#physique boxeur
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fitnessmith · 3 months ago
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Programme de Brad Pitt dans Fight Club
NOUVEAU : Programme de Brad Pitt dans Fight Club. Les infos de son coach de l'Ă©poque.
“C’était de toute beautĂ©. Nous revendions Ă  des femmes riches la graisse qui provenait de leurs fesses.” Si vous n’avez pas la rĂ©fĂ©rence, je vous invite Ă  louer le film dont nous allons parler aujourd’hui. En 1999 sortait le film Fight Club. Un film qui deviendra culte, aussi bien par son style que par l’apparence sĂšche et musclĂ©e de Brad Pitt dans le rĂŽle de Tyler Durden. Depuis des annĂ©es, on

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camisoledadparis · 3 months ago
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saga: Soumission & Domination 311
Nouveaux Escorts
PH me ramÚne mon premier nouvel escort de la Fac de droit. Le premier contact a lieu dans un café en ville. Je suis scié par la vision du jeune mec. Une pure beauté. Un visage d'ange encadré de boucles blondes au-dessus d'un corps d'athlÚte, ou plutÎt de Boxeur puisque c'est son sport. Il se lÚve comme j'approche de leur table. Il fait dans les 1m80 et large d'épaules ! Sa poignée de main est ferme mais pas trop. Je commande un café et nous nous présentons.
PH me situe comme son mec et aussi le patron d'une boite d'escorts dans laquelle il (PH) le (Ludovic) verrait bien travailler. PH avait utilisé les quelques semaines passées depuis la rentrée pour se rapprocher de Ludovic (en tout bien tout honneur). Il avait appris incidemment qu'avec des parents agriculteurs, le petit n'était pas parmi les plus privilégié de la promo.
Ludovic s'Ă©tonne que PH ait pu penser qu'il convienne Ă  ce genre de travail. J'interviens et lui demande s'il ne s'Ă©tait jamais regardĂ© dans une glace. Comme il ne comprend pas, je prĂ©cise qu'avec son physique et sa tĂȘte, je n'aurais aucun problĂšme pour lui trouver des engagements.
LĂ , il objecte que les femmes c'est pas trop son truc Ă  lui, il serait plutĂŽt comme nous. Ça je le savais dĂ©jĂ  !
Je lui dis que c'est OK puisque la majeure partie de mes clients Ă©tait des hommes. Ça l'interpelle. Il me demande ce qu'il faut comme qualitĂ©. En vrac je lui Ă©numĂšre, intelligence, prestance, savoir vivre, beautĂ© et un goĂ»t prononcĂ© pour le sexe. LĂ , il me coupe et me dit " Ă©videmment y'aura du sexe ". Je lui dis que c'est une facette en gĂ©nĂ©rale incontournable mais fortement rĂ©munĂ©rĂ©e. Et avance pour 4 Ă  8 prestations par mois un salaire moyen de 4 Ă  8 000 net avec vĂ©hicule de fonction.
Il manque de faire tomber son café et s'étrangle avec. Il me demande si je suis sérieux. Je lui réponds que quand il s'agit de travail je le suis toujours. Intérieurement je bave devant ce mec !
Il se tourne vers PH qui lui confirme que c'est à peu prÚs ce que se font mes autres employés.
Je lui propose de passer chez moi pour qu'on en discute. Il est OK et je lui dis de nous suivre. Quand il voit la SLS avec laquelle je suis venu, il me dit en riant que les affaires marchent bien.
L'aspect extérieur du Blockhaus le surprend, tout comme les véhicules parqués au ré de chaussée, notamment les motos.
Nous montons au premier et PH nous laisse pour aller au 4Úme. Je fais entrer Ludovic dans mon bureau. J'entame son dossier. Taille : 1m83, Poids : 75Kg Sexe : 19x5 Sport : boxe française Préférence sexuelle : les hommes en Actif et Passif Métier des parents, fratrie, rib...
Cela fait, je lui demande de se mettre Ă  poil. HabituĂ© des vestiaires de sport, il ne fait pas de difficultĂ©s. Sous-vĂȘtements classiques et chip (DIM). Il est encore plus beau nu ! Mes amis, peintre et sculpteur s'en feraient un modĂšle c'est sĂ»r.
Larges épaules, taille et hanches fines, longues jambes le tout peu poilu et quasiment imberbe du visage. Il semble avoir une queue correcte bien qu'elle ne soit pas encore en pleine extension. AprÚs la manipulation que je lui demande d'exercer dessus, elle se développe pour atteindre un bon 19x5, comme annoncé, verge bien droite et gland rose vif. Là, c'est plus fort que moi. Je me lÚve et passe devant le bureau.
Il comprend de suite que le test a commencĂ©. Il s'approche, approche son visage du mien et pose dĂ©licatement ses lĂšves sur les miennes. Elles sont fraiches et douces. Sa langue pointe entre ses dents blanches et cherche la mienne. Je me laisse embrasser. Il fait ça bien et je me surprends Ă  prendre sa tĂȘte entre mes mains pour appuyer notre pelle. Je le kiff ce jeune con ! Je sens ses mains parcourir mon corps des Ă©paules au bassin et bientĂŽt elles s'affairent Ă  ouvrir ma ceinture et mes jeans. Je bande comme un malade depuis qu'il a fait sauter son t-shirt et du coup il a un peu de mal Ă  faire glisser mon pantalon sur mes cuisses. Il s'accroupit et ma bite saute devant son visage. Il s'agenouille et me gobe le gland. Ça me fait comme une dĂ©charge Ă©lectrique. Sa langue tourne autour, lĂšche la surface et pointe dans mon mĂ©at. Puis doucement il se l'enfonce cm par cm jusque dans sa gorge. Trop fort ! J'adore.
Il me pompe un bon moment et sait s'arrĂȘter dĂšs qu'il sent que mon jus monte. C'est moi qui lui prends les Ă©paules et le redresse. Sa langue a le goĂ»t de ma queue et nous prenons bien 10mn de pelle supplĂ©mentaire.
Je l'Ă©carte et docilement il se plie, torse sur mon bureau, jambes Ă©cartĂ©es me donnant sa rosette. Je commence par passer mes doigts. Elle est ferme et douce, pas de poils de ce cĂŽtĂ©-lĂ . Il creuse ses reins quand j'y fais glisser un doigt lubrifiĂ© de ma salive. Je l'enfonce facilement mais sens ses muscles anaux toniques. Il me le fait sentir dĂšs qu'il sent que je lui ai enfoncĂ© entier. Il serre et piĂšge mon doigt. Je flatte son flanc comme je le ferais d'un cheval. Il se dĂ©tend et me laisse progresser. Je salive sur mes doigts et lentement je lui en enfile deux. Il aime et me le fait savoir. Je ne peux plus me retenir. Je me kpote, graisse nos surfaces destinĂ©es Ă  se frotter et pose mon gland sur sa rosette. Il a un petit coup de rein exigeant et efficace puisqu'il absorbe mon gland. LĂ©ger temps de pause puis je pose mes mains sur ses hanches et lentement tire son bassin vers moi. Je ne m'arrĂȘte que quand mon pubis colle Ă  sa raie. Lui-mĂȘme est venu poser ses mains sur mes fesses pour accompagner ma pĂ©nĂ©tration.
Je me couche sur son dos, embrasse, lĂšche son cou jusqu'Ă  ce qu'il tourne la tĂȘte et me propose ses lĂšvres. Sans bouger dans son cul, nous entamons une bataille de langue hyper excitante. J'en peux plus, je me redresse, et commence Ă  coulisser dans sa rondelle. Dans un premier temps je ne ressort pas complĂštement mais ce sera comme ça quelques minutes plus tard. J'adore voir sa rondelle se refermer avec un temps de retard aprĂšs que j'ai dĂ©culĂ©. Mais je ne peux me retenir d'y retourner Ă  nouveau. Ses gĂ©missements me prouvent que ma bite lui fait de l'effet. Quand je passe une main devant lui, je trouve sa bite raide et ses boulles collĂ©es Ă  sa tige. Je ne le branle pas de peur qu'il ne parte trop vite.
Mes mains passent de ses hanches à ses épaules et mes coups de rein prennent de la force. Ludovic se cambre encore plus répétant sans discontinuer des " Fuck ". Je l'enculerai jusqu'à ce qu'il se jute sur ses abdos alors que le saute, dos sur le bureau et jambes contre mon torse. Je décule et éjacule sur son jus. Quand il repose les pieds par terre, il a du mal à tenir debout et reste les fesses contre le bureau.
Je ne peux me retenir et je l'attrape, le plaque contre moi et nous nous roulons un patin d'anthologie. Je me fous de sentir nos jus collés nos abdos. Quand j'arrive à me détacher de lui, je l'emmÚne à la salle de bain et aprÚs une premiÚre douche destinée à évacuer nos spermatozoïdes, j'enduis de gel dépilatoire les zones à " imberbiser ".
Alors que nous nous séchons je lui propose de rester diner. Comme il réside chez ses parents, il me dit qu'il doit d'abord les avertir. Nous retournons au bureau et il les appelle. Quand il raccroche il me dit que c'est OK.
Il va pour se rhabiller. Je l'arrĂȘte et lui tend un shorty ADDICTED juste une taille en dessous et qui fait ressortir son paquet comme le rond de ses fesses. J'enfile mon ES et alors qu'il va pour mettre ses jeans par-dessus, je l'arrĂȘte et lui dit que cela suffit pour la maison. Nous montons au 4Ăšme. PH nous attendait avec un plateau apĂ©ro. Ludovic ne sait pas oĂč poser ses yeux. Il trouve la dĂ©co trĂšs " gay " mais apprĂ©cie les rĂ©fĂ©rences culturelles. Par contre il s'Ă©trangle quand il voit sortir de notre cuisine Ammed en shorty cuir. Sa bouche s'ouvre et je suis obligĂ© de lui remonter la mĂąchoire avec la main les yeux eux rentrant tout seuls dans leurs orbites.
PH lui demande si l'embauche s'était bien passée. Il se détourne d'Ammed et lui répond qu'il faut me le demander. Je dis alors à PH qu'il m'avait trouvé là un ange. A la lueur qui a dû passer dans mes yeux, PH a su qu'il serait pour nous plus qu'un Escort lambda (comme si j'en avais un seul de ce style !).
D'ailleurs il passe la soirée à mettre en valeur Ludovic. Comme il a pu le cÎtoyer quelques semaines, ils ont échangés pas mal de choses et ils me les partagent. Quand il vient l'heure de partir, je n'embrasse pas Ludovic par un baiser léger sur les lÚvres comme je le fais fréquemment avec mes escorts mais je lui roule une bonne pelle et dans l'oreille lui demande de rester cette nuit. Il me dit " et PH ?". Je me tourne vers ma moitié et lui demande s'il est d'accord. La réponse fuse, bien sûr !
Je le sens qui me teste en me disant que maintenant ça fait tard pour appeler ses parents. Ça me déçoit mais alors que je vais me rendre Ă  son argument, il finit sa phrase par un " mais pas trop pour demander Ă  mon frĂšre de les prĂ©venir ". Je lui saute au cou et lui dit d'appeler de suite.
Quelques minutes d'explications fraternelles plus tard, nous descendons passer notre premiĂšre nuit tous les trois.
PH m'a l'air aussi intĂ©ressĂ© que moi par sa trouvaille. Alors que nous batifolons, il me rappelle que c'est quand mĂȘme lui qui l'avait choisi et que oui il savait qu'il faisait entrer l'agneau dans la meute de loups.
Nous ne baisons pas à trois, nous faisons l'amour entre nous. Ludovic se place comme un trait d'union entre nous et profite de nos deux corps enfiévrés. Je fais connaissance avec sa fougue et ses talents d'enculeur. Il me prend aprÚs PH et leurs queues relativement semblables me font grimper aux rideaux. Mais c'est dans le cul du petit nouveau que j'éjacule alors qu'il se fait défoncer la gorge par PH.
Sommeil court mais réparateur, petit déjeuner roboratif et nous nous quittons.
Sms dans la journée de Ludovic qui me demande de passer dans un bar les rejoindre PH et lui aprÚs les cours.
Je les rejoints alors qu'ils sont dĂ©jĂ  attablĂ©s devant un demi. Ludovic me dit qu'il nous a invitĂ©s pour qu'on rencontre son frĂšre. Je suis un peu surpris mais il me rassure et me dit que c'est son confident et que c'est grĂące Ă  lui qu'il s'est acceptĂ© homo mĂȘme si lui est un pur hĂ©tĂ©ro. Avant qu'il n'arrive, il nous explique qu'il a 1 an de plus que lui, qu'il est en Ă©cole d'agronomie. Qu'il est son confident depuis sa premiĂšre branlette jusqu'Ă  sa prise de conscience de son homosexualitĂ©.
Quand il arrive, nous voyons se prĂ©senter devant nous un Ludovic bis les cheveux courts et une barbe de 3 jours. Peut-ĂȘtre un peu plus grand mais assis je en suis pas sĂ»r. Il embrasse son frĂšre et s'assoit. Il commande un demi comme nous. Pendant qu'il attend, Ludovic nous prĂ©sente comme ses nouveaux amis et moi comme aussi son employeur. Comme je m'en Ă©tonne, Ludovic me dit qu'il ne cachait rien Ă  son frĂšre. OK donc notre baise d'hier aussi. Du coup je me tourne vers CĂŽme et lui demande carrĂ©ment comment son frĂšre avait trouvĂ© notre petite baise Ă  trois de la veille.
Si j'avais pensé le mettre mal à l'aise, j'en aurais été pour mes frais. Il me sourit et me dit que son frÚre, avec qui il avait déjeuné, lui avait juste dis qu'il avait passé une soirée fantastique aprÚs de deux amis qui l'avaient aimé comme jamais cela lui était arrivé.
