#peintre allemand
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justsomepaintingsforyou · 2 years ago
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Rosy Light, Oscar Florianus Bluemmer | 1927
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leehamwriting · 1 year ago
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Soutine et l'écolier bleu - Géraldine JEFFROY - 2019 - Ed. Fondencre
Quatrième de couverture − Marcel, gronda Soutine, maintenant prends la pose que je t’ai expliquée et ne me regarde pas travailler !− Tu mets directement la couleur ?− Que dis-tu ?− La peinture, tu la mets comme ça: paf! en gros paquets, sans dessiner ?− Oui.− Et si tu t’rompes ?− On prend des risques en peinture… parfois même, c’est le drame… mais dessiner c’est retarder le geste…
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aisakalegacy · 19 days ago
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Été 1928, Hylewood, Canada (3/3)
Layla s’est mise à la peinture. Elle a passé l’été sur un coin de l’île où les touristes ne s’aventurent pas trop à peindre des aquarelles. Je crois que chaque génération produit son lot d’artistes. Ma grand-mère écrivait, ma Tante Marie était sculptrice… Il parait même qu’une de mes grandes-tantes était chanteuse d’opéra. Peut-être que Layla sera peintre ! Enfin, si Maman le permet. Après ce qui est arrivé à la Tante Marie, je doute qu’elle laisse facilement une jeune fille poursuivre une carrière artistique…
Ils ont ouvert un pont, le Pont de la Paix, à Fort Erie sous Toronto, qui relie l’Ontario à la ville de Buffalo aux Etats-Unis. La conséquence de cela est que cette année, la quantité de touristes dans les Mille Îles est massive. Avec tous ces touristes, Maman ne sait plus où donner de la tête. De nombreux restaurants et hôtels fleurissent un peu partout sur les différentes îles en ce moment. Je crois que je n’ai jamais vu autant de pensionnaires au sanatorium, ce qui a l’air de déranger ses gérants plus qu’autre chose, sûrement parce qu’ils ne sont ni habitués, ni équipés pour un tel influx. En fait, quand on y pense, ce problème est général à Hylewood : nous n’avons pas les infrastructures nécessaires pour accueillir tout ce monde…
Je vais donc te partager le projet que je mûris depuis quelques années : je pense que je suis prêt à le mettre en place. L’Ontario connait une forte croissance économique grâce aux progrès réalisés dans des secteurs tels que la manufacture, l'exploitation minière et l’agriculture - produits que ma compagnie transporte à travers le fleuve. Les villes de la provinces sont en train de s’étendre : de très nombreux campagnards viennent s’installer à la ville pour travailler dans les très nombreuses manufactures qui fleurissent un peu partout. Autant te dire qu’en ce moment, les affaires prospèrent pour la CSL. J’ai même reçu une augmentation récemment. Je ne veux pas qu’Hylewood soit laissée de côté par ce bond en avant.
Alors voilà ce que j’aimerais faire… J’ai demandé un crédit à la banque, car je voudrais construire un port. Il n’y a pas de vrai port à Hylewood, juste une plage sur laquelle les barques accostent de façon anarchique. Les malles des touristes sont jetées sur la plage, certaines sont emportées par la rivière, c’est une horreur. Ce que j’aimerais, c’est construire une plateforme qui permettrait à des bateaux, peut-être même des ferrys, de pouvoir s’amarrer de façon plus confortable. Cela aurait nécessairement des retombées positives pour l’île. A l’heure actuelle, chaque famille possède sa barque. Si nous avions un port, alors peut-être qu’une liaison quotidienne entre Gananoque et Kingston pourrait être installée…
Le banquier a dit qu’il allait étudier ma demande, j’attends sa réponse. Je n’en ai pas encore parlé à ma famille, alors je te conjure de ne rien en dire, parce que ta mère ne manquerait pas d’en parler à la mienne, et alors j’aurais honte si ce projet ne fonctionnait pas. J’aurais peur qu’elle essaye de m’en dissuader, car c’est un risque, et étant donné la situation financière de ma famille, ce n’est peut-être pas le moment de prendre des risques… Mais je m’encrasse à la CSL ! J’en ai ras-le-bol des trajets en voiture quotidiens. Je ne me vois pas aménager de façon permanente à Kingston, déjà parce que les loyers y sont trop chers, et d’autre part parce que j’aime trop les Mille Îles. Je ne veux plus travailler pour autrui, j’ai envie d’être mon propre patron, et avec ce que cela me rapporterait si je réussissais, j’aurais de quoi sortir ma famille du besoin pour de bon. Vraiment, je t’en prie, n’en dis rien à personne.
