#petites luxures
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Nuancier érotique
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Erotique by Petites Luxures
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Petites Luxures
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Les dames de Brassens
Sur l'air (approximativement) de la chanson Mélanie
Les coquines de l'ami Georges dans ses airs drôles autant qu'osés qu'il racontait à pleine gorge qu'il savait si bien composer,
s'appelaient Ninon ou Fernande sans perdre de vue Mélanie ces joyeuses filles en bande imaginons-les réunies
Quand c'est l'oreille que l'on rince ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Avec leurs prénoms de grand-mères elles avaient des charmes infinis pour les soldats de toutes guerres qu'on voit sur les clichés jaunis
quand ils mouraient sous la mitraille en Algérie à Diên Biên Phu ils ne rêvaient pas de médaille mais à leur enchantement fou
Que les culs serrés se décoincent ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Ces oiselles de bon augure qui narguaient un ordre établi héroïnes toutes en luxure ne tomberont pas dans l'oubli
car sous leurs manières peu sages les bidasses et les carabins imaginaient sous les corsages dont elles s'allégeaient pour le bain
Qu'elles soient de Paris de province ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Ces ombres dans les cimetières font bander à coup sûr les morts qui se branlent tous dans leur bière devant ces jolis petits corps
Quelquefois elles ressuscitent sous la guitar' d'un vieux poète voici leurs appas d'Aphrodites quand ce gars leur chante fleurette
Elles sont pour les gueux pour les princes ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
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Les reines Volturi
Les regards complices et déterminés des Reines Volturi, Sulpicia, Athénodora et Didyme, se croisèrent alors qu'elles savaient toutes qu'aujourd'hui serait une journée spéciale pour leur reine et compagne Althéiana Swan. La haute reine des Volturi avait semblé amorphe ces derniers temps, et il était temps de lui redonner le sourire et de rallumer la flamme qui brûlait autrefois en elle.
Sans hésitation, Sulpicia décida de commencer la journée par une surprise. Elle se glissa derrière Althéiana, passant ses bras autour de sa taille et murmurant des mots doux à son oreille avant de l'entraîner vers la chambre à coucher, où un plateau avec différents verres de sang était disposé et à sa disposition . La luxure et le désir étaient palpables dans l'air alors que Sulpicia, Athénodora et Didyme entouraient leur reine, prêtes à lui offrir tout ce qu'elle désirait.
Athénodora, experte en mode et en séduction, avait choisi une tenue ravageusement sexy pour Althéiana, mettant en valeur ses courbes sculpturales et sa grâce féline. Les regards brûlants échangés entre les femmes résonnaient de promesses sensuelles et interdites, témoignant de la passion qui les unissait.
Didyme, de son côté, avait préparé une série d'activités excitantes pour la journée. Elles commencèrent par se vêtir de robes transparentes mais pratiques et chacune dansa avec leur compagne, s'assurant de la frôler, de l'effleurer mais jamais de la toucher pleinement. Puis, elles lui proposèrent des soins du corps dans la sublime piscine qui leur servait de baignoire.
Au petit matin, alors que le soleil se levait à l'horizon, les Reines Volturi firent le serment silencieux de veiller éternellement sur leur reine bien-aimée, de la chérir et de la protéger au-delà de la mort. Althéiana, illuminée par l'amour intense et indéfectible de ses compagnes, se sentait revivre et retrouver sa force intérieure.
Ensemble, les Reines Volturi et leur reine Althéiana Swan étaient plus fortes que jamais, unies par leur lien inébranlable et leur passion dévorante.
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Ce que cache un masque
Nul ne se souvient de ces dieux vénérés par les anciens. Peut-être leurs légendes étaient-elles les ancêtres de nos mythologies grecques, égyptiennes ou indous ? A cette époque, ils côtoyaient les géants, les monstres des abysses. Ils vivaient sur les montagnes les plus hautes ou dans les profondeurs des enfers. Ils combattaient les astres et régnaient sur l’univers.
A cette époque, l’homme n’était qu’un simple mortel méprisable, jouet soumis à ces dieux. Il les vénérait parce qu’il les craignait. Il craignait leur courroux, les cataclysmes engendrés par leur colère. Car ces dieux étaient capables de provoquer les tremblements de terre, d’inonder les récoltes, de noyer l’humanité sous des éruptions volcaniques ou juste de foudroyer n’importe quel mortel.
