#peintre japonais
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justsomepaintingsforyou · 2 years ago
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Those with no category
Rosy Light, Oscar Florianus Bluemner | 1927
Temma Bridge at Settsu Province, Katsushika Hokusai | 1834
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colorel11 · 1 year ago
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Yoshida Tōshi,mort le 1/7/1995 est un peintre d'ukiyo-e japonais L'ukiyo-e est un mouvement artistique de l'époque d'Edo (1603-1868) comprenant non seulement une peinture populaire, mais aussi et surtout les estampes japonaises gravées sur bois
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codumofr · 1 month ago
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Le Bento ou Ô-Bento est un repas traditionnel au Japon consommé dans une boîte. Le trait le plus caractéristique de ce repas traditionnel est la “Bento Banko” qui est la boîte contenante en soit, le repas. Ce nom pourrait être grossièrement traduit par “Gamelles”. En elle-même, la boîte n’est apparue que durant l’époque Azuchi-Momoyama, s’étalant de 1568 à 1600. Cette période, courte, est dominée par une école d’art du nom de Kano (Kano-Ha) fondée par Kano Masanobu, Peintre en chef du Shogunat Ashigaka. Laïque et professionnelle, cette école d’art perdura jusqu'au vingtième siècle où l’atelier devenu intenable déclina et disparut progressivement. Ainsi, le repas est traditionnellement consommé durant la période de l’Hanami où les Cerisiers du Japon perdent leurs feuilles ou bien durant une cérémonie du thé. Ce n’est qu’avec la récente popularité de la cuisine Japonaise et ainsi, l’extension de cette dernière dans le monde entier que le mot “Bento” est devenu le terme quasi-universel pour désigner les repas à emporter Japonais. Nous retrouvons la consommation de telle préparation, mais avec un nom de boîte différent durant l’ère Heian, période particulièrement riche en termes de culture et d’art, s’étalant de 794 à 1185. Ainsi, lors de l’Osechi Ryori, repas du Nouvel An Japonais, le repas est dans une boîte du nom de “Jubako”. Se composant à l’origine d’un plat mijoté avec du Saké ou de la Sauce Soja du nom “Nimono” accompagné de Légumes, Fruits de Mers, Poissons ou bien de Tofu. Au fil du temps et de l’évolution de la société, une variété plus grande plats ont été développée pour l’Osechi Ryori et donc, les “Boîtes Jubako” se sont aussi développées. Nous pouvons ainsi retrouver : l’Ichi-no-Ju composé de mets se mariant avec une consommation de Saké ; le Ni-no-Ju composé de plats dit “Yakimono” et “Sunomono”, respectivement signifiant de la nourriture cuite à la grille et de la nourriture marinée ; le San-no-Ju qui est un repas avec des produits provenant de la Mer ou de la Montagne ; le Yo-no-Ju composé de plats mijotés et le Go-no-Ju qui est une boîte laissé vide, symbolisant ainsi le besoin de bonheur qui devrait prendre place dans la boîte et donc le besoin de ce dernier.
Ce n’est qu’au début du huitième siècle qu’un livre d’histoire compile différentes notes où sont décrits des gens transportant du “Hoshi”, riz cuit à la vapeur et séché dans le but d’être utilisé comme repas portable lors de voyages plus ou moins longs. Les Japonais ne prenaient que deux repas par jour jusqu’à la fin du dix-septième siècle et les deux repas étaient un simple petit-déjeuner et un dîner. Ce n’est qu’au milieu de l’Époque Edo s’étalant de 1600 à 1868 que les trois repas par jour se généralisent grâce à l’introduction des lampes à huile et de leur lumière au niveau du début du dix-huitième siècle. Ainsi, la durée d’éveil et d’activité des travailleurs s’étalant, ils devinrent quasiment nécessaires d'apporter un repas du soir pour pouvoir tenir la cadence. Les agriculteurs de cette époque remplissaient d’aliments tels que du Riz d’Orge ou des Prunes Salées des récipients en bois courbé du nom de “Menpa” et les emportaient avec eux au travail. Excellents pour absorber l'humidité et assurer la ventilation, ces récipients permettaient donc de conserver les repas frais et délicieux même lorsqu’ils avaient refroidi. Toutefois, pour les travaux de plus grosse nécessité, un “Oke” qui est un grand seau de bois traditionnel était rempli de boulettes de riz et d’un plat d’accompagnement du nom “d’Okazu” et servait donc pour un repas collectif. Pour les pêcheurs, le travail en mer étant moins facile à terme de nourriture, ils apportent une quantité de riz mesurais dans une unité correspondante à une tasse japonaise d’environ 180 millilitres de riz, cette unité est le “Go” et ils en apportent en mer 7 go de Riz. Une quantité d'environ 1260 millilitres de Riz. Ce riz était entreposé dans une boîte à deux étages fabriquée en Cyprès Japonais du nom de “Funabento” et l’accompagnement (Okazu) est dans ce cas du poisson péché par le pécheur lui-même. Le Funabento n'avait pas qu’une utilisation de transport de repas, mais pouvait aussi servir de bouée de sauvetage pour les pêcheurs tombés à l’eau, de seau lorsqu’il est nécessaire d'écoper le bateau lors de fuite d’eau. Pour finir, le rôle du “Bento” n’avait pas qu’une dimension pratique et fournisseur d’énergie aux travailleurs. On peut le retrouver utilisé dans l’agrément d’occasions spéciales d’elle que le Hanami (Coutume traditionnelle japonaise d'apprécier la beauté des fleurs.) et été à l’époque réservé aux nobles et aux samouraïs. Ce n’est qu’au milieu de l’époque Edo (1603 à 1867) que la pratique se développera et atteindra les couches populaires. À cette époque, le repas classique du Bento était des Onigiris en étant enroulée dans des feuilles de bambou et ce n’est que pendant l’ère Taisho, qu’une évolution significative sera faite. Les Boîtes d’Aluminium de par leurs apparences argentées et de sa facilité de nettoyage devient un symbole de luxe.
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abridurif · 11 months ago
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Ce qu’on appelle en littérature un style existe en peinture, c’est un ensemble de lignes et de couleurs. Et l’on reconnaît un écrivain à sa façon d’envelopper, de dérouler ou de briser une ligne dans « sa » phrase. Le secret de la grande littérature est d’aller vers une sobriété de plus en plus grande. Pour citer un auteur que j’aime, une phrase de Kerouac finit par être une ligne de dessin japonais, elle appuie à peine sur le papier. Un poème de Ginsberg est comme une ligne expressionniste brisée. On peut ainsi imaginer un monde commun ou comparable entre des peintres et des écrivains. Hervé Guibert, entretien avec Gilles Deleuze, «La peinture enflamme l’écriture», in Articles intrépides, Gallimard, 2008, p. 144
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chansonsinternationales · 7 months ago
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Qui était vraiment Foujita, grand peintre japonais des années folles ?
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detournementsmineurs · 1 year ago
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Min Tanaka dans "Hokusai" biopic d'Hajime Hashimoto sur le peintre japonais Hokusai (1760-1849), mai 2023.
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VENDREDI 17 NOVEMBRE 2023 (Billet 2 / 3)
Autant les salles réservées à l’Exposition Modigliani bruissaient de monde, autant nous nous serions crus dans un lieu saint, de méditation plutôt… dans les deux qui abritent les « Nymphéas » de Monet.
Au centre, une grande banquette ovale, comme la pièce. Les visiteurs s’y attardent et admirent dans le silence le plus complet les grands panneaux tout autour d’eux. Certains les longent, lentement, s’arrêtant parfois pour photographier, de loin, un détail.
Ce n’est bien sûr pas la première fois que nous pénétrons dans ces salles mais l’émotion est toujours la même. C'est une expérience immersive. La maîtrise de Monet dans la représentation de la lumière et des nuances crée une atmosphère… presque mystique.
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L’histoire des Nymphéas
Le cycle des Nymphéas occupa Claude Monet durant trois décennies, de la fin des années 1890, à sa mort en 1926, à l’âge de 86 ans. Ce cycle est inspiré du jardin d’eau qu’il a créé dans la propriété de sa maison de Giverny en Normandie. Il aboutit aux ultimes grands panneaux donnés par Monet à l’Etat en 1922 et visibles au musée de l’Orangerie depuis 1927.
Deux types de compositions sont définies par l’artiste dès l'origine du cycle. L'une englobe les rives du bassin et leur végétation touffue : c'est celle des Bassins aux Nymphéas de 1899-1900, puis des Ponts japonais des dernières années.
