#passion selon saint-matthieu
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cheminer-poesie-cressant · 1 year ago
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source : @cheminer-poesie-cressant
dans les faits, le matin propose une lumière nouvelle ; en réalité nous la voyons comme celle des autres matins ; nous ne saisissons pas de changement ; aussi nous ne percevons pas le temps qui passe, nous ne percevons bien que l’inchangé ; vieillir n’est qu’une abstraction que nous ne maitrisons pas naturellement ; vieillir est un concept qu’on nous apprend
© Pierre Cressant
(lundi 30 octobre 2023)
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arno-vision · 8 months ago
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Enjoy your weekend - IAV[060]J S Bach - La passion Selon Saint Matthieu (BWV 244) - 1st Partie
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#musicvideo #weekendfun #LoveandDeepspace #ClassicLiterature #art
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christophe76460 · 2 months ago
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Fondements sur lesquels Dieu exauce nos prières – Georges Müller
Ouvrons notre Bible au chapitre 7 de l’Evangile selon Saint Matthieu où nous trouvons écrit, dans les versets 7 et 8 » Demandez et il vous sera donné ; cherchez et vous trouverez ; frappez et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve et l’on ouvre à celui qui frappe « . La promesse donnée ici par la bouche même de notre précieux et adorable Seigneur Jésus-Christ en ce qui concerne la prière, est aussi pleine, aussi vaste, aussi profonde, et aussi précieuse que nous pourrions le désirer ; si cela nous avait été donné, mes bien-aimés en Christ, de pouvoir nous-mêmes faire une promesse sur ce sujet, je ne sais pas comment nous aurions pu l’élargir davantage que cela nous est donné ici.
Cette promesse est donnée à tous ceux qui ont reçu le Saint-Esprit, c’est-à-dire qui sont entrés dans la repentance et la foi au Sacrifice expiatoire de Dieu le Fils en Croix. (Actes 2-32/33). Dans la simplicité d’un enfant, nous devrions chercher à nous saisir de cette Parole ; car c’est cela, la FOI : nous saisir de la Parole de Dieu et recevoir ce que Dieu dit être vrai, sans poser de questions se reposer sur elle, et le Lui dire, simplement ! Voilà la prière de foi. Beaucoup de personnes pensent que la foi consiste en des sensations particulièrement profondes. Mais cela est une grande erreur. Possède la plus grande foi celui qui est le plus capable, dans une simplicité enfantine, de recevoir la Parole comme la VERITE même de Dieu et de demeurer sur cette Parole, d’être satisfait par elle et d’être entièrement assuré que Dieu fera exactement ce qu’Il dit. Les hommes et les femmes qui sont ainsi capables de recevoir la Parole de Dieu, de se reposer sur elle, ceux-là sont les plus forts dans la foi. Et c’est exactement ce à quoi nous devons tendre continuellement : être pleinement satisfaits avec la Parole de Dieu, nous disant à nous-mêmes « II en sera ainsi simplement parce que Dieu l’a dit ».
Comparons l’Ecriture avec l’Ecriture.
Et maintenant, nous devrions littéralement mettre dans nos cœurs une telle promesse et la presser sur notre sein comme un bon vieil ami en disant » Mon Dieu et Père agit sûrement selon cette Parole qui est la sienne: car son Fils unique Jésus l’a donnée comme une promesse à l’Eglise dont Il est Lui-même la Tête « . Toutefois, bien que ces versets soient d’un sens si vaste, si plein, si profond et si précieux, nous avons néanmoins à comparer 1’Ecriture avec l’Ecriture afin que, comme vous le savez, nous puissions obtenir des instructions supplémentaires pour que nos cœurs soient davantage éclairés, que nous soyons davantage établis et que nous puissions voir encore plus clairement ce que Dieu a en vue au sujet de ce passage. Et cela m’apparaît un moment très important quand, avec une telle promesse, nous comparons par exemple une autre parole concernant la prière, comme celle que nous trouvons dans l’épître de Jacques où nous lisons, au troisième verset du quatrième chapitre : » Vous demandez et vous ne recevez pas, parce que vous demandez mal, dans le but de satisfaire vos passions « .