Je me retrouve un peu con à avoir essayé de prendre leur relation de haut !
Pirouette : je lui demande s'il ne voudrait pas bosser aussi pour ma boite puisque je cherche aussi des Escorts hétéros. Là, c'est moi qui le surprends. Je fais un clin d'oeil à Ludovic et sirote ma biÚre en attendant une réaction.
Ça ne tarde pas. Il me dit que de toutes les maniĂšres, il a pas ce qu'il faut pour ça. Je lui demande ce qu'il entend par lĂ . Il me dit qu'il n'est pas trĂšs Ă  l'aise en sociĂ©tĂ©, qu'il aime les meufs c'est sĂ»r mais qu'il doit falloir des compĂ©tences particuliĂšres pour ce taf.
Je note qu'il n'a pas dit non mais juste qu'il a avancé des arguments le discréditant.
Vu son physique j'aimerai bien l'avoir dans mon Ă©curie. Je connais quelques clientes qui en seront folles.
Je laisse tomber le sujet pour le moment. Il nous dit que depuis qu'ils sont petits, il a toujours été le confident et protecteur de Ludovic. PH s'en étonne étant donné qu'avec sa pratique de la boxe, il pensait notre Ludovic à l'abri des railleries et autres attaques homophobes. Là, CÎme nous dévoile un bout sur le caractÚre de notre nouvel amour, il craint de faire mal si jamais il se laissait aller à taper un de ses détracteurs.
Ok, ça je peux y remĂ©dier. Nos cours de self dĂ©fense, Krav Maga mĂątinĂ© de commando, devrait lui apprendre Ă  gĂ©rer ça. J'en fais part Ă  CĂŽme qui me dit ĂȘtre lui, trĂšs intĂ©ressĂ© par ça.
En plaisantant, je lui dis qu'il faut ĂȘtre Escort chez moi pour pouvoir en bĂ©nĂ©ficier. Il me rĂ©pond que c'est peut ĂȘtre ça qui va le dĂ©cider. Et moi d'ajouter que le salaire aussi peu aider Ă  la dĂ©cision. Il avoue que oui, pour aider ses parents qui les ont tous les trois (frĂšres) Ă  charge dans un moment ou les revenus des agriculteurs ne sont pas mirobolants.
Il me demande si le chiffre que j'ai donné la veille à Ludovic était la réalité ou si j'avais dit ça juste pour se faire son frÚre.
Il est gentil mais il m'énerve un peu à me chercher comme ça. PH s'en aperçoit et temporise. Il garantit que c'est un chiffre moyen, sachant que l'introduction sur le " marché " rapportait un bonus plus qu'intéressant.
Quand nous nous sĂ©parons, CĂŽme me dit ĂȘtre rassurĂ© de nous avoir rencontrĂ©s. Il a plusieurs fois Ă©tĂ© tĂ©moins de rĂ©flexes de ma part prouvant mon attachement rĂ©el bien que rĂ©cent Ă  Ludovic.
Il me demande s'il peut me rappeler concernant l'offre que je lui ai faite. Je l'attrape par le cou, lui claque deux bises et lui confirme que j'attends son coup de fil avec impatience.
Ils nous quittent tous les deux et mĂȘme si j'ai PH avec moi toute la soirĂ©e, je ne peux m'empĂȘcher de me demander ce que fait Ludovic !
PH débriefe notre rencontre. Il m'assure qu'on a CÎme dans la poche. Comme je m'en étonne n'ayant retenu que les piques de ce dernier, PH m'assure que c'était juste un réflexe de protection de sa part. Il me parie qu'avant deux jours, je recevrai un appel de sa part.
Jardinier
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globmedia · 4 months ago
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MMA
Francis Ngannou terrasse Renan Ferreira
Le boxeur camerounais de la catégorie poids lourd, Francis Ngannou met KO dÚs le premier round Renan Ferreira dÚs le premier round lors de son retour en MMA.
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AprĂšs prĂšs de 3 ans d’absence dans sa discipline de prĂ©dilection, le camerounais Francis Ngannou est remontĂ© dans l’octogone. OpposĂ© Ă  Renan Ferreira en main event du PFL Super Fights, dans « une bataille des gĂ©ants », le Camerounais Ă  l’opportunitĂ© de prendre la ceinture des poids lourds au BrĂ©silien, pour son grand retour. Le Camerounais est le nouveau champion poids lourds du PFL et se relance aprĂšs sa dĂ©faite en boxe contre Anthony Joshua en mars.
Le champion du monde dédie sa victoire à son fils Kobe décédé à 15 mois
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L'ancien champion UFC est le premier à réduire la distance et esquive de peu un crochet large envoyé pleine puissance. Le reste appartient aux grands de ce sport. Comme face à Ciryl Gane, Ngannou surprend, et change de niveau. Il lutte, amÚne au sol et passe en demi-garde. Ferreira est muselé, incapable de se mouvoir. Un léger frisson survient ensuite avec une tentative d'étranglement en triangle du Brésilien. Le Camerounais en sort et profite d'un instant de confusion pour mettre son physique à profit. Une dizaine de coups surpuissants plus tard, le problÚme n'en est plus un. Inerte, couché, Renan Ferreira est K.-O. L'arbitre Dan Miragliotta s'interpose, un peu tard. Ngannou s'enquiert de la santé de son adversaire et fond en larmes pendant de longues minutes. Celle-là, elle est pour Kobe, son fils. Reviendra-t-il dans l'octogone ? A 38 ans, une seule chose est sûre : avec lui, rien n'est impossible.
Les félicitations de Kylian Mbappé à Ngannou
Buteur samedi lors de la victoire du Real Madrid sur le terrain du Celta Vigo (2-1) en Liga, Kylian Mbappé a ensuite pris le temps d'adresser un message de félicitations à Francis Ngannou pour son retour gagnant dans l'octogone.
« Le continent !!!! Respect mon frÚre Francis Ngannou. Pour Kobe. », a écrit en story Instagram le capitaine de l'équipe de France.
Panisse Istral FOTSO
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savoir-entreprendre · 6 months ago
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Les Jeux Olympiques sont le summum de la compĂ©tition sportive, rassemblant les meilleurs athlĂštes du monde entier. En plus de la gloire et des mĂ©dailles, ces athlĂštes bĂ©nĂ©ficient Ă©galement de sĂ©ances d'entraĂźnement intensives qui brĂ»lent un nombre incroyable de calories. Si vous vous demandez quels sports olympiques sont les plus efficaces pour brĂ»ler des calories, cet article est pour vous. La Natation La natation est souvent considĂ©rĂ©e comme l'un des sports les plus complets. Non seulement elle sollicite presque tous les muscles du corps, mais elle est Ă©galement excellente pour l'endurance cardiovasculaire. Selon des Ă©tudes, une heure de natation peut brĂ»ler entre 500 et 700 calories, en fonction de l'intensitĂ© et du style de nage. L'Aviron L'aviron est un autre sport olympique qui sollicite l'ensemble du corps. Ce sport exige une coordination parfaite entre les bras, les jambes et le tronc. Une heure d'aviron intense peut brĂ»ler jusqu'Ă  600-800 calories, faisant de ce sport une option fantastique pour ceux qui cherchent Ă  amĂ©liorer leur forme physique et Ă  perdre du poids. La Course Ă  Pied La course Ă  pied, en particulier les Ă©preuves de fond comme le marathon, est l'une des activitĂ©s les plus connues pour la combustion des calories. En courant Ă  une allure modĂ©rĂ©e, un athlĂšte peut brĂ»ler entre 600 et 800 calories par heure. Pour les courses plus rapides ou les sprints, ce chiffre peut mĂȘme augmenter. Le Cyclisme Le cyclisme est un sport d'endurance par excellence. Les cyclistes olympiques, que ce soit sur route ou sur piste, peuvent brĂ»ler entre 500 et 1000 calories par heure, selon l'intensitĂ© de l'effort. Le cyclisme sollicite principalement les muscles des jambes, mais aussi les abdominaux et le dos. La Boxe La boxe est l'un des sports les plus exigeants physiquement. Les boxeurs doivent allier force, vitesse, agilitĂ© et endurance. Une heure de boxe peut brĂ»ler entre 700 et 900 calories, ce qui en fait l'un des sports olympiques les plus efficaces pour brĂ»ler des calories. Le Ski de Fond Le ski de fond est une discipline olympique qui combine force musculaire et endurance cardiovasculaire. En fonction de l'intensitĂ© et du terrain, une heure de ski de fond peut brĂ»ler entre 500 et 850 calories. Ce sport est particuliĂšrement efficace car il sollicite Ă  la fois le haut et le bas du corps. L'Escalade Sportive Nouvellement ajoutĂ©e aux Jeux Olympiques, l'escalade sportive est une activitĂ© qui demande une force incroyable et une grande endurance. Les grimpeurs peuvent brĂ»ler jusqu'Ă  700 calories par heure en escaladant, en fonction de la difficultĂ© de la voie et de l'intensitĂ© de l'effort. Les sports olympiques ne sont pas seulement un spectacle incroyable de compĂ©tence et de dĂ©vouement; ils offrent Ă©galement des sĂ©ances d'entraĂźnement intenses qui brĂ»lent un nombre impressionnant de calories. Que vous soyez un amateur de natation, de course Ă  pied, ou mĂȘme de boxe, il existe un sport olympique qui peut vous aider Ă  atteindre vos objectifs de fitness tout en vous amusant. Alors, pourquoi ne pas essayer l'un de ces sports et voir combien de calories vous pouvez brĂ»ler? https://savoirentreprendre.net/?p=15365&feed_id=11018
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devenirmilliardaire · 7 months ago
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Qui est Sharaputdin Magomedov, le pirate Ă  un Ɠil qui terrorise l'UFC ? Sharaputdin Magomedov, surnommĂ© le "Pirate Ă  un ƒil", est rapidement devenu une figure emblĂ©matique de l'Ultimate Fighting Championship (UFC). Originaire du Daghestan, une rĂ©gion reconnue pour ses combattants d'Ă©lite, Magomedov s'est forgĂ© une rĂ©putation redoutable grĂące Ă  ses compĂ©tences exceptionnelles en arts martiaux mixtes (MMA). MalgrĂ© la perte d'un Ɠil lors d'un accident tragique, il a surmontĂ© cet obstacle pour devenir l'un des combattants les plus craints de l'UFC. Son surnom de "Pirate" est un hommage Ă  sa rĂ©silience et Ă  sa capacitĂ© Ă  transformer une adversitĂ© en force, attirant l'attention de millions de fans Ă  travers le monde. Sharaputdin Magomedov, le pirate Ă  un Ɠil qui terrorise l'UFC La nouvelle star du MMA Le parcours de Sharaputdin Magomedov dans l'UFC est marquĂ© par une sĂ©rie de victoires impressionnantes. Ses techniques de combat combinent une maĂźtrise parfaite du grappling, de la lutte et du striking, le rendant imprĂ©visible et extrĂȘmement dangereux dans l'octogone. bilan de la riposte au Covid-19, un mois aprĂšs son apparition au SĂ©nĂ©gal Sa dĂ©termination sans faille et sa capacitĂ© Ă  s'adapter Ă  ses adversaires lui ont permis de grimper rapidement les Ă©chelons de l'UFC, terrorisant ses adversaires avec sa prĂ©sence imposante et son style de combat agressif. Les fans et les analystes de l'UFC reconnaissent en lui un potentiel champion, capable de dominer sa catĂ©gorie de poids grĂące Ă  sa stratĂ©gie et Ă  sa force brute. La nouvelle star du MMA Le PrĂ©sident français sera au SĂ©nĂ©gal au mois de fĂ©vrier prochain. La visite durera trois jours. Emmanuel Macron arrive Ă  Dakar le 1er au soir. Selon Jeune Afrique, qui dĂ©taille son programme, il sera reçu le lendemain par son homologue sĂ©nĂ©galais. Il est invaincu, il est borgne et il part Ă  la conquĂȘte de l'UFC. Avec son physique atypique et ses KO impressionnants, Sharaputdin Magomedov est la nouvelle star du MMA. Ses dĂ©buts Ă  l'UFC Ses dĂ©buts Ă  l'UFC Le 21 octobre 2023, Sharaputdin Magomedov disputait son premier combat Ă  l'UFC. Avec un record de 12 victoires en autant de combats, celui qu'on surnomme 'Bullet' Ă©tait attendu
 et il a rĂ©pondu prĂ©sent. Une intensitĂ© exceptionnelle Une intensitĂ© exceptionnelle OpposĂ© Ă  Bruno Silva (23-11), le 'Pirate' n'a pas tremblĂ© et a Ă©touffĂ© son adversaire de coups pendant trois rounds. Impressionnant de volume, il a enchaĂźnĂ© les kicks, les jabs, les coups de poings avec une intensitĂ© folle, s'imposant par dĂ©cision unanime, selon La Sueur. Trocoli n'en pouvait plus Trocoli n'en pouvait plus Le 22 juin, le Daghestanais a livrĂ© une performance similaire contre Antonio Trocoli (12-4). AprĂšs l'avoir inondĂ© pendant trois rounds, il a mis TKO son adversaire Ă  deux minutes de la fin du combat, enchaĂźnant sa deuxiĂšme victoire Ă  l'UFC et sa 13ᔉ en autant de combat. Objectif top 10 des middleweight Objectif top 10 des middleweight Si cette victoire ne permet pas au 'Pirate' d'intĂ©grer le top 15 de la division des poids moyens de l'UFC (-84kg), dominĂ©e par Dricus du Plessis, elle lui permet toutefois de s'ouvrir les portes d'un superfight. Bo Nickal veut son combat Bo Nickal veut son combat En effet, l'AmĂ©ricain Bo Nickal, invaincu en six combats, a call-out Magomedov aprĂšs sa victoire. Si aucun des deux hommes n'est dans le top 15, ce combat opposerait deux des plus gros prospects de l'UFC. Un striker d'Ă©lite Un striker d'Ă©lite Contrairement Ă  Nickal, qui est un excellent lutteur, Sharaputdin Magomedov est un striker d'Ă©lite. Un style de combat qui peut paraĂźtre assez Ă©tonnant quand on sait qu'il vient du Daghestan, terre de lutteurs (Nurmagomedov, Makhachev
). Boxeur de profession Boxeur de profession Champion national de muay-thaĂŻ, Magomedov a dĂ©butĂ© les sports de combat avec la boxe. C'est en 2017, Ă  l'Ăąge de 23 ans, qu'il commence le MMA. Un phĂ©nomĂšne du MMA Un phĂ©nomĂšne du MMA AprĂšs avoir enchaĂźnĂ© trois victoires consĂ©cutives en 2018, il intĂšgre l'organisation de l'AMC Fight en 2021.