L'autre, joue au contraire sur le vide, elle ne retient que la nappe d'eau et sa ponctuation de fleurs et de reflets : c'est celle des Paysages d'eau (1903-1908), gros plans aux cadrages serrés, organisés par séries, dont chaque pièce se présente comme un fragment, c'est aussi et surtout celle du décor mural. C’est à partir de l’année 1914 que le peintre (74 ans) consacre toute son énergie à la réalisation de sa « grande décoration ». Celle-ci prend sa forme définitive dans le dispositif de l'Orangerie : une frise panoramique se déployant presque sans rupture et enveloppant le spectateur dans deux salles de forme d’ellipse.
Cette entreprise l’absorbe durant plusieurs années semées d’obstacles et de doutes pendant lesquelles l’amitié et le soutien d’un homme s’avèrent décisifs. Il s’agit de l’homme politique Georges Clemenceau. Monet partage avec Clemenceau des idées républicaines et l’on connaît par ailleurs le goût prononcé pour les arts de Clemenceau. Le 12 novembre 1918, au lendemain de l’armistice, Monet écrit à Georges Clemenceau : « Je suis à la veille de terminer deux panneaux décoratifs, que je veux signer du jour de la Victoire, et viens vous demander de les offrir à l’Etat, par votre intermédiaire. » L’intention du peintre est donc d’offrir à la Nation un véritable monument à la paix.
L’acte de donation intervient le 12 avril 1922 pour 19 panneaux, mais Monet, insatisfait, souhaite toujours plus de temps pour parfaire son œuvre. Clemenceau a beau lui écrire la même année « vous savez fort bien que vous avez atteint la limite de ce que peut accomplir la puissance de la brosse et du cerveau », Monet les conservera finalement jusqu’à sa mort en 1926.
Le Musée de l’Orangerie abrite huit compositions des grands Nymphéas de Monet réalisées à partir de différents panneaux assemblés les uns aux autres. Ces compositions possèdent toutes une hauteur égale (1,97 m). Rien n’a été laissé au hasard par l’artiste pour cet ensemble qu’il a longuement médité et dont l’installation s’est faite selon sa volonté en lien avec l’architecte Camille Lefèvre et avec l’aide de Clemenceau. Il prévoit les formes, les volumes, la disposition, les scansions et les espaces entre les différents panneaux, le parcours libre du visiteur par le biais de plusieurs ouvertures entre les salles, la lumière zénithale du jour qui inonde l’espace par beau temps ou au contraire se fait plus discrète lorsqu’elle est voilée par les nuages faisant ainsi vibrer la peinture au gré du temps…
L’ensemble est l’une des plus vastes réalisations monumentales de la peinture de la première moitié du XXe siècle et représente une surface d’environ 200 m2. Les dimensions et la surface couverte par la peinture environne et englobe le spectateur sur près de 100 mètres linéaires où se déploie un paysage d'eau jalonné de nymphéas, de branches de saules, de reflets d'arbres et de nuages, donnant « l’illusion d'un tout sans fin, d'une onde sans horizon et sans rivage » selon les termes mêmes de Monet.
Offerts par Claude Monet à la France le lendemain même de l'armistice du 11 novembre 1918, les Nymphéas sont installés selon ses plans à l'Orangerie en 1927, quelques mois après sa mort. Ces salles ont été surnommées par un critique : « la Sixtine de l’Impressionnisme ».
(Source : « musee-orangerie.fr »)
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Marina au sortir de sa période « méditative »…
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Et, chose très surprenante, notre Expo n’a été précédée ni suivie par un déjeuner dans un p’tit resto du quartier. D’abord le Menu du Chef Boris Campanella qui dirige le restaurant « L’Ecrin » du Crillon, malgré ses origines siciliennes, nous a modérément plu, le restaurant « Chez Maxim’s » sent la naphtaline depuis longtemps, le « Jules Verne » triplement étoilé de Frédéric Anton, au 2ème étage de la Tour Eiffel, était trop loin… bref, nous sommes retournés chez nous dans le 15ème, le ventre vide et avons attendu le soir avant de dîner.
En vrai, ce n’est pas vrai du tout, nous avons commencé un régime depuis le début de la semaine. 2 kilos à perdre avant le Sénégal. Nous reprenons à notre compte la phrase de Napoléon Bonaparte : « Quand on veut on peut… et quand on peut on doit ! » (que nous soufflons à l’oreille de tous ceux qui veulent faire un régime). Et pour l’instant, on s’y tient !