Ofnadwy était une de ces grandes déesses. Elle était la mère de la beauté, de l’éclat, la déesse des déesses et la mère du soleil. Elle aimait regarder les hommes la prier. Parfois, elle entrait dans ses temples et s’amusait des prêtresses invoquant son nom devant l’autel. Il n’y avait rien de plus jubilatoire que d’écouter ces petits êtres chanter ses louanges.
Il arrivait souvent qu’elle s’intéresse à un homme beau et fort. Dès lors, elle descendait de la montagne des dieux et, prenant l’apparence d’une belle femme, elle aguichait sa proie pour se délecter de lui à la tombée de la nuit. Car Ofnadwy était aussi la déesse de la luxure, la mère de toutes les putains. Et aucun homme ne lui résista.
Un matin, après avoir quitté la couche de son amant, la déesse croisa le regard d’un inconnu. Elle suivit discrètement le jeune homme parti chasser dans les bois. Elle se cacha d’arbre en arbre afin d’admirer sa musculature et son visage magnifique. Le jeune homme s’arrêta et visa de son arc un chevreuil. La flèche partit sans toucher sa cible. Dès lors, il ne put que regarder l’animal fuir.
Qui es-tu jeune et beau garçon ? demanda Ofnadwy en se présentant.
Je m’appelle Didwill, fils de Dewr.
La déesse, de plus en plus émerveillée par Didwill, tourna autour de lui en usant de ses charmes. Elle caressa son doux visage mais il ferma les yeux. Elle comprit qu’il resterait insensible à ses avances.
Si tu acceptes de passer la nuit et de t’offrir à moi, susurra-t-elle au creux de son oreille, je ferai de toi le plus grand des chasseurs. Tu sais que j’en ai le pouvoir.
Il inspira profondément avant de défier du regard Ofnadwy.
Ta proposition m’honore belle et grande Déesse. Mais je ne peux t’offrir ce qui ne m’appartient plus. Car j’ai déjà donné mon amour à Lleuada.
Surprise par ce refus inhabituel, Ofnadwy s’éloigna du chasseur. Cependant, la colère envahit son esprit et elle décida de retourner dans la cité pour rencontrer la fameuse Lleuada. Elle traversa la ville et n’entendit que du bien de sa rivale. Elle était décrite comme une très belle femme aux cheveux noirs, à la peau de lait. Son corps aux courbes parfaites, ses yeux de biche déstabiliseraient n’importe quel héros. Et effectivement, lorsque la déesse remarqua la jeune femme, elle fut stupéfaite de voir que sa beauté était comparable à celle d’une déesse. Elle remonta dans la montagne des dieux, déçue qu’un homme se soit refusé mais surtout, furieuse qu’il préféra une mortelle à sa place.
Pendant plusieurs jours, Ofnadwy ne put retirer de sa mémoire ce couple qu’elle imaginait en train de faire l’amour. La jalousie grossit en elle si bien qu’elle réfléchit à une vengeance.
Si tu t’es refusé à moi, alors tu la refuseras, Grommela-t-elle.
Elle partit rejoindre Copradur le dieu des forges. Ce dernier travaillait dans son atelier au sommet d’un volcan. Sa poigne battait le fer comme jamais. Il avait inventé des armes flamboyantes, des coffres impossibles à forcer, des ornements d’une pure beauté et les plus beaux bijoux que l’homme n’a jamais créés. Copradur était en train de forger une épée lorsque la déesse l’interpela.
Ô Copradur, mon frère ! Je souhaite que tu me construises un objet qui détruirait la beauté de mes ennemies.
Sans poser de question et sans attendre, le forgeron laissa ses domestiques finir l’arme et utilisa toute sa force pour frapper un métal magique. Il tapa constamment la matière rougie par le feu afin qu’elle reste modulable. Il frappa si fort qu’on entendait plus le volcan gronder. Il frappa pendant une semaine et un matin, il présenta son œuvre à sa sœur.
Voici un masque qui répond à tes attentes. Fais porter ce masque à ton ennemie et tu seras comblée, annonça-t-il avant de retourner à sa forge.
