims Plateau brunch de Tamaylasims Plateau fromages, vin de RubyRedsims Verre vin, bouteille vin de Solorya Chiffon, pommes de PinkboxAnYe Salade de Tamaylasims Macarons, set de thé, fleurs de RubyRedsims Glace, cornets de RubyRedsims Assiette pancakes de MelBennet Assiette Fruits de Tamaylasims Assiette macaron, fleurs de RubyRedsims Assiette gaufre fraises de MelBennet Assiette gaufre, pizza cœur de MelBennet Assiette gâteau fraises de Tamaylasims Pains de SIMcredible! Beurre de SIMcredible! Ventilateur portable de Ddaengsims
Sims décoration de Someone-elsa Sims décoration de Lazysimmies Sims décoration de StarrySimsie Pose de StarrySimsie Pose de Sws-pose Animation de SovaSims
Créateurs CC :
@Plumbobkingdom / @cowbuild / @mel-bennett / @imadako / @wondymoondesign / @hydrangeachainsaw / @pierisim / @harrie-cc / @felixandresims / @pinkbox-anye / @sooky88 / @simcredibledesigns / @ddaeng-sims / @tamaylasims / @soloriya / @rubyredsims / @someone-elsa / @lazysimmies / @starrysimsie / @sws-pose / @sovasimscc /
#ts4#sims 4 cc#ts4 cc#sims 4#cc finds#les sims 4#ts4ccfinds#sims4ccfinds#sims4cc#sims 4 cc finds#sims 4 build#sims 4 buy and build#sims 4 clutter#sims 4 decor#sims story#sims 4 picnic#sims 4 couple#Alice#Tom#simblr
17 notes
·
View notes
Text
Bernhard Roetzel
Le luxe s'achète, le goût s'acquiert, l'élégance est innée. Bernhard Roetzel est l'auteur de manuels d'éducation du goût portant sur les détails de la culture occidentale. Ses livres illustrés Der Gentleman (1999) et Traditional Style (2000) sont des reportages photographiques de chaque aspect concret de la Culture européenne: le vêtement, l'ameublement, les arts de la table, l'éducation des enfants, l'ordonnancement urbain, la classification des loisirs, jusqu'à l’entretien d’une pelouse, au cirage des chaussures ou à la préparation du pique-nique champêtre. Ce sont là des choses connues? Pourtant nous redécouvrons à neuf chacune d'entre elles, ressuscitées, à la lumière de photos et de commentaires dont l'efficacité sont sans concurrence dans ce domaine. M. Roetzel est un réenchanteur de tout ce que nous aimons dans le monde.
Il y avait davantage de sagesse dans le concret des gestes quotidiens de nos grands-parents que dans la pseudo-philosophie du 20ème siècle. Vivre ainsi aujourd'hui, en Français traditionnel, est une voie ouverte à qui veut la prendre: la Culture Européenne détaillée par Roetzel est intemporelle ; la forme de cette Culture touche à une perfection qui ne souffre ni ajout ni retranchement.
Nous vivons au milieu des pièces d'un fabuleux héritage et y sommes accoutumés au point de ne plus même le voir. Ce faisant nous perdons l'usage de ce legs, oublions d'où nous venons, qui nous sommes et ce que nous faisons.
Un homme annonce-t-il vouloir diriger une ferme, un village, une ville ou une région? Pour évaluer la confiance à lui accorder vous étiez jusqu'ici habitués à écouter ses discours. Vous examinerez désormais la manière dont cet homme a dirigé son propre domaine: son jardin, sa maison, son studio de 20 mètres carrés, sa toilette du jour. L'homme fidèle en peu de choses est capable de grandes choses dit l’Evangile.
Notre monde du tertiaire, du débat, de l'abstrait, est rempli de directeurs de cabinet mais vide de chef de protocole. Aux "valeurs" il est bon de joindre les actes. C'est la stature, l'incarnation, l'exemple vivant qui nous donnera sans recours aux mots les clés de la vraie Culture. "Je n'ai point besoin de sermon mais de délivrance légère" disait Céline.
Der Gentleman est à la fois une encyclopédie du vêtement masculin, jalonnée d'encadrés, de bonnes astuces, et une notice d'utilisation, un vrai mode d'emploi de la vie pratique. Si Der Gentleman constitue le catalogue de l'Européen habillé, Traditional Style explore le cadre de vie de ce même homme. Ces deux titres complémentaires ont pour objet ce que les peuples occidentaux ont produit de plus beau, de plus intelligent, de plus pratique, bref d'objectif, au point d'y convertir le monde entier: porter un pantalon, manger avec des couverts dans une assiette, s'asseoir sur une chaise, dormir dans un lit. La fenêtre, le savon, la salle de bains et mille autres objets spécifiquement occidentaux sont eux aussi devenus objets universels. Roetzel a expliqué, illustré chacun de ces éléments considérés dans leur finition la mieux aboutie.
Est-ce en raison du fameux "esprit de système" germanique qu'il fallait que Bernhard Roetzel, allemand, fût le pédagogue le plus complet sur la culture anglaise, par exemple? L'Angleterre, l'Italie et la France sont des revendicateurs bruyants d'un certain art de vivre. Il existe en Allemagne une classe d'esthètes ignorée du reste du monde et peu soucieuse de s'en faire connaître. La bourgeoisie patrimoniale et industrieuse de Cologne, Munich, Hanovre, Brême, Hambourg, aux bourgeoisies très Heimat, connaît bien ses codes culturels : habitat, vêtement, sport, éducation, voiture, art et artisanat. Une bourgeoisie probablement plus raffinée, plus enracinée que la parisienne, que la londonienne, plus sérieuse, plus discrète.
