#physique boxeur
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Programme de Brad Pitt dans Fight Club
NOUVEAU : Programme de Brad Pitt dans Fight Club. Les infos de son coach de l'époque.
“C’était de toute beauté. Nous revendions à des femmes riches la graisse qui provenait de leurs fesses.” Si vous n’avez pas la référence, je vous invite à louer le film dont nous allons parler aujourd’hui. En 1999 sortait le film Fight Club. Un film qui deviendra culte, aussi bien par son style que par l’apparence sèche et musclée de Brad Pitt dans le rôle de Tyler Durden. Depuis des années, on…
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saga: Soumission & Domination 311
Nouveaux Escorts
PH me ramène mon premier nouvel escort de la Fac de droit. Le premier contact a lieu dans un café en ville. Je suis scié par la vision du jeune mec. Une pure beauté. Un visage d'ange encadré de boucles blondes au-dessus d'un corps d'athlète, ou plutôt de Boxeur puisque c'est son sport. Il se lève comme j'approche de leur table. Il fait dans les 1m80 et large d'épaules ! Sa poignée de main est ferme mais pas trop. Je commande un café et nous nous présentons.
PH me situe comme son mec et aussi le patron d'une boite d'escorts dans laquelle il (PH) le (Ludovic) verrait bien travailler. PH avait utilisé les quelques semaines passées depuis la rentrée pour se rapprocher de Ludovic (en tout bien tout honneur). Il avait appris incidemment qu'avec des parents agriculteurs, le petit n'était pas parmi les plus privilégié de la promo.
Ludovic s'étonne que PH ait pu penser qu'il convienne à ce genre de travail. J'interviens et lui demande s'il ne s'était jamais regardé dans une glace. Comme il ne comprend pas, je précise qu'avec son physique et sa tête, je n'aurais aucun problème pour lui trouver des engagements.
Là, il objecte que les femmes c'est pas trop son truc à lui, il serait plutôt comme nous. Ça je le savais déjà !
Je lui dis que c'est OK puisque la majeure partie de mes clients était des hommes. Ça l'interpelle. Il me demande ce qu'il faut comme qualité. En vrac je lui énumère, intelligence, prestance, savoir vivre, beauté et un goût prononcé pour le sexe. Là, il me coupe et me dit " évidemment y'aura du sexe ". Je lui dis que c'est une facette en générale incontournable mais fortement rémunérée. Et avance pour 4 à 8 prestations par mois un salaire moyen de 4 à 8 000 net avec véhicule de fonction.
Il manque de faire tomber son café et s'étrangle avec. Il me demande si je suis sérieux. Je lui réponds que quand il s'agit de travail je le suis toujours. Intérieurement je bave devant ce mec !
Il se tourne vers PH qui lui confirme que c'est à peu près ce que se font mes autres employés.
Je lui propose de passer chez moi pour qu'on en discute. Il est OK et je lui dis de nous suivre. Quand il voit la SLS avec laquelle je suis venu, il me dit en riant que les affaires marchent bien.
L'aspect extérieur du Blockhaus le surprend, tout comme les véhicules parqués au ré de chaussée, notamment les motos.
Nous montons au premier et PH nous laisse pour aller au 4ème. Je fais entrer Ludovic dans mon bureau. J'entame son dossier. Taille : 1m83, Poids : 75Kg Sexe : 19x5 Sport : boxe française Préférence sexuelle : les hommes en Actif et Passif Métier des parents, fratrie, rib...
Cela fait, je lui demande de se mettre à poil. Habitué des vestiaires de sport, il ne fait pas de difficultés. Sous-vêtements classiques et chip (DIM). Il est encore plus beau nu ! Mes amis, peintre et sculpteur s'en feraient un modèle c'est sûr.
Larges épaules, taille et hanches fines, longues jambes le tout peu poilu et quasiment imberbe du visage. Il semble avoir une queue correcte bien qu'elle ne soit pas encore en pleine extension. Après la manipulation que je lui demande d'exercer dessus, elle se développe pour atteindre un bon 19x5, comme annoncé, verge bien droite et gland rose vif. Là, c'est plus fort que moi. Je me lève et passe devant le bureau.
Il comprend de suite que le test a commencé. Il s'approche, approche son visage du mien et pose délicatement ses lèves sur les miennes. Elles sont fraiches et douces. Sa langue pointe entre ses dents blanches et cherche la mienne. Je me laisse embrasser. Il fait ça bien et je me surprends à prendre sa tête entre mes mains pour appuyer notre pelle. Je le kiff ce jeune con ! Je sens ses mains parcourir mon corps des épaules au bassin et bientôt elles s'affairent à ouvrir ma ceinture et mes jeans. Je bande comme un malade depuis qu'il a fait sauter son t-shirt et du coup il a un peu de mal à faire glisser mon pantalon sur mes cuisses. Il s'accroupit et ma bite saute devant son visage. Il s'agenouille et me gobe le gland. Ça me fait comme une décharge électrique. Sa langue tourne autour, lèche la surface et pointe dans mon méat. Puis doucement il se l'enfonce cm par cm jusque dans sa gorge. Trop fort ! J'adore.
Il me pompe un bon moment et sait s'arrêter dès qu'il sent que mon jus monte. C'est moi qui lui prends les épaules et le redresse. Sa langue a le goût de ma queue et nous prenons bien 10mn de pelle supplémentaire.
Je l'écarte et docilement il se plie, torse sur mon bureau, jambes écartées me donnant sa rosette. Je commence par passer mes doigts. Elle est ferme et douce, pas de poils de ce côté-là. Il creuse ses reins quand j'y fais glisser un doigt lubrifié de ma salive. Je l'enfonce facilement mais sens ses muscles anaux toniques. Il me le fait sentir dès qu'il sent que je lui ai enfoncé entier. Il serre et piège mon doigt. Je flatte son flanc comme je le ferais d'un cheval. Il se détend et me laisse progresser. Je salive sur mes doigts et lentement je lui en enfile deux. Il aime et me le fait savoir. Je ne peux plus me retenir. Je me kpote, graisse nos surfaces destinées à se frotter et pose mon gland sur sa rosette. Il a un petit coup de rein exigeant et efficace puisqu'il absorbe mon gland. Léger temps de pause puis je pose mes mains sur ses hanches et lentement tire son bassin vers moi. Je ne m'arrête que quand mon pubis colle à sa raie. Lui-même est venu poser ses mains sur mes fesses pour accompagner ma pénétration.
Je me couche sur son dos, embrasse, lèche son cou jusqu'à ce qu'il tourne la tête et me propose ses lèvres. Sans bouger dans son cul, nous entamons une bataille de langue hyper excitante. J'en peux plus, je me redresse, et commence à coulisser dans sa rondelle. Dans un premier temps je ne ressort pas complètement mais ce sera comme ça quelques minutes plus tard. J'adore voir sa rondelle se refermer avec un temps de retard après que j'ai déculé. Mais je ne peux me retenir d'y retourner à nouveau. Ses gémissements me prouvent que ma bite lui fait de l'effet. Quand je passe une main devant lui, je trouve sa bite raide et ses boulles collées à sa tige. Je ne le branle pas de peur qu'il ne parte trop vite.
Mes mains passent de ses hanches à ses épaules et mes coups de rein prennent de la force. Ludovic se cambre encore plus répétant sans discontinuer des " Fuck ". Je l'enculerai jusqu'à ce qu'il se jute sur ses abdos alors que le saute, dos sur le bureau et jambes contre mon torse. Je décule et éjacule sur son jus. Quand il repose les pieds par terre, il a du mal à tenir debout et reste les fesses contre le bureau.
Je ne peux me retenir et je l'attrape, le plaque contre moi et nous nous roulons un patin d'anthologie. Je me fous de sentir nos jus collés nos abdos. Quand j'arrive à me détacher de lui, je l'emmène à la salle de bain et après une première douche destinée à évacuer nos spermatozoïdes, j'enduis de gel dépilatoire les zones à " imberbiser ".
Alors que nous nous séchons je lui propose de rester diner. Comme il réside chez ses parents, il me dit qu'il doit d'abord les avertir. Nous retournons au bureau et il les appelle. Quand il raccroche il me dit que c'est OK.
Il va pour se rhabiller. Je l'arrête et lui tend un shorty ADDICTED juste une taille en dessous et qui fait ressortir son paquet comme le rond de ses fesses. J'enfile mon ES et alors qu'il va pour mettre ses jeans par-dessus, je l'arrête et lui dit que cela suffit pour la maison. Nous montons au 4ème. PH nous attendait avec un plateau apéro. Ludovic ne sait pas où poser ses yeux. Il trouve la déco très " gay " mais apprécie les références culturelles. Par contre il s'étrangle quand il voit sortir de notre cuisine Ammed en shorty cuir. Sa bouche s'ouvre et je suis obligé de lui remonter la mâchoire avec la main les yeux eux rentrant tout seuls dans leurs orbites.
PH lui demande si l'embauche s'était bien passée. Il se détourne d'Ammed et lui répond qu'il faut me le demander. Je dis alors à PH qu'il m'avait trouvé là un ange. A la lueur qui a dû passer dans mes yeux, PH a su qu'il serait pour nous plus qu'un Escort lambda (comme si j'en avais un seul de ce style !).
D'ailleurs il passe la soirée à mettre en valeur Ludovic. Comme il a pu le côtoyer quelques semaines, ils ont échangés pas mal de choses et ils me les partagent. Quand il vient l'heure de partir, je n'embrasse pas Ludovic par un baiser léger sur les lèvres comme je le fais fréquemment avec mes escorts mais je lui roule une bonne pelle et dans l'oreille lui demande de rester cette nuit. Il me dit " et PH ?". Je me tourne vers ma moitié et lui demande s'il est d'accord. La réponse fuse, bien sûr !
Je le sens qui me teste en me disant que maintenant ça fait tard pour appeler ses parents. Ça me déçoit mais alors que je vais me rendre à son argument, il finit sa phrase par un " mais pas trop pour demander à mon frère de les prévenir ". Je lui saute au cou et lui dit d'appeler de suite.
Quelques minutes d'explications fraternelles plus tard, nous descendons passer notre première nuit tous les trois.
PH m'a l'air aussi intéressé que moi par sa trouvaille. Alors que nous batifolons, il me rappelle que c'est quand même lui qui l'avait choisi et que oui il savait qu'il faisait entrer l'agneau dans la meute de loups.
Nous ne baisons pas à trois, nous faisons l'amour entre nous. Ludovic se place comme un trait d'union entre nous et profite de nos deux corps enfiévrés. Je fais connaissance avec sa fougue et ses talents d'enculeur. Il me prend après PH et leurs queues relativement semblables me font grimper aux rideaux. Mais c'est dans le cul du petit nouveau que j'éjacule alors qu'il se fait défoncer la gorge par PH.
Sommeil court mais réparateur, petit déjeuner roboratif et nous nous quittons.
Sms dans la journée de Ludovic qui me demande de passer dans un bar les rejoindre PH et lui après les cours.
Je les rejoints alors qu'ils sont déjà attablés devant un demi. Ludovic me dit qu'il nous a invités pour qu'on rencontre son frère. Je suis un peu surpris mais il me rassure et me dit que c'est son confident et que c'est grâce à lui qu'il s'est accepté homo même si lui est un pur hétéro. Avant qu'il n'arrive, il nous explique qu'il a 1 an de plus que lui, qu'il est en école d'agronomie. Qu'il est son confident depuis sa première branlette jusqu'à sa prise de conscience de son homosexualité.