Dès lors, Ofnadwy redescendit parmi les hommes. Elle entra dans son temple et invita la belle Lleuada. La jeune femme ne pouvait refuser la convocation apportée par une prêtresse. Devant le lieu sacré, deux rangées de religieux formèrent un couloir. Elle embrassa Didwill qui l’accompagnait. Les amants entrèrent dans le temple. Lleuada et Didwill furent éblouis par la richesse et les trésors décorant les murs. Ils admirèrent les dessins sur les tapisseries qui racontaient l’histoire des Dieux. On proposa au couple d’approcher d’une table couvert de victuailles. Ils mangèrent les mets les plus succulents et délicats. Pour remercier la déesse, ils posèrent aux pieds de sa statue quelques feuilles de lauriers recouvertes d’un peu de leur sang, car telle était la tradition. A ce moment, à leur grande surprise, Ofnadwy se présenta.
Gardez vos pathétiques offrandes, cria-t-elle. Je ne veux que ta beauté Lleuada.
A peine avait-elle fini sa phrase, qu’un groupe de malabars agrippèrent le couple. Les uns pour empêcher Didwill d’intervenir, les autres pour retenir Lleuada. La déesse approcha de la jeune mortelle, sortit le masque de métal magique, et le posa sur la tête de la jeune femme.
Didwill ne put retenir ses larmes en entendant hurler Lleuada. Il essaya de réagir, de se débattre en vain. Cela dura une petite minute, une éternité.
Lorsqu’Ofnadwy retira le masque, elle fut ravie. Didwill pleura suppliant de la sauver, les prêtres et prêtresses demeurèrent choqués mais aussi heureux de voir que leur déesse était capable de telle prouesse. En effet, le masque avait retiré le visage de la belle femme. Il ne restait qu’une surface lisse, blanche et brillante à la place de son nez de sa bouche et de ses yeux. L’ensemble était collé au fond du masque.
La déesse partit en gardant le masque et son contenu comme trophée. On relâcha Didwill qui se précipita vers le corps inerte de Lleuada. Elle était morte, il ne pouvait rien faire. Dès lors, il s’enfuit et nul ne sait où. Certains diront qu’il chercha l’entrée de la montagne des Dieux pour se venger. D’autres, qu’il s’est saoulé avant de se jeter du haut d’une falaise.
En découvrant son acte, Copradur se sentit trahi par la demande d’Ofnadwy. Jamais il n’avait pensé qu’elle utiliserait ce masque contre une innocente mortelle. Il se sentit aussi coupable de cette tragédie. Pendant la nuit, il descendit de son volcan, entra dans le temple pour récupérer le corps de Lleuada et l’emporta avec lui.
Parce que tu as été belle, tu as subi la cruauté des dieux. Alors, je t’élève au rang de celle qui t’as tuée. Désormais, tu règneras la nuit et tout le monde pourra découvrir que tu restes encore belle.
C’est ainsi que Lleuada devint la lune. C’est ainsi que les hommes continuent d’admirer sa beauté même si son visage est caché dans un masque. On dit que la nuit, elle s’élève à la recherche de son visage. Mais chaque fois, Ofnadwy, toujours jalouse, fait apparaitre le soleil pour l’empêcher de le retrouver. Jusqu’à ce qu’elle soit dans les bras d’un de ses amants, alors, la lune réapparait pour chercher encore son visage tout en montrant aux hommes qu’elle reste belle sans.
Alex@r60 – août 2023
Photo : Barbara Steele dans le masque du Démon (1960)
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Masturbin a fêté son anniversaire et est devenu un grand et beau garçon. Celui-ci se montre proche de sa grande sœur, mais s'annonce déjà sur la bonne voie pour assumer le digne héritage de la famille, tant la luxure le représente bien !
Quant à Clitorine, elle aussi a bien grandi. Elle s'affirme par une perfection dans ses résultats scolaires.
Elle a d'ailleurs été aux premières loges pour fêter le nouvel anniversaire de son petit frère, promit à un destin... torride 👀 À peine l'âge adolescent entamé que Masturbin a déjà trouvé une première moitié au bal de promo : Janet. D'ailleurs, Masturbin et Clitorine ont tout deux été élus roi et reine du bal !
Avec tout ce beau monde, la famille a dû faire appel aux services de Brunehilde pour lui venir en aide. Et on peut dire que c'est une véritable femme à tout faire ! Ménage, réparations, soins des enfants et même extinction des feux, heureusement que Brunehilde est là !