Jacques se réfère à des gens qui s’appellent eux-mêmes des chrétiens, des disciples du Seigneur Jésus et qui, cependant, ne priaient pas, comme cela est dit dans la fin du verset précédent : » Vous avez des querelles et des luttes, et vous ne possédez pas parce que vous ne demandez pas « . Il y en avait quelques-uns parmi eux qui ne priaient pas du tout. Et puis, il y en avait d’autres certes qui priaient mais…
Ils ne priaient pas de la bonne façon.
« Vous demandez et vous ne recevez pas parce que vous demandez mal ». Et maintenant, la question se pose ici naturellement : » Que puis-je comprendre par « demander mal »? « Je mentionne spécialement ce point parce que, dans mes travaux de pastorat, et parmi les dizaines de milliers de chrétiens dont j’ai pu faire la connaissance dans toutes les parties du monde, j’ai toujours et à nouveau trouvé que la plupart, devant ce « demander mal », comprenait que si l’on n’était pas entièrement libre du péché et sans imperfections, on ne pouvait pas s’attendre à obtenir une réponse à nos prières parce qu’alors on demandait « mal ».
Cela n’est évidemment pas du tout la signification du passage qui nous occupe. Si le sens en était vraiment là, il est certain qu’aucun chrétien ne recevrait jamais de réponses à ses prières : car je ne me suis jamais attendu à trouver, dans aucune partie du monde, des chrétiens qui soient et parfaits, et saints, et vivants en tous points comme le Seigneur Jésus-Christ lorsqu’il était sur la terre. J’ai vécu 52 ans comme disciple du Seigneur, et alors que j‘ai rencontré des milliers de saints, de chrétiens bons et même excellents, je n’en ai pas encore vu un seul qui soit en même temps et parfait et saint comme l’éternel Fils de Dieu lorsqu’Il était dans la chair.
Et nous verrons que le Saint-Esprit donne la signification de cela dans le passage qui suit » Dans le but de satisfaire vos passions » ; c’est-à-dire des personnes qui demandent les bénédictions de Dieu pour la gratification de leur esprit charnel, afin de se réjouir pour elles-mêmes, de pouvoir fortifier leurs vieilles natures mauvaises. Si ces personnes demandent dans un de ces buts, c’est alors qu’elles demandent » mal » et n’ont aucune garantie de la part de l’Ecriture pour attendre une réponse à leurs prières. Mais si cela n’est pas le cas, si nous demandons en vérité pour la gloire de Dieu, alors nous ne demandons pas » mal « . Et c’est en effet là que semble se trouver le point primordial pour ce qui concerne la prière ; cela devrait toujours rester présent à la mémoire des rachetés.
Non pas « notre » mérite, mais le Sien.
Un autre point très important pour nous est de rejeter toute attente de réponse basée tant soit peu sur nos propres mérites ou notre propre dignité, afin de ne réclamer toutes choses que sur la base des mérites et de la dignité du seul Seigneur Jésus-Christ. Il est le seul fondement sur lequel nos prières puissent recevoir une réponse. Le Nouveau Testament exprime généralement cela ainsi, c’est que nous demandions dans » le Nom du Seigneur Jésus » (Colossiens 3-17, Jean 15-16). Le pécheur ne peut entrer au ciel sur la base de ses propres mérites, mais uniquement comme perdu, sur la base des mérites et souffrances pour lui de son précieux et adorable Seigneur. Par la foi en son Nom, il peut s’attendre à être admis dans la Présence de Dieu : devenus enfants de Dieu, nous ne pouvons venir à Lui, dans la prière, que si nous avons mis de côté nos mérites et notre soi-disant dignité et sommes entrés dans un chemin de repentance véritable.