M. Roetzel est un sujet qui s'efface pour ne montrer que l'objet, la chose en soi. En cela il rend davantage service à la cause qu'il sert que les "sartorialistes" montreurs de costume issus du youtubage. Seule doit demeurer la Culture, dont le vêtement et l'ameublement sont des catégories "superficielles par profondeur", parmi d'autres.
La production d’une Culture est la preuve de la Conscience de Soi d’un peuple. Les primitifs ne produisent pas de culture. Plus un peuple a de Conscience de Soi et plus la Culture qu’il produit est codifiée. L'exaltation de l'intelligence individuelle est une marque de basse époque, source de divisions hélas durables. La Culture, elle, est une intelligence collective, un pacifique ensemble d'habitudes forgées par l'expérience concrète de la vie, un tissu de réticences du Je en faveur du Nous, une science de la sous-expression (understatement), un code de reconnaissance communautaire à usage interne pour l'exercice du Bien Commun. La Culture était très understatement jusqu'à la fin des années 1990, avant les années Eden Park, avant la vague tapageuse du faux preppy, du genre gala d'école de commerce, lorsque l'argent était encore une chose un peu honteuse et que les classes sociales d'avant internet vivaient dans un relatif cloisonnement. Charme discret de la petite bourgeoisie locale, où êtes-vous ?
M. Roetzel écrit non en conseiller en mode mais en technicien de la culture attentif aux faits, aux actes et aux objets qui équipent celle-ci, il rédige un rapport d'enquête renseigné, neutre, qui démontre chaque argument par la photographie appropriée.
Le vrai style ne peut être sujet qu'à un ou deux changements mineurs par génération. Contrairement à la mode le style est stable, sa supériorité n'est pas dans le renouvellement cyclique de nouveautés mais dans le perfectionnement d'une Forme qui vise la plus pure exactitude fonctionnelle. L'ergonomie du vêtement bien pensé, l'importance de connaissances en anatomie pour former de bons modélistes, vastes sujets qui sont la voie royale du bel habillement.
Deux principales tendances accaparent les hommes: ils sont plutôt exhibitionnistes ou bien plutôt voyeurs c'est ainsi. Les exhibitionnistes sont la majorité de ce monde qui gît au pouvoir du mauvais goût, individus à haute estime de soi et basse conscience de soi. Monsieur Roetzel appartient au tempérament exactement opposé, celui du voyeur, celui des hommes en retrait qui aiment voir et n'être pas vus, qui ont tout compris et que personne n'écoute, c'est pourquoi ils écrivent.
#Bernhard Roetzel#Der Gentleman#Traditional Style#L'éternel masculin#Sartorial#mens style#Class#Classicisme#Tradition#Vêtement#Habitat#Ameublement#Décoration#Rug
21 notes
·
View notes
Text
Pablo Picasso, La Fille à la Mandoline, 1 910
Évidemment que non que Pique-Assiette ne faisait pas n'importe quoi et maîtrisait non la technique mais les techniques picturales, certes pas dans des veines ultra-précises, ni avec une minutie de détail particulière.
La célèbre déstructuration de La Femme qui Pleure (1 937) est volontaire et certes tellement disons "acerbe" qu'elle ne plait pas à tout le monde, mais ce cubisme "harsh" est voulu, comme le montrent dès le début du siècle des toiles comme un autoportrait de 1 901 ou un an plus tard Le Vieux Guitariste Aveugle ; mais aussi ce totalement remarquable "La Fille à la Mandoline" de 1 910, très "braquien", mais en plus précis et donc, selon moi, plus abouti, à une époque où les deux peintres se tirent la bourre, Braque ayant été soufflé par Pique-Assiette.
Pourquoi je sais tout ça ? Mais parce que c'est un de mes précédents métiers (agent, curator, organisateur d'expositions). Donc quand des cinglés, même si connus, me présentent moi et ma femme comme "n'ayant jamais travaillé" :
1 Tapez sur Google 2 Réfléchissez et regardez le niveau de ce Fb 3 Cliquez ici en haut à gauche et allez vers mes autres sites dont de photo (je suis photographe professionnel depuis 2 011 et ai exposé dans 4 pays) 4 Concluez que le type ou la bonne femme sont des malades mentaux et/ou des criminels qui masquent leur crimes par des diffamations délirantes présentées avec faconde et aplomb 5 Niquez ces porcs.
Basile Pesso, Land of Somewhere, 20 novembre 2 024 (Fb) David Bowie, Wild is the Wind
3 notes
·
View notes
Text
Bonjour à tous !!
Voici enfin le chapitre 4 de UN PHILTRE SANS PHILTRE
Comme d'habitude ce n'est pas de la grande écriture (mais moi je m'amuse beaucoup) un grand merci à @miung-dreamer et à @kamomille9 pour leur soutien sur cette histoire :)
UN PHILTRE SANS PHILTRE : CHAPITRE 4
Un silence pesant régnait dans la pièce, le Roi légèrement avachi sur sa chaise attendait avec anxiété les remontrances de sa mère et de son horrible tante qui tardaient à venir ce qui ne présageait rien de bon, et pour clore le tableau ses beaux-parents les avaient rejoints dans la salle à manger. Il avait autre chose à gérer aujourd’hui, enfin surtout quelqu’un à gérer et ce n’était pas une sinécure. Le repas fut rapidement servi, aucun des serviteurs ne voulait s’attarder dans la pièce tellement l’ambiance était glaciale. La Tante d’Arthur posa bruyamment son verre et d’un air dédaigneux s’adressa directement au couple royal de Carmèlide.