Permets-moi de t’embrasser affectueusement.
Lucien LeBris
[Transcription] Dolorès LeBris : Je pense que la langue allemande enlève l’authenticité de mes sentiments. Plutôt que de chanter, je devrais scander. Ou alors, ne garder que les parties chantées qui passeraient également en français. Vous êtes d’accord, Papa ? Jules LeBris : Oui oui, ma chérie, c’est bien. Dolorès LeBris : ♩ Ô AaAaAaAlgiiiiiiiiiiii ♫ Agathon LeBris : Qu’est-ce qu’il se passe ici ? Il est encore tôt pour égorger le cochon. Dolorès LeBris : Sans TOI, je ne peux PAS VIVRE !!! Je ne peux PAS mourir. Agathon LeBris : La mort serait un doux répit si elle me délivrait de ce vacarme de l’enfer. Dolorès LeBris : ALGI ! Tu LAVES mon âme et mon CORPS !!! Agathon LeBris : Et mes oreilles. Dolorès LeBris : Merci, cher public, merci. Je souhaiterais avant tout remercier mon père, ma mère, et mon grand-frère Agathon grâce à qui cette performance a été possible. Agathon LeBris : Par pitié, ne me crédite pas dans cette tentative d’assassinat du bon goût…
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philippebresson · 3 months ago
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Quand l’actrice Romy Schneider disparait le samedi 29 mai 1982 à l’âge de 44 ans, Alain Delon vient se recueillir longuement dans la chambre où elle repose. Il écrira pour elle cette dernière lettre. Je ne sais pas si Delon était "intelligent", Marie Laforêt prétend qu'il ne l'était pas..., mais cette lettre est terriblement belle. Elle semble avoir été écrite avec le sang de son cœur. Et elle me touche, terriblement.
« Je te regarde dormir. Je suis auprès de toi, à ton chevet. Tu es vêtue d’une longue tunique noire et rouge, brodée sur le corsage. Ce sont des fleurs, je crois, mais je ne les regarde pas. Je te dis adieu, le plus long des adieux, ma Puppelé. C’est comme ça que je t’appelais. Ça voulait dire «petite poupée», en allemand.
Je ne regarde pas les fleurs mais ton visage et je pense que tu es belle, et que jamais peut-être tu n’as été aussi belle. Je pense aussi que c’est la première fois de ma vie – et de la tienne – que je te vois sereine et apaisée. Comme tu es calme, comme tu es fine, comme tu es belle. On dirait qu’une main, doucement, a effacé sur ton visage toutes les crispations, toutes les angoisses du malheur. Je te regarde dormir. On me dit que tu es morte.
Je pense à toi, à moi, à nous. De quoi suis-je coupable ? On se pose cette question devant un être que l’on a aimé et que l’on aime toujours. Ce sentiment vous inonde, puis reflue et puis l’on se dit que l’on n’est pas coupable, non, mais responsable… Je le suis.
A cause de moi, c’est à Paris que ton cœur, l’autre nuit, s’est arrêté de battre. A cause de moi parce que c’était il y a vingt-cinq ans et que j’avais été choisi pour être ton partenaire dans "Christine".
Tu arrivais de Vienne et j’attendais, à Paris, avec un bouquet de fleurs dans les bras que je ne savais comment tenir. Mais les producteurs du film m’avaient dit : "Lorsqu’elle descendra de la passerelle, vous vous avancerez vers elle et lui offrirez ces fleurs."
Je t’attendais avec mes fleurs, comme un imbécile, mêlé à une horde de photographes. Tu es descendue. Je me suis avancé. Tu as dit à ta mère : "Qui est ce garçon ?" Elle t’a répondu : "Ce doit être Alain Delon, ton partenaire…" Et puis rien, pas de coup de foudre, non. Et puis je suis allé à Vienne où l’on tournait le film. Et là, je suis tombé amoureux fou de toi. Et tu es tombée amoureuse de moi.
Souvent, nous nous sommes posé l’un à l’autre cette question d’amoureux : "Qui est tombé amoureux le premier, toi ou moi ?" Nous comptions : "Un, deux, trois !" et nous répondions "Ni toi ni moi ! Ensemble !"