Il enchaĂźne trois victoires par KO avant de se tourner vers le RCC en 2022, oĂč il enchaĂźne deux victoires en huit jours, dont un KO infligĂ© aprĂšs huit secondes de combat, selon ActuMMA. Qui sera le prochain ? Qui sera le prochain Cette derniĂšre victoire et son physique atypique (borgne depuis 2016), intĂ©resse alors l'UFC qui dĂ©cide de le signer en 2023. Depuis, le Daghestanais poursuit son ascension chez les poids moyens : qui sera le prochain ? Une lĂ©gende en devenir dans le monde des arts martiaux mixtes Contes et lĂ©gendes du continent En dehors de l'octogone, Sharaputdin Magomedov est Ă©galement connu pour son engagement communautaire et son rĂŽle de modĂšle pour les jeunes athlĂštes du Daghestan. Il utilise sa notoriĂ©tĂ© pour inspirer et motiver la prochaine gĂ©nĂ©ration de combattants, soulignant l'importance de la discipline, du travail acharnĂ© et de la persĂ©vĂ©rance. Sharaputdin Magomedov, le pirate Ă  un Ɠil qui terrorise l'UFC →A lire aussi Des arts martiaux au microphone : Voici l'histoire de Julianna Peña Son histoire est un tĂ©moignage puissant de rĂ©silience et de courage, et il continue de captiver les fans de l'UFC non seulement par ses performances spectaculaires, mais aussi par sa personnalitĂ© charismatique et sa dĂ©termination inĂ©branlable Ă  surmonter les dĂ©fis. Sharaputdin Magomedov, le pirate Ă  un Ɠil, est plus qu'un simple combattant; il est une lĂ©gende en devenir dans le monde des arts martiaux mixtes
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greendaxcat · 8 months ago
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Avant de ramener un nouvel animal de compagnie Ă  la maison, vous devez comprendre quelles races de chiens vous aimez le plus
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Il est Ă©galement important de dĂ©cider des objectifs de l'achat d'un animal : pour les enfants, la sĂ©curitĂ© Ă  domicile, les expositions ou tout simplement un ami qui vous sauvera de la solitude.  AprĂšs tout, toutes les races de chiens ont leur propre caractĂšre.  Certains seront moins dĂ©vouĂ©s au propriĂ©taire, d'autres plus, certains super actifs, d'autres calmes.  De plus, certains types de races nĂ©cessitent des soins particuliers.  Par exemple, certains ont besoin d'ĂȘtre peignĂ©s et coupĂ©s, d'autres ont besoin d'un rĂ©gime alimentaire particulier et d'autres encore ont besoin d'une activitĂ© physique constante.
 Quelles races de chiens existe-t-il ?
 Il est difficile de rĂ©pertorier toutes les races de chiens.  Selon des estimations prĂ©liminaires, il y en a actuellement environ 500 dans le monde qui ont Ă©tĂ© Ă©levĂ©s Ă  des fins spĂ©cifiques.  Classiquement, ils peuvent ĂȘtre divisĂ©s en plusieurs types.  Quelles sont les catĂ©gories : gardien, sĂ©curitĂ©, chasse, berger, dĂ©coratif et compagnons.  Il convient de noter que tous les chiens d'assistance - boxeurs, chiens de berger - ont besoin d'une activitĂ© physique constante.  Les grands, comme les Saint-Bernard et les Dogues Allemands, se sentent assez mal Ă  l'aise dans les petits appartements.  Ils mangent aussi beaucoup.  Mais les petites races de chiens (pĂ©kinois, terrier, pinscher) s'intĂšgrent parfaitement dans les petits appartements.  Ils n'ont pas besoin de beaucoup de nourriture et de longues promenades, et ils sont Ă©galement trĂšs faciles Ă  transporter.
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katakaal · 1 year ago
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Quel est le sport le plus Ă©puisant au monde ? La boxe occupe la premiĂšre place en tant que sport le plus recherchĂ© sur la liste d’ESPN. Lorsque les deux boxeurs entrent sur le ring, ils doivent ĂȘtre en bonne condition physique. Soyez assez fort pour supporter quatre Ă  quinze coups. Voici ce que dit une recherche ! Le sport le plus Ă©puisant au monde ? avoir du cardio sans courir ConsidĂ©rĂ© comme l’un des meilleurs joueurs de sa gĂ©nĂ©ration et accessoirement l’un des sportifs les mieux payĂ©s au monde, l’AmĂ©ricain a Ă©tĂ© contraint de prendre sa retraite la saison derniĂšre, Ă  seulement 31 ans. En cause ? Les blessures frĂ©quemment subies Ă  force d’impacts des dĂ©fenses adverses. Et dites-vous bien qu’un quarterback, certes leader offensif de son Ă©quipe, n’est clairement pas le joueur le plus heurtĂ© dans ce sport chĂ©ri par les Nord-AmĂ©ricains. le sport le plus Ă©puisant au monde A lire aussi Voici les 10 meilleurs sports qui contribuent Ă  la libido (Étude) ExtĂ©rieurement, la course Ă  pied ou le vĂ©lo sont considĂ©rĂ©s comme les meilleurs sports pour amĂ©liorer l’endurance et la capacitĂ© respiratoire. Vous pouvez Ă©galement aller nager, ce qui stimulera Ă©galement la perte de poids et le tonus musculaire. La recherche d’ESPN La recherche d’ESPN Selon une Ă©tude promue par ESPN, une chaĂźne de tĂ©lĂ©vision amĂ©ricaine entiĂšrement dĂ©diĂ©e au sport, la discipline qui implique un plus grand effort global de notre corps, Ă©tant donc la plus fatigante de tous les temps (ainsi que l’une de celles qui comporte le plus grand risque de blessures graves), est la boxe. Les critĂšres de l’étude Les critĂšres de l’étude L’étude a pris en compte, pour chaque discipline analysĂ©e, de multiples paramĂštres dont la force, l’endurance, la vitesse, l’agilitĂ© et la coordination nĂ©cessaires Ă  la course, Ă  mettre en relation avec la dĂ©pense moyenne d’énergie, tant physique que mentale. Un effort partagĂ© Un effort partagĂ© ImmĂ©diatement aprĂšs la boxe, dans le classement des disciplines « les plus difficiles » Ă  pratiquer, deux sports collectifs ont Ă©tĂ© positionnĂ©s, dans lesquels la fatigue, Ă©tant « partagĂ©e », est cependant moins impactante d’un point de vue psychologique. Sports d’équipe « amĂ©ricains » Sports d’équipe « amĂ©ricains » Il s’agit de lahockey sur glace, en deuxiĂšme place sur le podium, et de l' football amĂ©ricaine, en troisiĂšme place. Le golf Golfe de GuinĂ©e des pirates toujours plus professionnels Il est primordial d’enlever l’étiquette qui colle Ă  la peau des golfeurs. Les meilleurs du monde sont Ă  l’image de joueurs comme Dustin Johnson, Brooks Koepka ou Bryson Dechambeau, de vĂ©ritables athlĂštes. Mais bien sĂ»r qu’exceptĂ© la puissance nĂ©cessaire Ă  chaque coup de driver et les nombreux kilomĂštres parcourus Ă  chaque compĂ©tition, le golf est un combat mental de chaque instant. La concentration est physiquement Ă©puisante et il est rapidement possible de connaĂźtre une descente aux enfers, ne serait-ce que sur un trou. Le handball QG des Lions en image, Coulisses du mondial « Duhail Handball Arena », quelle merveille (photos) 1 Des frĂ©quences cardiaques Ă©levĂ©es et des impacts importants pour ce qui est vraisemblablement le sport collectif indoor le plus dur Ă  supporter physiquement. Si dans les gymnases on ne plaque pas, au contraire du rugby, on est sans cesse heurtĂ© en extension lorsque les pieds sont loin de toucher le sol. La prĂ©paration physique y est donc vitale, notamment au niveau des muscles stabilisateurs qui, pour les handballeurs, reprĂ©sentent bien plus que le simple attrait de gainage ou d’abdominaux. Le rugby Le rugby Ya-t-il besoin de dĂ©finir l’aspect physique d’un tel sport ? Un tel sport oĂč des sprints de 100 mĂštres peuvent ĂȘtre stoppĂ©s par des impacts violents et oĂč, dĂ©blayages et autres plaquages offensifs, continuent de susciter parfois dĂ©bat. Si Ă  une Ă©poque, on invitait tous les morphotypes Ă  pratiquer le sport du ballon ovale, la vĂ©ritĂ© s’en Ă©chappe ces derniĂšres annĂ©es, notamment au niveau professionnel.
A lire aussi Le SĂ©nĂ©gal, candidat Ă  l’organisation de la CAN 2027 (Ministre des Sports) Les piliers ont depuis longtemps dit au revoir Ă  leurs bourrelets, remplacĂ©s par d’importantes ceintures abdominales quand les lignes arriĂšre dĂ©passent allĂšgrement les 100 kilos. Le ski de fond Les chasseurs de vinyles Ă  la recherche de la bonne occasion au Salon du vintage Ă  Bordeaux, le 10 mars. David Pauget / RFI C’est une douleur qui ne peut ĂȘtre connue que par les cyclistes. Ce manque d’air associĂ© aux frĂ©quences bien trop Ă©levĂ©es des battements du cƓur. Aucun autre sport ne peut d’ailleurs, amener le cƓur vers des frĂ©quences si Ă©levĂ©es. Équivalent physique sur la neige de la course Ă  pied et du cyclisme, le ski de fond apporte une autre dimension avec la douleur connue Ă  cause de tempĂ©ratures souvent glaciales lorsqu’il est pratiquĂ©. Bien que physiquement exigeant, le ski de fond reste un sport des plus agrĂ©ables, accessible pour beaucoup, Ă  son rythme. Le demi-fond en athlĂ©tisme avoir du cardio sans courir À l’image de la natation qui est peut-ĂȘtre le sport le plus dur au niveau de l’entraĂźnement et mentalement, l’athlĂ©tisme est, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, usant pour les athlĂštes. Le demi-fond est probablement la catĂ©gorie d’épreuves la plus compliquĂ©e dans la tĂȘte, dans les jambes et dans le cƓur. Les 400 et 800 mĂštres sont rĂ©putĂ©s pour ĂȘtre des repaires de presque masochistes de la souffrance sportive. Quand un journaliste avait exposĂ© son envie Ă  la lĂ©gende Usain Bolt de le voir Ă©voluer et probablement performer sur 400 mĂštres, le dĂ©tenteur des records mondiaux du 100 et 200 mĂštres avait tout simplement rĂ©pondu : « le 400 mĂštres ? C’est beaucoup trop dur ». Cela vous place l’enfer d’une discipline.