Mais la petite famille s'est rendue au complet avec la naissance de la petite Imène, qui apprécie déjà sa petite chaise à bascule musicale, même s'il lui arrive d'en avoir la nausée.
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“Crescendo”: voz italiana que se usa internacionalmente en el lenguaje musical para indicar que el pasaje al que se refiere debe ejecutarse aumentando gradualmente la intensidad (del sonido).
"In crescendo”: Locución adverbial italiana que significa ‘aumentando progresivamente'
Por el ilustrador parisino Simon Frankart aka Petites Luxures.
@petitesluxures @culturainquieta #culturainquieta #petitesluxures
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LE TEST DE PURETÉ
[GENESÈ 39 :1-12]
On dit que ce qui vous arrive ne fait pas de vous ce que vous êtes mais révèle qui vous êtes. Le véritable caractère d’une personne transparaît dans ce qu’elle fait lorsqu’elle est confrontée aux signaux incessants d’un agent ou d’un praticien de la séduction. Dans la maison de Potiphar, bien qu’il n’en soit pas conscient, Joseph était à l’aube de son destin. Puis arriva Mme Potiphar avec l’offre d’un plaisir illicite ; il serait son petit ami avec tous les « avantages » potentiels promis. La tentatrice a essayé de flirter et, lorsque cela a échoué, elle a eu recours à une poursuite agressive.
Bien avant l’exhortation apostolique de « fuir la fornication », Joseph savait littéralement fuir une situation dangereuse. Il perdrait ainsi ses vêtements coûteux, mais cela n’avait pas d’importance si sa robe de justice restait intacte. Le refus catégorique de Joseph face aux sollicitations persistantes de la femme de son Maître était un témoignage de sa droiture. Mais l’observation du poète et dramaturge anglais William Congreve est juste : « L’enfer n’a pas de fureur comme une femme méprisable » ; Joseph paierait très cher s’il osait défendre la sainteté. Mais Dieu était avec lui à travers tout cela. Aujourd’hui, maintenir la pureté morale est peut-être une tâche fastidieuse à contre-courant, mais cela rend un homme ou une femme aimé de Dieu. Le Test de Joseph confronte le croyant d’aujourd’hui sous la forme de nudité dans les rues, de luxure et d’immoralité promues et popularisées dans la société et de pornographie érotique non dissimulée sur les réseaux sociaux. Les pèlerins célestes ont besoin d’une bonne dose de grâce divine et de discipline personnelle pour maintenir la sainteté de leur cœur et de leur vie. La prévalence de la corruption morale ne modifie pas l’exigence de sainteté de Dieu chez ceux qui veulent voir sa main dans leurs affaires terrestres ou régner enfin avec Lui au Ciel. Ce qui semblait être un échec pour Joseph était le dernier obstacle qu’il devait franchir avant d’entrer dans le destin glorieux qui lui était préparé. La présence de Dieu avec lui a tracé son parcours depuis la prison de Potiphar jusqu’au palais de Pharaon. La pureté personnelle a ses récompenses. Si, comme Joseph, vous optez pour la pureté morale, vous pouvez vous attendre à la compagnie de Dieu à travers les vicissitudes de la vie et être enfin assuré de la victoire.
Votre prochaine décision en faveur de la sainteté pourrait être votre prochaine étape vers la grandeur.
Que l'Éternel le Dieu Tout-Puissant nous protège et nous accorde la grâce de fuir le péché sous toutes ses formes et à pas ne céder à ses "avantages" qui nous conduisent en enfer au nom puissant de Jésus-Christ 🙏 🙏.
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Huysmans, l’écriture documentaire | Là-bas (1891)⭐⭐⭐
Là- bas (1891), c’est le roman du satanisme où l’on voit, contrairement à ce qu’on peut souvent dire, les prémisses de la foi germer ; c’est le roman de Durtal, double littéraire de l’auteur, dont l’initiation aux luxures et aux voluptés du Diable par l’entremise d’une femme adultère va échouer ; dont les relents décadents se font encore sentir avant la scission totale (paraît-il) dans le livre suivant et premier tome de la “trilogie de la conversion”, En route (1895).