Quand il arrive, nous voyons se présenter devant nous un Ludovic bis les cheveux courts et une barbe de 3 jours. Peut-être un peu plus grand mais assis je en suis pas sûr. Il embrasse son frère et s'assoit. Il commande un demi comme nous. Pendant qu'il attend, Ludovic nous présente comme ses nouveaux amis et moi comme aussi son employeur. Comme je m'en étonne, Ludovic me dit qu'il ne cachait rien à son frère. OK donc notre baise d'hier aussi. Du coup je me tourne vers Côme et lui demande carrément comment son frère avait trouvé notre petite baise à trois de la veille.
Si j'avais pensé le mettre mal à l'aise, j'en aurais été pour mes frais. Il me sourit et me dit que son frère, avec qui il avait déjeuné, lui avait juste dis qu'il avait passé une soirée fantastique après de deux amis qui l'avaient aimé comme jamais cela lui était arrivé.
Je me retrouve un peu con à avoir essayé de prendre leur relation de haut !
Pirouette : je lui demande s'il ne voudrait pas bosser aussi pour ma boite puisque je cherche aussi des Escorts hétéros. Là, c'est moi qui le surprends. Je fais un clin d'oeil à Ludovic et sirote ma bière en attendant une réaction.
Ça ne tarde pas. Il me dit que de toutes les manières, il a pas ce qu'il faut pour ça. Je lui demande ce qu'il entend par là. Il me dit qu'il n'est pas très à l'aise en société, qu'il aime les meufs c'est sûr mais qu'il doit falloir des compétences particulières pour ce taf.
Je note qu'il n'a pas dit non mais juste qu'il a avancé des arguments le discréditant.
Vu son physique j'aimerai bien l'avoir dans mon écurie. Je connais quelques clientes qui en seront folles.
Je laisse tomber le sujet pour le moment. Il nous dit que depuis qu'ils sont petits, il a toujours été le confident et protecteur de Ludovic. PH s'en étonne étant donné qu'avec sa pratique de la boxe, il pensait notre Ludovic à l'abri des railleries et autres attaques homophobes. Là, Côme nous dévoile un bout sur le caractère de notre nouvel amour, il craint de faire mal si jamais il se laissait aller à taper un de ses détracteurs.
Ok, ça je peux y remédier. Nos cours de self défense, Krav Maga mâtiné de commando, devrait lui apprendre à gérer ça. J'en fais part à Côme qui me dit être lui, très intéressé par ça.
En plaisantant, je lui dis qu'il faut être Escort chez moi pour pouvoir en bénéficier. Il me répond que c'est peut être ça qui va le décider. Et moi d'ajouter que le salaire aussi peu aider à la décision. Il avoue que oui, pour aider ses parents qui les ont tous les trois (frères) à charge dans un moment ou les revenus des agriculteurs ne sont pas mirobolants.
Il me demande si le chiffre que j'ai donné la veille à Ludovic était la réalité ou si j'avais dit ça juste pour se faire son frère.
Il est gentil mais il m'énerve un peu à me chercher comme ça. PH s'en aperçoit et temporise. Il garantit que c'est un chiffre moyen, sachant que l'introduction sur le " marché " rapportait un bonus plus qu'intéressant.
Quand nous nous séparons, Côme me dit être rassuré de nous avoir rencontrés. Il a plusieurs fois été témoins de réflexes de ma part prouvant mon attachement réel bien que récent à Ludovic.
Il me demande s'il peut me rappeler concernant l'offre que je lui ai faite. Je l'attrape par le cou, lui claque deux bises et lui confirme que j'attends son coup de fil avec impatience.
Ils nous quittent tous les deux et même si j'ai PH avec moi toute la soirée, je ne peux m'empêcher de me demander ce que fait Ludovic !
PH débriefe notre rencontre. Il m'assure qu'on a Côme dans la poche. Comme je m'en étonne n'ayant retenu que les piques de ce dernier, PH m'assure que c'était juste un réflexe de protection de sa part. Il me parie qu'avant deux jours, je recevrai un appel de sa part.
Jardinier
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MMA
Francis Ngannou terrasse Renan Ferreira
Le boxeur camerounais de la catégorie poids lourd, Francis Ngannou met KO dès le premier round Renan Ferreira dès le premier round lors de son retour en MMA.
Après près de 3 ans d’absence dans sa discipline de prédilection, le camerounais Francis Ngannou est remonté dans l’octogone. Opposé à Renan Ferreira en main event du PFL Super Fights, dans « une bataille des géants », le Camerounais à l’opportunité de prendre la ceinture des poids lourds au Brésilien, pour son grand retour. Le Camerounais est le nouveau champion poids lourds du PFL et se relance après sa défaite en boxe contre Anthony Joshua en mars.
Le champion du monde dédie sa victoire à son fils Kobe décédé à 15 mois
L'ancien champion UFC est le premier à réduire la distance et esquive de peu un crochet large envoyé pleine puissance. Le reste appartient aux grands de ce sport. Comme face à Ciryl Gane, Ngannou surprend, et change de niveau. Il lutte, amène au sol et passe en demi-garde. Ferreira est muselé, incapable de se mouvoir. Un léger frisson survient ensuite avec une tentative d'étranglement en triangle du Brésilien. Le Camerounais en sort et profite d'un instant de confusion pour mettre son physique à profit. Une dizaine de coups surpuissants plus tard, le problème n'en est plus un. Inerte, couché, Renan Ferreira est K.-O. L'arbitre Dan Miragliotta s'interpose, un peu tard. Ngannou s'enquiert de la santé de son adversaire et fond en larmes pendant de longues minutes. Celle-là, elle est pour Kobe, son fils. Reviendra-t-il dans l'octogone ? A 38 ans, une seule chose est sûre : avec lui, rien n'est impossible.
Les félicitations de Kylian Mbappé à Ngannou
Buteur samedi lors de la victoire du Real Madrid sur le terrain du Celta Vigo (2-1) en Liga, Kylian Mbappé a ensuite pris le temps d'adresser un message de félicitations à Francis Ngannou pour son retour gagnant dans l'octogone.
« Le continent !!!! Respect mon frère Francis Ngannou. Pour Kobe. », a écrit en story Instagram le capitaine de l'équipe de France.
Panisse Istral FOTSO
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Les Jeux Olympiques sont le summum de la compétition sportive, rassemblant les meilleurs athlètes du monde entier. En plus de la gloire et des médailles, ces athlètes bénéficient également de séances d'entraînement intensives qui brûlent un nombre incroyable de calories. Si vous vous demandez quels sports olympiques sont les plus efficaces pour brûler des calories, cet article est pour vous. La Natation La natation est souvent considérée comme l'un des sports les plus complets. Non seulement elle sollicite presque tous les muscles du corps, mais elle est également excellente pour l'endurance cardiovasculaire. Selon des études, une heure de natation peut brûler entre 500 et 700 calories, en fonction de l'intensité et du style de nage. L'Aviron L'aviron est un autre sport olympique qui sollicite l'ensemble du corps. Ce sport exige une coordination parfaite entre les bras, les jambes et le tronc. Une heure d'aviron intense peut brûler jusqu'à 600-800 calories, faisant de ce sport une option fantastique pour ceux qui cherchent à améliorer leur forme physique et à perdre du poids. La Course à Pied La course à pied, en particulier les épreuves de fond comme le marathon, est l'une des activités les plus connues pour la combustion des calories. En courant à une allure modérée, un athlète peut brûler entre 600 et 800 calories par heure. Pour les courses plus rapides ou les sprints, ce chiffre peut même augmenter. Le Cyclisme Le cyclisme est un sport d'endurance par excellence. Les cyclistes olympiques, que ce soit sur route ou sur piste, peuvent brûler entre 500 et 1000 calories par heure, selon l'intensité de l'effort. Le cyclisme sollicite principalement les muscles des jambes, mais aussi les abdominaux et le dos. La Boxe La boxe est l'un des sports les plus exigeants physiquement. Les boxeurs doivent allier force, vitesse, agilité et endurance. Une heure de boxe peut brûler entre 700 et 900 calories, ce qui en fait l'un des sports olympiques les plus efficaces pour brûler des calories. Le Ski de Fond Le ski de fond est une discipline olympique qui combine force musculaire et endurance cardiovasculaire. En fonction de l'intensité et du terrain, une heure de ski de fond peut brûler entre 500 et 850 calories. Ce sport est particulièrement efficace car il sollicite à la fois le haut et le bas du corps. L'Escalade Sportive Nouvellement ajoutée aux Jeux Olympiques, l'escalade sportive est une activité qui demande une force incroyable et une grande endurance. Les grimpeurs peuvent brûler jusqu'à 700 calories par heure en escaladant, en fonction de la difficulté de la voie et de l'intensité de l'effort. Les sports olympiques ne sont pas seulement un spectacle incroyable de compétence et de dévouement; ils offrent également des séances d'entraînement intenses qui brûlent un nombre impressionnant de calories. Que vous soyez un amateur de natation, de course à pied, ou même de boxe, il existe un sport olympique qui peut vous aider à atteindre vos objectifs de fitness tout en vous amusant. Alors, pourquoi ne pas essayer l'un de ces sports et voir combien de calories vous pouvez brûler? https://savoirentreprendre.net/?p=15365&feed_id=11018
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Qui est Sharaputdin Magomedov, le pirate à un œil qui terrorise l'UFC ? Sharaputdin Magomedov, surnommé le "Pirate à un Œil", est rapidement devenu une figure emblématique de l'Ultimate Fighting Championship (UFC). Originaire du Daghestan, une région reconnue pour ses combattants d'élite, Magomedov s'est forgé une réputation redoutable grâce à ses compétences exceptionnelles en arts martiaux mixtes (MMA). Malgré la perte d'un œil lors d'un accident tragique, il a surmonté cet obstacle pour devenir l'un des combattants les plus craints de l'UFC. Son surnom de "Pirate" est un hommage à sa résilience et à sa capacité à transformer une adversité en force, attirant l'attention de millions de fans à travers le monde. Sharaputdin Magomedov, le pirate à un œil qui terrorise l'UFC La nouvelle star du MMA Le parcours de Sharaputdin Magomedov dans l'UFC est marqué par une série de victoires impressionnantes. Ses techniques de combat combinent une maîtrise parfaite du grappling, de la lutte et du striking, le rendant imprévisible et extrêmement dangereux dans l'octogone. bilan de la riposte au Covid-19, un mois après son apparition au Sénégal Sa détermination sans faille et sa capacité à s'adapter à ses adversaires lui ont permis de grimper rapidement les échelons de l'UFC, terrorisant ses adversaires avec sa présence imposante et son style de combat agressif. Les fans et les analystes de l'UFC reconnaissent en lui un potentiel champion, capable de dominer sa catégorie de poids grâce à sa stratégie et à sa force brute. La nouvelle star du MMA Le Président français sera au Sénégal au mois de février prochain. La visite durera trois jours. Emmanuel Macron arrive à Dakar le 1er au soir. Selon Jeune Afrique, qui détaille son programme, il sera reçu le lendemain par son homologue sénégalais. Il est invaincu, il est borgne et il part à la conquête de l'UFC. Avec son physique atypique et ses KO impressionnants, Sharaputdin Magomedov est la nouvelle star du MMA. Ses débuts à l'UFC Ses débuts à l'UFC Le 21 octobre 2023, Sharaputdin Magomedov disputait son premier combat à l'UFC. Avec un record de 12 victoires en autant de combats, celui qu'on surnomme 'Bullet' était attendu… et il a répondu présent. Une intensité exceptionnelle Une intensité exceptionnelle Opposé à Bruno Silva (23-11), le 'Pirate' n'a pas tremblé et a étouffé son adversaire de coups pendant trois rounds. Impressionnant de volume, il a enchaîné les kicks, les jabs, les coups de poings avec une intensité folle, s'imposant par décision unanime, selon La Sueur. Trocoli n'en pouvait plus Trocoli n'en pouvait plus Le 22 juin, le Daghestanais a livré une performance similaire contre Antonio Trocoli (12-4). Après l'avoir inondé pendant trois rounds, il a mis TKO son adversaire à deux minutes de la fin du combat, enchaînant sa deuxième victoire à l'UFC et sa 13ᵉ en autant de combat. Objectif top 10 des middleweight Objectif top 10 des middleweight Si cette victoire ne permet pas au 'Pirate' d'intégrer le top 15 de la division des poids moyens de l'UFC (-84kg), dominée par Dricus du Plessis, elle lui permet toutefois de s'ouvrir les portes d'un superfight. Bo Nickal veut son combat Bo Nickal veut son combat En effet, l'Américain Bo Nickal, invaincu en six combats, a call-out Magomedov après sa victoire. Si aucun des deux hommes n'est dans le top 15, ce combat opposerait deux des plus gros prospects de l'UFC. Un striker d'élite Un striker d'élite Contrairement à Nickal, qui est un excellent lutteur, Sharaputdin Magomedov est un striker d'élite. Un style de combat qui peut paraître assez étonnant quand on sait qu'il vient du Daghestan, terre de lutteurs (Nurmagomedov, Makhachev…). Boxeur de profession Boxeur de profession Champion national de muay-thaï, Magomedov a débuté les sports de combat avec la boxe. C'est en 2017, à l'âge de 23 ans, qu'il commence le MMA. Un phénomène du MMA Un phénomène du MMA Après avoir enchaîné trois victoires consécutives en 2018, il intègre l'organisation de l'AMC Fight en 2021.