« Donc vous devez être ravi, vous voilà à nouveau les beaux-parents du Roi de Bretagne, comme quoi les mariages mènent à tout »
Elle se tourna vers son neveu et toujours sur le même ton.
« D’ailleurs faudra m’expliquer pourquoi vous êtes allez la chercher l’autre cruche, elle n’était pas bien dans sa forêt ! »
« Oh l’autre cruche comme vous dites c’est ma fille ! »
« Et alors vous pensez que cela m’impressionne, et d’ailleurs on voit que vous l’avez bien éduqué votre fille, elle a le culot de ne pas venir nous saluer, elle se prend pour qui ? »
« La Reine de Bretagne » répondit sobrement Arthur
Avant que les sœurs de Tintagel puissent répondre la porte s’ouvrit avec fracas sur ladite Reine de Bretagne. Elle avait pris le temps de se changer avant de venir certes ce n’était pas la jolie robe quelle arborait ce matin mais ce n’était pas une de ses tenues habituelles d’apparat de Reine. Elle avait opté pour une robe légère qui épousait parfaitement ses formes.
Elle s’assit en silence à côté de sa belle-mère, Arthur s’était redressé sur son siège vivement à son arrivée. Oh pourvu qu’elle ait pris la tisane des enchanteurs se dit-il. Elle sourit et s’adressa timidement à Dame Ygerne.
« Je vous prie de m’excuser de mon retard Mesdames, je suis vraiment navré, j’ai eu ..une urgence et … »
« Une urgence de quoi, de broderie, vous n’allez pas me faire croire ma pauvre fille que vous ayez quoi que ce soit d’urgent dans votre vie ou ne serait-ce d’important » coupa Dame Cryda
« Vous n’avez aucun sens de la bienséance, quand vous recevez des personnes importantes vous devez au minimum vous présentez à eux dès leurs arrivés »
« Je pense que vous perdez votre temps ma sœur, une idiote pareille ne peux pas comprendre, d’ailleurs stupide comme elle est, je suis surprise qu’elle soit encore en vie, elle doit oublier souvent de respirer »
Guenièvre ne bougeait pas, un sourire sur les lèvres, elle encaissait les piques les unes derrières les autres. Arthur était soulagé à priori le remède devait fonctionner, il retrouvait sa femme timide. En vrai Guenièvre ne se laissait pas toucher par les propos de sa belle-famille, certes la tisane avait calmé son euphorie mais elle avait toujours la sensation d’être libre dans sa tête en tout cas plus libre que d’habitude. Donc elle se fichait royalement ce que vous pouvez dire ces deux mégères, elle se contentait de sourire, de toute façon elles seraient bientôt parties donc pas de vague, surtout pas de vague. Elle avait cessé de les écouter puis elle comprit que les insultes avaient changé de cible et son humeur changea, la colère revenait au grand galop. Elle serrait les poings sous la table, elle devait se retenir.
« Qu’est ce que vous voulez ma chère sœur avec un guignol pareil, on ne pouvait pas s’attendre à autre chose, de toute façon je vous l’ai toujours dit un batard reste un batard »
La reine se mit à remplir excessivement son assiette, le visage fermé, extrêmement concentré à ne pas craquer.
« Ben qu’est ce qu’elle nous fait celle là encore, vous avez perdu du poids pendant votre petite escapade et du coup vous comptez vous rattraper, de toute façon oublié, vous ne plairez jamais à l’autre pignouf » dit Dame Cryda puis en s ‘adressant au Roi « Parce que ça aussi vous n’êtes pas capable de le faire, ben oui l’héritier, en même temps quand on vous voit on comprend qu’il ne vaut mieux pas se reproduire, il pourrait être aussi minable que vous. Vous nous avez toujours fait honte ! D’ailleurs vous êtes bien un enfant non désiré, qui voudrait d’un enfant comme vous ! »
S’en était trop pour Guenièvre, elle se leva vivement de sa chaise tout en attrapant son assiette
« Oh mais vous avez raison Dame Cryda, mon assiette est vraiment trop pleine, stupide comme je suis je vais être obligé de tout jeter à la poubelle » dit Guenièvre exagérément gaie, se caricaturant elle-même.
Elle se plaça derrière Dame Cryda et renversa tout le contenu de son assiette sur la tante d’Arthur qui poussa un cri d’effroi.
« Ben quoi ! » dit la Reine alors que Dame Cryda se levait en hurlant « j’ai jeté à la poubelle ..parce que c’est ce que vous êtes une poubelle, vu toute les ordures qui sortent de votre bouche »
« Mais vous n’êtes pas bien ma pauvre fille »
« Alors je vais faire très simple puisque à priori je suis stupide alors vous ouvrez grand vos oreilles car je ne me répèterais pas, vous dites encore une fois, une seule fois du mal d’Arthur et ce n’est pas de la nourriture que vous prendrez dans la figure mais mon poing »
Le Roi s’était levé choqué par la scène mais il ne put s’empêcher de sourire à la situation, à priori la potion devait encore faire effet mais il était touché que sa femme ai pris sa défense. Elle avait encaissé toutes les critiques qui la concernait mais n’avait pas supporté que l’on dise du mal de lui. Une chaleur tourna dans son ventre, il repensa au baiser dans le laboratoire, la chaleur atteint ses joues. Il allait de surprise en surprise aujourd’hui, il devait se l’avouer ce n’était pas pour lui déplaire.