“Dans un bruit de mer montant de la place Saint-Sulpice à la tour, de longs cris jaillirent : Boulange ! Lange ! puis une voix enrouée, énorme, une voix d’écaillère, de pousseur de charrette, s’entendit par-dessus les autres, domina tous les hourras ; et, de nouveau, elle hurla : Vive Boulanger ! — Ce sont les résultats de l’élection que, devant la Mairie, ces gens vocifèrent, dit dédaigneusement Carhaix. Tous se regardèrent. — Le peuple d’aujourd’hui ! fit des Hermies. — Ah ! il n’acclamerait pas de la sorte un savant, un artiste, voire même l’être supernaturel que serait un Saint, gronda Gévingey. — Il le faisait pourtant au Moyen Âge ! — Oui, mais il était plus naïf et moins bête, reprit des Hermies. Et puis, où sont les Saints qui le sauvèrent ? On ne saurait trop le répéter, les soutaniers ont maintenant des cœurs lézardés, des âmes dysentériques, des cerveaux qui se débraillent et qui fuient ! — Ou alors c’est encore pis ; ils phosphorent comme des pourritures et carient le troupeau qu’ils gardent ; ils sont des chanoines Docre, ils satanisent ! — Dire que ce siècle de positivistes et d’athées a tout renversé, sauf le Satanisme qu’il n’a pu faire reculer d’un pas ! — Cela s’explique, s’écria Carhaix : le Satanisme est ou omis ou inconnu ; c’est le père Ravignan qui a démontré, je crois, que la plus grande force du Diable, c’était d’être parvenu à se faire nier !”
Dire que je n’ai pas aimé serait exagérer, mais il y a quelque chose de bien pénible à la lecture, chose qui s’efface quasi complétement lorsqu’on lit le texte par petite touche — ce qui renforce la beauté du style, mais, qui est, bien souvent, par trop foisonnant.
“Il n’y croyait pas et cependant il admettait le surnaturel, car, sur cette terre même, comment nier le mystère qui surgit, chez nous, à nos côtés, dans la rue, partout, quand on y songe ? Il était vraiment trop facile de rejeter les relations invisibles, extrahumaines, de mettre sur le compte du hasard qui est, lui-même, d’ailleurs indéchiffrable, les événements imprévus, les déveines et les chances. Des rencontres ne décidaient-elles pas souvent de toute la vie d’un homme ? Qu’étaient l’amour, les influences incompréhensibles et pourtant formelles ? — Enfin la plus désarçonnante des énigmes n’était-elle pas encore celle de l’argent ?”
A vrai dire, il y a quelque chose de la minutie des descriptions naturalistes (rien d’étonnant quand l’on sait qu’avant A rebours, Huysmans était inspiré par cette esthétique) mais encore, et surtout, une sorte d’écriture documentaire, certes assez expérimentale, mais, je trouve, sans forme — ai-je seulement le droit de le dire ? En réalité, cette écriture documentaire rend le style un peu indigeste et malheureusement la narration semble peu investie et décousue (beaucoup moins révolutionnaire que ce qu’on peut nous dire d’ailleurs) !
“La vérité, c’est que l’exactitude est impossible, se disait-il ; comment pénétrer dans les événements du Moyen Âge, alors que personne n’est seulement à même d’expliquer les épisodes les plus récents, les dessous de la Révolution, les pilotis de la Commune, par exemple ? Il ne reste donc qu’à se fabriquer sa vision, s’imaginer avec soi-même les créatures d’un autre temps, s’incarner en elles, endosser, si l’on peut, l’apparence de leur défroque, se forger enfin, avec des détails adroitement triés, de fallacieux ensembles.”
En revanche, ce que j’ai aimé c’est les réflexions foisonnantes sur la foi, sur le satanisme, sur la vérité historique, sur le Moyen-Âge, sur les classes sociales, sur les classes sociales… Mais je n’en dirais pas plus, car lire des passages sera bien plus convainquant !
“À n’en pas douter, ce fut une singulière époque que ce Moyen Âge, reprit-il, en allumant une cigarette. Pour les uns, il est entièrement blanc et pour les autres, absolument noir ; aucune nuance intermédiaire ; époque d’ignorance et de ténèbres, rabâchent les normaliens et les athées ; époque douloureuse et exquise, attestent les savants religieux et les artistes.”
Paradoxalement, les passages où Durtal lit mais surtout voit Chantelouve sont plutôt intéressant et mieux maîtrisés (indice : l’arroseur arrosé, bien fait tiens!).