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belifii · 1 year ago
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Quel est le sport le plus Ă©puisant au monde ? La boxe occupe la premiĂšre place en tant que sport le plus recherchĂ© sur la liste d’ESPN. Lorsque les deux boxeurs entrent sur le ring, ils doivent ĂȘtre en bonne condition physique. Soyez assez fort pour supporter quatre Ă  quinze coups. Voici ce que dit une recherche ! Le sport le plus Ă©puisant au monde ? avoir du cardio sans courir ConsidĂ©rĂ© comme l’un des meilleurs joueurs de sa gĂ©nĂ©ration et accessoirement l’un des sportifs les mieux payĂ©s au monde, l’AmĂ©ricain a Ă©tĂ© contraint de prendre sa retraite la saison derniĂšre, Ă  seulement 31 ans. En cause ? Les blessures frĂ©quemment subies Ă  force d’impacts des dĂ©fenses adverses. Et dites-vous bien qu’un quarterback, certes leader offensif de son Ă©quipe, n’est clairement pas le joueur le plus heurtĂ© dans ce sport chĂ©ri par les Nord-AmĂ©ricains. le sport le plus Ă©puisant au monde A lire aussi Voici les 10 meilleurs sports qui contribuent Ă  la libido (Étude) ExtĂ©rieurement, la course Ă  pied ou le vĂ©lo sont considĂ©rĂ©s comme les meilleurs sports pour amĂ©liorer l’endurance et la capacitĂ© respiratoire. Vous pouvez Ă©galement aller nager, ce qui stimulera Ă©galement la perte de poids et le tonus musculaire. La recherche d’ESPN La recherche d’ESPN Selon une Ă©tude promue par ESPN, une chaĂźne de tĂ©lĂ©vision amĂ©ricaine entiĂšrement dĂ©diĂ©e au sport, la discipline qui implique un plus grand effort global de notre corps, Ă©tant donc la plus fatigante de tous les temps (ainsi que l’une de celles qui comporte le plus grand risque de blessures graves), est la boxe. Les critĂšres de l’étude Les critĂšres de l’étude L’étude a pris en compte, pour chaque discipline analysĂ©e, de multiples paramĂštres dont la force, l’endurance, la vitesse, l’agilitĂ© et la coordination nĂ©cessaires Ă  la course, Ă  mettre en relation avec la dĂ©pense moyenne d’énergie, tant physique que mentale. Un effort partagĂ© Un effort partagĂ© ImmĂ©diatement aprĂšs la boxe, dans le classement des disciplines « les plus difficiles » Ă  pratiquer, deux sports collectifs ont Ă©tĂ© positionnĂ©s, dans lesquels la fatigue, Ă©tant « partagĂ©e », est cependant moins impactante d’un point de vue psychologique. Sports d’équipe « amĂ©ricains » Sports d’équipe « amĂ©ricains » Il s’agit de lahockey sur glace, en deuxiĂšme place sur le podium, et de l' football amĂ©ricaine, en troisiĂšme place. Le golf Golfe de GuinĂ©e des pirates toujours plus professionnels Il est primordial d’enlever l’étiquette qui colle Ă  la peau des golfeurs. Les meilleurs du monde sont Ă  l’image de joueurs comme Dustin Johnson, Brooks Koepka ou Bryson Dechambeau, de vĂ©ritables athlĂštes. Mais bien sĂ»r qu’exceptĂ© la puissance nĂ©cessaire Ă  chaque coup de driver et les nombreux kilomĂštres parcourus Ă  chaque compĂ©tition, le golf est un combat mental de chaque instant. La concentration est physiquement Ă©puisante et il est rapidement possible de connaĂźtre une descente aux enfers, ne serait-ce que sur un trou. Le handball QG des Lions en image, Coulisses du mondial « Duhail Handball Arena », quelle merveille (photos) 1 Des frĂ©quences cardiaques Ă©levĂ©es et des impacts importants pour ce qui est vraisemblablement le sport collectif indoor le plus dur Ă  supporter physiquement. Si dans les gymnases on ne plaque pas, au contraire du rugby, on est sans cesse heurtĂ© en extension lorsque les pieds sont loin de toucher le sol. La prĂ©paration physique y est donc vitale, notamment au niveau des muscles stabilisateurs qui, pour les handballeurs, reprĂ©sentent bien plus que le simple attrait de gainage ou d’abdominaux. Le rugby Le rugby Ya-t-il besoin de dĂ©finir l’aspect physique d’un tel sport ? Un tel sport oĂč des sprints de 100 mĂštres peuvent ĂȘtre stoppĂ©s par des impacts violents et oĂč, dĂ©blayages et autres plaquages offensifs, continuent de susciter parfois dĂ©bat. Si Ă  une Ă©poque, on invitait tous les morphotypes Ă  pratiquer le sport du ballon ovale, la vĂ©ritĂ© s’en Ă©chappe ces derniĂšres annĂ©es, notamment au niveau professionnel.
A lire aussi Le SĂ©nĂ©gal, candidat Ă  l’organisation de la CAN 2027 (Ministre des Sports) Les piliers ont depuis longtemps dit au revoir Ă  leurs bourrelets, remplacĂ©s par d’importantes ceintures abdominales quand les lignes arriĂšre dĂ©passent allĂšgrement les 100 kilos. Le ski de fond Les chasseurs de vinyles Ă  la recherche de la bonne occasion au Salon du vintage Ă  Bordeaux, le 10 mars. David Pauget / RFI C’est une douleur qui ne peut ĂȘtre connue que par les cyclistes. Ce manque d’air associĂ© aux frĂ©quences bien trop Ă©levĂ©es des battements du cƓur. Aucun autre sport ne peut d’ailleurs, amener le cƓur vers des frĂ©quences si Ă©levĂ©es. Équivalent physique sur la neige de la course Ă  pied et du cyclisme, le ski de fond apporte une autre dimension avec la douleur connue Ă  cause de tempĂ©ratures souvent glaciales lorsqu’il est pratiquĂ©. Bien que physiquement exigeant, le ski de fond reste un sport des plus agrĂ©ables, accessible pour beaucoup, Ă  son rythme. Le demi-fond en athlĂ©tisme avoir du cardio sans courir À l’image de la natation qui est peut-ĂȘtre le sport le plus dur au niveau de l’entraĂźnement et mentalement, l’athlĂ©tisme est, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, usant pour les athlĂštes. Le demi-fond est probablement la catĂ©gorie d’épreuves la plus compliquĂ©e dans la tĂȘte, dans les jambes et dans le cƓur. Les 400 et 800 mĂštres sont rĂ©putĂ©s pour ĂȘtre des repaires de presque masochistes de la souffrance sportive. Quand un journaliste avait exposĂ© son envie Ă  la lĂ©gende Usain Bolt de le voir Ă©voluer et probablement performer sur 400 mĂštres, le dĂ©tenteur des records mondiaux du 100 et 200 mĂštres avait tout simplement rĂ©pondu : « le 400 mĂštres ? C’est beaucoup trop dur ». Cela vous place l’enfer d’une discipline.
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ka9oukeuktakal · 1 year ago
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Quel est le sport le plus Ă©puisant au monde ? La boxe occupe la premiĂšre place en tant que sport le plus recherchĂ© sur la liste d’ESPN. Lorsque les deux boxeurs entrent sur le ring, ils doivent ĂȘtre en bonne condition physique. Soyez assez fort pour supporter quatre Ă  quinze coups. Voici ce que dit une recherche ! Le sport le plus Ă©puisant au monde ? avoir du cardio sans courir ConsidĂ©rĂ© comme l’un des meilleurs joueurs de sa gĂ©nĂ©ration et accessoirement l’un des sportifs les mieux payĂ©s au monde, l’AmĂ©ricain a Ă©tĂ© contraint de prendre sa retraite la saison derniĂšre, Ă  seulement 31 ans. En cause ? Les blessures frĂ©quemment subies Ă  force d’impacts des dĂ©fenses adverses. Et dites-vous bien qu’un quarterback, certes leader offensif de son Ă©quipe, n’est clairement pas le joueur le plus heurtĂ© dans ce sport chĂ©ri par les Nord-AmĂ©ricains. le sport le plus Ă©puisant au monde A lire aussi Voici les 10 meilleurs sports qui contribuent Ă  la libido (Étude) ExtĂ©rieurement, la course Ă  pied ou le vĂ©lo sont considĂ©rĂ©s comme les meilleurs sports pour amĂ©liorer l’endurance et la capacitĂ© respiratoire. Vous pouvez Ă©galement aller nager, ce qui stimulera Ă©galement la perte de poids et le tonus musculaire. La recherche d’ESPN La recherche d’ESPN Selon une Ă©tude promue par ESPN, une chaĂźne de tĂ©lĂ©vision amĂ©ricaine entiĂšrement dĂ©diĂ©e au sport, la discipline qui implique un plus grand effort global de notre corps, Ă©tant donc la plus fatigante de tous les temps (ainsi que l’une de celles qui comporte le plus grand risque de blessures graves), est la boxe. Les critĂšres de l’étude Les critĂšres de l’étude L’étude a pris en compte, pour chaque discipline analysĂ©e, de multiples paramĂštres dont la force, l’endurance, la vitesse, l’agilitĂ© et la coordination nĂ©cessaires Ă  la course, Ă  mettre en relation avec la dĂ©pense moyenne d’énergie, tant physique que mentale. Un effort partagĂ© Un effort partagĂ© ImmĂ©diatement aprĂšs la boxe, dans le classement des disciplines « les plus difficiles » Ă  pratiquer, deux sports collectifs ont Ă©tĂ© positionnĂ©s, dans lesquels la fatigue, Ă©tant « partagĂ©e », est cependant moins impactante d’un point de vue psychologique. Sports d’équipe « amĂ©ricains » Sports d’équipe « amĂ©ricains » Il s’agit de lahockey sur glace, en deuxiĂšme place sur le podium, et de l' football amĂ©ricaine, en troisiĂšme place. Le golf Golfe de GuinĂ©e des pirates toujours plus professionnels Il est primordial d’enlever l’étiquette qui colle Ă  la peau des golfeurs. Les meilleurs du monde sont Ă  l’image de joueurs comme Dustin Johnson, Brooks Koepka ou Bryson Dechambeau, de vĂ©ritables athlĂštes. Mais bien sĂ»r qu’exceptĂ© la puissance nĂ©cessaire Ă  chaque coup de driver et les nombreux kilomĂštres parcourus Ă  chaque compĂ©tition, le golf est un combat mental de chaque instant. La concentration est physiquement Ă©puisante et il est rapidement possible de connaĂźtre une descente aux enfers, ne serait-ce que sur un trou. Le handball QG des Lions en image, Coulisses du mondial « Duhail Handball Arena », quelle merveille (photos) 1 Des frĂ©quences cardiaques Ă©levĂ©es et des impacts importants pour ce qui est vraisemblablement le sport collectif indoor le plus dur Ă  supporter physiquement. Si dans les gymnases on ne plaque pas, au contraire du rugby, on est sans cesse heurtĂ© en extension lorsque les pieds sont loin de toucher le sol. La prĂ©paration physique y est donc vitale, notamment au niveau des muscles stabilisateurs qui, pour les handballeurs, reprĂ©sentent bien plus que le simple attrait de gainage ou d’abdominaux. Le rugby Le rugby Ya-t-il besoin de dĂ©finir l’aspect physique d’un tel sport ? Un tel sport oĂč des sprints de 100 mĂštres peuvent ĂȘtre stoppĂ©s par des impacts violents et oĂč, dĂ©blayages et autres plaquages offensifs, continuent de susciter parfois dĂ©bat. Si Ă  une Ă©poque, on invitait tous les morphotypes Ă  pratiquer le sport du ballon ovale, la vĂ©ritĂ© s’en Ă©chappe ces derniĂšres annĂ©es, notamment au niveau professionnel.
A lire aussi Le SĂ©nĂ©gal, candidat Ă  l’organisation de la CAN 2027 (Ministre des Sports) Les piliers ont depuis longtemps dit au revoir Ă  leurs bourrelets, remplacĂ©s par d’importantes ceintures abdominales quand les lignes arriĂšre dĂ©passent allĂšgrement les 100 kilos. Le ski de fond Les chasseurs de vinyles Ă  la recherche de la bonne occasion au Salon du vintage Ă  Bordeaux, le 10 mars. David Pauget / RFI C’est une douleur qui ne peut ĂȘtre connue que par les cyclistes. Ce manque d’air associĂ© aux frĂ©quences bien trop Ă©levĂ©es des battements du cƓur. Aucun autre sport ne peut d’ailleurs, amener le cƓur vers des frĂ©quences si Ă©levĂ©es. Équivalent physique sur la neige de la course Ă  pied et du cyclisme, le ski de fond apporte une autre dimension avec la douleur connue Ă  cause de tempĂ©ratures souvent glaciales lorsqu’il est pratiquĂ©. Bien que physiquement exigeant, le ski de fond reste un sport des plus agrĂ©ables, accessible pour beaucoup, Ă  son rythme. Le demi-fond en athlĂ©tisme avoir du cardio sans courir À l’image de la natation qui est peut-ĂȘtre le sport le plus dur au niveau de l’entraĂźnement et mentalement, l’athlĂ©tisme est, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, usant pour les athlĂštes. Le demi-fond est probablement la catĂ©gorie d’épreuves la plus compliquĂ©e dans la tĂȘte, dans les jambes et dans le cƓur. Les 400 et 800 mĂštres sont rĂ©putĂ©s pour ĂȘtre des repaires de presque masochistes de la souffrance sportive. Quand un journaliste avait exposĂ© son envie Ă  la lĂ©gende Usain Bolt de le voir Ă©voluer et probablement performer sur 400 mĂštres, le dĂ©tenteur des records mondiaux du 100 et 200 mĂštres avait tout simplement rĂ©pondu : « le 400 mĂštres ? C’est beaucoup trop dur ». Cela vous place l’enfer d’une discipline.
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andrena-line · 3 years ago
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Mon amour, tu as mis des bleues sur mes yeux,
Comme tu as mis des bleues sur mon coeur.
En silence, je t'ai supplié tellement de fois...
Pourquoi ne m'entendais-pas?
Te souviens-tu de ce jour mon amour ?
Tu as caresser ma joue si délicate de ton poing si fort.
Je t'ai suppliĂ©, oui je t'ai criĂ© d'arrĂȘter.
D'ailleurs tu ne l'as jamais fais.
Je suis seule avec mes sentiments, seule avec mes pensées, seule avec ma frustration, seule avec moi...
Oh dieu que je suis seule avec toi.
Toi qui autre fois Ă©tait tout pour moi.
Je me suis tuée a essayer de vivre.
Moi qui Ă©tait si vivante, pleine d'espoirs,
Regardes ce que tu as fais de moi, je ne me reconnais pas.
ÉcorchĂ©e vive... car je ne connais rien au bonheur 
Car à chaque fois que j'y ai ai goûté, j'ai finis en pleure. 
Tu m'as fait mal avec ton amour,
Et je suis devenue poésie quand tout d'un coup la haine s'est faite bravoure.
ÉcorchĂ©e vive mon amour...Parce qu'il y a de l'orage a l'horizon.
Parce que mon homme devient criminel, et perd la raison.
ÉcorchĂ©e vive... par tous ces poings, 
Quand ce sont mes mains et mon coeur que je te tendais.
Il t'a pas fallu deux minutes pour me casser...
Pas le quart d'une pour me briser
Le coeur, les cÎtes, et les poignets. 
Humiliation.
Mon amour, de lĂ  oĂč je suis je contemple les nuages, 
Mon regard se perd dans l'immensité de l'océan
Je suis perdue dans le néant 
Seule et pleine de silence.
J'ai l'impression d'ĂȘtre la depuis bien trop longtemps...