Nous avons à nous renier nous-mêmes, à nous cramponner et attacher au seul Seigneur Jésus-Christ de façon à apparaître devant Dieu comme unis avec le Christ ressuscité et cachés en Lui : nous mettons Christ devant nous, nous cachant en Lui pour venir demander à Dieu, sur la base des mérites et de la pleine suffisance du sacrifice de Christ, qu’Il lui plaise de répondre à nos demandes. Et maintenant, voici où trouver notre réconfort : le précieux Seigneur Jésus-Christ est digne de tout recevoir de la main de Dieu, Son Père ; et Dieu, en effet, est pleinement disposé à tout lui donner sur la base de son oeuvre médiatrice, à cause de la perfection de Ses services et de Sa sainteté irréprochable. Si nous nous approchons ainsi de Dieu dans la prière, il nous est alors tout à fait permis d’attendre une réponse, pour ce qui concerne ce point en tout cas.
« Si vous demandez, je ferai » (Jean 14-14)
Un autre point très important est que nous exercions notre foi dans la puissance de Dieu, foi dans la volonté de Dieu de répondre à la prière. Il est naturellement peu de chrétiens qui mettent en doute la question de la puissance de Dieu mais la tentation est généralement bien plus fréquente de douter du DESIR de Dieu de répondre à nos prières. Il peut le faire, acceptons-nous ; mais veut-Il le faire ? C’est alors que nous pouvons nous dire Dieu nous a fait le plus précieux des dons qu’il pouvait, c’est-à-dire son Fils unique ; et Il nous a fait la promesse que, de même qu’Il nous l’a donné uniquement par grâce, c’est de même dans sa grâce qu’il nous donne toutes choses avec Lui. (Rom. 8-32). Telle est sa propre déclaration. Nous avons donc à nous reposer sur cette promesse et à dire : » Non seulement, Dieu peut le donner, mais il veut le donner, aussi sûr que ce que je demande est pour la gloire de son nom, aussi vrai que je plaide les seuls mérites et souffrances du Seigneur Jésus-Christ ; avec autant de certitude il répondra, pour l’Amour de Christ et avec lui, à ce que je demande de Lui « .
J’insiste davantage sur ce point, parce que j’ai vu, durant les 52 années où j’ai connu le Seigneur Jésus-Christ, que chaque fois où je fus capable dans la prière de croire que je recevrais ce que j’avais demandé, cela s’est accompli avec certitude (Marc 11-24). Considérez ce qu’il en est de vous-même lorsque vous priez : croyez-vous que vous recevrez ? Exercez-vous la foi dans la puissance et dans la volonté de Dieu de répondre à la prière ? SI VOUS CROYEZ DE CETTE FAÇON VOUS RECEVREZ. Mais si cela vous manque, il vous faut d’abord prier pour la foi, demander que Dieu vous aide à croire. Et maintenant, supposons que ces trois points soient réalisés : pour la gloire de Dieu, au nom des mérites et de la dignité du seul Seigneur Jésus-Christ et dans un plein exercice de foi ; c’est alors qu’entre en jeu un autre point très important.
Dieu ne nous a donné aucune promesse concernant le délai de réponse à nos prières. Il nous est seulement demandé de continuer calmement dans la prière et la louange jusqu’à ce que Dieu donne la réponse. C’est là que se trouve le secret. J’ai vu des milliers et des dizaines de milliers de prières, dont la réponse me fut accordée durant les 52 années où j’ai été connu du Seigneur. » Mais « , demanderez-vous, » quand furent-elles exaucées ? « . Des milliers et des milliers de prières furent immédiatement exaucées, un assez grand nombre après quelques jours et même quelques semaines ; d’autres après des mois seulement ; d’autres encore seulement après des années. ICI DIEU TRAVAILLE A SA FAÇON PARCE QU’IL EST DIEU, et Il nous fera voir toujours à nouveau qu’il est Dieu, que nous sommes Ses créatures, et qu’Il agit comme il lui plaît. C’est par milliers que mes prières ont été exaucées immédiatement, souvent avant même de quitter ma chambre le matin, quelquefois deux, trois et quatre réponses alors que j’étais en train de m’habiller ; puis d’autres réponses encore dans le cours de la journée. Mais cela n’a pas toujours été ainsi. Il m’a fallu parfois attendre des jours, des semaines, des mois ; dans d’autres circonstances ce furent quatre, cinq, huit, dix, douze, quinze et même vingt années et encore davantage avant que ne vienne la réponse.