Plus il la regardait, plus il la trouvait jolie sa femme, oui SA femme, il avait quand même de la chance de l’avoir avec lui dans le fourbi que pouvait être sa vie. Il regrettait de plus en plus son serment, d’ailleurs pourquoi se raccrochait il encore à ce serment. Il fut coupé dans ses pensée par sa mère.
« Et vous ! Vous ne dites rien, vous la laisser faire, vous la laissez nous parler de la sorte, jamais du temps d’Uther une telle chose se …. »
« Ah non » la coupa la jeune femme « Vous n’allez pas encore nous bassiner avec votre Uther, vous n’avez que ce nom à la bouche, franchement après tout ce que j’ai entendu sur lui on ne peut pas dire que c’était quelqu’un si bien que ça. Et puis Zut vous avez raison, on ne peut pas comparer Arthur à votre fabuleux Uther, oui on ne peut pas comparer le meilleur Roi que la bretagne est connue à un tyran. Arthur vaut mieux que dix de vos Uther, Arthur il est intelligent, juste, gentil et même très beau enfin vous … vous devriez être fière d’être sa mère, Voilà !»
La mère d’Arthur se rassit indiquant par un geste de faire de même à sa sœur.
« Celle-là, je ne l’avais pas vu venir depuis quand avez-vous ce genre de caractère ? Non ne vous m’éprenez pas j’apprécie qu’une reine ne soit pas une petite chose sans défense mais disons que vous passez d’un extrême à l’autre »
Guenièvre tendit une serviette à dame Cryda tout en montrant sa propre joue.
« Vous ferez attention vous en avez un peu là ! Ce n’est pas que votre compagnie est désagréable en vrai si elle est désagréable mais bon j’ai autre chose à faire »
Elle sentait bien que les effets de la potion revenaient au galop, elle préférait pour le bien être du Royaume de s’éloigner des deux femmes. Elle partit donc sans un geste ou surtout une parole supplémentaire. Arthur voulu la rattraper mais le bras de sa mère l’obligea à se rassoir.
« Vous la verrez plus tard, nous n’avons pas fait toute cette route pour une simple visite de courtoisie, nous devons discuter, vous devenez de moins en moins populaire auprès du peuple. »
« Ah ben tiens ça faisait longtemps, et vu que je suis un gros guignol du coup que dois-je faire pour que ma cote de popularité remonte »
« Ne le prenez pas comme ça » dit sa mère
« Vous devez replanter l’épée » dit Dame Cryda
« Cela rappellera que vous êtes le Roi » enchaina sa mère
« Non, mais ça va bien, je suis le Roi, j’ai pas à leur rappeler toutes les cinq minutes à toutes cette bande crétin »
« Dans ce cas il n’y a pas trente six solutions, il faut un héritier »
« Ben pour une fois je suis bien d’accord avec vous, on ne va pas l’attendre cent sept ans l’héritier » répliqua Dame Séli
Arthur s’était adossé à son siège, n’écoutant plus la conversation entre sa mère et sa belle-mère, perdu totalement dans ses pensées. Un héritier, avoir un enfant avec sa femme, ce n’était pas la première fois qu’il pensait aux conséquences de son serment, au-delà de la distance qu’il avait dû instaurer entre lui et sa femme, ne pas avoir d’héritier était la conséquence qui le taraudait le plus. Pourtant aujourd’hui plus que les autres, il se demandait si n’était vraiment pas le moment de dire adieu à son ancienne vie et de renoncer à son serment. Cela le tentait quand même beaucoup d’avoir un enfant et surtout avec sa femme. Le souvenir de leur baiser dans le laboratoire le hantait, il devait aller retrouver rapidement sa femme.
Au détour d’un couloir Guenièvre tomba sur sa suivante, elle avait les joues rosies, les yeux brillants
« Oh ma Reine » Angharad fondit en larme
Oubliant toute retenue la Reine la prit dans ses bras, lui caressant les cheveux affectueusement.
« Ne vous mettez pas dans des états pareils, qu’est ce qui ne va pas ? »
« Non ma Reine, tout va bien, même très bien, je pleure de joie et c’est à vous que je dois ce bonheur »
« Oh ! » comprit elle « Il vous a demandé en mariage ! »
« Oui, oui » répondit Angharad tout en fondant de nouveau en larmes.
« Oh mais ne pleurez plus c’est merveilleux, vous allez épouser l’homme que vous aimez. Vous allez devenir une femme de chevalier. Oh mais c’est merveilleux vous allez pouvoir être officiellement mon amie »
« Vous allez devoir me trouver une remplaçante, je suis vraiment désolé du désagrément Madame »
« Ne vous inquiétez pas pour ça ! J’ai déjà ma petite idée » dit-elle en riant
Elle relâcha sa suivante et recula vivement, ce qui fit sursauter cette dernière. La Reine était prise tout à coup d’un doute, si le projet idiot des seigneur Perceval et Karadoc était mené à bien, Angharad devra quitter le château pour suivre son mari. Ah non, elle n’allait pas perdre son amie la plus fidèle, mais empêcher la création de ce clan autonome signifiait que l’autre morue restait au château. Cela revenait à choisir entre son amie et son ennemie. Le registre, oui c’est ça le registre pourquoi elle n’y avait pas pensé avant.