Il enchaîne trois victoires par KO avant de se tourner vers le RCC en 2022, où il enchaîne deux victoires en huit jours, dont un KO infligé après huit secondes de combat, selon ActuMMA. Qui sera le prochain ? Qui sera le prochain Cette dernière victoire et son physique atypique (borgne depuis 2016), intéresse alors l'UFC qui décide de le signer en 2023. Depuis, le Daghestanais poursuit son ascension chez les poids moyens : qui sera le prochain ? Une légende en devenir dans le monde des arts martiaux mixtes Contes et légendes du continent En dehors de l'octogone, Sharaputdin Magomedov est également connu pour son engagement communautaire et son rôle de modèle pour les jeunes athlètes du Daghestan. Il utilise sa notoriété pour inspirer et motiver la prochaine génération de combattants, soulignant l'importance de la discipline, du travail acharné et de la persévérance. Sharaputdin Magomedov, le pirate à un œil qui terrorise l'UFC →A lire aussi Des arts martiaux au microphone : Voici l'histoire de Julianna Peña Son histoire est un témoignage puissant de résilience et de courage, et il continue de captiver les fans de l'UFC non seulement par ses performances spectaculaires, mais aussi par sa personnalité charismatique et sa détermination inébranlable à surmonter les défis. Sharaputdin Magomedov, le pirate à un œil, est plus qu'un simple combattant; il est une légende en devenir dans le monde des arts martiaux mixtes
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Avant de ramener un nouvel animal de compagnie à la maison, vous devez comprendre quelles races de chiens vous aimez le plus
Il est également important de décider des objectifs de l'achat d'un animal : pour les enfants, la sécurité à domicile, les expositions ou tout simplement un ami qui vous sauvera de la solitude. Après tout, toutes les races de chiens ont leur propre caractère. Certains seront moins dévoués au propriétaire, d'autres plus, certains super actifs, d'autres calmes. De plus, certains types de races nécessitent des soins particuliers. Par exemple, certains ont besoin d'être peignés et coupés, d'autres ont besoin d'un régime alimentaire particulier et d'autres encore ont besoin d'une activité physique constante.
Quelles races de chiens existe-t-il ?
Il est difficile de répertorier toutes les races de chiens. Selon des estimations préliminaires, il y en a actuellement environ 500 dans le monde qui ont été élevés à des fins spécifiques. Classiquement, ils peuvent être divisés en plusieurs types. Quelles sont les catégories : gardien, sécurité, chasse, berger, décoratif et compagnons. Il convient de noter que tous les chiens d'assistance - boxeurs, chiens de berger - ont besoin d'une activité physique constante. Les grands, comme les Saint-Bernard et les Dogues Allemands, se sentent assez mal à l'aise dans les petits appartements. Ils mangent aussi beaucoup. Mais les petites races de chiens (pékinois, terrier, pinscher) s'intègrent parfaitement dans les petits appartements. Ils n'ont pas besoin de beaucoup de nourriture et de longues promenades, et ils sont également très faciles à transporter.
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Quel est le sport le plus épuisant au monde ? La boxe occupe la première place en tant que sport le plus recherché sur la liste d’ESPN. Lorsque les deux boxeurs entrent sur le ring, ils doivent être en bonne condition physique. Soyez assez fort pour supporter quatre à quinze coups. Voici ce que dit une recherche ! Le sport le plus épuisant au monde ? avoir du cardio sans courir Considéré comme l’un des meilleurs joueurs de sa génération et accessoirement l’un des sportifs les mieux payés au monde, l’Américain a été contraint de prendre sa retraite la saison dernière, à seulement 31 ans. En cause ? Les blessures fréquemment subies à force d’impacts des défenses adverses. Et dites-vous bien qu’un quarterback, certes leader offensif de son équipe, n’est clairement pas le joueur le plus heurté dans ce sport chéri par les Nord-Américains. le sport le plus épuisant au monde A lire aussi Voici les 10 meilleurs sports qui contribuent à la libido (Étude) Extérieurement, la course à pied ou le vélo sont considérés comme les meilleurs sports pour améliorer l’endurance et la capacité respiratoire. Vous pouvez également aller nager, ce qui stimulera également la perte de poids et le tonus musculaire. La recherche d’ESPN La recherche d’ESPN Selon une étude promue par ESPN, une chaîne de télévision américaine entièrement dédiée au sport, la discipline qui implique un plus grand effort global de notre corps, étant donc la plus fatigante de tous les temps (ainsi que l’une de celles qui comporte le plus grand risque de blessures graves), est la boxe. Les critères de l’étude Les critères de l’étude L’étude a pris en compte, pour chaque discipline analysée, de multiples paramètres dont la force, l’endurance, la vitesse, l’agilité et la coordination nécessaires à la course, à mettre en relation avec la dépense moyenne d’énergie, tant physique que mentale. Un effort partagé Un effort partagé Immédiatement après la boxe, dans le classement des disciplines « les plus difficiles » à pratiquer, deux sports collectifs ont été positionnés, dans lesquels la fatigue, étant « partagée », est cependant moins impactante d’un point de vue psychologique. Sports d’équipe « américains » Sports d’équipe « américains » Il s’agit de lahockey sur glace, en deuxième place sur le podium, et de l' football américaine, en troisième place. Le golf Golfe de Guinée des pirates toujours plus professionnels Il est primordial d’enlever l’étiquette qui colle à la peau des golfeurs. Les meilleurs du monde sont à l’image de joueurs comme Dustin Johnson, Brooks Koepka ou Bryson Dechambeau, de véritables athlètes. Mais bien sûr qu’excepté la puissance nécessaire à chaque coup de driver et les nombreux kilomètres parcourus à chaque compétition, le golf est un combat mental de chaque instant. La concentration est physiquement épuisante et il est rapidement possible de connaître une descente aux enfers, ne serait-ce que sur un trou. Le handball QG des Lions en image, Coulisses du mondial « Duhail Handball Arena », quelle merveille (photos) 1 Des fréquences cardiaques élevées et des impacts importants pour ce qui est vraisemblablement le sport collectif indoor le plus dur à supporter physiquement. Si dans les gymnases on ne plaque pas, au contraire du rugby, on est sans cesse heurté en extension lorsque les pieds sont loin de toucher le sol. La préparation physique y est donc vitale, notamment au niveau des muscles stabilisateurs qui, pour les handballeurs, représentent bien plus que le simple attrait de gainage ou d’abdominaux. Le rugby Le rugby Ya-t-il besoin de définir l’aspect physique d’un tel sport ? Un tel sport où des sprints de 100 mètres peuvent être stoppés par des impacts violents et où, déblayages et autres plaquages offensifs, continuent de susciter parfois débat. Si à une époque, on invitait tous les morphotypes à pratiquer le sport du ballon ovale, la vérité s’en échappe ces dernières années, notamment au niveau professionnel.
A lire aussi Le Sénégal, candidat à l’organisation de la CAN 2027 (Ministre des Sports) Les piliers ont depuis longtemps dit au revoir à leurs bourrelets, remplacés par d’importantes ceintures abdominales quand les lignes arrière dépassent allègrement les 100 kilos. Le ski de fond Les chasseurs de vinyles à la recherche de la bonne occasion au Salon du vintage à Bordeaux, le 10 mars. David Pauget / RFI C’est une douleur qui ne peut être connue que par les cyclistes. Ce manque d’air associé aux fréquences bien trop élevées des battements du cœur. Aucun autre sport ne peut d’ailleurs, amener le cœur vers des fréquences si élevées. Équivalent physique sur la neige de la course à pied et du cyclisme, le ski de fond apporte une autre dimension avec la douleur connue à cause de températures souvent glaciales lorsqu’il est pratiqué. Bien que physiquement exigeant, le ski de fond reste un sport des plus agréables, accessible pour beaucoup, à son rythme. Le demi-fond en athlétisme avoir du cardio sans courir À l’image de la natation qui est peut-être le sport le plus dur au niveau de l’entraînement et mentalement, l’athlétisme est, de manière générale, usant pour les athlètes. Le demi-fond est probablement la catégorie d’épreuves la plus compliquée dans la tête, dans les jambes et dans le cœur. Les 400 et 800 mètres sont réputés pour être des repaires de presque masochistes de la souffrance sportive. Quand un journaliste avait exposé son envie à la légende Usain Bolt de le voir évoluer et probablement performer sur 400 mètres, le détenteur des records mondiaux du 100 et 200 mètres avait tout simplement répondu : « le 400 mètres ? C’est beaucoup trop dur ». Cela vous place l’enfer d’une discipline.