..Et toujours cette notion de temps...
7h ton café 
7h15 ta chemise repassée 
13h ton linge sale dans la machine Ă  laver...
Comme un requiem, une sale hantise, je t'entends sans te voir.
Te souviens-tu de ce jour mon amour?
Ce jour ou j'ai perdu notre enfant sous tes coups.
Huit ans aujourd'hui, que nos routes se sont croisées.
Huit ans ou je t'ai aimé d'un amour si sincÚre, si pur et fidÚle, tandis que le tiens avait un goût amer.
Je pensais avoir trouvé en toi mon ùme soeur
Mais je me suis retrouvée avec un boxeur.
Un Ă©tranger, qui a chaque altercation me tabassait.
A chaque altercation, au silence tu me reduisais.
Pourquoi ne m'entends-tu pas mon amour ?
N'entends-tu pas ce silence assourdissant ?
N'entends-tu pas mes os se briser à chaque coup portés?
N'entends-tu pas mes pleurs?
Ni les craquement de mon coeur?
Regardes-moi... j'en ai perdue ma voix.
Regardes ce que tu as fais de moi.
Je ne suis plus qu'une ombre qui plane 
Qu'un corps sans Ăąme.
Moi ton "amie", ta "femme".
J'ai comme un arriÚre goût de larmes quand je parles de toi.
Dieu que ma plume aimerai te blesser,
J'aimerais te toucher...
Toi, ton ĂȘtre, ton Ăąme, ta voix de miel.
Je sais que tu me regardes, hier je t'ai vu du ciel.
"Elle etait pour moi, ce que la main est au geste. Un roc sur lequel m'appuyer. Pourquoi m'as-tu fais ça ? Pourquoi t'en es-tu allée?"
Tu aurais dû dire la vérité...
J'étais un objet sûr lequel tu tapais
Tu avais tellement "peur de me perdre" que tu me cognais.
"Merci pour ces années. Merci pour ces moment"
8 ans de relation. 6 ans de mariage. 1 million de violences Physique. Comme morale. 
Et deux phrases?
Tu m'as tuée.
J'aimerais pourvoir te vociférer.
De lĂ  oĂč je suis, je te vois mon amour.
Je serais désormais pour toi,
Ce que tu as été pour moi.
Je te hanterais comme tu as hanté,
Non.
Terrorisé mon quotidien pendant toute ces années. 
Pourquoi me suis-je suicider?
Oh mon amour, car c'était la seule façon de te quitter. 
J'avais envie de fuir.
De quitter ce qui pouvait me nuire.
Ma vie Ă©tait devenue terne,
Alors j'ai souhaitais que les lumiĂšres s'Ă©teignent.
L'espoir fait vivre ,
Mais tu m'en a donné peu,
Donc pour m'en sortir 
J'ai dĂ» m'accrocher Ă  mes voeux.
J'ai suivis ma voix,
Avant que tu la rendes muette.
Le monde est beaucoup plus beau, 
Depuis que je ne portes plus tes lunettes. 
La peur du vide m'a fait prendre de la hauteur,
Ma rage de vaincre Ă  mis un arc-en-ciel Ă  ma noirceur.
Aujourd'hui je suis guérit,
Tu n'es plus ma maladie,
J'ai quitté l'enfer,
Pour trouver mon paradis.
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alexar60 · 5 years ago
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Une histoire d’amour
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Loin des contes de fĂ©es, quoi que, souvent, les contes de fĂ©es commencent tristement et finissent de la mĂȘme façon, un jeune homme rencontra une femme. Il tomba Ă©perdument amoureux d’elle au point de la cĂŽtoyer souvent, trĂšs souvent. Sa famille riche s’opposa Ă  cette relation, menaçant mĂȘme de couper les finances au jeune toujours Ă©tudiant. DĂšs lors, il trouva du travail, utilisant ses dons de musicien dans des pianos-bars et mĂȘme dans la maison-close oĂč il avait rencontrĂ© sa belle. Parce qu’elle y travaillait comme prostituĂ©e.
Il n’aimait pas travailler dans le bordel. D’abord Ă  cause de la frĂ©quentation des autres clients envers la femme qui l’aimait, mais aussi parce qu’il y rĂ©gnait une ambiance glauque. Les filles se forçaient Ă  sourire et Ă  plaire aux clients avides de se vider les bourses. Parfois, il devait aider le gros, un colosse payĂ© Ă  jouer l’eunuque du harem. C’était un ancien boxeur endettĂ© et il faisait bien son taf. Il empĂȘchait les clients de battre les filles malgrĂ© quelques claques trop rapides pour ĂȘtre Ă©vitĂ©, et surtout, il empĂȘchait les filles de sortir.
Alors, le petit Ă©tudiant travaillait oubliant au passage d’étudier. Il faisait tout pour avoir les moyens de rejoindre sa belle. Quand il Ă©tait ailleurs, il pensait Ă  elle en jouant du piano ou de la guitare. Quand, il jouait dans le bordel, il cherchait souvent son regard triste et quand ses yeux croisaient les siens, la jeune femme retrouvait une petite Ă©tincelle qui rĂ©veillait son sourire. Bien qu’il s’en doutĂąt, elle ne lui a jamais dit qu’elle Ă©tait hĂ©roĂŻnomane. C’était aussi une maniĂšre de la garder dans cette maison de luxure.
DĂšs son arrivĂ©e, dĂšs que son cul s’assit sur une chaise, elle eut droit comme cadeau Ă  une seringue dans le bras. Elle voyagea et du haut de ses treize ans, elle dĂ©couvrit un monde fantastique, un conte de fĂ©es. Deux jours plus tard, elle Ă©tait dĂ©pendante et dut accepter d’ĂȘtre dĂ©pucelĂ©e par un riche homme d’affaire. La forte somme partit directement dans les caisses de la mĂšre maquerelle. Pendant dix ans, grĂące ou Ă  cause de son physique juvĂ©nile, elle Ă©tait la cerise sur le gĂąteau, la poupĂ©e qu’on voulait pour dormir, le fantasme des pervers, le morceau de choix
 l’attraction principale du bordel.
Maintenant, elle a vingt-trois ans et dĂ©jĂ  en fin de carriĂšre. Elle sait qu’il ne lui reste que quelques annĂ©es Ă  passer dans ce cloaque sordide qu’elle regrettera car, n’ayant pas de quoi payer sa libertĂ©, elle finira dans une maison d’abattage. Elle a entendu parler de ces terribles lieux. Les filles passent leur journĂ©e allongĂ©es, les jambes Ă©cartĂ©es, servant de vide-couilles Ă  tout ce qui passe, sans mĂȘme pouvoir se laver entre-deux passes
Elle refuse de vivre ça.
Un jour, aprĂšs quelques minutes ensemble, elle parla de ce cauchemar Ă  son prĂ©tendant. Il la rassura, et promit de tout faire pour la faire sortir. Mais tout son argent passe dĂ©jĂ  dans leur relation. Il n’avait rien pour acheter sa libertĂ© dĂ©jĂ  assez chĂšre. Pourtant, une nuit, une idĂ©e vint Ă  la tĂȘte. Il passa la journĂ©e Ă  rĂ©flĂ©chir, Ă  travailler cette idĂ©e pour la mettre en application. Durant une pause de la jeune femme, il profita pour prendre la sienne et aller lui parler. Ils discutĂšrent d’un plan d’évasion.
Au dĂ©but, sceptique, elle savait ce qui lui arriverait si elle Ă©tait reprise. Il persista si bien qu’elle accepta. Deux semaines passĂšrent avant qu’il ne se sente prĂȘt. Il arrĂȘta de jouer du piano, passa lentement entre les couples en pleine discussion. Il s’approcha du gros. Elle Ă©tait assise Ă  la table la plus proche, discutant avec un vieux qui puait dĂ©jĂ  la mort. Il sortit une cigarette et demanda au garde-du-corps s’il avait du feu. Le gĂ©ant chercha un briquet dans ses poches et là ! Sans s’y attendre ! Profitant du brouhaha des rires et des discussions, l’amoureux sortit un couteau qu’il planta Ă  plusieurs reprises dans le torse du gros transperçant en mĂȘme temps son cƓur ! Personne ne remarqua ses mains rougies. Personne ne vit la promise se lever, ni sortir par la petite porte. Mais tout le monde entendit le gros s’écrouler comme une merde sur le sol. Les premiers cris intervinrent en mĂȘme temps que l’apparition de la flaque de sang sur le carrelage.
Ils Ă©taient dehors, courants comme des fous. Ils allaient tant bien que mal le plus loin possible. Elle soufflait comme jamais. A chaque inspiration, elle retenait cet air qui avait un goĂ»t enivrant, il sentait bon la libertĂ©. Elle courait avec un sourire. Ils allĂšrent chez lui. Il rĂ©cupĂ©ra sa valise contenant le minimum, quelques vĂȘtements pour elle et lui. Puis, ils marchĂšrent, rasant les murs en espĂ©rant ne pas avoir Ă©tĂ© suivi jusqu’à la gare. Ils prirent le premier train.
Eux-mĂȘmes ne savaient quelle Ă©tait la destination, qu’importe ! Ils dormirent l’un contre l’autre, ou plutĂŽt, tĂȘte contre tĂȘte toute la nuit pendant le voyage. Puis au matin, elle ouvrit les paupiĂšres et dĂ©couvrit ce qu’elle avait oubliĂ© et rĂȘvé de revoir: la lumiĂšre du jour, un rayon de soleil. A vivre dix ans enfermĂ©e, elle ne savait plus Ă  quoi ressemblait la lumiĂšre du jour. Elle pleura. Il s’en rendit compte et la serra contre lui. Bien qu’il sentĂźt la sueur, elle apprĂ©cia le rĂ©confort de son corps Ă  ce moment.  Elle le remercia. Ils vĂ©curent un temps cachĂ©s dans une ferme puis quand ils furent oubliĂ©s des proxĂ©nĂštes, ils vĂ©curent heureux et eurent beaucoup d’enfants
Non, c’est faux ! Sa dĂ©pendance Ă  l’hĂ©roĂŻne Ă©tait telle qu’elle ne rĂ©ussit pas Ă  s’en dĂ©faire. Alors, sans moyen, sans possibilitĂ© d’en acheter. Elle sortit dans un cafĂ© et appela le seul endroit oĂč elle savait qu’elle aurait de la drogue : la maison de passe. Ils sont arrivĂ©s le lendemain et attendirent le petit Ă©tudiant. AprĂšs l’avoir attachĂ©, ils violĂšrent chacun leur tour, sous ses yeux, l’amour de sa vie puis la frappĂšrent au point de la dĂ©figurer. Et pour ĂȘtre certain qu’elle y passera, elle eut droit Ă  une dose, la derniĂšre
 la mortelle. Lui, ils ne l’ont pas touché  une simple balle dans la tĂȘte maquillĂ© en suicide Ă  suffit. AprĂšs quelques pots-de-vin, les gendarmes conclurent Ă  un crime passionnel. Il a tuĂ© sa compagne et s’est suicidĂ© ensuite. J’avais prĂ©venu, ce n’est pas un conte de fĂ©es.
Peu avant de mourir, ils eurent ce souvenir commun. C’était une discussion avant qu’il ne paye pour monter avec elle. Retenons donc en mĂ©moire, ce couple assis Ă  une table, se dĂ©vorant de leurs yeux pĂ©tillants en se tenant par la main. Il demanda quel cadeau elle aurait voulu de lui. Un sanglot retentit dans son esprit, une larme vint Ă  son Ɠil quand elle rĂ©pondit en murmurant: « Revoir le soleil ».
Alex@r60 – juillet 2020
Photo de Brassaï. Une maison close monacale. Rue Monsieur-le-Prince, Quartier Latin, Paris  1931
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pauline-lewis · 5 years ago
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Manger des concombres salés en regardant la mer
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Sur un post-it qui traĂźne sur mon bureau, j'ai juste Ă©crit le mot "cornichon", comme point de dĂ©part de ce post que j’essaie d’écrire depuis trois semaines. Le pire c'est que je me suis trompĂ©e. Je ne voulais pas parler de cornichons mais de concombres salĂ©s. Et puis j’ai mis tout ça sur pause la semaine derniĂšre, je ne voulais pas Ă©touffer avec le bruit des touches sur mon clavier tout ce qui se disait de capital sur le racisme systĂ©mique dans ce pays.
Donc si je reviens Ă  mes cornichons, j’avais envie d’ouvrir ce post sur les concombres salĂ©s de Romain Gary. J’ai profitĂ© de cette petite accalmie avant la rentrĂ©e littĂ©raire pour lire La promesse de l’aube. Ce roman m’a suivie comme ça pendant quelques jours et il m’arrivait cette chose trĂšs bizarre que les mots peuvent produire quand ils sont empaquetĂ©s d’une certaine maniĂšre : beaucoup de phrases me faisaient pleurer, me touchaient vraiment trĂšs profondĂ©ment dans le cƓur Ă  cet endroit tendre et mallĂ©able qui accueille les sentiments.
C’est sĂ»rement parce que ce roman est trĂšs personnel et qu’il tisse un lien trĂšs intime avec le lecteur en lui faisant ressentir des Ă©motions trĂšs profondes. La promesse de l’aube raconte l’expĂ©rience humaine dans tout ce qu’elle a de complexe. Ce que ça fait d’avoir une mĂšre, d’ĂȘtre aimĂ©, de vouloir rendre ses parents fiers, de devoir faire la guerre, d’ĂȘtre seul parfois, d’écrire parce qu’il faut laisser quelque chose derriĂšre soi. Et parfois comme ça il y a des paragraphes qui forment des petites poches de joie dans l’immense ocĂ©an de mĂ©lancolie que dĂ©crit Romain Gary.