« Angharad, il faut que je parle absolument à votre fiancé. Ou est-il ? »
« Parti en mission avec le seigneur Karadoc »
Bon à la taverne quoi ! se dit la Reine, elle n’allait quand même pas aller à la taverne toute seule. Oh et puis pourquoi pas. Elle laissa en plan sa suivante et parti en courant vers les écuries.
13 notes
·
View notes
Text
PIQUE ASSIETTE
Utiliser de la vaisselle pour composer une mosaïque.
Encore une très belle expérience.
Le challenge imposé par Martine : faire un pot de fleurs en évitant qu'il soit ringard !
Qu'en pensez-vous ?
Dernier stage réalisé avec Delphine Lescuyer alias @anis_et_celadon à Paimpol à la fin de l'été. 💛
3 notes
·
View notes
Text
L'amour dans les mains d'un répondeur - David Frenkel
«Belle inconnue, bonjour ! Je vous ai aperçue il y a peu de temps. Je rentrais de mon travail entre chien et loup. Le train était bondé, et vous vous teniez à quelques pas de moi. Vous me paraissiez si sombre et si lumineuse à la fois. Je vous imaginais à travers vos cheveux d’ébène reflétant des brindilles d’amour calciné, mais je vous envisageais aussi à travers vos yeux de biche, d’un noir profond, diffusant une passion étoilée. Comme le soleil s’apprêtant à darder ses rayons sur la lune, votre fureur se préparait à percer l’ombre amoureuse lorsque vous avez sorti votre portable de votre sac. Sur un ton réprobateur, vous avez dit à votre interlocuteur qu’il ne fallait pas confondre le commerce et le cœur. Vous étiez prête à lui vendre votre voiture et lui avez demandé s’il était disposé à s’aligner sur votre prix. Puis, prenant une voix envoûtante, vous l'avez prié de vous donner de ses nouvelles en laissant un message sur votre répondeur, car vous partiez le soir même en vacances, et votre portable n’avait pas de boîte vocale. Lorsque je vous ai entendue lui donner le numéro de votre téléphone fixe, l’espoir de servir vos ardeurs vrombissait dans ma tête comme un essaim de cupidons. Je vous avais observée durant toute la conversation. Votre emportement faisait frémir sensuellement les narines de votre petit nez en trompette. Vos lèvres semblaient palpiter comme la fleur au creux de vos reins. Votre oreille ornait élégamment, tel qu'un col de dentelle, votre téléphone bleu. Votre main si délicieusement féminine relevait gracieusement une mèche rebelle s’agitant sous le vent coulis. Devant tant d’attraits, je désirais enfouir ma tête dans le creux de vos seins, et boire la sève montant de vos reins. Le courant d’un désir m’amène vers vous. Sans crainte d’échouer contre votre réprobation, je me laisse emporter comme un rêveur au fil de l’eau. Sachant que vous ne m’écoutez pas, ma présente déclaration flotte sur un espoir voluptueux qui s’évanouira ou prendra corps au fond de votre oreille. Rappelez-moi au plus vite au vingt, cent neuf, trente-et-un. Entendez aussi par là : mon appel n’aurait pas été vain, si du sang neuf me mettait sur mon trente et un. Votre beauté sanglote en moi, elle me fait trembler. Dans l’attente de votre coup de fil, la divinité que votre allure et votre expression inspirent m’aidera à traverser le couloir d’une attente interminable. Je ne sais si dans le chaudron de vos amours un autre amant bout déjà. Si tel devait être le cas, mes paroles galantes se consumeraient avec joie sur le couvercle de votre cœur en feu. De leurs cendres renaîtraient, j’en suis certain, d’autres mots enflammés échauffant alors l’amante à moi consacrée. Je ne vous embrasse pas car, vos appas ne m’entourant pas, mon baiser risque de ressembler à un amuse-bouche qui laisse le pique-assiette sur sa faim.» Read the full article
2 notes
·
View notes
Text
Seagulling : Le Romantisme 2.0
Au-delà du ghosting, après le benching, voici venu le « seagulling »... Un fléau encore plus sournois que la dernière part de pizza qui disparaît quand tu te retournes pour attraper une serviette ! L’amour est un terrain semé d’embûches et n’est plus ce qu’il était. Jadis, une belle déclaration, une poignée de main moite au cinéma, et hop, c’était parti pour une relation de quelques mois (voire années pour les plus téméraires). Aujourd’hui, c’est à coup de swipe, de like et d’émoticônes que l’on construit (ou plutôt démolit) nos histoires. Et alors que l’on croyait avoir tout vu avec le ghosting (disparition soudaine sans explication) ou le benching (on vous met sur le banc de touche, mais juste au cas où), voilà qu’un nouvel oiseau des relations amoureuses vient agiter ses ailes : le seagulling. Qu’est-ce que le seagulling, me direz-vous ? Vous imaginez déjà une technique de séduction impliquant des cris stridents et un vol plané au-dessus de vos messages privés ? Ce n’est pas si loin. Le seagulling, c’est cet acte particulièrement perfide où, après vous avoir séduit et laissé espérer le grand amour (ou à minima, une soirée Netflix tranquille), votre crush commence soudain à vous jeter des miettes d’intérêt, mais jamais assez pour combler la faim. Le seagull est un être opportuniste. Il vient, il vous en met plein la vue avec ses belles promesses « on pourrait se revoir », « j’ai trop pensé à toi cette semaine », « tu me manques », et autres phrases déjà vues dans les pires comédies romantiques des années 2000. Mais attention ! Ces phrases sont tout sauf sincères. Une fois que vous tendez la main (ou devrais-je dire, le cœur ?), pouf, l’oiseau s’envole emportant avec lui vos