Mon Dieu, comme nous étions jeunes, et comme nous avons été heureux. A la fin du film, je t’ai dit : "Viens vivre avec moi, en France" et déjà tu m’avais dit "Je veux vivre près de toi, en France." Tu te souviens, alors ? Ta famille, tes parents, furieux. Et toute l’Autriche, toute l’Allemagne qui me traitaient… d’usurpateur, de kidnappeur, qui m’accusaient d’enlever l’Impératrice ! Moi, un Français, qui ne parlais pas un mot d’allemand. Et toi, Puppelé, qui ne parlais pas un mot de français. Nous nous sommes aimés sans mots, au début. Nous nous regardions et nous avions des rires.
Puppelé… Et moi j’étais Pépé. Au bout de quelques mois, je ne parlais toujours pas l’allemand mais toi tu parlais français et si bien que nous avons joué au théâtre, en France. Visconti faisait la mise en scène. Il nous disait que nous nous ressemblions et que nous avions, entre les sourcils, le même V qui se fronçait, de colère, de peur de la vie et d’angoisse.
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Il appelait ça le "V de Rembrandt" parce que, disait-il, ce peintre avait ce V sur ses auto portraits. Je te regarde dormir. Le V de Rembrandt est effacé…
Tu n’as plus peur. Tu n’es plus effrayée. Tu n’es plus aux aguets. Tu n’es plus traquée.
La chasse est finie et tu te reposes. »
Alain Delon
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unjouruntableau · 5 months ago
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Séraphine de Senlis, Bouquet de fleurs, 1930.
Séraphine de Senlis, de son vrai nom Séraphine Louis, est née le 3 septembre 1864 à Arsy, en France, et est décédée le 11 décembre 1942 à Villers-sous-Erquery. Elle est une peintre autodidacte française, souvent associée à l'art naïf. Orpheline très jeune, elle a travaillé comme domestique pour subvenir à ses besoins.
C'est en parallèle de ses emplois domestiques qu'elle commence à peindre, inspirée par ses visions mystiques et la nature environnante. Son talent est découvert par le collectionneur allemand Wilhelm Uhde en 1912, qui devient son mécène et permet à son travail de gagner en reconnaissance. Ses œuvres, caractérisées par des motifs floraux luxuriants et une palette de couleurs vives, témoignent d'une grande originalité et d'une puissante énergie créative.
Malgré une reconnaissance tardive, Séraphine de Senlis a été hospitalisée en 1932 en raison de troubles mentaux et a passé la dernière décennie de sa vie dans un asile. Son œuvre a été redécouverte et célébrée après sa mort, notamment grâce au film "Séraphine" sorti en 2008, qui retrace sa vie et son art exceptionnel.
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marciamattos · 11 months ago
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PAUL KLEE . Mythe des fleurs (1918), aquarelle sur fond de craie, gaze, papier
Mythe des fleurs (1918), aquarelle sur fond de craie, gaze, papier journal, papier bronze argenté sur carton, Sprengel Museum Hannover, Hanovre
Premiers succès et la guerre
Klee retourne à Berne au moment de la déclaration de la Première Guerre mondiale. Jawlensky et Kandinsky s'exilent, tandis que Marc, Macke et Heinrich Campendonk sont mobilisés. Marc et Macke engagés volontaires, sont tués. Klee reste à Munich et continue sa peinture jusqu'en 1916, date à laquelle il rejoint l'armée où il est admis dans un régiment de réserve, ce qui lui laisse encore la possibilité de peindre, de participer à des expositions et de vendre des tableaux. Klee accompagne en 1917 un convoi de troupes à Nordholz, ville située en Basse-Saxe, et au retour, il rend visite au collectionneur Bernhard Koehlernote de Berlin.
Une exposition des tableaux de Klee est organisée en 1917 à la Galerie Der Sturm de Berlin, ses œuvres obtiennent un grand succès, et le journal de la Bourse de Berlin fait paraître un article élogieux sur son travail. Klee a surtout envoyé des aquarelles de 1916 avec des motifs figuratifs. Mais le peintre dans lequel la critique voyait « l'artiste allemand le plus significatif depuis la mort de Marc » n'a plus jamais connu un succès pareil par la suite. Cette exposition est un grand succès de vente pour Klee qui ne semble pas concerné par la guerre. La critique parle de « l'indifférence de Klee devant les évènements qui secouaient le monde », ce qui est un malentendu. Klee a été initié aux idées du socialisme par son ami Fritz Lotman, professeur de droit, qui lui a fait connaître l'essai d'Oscar Wilde, L'Âme humaine et le socialisme. Klee a intégré la révolution dans son art. Sa correspondance avec Kandinsky montre qu'il est préoccupé par la guerre mais qu'il s'attend comme beaucoup de gens à une rapide victoire des Allemands dont il espère « qu'elle apportera à nouveau les moyens en audace et en argent, de la part des mécènes et des éditeurs écrasés par le poids des dernières années et qui manquent de courage ». Son point vue sera modifié après la mort de Macke.