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Quel est le sport le plus épuisant au monde ? La boxe occupe la première place en tant que sport le plus recherché sur la liste d’ESPN. Lorsque les deux boxeurs entrent sur le ring, ils doivent être en bonne condition physique. Soyez assez fort pour supporter quatre à quinze coups. Voici ce que dit une recherche ! Le sport le plus épuisant au monde ? avoir du cardio sans courir Considéré comme l’un des meilleurs joueurs de sa génération et accessoirement l’un des sportifs les mieux payés au monde, l’Américain a été contraint de prendre sa retraite la saison dernière, à seulement 31 ans. En cause ? Les blessures fréquemment subies à force d’impacts des défenses adverses. Et dites-vous bien qu’un quarterback, certes leader offensif de son équipe, n’est clairement pas le joueur le plus heurté dans ce sport chéri par les Nord-Américains. le sport le plus épuisant au monde A lire aussi Voici les 10 meilleurs sports qui contribuent à la libido (Étude) Extérieurement, la course à pied ou le vélo sont considérés comme les meilleurs sports pour améliorer l’endurance et la capacité respiratoire. Vous pouvez également aller nager, ce qui stimulera également la perte de poids et le tonus musculaire. La recherche d’ESPN La recherche d’ESPN Selon une étude promue par ESPN, une chaîne de télévision américaine entièrement dédiée au sport, la discipline qui implique un plus grand effort global de notre corps, étant donc la plus fatigante de tous les temps (ainsi que l’une de celles qui comporte le plus grand risque de blessures graves), est la boxe. Les critères de l’étude Les critères de l’étude L’étude a pris en compte, pour chaque discipline analysée, de multiples paramètres dont la force, l’endurance, la vitesse, l’agilité et la coordination nécessaires à la course, à mettre en relation avec la dépense moyenne d’énergie, tant physique que mentale. Un effort partagé Un effort partagé Immédiatement après la boxe, dans le classement des disciplines « les plus difficiles » à pratiquer, deux sports collectifs ont été positionnés, dans lesquels la fatigue, étant « partagée », est cependant moins impactante d’un point de vue psychologique. Sports d’équipe « américains » Sports d’équipe « américains » Il s’agit de lahockey sur glace, en deuxième place sur le podium, et de l' football américaine, en troisième place. Le golf Golfe de Guinée des pirates toujours plus professionnels Il est primordial d’enlever l’étiquette qui colle à la peau des golfeurs. Les meilleurs du monde sont à l’image de joueurs comme Dustin Johnson, Brooks Koepka ou Bryson Dechambeau, de véritables athlètes. Mais bien sûr qu’excepté la puissance nécessaire à chaque coup de driver et les nombreux kilomètres parcourus à chaque compétition, le golf est un combat mental de chaque instant. La concentration est physiquement épuisante et il est rapidement possible de connaître une descente aux enfers, ne serait-ce que sur un trou. Le handball QG des Lions en image, Coulisses du mondial « Duhail Handball Arena », quelle merveille (photos) 1 Des fréquences cardiaques élevées et des impacts importants pour ce qui est vraisemblablement le sport collectif indoor le plus dur à supporter physiquement. Si dans les gymnases on ne plaque pas, au contraire du rugby, on est sans cesse heurté en extension lorsque les pieds sont loin de toucher le sol. La préparation physique y est donc vitale, notamment au niveau des muscles stabilisateurs qui, pour les handballeurs, représentent bien plus que le simple attrait de gainage ou d’abdominaux. Le rugby Le rugby Ya-t-il besoin de définir l’aspect physique d’un tel sport ? Un tel sport où des sprints de 100 mètres peuvent être stoppés par des impacts violents et où, déblayages et autres plaquages offensifs, continuent de susciter parfois débat. Si à une époque, on invitait tous les morphotypes à pratiquer le sport du ballon ovale, la vérité s’en échappe ces dernières années, notamment au niveau professionnel.
A lire aussi Le Sénégal, candidat à l’organisation de la CAN 2027 (Ministre des Sports) Les piliers ont depuis longtemps dit au revoir à leurs bourrelets, remplacés par d’importantes ceintures abdominales quand les lignes arrière dépassent allègrement les 100 kilos. Le ski de fond Les chasseurs de vinyles à la recherche de la bonne occasion au Salon du vintage à Bordeaux, le 10 mars. David Pauget / RFI C’est une douleur qui ne peut être connue que par les cyclistes. Ce manque d’air associé aux fréquences bien trop élevées des battements du cœur. Aucun autre sport ne peut d’ailleurs, amener le cœur vers des fréquences si élevées. Équivalent physique sur la neige de la course à pied et du cyclisme, le ski de fond apporte une autre dimension avec la douleur connue à cause de températures souvent glaciales lorsqu’il est pratiqué. Bien que physiquement exigeant, le ski de fond reste un sport des plus agréables, accessible pour beaucoup, à son rythme. Le demi-fond en athlétisme avoir du cardio sans courir À l’image de la natation qui est peut-être le sport le plus dur au niveau de l’entraînement et mentalement, l’athlétisme est, de manière générale, usant pour les athlètes. Le demi-fond est probablement la catégorie d’épreuves la plus compliquée dans la tête, dans les jambes et dans le cœur. Les 400 et 800 mètres sont réputés pour être des repaires de presque masochistes de la souffrance sportive. Quand un journaliste avait exposé son envie à la légende Usain Bolt de le voir évoluer et probablement performer sur 400 mètres, le détenteur des records mondiaux du 100 et 200 mètres avait tout simplement répondu : « le 400 mètres ? C’est beaucoup trop dur ». Cela vous place l’enfer d’une discipline.
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Quel est le sport le plus épuisant au monde ? La boxe occupe la première place en tant que sport le plus recherché sur la liste d’ESPN. Lorsque les deux boxeurs entrent sur le ring, ils doivent être en bonne condition physique. Soyez assez fort pour supporter quatre à quinze coups. Voici ce que dit une recherche ! Le sport le plus épuisant au monde ? avoir du cardio sans courir Considéré comme l’un des meilleurs joueurs de sa génération et accessoirement l’un des sportifs les mieux payés au monde, l’Américain a été contraint de prendre sa retraite la saison dernière, à seulement 31 ans. En cause ? Les blessures fréquemment subies à force d’impacts des défenses adverses. Et dites-vous bien qu’un quarterback, certes leader offensif de son équipe, n’est clairement pas le joueur le plus heurté dans ce sport chéri par les Nord-Américains. le sport le plus épuisant au monde A lire aussi Voici les 10 meilleurs sports qui contribuent à la libido (Étude) Extérieurement, la course à pied ou le vélo sont considérés comme les meilleurs sports pour améliorer l’endurance et la capacité respiratoire. Vous pouvez également aller nager, ce qui stimulera également la perte de poids et le tonus musculaire. La recherche d’ESPN La recherche d’ESPN Selon une étude promue par ESPN, une chaîne de télévision américaine entièrement dédiée au sport, la discipline qui implique un plus grand effort global de notre corps, étant donc la plus fatigante de tous les temps (ainsi que l’une de celles qui comporte le plus grand risque de blessures graves), est la boxe. Les critères de l’étude Les critères de l’étude L’étude a pris en compte, pour chaque discipline analysée, de multiples paramètres dont la force, l’endurance, la vitesse, l’agilité et la coordination nécessaires à la course, à mettre en relation avec la dépense moyenne d’énergie, tant physique que mentale. Un effort partagé Un effort partagé Immédiatement après la boxe, dans le classement des disciplines « les plus difficiles » à pratiquer, deux sports collectifs ont été positionnés, dans lesquels la fatigue, étant « partagée », est cependant moins impactante d’un point de vue psychologique. Sports d’équipe « américains » Sports d’équipe « américains » Il s’agit de lahockey sur glace, en deuxième place sur le podium, et de l' football américaine, en troisième place. Le golf Golfe de Guinée des pirates toujours plus professionnels Il est primordial d’enlever l’étiquette qui colle à la peau des golfeurs. Les meilleurs du monde sont à l’image de joueurs comme Dustin Johnson, Brooks Koepka ou Bryson Dechambeau, de véritables athlètes. Mais bien sûr qu’excepté la puissance nécessaire à chaque coup de driver et les nombreux kilomètres parcourus à chaque compétition, le golf est un combat mental de chaque instant. La concentration est physiquement épuisante et il est rapidement possible de connaître une descente aux enfers, ne serait-ce que sur un trou. Le handball QG des Lions en image, Coulisses du mondial « Duhail Handball Arena », quelle merveille (photos) 1 Des fréquences cardiaques élevées et des impacts importants pour ce qui est vraisemblablement le sport collectif indoor le plus dur à supporter physiquement. Si dans les gymnases on ne plaque pas, au contraire du rugby, on est sans cesse heurté en extension lorsque les pieds sont loin de toucher le sol. La préparation physique y est donc vitale, notamment au niveau des muscles stabilisateurs qui, pour les handballeurs, représentent bien plus que le simple attrait de gainage ou d’abdominaux. Le rugby Le rugby Ya-t-il besoin de définir l’aspect physique d’un tel sport ? Un tel sport où des sprints de 100 mètres peuvent être stoppés par des impacts violents et où, déblayages et autres plaquages offensifs, continuent de susciter parfois débat. Si à une époque, on invitait tous les morphotypes à pratiquer le sport du ballon ovale, la vérité s’en échappe ces dernières années, notamment au niveau professionnel.
A lire aussi Le Sénégal, candidat à l’organisation de la CAN 2027 (Ministre des Sports) Les piliers ont depuis longtemps dit au revoir à leurs bourrelets, remplacés par d’importantes ceintures abdominales quand les lignes arrière dépassent allègrement les 100 kilos. Le ski de fond Les chasseurs de vinyles à la recherche de la bonne occasion au Salon du vintage à Bordeaux, le 10 mars. David Pauget / RFI C’est une douleur qui ne peut être connue que par les cyclistes. Ce manque d’air associé aux fréquences bien trop élevées des battements du cœur. Aucun autre sport ne peut d’ailleurs, amener le cœur vers des fréquences si élevées. Équivalent physique sur la neige de la course à pied et du cyclisme, le ski de fond apporte une autre dimension avec la douleur connue à cause de températures souvent glaciales lorsqu’il est pratiqué. Bien que physiquement exigeant, le ski de fond reste un sport des plus agréables, accessible pour beaucoup, à son rythme. Le demi-fond en athlétisme avoir du cardio sans courir À l’image de la natation qui est peut-être le sport le plus dur au niveau de l’entraînement et mentalement, l’athlétisme est, de manière générale, usant pour les athlètes. Le demi-fond est probablement la catégorie d’épreuves la plus compliquée dans la tête, dans les jambes et dans le cœur. Les 400 et 800 mètres sont réputés pour être des repaires de presque masochistes de la souffrance sportive. Quand un journaliste avait exposé son envie à la légende Usain Bolt de le voir évoluer et probablement performer sur 400 mètres, le détenteur des records mondiaux du 100 et 200 mètres avait tout simplement répondu : « le 400 mètres ? C’est beaucoup trop dur ». Cela vous place l’enfer d’une discipline.
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Mon amour, tu as mis des bleues sur mes yeux,
Comme tu as mis des bleues sur mon coeur.
En silence, je t'ai supplié tellement de fois...
Pourquoi ne m'entendais-pas?
Te souviens-tu de ce jour mon amour ?
Tu as caresser ma joue si délicate de ton poing si fort.
Je t'ai supplié, oui je t'ai crié d'arrêter.
D'ailleurs tu ne l'as jamais fais.
Je suis seule avec mes sentiments, seule avec mes pensées, seule avec ma frustration, seule avec moi...
Oh dieu que je suis seule avec toi.
Toi qui autre fois était tout pour moi.
Je me suis tuée a essayer de vivre.
Moi qui était si vivante, pleine d'espoirs,
Regardes ce que tu as fais de moi, je ne me reconnais pas.
Écorchée vive... car je ne connais rien au bonheur
Car à chaque fois que j'y ai ai goûté, j'ai finis en pleure.
Tu m'as fait mal avec ton amour,
Et je suis devenue poésie quand tout d'un coup la haine s'est faite bravoure.
Écorchée vive mon amour...Parce qu'il y a de l'orage a l'horizon.
Parce que mon homme devient criminel, et perd la raison.
Écorchée vive... par tous ces poings,
Quand ce sont mes mains et mon coeur que je te tendais.
Il t'a pas fallu deux minutes pour me casser...
Pas le quart d'une pour me briser
Le coeur, les côtes, et les poignets.
Humiliation.
Mon amour, de là où je suis je contemple les nuages,
Mon regard se perd dans l'immensité de l'océan
Je suis perdue dans le néant
Seule et pleine de silence.
J'ai l'impression d'être la depuis bien trop longtemps...
..Et toujours cette notion de temps...
7h ton café
7h15 ta chemise repassée
13h ton linge sale dans la machine à laver...
Comme un requiem, une sale hantise, je t'entends sans te voir.
Te souviens-tu de ce jour mon amour?