espoirs et vos rêves de brunch en amoureux. Et pourtant, le seagull revient toujours. Quand vous avez commencé à l’oublier, que votre vie reprend enfin des couleurs, voilà qu’il repointe le bout de son bec pour vous laisser quelques bribes d’attention ou un like sur Instagram. Juste de quoi vous rappeler qu’il existe, mais sans jamais se poser vraiment. Du « Ghosting » au « Seagulling » ou l’escalade de l’indifférence Le ghosting, déjà, c’était violent. Vous avez un rencard sympa, vous échangez des messages mignons pendant une semaine, et là boum, plus rien. Silence radio. À croire que la personne s’est volatilisée dans une autre dimension (ou qu’elle a été kidnappée par des extraterrestres). Mais le seagulling, c’est encore plus vicieux. Il ne vous abandonne pas vraiment. Il reste en périphérie, plane au-dessus de votre vie sentimentale, et revient juste assez pour vous empêcher de tourner la page, tout en évitant soigneusement tout engagement. C’est le « je te veux, mais pas trop ». Le « je te garde sous la main, mais juste au cas où ». En fait le seagulling, c’est un peu comme ces mouettes qui rôdent autour de votre pique-nique sur la plage. Elles vous tournent autour, vous effraient avec leurs cris, picorent dans votre assiette, mais dès que vous essayez de les approcher pour établir un véritable contact (ou les chasser avec un magazine roulé), elles prennent la fuite en un battement d’ailes, vous laissant avec une salade pleine de sable et la frustration d’avoir été dupé. Que faire face à un Seagull ? La question mérite d’être posée ! On pourrait opter pour la résignation et accepter que le seagulling fait désormais partie intégrante du jeu amoureux moderne. Mais soyons sérieux deux minutes : qui a envie d’être le pigeon dans l’histoire ? Personne. Voici donc quelques conseils pour déjouer les manœuvres de cet oiseau malicieux : - Ne jamais courir après la mouette : Si vous voyez que votre crush vous donne des miettes d’attention et file à chaque fois que vous voulez en savoir plus, arrêtez de lui courir après. Comme pour les mouettes, plus vous les poursuivez, plus elles s’envolent haut. Le seagull aime le jeu, alors arrêtez de jouer. - Stoppez les interactions digitales : Désactivez les notifications, arrêtez de liker ses posts et concentrez-vous sur ceux qui savent vous rendre la pareille. Si vous nourrissez la mouette, elle reviendra. - Ne vous laissez pas avoir par ses promesses vides : Le seagull adore vous faire croire qu’il va se poser enfin. Ne soyez pas dupe. Quand vous voyez ses petites pattes griffues s’approcher, souvenez-vous de toutes les fois où il a pris son envol juste après avoir capté votre attention. - Ouvrez les yeux sur les vrais oiseaux : Le monde est rempli de pigeons voyageurs et d’oiseaux rares qui cherchent vraiment à construire quelque chose de solide. Oubliez la mouette et cherchez un compagnon ailé qui saura voler à vos côtés, sans fuites ni esquives. En bref ... Le seagulling n’est pas seulement une nouvelle mode amoureuse, c’est un véritable syndrome de notre époque. L’ère du « tout est jetable » s’est infiltrée jusque dans nos relations. On veut consommer l’autre mais sans le digérer. On picore par-ci, par-là, mais on ne reste jamais trop longtemps. Bref, on survole l’engagement. Mais qui sait ? Peut-être qu’un jour, après le seagulling, on inventera un terme encore plus insidieux pour décrire cette tendance à éviter l’engagement tout en maintenant les autres dans l’attente. En attendant, restez sur vos gardes, et surtout, méfiez-vous des textos qui arrivent après minuit… Rien de bon n’arrive jamais à cette heure-là !" David SCHMIDT Read the full article
0 notes
Text
14–10–24 Sur le trottoir, une artiste que je ne connais que de vue est en train de déménager la boutique qu’un mécène avait mis à sa disposition pour en faire son atelier avant de la lâcher récemment. Quelques temps après, cette boutique a déjà été transformée en épicerie fine avec un coin restaurant. Les murs ont été recouverts de boiseries peintes dans des tons pastels vert et bleu. Des meubles chinés achèvent de lui donner un air campagnard et vieillot. La pièce centrale qui accueille les clients contient l’épicerie où sont exposés des produits locaux. Des monceaux de pommes rouges et jaunes rutilantes sont disposées dans de grands paniers. Ce sont les seuls fruits à vendre. Dans la salle du restaurant, les clients s’entassent sur les quelques tables serrées les unes aux autres : essentiellement des gens du quartier venus tester cette nouvelle adresse et quelques touristes allemands. Comme les noms des plats sur le menu sont mystérieux avec des ingrédients au noms exotiques ou désuets, les clients perdus désignent du doigt les assiettes servies à leurs voisins qui les tentent. L’un d’eux me demande de l’argent pour payer son plat. Comme je n’ai que quelques euros en poche, il pique sur une autre table des billets laissés par les touristes pour les déposer sur la sienne et s’en aller sous les yeux offusqués de ses voisins. Quand je me décide enfin pour commander une tourte aux pommes de terre, la serveuse me répond qu’il n’y en a plus. Je me rabats alors sur une assiette de ravioles, accompagnées des feuilles blanches et vaporeuses d’un légume rustique inconnu. Une salle, tout au fond fait office de salon privatisable où des gens avachis sur des sofas regardent la télévision.