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joao-gomes-blog · 2 years ago
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Fujiyama Nobu, peintre contemporain japonais de style Nihonga (peinture classique japonaise). Vol des grues vers la lune d'or.
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a--r--i--s · 1 year ago
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«Nature morte avec tranches de saumon et sardines» (1924), par par Tsuchida Bakusen (土田麦僊), peintre Japonais de l'école Nihonga (日本画). Ce mouvement s’inscrit dans la tradition de la peinture japonaise traditionnelle, tout en s’autorisant quelques emprunts à l’art moderne et au style occidental. 
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hapapycollectorturtle · 2 years ago
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Regardez "HOKUSAI Bande Annonce (2023) La vie du célèbre peintre japonais" sur YouTube
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🌸🪷🌸
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eurydicenomadsoul · 1 year ago
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Giverny le sacre du printemps
Giverny le sacre du printemps 21/05/2023
Un matin de printemps
flâneurs à Giverny
sans boussole ni laisse
Goûtant à l'harmonie et la délicatesse
des amours éternelles de l'amant des maîtresses
en fleurs assurément !
A leur peintre fidèles
devenus dieux vivants d'ésotériques messes
Encensoirs raffinés sur les ponts japonais
les glycines balancent
un doux parfum d'enfance et leur magnificence
nous laisse stupéfaits
Un bien petit jardin
par tant de pas foulés
pur joyau dont l"écrin
est la sérénité
L'amour de la nature
par le pinceau perdure
ô mariage essentiel de la terre et du ciel !
que l'artiste a sacré
pour la postérité
Au bord des allées fières
les iris messagers
aux corolles altières
célèbrent ta beauté
Et au bord du bassin
où la foule se presse
pour voir les nymphéas
Sublimes aléas
Quelques-uns apparraissent
esquissant le Dharma
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lleah · 2 years ago
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Cinéma asiatique 
Chine
Jia Zhangke
Lou Ye
    Suszhou River (2000)
(Esthétique documentaire mais fiction d’une femme qui se suicide et se transforme en sirène, portrait de la ville)
    Purple Butterfly (2003)
Shanghai des 30’s prod officielle studio de propagande
    Une jeunesse chinoise (2006)
Sur la resistance et les manifestations étudiantes. Film censuré et interdiction de tourner pdt 5ans ap ça
Wang Bing
    Une nuit d’ivresse printanière (2009)
Relation homosexuelle encore censuré
    Love and Bruises (2011)
    Mistery (2012) prod off
    Blind massage (2012) prod off
Wong Xiaoshuai
    The Days (93) (Portrait d’un couple de peintre, tourné sans autorisation en noir et blanc)
Wang Chao
    Jour et nuit (soutenu par des prod étrangère France)
Wu Wenguang
    Bumming in Beijing 1er doc indép
Zhung Yuan
    Les batards de Pékin (93) (suit un rockeur en tournée voit les transformations de Pékin)
Hong-Kong
John Woo
    The Killer
    Les 3 royaumes (2008)
    A toute épreuve
Wong Karwai    
    Chunking Express
    Nos années sauvages
Taïwan
Ang Lee
    Tigre et Dragon (2000)
Hou Hsiao
Edward Yang
Sud-coréen
Par Chan-Wook
Old Boy
Japonais
Kurosawa
    Vivre
    Je ne regrette rien de ma jeunesse
    La légende du grand judo
    Entre le ciel et l’enfer
    Karo
Studio Gibli
Miyazaki
    Le château dans le ciel
    Princesse mononoke
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plaques-memoire · 2 days ago
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Plaque en hommage à : Kiki de Montparnasse
Type : Lieu de résidence
Adresse : 1 rue Bréa, 75006 Paris, France
Date de pose : 15 décembre 2021 [source]
Texte : Ici vécut les dernières années de sa vie Alice Ernestine Prin (1903-1953), dite Kiki de Montparnasse, modèle et muse d'artistes célèbres, danseuse, chanteuse, peintre, actrice
Quelques précisions : Kiki de Montparnasse (1903-1953), de son vrai nom Alice Prin, est une artiste et modèle français. En tant que modèle évoluant dans les milieux artistiques de Montparnasse, elle fréquente de nombreux artistes (dont le peintre japonais Tsugouharu Fujita), devenant la compagne ou la maîtresse de plusieurs d'entre eux. Elle produit également ses propres œuvres et monte sur la scène de plusieurs cabarets en tant que chanteuse. Affaiblie par une consommation excessive d'alcool et de drogue et une vie parfois déséquilibrée, elle décède à l'âge de 51 ans.