Ce jour ou j'ai perdu notre enfant sous tes coups.
Huit ans aujourd'hui, que nos routes se sont croisées.
Huit ans ou je t'ai aimé d'un amour si sincère, si pur et fidèle, tandis que le tiens avait un goût amer.
Je pensais avoir trouvé en toi mon âme soeur
Mais je me suis retrouvée avec un boxeur.
Un étranger, qui a chaque altercation me tabassait.
A chaque altercation, au silence tu me reduisais.
Pourquoi ne m'entends-tu pas mon amour ?
N'entends-tu pas ce silence assourdissant ?
N'entends-tu pas mes os se briser à chaque coup portés?
N'entends-tu pas mes pleurs?
Ni les craquement de mon coeur?
Regardes-moi... j'en ai perdue ma voix.
Regardes ce que tu as fais de moi.
Je ne suis plus qu'une ombre qui plane
Qu'un corps sans âme.
Moi ton "amie", ta "femme".
J'ai comme un arrière goût de larmes quand je parles de toi.
Dieu que ma plume aimerai te blesser,
J'aimerais te toucher...
Toi, ton être, ton âme, ta voix de miel.
Je sais que tu me regardes, hier je t'ai vu du ciel.
"Elle etait pour moi, ce que la main est au geste. Un roc sur lequel m'appuyer. Pourquoi m'as-tu fais ça ? Pourquoi t'en es-tu allée?"
Tu aurais dû dire la vérité...
J'étais un objet sûr lequel tu tapais
Tu avais tellement "peur de me perdre" que tu me cognais.
"Merci pour ces années. Merci pour ces moment"
8 ans de relation. 6 ans de mariage. 1 million de violences Physique. Comme morale.
Et deux phrases?
Tu m'as tuée.
J'aimerais pourvoir te vociférer.
De là où je suis, je te vois mon amour.
Je serais désormais pour toi,
Ce que tu as été pour moi.
Je te hanterais comme tu as hanté,
Non.
Terrorisé mon quotidien pendant toute ces années.
Pourquoi me suis-je suicider?
Oh mon amour, car c'était la seule façon de te quitter.
J'avais envie de fuir.
De quitter ce qui pouvait me nuire.
Ma vie était devenue terne,
Alors j'ai souhaitais que les lumières s'éteignent.
L'espoir fait vivre ,
Mais tu m'en a donné peu,
Donc pour m'en sortir
J'ai dû m'accrocher à mes voeux.
J'ai suivis ma voix,
Avant que tu la rendes muette.
Le monde est beaucoup plus beau,
Depuis que je ne portes plus tes lunettes.
La peur du vide m'a fait prendre de la hauteur,
Ma rage de vaincre à mis un arc-en-ciel à ma noirceur.
Aujourd'hui je suis guérit,
Tu n'es plus ma maladie,
J'ai quitté l'enfer,
Pour trouver mon paradis.
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Une histoire d’amour
Loin des contes de fées, quoi que, souvent, les contes de fées commencent tristement et finissent de la même façon, un jeune homme rencontra une femme. Il tomba éperdument amoureux d’elle au point de la côtoyer souvent, très souvent. Sa famille riche s’opposa à cette relation, menaçant même de couper les finances au jeune toujours étudiant. Dès lors, il trouva du travail, utilisant ses dons de musicien dans des pianos-bars et même dans la maison-close où il avait rencontré sa belle. Parce qu’elle y travaillait comme prostituée.
Il n’aimait pas travailler dans le bordel. D’abord à cause de la fréquentation des autres clients envers la femme qui l’aimait, mais aussi parce qu’il y régnait une ambiance glauque. Les filles se forçaient à sourire et à plaire aux clients avides de se vider les bourses. Parfois, il devait aider le gros, un colosse payé à jouer l’eunuque du harem. C’était un ancien boxeur endetté et il faisait bien son taf. Il empêchait les clients de battre les filles malgré quelques claques trop rapides pour être évité, et surtout, il empêchait les filles de sortir.
Alors, le petit étudiant travaillait oubliant au passage d’étudier. Il faisait tout pour avoir les moyens de rejoindre sa belle. Quand il était ailleurs, il pensait à elle en jouant du piano ou de la guitare. Quand, il jouait dans le bordel, il cherchait souvent son regard triste et quand ses yeux croisaient les siens, la jeune femme retrouvait une petite étincelle qui réveillait son sourire. Bien qu’il s’en doutât, elle ne lui a jamais dit qu’elle était héroïnomane. C’était aussi une manière de la garder dans cette maison de luxure.
Dès son arrivée, dès que son cul s’assit sur une chaise, elle eut droit comme cadeau à une seringue dans le bras. Elle voyagea et du haut de ses treize ans, elle découvrit un monde fantastique, un conte de fées. Deux jours plus tard, elle était dépendante et dut accepter d’être dépucelée par un riche homme d’affaire. La forte somme partit directement dans les caisses de la mère maquerelle. Pendant dix ans, grâce ou à cause de son physique juvénile, elle était la cerise sur le gâteau, la poupée qu’on voulait pour dormir, le fantasme des pervers, le morceau de choix… l’attraction principale du bordel.
Maintenant, elle a vingt-trois ans et déjà en fin de carrière. Elle sait qu’il ne lui reste que quelques années à passer dans ce cloaque sordide qu’elle regrettera car, n’ayant pas de quoi payer sa liberté, elle finira dans une maison d’abattage. Elle a entendu parler de ces terribles lieux. Les filles passent leur journée allongées, les jambes écartées, servant de vide-couilles à tout ce qui passe, sans même pouvoir se laver entre-deux passes…Elle refuse de vivre ça.
Un jour, après quelques minutes ensemble, elle parla de ce cauchemar à son prétendant. Il la rassura, et promit de tout faire pour la faire sortir. Mais tout son argent passe déjà dans leur relation. Il n’avait rien pour acheter sa liberté déjà assez chère. Pourtant, une nuit, une idée vint à la tête. Il passa la journée à réfléchir, à travailler cette idée pour la mettre en application. Durant une pause de la jeune femme, il profita pour prendre la sienne et aller lui parler. Ils discutèrent d’un plan d’évasion.
Au début, sceptique, elle savait ce qui lui arriverait si elle était reprise. Il persista si bien qu’elle accepta. Deux semaines passèrent avant qu’il ne se sente prêt. Il arrêta de jouer du piano, passa lentement entre les couples en pleine discussion. Il s’approcha du gros. Elle était assise à la table la plus proche, discutant avec un vieux qui puait déjà la mort. Il sortit une cigarette et demanda au garde-du-corps s’il avait du feu. Le géant chercha un briquet dans ses poches et là ! Sans s’y attendre ! Profitant du brouhaha des rires et des discussions, l’amoureux sortit un couteau qu’il planta à plusieurs reprises dans le torse du gros transperçant en même temps son cœur ! Personne ne remarqua ses mains rougies. Personne ne vit la promise se lever, ni sortir par la petite porte. Mais tout le monde entendit le gros s’écrouler comme une merde sur le sol. Les premiers cris intervinrent en même temps que l’apparition de la flaque de sang sur le carrelage.
Ils étaient dehors, courants comme des fous. Ils allaient tant bien que mal le plus loin possible. Elle soufflait comme jamais. A chaque inspiration, elle retenait cet air qui avait un goût enivrant, il sentait bon la liberté. Elle courait avec un sourire. Ils allèrent chez lui. Il récupéra sa valise contenant le minimum, quelques vêtements pour elle et lui. Puis, ils marchèrent, rasant les murs en espérant ne pas avoir été suivi jusqu’à la gare. Ils prirent le premier train.
Eux-mêmes ne savaient quelle était la destination, qu’importe ! Ils dormirent l’un contre l’autre, ou plutôt, tête contre tête toute la nuit pendant le voyage. Puis au matin, elle ouvrit les paupières et découvrit ce qu’elle avait oublié et rêvé de revoir: la lumière du jour, un rayon de soleil. A vivre dix ans enfermée, elle ne savait plus à quoi ressemblait la lumière du jour. Elle pleura. Il s’en rendit compte et la serra contre lui. Bien qu’il sentît la sueur, elle apprécia le réconfort de son corps à ce moment. Elle le remercia. Ils vécurent un temps cachés dans une ferme puis quand ils furent oubliés des proxénètes, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants
Non, c’est faux ! Sa dépendance à l’héroïne était telle qu’elle ne réussit pas à s’en défaire. Alors, sans moyen, sans possibilité d’en acheter. Elle sortit dans un café et appela le seul endroit où elle savait qu’elle aurait de la drogue : la maison de passe. Ils sont arrivés le lendemain et attendirent le petit étudiant. Après l’avoir attaché, ils violèrent chacun leur tour, sous ses yeux, l’amour de sa vie puis la frappèrent au point de la défigurer. Et pour être certain qu’elle y passera, elle eut droit à une dose, la dernière… la mortelle. Lui, ils ne l’ont pas touché… une simple balle dans la tête maquillé en suicide à suffit. Après quelques pots-de-vin, les gendarmes conclurent à un crime passionnel. Il a tué sa compagne et s’est suicidé ensuite. J’avais prévenu, ce n’est pas un conte de fées.
Peu avant de mourir, ils eurent ce souvenir commun. C’était une discussion avant qu’il ne paye pour monter avec elle. Retenons donc en mémoire, ce couple assis à une table, se dévorant de leurs yeux pétillants en se tenant par la main. Il demanda quel cadeau elle aurait voulu de lui. Un sanglot retentit dans son esprit, une larme vint à son œil quand elle répondit en murmurant: « Revoir le soleil ».
Alex@r60 – juillet 2020
Photo de Brassaï. Une maison close monacale. Rue Monsieur-le-Prince, Quartier Latin, Paris 1931
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Manger des concombres salés en regardant la mer
Sur un post-it qui traîne sur mon bureau, j'ai juste écrit le mot "cornichon", comme point de départ de ce post que j’essaie d’écrire depuis trois semaines. Le pire c'est que je me suis trompée. Je ne voulais pas parler de cornichons mais de concombres salés. Et puis j’ai mis tout ça sur pause la semaine dernière, je ne voulais pas étouffer avec le bruit des touches sur mon clavier tout ce qui se disait de capital sur le racisme systémique dans ce pays.
Donc si je reviens à mes cornichons, j’avais envie d’ouvrir ce post sur les concombres salés de Romain Gary. J’ai profité de cette petite accalmie avant la rentrée littéraire pour lire La promesse de l’aube. Ce roman m’a suivie comme ça pendant quelques jours et il m’arrivait cette chose très bizarre que les mots peuvent produire quand ils sont empaquetés d’une certaine manière : beaucoup de phrases me faisaient pleurer, me touchaient vraiment très profondément dans le cœur à cet endroit tendre et malléable qui accueille les sentiments.
C’est sûrement parce que ce roman est très personnel et qu’il tisse un lien très intime avec le lecteur en lui faisant ressentir des émotions très profondes. La promesse de l’aube raconte l’expérience humaine dans tout ce qu’elle a de complexe. Ce que ça fait d’avoir une mère, d’être aimé, de vouloir rendre ses parents fiers, de devoir faire la guerre, d’être seul parfois, d’écrire parce qu’il faut laisser quelque chose derrière soi. Et parfois comme ça il y a des paragraphes qui forment des petites poches de joie dans l’immense océan de mélancolie que décrit Romain Gary.