0 notes
Text
[DOSSIER] Yomme, Harmonie
Retrouvez ci-dessous notre dossier complet sur ce Sim !
Parents biologiques (si connus) : Yomme, Béryl | Yomme, Eli
Parents déclarés / adoptifs (si différents) : ♀ | ♂
Frères & Soeurs biologiques (si connus) : -
Frères & Soeurs par alliance : -
Enfants biologiques (si connus) : -
Enfants déclarés / adoptés : -
Partenaire(s) : -
Signe astrologique : Bélier
Aspiration(s) : Plaisir | Amour
Objectif : Devenir Pique-assiette professionnelle (Flemmard)
Caractère : Soigné 8/10 | Extraverti 8/10 | Actif 4/10 | Espiègle 2/10 | Sympathique 6/10
Traits : Malveillant | Aime la chaleur | Excentrique | Kleptomane | -
Couleurs préférée et détestée : ✓ Bleu | ✗ -
Musique préférée : R&B
Parcourez les articles : Archives chronologiques | Actualités
Biographie
à suivre...
0 notes
Text
Welcome to surreal sentences meets Google Translate
Sometimes people just won't shut up in comments, and then do this on a day when you've been up all night and feel compelled to respond but not get in the muck with their opinions.
Welcome to surreal sentences meets Google Translate! These are my current weapons of choice that I did this morning and have ready to go, just in case. These things are an endless source of amusement to me. Ne frotte pas mon singe avec du beurre.
Le monde dispose d'un puits autonome dans ses services de mission frontale.
Vous n'êtes pas à la hauteur du piment qui émane du trou du nez d'un paresseux.
L'arrière de mes genoux est excessivement en sueur.
Mes paupières éructent avec des pensées effluves après coup lorsque je suis taquiné par de la gélatine et des couennes de poulet congelées.
Votre toupet aux couleurs éclatantes transforme ma botte droite en un état d'ennui avec la rapidité et la dextérité de nombreux conquistadors enrobés de meringue au citron.
Alors que la bile monte lentement dans mon éluxateur incandescent, la simple présence a un effet calmant sur ma rage.
Ingénieur de votre tante! Fais-le! Vous serez reconnaissant de l'avoir fait.
Il n'y a aucune promesse d'arrêter de jouer avec vos oreilles.
Cela ne vous fait-il jamais penser à un escalier tombant de manière exotique dans une mer de macaronis renversés.
Puis-je caresser ce boa à plumes en votre présence?
L'espoir est éternel lorsqu'une quantité suffisante de sauce congelée est versée.
Lorsque je rots, des bulles douces et savonneuses émanent de mes conduits auditifs et flottent comme des papillons sur les vents gastriques d'une poupée à quatre nez.
Je vous donne le meilleur canard, oh lui qui ne pourrait pas faire un yak imprimé si les instructions étaient agrafées sur l'arrière-train de son repose-pieds.
Je parie que votre saveur préférée est le ventre rouillé d'un poumon de fer désaffecté depuis longtemps trouvé dans le vestibule moisi de la niche du maire local.
La semaine dernière, j'ai appris à jongler avec les chatons avec l'adresse d'un albatros ivre, enfonçant profondément son bec dans le sable d'un tube d'insertion en sablier.
Losange! Jetez la franchise de cabane à thé avec détecteur de métaux au raifort que ma tante ratatinée m'a laissée dans son testament.
Brille, brille, brille, laisse-le briller.
Le thé koala de la miséricorde tombe comme le doux règne du ciel sur l'endroit où j'ai oublié mes lunettes mardi dernier.
Flange réclame les restes de veau torrides du pique-nique impromptu d'hier sur l'étagère où nous conservons notre sélection de tapettes à mouches.
Quand je suis en disgrâce avec le malheur et dix yeux, je balaie tout seul mon assiette de paria.
Et bouillonner le ciel sourd avec des cris inutiles, et regarder mon elfe et courber mon destin.
Vos muqueuses scintillent de l'éclat des réactions lors de l'acte de régurgitation, et les doigts de poulet sont aussi divins que les poils des narines du pape.
0 notes
Photo
MOUTARDE A L'ANCIENNE ANDOUILLETTE DE TROYES. - Assiette - Pique Discover the authentic flavors of Troyes with our delicious Andouillette de Troyes in a classic mustard sauce. Perfectly paired and ready to satisfy your taste buds.
0 notes
Photo
MOUTARDE A L'ANCIENNE ANDOUILLETTE DE TROYES. - Assiette - Pique Looking for a true taste of French cuisine? Try our Andouillette de Troyes in a tangy, old-fashioned mustard sauce. Your palate will thank you.