“Sans approfondir ces questions sur lesquelles on pourrait discuter pendant des ans, j’admire, s’écria Durtal, la placidité de cette utopie qui s’imagine que l’homme est perfectible ! — Mais non, à la fin, la créature humaine est née égoïste, abusive, vile. Regardez donc autour de vous et voyez ! une lutte incessante, une société cynique et féroce, les pauvres, les humbles, hués, pilés par les bourgeois enrichis, par les viandards ! partout le triomphe des scélérats ou des médiocres, partout l’apothéose des gredins de la politique et des banques ! et vous croyez qu’on remontera un courant pareil ? Non, jamais, l’homme n’a changé ; son âme purulait au temps de la Genèse, elle n’est, à l’heure actuelle, ni moins fétide. La forme seule de ses péchés varie ; le progrès, c’est l’hypocrisie qui raffine les vices !”
Pour autant, le roman est beaucoup moins satanique et surtout pas du tout surnaturel… Je pense lire les œuvres décadentes (je crois) de Huysmans, A rebours (1884) et En rade (1887). Pour ce qui est de la “trilogie de la conversion” je passerai mon tour je pense.
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Sexualité?
Que signifie ton surnom?
Si vous pouviez rencontrer n'importe qui sur terre, qui choisiriez-vous de voir?
À quoi pensez-vous le plus souvent?
Comment allez-vous?
Avez-vous déjà teint vos cheveux?
Quelle est la couleur de tes yeux?
Portez-vous des lentilles de contact / des lunettes?
Avez-vous des tatouages?
Avez-vous des piercings?
Dormez-vous avec ou sans vêtements?
Bois-tu?
Est-ce que tu fumes?
Êtes-vous une mauvaise personne?
Avez-vous des surnoms?
Aimez-vous l'odeur de l'essence?
Dernier livre lu.
Vous ont-ils déjà frappé?
La première chose que vous faites le matin?
La dernière chose que tu fais le soir?
Que changeriez-vous dans votre corps?
Avez-vous déjà eu des expériences sexuelles?
Avez-vous déjà fait un joint?
Faites-vous des épilations?
Vous le jurez?
Phrase préférée?
Quel est votre téléphone portable?
Avez-vous déjà détesté quelqu'un?
Que feriez-vous avec le chirurgien plasticien?
Comment vous imaginez-vous dans 20 ans?
Envie-tu quelqu'un?
Dites-moi la première chose qui vous vient à l'esprit lorsque vous entendez le mot «cœur».
Quelle est la dernière chanson que vous avez écoutée?
Quelle est votre couleur préférée?
Quelle heure est il?
Quelles sont vos boutiques préférées pour magasiner?
Avez-vous déjà aimé quelqu'un que vous n'avez pas dit?
Aimez-vous quand les gens jouent avec vos cheveux?
Est-ce que parler de sexe vous met mal à l'aise?
À quand remonte la dernière fois que vous avez dit à quelqu'un que vous l'aimiez?
Pensez-vous que quelqu'un a des sentiments pour vous?
Pensez-vous que quelqu'un pense à vous en ce moment?
Avez-vous déjà pleuré pour un garçon / une fille?
Y a-t-il quelqu'un que vous n'oublierez jamais?
Avez-vous déjà souhaité quelqu'un que vous ne pourrez jamais avoir?
Quelle est la chose la plus douce que quiconque ait jamais faite pour vous?
Qu'aimeriez-vous que quelqu'un fasse qui soit vraiment gentil avec vous?
Avez-vous déjà été trahi?
Tu es amoureux?
Être soi-même est-il important dans une relation?
Quelle est la première chose que vous remarquez chez quelqu'un?
Avez-vous déjà embrassé quelqu'un de plus âgé que vous?
Pouvez-vous dire comment s'est passé votre premier baiser?
Pouvez-vous dire comment s'est passé votre premier baiser?
La dernière personne que tu as embrassée?
Préférez-vous être derrière la caméra ou devant elle?
Êtes-vous le genre de personne que vous aimeriez avoir comme ami?
Où est votre meilleur ami en ce moment?
Économisez-vous ou dépensez-vous tout de suite l'argent que vous recevez?
Pouvez-vous toucher votre nez avec votre langue?
Petit ami?