Le point important est de savoir si nous sommes décidés à attendre calmement le moment de Dieu. Il a promis qu’Il répondrait si les demandes sont selon sa pensée (1 Jean 5 14-15). Au mois de novembre prochain cela fera 33 ans que je prie pour deux individus. Et, alors que j’ai eu des dizaines de milliers d’exaucements, en ce cas-là, je prie pour ces deux personnes et elles ne sont pas encore converties. C’est pourquoi, comme vous pouvez le voir, quoique Dieu réponde à la prière des siens, il éprouve aussi grandement leur foi (note : ces deux hommes furent sauvés après la mort de Georges Muller). Toutes ces choses sont relatées dans le but d’encourager mes bien-aimés frères et sœurs en Christ, car s’ils s’attendent patiemment à Dieu, la bénédiction viendra. Et alors, quand elle est là, la réponse est d’autant plus douce et précieuse que le temps a été long pour la recevoir.
« Au-delà de tout ce que nous pouvons demander » (Ephésiens 3:20).
Si Dieu est prêt à répondre à nos prières sans tenir compte de nos infirmités, de notre faiblesse, de nos manquements, il veut aussi trouver en nous l’honnêteté, la sincérité et la droiture du cœur, car il ne répond pas si nous vivons dans le péché (Psaume 66-18, Esaïe 59:1-2), si nous ne pardonnons pas, ou si nous répétons machinalement les mêmes phrases, chaque jour (Matthieu 6). La prière est une communion qui nécessite deux personnes bien disposées : Dieu et nous. Il nous faut absolument être droits et sincères. Le combat contre les mauvaises tendances naturelles doit être constamment mené et nous ne devons pas nous permettre de vivre dans le péché. Si tel était le cas, nous n’avons aucune garantie pour attendre des réponses à nos prières. (Proverbes 28-9). Par Christ seul, Dieu est bien disposé envers nous. Le serons-nous aussi?
Ce que nous avons à faire est de nous attendre à Dieu, et d’obéir à Sa Parole, la Bible. C’est pourquoi, encourageons-nous à nous attendre à Lui, espérons de grandes choses de Sa part, et nous verrons que ni notre attente ni notre exercice de foi ne seront vains ; mais en fin de compte, Dieu donnera extraordinairement au-delà de ce que nous avons espéré : nous recevrons au-delà de notre plus vaste attente (Ephésiens 3-20 ; Psaume 27-14, 62-6, 130-5 ; Esaïe 30-18, 40:29-31 ; Lamentations 3-25 ; Habakuk 2-3).
Georges Müller
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papyanar · 8 months ago
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Je devais être las. Ou là, ailleurs, je ne sais pas. Je t'aime, tu m'aimes. Tu le sais, toi ? À rêver ou rêvasser Sur une fin de marée D'un jour médiocre Sous la flotte, j'ai pris le vent. Un amour en pleine face, Délicieux, sans outrances J'ai baissé ma plume, délicieusement. Par passion, selon Matthieu ou Saint-Jean, J'ai baisé la grève, tendrement, dévot des mers. Dans mon cœur de vil anar et vieux scribe, J'ai senti, mon sang, battant les seins d'une Reine. Un soir de poltronnerie, j'ai tué mes mots, Seul dans ma piaule, À l’hôtel des Flots bleus, Chambre blanche, tableau aux murs Une croix lointaine effarouchait. Des mouettes passives, J'ai soufflé, vieux fumeur, des volutes. En avé Maria, J'ai remercié les pierres. D’être au sol, imbibé de caresses. J'ai découvert mon ailleurs, enfin. Il fallait que le bonheur, s'ouvre. S'écarte, exulte, passionne À cœurs perdus, à corps liés, Je devais être là, près de nous. Ailleurs infini. 