0 notes
Text
Les auxiliaires de culture 1/12 : Vivre AVEC et non pas CONTRE le Vivant (Hugues Mouret, entomologiste)
Depuis les débuts de l’agriculture et de l’élevage, il y a 11.000 ans, depuis ce passage des cueilleurs-chasseurs aux agro-pasteurs, l’homme a cessé de vivre AVEC ou dans le Vivant, la Nature, mais CONTRE (https://bit.ly/homme-nature1_BSG).
Combats (Baleine sous Grav... SUR le front) | S03E01 Pour protéger ses cultures et ses troupeaux, il a commencé à pourchasser et détruire tous les êtres vivants qu’il a considéré comme des pique-assiettes (https://bit.ly/bete_en_nous1_BSG). Exemple notoire : le loup (https://bit.ly/loup1_BSG), qui avait été domestiqué longtemps avant (en devenant le chien), est devenu un ennemi, parce qu’il s’en prenait au premier bétail. Je raconte cette histoire dans la première série de Mécaniques du Vivant (https://bit.ly/France-Culture-MDV) sur France Culture. Conscient des ravages perpétrés contre la biodiversité, de la 6e extinction de masse (https://bit.ly/GEM1_cal_sagan_BSG), inédite par sa vitesse et son accélération, certains homo sapiens essaient de cultiver autrement (http://bit.ly/kokopelli_BSG), durablement. C’est la permaculture et l’agroforesterie (https://bit.ly/arbres_EZ1_BSG) par exemple. Dans ces façons de nous nourrir et de cultiver respectueuses du Vivant, les pesticides et la chimie destructrice, y compris pour nous, sont remplacés par des AUXILIAIRES de culture. Des êtres vivants qui nous aident à réguler les ravageurs de cultures. AVEC plutôt que CONTRE. ENTRAIDE (https://bit.ly/Salamandre_JP2_BSG) plutôt que COMPÉTITION. Les auxiliaires de culture sont des bactéries, champignons, plantes, ou des animaux, comme des oiseaux, des insectes (https://bit.ly/insectes3_coccs_BSG), qui protègent nos cultures d’autres organismes … dont ils sont des prédateurs naturels. Ces auxiliaires de culture sont parfois élevés et disséminés ou encouragés à venir par l'homme pour débarrasser les plantes (https://bit.ly/lierre1_BSG) des indésirables. Certains de ces auxiliaires, comme la célèbre Coccinelle, sont des prédateurs et des régulateurs d’autres êtres vivants. D’autres sont des pollinisateurs. Et pas seulement les Papillons (https://bit.ly/papillons1_BSG) et les Abeilles (https://bit.ly/intelligence_abeilles1_BSG), mais beaucoup d’autres, comme des mouches, des syrphes voire des oiseaux ou des chauves-souris nectarivores. Enfin, certains, comme les vers de terre, aèrent les sols (https://bit.ly/sol1_vulgariser_BSG) et contribuent à les maintenir vivants et productifs (avec des milliards de bactéries et autres microscopiques acteurs), eux aussi très abîmés par des siècles d’exploitation humaine. L’objectif de cette série en 12 épisodes, la colonne vertébrale de la saison 03 de Combats, est de mieux (re)connaître ces auxiliaires de culture. _______ Notre invité est Hugues Mouret, un des fondateurs et dirigeants de l’association Arthropologia (https://www.arthropologia.org/#), une copine de notre propre asso Baleine sous Gravillon (https://baleinesousgravillon.com/liens-2). Au fil de cette année, Hugues, un inlassable naturaliste et un passeur hors-norme, génial va-nu-pied, va nous raconter ces auxiliaires de culture. Remerciement particulier : Hugues est le relecteur-correcteur-contributeur de la célèbre série abeille sauvages (https://bit.ly/France-Culture-MDV) de Mécaniques du Vivant sur France Culture, qui a battu tous les records d’écoutes en 2023. Hugues a considérablement enrichi cette série en pépites d’infos qui ont contribué à en faire le succès. Sur les 7 experts sollicités, qui avaient tous dit oui, Hugues est le seul qui a pris le temps et la peine de le faire. La bienveillance désintéressée est une denrée rare aujourd’hui … Merci frérot:) _______ On aime ce qui nous a émerveillé … et on protège ce qu’on aime. _______ Découvrir tout l'univers Baleine sous Gravillon (https://baleinesousgravillon.com/liens-2), et Mécaniques du Vivant (https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/mecaniques-du-vivant) sur France Culture : https://baleinesousgravillon.com/liens-2 (https://baleinesousgravillon.com/liens-2) Soutenir notre travail, bénévole et sans pub : https://bit.ly/helloasso_donsUR_BSG (https://bit.ly/helloasso_donsUR_BSG) Nous contacter pour une conférence, un partenariat ou d’autres synergies : [email protected] () _______ Interview : Marc Mortelmans Rédaction en chef des articles du site https://baleinesousgravillon.com (https://baleinesousgravillon.com/) : Guillaume Lassalle et Bérénice Toutan Rédacteurs : Thomas Prat, Aurore Fayard, Rémi Trivellato BSG dans les Festivals : François Léger BSG sur Instagram : Audrey Tindilière Graphisme / vidéos : Elouan Plessix Montage / notices / programmation : Zeynab Tamoukh, Albane Couterot, Laure Davoigneau, Dorian Roulet
0 notes