À un moment j’étais dans mon lit et j’ai lu ce passage sur les concombres salés qui m’a retournée :
Depuis mon enfance, par exemple, j'ai toujours aimé les concombres salés, pas les cornichons, mais les concombres, les vrais, les seuls et uniques, ceux qu'on appelle concombres à la russe. J'en ai toujours trouvé partout. Souvent, je m'en achète une livre, je m'installe quelque part au soleil, au bord de la mer, ou n'importe où, sur un trottoir ou sur un banc, je mords dans mon concombre et me voilà complètement heureux. Je reste là, au soleil, le cœur apaisé, en regardant les choses et les hommes d'un œil amical et je sais que la vie vaut vraiment la peine d'être vécue, que le bonheur est accessible, qu'il suffit simplement de trouver sa vocation profonde, et de se donner à ce qu'on aime avec un abandon total de soi.
Et j’ai ressenti une joie mélangée de tristesse qui avait le goût exact de mes endroits préférés, en face de la mer. Je sais qu’il ne jure que par le sud de la France mais ces mots sonnaient pour moi comme le ressac furieux de l’Atlantique et ils ont laissé sur ma joue le goût salé des bains d’août.
J’ai beaucoup pensé à la fin du confinement de ce que ça faisait de découvrir des œuvres dans cet enfermement. De ne pas prendre les films, les livres et les musiques et de ne pas aller les faire cogner contre les murs du dehors. Ils entrent en moi et ils ricochent à l’infini dans ma conscience. J’ai hâte de réconcilier les idées et le monde du dehors.
Les choses de la vie, Claude Sautet (1970)
Quelques jours après la mort de Michel Piccoli, Arte a diffusé ce sublime film de Claude Sautet qui m’a procuré une émotion qui n’est pas extrêmement éloignée de celle qu’a laissé en moi La promesse de l’aube. Le film raconte l’histoire d’un homme qui, dès la première scène, est la victime d’un grave accident de voiture. Toute la narration est dès lors centrée autour de ses derniers jours et de ce qu’on comprendra de sa vie : sa relation avec son fils, avec son ex-femme, avec sa compagne (Romy Schneider qui est plus que merveilleuse, comme d’habitude).
Mais Les choses de la vie fait plus que cela : il questionne ce qui résume, lorsque tout semble se terminer, la vie d’un homme. Les relations qu’il a tissé tout au long de son existence ? Sa vie professionnelle ? Ses passions ? Ou plutôt cette expérience sensible, impossible à définir, cette texture étrange de l’existence humaine ?
Claude Sautet filme ce monde du sensible, de l’indicible, de l’immontrable presque, avec beaucoup de subtilité. Le vent dans les cheveux quand on file à bicyclette. Les caresses gorgées de soleil. Les brins d’herbe sous les doigts. Toutes ces choses auxquelles nous ne prêtons pas attention mais qui s’accrochent à la mémoire lorsque tout le reste a disparu. Le son, les plans, le montage, tout est absolument parfait dans ce film. Il dit aussi tant de la cruauté de la vie et de son timing qui nous échappe sans cesse.
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I may not look right but I sure do feel fine
J’avais déjà croisé la route de Lee Hazlewood plusieurs fois ces dernières années (la première fois c’était suite à cette reprise de Some Velvet Morning par Slowdive) mais nous nous étions toujours fait un simple petit signe de la tête et j’étais retournée à mes occupations.
Et puis il y a quelques semaines j’écoutais mes chansons aimées sur Spotify et là j’ai entendu “Your Sweet Love” comme si je la découvrais pour la première fois avec ses violons, cette voix grave, et j’ai voyagé très loin portée par cette sublime balade. Quelque chose de sa simplicité, de son ton séducteur, de son rythme caressant a changé la donne entre Lee et moi. Mon goût pour les chansons d’amour ne connaît pas de limites et dans celle-là j’ai reconnu quelque chose de la tendresse infinie qui circule entre moi et la personne que j’aime. Et dans cette période d’incertitudes, où les fondations de l’existence semblent si fragiles, sceller cette solidité dans ma vie avec cette chanson m’a bouleversée.
Me voilà donc en chemin avec l’ami Lee, je découvre toutes ses chansons, son humour parfois, sa voix entêtante, sa capacité à poser ses mélodies comme autant de petits films. Je lance un de ses disques dans mon casque et il m’emmène sur son cheval vivre de formidables aventures. Il n’y a vraiment rien de plus chouette que de se trouver une nouvelle obsession.
Et si vous avez envie de découvrir vous pouvez écouter cette super playlist concoctée par Julien, un Lee Hazlewood connoisseur !
Tant qu’il y aura des hommes, Fred Zinnemann (1953)
J’ai l’impression d’avoir vu plusieurs films des années 50 qui réfléchissaient avec intelligence à la masculinité et les effets néfastes de la course à la virilité et je rajoute le film de Fred Zinnemann à ma liste (avec, on top of my head, Les chemins de la haute ville de Jack Clayton, Thé et sympathie de Vincente Minnelli et Une place au soleil de George Stevens). .
Tant qu’il y aura des hommes démonte deux choses totalement inutiles et néfastes : l’armée et la masculinité. J'en ai personnellement fait une lecture très antimilitariste mais je découvre que l’auteur du livre dont il s’inspire (James Jones) a reproché à la Columbia de s’être “mis à genoux devant l’armée.” Le film raconte donc l’histoire d’une base militaire à la veille de Pearl Harbor. L’un des jeunes hommes, Robert Lee Prewitt (interprété par Montgomery Clift, que la rédaction aime beaucoup) est un ancien boxeur qui a blessé gravement l’un de ses camarades lors d’un entraînement. Depuis, il refuse de remonter sur le ring. Sauf que son supérieur hiérarchique, un capitaine opportuniste et tyrannique, compte bien lui faire disputer un match qui pourrait arranger son avancement. Malgré toutes les menaces et les intimidations, Prewitt tiendra sa ligne. Cette ambiance délétère ne sera pas sans conséquences et le film décortique toutes les manières dont ces injonctions à la virilité, ces violences psychologiques et physiques sont destructrices. Et ineptes.
En parallèle Tant qu’il y aura des hommes développe d’autres histoires autour de la masculinité notamment celle de Maggio (Frank Sinatra), le seul qui défendra Prewit, et déroule une histoire d’amour passionnée entre Deborah Kerr (que la rédaction adore aussi) et Burt Lancaster, qui en dit long sur la place que les hommes accordent aux femmes dans leurs vies.
Pendant le confinement nous avons fait un petit zine avec ma camarade Aurore/Barbusse Buro, il est vendu à prix libre sur Gumroad en PDF.
Ça parle de cinéma français, de femmes, de féminisme (on ne se refait pas), de ma vie (on ne se refait vraiment pas, je vous jure), de ce qu’on ressent en voyant des films. Ça apprend aussi quelques petites choses sur des réalisatrices françaises aussi, j’espère. Ça parle aussi de Proust, de Concarneau, d’errer dans les rues.
Et c’est entièrement illustré par Aurore qui a fait des affiches imaginaires sublimes avec deux couleurs et beaucoup de sensibilité, d’humour et d’inventivité.
Reine de la promo ? Oui, non ?
#Claude Sautet#Les choses de la vie#Lee Hazlewood#Tant qu'il y aura des hommes#Romain Gary#fred zinnemann
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"Lorsqu'en 1926, Brecht réclama « d'avantage de bon sport », il pensait moins à l'éducation physique qu'à la compétition sportive, au sport comme passion, risque, exploit : « Le grand sport commence là où il a cessé d'être sain. » Il ne cherchait pas à développer le sport, mais à intéresser au théâtre les amateur de sport, car il avait confiance en leur jugement. A son avis, une pièce de théâtre devait être jugée comme une partie de football, et un acteur comme un champion de boxe : « La corruption de nos spectateurs de théâtre provient du fait que ni le théâtre, ni le public n'ont une idée de ce qui est censé s'y dérouler. Dans une salle de sport au contraire, les gens savent exactement en achetant leur billet ce qu'ils vont voir, et c'est exactement ce qu'ils voient une fois installés à leur place : des gens entraînés déployer des forces peu communes avec un sens des responsabilités extrêmement développé, mais tout en donnant l'impression qu'ils le font surtout pour leur propre plaisir. » Brecht écrivit une nouvelle à ce sujet, Die Kinnhaken (Le Crochet à la mâchoire), et il projeta d'écrire une biographie de Samson-Körner, sur la base des récits du boxeur. La presse en publia des extraits, illustrés par des photos, dont l'une — Samson-Körner soupesant comme une noix la tête légèrement penchée de Brecht — devint très populaire. « Samson-Körner est un très grand personnage, dit Brecht aux lecteurs du Literarische Welt. J'avais envie d'établir un lien entre nous. Or le meilleur moyen étant de lui faire raconter sa vie. J'ai beaucoup de considération pour la réalité, et des réalités comme Samson-Körner se comptent sur les doigts : ce sont des heureux hasards. Ce qui me frappa d'abord chez Samson, ce fut sa manière pas du tout allemande de boxer. Il boxait objectivement, ce qui, d'un point de vue plastique, a beaucoup de charme. Samson-Körner est proprement inimitable, rien que sa façon de fourrer dans sa poche un ticket de transport. C'est ce qui explique aussi son remarquable talent d'acteur de cinéma. » Pour sa part, le boxeur fit savoir qu'il ne lisait pas les classiques, mais qu'il faisait un livre avec Brecht — un « type merveilleux » au demeurant ; il allait aussi au théâtre, mais pas pour voir des des « choses tristes » ; il aimait les opérettes, mais par-dessus tout les variétés. Cette conception de la littérature et du théâtre en imposait énormément à l' « auteur de pièces »."
"Par ailleurs, Brecht méprisait l'éducation physique, ce n'était pour lui qu'un moyen d' « aller à la selle », et certainement pas de favoriser l'effort intellectuel : « En dépit de ce qu'affirment les professeurs de gymnastique, un nombre considérable d’œuvres de l'esprit on été produites par des êtres maladifs, ou tout au moins extrêmement chétifs, des épaves humaines d'aspect pitoyable, qui tirèrent précisément de la lutte contre leurs déboires corporels une énorme santé au niveau musical, philosophique et littéraire. Mais il est vrai, j'en conviens, que la plus grande partie de la production littéraire des dernières décennies auraient aisément pu être évitée grâce à une gymnastique simple et des exercices appropriés au grand air. »"
- K. Völker, "Brecht : une biographie", 1976. Photo : Bertolt Brecht & Samson-Körner, 1928.
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Combat au sommet
Victoire volée de Ngannou
À l’issue d’un combat rude dans la nuit de samedi 28 à dimanche 29 octobre 0à Riyad, entre le champion du monde des poids lourds du MMA et le champion du monde des poids lourds de la boxe anglaise, Tyson Fury a été déclaré vainqueur par décision partagée face au boxeur camerounais Francis Ngannou.
Alors que personne n'imaginait le Predator faire le poids, il est finalement allé au bout des dix reprises en mettant en difficulté durant presque tout le combat, le boxeur anglais Tyson Fury. Malgré ce combat largement dominé par le lion indomptable de boxe, le britannique Fury a quand même été déclaré vainqueur. Une décision des juges très controversée par de nombreux fans de la boxe y compris les professionnels.
Le natif de Batié Francis Ngannou qui disputait à 37 ans son premier combat de boxe a prouvé au monde entier ses capacités dans deux disciplines. Après avoir envoyé le Britannique au tapis au troisième round, il a pu tenir tête au champion anglais jusqu’au 10 ème round, réalisant ainsi le plus grand exploit de l’histoire de la boxe.
Annoncé au départ défavorable pour le camerounais, la bataille a finalement été beaucoup plus serrée que prévu, Ngannou se montrant puissant et appliqué face à l’invincible Tyson Fury.