Combien de relations avez-vous eues?
Où étiez-vous hier?
Croyez-vous à la chance?
Avez-vous déjà voulu être quelqu'un d'autre?
Poster une photo de vous-même.
Si vous aviez un garçon et une fille, comment les appelleriez-vous?
Si tu étais une chanson, que serais-tu?
Si vous étiez une odeur, que seriez-vous?
Vous pouvez choisir d'avoir une superpuissance. Qu'est ce que ça serait?
Avec quelle célébrité de la musique coucherais-tu?
Vous avez la possibilité de partir maintenant. Où iriez-vous?
As-tu un meilleur ami?
Quelle chanson vous met toujours de bonne humeur?
Quels sont les 4 derniers chiffres de votre numéro de mobile?
Que feriez-vous si vous aviez un mois à vivre?
Pour vous, qu'est-ce qui rend une relation formidable?
Comment pouvez-vous être conquis?
Quelle pointure portez-vous?
Quelle est la meilleure décision que vous ayez jamais prise?
Croyez-vous en la magie?
Y a-t-il déjà eu des rumeurs à votre sujet?
Tenez-vous généralement rancune contre les personnes qui vous ont fait du tort?
Quelle est la dernière chose que vous avez achetée?
L'amour ou la luxure?
Portez-vous des chaussettes?
Y a-t-il quelque chose de rose à moins de 3m de vous?
Quel est votre animal préféré?
Êtes-vous satisfait de la personne que vous êtes devenue?
Quel son vous dérange?
Et lequel aimez-vous?
Étendez votre bras droit. Que touchez-vous en premier?
Avez-vous déjà suivi un régime?
Quel est le dernier mensonge que tu as dit?
Si vous êtes à l'extérieur, quelle est votre activité préférée?
Est-ce que quelque chose est déjà resté coincé dans votre nez?
À quand remonte la dernière fois que vous avez joué de la guitare aérienne?
Quel est votre talent le plus étrange?
Ont-ils déjà écrit une chanson pour vous?
Vous considérez-vous comme un bon ami?
À quoi ressemble votre petit ami idéal?
Tu aimes le chocolat?
Avec qui iriez-vous en vacances?
Quelle est votre chanson préférée?
Préférez-vous la mer ou la montagne?
Avez-vous déjà pensé au suicide?
Comment voudriez-vous mourir?
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Si je n'en ai la force, Accablé de rancœurs, Quand la haine est féroce, Secoue l'âme et m’écœure, Je me mords à mort, Je me mords à tort, Sans songer aux pardons, À mon bel ange blond, Ma bouche se tord, Mes dents me dévorent, Et le goût du sang, En moi se répand, Le dégoût des gens, De ma vie s'éprend. Je me tais et je tue Mon bon cœur lors n'est plus Si j'oublie l'Ange Haziel Si j'écoute Azazel Me reste la morsure Regrettable blessure.
[Mon petit hommage à la chansonnette "Addictions" (2009), interprétée par le groupe de musique Superbus, et dont le premier couplet s'ouvre sur ces paroles avilissantes entremêlant astucieusement érudition, luxure et cannibalisme : "Mords-toi la langue // Tu vas finir par te taire // Rien n'est plus tendre //Qu'un petit bout de chair".]
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NERO GALLERY è lieta di presentare HORNY MELODIES Petites Luxures solo show – Dal 27 gennaio al 8 marzo 2024 Dopo il successo della sua prima mostra personale nel 2021, “Cinema d’Art et des Fesses”, Nero Gallery è lieta di ospitare per la seconda volta l’artista francese che ha dato una nuova vita all’arte erotica, con il suo tratto minimalista carico di leggerezza e umorismo: Petites Luxures. Dopo il cinema, questa mostra omaggerà un’altra forma di espressione artistica: la musica. “Horny Melodies” raccoglie più di quaranta opere inedite, di varie tipologie: disegni, tele, sculture, paper cutout, strumenti musicali customizzati e tante altre sorprese.