Les conditions économiques et financières de l'Allemagne sont favorables aux classes possédantes qui se sont enrichies grâce à la vente d'armement, ce qui les pousse à placer leur capital dans l'art moderne, comme le souligne Otto Karl Werckmeister, qui considère que ce moment est celui dans lequel « l'art moderne, qui jusqu'à la guerre, avait été un défi jeté à la culture bourgeoise, rejoint cette culture dans une idéologie commune(…) et c'est à cette guerre, qu'il croyait avoir condamnée, que Klee doit sa carrière. Klee est ici en pleine contradiction avec la revendication de liberté qu'il a exprimée en 1915 à travers sa théorie de l'abstraction »
En 1916, Klee a renoncé à l'abstraction et il s'est lancé dans l'illustration de poèmes chinois que lui a envoyés Lily. Il ne poursuivra pas cette expérience au-delà de quelques essais dont le plus souvent montré est : Jadis surgi du gris de la nuit 22,6× 15,8 cm, aquarelle, plume crayon sur papier, découpé et combiné avec du papier d'argent.
À Gersthofen en 1917, Klee a été marqué par le passage des avions. Le thème du vol et de l'aspiration à voler se retrouvera dans de nombreuses œuvres notamment
Mythe des fleurs (1918 aquarelle sur fond de craie, gaze, papier journal, papier
bronze argenté sur carton), ou Avec l'aigle (1918)
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duxvonzazer · 1 year ago
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"Vue panoramique de Paris en 1588, depuis les toits du Louvre, avec le Pont-Neuf en construction."
Par Fédor Hoffbauer, peintre français d'origine allemande.
A voir au musée Carnavalet
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chansonsinternationales · 1 year ago
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Anselm Kiefer : "Ma carrière s'est faite à New York, mais les Allemands me détestent toujours"
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whencyclopedfr · 2 years ago
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Albrecht Dürer
Artiste allemand de l’époque de la Renaissance, Albrecht Dürer (1471-1528) est considéré comme l’un des plus grands peintres et graveurs de l’histoire. Né à Nuremberg, Dürer était déjà connu en son temps, pour ses peintures à l’huile, ses retables, ses dessins, ses gravures ainsi que pour ses nombreux traités théoriques de l’art, aussi bien dans sa ville qu’en dehors. Avec un œil singulièrement à l’affut du moindre détail, il s'avérait un incroyable dessinateur. Son style mêlait les modes italiennes et d’Europe du Nord et emmena l’art de la Renaissance toujours plus loin sur le chemin du réalisme.
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fashionbooksmilano · 2 years ago
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Synchromies
Secrets des Écorces   Geheimnisvolle Rinden   Hidden Art in Nature
Oscar Forel
Edita, Lausanne 1977, 1st Edition, 114 pages,  32 x 28 cm,  trilingue (français - allemand - anglais ) , reliure forte toile de jute avec une photo contrecollée au premier plat.
Exemplaire dédicacé en 1977 par Oscar Forel à l'écrivain suisse Henri Perrochon
euro 120,00
email if you want to buy :[email protected]
Illustré de 48 photographies en couleurs d'écorces, prises par l'auteur.
” Fils du psychiatre Auguste Forel, né à Zurich en 1891, le Dr Oscar Forel travaille à la Waldau à Berne au début des années vingt, rencontre Freud. Rentré dans le canton de Vaud, il crée la clinique de Prangins. Humaniste, ami des arts, il ouvre sa maison de Saint-Prex à de nombreux musiciens. Il découvre le monde secret de la forêt et crée une remarquable collection de macrophotographies d’écorces, ses « synchromies » “.               Par analogie avec symphonie (harmonie des sons), le mot « synchromie » (sun: avec, khrôma: couleur) désigne une harmonie de couleurs, ici dans le monde végétal..Certes, toute une gamme de couleurs existe dans le règne animal, mais elle est beaucoup moins variée.Dans le monde végétal, la fluidité des couleurs est infinie et à ce point subtile qu’un peintre ne parvient pas à copier fidèlement une synchromie.…Une fois trouvé le sujet d’une synchromie, souvent après de longues recherches, il est presque toujours indiqué de laver et de brosser la partie choisie de l’écorce.C’est alors qu’apparaissent, parfois d’une manière surprenante, les couleurs et les dessins.Une fois que l’on a approché la caméra à quelque 30-10 cm, il est souvent nécessaire de faire ressortir reliefs et dessins à l’aide d’un éclairage latéral.