Nonobstant « cette défaite », l’ex-champion de l’UFC est resté vainqueur selon plusieurs fans qui se sont insurgés avec véhémence sur les réseaux sociaux.
« Je suis une bête blessée mais pas abattu, je suis prêt à combattre n’importe quand et je suis sûr que je vais m’améliorer » atteste le prédator. « C’était mon premier combat de boxe, c’était une expérience de rêve. Je vais travailler encore et revenir avec un peu plus de sensations et de connaissances. Au début, j’étais un peu nerveux, c’était un nouveau sport pour moi. Mais maintenant, je sais que je peux le faire, tenez-vous prêts » poursuit-il. Une posture qui montre indubitablement le degré d’assurance de l’ancien champion de MMA qui, désormais, s’imposera sur le terrain de la boxe anglaise.
Plusieurs observateurs estiment que la décision finale visait à sauver l’honneur et l’image de la boxe anglaise. Pour Mike Tyson qui l’a entrainé depuis plusieurs mois, « tout le monde connaît le résultat » Ce qui prouve une fois de plus que le vainqueur proclamé par les juges demeure discutable. Le boxeur camerounais a réussi ce que personne n’aurait pu imaginer, d’abord en résistant physiquement sur l’ensemble des dix rounds, surtout en envoyant sur le tapis dès la troisième reprise.
L’ancien journaliste de la radio France internationale, Alain Foka n’a pas tergiversé après l’issue du combat. Il a fait une sortie à travers sa page pour dénoncer l’injustice dont est victime Francis Ngannou face à l’anglais Tyson Fury : « Quelle honte, cette victoire donnée à Tyson Fury !!! Je ne sais pas si les juges ont regardé le même combat que nous. Ils ont vu qui est allé au tapis et a pris des coups. Qui paie commande n’est-ce pas ? une frustration de plus. Mais, Francis Ngannou a été magistral et très classe. Chacun ce soir sait qui était le patron sur le ring. « La vérité c’est comme les fesses. Qu’on les aime ou les déteste on finit par toujours par s’asseoir avec » Merci Francis tu es le meilleur.
Cela n’empêche pas que Tyson Fury soit un grand Monsieur. Seulement ce soir à la vérité, il sait qu’il a perdu. Dans ce monde quand on est black il faut mettre son adversaire KO pour être sûr d’être déclaré vainqueur. Souviens-toi de cela pour le combat de revanche. » Cette position de l’homme des archives d’Afrique montre clairement que le lion indomptable est le vainqueur de ce combat. À la fin du combat, Francis Ngannou a fait savoir qu'il est prêt à remonter sur le ring au plus vite, comme pour laver l'affront d'une décision difficile à comprendre. « Vous savez, au début, j'étais un peu nerveux avec ce nouveau sport que je n'ai jamais pratiqué, que je ne sens pas vraiment. Maintenant, je sais que je peux le faire. Préparez-vous ! Le loup est dans la maison. Ce soir, j'ai senti l'eau et je connais maintenant la température. Je me prépare à revenir ici et à tout prendre. »
Panisse Istral Fotso
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Le gout du sang.
Pratiquer un art martial ou un sport de combat est avant tout une histoire de contrôle de soi et ensuite de maîtrise des techniques, et ceux, bien plus que de connaitre bêtement des techniques apprises après des centaines d’heures d’entrainement. L’aspect du combat y est essentiel pour de nombreux points; Mise en pratique, agilité, connaitre les limites de son corps et son efficacité martial. J’en oublie encore certainement. L’art force le guerrier ou la guerrière à devenir une pratiquante et l’invite a dépassé le stade de la technicienne (ou du technicien). Il y a par exemple de très bons formateur, de super instructeurs, mais qui seront de mauvais guerriers. La préparation technique, l’instruction et le combat, voilà trois domaines différents. Certains parviendrons à maîtriser les trois, d’autre se concentrerons sur leur point fort. Une ceinture noire 5eme Dan bedonnant est loin d’être le guerrier suprême, mais il y a de forte chance qu’en tant que préparateur physique, il soit l’un des meilleurs. A l’inverse, ne se focaliser uniquement que sur sa bedaine et le sous-estimé invite à la prudence car l’on peut-être en surpoids et être un bon guerrier.
Mais après avoir l’assurance d’être un bon combattant, même si l’on est sûr d’être le meilleur au combat, et d’avoir une excellente maîtrise de ses peurs et de soi, il y a une chose qui ne changera pas : La mise en pratique réelle dans le combat.
Je n’aborde pas ici le combat soft pratiqué dans des cours de taekwondo ou les combattants possèdes une armure, ni de combat de type « amicale » a la fin des cours de karaté ou de judo. J’aborde ici le vrai combat. C’est dans un ring que l’on prend des coups face à un adversaire qui va y aller plus ou moins doucement avec vous, selon vos réponses. Cela reste malgré tout amical, mais c’est plus rude. Se prendre un coup de coude dans le nez a 12 ans, tu t’en souviens. J’ai passé des centaines d’heures à m’entrainer au combat avec mon frère. Nous étions bien protégés, avec un casque, des gants de boxe et bien évidement, un protège dents. Mais des bleus, des écorchures et des bosses, tu en mange ! Cela te donne le gout du sang. Pas celui que tu fais couler de ton adversaire, mais le tiens. Bien chaud qui coule dans ta bouche après un méchant coup de poing que tu n’as pas été capable d’arrêter. Cela t’apprend la modestie et te renvoie à ta propre perception de ton style de combat. Si tu prends un coup de poing, c’est que tu n’étais soi pas en mesure de l’arrêter ou bien que tu doives peaufiner ta défense, tes esquives ou tes répliques. Mais dans tous les cas, le jour où tu seras agressé et que tu seras frappé, tu ne seras pas prise de panique car ton joli petit nez aura été touché. Tu connaîtras déjà la sensation des larmes qui obstrues ta vision, le sang qui coule, son petit gout ferreux si caractéristique, l’adrénaline qui t’envahi. Tu ne fléchiras pas et il y a de fortes chances que s’il est parvenu à t’avoir par surprise, le coup suivant lui fera regretter de t’avoir malmené.
Mais même après tout ces combats, il n’est pas évident de connaitre ce qu’est un combat de rue, celui ou il n’y a aucune règle, celui ou l’agression est vrai. Car face a mon frère dans mon exemple, chacun de nous n’avait pas l’intention de faire mal a l’autre et si cela arrivait, c’était un accident au pire, au mieux, un prolongement de notre entrainement. Si cela aide à connaitre la souffrance et parvenir à maîtriser la douleur, ce ne sera jamais rien d’autre qu’un jeu.
De toute ma vie je ne me suis jamais battu. Un coup donné au primaire, une leçon de modestie a mon cousin qui se croyait un guerrier car il frappait des planches dans son sous-sol, un poignet luxé et une respiration coupé pour quelques dizaines de seconde a la sortie du Winston Churchill (pour les Montréalais qui connaissent). Rien. Pas vraiment en danger. Sûr de moi, mais toujours sur mes gardes.
Juillet 2016, j’atterris à Moscou pour me rendre à un stage intensif de 2 mois au boot camp du maitre Vadim Starov, dans son école de Tver au nord-ouest de Moscou (le centre international de combat à mains nues de style russe). 12 heures de vol et une escale, 15 minute de taxi, prendre un train a la gare de Kursk (Kurskiy Vokzal), deux heure en cabine avec deux jolies blondes, et arrivé a Tver en pleine nuit, de nouveau en taxi et me voilà arrivé à mon hôtel, le charmant « Golden Plaza », ma chambre est chaleureuse, la piscine de l’hôtel impeccable, je ne parle aucun mot de russe et je compte sur ce que l’on me raconte depuis ma naissance, comme quoi l’anglais est une langue universel. Jusqu’à ce moment-ci, pas de doute, en Russie beaucoup de gens parles et comprennent l’anglais. Je connais un peu la Russie. Je m’y suis déjà rendu avec mes parents par le passé, mais pas Tver. C’est une ville Russe sans charme, postindustriel. Je ne sors pas de l’hôtel, la Russie est un pays dangereux et il y a plus d’arme à feu en circulation illégalement, que d’habitant.Le lendemain matin, je me rend a l’école.
Nous sommes deux femmes, une américaine et moi. Avec une bonne trentaine de gars. Maitre Vadim est grand, gentleman, parle assez bien anglais, c’est un ancien officier des forces spéciales. Dans les années 90 il a créé son style, le Kadotchnikov Systema. Il nous connaît car nous avons rempli une fiche d’identité martial; Nos connaissances, styles pratiqués, niveau atteint. A un certain moment il s’attarde sur un gars plutôt grand et mince, il me demande d’avancer et de le mettre à terre, il demande la même chose au type. Je le mets à terre en quelques seconde. Tout le monde semble impressionné, sauf maitre Vadim. Il fait une grimace qui veut dire « très bien », puis me met face a une grosse brute de 250 livres facile. Le type ressemble à un bagnard des camps de prisonniers de Sibérie et passe son temps à regarder ma poitrine avec un sourire assez pervers. Maitre Vadim nous demande de nous battre ! Le gars rit doucement, moi, non; J’ai peur ! Vadim nous redemande de nous battre, et puis … je ne pourrais pas facilement décrire avec uniquement des mots ce qui s’est déroulé. Cela a été très vite. Le gros est pratiquant, énorme, tout en muscle, moi il me fait voler comme une feuille de papier. Je me relève, esquive, lui tire le poignet, pratique un étranglement et il me renvoi a terre … j’ai fini à l’infirmerie, un œil bleu, des ecchymoses sur mon dos. Lui aussi a eu des traces, mais il les a toutes absorbés.
Je n’avais jamais eu d’ecchymose a l’œil avant. C’est ignoble esthétiquement parlant; D’abord bleu autour de l’œil, puis il devient noir, la couleur finie par descendre vers la bouche après une semaine, puis il rougie avant de jaunire. 5 semaines avec cette face ! Mettre un fond de teint aurait été ridicule. J’étais ici pour un stage de combat, pas pour une sortie entre copine. Et puis avec l’effort fourni, il aurait coulé.
Le lendemain je reviens. La grosse brute vient s’excuser, je lui pardonne car je ne suis pas aussi idiote : Il aurait pu me mettre K.O, ce qu’il n’a pas fait. Maitre Vadim vient me trouver, il pensait que j’allais repartir au Canada. Puis m’explique des choses pourtant logiques. Avec mon poids plume, je dois privilégier l’esquive face aux forts en muscle et ne pas hésiter à utiliser les mauvais coups (mortel au Krav Maga, mais il connait car il a lu tous ceci dans mon CV martial). Une leçon qui a bien faillit m’envoyé a l’hopital !
La grosse brute est devenue un ami (Grisha de son prénom) et mon partenaire de combat pendant tout le stage. Deux mois a se frapper, à s’entrainer, à avoir mal, à modifier mon comportement martial et l’adapter a ceux qui pouvaient vraiment être dangereux malgré mon expertise : Les grosses brutes tout en muscle et pratiquants. Seul maitre Vadim avait compris.
Je ne suis jamais parvenu à vaincre Grisha, je l’ai mis souvent à terre, j’esquivais 99% de ses coups avec une facilité déconcertante, je le remettais à terre, je lui ai coupé la respiration plus d’une fois, mais il se relevait à chaque fois. Par contre, lorsqu’il me touchait, je voyais les étoiles et lui cessait de me frapper. Il n’y avait ni gants, ni casque. J’ai appris que c’était un ancien boxeur semi-pro et un lutteur en plus d’être un instructeur de maitre Vadim. Maitre Vadim m’a dit que j’avais la force de vaincre des gars comme Grisha, car nos combats se déroulait dans une école de combat, bien encadré, même si les coups étaient réels. Il est certains que j’ai simulé plusieurs étranglements, plusieurs coups du lapin et autre luxations mortel, mais Grisha aussi aurait pu me mettre facilement K.O avec son petit doigt. Ce que voulait dire maitre Vadim, c’est que finalement j’étais une très bonne guerrière.