À un moment j’étais dans mon lit et j’ai lu ce passage sur les concombres salĂ©s qui m’a retournĂ©e :
Depuis mon enfance, par exemple, j'ai toujours aimĂ© les concombres salĂ©s, pas les cornichons, mais les concombres, les vrais, les seuls et uniques, ceux qu'on appelle concombres Ă  la russe. J'en ai toujours trouvĂ© partout. Souvent, je m'en achĂšte une livre, je m'installe quelque part au soleil, au bord de la mer, ou n'importe oĂč, sur un trottoir ou sur un banc, je mords dans mon concombre et me voilĂ  complĂštement heureux. Je reste lĂ , au soleil, le cƓur apaisĂ©, en regardant les choses et les hommes d'un Ɠil amical et je sais que la vie vaut vraiment la peine d'ĂȘtre vĂ©cue, que le bonheur est accessible, qu'il suffit simplement de trouver sa vocation profonde, et de se donner Ă  ce qu'on aime avec un abandon total de soi.
Et j’ai ressenti une joie mĂ©langĂ©e de tristesse qui avait le goĂ»t exact de mes endroits prĂ©fĂ©rĂ©s, en face de la mer. Je sais qu’il ne jure que par le sud de la France mais ces mots sonnaient pour moi comme le ressac furieux de l’Atlantique et ils ont laissĂ© sur ma joue le goĂ»t salĂ© des bains d’aoĂ»t.
J’ai beaucoup pensĂ© Ă  la fin du confinement de ce que ça faisait de dĂ©couvrir des Ɠuvres dans cet enfermement. De ne pas prendre les films, les livres et les musiques et de ne pas aller les faire cogner contre les murs du dehors. Ils entrent en moi et ils ricochent Ă  l’infini dans ma conscience. J’ai hĂąte de rĂ©concilier les idĂ©es et le monde du dehors.
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Les choses de la vie, Claude Sautet (1970)
Quelques jours aprĂšs la mort de Michel Piccoli, Arte a diffusĂ© ce sublime film de Claude Sautet qui m’a procurĂ© une Ă©motion qui n’est pas extrĂȘmement Ă©loignĂ©e de celle qu’a laissĂ© en moi La promesse de l’aube. Le film raconte l’histoire d’un homme qui, dĂšs la premiĂšre scĂšne, est la victime d’un grave accident de voiture. Toute la narration est dĂšs lors centrĂ©e autour de ses derniers jours et de ce qu’on comprendra de sa vie : sa relation avec son fils, avec son ex-femme, avec sa compagne (Romy Schneider qui est plus que merveilleuse, comme d’habitude).
Mais Les choses de la vie fait plus que cela : il questionne ce qui rĂ©sume, lorsque tout semble se terminer, la vie d’un homme. Les relations qu’il a tissĂ© tout au long de son existence ? Sa vie professionnelle ? Ses passions ? Ou plutĂŽt cette expĂ©rience sensible, impossible Ă  dĂ©finir, cette texture Ă©trange de l’existence humaine ?
Claude Sautet filme ce monde du sensible, de l’indicible, de l’immontrable presque, avec beaucoup de subtilitĂ©. Le vent dans les cheveux quand on file Ă  bicyclette. Les caresses gorgĂ©es de soleil. Les brins d’herbe sous les doigts. Toutes ces choses auxquelles nous ne prĂȘtons pas attention mais qui s’accrochent Ă  la mĂ©moire lorsque tout le reste a disparu. Le son, les plans, le montage, tout est absolument parfait dans ce film. Il dit aussi tant de la cruautĂ© de la vie et de son timing qui nous Ă©chappe sans cesse.
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I may not look right but I sure do feel fine
J’avais dĂ©jĂ  croisĂ© la route de Lee Hazlewood plusieurs fois ces derniĂšres annĂ©es (la premiĂšre fois c’était suite Ă  cette reprise de Some Velvet Morning par Slowdive) mais nous nous Ă©tions toujours fait un simple petit signe de la tĂȘte et j’étais retournĂ©e Ă  mes occupations.
Et puis il y a quelques semaines j’écoutais mes chansons aimĂ©es sur Spotify et lĂ  j’ai entendu “Your Sweet Love” comme si je la dĂ©couvrais pour la premiĂšre fois avec ses violons, cette voix grave, et j’ai voyagĂ© trĂšs loin portĂ©e par cette sublime balade. Quelque chose de sa simplicitĂ©, de son ton sĂ©ducteur, de son rythme caressant a changĂ© la donne entre Lee et moi. Mon goĂ»t pour les chansons d’amour ne connaĂźt pas de limites et dans celle-lĂ  j’ai reconnu quelque chose de la tendresse infinie qui circule entre moi et la personne que j’aime. Et dans cette pĂ©riode d’incertitudes, oĂč les fondations de l’existence semblent si fragiles, sceller cette soliditĂ© dans ma vie avec cette chanson m’a bouleversĂ©e.
Me voilĂ  donc en chemin avec l’ami Lee, je dĂ©couvre toutes ses chansons, son humour parfois, sa voix entĂȘtante, sa capacitĂ© Ă  poser ses mĂ©lodies comme autant de petits films. Je lance un de ses disques dans mon casque et il m’emmĂšne sur son cheval vivre de formidables aventures. Il n’y a vraiment rien de plus chouette que de se trouver une nouvelle obsession.
Et si vous avez envie de découvrir vous pouvez écouter cette super playlist concoctée par Julien, un Lee Hazlewood connoisseur !
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Tant qu’il y aura des hommes, Fred Zinnemann (1953)
J’ai l’impression d’avoir vu plusieurs films des annĂ©es 50 qui rĂ©flĂ©chissaient avec intelligence Ă  la masculinitĂ© et les effets nĂ©fastes de la course Ă  la virilitĂ© et je rajoute le film de Fred Zinnemann Ă  ma liste (avec, on top of my head, Les chemins de la haute ville de Jack Clayton, ThĂ© et sympathie de Vincente Minnelli et Une place au soleil de George Stevens). .
Tant qu’il y aura des hommes dĂ©monte deux choses totalement inutiles et nĂ©fastes : l’armĂ©e et la masculinitĂ©. J'en ai personnellement fait une lecture trĂšs antimilitariste mais je dĂ©couvre que l’auteur du livre dont il s’inspire (James Jones) a reprochĂ© Ă  la Columbia de s’ĂȘtre “mis Ă  genoux devant l’armĂ©e.”  Le film raconte donc l’histoire d’une base militaire Ă  la veille de Pearl Harbor. L’un des jeunes hommes, Robert Lee Prewitt (interprĂ©tĂ© par Montgomery Clift, que la rĂ©daction aime beaucoup) est un ancien boxeur qui a blessĂ© gravement l’un de ses camarades lors d’un entraĂźnement. Depuis, il refuse de remonter sur le ring. Sauf que son supĂ©rieur hiĂ©rarchique, un capitaine opportuniste et tyrannique, compte bien lui faire disputer un match qui pourrait arranger son avancement. MalgrĂ© toutes les menaces et les intimidations, Prewitt tiendra sa ligne. Cette ambiance dĂ©lĂ©tĂšre ne sera pas sans consĂ©quences et le film dĂ©cortique toutes les maniĂšres dont ces injonctions Ă  la virilitĂ©, ces violences psychologiques et physiques sont destructrices. Et ineptes.
En parallĂšle Tant qu’il y aura des hommes dĂ©veloppe d’autres histoires autour de la masculinitĂ© notamment celle de Maggio (Frank Sinatra), le seul qui dĂ©fendra Prewit, et dĂ©roule une histoire d’amour passionnĂ©e entre Deborah Kerr (que la rĂ©daction adore aussi) et Burt Lancaster, qui en dit long sur la place que les hommes accordent aux femmes dans leurs vies.
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Pendant le confinement nous avons fait un petit zine avec ma camarade Aurore/Barbusse Buro, il est vendu Ă  prix libre sur Gumroad en PDF.
Ça parle de cinĂ©ma français, de femmes, de fĂ©minisme (on ne se refait pas), de ma vie (on ne se refait vraiment pas, je vous jure), de ce qu’on ressent en voyant des films. Ça apprend aussi quelques petites choses sur des rĂ©alisatrices françaises aussi, j’espĂšre. Ça parle aussi de Proust, de Concarneau, d’errer dans les rues.
Et c’est entiĂšrement illustrĂ© par Aurore qui a fait des affiches imaginaires sublimes avec deux couleurs et beaucoup de sensibilitĂ©, d’humour et d’inventivitĂ©.
Reine de la promo ? Oui, non ?
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fundgruber · 5 years ago
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"Lorsqu'en 1926, Brecht rĂ©clama « d'avantage de bon sport », il pensait moins Ă  l'Ă©ducation physique qu'Ă  la compĂ©tition sportive, au sport comme passion, risque, exploit : « Le grand sport commence lĂ  oĂč il a cessĂ© d'ĂȘtre sain. » Il ne cherchait pas Ă  dĂ©velopper le sport, mais Ă  intĂ©resser au thĂ©Ăątre les amateur de sport, car il avait confiance en leur jugement. A son avis, une piĂšce de thĂ©Ăątre devait ĂȘtre jugĂ©e comme une partie de football, et un acteur comme un champion de boxe : « La corruption de nos spectateurs de thĂ©Ăątre provient du fait que ni le thĂ©Ăątre, ni le public n'ont une idĂ©e de ce qui est censĂ© s'y dĂ©rouler. Dans une salle de sport au contraire, les gens savent exactement en achetant leur billet ce qu'ils vont voir, et c'est exactement ce qu'ils voient une fois installĂ©s Ă  leur place : des gens entraĂźnĂ©s dĂ©ployer des forces peu communes avec un sens des responsabilitĂ©s extrĂȘmement dĂ©veloppĂ©, mais tout en donnant l'impression qu'ils le font surtout pour leur propre plaisir. » Brecht Ă©crivit une nouvelle Ă  ce sujet, Die Kinnhaken (Le Crochet Ă  la mĂąchoire), et il projeta d'Ă©crire une biographie de Samson-Körner, sur la base des rĂ©cits du boxeur. La presse en publia des extraits, illustrĂ©s par des photos, dont l'une — Samson-Körner soupesant comme une noix la tĂȘte lĂ©gĂšrement penchĂ©e de Brecht — devint trĂšs populaire. « Samson-Körner est un trĂšs grand personnage, dit Brecht aux lecteurs du Literarische Welt. J'avais envie d'Ă©tablir un lien entre nous. Or le meilleur moyen Ă©tant de lui faire raconter sa vie. J'ai beaucoup de considĂ©ration pour la rĂ©alitĂ©, et des rĂ©alitĂ©s comme Samson-Körner se comptent sur les doigts : ce sont des heureux hasards. Ce qui me frappa d'abord chez Samson, ce fut sa maniĂšre pas du tout allemande de boxer. Il boxait objectivement, ce qui, d'un point de vue plastique, a beaucoup de charme. Samson-Körner est proprement inimitable, rien que sa façon de fourrer dans sa poche un ticket de transport. C'est ce qui explique aussi son remarquable talent d'acteur de cinĂ©ma. » Pour sa part, le boxeur fit savoir qu'il ne lisait pas les classiques, mais qu'il faisait un livre avec Brecht — un « type merveilleux » au demeurant ; il allait aussi au thĂ©Ăątre, mais pas pour voir des des « choses tristes » ; il aimait les opĂ©rettes, mais par-dessus tout les variĂ©tĂ©s. Cette conception de la littĂ©rature et du thĂ©Ăątre en imposait Ă©normĂ©ment Ă  l' « auteur de piĂšces »."
"Par ailleurs, Brecht mĂ©prisait l'Ă©ducation physique, ce n'Ă©tait pour lui qu'un moyen d' « aller Ă  la selle », et certainement pas de favoriser l'effort intellectuel : « En dïżœïżœpit de ce qu'affirment les professeurs de gymnastique, un nombre considĂ©rable d’Ɠuvres de l'esprit on Ă©tĂ© produites par des ĂȘtres maladifs, ou tout au moins extrĂȘmement chĂ©tifs, des Ă©paves humaines d'aspect pitoyable, qui tirĂšrent prĂ©cisĂ©ment de la lutte contre leurs dĂ©boires corporels une Ă©norme santĂ© au niveau musical, philosophique et littĂ©raire. Mais il est vrai, j'en conviens, que la plus grande partie de la production littĂ©raire des derniĂšres dĂ©cennies auraient aisĂ©ment pu ĂȘtre Ă©vitĂ©e grĂące Ă  une gymnastique simple et des exercices appropriĂ©s au grand air. »" 
- K. Völker, "Brecht : une biographie", 1976. Photo : Bertolt Brecht & Samson-Körner, 1928.
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globmedia · 1 year ago
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Combat au sommet
Victoire volée de Ngannou
À l’issue d’un combat rude dans la nuit de samedi 28 Ă  dimanche 29 octobre 0Ă  Riyad, entre le champion du monde des poids lourds du MMA et le champion du monde des poids lourds de la boxe anglaise, Tyson Fury a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© vainqueur par dĂ©cision partagĂ©e face au boxeur camerounais Francis Ngannou.
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Alors que personne n'imaginait le Predator faire le poids, il est finalement allĂ© au bout des dix reprises en mettant en difficultĂ© durant presque tout le combat, le boxeur anglais Tyson Fury. MalgrĂ© ce combat largement dominĂ© par le lion indomptable de boxe, le britannique Fury a quand mĂȘme Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© vainqueur. Une dĂ©cision des juges trĂšs controversĂ©e par de nombreux fans de la boxe y compris les professionnels.