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yes-bernie-stuff · 10 months ago
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◀ 13 MAI ▶ 365 jours pour ranimer la flamme
« Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée », c’est le premier et le plus grand commandement. Matthieu 22.37
Le plus grand commandement
Cette réponse de Jésus à la question d’un enseignant de la Loi : « Maître, quel est le plus grand commandement de la Loi ? » est identique au commandement antérieur de Dieu à Moïse et transmis au peuple d’Israël : « Tu aimeras l’Éternel, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force » (Deutéronome 6.5). Au-delà du sentiment et des émotions, l’amour pour Dieu est une décision et si nous ne soufflons pas régulièrement sur les braises pour réanimer le feu, ou si nous ne veillons sur les flammes ardentes, cet amour peut se réduire, puis s’éteindre pour n’être plus que des cendres fumantes. Certes, ce n’est pas facile de garder le feu de la passion si nous laissons notre chair nous diriger, mais avec l’aide du Saint-Esprit, nous devons discipliner nos émotions, décider d’aimer et disposer notre cœur à louer notre Père céleste, non pas au nombre de Ses bénédictions, mais simplement parce qu’Il est Dieu bon et tout-puissant. En cela, l’histoire et l’attitude de David qui était un homme selon le cœur de Dieu, nous éclairent (cf. Actes 13.22 ; 1 Samuel 13.14). En effet, à la lecture des psaumes qu’il a écrits, on découvre le cœur d’adorateur de ce roi qui n’a eu de cesse de louer l’Éternel, d’abord pour ce qu’Il est (Sa grandeur, Sa puissance, Sa bonté, Sa justice, Son amour, etc.), ensuite pour ce qu’Il a fait... Ainsi, reconnaître et louer Dieu dans toutes Ses facettes, dans toutes Ses dimensions, dans toutes Ses manifestations, puis reconnaître et louer Ses bienfaits dans notre vie personnelle et dans celle des autres, c’était précisément le gage d’amour de David. Aujourd’hui encore, le Seigneur recherche des adorateurs en esprit et en vérité qui s’émerveillent de Ses œuvres et le reconnaissent dans TOUTES leurs voies, des hommes et des femmes qui savent que TOUT leur vient de Dieu, qui Le remercient pour les petites et les grandes choses, qui Lui rendent grâce pour Ses bontés qui se renouvellent chaque matin, qui se soumettent à Lui. Oui, le véritable adorateur ne peut en effet se répandre en louanges sans vouloir plaire à Dieu dans l’obéissance, sans Lui montrer son amour en action, sans conserver Sa Parole sur son cœur, sans observer Ses préceptes, Ses lois, Ses ordonnances, Ses commandements (cf. Psaumes 119.72-144 ; Deutéronome 11.1 ; 1 Jean 2.5). Enfin, notre adoration et notre reconnaissance ne doivent pas dépendre de notre réalité, mais bien du fait que Christ nous a aimé le premier, du fait qu’Il a TOUT donné, TOUT porté et supporté pour nous parce que nous sommes Sa précieuse famille, et parce qu’Il nous réserve la vie éternelle dans Sa présence (cf. Jean 4.23 ; Lamentations 3.22-23 ; 1 Thessaloniciens 5.18 ; Éphésiens 5.20). - Lire plus ici :
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villasugandhala · 1 year ago
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J.-S. Bach - Passion selon Saint Matthieu BWV 244 (sous-titré français)
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blogdimanche · 1 year ago
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Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 22,15-21
 
« En ce temps-là,
15 les pharisiens allèrent tenir conseil pour prendre Jésus au piège en le faisant parler.
16 Ils lui envoient leurs disciples, accompagnés des partisans d’Hérode : « Maître, lui disent-ils, nous le savons : tu es toujours vrai et tu enseignes le chemin de Dieu en vérité ; tu ne te laisses influencer par personne, car ce n’est pas selon l’apparence que tu considères les gens.
17 Alors, donne-nous ton avis : Est-il permis, oui ou non, de payer l’impôt à César, l’empereur ? »
18 Connaissant leur perversité, Jésus dit : « Hypocrites ! pourquoi voulez-vous me mettre à l’épreuve ?
19 Montrez-moi la monnaie de l’impôt. »
Ils lui présentèrent une pièce d’un denier.