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goheigohei · 12 days ago
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NICHOLS CANYON ROAD / Cela aurait pu être un autre de mes projets Jardin à Chaumont sur Loire début 2000 (Il m'acceptait à condition que). Dans une époque ou nous n'avions que le Fax pour converser. Et converser avec un de nos grands peintres contemporains, s'est révélè très irréalisable, presque impossible. Il est aussi grand, qu'il est discret. Mon idée était de rentrer dans la peinture de David Hockney, et d'en faire resortir ce que vous ne voyez pas. Un peu comme les paysagiste japonais. J'espère pouvoir et avoir l'opportunité de le réaliser un jour, pour lui rendre hommage..
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rosesinvalley · 3 years ago
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Yayoi Kusama, artiste du siècle
Femme artiste rebelle qu'on admire. Toujours dans l'air du temps car toujours bien vivante. Yayoi Kusama, artiste peintre, performeuse, écrivaine, sculptrice, avant gardiste japonaise du 20ème siècle a marqué le temps de ses petits points.
Petit portait en perspective.
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Née en 1929, elle dessine depuis l'âge de 10 ans.
Marquée par la guerre de 1945 du coté japonais, par la société patriarcale japonaise et sa famille toxique, elle entreprend des études d'art et s'affirme dans  ses prises de positions anti conventionnelles. 
Prise d'hallucinations « self obliteration » celles-ci seront le fruit de son œuvre, des visions remplis de tâches colorées, de points de ses visions incontrôlables. Elle exorcise ses névroses par l'art.
Sa vie d'artiste à New York en 1958 la propulse dans le mouvement pop art et le psychédélique.
« Ma vie est un pois perdu parmi des milliers d'autres pois… ».
"En 1966 à New York se déroule le premier happening de Yayoi Kusama, 14th Street Happening, qui a lieu en bas de son loft sur East 14th Street. L’artiste est allongée au beau milieu du trottoir sur un matelas recouvert de formes phalliques protubérantes elles-mêmes couvertes de pois." wiki
Films, performances s'enchainent dont une avec du body painting.
Elle retourne au Japon en 1973 très malade. Elle fonde la « Kusama Fashion Company Ltd » autour de la mode, Elle s'exporte, écrit des livres et se repose, suivi par Warhol et les artistes de l'époque.
De 1986 à 93, elle enchaînent des expositions et en 94 crée des sculptures en plein air.
Rétrospective de son oeuvre en 1999 qui tournera dans les grands musées.
En 2004, son exposition personnelle "KUSAMATRIX" a débuté au Mori Museum de Tokyo. Cette exposition a attiré 520 000 personnes. 
En 2006, elle collabore avec Marc Jacobs, Louis Vuitton... lire sa bio
Voici des vidéos de ses performances:
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"Pour Kusama, la peinture est une passion, mais créer est aussi pour elle opérer une catharsis des angoisses dont elle est victime. Elle dit faire de « l’art psychosomatique». Elle crée à partir de sa maladie, de ses névroses. Elle reproduit en des centaines, en des milliers d’exemplaires ce qui l’effraie (les formes phalliques, les pois qui représentent la disparition ou la mort du moi dans l’environnement) pour ainsi se débarrasser de ce sentiment d’effroi. Elle parvient ainsi à exorciser ces angoisses." lire l'article de wiki 
C'est une femme artiste unique qui fut récompensée, à méditer. Que faire de sa maladie, peut être un chef d'oeuvre?
En savoir plus : http://yayoi-kusama.jp/e/happening/
Article formidable par Formidable mag bien détaillé.
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Portrait récent
Pumpkin, 1990
Happening 
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ondessiderales · 3 months ago
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Moonlight Disco
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潤んだ (urunda) : avoir les yeux remplis de larmes
ロマンチック Shyなboy (Romantic Shy na boy) : l* ***t
Memento : m**i
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