Le natif de BatiĂ© Francis Ngannou qui disputait Ă  37 ans son premier combat de boxe a prouvĂ© au monde entier ses capacitĂ©s dans deux disciplines. AprĂšs avoir envoyĂ© le Britannique au tapis au troisiĂšme round, il a pu tenir tĂȘte au champion anglais jusqu’au 10 Ăšme round, rĂ©alisant ainsi le plus grand exploit de l’histoire de la boxe.
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AnnoncĂ© au dĂ©part dĂ©favorable pour le camerounais, la bataille a finalement Ă©tĂ© beaucoup plus serrĂ©e que prĂ©vu, Ngannou se montrant puissant et appliquĂ© face Ă  l’invincible Tyson Fury.
Nonobstant « cette dĂ©faite », l’ex-champion de l’UFC est restĂ© vainqueur selon plusieurs fans qui se sont insurgĂ©s avec vĂ©hĂ©mence sur les rĂ©seaux sociaux.
« Je suis une bĂȘte blessĂ©e mais pas abattu, je suis prĂȘt Ă  combattre n’importe quand et je suis sĂ»r que je vais m’amĂ©liorer » atteste le prĂ©dator. « C’était mon premier combat de boxe, c’était une expĂ©rience de rĂȘve. Je vais travailler encore et revenir avec un peu plus de sensations et de connaissances. Au dĂ©but, j’étais un peu nerveux, c’était un nouveau sport pour moi. Mais maintenant, je sais que je peux le faire, tenez-vous prĂȘts » poursuit-il. Une posture qui montre indubitablement le degrĂ© d’assurance de l’ancien champion de MMA qui, dĂ©sormais, s’imposera sur le terrain de la boxe anglaise.
Plusieurs observateurs estiment que la dĂ©cision finale visait Ă  sauver l’honneur et l’image de la boxe anglaise. Pour Mike Tyson qui l’a entrainĂ© depuis plusieurs mois, « tout le monde connaĂźt le rĂ©sultat » Ce qui prouve une fois de plus que le vainqueur proclamĂ© par les juges demeure discutable. Le boxeur camerounais a rĂ©ussi ce que personne n’aurait pu imaginer, d’abord en rĂ©sistant physiquement sur l’ensemble des dix rounds, surtout en envoyant sur le tapis dĂšs la troisiĂšme reprise.
L’ancien journaliste de la radio France internationale, Alain Foka n’a pas tergiversĂ© aprĂšs l’issue du combat. Il a fait une sortie Ă  travers sa page pour dĂ©noncer l’injustice dont est victime Francis Ngannou face Ă  l’anglais Tyson Fury : « Quelle honte, cette victoire donnĂ©e Ă  Tyson Fury !!! Je ne sais pas si les juges ont regardĂ© le mĂȘme combat que nous. Ils ont vu qui est allĂ© au tapis et a pris des coups. Qui paie commande n’est-ce pas ? une frustration de plus. Mais, Francis Ngannou a Ă©tĂ© magistral et trĂšs classe. Chacun ce soir sait qui Ă©tait le patron sur le ring. « La vĂ©ritĂ© c’est comme les fesses. Qu’on les aime ou les dĂ©teste on finit par toujours par s’asseoir avec » Merci Francis tu es le meilleur.
Cela n’empĂȘche pas que Tyson Fury soit un grand Monsieur. Seulement ce soir Ă  la vĂ©ritĂ©, il sait qu’il a perdu. Dans ce monde quand on est black il faut mettre son adversaire KO pour ĂȘtre sĂ»r d’ĂȘtre dĂ©clarĂ© vainqueur.  Souviens-toi de cela pour le combat de revanche. » Cette position de l’homme des archives d’Afrique montre clairement que le lion indomptable est le vainqueur de ce combat. À la fin du combat, Francis Ngannou a fait savoir qu'il est prĂȘt Ă  remonter sur le ring au plus vite, comme pour laver l'affront d'une dĂ©cision difficile Ă  comprendre. « Vous savez, au dĂ©but, j'Ă©tais un peu nerveux avec ce nouveau sport que je n'ai jamais pratiquĂ©, que je ne sens pas vraiment. Maintenant, je sais que je peux le faire. PrĂ©parez-vous ! Le loup est dans la maison. Ce soir, j'ai senti l'eau et je connais maintenant la tempĂ©rature. Je me prĂ©pare Ă  revenir ici et Ă  tout prendre. »
Panisse Istral Fotso
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sandrinedrouinlove · 5 years ago
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Le gout du sang.
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Pratiquer un art martial ou un sport de combat est avant tout une histoire de contrĂŽle de soi et ensuite de maĂźtrise des techniques, et ceux, bien plus que de connaitre bĂȘtement des techniques apprises aprĂšs des centaines d’heures d’entrainement. L’aspect du combat y est essentiel pour de nombreux points; Mise en pratique, agilitĂ©, connaitre les limites de son corps et son efficacitĂ© martial. J’en oublie encore certainement. L’art force le guerrier ou la guerriĂšre Ă  devenir une pratiquante et l’invite a dĂ©passĂ© le stade de la technicienne (ou du technicien). Il y a par exemple de trĂšs bons formateur, de super instructeurs, mais qui seront de mauvais guerriers. La prĂ©paration technique, l’instruction et le combat, voilĂ  trois domaines diffĂ©rents. Certains parviendrons Ă  maĂźtriser les trois, d’autre se concentrerons sur leur point fort. Une ceinture noire 5eme Dan bedonnant est loin d’ĂȘtre le guerrier suprĂȘme, mais il y a de forte chance qu’en tant que prĂ©parateur physique, il soit l’un des meilleurs. A l’inverse, ne se focaliser uniquement que sur sa bedaine et le sous-estimĂ© invite Ă  la prudence car l’on peut-ĂȘtre en surpoids et ĂȘtre un bon guerrier.
Mais aprĂšs avoir l’assurance d’ĂȘtre un bon combattant, mĂȘme si l’on est sĂ»r d’ĂȘtre le meilleur au combat, et d’avoir une excellente maĂźtrise de ses peurs et de soi, il y a une chose qui ne changera pas : La mise en pratique rĂ©elle dans le combat.
Je n’aborde pas ici le combat soft pratiquĂ© dans des cours de taekwondo ou les combattants possĂšdes une armure, ni de combat de type « amicale » a la fin des cours de karatĂ© ou de judo. J’aborde ici le vrai combat. C’est dans un ring que l’on prend des coups face Ă  un adversaire qui va y aller plus ou moins doucement avec vous, selon vos rĂ©ponses. Cela reste malgrĂ© tout amical, mais c’est plus rude. Se prendre un coup de coude dans le nez a 12 ans, tu t’en souviens. J’ai passĂ© des centaines d’heures Ă  m’entrainer au combat avec mon frĂšre. Nous Ă©tions bien protĂ©gĂ©s, avec un casque, des gants de boxe et bien Ă©videment, un protĂšge dents. Mais des bleus, des Ă©corchures et des bosses, tu en mange !  Cela te donne le gout du sang. Pas celui que tu fais couler de ton adversaire, mais le tiens. Bien chaud qui coule dans ta bouche aprĂšs un mĂ©chant coup de poing que tu n’as pas Ă©tĂ© capable d’arrĂȘter. Cela t’apprend la modestie et te renvoie Ă  ta propre perception de ton style de combat. Si tu prends un coup de poing, c’est que tu n’étais soi pas en mesure de l’arrĂȘter ou bien que tu doives peaufiner ta dĂ©fense, tes esquives ou tes rĂ©pliques. Mais dans tous les cas, le jour oĂč tu seras agressĂ© et que tu seras frappĂ©, tu ne seras pas prise de panique car ton joli petit nez aura Ă©tĂ© touchĂ©. Tu connaĂźtras dĂ©jĂ  la sensation des larmes qui obstrues ta vision, le sang qui coule, son petit gout ferreux si caractĂ©ristique, l’adrĂ©naline qui t’envahi. Tu ne flĂ©chiras pas et il y a de fortes chances que s’il est parvenu Ă  t’avoir par surprise, le coup suivant lui fera regretter de t’avoir malmenĂ©.
Mais mĂȘme aprĂšs tout ces combats, il n’est pas Ă©vident de connaitre ce qu’est un combat de rue, celui ou il n’y a aucune rĂšgle, celui ou l’agression est vrai. Car face a mon frĂšre dans mon exemple, chacun de nous n’avait pas l’intention de faire mal a l’autre et si cela arrivait, c’était un accident au pire, au mieux, un prolongement de notre entrainement. Si cela aide Ă  connaitre la souffrance et parvenir Ă  maĂźtriser la douleur, ce ne sera jamais rien d’autre qu’un jeu.
De toute ma vie je ne me suis jamais battu. Un coup donné au primaire, une leçon de modestie a mon cousin qui se croyait un guerrier car il frappait des planches dans son sous-sol, un poignet luxé et une respiration coupé pour quelques dizaines de seconde a la sortie du Winston Churchill (pour les Montréalais qui connaissent). Rien. Pas vraiment en danger. Sûr de moi, mais toujours sur mes gardes.
Juillet 2016, j’atterris Ă  Moscou pour me rendre Ă  un stage intensif de 2 mois au boot camp du maitre Vadim Starov, dans son Ă©cole de Tver au nord-ouest de Moscou (le centre international de combat Ă  mains nues de style russe). 12 heures de vol et une escale, 15 minute de taxi, prendre un train a la gare de Kursk (Kurskiy Vokzal), deux heure en cabine avec deux jolies blondes, et arrivĂ© a Tver en pleine nuit, de nouveau en taxi et me voilĂ  arrivĂ© Ă  mon hĂŽtel, le charmant « Golden Plaza », ma chambre est chaleureuse, la piscine de l’hĂŽtel impeccable, je ne parle aucun mot de russe et je compte sur ce que l’on me raconte depuis ma naissance, comme quoi l’anglais est une langue universel. Jusqu’à ce moment-ci, pas de doute, en Russie beaucoup de gens parles et comprennent l’anglais. Je connais un peu la Russie. Je m’y suis dĂ©jĂ  rendu avec mes parents par le passĂ©, mais pas Tver. C’est une ville Russe sans charme, postindustriel. Je ne sors pas de l’hĂŽtel, la Russie est un pays dangereux et il y a plus d’arme Ă  feu en circulation illĂ©galement, que d’habitant.Le lendemain matin, je me rend a l’école.
Nous sommes deux femmes, une amĂ©ricaine et moi. Avec une bonne trentaine de gars. Maitre Vadim est grand, gentleman, parle assez bien anglais, c’est un ancien officier des forces spĂ©ciales. Dans les annĂ©es 90 il a crĂ©Ă© son style, le Kadotchnikov Systema. Il nous connaĂźt car nous avons rempli une fiche d’identitĂ© martial; Nos connaissances, styles pratiquĂ©s, niveau atteint. A un certain moment il s’attarde sur un gars plutĂŽt grand et mince, il me demande d’avancer et de le mettre Ă  terre, il demande la mĂȘme chose au type. Je le mets Ă  terre en quelques seconde. Tout le monde semble impressionnĂ©, sauf maitre Vadim. Il fait une grimace qui veut dire « trĂšs bien », puis me met face a une grosse brute de 250 livres facile. Le type ressemble Ă  un bagnard des camps de prisonniers de SibĂ©rie et passe son temps Ă  regarder ma poitrine avec un sourire assez pervers. Maitre Vadim nous demande de nous battre ! Le gars rit doucement, moi, non; J’ai peur ! Vadim nous redemande de nous battre, et puis 
 je ne pourrais pas facilement dĂ©crire avec uniquement des mots ce qui s’est dĂ©roulĂ©. Cela a Ă©tĂ© trĂšs vite. Le gros est pratiquant, Ă©norme, tout en muscle, moi il me fait voler comme une feuille de papier. Je me relĂšve, esquive, lui tire le poignet, pratique un Ă©tranglement et il me renvoi a terre 
 j’ai fini Ă  l’infirmerie, un Ɠil bleu, des ecchymoses sur mon dos. Lui aussi a eu des traces, mais il les a toutes absorbĂ©s.
Je n’avais jamais eu d’ecchymose a l’Ɠil avant. C’est ignoble esthĂ©tiquement parlant; D’abord bleu autour de l’Ɠil, puis il devient noir, la couleur finie par descendre vers la bouche aprĂšs une semaine, puis il rougie avant de jaunire. 5 semaines avec cette face ! Mettre un fond de teint aurait Ă©tĂ© ridicule. J’étais ici pour un stage de combat, pas pour une sortie entre copine. Et puis avec l’effort fourni, il aurait coulĂ©.
Le lendemain je reviens. La grosse brute vient s’excuser, je lui pardonne car je ne suis pas aussi idiote : Il aurait pu me mettre K.O, ce qu’il n’a pas fait. Maitre Vadim vient me trouver, il pensait que j’allais repartir au Canada. Puis m’explique des choses pourtant logiques. Avec mon poids plume, je dois privilĂ©gier l’esquive face aux forts en muscle et ne pas hĂ©siter Ă  utiliser les mauvais coups (mortel au Krav Maga, mais il connait car il a lu tous ceci dans mon CV martial). Une leçon qui a bien faillit m’envoyĂ© a l’hopital ! 
La grosse brute est devenue un ami (Grisha de son prĂ©nom) et mon partenaire de combat pendant tout le stage. Deux mois a se frapper, Ă  s’entrainer, Ă  avoir mal, Ă  modifier mon comportement martial et l’adapter a ceux qui pouvaient vraiment ĂȘtre dangereux malgrĂ© mon expertise : Les grosses brutes tout en muscle et pratiquants. Seul maitre Vadim avait compris.