Je suis retourné trois autres fois en Russie pour des stages avec maitre Vadim. Grisha vit aujourd’hui au Canada après que je l’ai parrainé. Il vie désormais a Laval et il est mon instructeur personnel en Systéma (chanceuse!).
S.D
#systema#combat arts martiaux Tver Russie guerrière combattante confianceensoi confiance#vadim starov
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BOOKHOUSE BOYS #49 | LES FRÈRES LAMBERT | VIDÉASTES & AUTEURS
Steven & Warren Lambert, deux personnages aussi paradoxalement discrets qu’ils sont immenses. Dans la même pièce on les mélange, séparés on les confond. Mais dans l’un ou l‘autre cas, les deux Lambert, vrais frères pas jumeaux pour un sou, ont cette faculté d’agrandir les hommes qu’ils croisent au lieu de faire peser leur ombre de garçons courbés sur plus petit qu’eux. On a vu Steven L. au menu de Vies et morts des super-héros et l’on se souvient de Warren L. au programme du Livre des trahisons. Ensemble ils font des films. Isolément, Steven, l’aîné, est hanté par le motif de la boucherie (son poignant documentaire Sans colère et sans haine ou son commissariat à l’exposition Boucherie féerique). Plus jeune et un rien plus haut - à moins que ce ne soit l’inverse -, Warren sort aujourd’hui TROPIQUE DU SPLENDID, un essai salutaire sur la France telle qu’elle est perçue depuis plus de quarante ans par les Bronzés et telle qu’on veut nous la faire gober - ce livre est un médicament de l’âme.
Les Frères Lambert sont nos premiers Bookhouse Boys de l’année 2019.
Welcome.
| Que trouve-t-on comme nouvelles acquisitions dans vos bibliothèques ?
STEVEN : Je n’ai pas de bibliothèque chez moi, du coup j’empile et en plus je lis lentement mais je vois : le catalogue de l’exposition que Thomas Hirschhorn a consacrée au poète Manuel Joseph, la monographie de Delphine Wibaux, Sur la forme de Jean-Christophe Bailly, Les Années 10 de Nathalie Quintane, Nuits étroitement surveillées de Pierre Pachet, Insomniac Dreams le recueil des petites fiches que tenait Nabokov sur ses rêves, L’Ecriture des pierres de Roger Caillois, Jerusalem d’Alan Moore, La Philosophie floue de Miller Levy et bien sûr Tropique du Splendid.
WARREN : Hormis les livres que j’ai reçus pour Noël (les lettres de Lou à Guillaume Apollinaire et Éloge de l’ombre de Jun'ichirō Tanizaki), il y a Autoportrait de l’auteur en coureur de fond de Haruki Murakami. De lui, j’ai d’abord lu ses nouvelles puis je suis tombé sur ce livre qui semblait avoir beaucoup de lien avec, d'une part, un regain depuis un an de mon activité physique et littéraire, et d’autre part avec le livre que je finis en ce moment sur la saga Rocky. Je l’ai d’ailleurs délibérément acheté dans l’édition 2009 parue chez Belfond pour sa couverture, sur laquelle on voit une petite photo en pied de l’écrivain, dos à nous, le corps luisant seulement revêtu d’un short et d’une paire de baskets, et qui me rappela immédiatement l’affiche belge du premier Rocky que j’ai chez moi, où Adrian habillée avec une élégance folle se tient main dans la main avec Stallone en tenue de boxeur, prêts à partir au loin comme le couple à la fin des Temps modernes de Chaplin.
| Quels livres marquants avez-vous l’un et l’autre découverts à l'adolescence, et que vous possédez toujours ?
STEVEN : Je suis un spectateur avant d’être un lecteur mais je me soigne. Je ne lisais pas beaucoup au lycée sinon ce que tout groupuscule « littéraire » lit à un moment, comme le Werther de Goethe. Pour ne rien arranger je donne depuis plusieurs années partie de mes livres à la bibliothèque d’un squat. Le seul livre auquel je pense c’est le recueil La Rose de Robert Walser.
WARREN : Perceval ou le conte du Graal de Chrétien de Troyes ; Un roi sans divertissement de Jean Giono ; Nadja d’André Breton ; Fin de Partie de Samuel Beckett. En gros, tous les livres du programme à l'époque au lycée ! Comme quoi… En même temps quand j'y pense : l’amour courtois, une parabole sur la Nature anthropophage, le surréalisme et le théâtre de l’absurde, ça ressemble aussi quelque part au programme d’une vie.
| Sans égard pour sa qualité, lequel de vos livres possède la plus grande valeur sentimentale, et pourquoi ?
STEVEN : Je suis un fétichiste de l’objet livre. Tous les livres ont pour moi une valeur sentimentale, encore plus ceux qu’on me donne à lire.
WARREN : Tous les livres que l’on m’a offerts et ceux que j’ai acquis au Regard Moderne, l’antre de feu Jacques Noël, l’archange des libraires parti dans l’autre monde il y a deux ans. Et puis mes premières bandes dessinées achetées par mon père – que j’ai d’ailleurs refilées depuis à mon petit frère – sur lesquelles se trouvent encore au dos l’étiquette avec le prix en francs quasi effacée.
| Lequel de vos livres offririez-vous à quelqu'un qui vous plaît ?
STEVEN : Je lui offrirais des fleurs.
WARREN : J’ai hélas arrêté ces ruses-là à la fac. Du reste, je crois bien n’avoir jamais offert à quelqu’un de livre qui ait un sens à percer, une sorte de message secret. J’ai arrêté parce que c’était plutôt moi qui me perdait chaque fois qu’une femme que j’aimais m’offrait quelque chose. Je l’ai en revanche beaucoup fait avec les films, et aujourd’hui peut-être un peu encore avec la musique, les chansons. Avec une chanson, c'est ce qui me plait, plus c’est gros, plus ça passe. Et je me suis rendu compte, paradoxalement, que plus c’est gros, plus c’est insoupçonnable.
| Que trouve-t-on comme livres honteux dans vos rayonnages ?
STEVEN : Là où il y a du plaisir, il n’y a pas de honte.
WARREN : Il n’y a pas de livres honteux, il n’y a que des livres que j’ai parfois honte de ne pas avoir encore lus. J’ai même découvert qu’au Japon, il existait un mot pour cette manie d’accumuler les livres et de ne pas les lire : tsundoku. Mais comme avec les rencontres, je me console en me disant que maintes fois certains se sont confirmés être de très bonnes intuitions, même s'ils auront mis du temps pour arriver jusqu’à moi ou moi à eux. Et d’autres qui, au fond, n’étaient dès le début absolument pas des histoires sérieuses.
| Quels livres avez-vous hérité de vos proches ?
STEVEN : Ceux qu’ils ont écrits et qui m’ont donné envie d’écrire et montré que c’était aussi possible d’écrire comme ça : le livre sur Lost de Pâcome Thiellement, Traum d’Aurélien Lemant, le Rocky de mon frère.
WARREN : Aucun, mais cela s'explique parce que, par exemple, mon père était et est encore davantage un lecteur de journaux que de livres. Je me souviens qu’il les conservait tous à une époque. Lorsqu’adolescent, mon père a déménagé, je revois encore au grenier chez ma grand-mère paternelle les dizaines de cartons d’exemplaires du « Monde », comme de grosses boites inédites d’On Kawara et qu’il mit à la poubelle comme on se débarrasserait d’une vie, mais qui en l’occurrence serait aussi celle des autres, de tout le monde. En ce qui concerne ma mère, son goût s'est toujours principalement porté sur les biographies, ce qui n’était pas mon truc, aussi je ne lui ai jamais piqué un seul bouquin. Elle avait également en évidence sur la bibliothèque le Quarto Gallimard de Marcel Proust, et je me revois me dire, gamin, que jamais je ne passerai mon temps à lire un livre aussi gros, qui plus est sur le Temps perdu.
| Le livre que chacun a le plus lu et relu ?
STEVEN : Je relis rarement sinon jamais un livre. Je retourne vers certains passages, je lis d’autres livres du même auteur ou j’explore la constellation qu’il tisse ou que je lui tisse avec d’autres. J’ai beaucoup relu les livres de Philippe Lacoue-Labarthe. J’ai envie de revenir vers Que faire des classes moyennes ? de Quintane.
WARREN : Il y a un livre chez mes grands-parents maternels qui nous a marqué mon frère et moi quand nous étions mômes, qui était un livre relié, ancien et de grand format, aux tranches dorées, sur Léonard de Vinci. Mon grand-père avait appris la reliure en autodidacte et je ne sais pas si ce livre épais en était un de sa fabrication. Je ne crois pas que nous ayons jamais lu ne serait-ce qu’une ligne de cet ouvrage qui, dans mon souvenir, semblait assez technique, mais je sais que nous l’avons beaucoup feuilleté, ouvert au hasard. Il devait, je pense, avoir simplement à nos yeux de gosses la magie du livre d'une Histoire sans fin, ou de ceux prenant vie dans Richard au pays des Livres magiques.
| Le livre qui suscite en vous des envies d'autodafé ?
STEVEN : Je suis incapable de faire du mal à un livre. Je préfère les livres qui brûlent d’eux-mêmes.
WARREN : Je prends soin de ne pas ouvrir les livres qui me dégoûtent d’avance. Question d’hygiène.
| On vous propose de vivre éternellement dans un roman de votre choix, oui, mais lequel ?
STEVEN : Ça n’a pas l’air d’avoir trop réussi au narrateur de l’Invention de Morel.
WARREN : Non de vivre mais, comme dans Fahrenheit 451 de Truffaut, plutôt d’en savoir un par cœur, je choisirais Novecento : pianiste d’Alessandro Baricco, un livre que j’ai découvert tout à fait récemment. Tiens, voilà un de ces livres qui a mis pile dix ans à arriver jusqu’à moi alors que c'est la femme avec qui pourtant je vivais qui me l’a offert et dédicacé en décembre 2008. Et puis celui-ci serait facile à apprendre puisqu’il s’agit d’un monologue.
| Quel est l'incunable que vous rêvez de posséder, votre saint Graal bibliophilique ?
STEVEN : Je suis bien trop paresseux pour courir après un livre.
WARREN : Je ne rêve pas de livre. Le livre rêvé est toujours celui que l’on me mettrait entre les mains et dont je ne soupçonnais pas qu'il était fait pour moi, qu'il était celui que j'attendais exactement au moment où j'en aurais besoin. Cela m'est arrivé de nombreuses fois, par hasard ou grâce à des amis, et chaque fois ce miracle est une façon tellement puissante de vous reconnecter avec le monde.
| Au bout d'une vie de lecture, et s'il n'en restait qu'un ?
STEVEN : Je suis nul en devinettes.
WARREN : Le dernier que je serai en train de lire avant de fermer les yeux, et si possible sans avoir pu en connaître la fin.
Crédit photos : Vladimir Vatsev
Le Feu Sacré sera présent au vernissage de TROPIQUE DU SPLENDID, le mardi 12 février 2019, à la librairie LE MONTE-EN-L’AIR (PARIS) dès 19h. La soirée sera présentée par notre ami Pacôme Thiellement, maître de cérémonie.
#stevenlambert#warrenlambert#lesfrereslambert#tropiquedusplendid#rockytherapy#bookhouseboys#pacomethiellement
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