20 Il leur dit : « Cette effigie et cette inscription, de qui sont-elles ? »
21 Ils répondirent : « De César. »
Alors il leur dit : « Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. »
(Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
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(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Mt 22,2
« Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. » (Mt 22,21) Voilà la réponse de Jésus à la question piège des disciples des pharisiens : « Est-il permis de payer l’impôt à l’empereur ? » Jésus répond en traitant les questionneurs « d’hypocrites » ! À Jérusalem, où se passe la scène, il n’est pas question de faire autrement, sauf à se mettre hors-la-loi. Et le ton faussement respectueux qui précède la question force encore le trait : « Maître, lui disent-ils, nous le savons, tu es toujours vrai et tu enseignes le chemin de Dieu en vérité ». Jésus n’est pas dupe du piège qu’on lui tend… Pourtant il n’a jamais cherché à mettre quiconque dans l’embarras ou à tendre un piège à quelqu’un ; il ne répond donc pas au piège par un autre piège. Il traite la question comme une question et il y répond vraiment.
Premièrement, « Rendez à César ce qui est à César », y compris en payant l’impôt. C’est tout simplement reconnaître que César est actuellement le détenteur du pouvoir, ce qui est la pure vérité. Rien à voir avec de la servile collaboration ; au contraire, c’est accepter une situation de fait ; dans la perspective de l’Ancien Testament on considère que tout pouvoir vient de Dieu. Jésus lui-même, au cours de sa Passion, dira à Pilate : « Tu n’aurais sur moi aucun pouvoir, s’il ne t’avait été donné d’en-haut » (Jn 19,11). D’autre part, et Isaïe nous l’a rappelé dans notre première lecture de ce dimanche, en parlant du roi Cyrus, Dieu peut faire tourner toute royauté humaine au bien de son peuple… or nos pharisiens connaissent mieux que nous le texte d’Isaïe sur Cyrus ; ils savent donc très bien que tout pouvoir, même païen, est dans la main de Dieu. Notons quand même en passant que le César du moment s’appelait en réalité « Tibère ». (Le nom « César » était devenu un titre).
Deuxièmement, « Ne rendez à César que ce qui est à César » : quand César (c’est-à-dire l’empereur romain) exige l’impôt, il est dans son droit, mais quand il exige d’être appelé Seigneur, quand il exige qu’on lui rende un culte, il vous expose à l’idolâtrie ; et là, il ne faut pas transiger. À l’époque où Matthieu écrit son Évangile, cette hypothèse était une réalité. De nombreux martyrs ont payé de leur vie ce refus de rendre un culte à l’empereur romain. Troisièmement, « Rendez à Dieu ce qui est à Dieu ». La vraie question est là : Êtes-vous sûrs de rendre à Dieu ce qui est à Dieu ? En l’occurrence, il s’agit de reconnaître en Jésus celui qui vient de Dieu, celui qui « est à Dieu ». Sans vouloir tirer de ce texte une théorie du pouvoir politique que, manifestement, Jésus n’a pas voulu y mettre, parce qu’il ne s’est pas placé sur ce terrain-là, on peut retenir de cet évangile une fois de plus une étonnante leçon de liberté. César n’est que César ; les rois de la terre ne sont en réalité que des roitelets. Leur royauté est passagère et le royaume de Dieu est d’un tout autre ordre : c’est au sein même des royaumes de la terre que toute œuvre d’amour et de fraternité fait grandir le seul vrai royaume, le Royaume de Dieu. (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)
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paroissedemartigues · 2 years ago
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plagrange75 · 4 years ago
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La Chorale de la Trinité chante La Passion selon Saint-Matthieu, de Jean-Sébastien Bach (à Sainte-Trinité, Paris) https://www.instagram.com/p/CQjYWwbM1Zo/?utm_medium=tumblr
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elusivals · 5 years ago
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Tagged by @virieu and @alverlind , thanks!