Je ne suis jamais parvenu Ă  vaincre Grisha, je l’ai mis souvent Ă  terre, j’esquivais 99% de ses coups avec une facilitĂ© dĂ©concertante, je le remettais Ă  terre, je lui ai coupĂ© la respiration plus d’une fois, mais il se relevait Ă  chaque fois. Par contre, lorsqu’il me touchait, je voyais les Ă©toiles et lui cessait de me frapper. Il n’y avait ni gants, ni casque. J’ai appris que c’était un ancien boxeur semi-pro et un lutteur en plus d’ĂȘtre un instructeur de maitre Vadim. Maitre Vadim m’a dit que j’avais la force de vaincre des gars comme Grisha, car nos combats se dĂ©roulait dans une Ă©cole de combat, bien encadrĂ©, mĂȘme si les coups Ă©taient rĂ©els. Il est certains que j’ai simulĂ© plusieurs Ă©tranglements, plusieurs coups du lapin et autre luxations mortel, mais Grisha aussi aurait pu me mettre facilement K.O avec son petit doigt. Ce que voulait dire maitre Vadim, c’est que finalement j’étais une trĂšs bonne guerriĂšre.
Je suis retournĂ© trois autres fois en Russie pour des stages avec maitre Vadim. Grisha vit aujourd’hui au Canada aprĂšs que je l’ai parrainĂ©. Il vie dĂ©sormais a Laval et il est mon instructeur personnel en SystĂ©ma (chanceuse!).
S.D
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lefeusacre-editions · 6 years ago
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BOOKHOUSE BOYS #49 | LES FRÈRES LAMBERT | VIDÉASTES & AUTEURS
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Steven & Warren Lambert, deux personnages aussi paradoxalement discrets qu’ils sont immenses. Dans la mĂȘme piĂšce on les mĂ©lange, sĂ©parĂ©s on les confond. Mais dans l’un ou l‘autre cas, les deux Lambert, vrais frĂšres pas jumeaux pour un sou, ont cette facultĂ© d’agrandir les hommes qu’ils croisent au lieu de faire peser leur ombre de garçons courbĂ©s sur plus petit qu’eux. On a vu Steven L. au menu de Vies et morts des super-hĂ©ros et l’on se souvient de Warren L. au programme du Livre des trahisons. Ensemble ils font des films. IsolĂ©ment, Steven, l’aĂźnĂ©, est hantĂ© par le motif de la boucherie (son poignant documentaire Sans colĂšre et sans haine  ou son commissariat Ă  l’exposition Boucherie fĂ©erique). Plus jeune et un rien plus haut - Ă  moins que ce ne soit l’inverse -, Warren sort aujourd’hui TROPIQUE DU SPLENDID, un essai salutaire sur la France telle qu’elle est perçue depuis plus de quarante ans par les BronzĂ©s et telle qu’on veut nous la faire gober - ce livre est un mĂ©dicament de l’ñme.
Les FrĂšres Lambert sont nos premiers Bookhouse Boys de l’annĂ©e 2019.
Welcome.
| Que trouve-t-on comme nouvelles acquisitions dans ​vos bibliothùques ?
STEVEN : Je n’ai pas de bibliothĂšque chez moi, du coup j’empile et en plus je lis lentement mais je vois : le catalogue de l’exposition que Thomas Hirschhorn a consacrĂ©e au poĂšte Manuel Joseph, la monographie de Delphine Wibaux, Sur la forme de Jean-Christophe Bailly, Les AnnĂ©es 10 de Nathalie Quintane, Nuits Ă©troitement surveillĂ©es de Pierre Pachet, Insomniac Dreams le recueil des petites fiches que tenait Nabokov sur ses rĂȘves, L’Ecriture des pierres de Roger Caillois, Jerusalem d’Alan Moore, La Philosophie floue de Miller Levy et bien sĂ»r Tropique du Splendid.
WARREN : Hormis les livres que j’ai reçus pour NoĂ«l (les lettres de Lou Ă  Guillaume Apollinaire et Éloge de l’ombre de Jun'ichirƍ Tanizaki), il y a Autoportrait de l’auteur en coureur de fond de Haruki Murakami. De lui, j’ai d’abord lu ses nouvelles puis je suis tombĂ© sur ce livre qui semblait avoir beaucoup de lien avec, d'une part, un regain depuis un an de mon activitĂ© physique et littĂ©raire, et d’autre part avec le livre que je finis en ce moment sur la saga Rocky. Je l’ai d’ailleurs dĂ©libĂ©rĂ©ment achetĂ© dans l’édition 2009 parue chez Belfond pour sa couverture, sur laquelle on voit une petite photo en pied de l’écrivain, dos Ă  nous, le corps luisant seulement revĂȘtu d’un short et d’une paire de baskets, et qui me rappela immĂ©diatement l’affiche belge du premier Rocky que j’ai chez moi, oĂč Adrian habillĂ©e avec une Ă©lĂ©gance folle se tient main dans la main avec Stallone en tenue de boxeur, prĂȘts Ă  partir au loin comme le couple Ă  la fin des Temps modernes de Chaplin.
| Quels livres marquants avez-vous ​l’un et l’autre dĂ©couver​​t​s ​ Ă  l'adolescence, et que ​vous possĂ©dez toujours ?
STEVEN : Je suis un spectateur avant d’ĂȘtre un lecteur mais je me soigne. Je ne lisais pas beaucoup au lycĂ©e sinon ce que tout groupuscule « littĂ©raire » lit Ă  un moment, comme le Werther de Goethe. Pour ne rien arranger je donne depuis plusieurs annĂ©es partie de mes livres Ă  la bibliothĂšque d’un squat. Le seul livre auquel je pense c’est le recueil La Rose de Robert Walser.
WARREN : Perceval ou le conte du Graal de ChrĂ©tien de Troyes ; Un roi sans divertissement de Jean Giono ; Nadja d’AndrĂ© Breton ; Fin de Partie de Samuel Beckett. En gros, tous les livres du programme Ă  l'Ă©poque au lycĂ©e ! Comme quoi
 En mĂȘme temps quand j'y pense : l’amour courtois, une parabole sur la Nature anthropophage, le surrĂ©alisme et le thĂ©Ăątre de l’absurde, ça ressemble aussi quelque part au programme d’une vie.
| Sans égard pour sa qualité, lequel de vos livres possÚde la plus grande valeur sentimentale, et pourquoi ?
STEVEN : Je suis un fĂ©tichiste de l’objet livre. Tous les livres ont pour moi une valeur sentimentale, encore plus ceux qu’on me donne Ă  lire.
WARREN : Tous les livres que l’on m’a offerts et ceux que j’ai acquis au Regard Moderne, l’antre de feu Jacques NoĂ«l, l’archange des libraires parti dans l’autre monde il y a deux ans. Et puis mes premiĂšres bandes dessinĂ©es achetĂ©es par mon pĂšre – que j’ai d’ailleurs refilĂ©es depuis Ă  mon petit frĂšre – sur lesquelles se trouvent encore au dos l’étiquette avec le prix en francs quasi effacĂ©e.
| Lequel de​ vos livres offririez​-​vous à quelqu'un qui vous plaüt ?
STEVEN : Je lui offrirais des fleurs.
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WARREN : J’ai hĂ©las arrĂȘtĂ© ces ruses-lĂ  Ă  la fac. Du reste, je crois bien n’avoir jamais offert Ă  quelqu’un de livre qui ait un sens Ă  percer, une sorte de message secret. J’ai arrĂȘtĂ© parce que c’était plutĂŽt moi qui me perdait chaque fois qu’une femme que j’aimais m’offrait quelque chose. Je l’ai en revanche beaucoup fait avec les films, et aujourd’hui peut-ĂȘtre un peu encore avec la musique, les chansons. Avec une chanson, c'est ce qui me plait, plus c’est gros, plus ça passe. Et je me suis rendu compte, paradoxalement, que plus c’est gros, plus c’est insoupçonnable.
| Que trouve-t-on comme livres honteux dans ​vos rayonnages ?
STEVEN : LĂ  oĂč il y a du plaisir, il n’y a pas de honte.
WARREN : Il n’y a pas de livres honteux, il n’y a que des livres que j’ai parfois honte de ne pas avoir encore lus. J’ai mĂȘme dĂ©couvert qu’au Japon, il existait un mot pour cette manie d’accumuler les livres et de ne pas les lire : tsundoku. Mais comme avec les rencontres, je me console en me disant que maintes fois certains se sont confirmĂ©s ĂȘtre de trĂšs bonnes intuitions, mĂȘme s'ils auront mis du temps pour arriver jusqu’à moi ou moi Ă  eux. Et d’autres qui, au fond, n’étaient dĂšs le dĂ©but absolument pas des histoires sĂ©rieuses.
| Quels livres a​vez-vous hĂ©ritĂ© de ​vos proches ?
STEVEN : Ceux qu’ils ont Ă©crits et qui m’ont donnĂ© envie d’écrire et montrĂ© que c’était aussi possible d’écrire comme ça : le livre sur Lost de PĂącome Thiellement, Traum d’AurĂ©lien Lemant, le Rocky de mon frĂšre.
WARREN : Aucun, mais cela s'explique parce que, par exemple, mon pĂšre Ă©tait et est encore davantage un lecteur de journaux que de livres. Je me souviens qu’il les conservait tous Ă  une Ă©poque. Lorsqu’adolescent, mon pĂšre a dĂ©mĂ©nagĂ©, je revois encore au grenier chez ma grand-mĂšre paternelle les dizaines de cartons d’exemplaires du « Monde », comme de grosses boites inĂ©dites d’On Kawara et qu’il mit Ă  la poubelle comme on se dĂ©barrasserait d’une vie, mais qui en l’occurrence serait aussi celle des autres, de tout le monde. En ce qui concerne ma mĂšre, son goĂ»t s'est toujours principalement portĂ© sur les biographies, ce qui n’était pas mon truc, aussi je ne lui ai jamais piquĂ© un seul bouquin. Elle avait Ă©galement en Ă©vidence sur la bibliothĂšque le Quarto Gallimard de Marcel Proust, et je me revois me dire, gamin, que jamais je ne passerai mon temps Ă  lire un livre aussi gros, qui plus est sur le Temps perdu.
| Le livre que ​chacun a le plus lu et relu ?
STEVEN : Je relis rarement sinon jamais un livre. Je retourne vers certains passages, je lis d’autres livres du mĂȘme auteur ou j’explore la constellation qu’il tisse ou que je lui tisse avec d’autres. J’ai beaucoup relu les livres de Philippe Lacoue-Labarthe. J’ai envie de revenir vers Que faire des classes moyennes ? de Quintane.
WARREN : Il y a un livre chez mes grands-parents maternels qui nous a marquĂ© mon frĂšre et moi quand nous Ă©tions mĂŽmes, qui Ă©tait un livre reliĂ©, ancien et de grand format, aux tranches dorĂ©es, sur LĂ©onard de Vinci. Mon grand-pĂšre avait appris la reliure en autodidacte et je ne sais pas si ce livre Ă©pais en Ă©tait un de sa fabrication. Je ne crois pas que nous ayons jamais lu ne serait-ce qu’une ligne de cet ouvrage qui, dans mon souvenir, semblait assez technique, mais je sais que nous l’avons beaucoup feuilletĂ©, ouvert au hasard. Il devait, je pense, avoir simplement Ă  nos yeux de gosses la magie du livre d'une Histoire sans fin, ou de ceux prenant vie dans Richard au pays des Livres magiques.
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| Le livre qui suscite en ​vous des envies d'autodafĂ© ?
STEVEN : Je suis incapable de faire du mal Ă  un livre. Je prĂ©fĂšre les livres qui brĂ»lent d’eux-mĂȘmes.
WARREN : Je prends soin de ne pas ouvrir les livres qui me dĂ©goĂ»tent d’avance. Question d’hygiĂšne.
| On ​vous propose de vivre Ă©ternellement dans un roman de votre choix, oui, mais lequel ?
STEVEN : Ça n’a pas l’air d’avoir trop rĂ©ussi au narrateur de l’Invention de Morel.
WARREN : Non de vivre mais, comme dans Fahrenheit 451 de Truffaut, plutĂŽt d’en savoir un par cƓur, je choisirais Novecento : pianiste d’Alessandro Baricco, un livre que j’ai dĂ©couvert tout Ă  fait rĂ©cemment. Tiens, voilĂ  un de ces livres qui a mis pile dix ans Ă  arriver jusqu’à moi alors que c'est la femme avec qui pourtant je vivais qui me l’a offert et dĂ©dicacĂ© en dĂ©cembre 2008. Et puis celui-ci serait facile Ă  apprendre puisqu’il s’agit d’un monologue.
| Quel est l'incunable que ​vous rĂȘvez de possĂ©der, votre saint Graal bibliophilique ?
STEVEN : Je suis bien trop paresseux pour courir aprÚs un livre.
WARREN : Je ne rĂȘve pas de livre. Le livre rĂȘvĂ© est toujours celui que l’on me mettrait entre les mains et dont je ne soupçonnais pas qu'il Ă©tait fait pour moi, qu'il Ă©tait celui que j'attendais exactement au moment oĂč j'en aurais besoin. Cela m'est arrivĂ© de nombreuses fois, par hasard ou grĂące Ă  des amis, et chaque fois ce miracle est une façon tellement puissante de vous reconnecter avec le monde.
| Au bout d'une vie de lecture, et s'il n'en restait qu'un ?
STEVEN : Je suis nul en devinettes.
WARREN : Le dernier que je serai en train de lire avant de fermer les yeux, et si possible sans avoir pu en connaßtre la fin.
Crédit photos : Vladimir Vatsev
Le Feu SacrĂ© sera prĂ©sent au vernissage de TROPIQUE DU SPLENDID, le mardi 12 fĂ©vrier 2019, Ă  la librairie LE MONTE-EN-L’AIR (PARIS) dĂšs 19h. La soirĂ©e sera prĂ©sentĂ©e par notre ami PacĂŽme Thiellement, maĂźtre de cĂ©rĂ©monie.
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