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14/01/23
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justsomepaintingsforyou · 2 years ago
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Rosy Light, Oscar Florianus Bluemner | 1927
Temma Bridge at Settsu Province, Katsushika Hokusai | 1834
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andresylupin · 2 years ago
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Some of the artworks featured in the exhibition Les Choses, at The Louvre (click for full picture)
Cartels de l’exposition pour ces œuvres :
- Pain et Figues, 50-79 de notre ère, peinture murale, Herculanum
Dans ce tableautin très simple, deux figues brunes et un pain doré renvoient à une grande frugalité, que la douceur des fruits, vantée par Pline l’Ancien dans son Histoire naturelle (an 77), tempère à peine. Et pour cause : il n’est pas question ici de susciter l’envie, la gourmandise, mais d’exprimer le contraire, un idéal de diète “philosophique”, dont Socrate (vers 470/469-399 avant notre ère), le mangeur de pain, est le parangon, lui qui critiquait les plus gloutons de ses contemporains. Dans leur dénuement, ces petites choses du quotidien ont leur morale sévère qui en impose.
- Schädel [Crâne], 1983, Gerhard Richter
Au début des années 1980, Richter est fasciné par le motif du crâne, qui lui offre de mettre à distance ses effets, de les canaliser, en inscrivant sa peinture dans la tradition. Il prend alors le contre-pied de la peinture néo-expressionniste allemande, spontanée, subjective, violente. Rien de tel ici, où le memento mori tend même à s’effacer derrière les moyens de la peinture : la géométrie impeccable, la rigueur minimale, le quasi-monochrome. Seule la lumière dégage la coquille renversée du crâne, et rappelle in fine le sens d’une vanité appliquée aux illusions et aux certitudes du siècle.
- Coin de table, 1934, Pierre Bonnard
Sur cette toile presque carrée, rien n’est facilement identifiable. Bonnard ne s’intéresse pas à la représentation mimétique des choses, mais à la beauté simple du quotidien et à ses sensations. Ce Coin de table est un prétexte à expérimenter les moyens de les exprimer : format et cadrage, vue en surplomb des objets, étirés, aplatis, ployés, fusionnés, jeu de la lumière qui émane de la matière picturale elle-même, travaillée d’une touche virtuose. Après Chardin, Bonnard fait encore de la nature morte le lien où se manifeste une magie énigmatique.
- Pipes et vases à boire, dit La Tabagie, vers 1737, Jean Siméon Chardin
Chardin a représenté une série d’objets qu’il possédait, de petites choses sans qualité extraordinaire, en particulier une tabagie de palissandre. La grande simplicité, l’équilibre de l’ensemble sont remarquables. Tout s’assemble, tout s’épanouit harmonieusement pour suggérer le charme de la vie telle qu’elle est, dans ses choses mêmes. Diderot prêtait une magie singulière à la peinture de Chardin. Cette Tabagie la contient, où agit le mystère de la présence des choses, comme des personnages de l’histoire, animées d’un mouvement et d’une lumière intérieure.
- Intérieur d’un magasin de porcelaines et d’objets chinois, 1680-1700, peintre anonyme néerlandais
Un anonyme néerlandais, fasciné comme nombre de ses contemporains par les objets de luxe asiatiques, s’est inspiré des représentations de cabinets de collectionneurs pour inventer une boutique imaginaire qui rassemble avec fantaisie et jubilation tous ces trésors tant convoités. L’artiste a peint cette chinoiserie sur une feuille d’éventail, lui-même un article de luxe décrivant les merveilles d’Orient et d’Extrême-Orient. Une fois mise au carré pour être encadrée, cette feuille est devenue à son tour un objet d’art européen ouvrant sur le vaste monde.