Rules: We’re snooping on your playlist. Put your entire music library on shuffle and list the first ten songs
1. Silent knight - hizaki
2. We both go down together- the decemberists
3. Money money money - abba
4. Just a hole - the dead brothers
5. Walk away - franz ferdinand
6. Willow - emilie autumn
7. 0 - arai tasuku, itaru baba
8. Passion selon saint-matthieu: erbarme dich - bach
9. Mama's gun - glass animals
10. Achilles come down - gang of youths
Tagging @mntsyrup @phantomcigarettes @nirine
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ensemblebaroquedetoulouse · 8 years ago
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Plus que quelques jours avant la 10e edition de Passe ton Bach d’abord “PASSION” ! Êtes-vous prêts pour un déferlement de passions du 2 au 4 juin prochains?
On sort les flûtes d’amour et on vous promet une Saint-Matth qui envoie du (haut) bois ! Toutes les infos par là >> www.baroquetoulouse.com tous à Toulouse pour son plus grand festival baroque-et-pas-que !
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cheminer-poesie-cressant · 6 years ago
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source : @cheminer-poesie-cressant​
de lumière en brume et de brume en lumière ainsi sont les montagnes ces derniers jours du matin au midi et du midi au soir, un air du mouvement qui illumine la scène de l’horizon, le silence qui se fait récitant ; les montagnes qui subissent en plein coeur l’épreuve du lyrisme
© Pierre Cressant
(vendredi 29 octobre 2010)
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abbedartigue · 2 years ago
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« Jésus Christ n’est pas mort en croix pour que Bach puisse écrire la passion selon saint Matthieu » Leonardo Castellani
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christophe76460 · 2 months ago
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✅ La venue du soleil de justice
Aussitôt après la tribulation de ces jours-là, le soleil sera obscurci, et la lune ne donnera pas sa lumière, et les étoiles tomberont du ciel, et les puissances des cieux seront ébranlées. Et alors paraîtra le signe du fils de l’homme dans le ciel : et alors toutes les tribus de la terre se lamenteront et verront le fils de l’homme venant sur les nuées du ciel, avec puissance et une grande gloire. Matthieu 24:29-30
L’expression : « la tribulation de ces jours-là » recouvre trois années et demi d’intenses tribulations religieuses, années de souffrances inouïes pour les croyants, années terribles aussi pour tous les hommes.
➡️ Le résultat de tous les conflits qui interviennent à l’échelle planétaire est un bouleversement complet de toute l’organisation du monde : le soleil, la lune et les étoiles, symboles des divers échelons de l’autorité confiée à l’homme ne remplissent plus leur fonction, ils sont submergés par le mal.
➡️ C’est le chaos généralisé, une nuit spirituelle complète durant laquelle les passions des hommes ne connaissent plus le frein de la conscience, ni « LA PEUR DU GENDARME ». C’est alors qu’apparaît le signe du fils de l’homme venant lui-même prendre en main la situation et sauver les croyants d’une destruction imminente.
Alors, le Seigneur délivre le résidu d’Israël et les hommes de toutes les nations qui ont cru en lui. Il installe son règne sur le peuple d’Israël, et il reçoit la domination sur toute la terre, selon ce qui est annoncé prophétiquement : « Demande-moi, et je te donnerai les nations pour héritage, et, pour ta possession, les bouts de la terre » (Psaume 2:8).
Nous nous réjouissons à la pensée que Jésus, l’humble pèlerin de Nazareth qui parcourait la Palestine, le méprisé, le rejeté de tous, le crucifié de Golgotha, dominera sur le monde comme « le soleil de justice », avec puissance et une grande gloire.
Nous nous réjouissons aussi parce que nous avons l’assurance de régner avec lui : « si nous souffrons, nous régnerons aussi avec lui » (2Timothée 2:12). Nous ferons partie de son cortège royal « quand il viendra pour être, dans ce jour-là, glorifié dans ses saints et admiré dans tous ceux qui auront cru, car notre témoignage envers vous a été cru » (2Thessaloniciens 1:10).