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Femme de main
Amandine la Satin, de son vrai nom Marie Romée
Âge: Au début de l'histoire, elle a environ 19 ans, et 29 vers la fin. Couleur d'yeux: Bleu-vert Teint: pêche clair Cheveux: Blond de champagne Taille: Environ 153 centimètres Poids: Environ 46 kilos Profession: "Officière" (ou plus honnêtement prostituée et tortionnaire), tueuse à gage
Histoire: Marie naquis d'une femme ayant perdu maison, travail, mari et sa vue à la suite d'un incendie, dans l'enceinte d'un Hôpital Général dont les conditions d'existance n'étaient si différentes d'un camp de concentration. Elle fut l'unique survivante de son dortoire, grâce aux soins de sa mère et de sa soeur ainée. À l'âge de treize ans, sa beauté et son charactère têtu la firent remarqué des autorités, et elle fut choisit pour être l'un des "bijoux", c'est-à-dire d'avoir la possibilité d'obtenir une position d' "officière" ou de tortionnaire en échange de faveurs sexuelles. C'est alors qu'elle prit le nom d'Amandine la Satin, en raison de la texture de ses cheveux. Sa position lui permit d'accéder à une hygiène plus fréquente et à des traitements pour adoucir sa peau. Elle réussi à obtinir une certaine liberté de circulation, qu'elle utilisa au départ dans une tentative désespérée de sauver sa soeur ainée qui l'avait tant aimée, mais après la mort de celle-ci, ces sorties servirent surtout à ses plaisirs personnels. Amandine s'habitua aux parties fines, aux plaisirs sexuels de ce milieu où les tabous ordinaires n'existaient pas. De plus en plus belle et pervertie, elle devint la maîtresse de nombreux magistrats, jouant petit à petit avec leurs sentiments pour gagner leurs confiance. Ils lui payèrent des cours de gymnastiques. Elle finit par devenir une tueuse à gage, puisque ceux-ci avaient besoin de quelque pour faire le sale travail d'effacer les traces de leurs frasques (en faisant assassiner par exemple des témoins de leurs ébas extra-conjugaux ou de leurs opposant politique légalement et évidement innocents). Personalité: Amandine la Satin a une personalité extrêmement cruelle, sadique et perverse. Un de ces passe-temps favori est d'enfoncer des épingles dans les seins et les parties génitales de ses victimes après les avoir violer, ou encore de les fouetter jusqu'à ce que leurs dos soit réduit en lambeaux de chairs. Même les enfants ne l'attendrissent pas, et n'hésite pas à les effrayer avec des chiens ou de leurs faire subir les même sévices qu'à ses victimes adultes. Ses préférences sexuelles sont plutôt lesbienne. Son estime d'elle-même est très basse sous un air sur-joué d'arrogance, ce qui combiné à son lesbianisme et son sadisme extrême, la pousse à s'acharner sur les femmes et les filles qu'elle juge plus jolies, plus aimées ou plus chastes qu'elle-même. Elle complexe notamment sur sa petite poitrine et sur ses lèvres minces. Son péché dominant est cependant l'envie plutôt que la luxure. Ayant été privée de son innocence trop jeune, elle veut en privé autruit. Même si elle a obtenu sa position sociale en partie en couchant avec des magistrats, cela ne fit pas d'elle une idiote. C'est d'ailleurs son intelligence supérieur qui lui permit de devenir autre chose qu'un éventuelle cadavre à disséquer ou une esclave sexuelle. Mais elle est trop complexée et isolée pour s'en rendre compte. Malgré le but de "réforme des pauvres" de l'institution qui l'a receuillit, elle n'a jamais appris de métier honnête, et sait à peine cuisiner. Elle n'a jamais passé plus d'une journée en dehors de l'Hôpital Général. Elle ne peut donc pas, avec toute la velonté du monde, sortir de ce milieux tortionnaire. Or, ayant embrassé avec trop de complaisance les plaisirs sadiques, elle n'en a aucune. Cependant, sous tout cela, il lui reste un petit peu d'humanité. Elle se dévoua corps et âme à la survie de sa grande soeur qui l'avait élevée et soignée, qui fut son unique réconfort dans les dortoires crasseux à l'air croupi, où les officières les rouaient de coups et les privaient de nourriture à la moindre faute. Après la mort de celle-ci, elle s'assura fit tout son possible pour ne pas que son corps finisse dans un charnier après dissection et dépessage mais dans une sépulture chrétienne, intacte pour se décomposer naturellement. Malgré sa grande cruauté, elle est prête à épargnée n'importe qui à qui elle trouverai une ressemblance physique ou morale à sa défunte soeur.
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