- Natura Morta, 1944, Giorgio Morandi
Cette nature morte est exemplaire de l’art de Morandi à traduire le mystère et la poésie des choses. L’artiste a élu des objets simples, ordinaires, qu’il collectionnait, et il les a mis en scène selon un dispositif réglé, avec une grande économie de moyens. Disposés en frise sur un fond neutre, de formes et de hauteurs différentes, peints dans des harmonies sourdes de blanc nacré rompues par la boule de hochet jaune et bleue, ils sont comme figés dans le temps, silencieux et secrets. Morandi les a ainsi rendus présents au monde d’une manière qui excède leur fonction, intrigants, voir obsédants.
- La Chambre de Van Gogh à Arles, 1889, Vincent Van Gogh
Pour Van Gogh, sa chambre de sa maison jaune, à Arles, devait être très simple et “vide”, comme un intérieur japonais. Il détestait les choses de la bourgeoisie, l’accumulation des bibelots, source de confusion mentale. Il lui fallait de l’ordre, et ce tableau devait créer les conditions du repos, une sorte d’asile de paix, avec juste les choses nécessaires, où calmer la tête et l’imagination. L’artiste devait tenir à cette projection mentale rassurante, qui le dépeint en creux : la première peinture de cette chambre (1888) ayant été endommagée, il la refit en effet deux fois (1889).
- Six coquillages sur une table de pierre, 1696, Adriaen Coorte
Une sorte de paradoxe gît dans cette petite composition, d’une infinie délicatesse, où ces quelques coquillages, presque insignifiants de prime abord, renvoient pourtant à la puissance de l’économie coloniale néerlandaise, fondée sur la Compagnie des Indes orientales depuis 1602. Tous, en effet, viennent des mers du Sud, rapportés par bateaux. Alors que le goût des curiosités se développait en Europe, au contact d’autres mondes, les tableautins de Coorte devaient être appréciés par des collectionneurs qui doublaient leurs précieux trésors de leurs représentations.
- Livret de dévotion, vers 1330-1340, ivoire polychrome et doré, Cologne
Ce double feuillet représentant les Arma Christi (les “Armes du Christ”) fait partie d’un petit livret de dévotion. Aux scènes de la Passion du Christ, qui y sont également représentées, sans texte, répondent les instruments de cette Passion, soigneusement inventoriés dans l’image : des trente deniers reçus par Judas pour prix de sa trahison au tombeau vide, en passant par le roseau et le fouet de la flagellation. Rien ne manque, excepté le Christ lui-même, absent, mais présent dans chacune de ces choses qui devaient faire récit, engager à la prière et à la méditation.
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devonfuller · 12 days ago
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Bonne Fête de la Toussaint✝️ les Loulous😍😘
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🎨 🖌️ 🎨 🖌️ 🎨
L'Œuvre est de Albrecht Dürer 1471 - 1528
Dessinateur - Graveur - Peintre Allemand
de la Renaissance.
Théoricien de la géométrie et de la perspective linéaire
La Toussaint✝️ est une solennité Catholique qui honore tous les Saints, connus et inconnus.
Dans l’Église Catholique de rite occidental, la Toussaint est fêtée le 1er Novembre.
La célébration liturgique commence aux vêpres le soir du 31 Octobre et se termine à la fin du 1er Novembre.
Elle précède d’un jour la Commémoration de tous les fidèles défunts, dont la solennité est fixée au 2 Novembre
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Fra Angelico, Les précurseurs du Christ avec les Saints et les Martyrs, 1423-1424. 🎨 🖌️ 🎨 🖌️ 🎨
Fra Angelico - Guido di Pietro - en religion Fra Giovanni
Le Peintre des Anges né entre 1387 et 1395 - 1455
Peintre Italien du Quattrocento 🎨 🖌️ 🎨 🖌️ 🎨
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abwwia · 28 days ago
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Anna Waser (1678-1714)
Anna Waser (16 Oct 1678 – 20 Sep 1714) was a Swiss painter. via Wikipedia #PalianSHOW “Wasser” featured with engraved portrait in part IV of the 4 part series by Jean-Baptiste Descamps, “La vie des peintres flamands, allemands et hollandois”, 1764 Anna Waser (1678–1714), A self portrait , 1704 Silverpoint on vellum, 13.1 x 9.6 cm. (5.2 x 3.8 in.) x Anna Waser, Ägyptische Stadt an…
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nedsecondline · 1 month ago
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Angie Braun
Talentueuse Artiste peintre Allemande : ANGIE BRAUN. Des portraits tout en couleur et en subtilité, impressionnant de réalisme. Peintre allemande …Angie Braun
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ousontlesfemmes · 2 months ago
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Mary Colman Wheeler (1846 - 1920)
Au siècle, la voie des femmes est toute tracée : un bon mariage, une belle famille. Mais Mary Colman Wheeler, elle, rêve d'autre chose. D'enseignement. De voyage. De liberté. Des Etats-Unis jusqu'au village normand de Giverny, de l'enseignement jusqu'à l'art, la grande dame est bien décidée à mener sa vie comme elle l'entend. Portrait d'une peintre libre...