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papyanar · 5 years ago
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Je devais être las Ou là, ailleurs, je ne sais pas. Je t'aime, tu m'aimes Tu le sais, Toi? À rêver ou rêvasser Sur une fin de marée D'un jour médiocre Sous la flotte, j'i pris le vent Un amour en pleine face; Délicieux, sans outrances J'ai baissé ma plume, délicieusement Par passion, selon Matthieu ou Saint-Jean; J'ai baisé la grève, tendrement, dévot des mers Dans mon cœur de vil anar, et vieux scribe; J'ai senti, le sang violet, battant les seins d'une Reine; Un soir de poltronnerie, j'ai tué mes mots; Seul dans ma piaule; À l’hôtel des flots bleus; Chambre blanche, tableau aux murs Une croix lointaine, effarouchait Des mouettes passives; J'ai soufflé, vieux fumeur, des volutes En avé Maria; J'ai remercié les pierres D’être au sol imbibées de caresses. J'ai découvert mon ailleurs, enfin Fallait que le bonheur, s'ouvre; s'écarte, exulte, passionne À cœur perdu,a corps lié Je devais être là, près de nous Ailleurs infini.
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yes-bernie-stuff · 2 years ago
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Nota Bene 16/07/2023
Je trouve un grand plaisir dans ce que tu prescris et je ne veux jamais oublier ta parole. Psaume 119.16
Le grand compositeur et musicien Jean-Sébastien Bach (1685-1750) a laissé un impressionnant répertoire d’œuvres considérées comme l’aboutissement et le couronnement de la tradition musicale baroque. Il est reconnu comme l’un des plus grands compositeurs de tous les temps. Une grande partie de ses compositions : (messes, cantates, chorales, Passion selon Saint Jean ou Passion selon Saint Matthieu…) est directement inspirée de la Bible.
Bach était un chrétien authentique, profondément imprégné par sa foi en Jésus-Christ. Contrairement à beaucoup de compositeurs de son temps, il ne recherchait pas une reconnaissance humaine ni sa propre gloire, mais surtout celle de Dieu. Beaucoup de ses manuscrits se terminent par les initiales S.D.G. (pour « Soli Deo Gratia » : « À Dieu Seul la Gloire »).
Sa Bible était une source d’inspiration quotidienne. Souvent, il annotait sa Bible de quelques commentaires personnels. Ainsi, dans une de ses notes Bach a écrit : « Dans une musique recueillie, Dieu est toujours présent avec sa grâce ». C’est bien ce qui caractérise sa musique ! Ses remarques étaient précédées de l’abréviation : NB (« Nota Bene » = « Notez Bien » en latin). N’est-ce pas aussi pour chacun de nous une invitation à « prendre bonne note » de ce que Dieu nous révèle au travers de sa Parole et à en faire notre guide de vie ?
Bernard Grebille
__________________ Lecture proposée : Psaume 119, versets 1 à 16. Ce qu’est la Parole de Dieu pour le fidèle 1 Aleph. Heureux ceux qui sont intègres dans leur voie, Qui marchent selon la loi de l’Éternel ! 2 Heureux ceux qui gardent ses témoignages, Et le cherchent de tout leur cœur ; 3 Qui ne commettent pas d’iniquité, Mais marchent dans ses voies ! 4 Tu as donné tes commandements Pour qu’on les garde soigneusement. 5 Oh ! Que mes voies soient réglées De manière à ce que j’observe tes statuts ! 6 Alors, je n’aurai point à rougir, Si je regarde à tous tes commandements. 7 Je te louerai dans la droiture de mon cœur, En apprenant les décrets de ta justice. 8 Je veux garder tes statuts, Ne m’abandonne pas entièrement. 9 Beth Comment le jeune homme rendra-t-il pure sa conduite ? C’est en y prenant garde selon ta parole. 10 Je te cherche de tout mon cœur ; Ne permets pas que je m’égare Loin de tes commandements ! 11 J’ai serré ta parole dans mon cœur, Afin de ne pas pécher contre toi. 12 Béni sois-tu, Éternel ! Enseigne-moi tes statuts. 13 Je répète de mes lèvres Tous les jugements de ta bouche. 14 Je me réjouis dans la voie de tes témoignages, Comme si j’avais tous les trésors du monde. 15 Je veux méditer tes commandements. Et regarder à tes sentiers. 16 Je prendrai plaisir à tes statuts, Et je n’oublierai point tes paroles.
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