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Mary Colman Wheeler naît le 15 mai 1846 à Concord, dans le Massachusetts (nord-est des Etats-Unis). Concord est alors un milieu progressiste et abolitionniste : le père de Mary est par exemple membre du Chemin de fer clandestin, un réseau de routes, refuges et itinéraires sûrs qui permettaient aux esclaves en fuite de gagner le Canada. Cet environnement familial a participé à forger le caractère libre et humaniste de Mary.
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La mère de l’artiste, Harriet Lincoln Wheeler, par Mary Colman Wheeler, 1883, Collection Richard & Betty Ann Wheeler
Mary commence à dessiner jeune. Pour développer son appétence créative, elle suit plusieurs cours. Pour l'anecdote, elle partage des cours de dessin avec sa camarade et amie May Alcott, qui a inspiré à sa sœur Louisa May le personnage d'Amy dans Les Quatre filles du docteur March. Et en parlant d'inspiration, Mary a également été muse à son tour : son amie Anna Fuller s'inspire d'elle dans son ouvrage Pratt Portraits. L'héroïne, une professeure, doit choisir entre l'enseignement et le mariage, question à laquelle s'est retrouvée confrontée Mary. Dans le livre, le personnage choisit le mariage, mais la vraie Mary Colman Wheeler, elle, choisit de voyager et d'enseigner, comme nous allons le découvrir dans cet article.
Diplômée en 1864 de la Concord High School puis de la Abbot Academy deux ans plus tard, Mary obtient très rapidement un poste au lycée de Concord : entre 1866 et 1868, elle enseigne les mathématiques et le latin. Elle rejoint ensuite l'équipe éducative de la ville de Providence pour enseigner les mathématiques.
Sciences, langues... voilà une femme accomplie. Mais je vous ai présenté Mary comme une peintre et, exception faite de ses cours de dessins, nous n'avons pas encore parlé d'art. Comment cela se fait-il ? Et bien c'est simple : Mary n'a pas encore bifurqué. Cela sera chose faite en 1870. A cette époque, la sœur de Mary se marie et déménage en Allemagne. Mary, qui a toujours rêvé de voyages et de contrées lointaines, se saisit du prétexte pour se rendre en Europe. Elle en profite alors pour apprendre l'art en Allemagne, alors Prusse. Le problème, c'est que la guerre franco-prussienne fait rage... et Mary est victime de l'ambiance tendue de l'époque : alors qu'elle est en train de peindre dans une petite bourgade, deux soldats allemands la prennent à partie. La raison ? Elle est étrangère. Américaine, et non pas française, mais à l'époque, c'est presque du pareil au même. Les soldats sont alors intimement persuadés que Mary est un espion français... déguisé en femme. L'artiste est arrêtée, avant d'être finalement libérée grâce à l'intervention de son beau-frère. Une anecdote absurde et cocasse que Mary se plait beaucoup à raconter par la suite.
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Un drôle de quiproquo
Cette drôle de mésaventure aurait pu éloigner Mary des pinceaux, mais elle continue d'apprendre, de travailler. Dans les années 1870, elle part ainsi étudier la peinture en Italie, puis en France. La consécration parisienne arrive alors : elle est acceptée avec une Tête d'étude en 1880 au Salon.
En 1882, elle revient finalement aux Etats-Unis. Elle retrouve Providence, mais enseigne cette fois-ci la peinture. Ses cours se destinent aux femmes de tous horizons, tous âges. La majorité de ses étudiantes se trouve néanmoins être les enfants de ses anciennes amies, désormais mères de famille. Mary ouvre finalement sa propre école, la Wheeler School, en 1889.
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Les classes de Mary C. Wheeler
Mais Mary ne s'arrête pas là. Dès 1887, elle décide d'organiser des voyages d'été pour emmener plusieurs de ses élèves en France. A 40 ans, Mary est désormais complètement bilingue. Elle profite de son aisance avec le pays pour organiser pour ses étudiantes des cours de peintures ou de sculptures.
Si ces séjours sont évidemment profitables pour les jeunes femmes que Mary encadre, elle-même continue de se former, d'enrichir sa peinture. C'est lors d'un voyage français qu'elle découvre l'art de peindre en plein air. Car oui, peindre en plein air est un art, une façon de vivre : il ne s'agit pas simplement de planter son chevalet sous un arbre avant de se ruer sur sa palette. On prend au contraire le temps de découvrir le paysage, de se familiariser avec, en somme, on apprend à le connaître. De là vient l'inspiration. La libération, même, puisque Mary réalise plusieurs nus en plein air !
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Nu, 1887-1904, Collection Emily Wheeler
Mary, alors quadragénaire, alterne entre cours, productions, voyages : c'est simple, elle ne s'arrête pas.
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Autoportrait à 40 ans, Mary Colman Wheeler
En 1907, Mary organise un nouveau séjour d'été, mais cette fois-ci dans un lieu un peu spécial : elle se rend à Giverny. Ce petit village normand pourrait être tout à fait banal, si ce n'est la présence de Claude Monet, installé dans le village depuis 1883. La présence du maître a attiré une colonie d'artistes, pour beaucoup anglo-saxons. Quand elle arrive avec ses élèves, Mary n'est ainsi pas la première américaine à avoir foulé la terre givernoise. En revanche, elle parvient à se rapprocher de Claude Monet, pourtant très attaché à sa solitude, et peu désireux de se faire des fréquentations.
Il faut dire que Mary sait se faire remarquer : la façon dont elle s'occupe de ses jeunes élèves ne passe pas inaperçue, puisque Jean-Pierre Hoschédé, le beau-fils de Claude Monet, raconte dans son Claude Monet, ce mal connu que Mlle Wheeler était l'une de ses "peintresses" (terme qui n'a rien de péjoratif et avec lequel les habitants et artistes désignaient les femmes peintres), célèbre pour son école de peinture pour jeunes filles. Mary s'investit également dans la vie du village. Elle fréquente la famille Butler, peint avec d'autres artistes.
Cette époque givernoise est évoquée dans une toile conservée en France, la Fille au jardin. L'on y voit une femme, tout de bleue vêtue, assise à l'ombre. En fond, on reconnaît la végétation luxuriante de ce bout de campagne normand. Un tableau qui évoque le jardin loué par Mary, proche de la maison Monet, mais également une coutume, celle du partage de modèles. A l'époque, il peut en effet arriver aux artistes de peindre un même modèle lors d'une même séance de pose, solution économique puisqu'elle permet de partager les frais. Mary se prête non seulement volontiers au partage de modèle, mais n'hésite pas non plus à payer la part d'artistes moins fortunés qu'elle. On peut ainsi retrouver la dame ci-dessous dans les tableaux d'autres artistes, vêtue de la même robe, portant la même ombrelle, figée dans la même position.
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Fille au jardin, Mary Colman Wheeler, 1910, Musée des impressionnismes Giverny
Il est alors important pour l'artiste d'avoir un style propre, qui lui permette de se démarquer. La touche vibrante et colorée de Mary est ainsi un atout.
Mary cesse ses voyages givernois en 1913, mais n'arrête jamais de peindre. Elle décède d'un malheureux accident en 1920 : elle glisse sur une rue gelée et les complications de cette chute ont raison d'elle.
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Mary Colman Wheeler, alors septuagénaire, en pleine séance de travail
Mary Colman Wheeler a ainsi eu une vie remplie. Elle a participé à représenter l'art états-uniens à l'étranger, elle a voyagé, s'est formée tout au long de sa vie mais a aussi et surtout aidé des jeunes femmes à découvrir l'art, à affiner leurs goûts, à oser s'exprimer. En somme, Mary Colman Wheeler a eu la vie qu'elle voulait mener : une vie dédiée à l'enseignement et à l'art. Une vie dont on peut encore s'inspirer aujourd'hui, en nous rappelant qu'il n'est pas interdit de rêver.
Pour en savoir plus : - Mary Wheeler Art Gallery - The Wheeler Schoo - Claude Monet, ce mal connu, Jean-Pierre Hoscédé - Musée des impressionnismes - Giverny, site internet
Sauf mention contraire, toutes les images proviennent du site The Wheeler School
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