#vieillir
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Photo par Norberto Pezzotta
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Il existe un avantage au fait de prendre de l’âge : plus on vieillit, plus on s’approche du ciel…
V. H. SCORP
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Je les sentais arriver depuis quelques semaines et ce matin, ils sont là ! Mes fameux vertiges dû à un caillou dans l'oreille interne. Du coup, je marche un peu comme si j'étais sur le pont d'un bateau ! C'est reparti pour 1 mois de traitement. Plus je vieillis et plus mon estomac ressemble à une pharmacie !
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Le grand âge
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J'aimais ce regard
visage du temps
au plus près de la vie
débarrassé des artifices.
Enfin vieillir, sous cette douce rumeur, vivre.
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(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(mercredi 14 septembre 2005)
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"Une vieille femme ne se voit pas toujours vieille. J'essaie de voir toute sa vie, en elle. Ça a quelque chose de tellement émouvant, la durée d'une vie..."
John Irving - Une veuve de papier
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#citation#extrait#livre#littérature#litterature#femme#vieillir#irving#veuve papier#papillon#butterfly
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C'est cliché que d'écrire qu'écrire est sa raison d'être. Mais je ne sais pas s'il est autant cliché que de vouloir se battre chaque jour pour que l'écriture reste.
Voilà ma première tentative ici. J'ai une tendance à la méta-analyse dont j'aimerais me défaire, mais il faut dire ce que ça veut dire ; je suis ici pour essayer de raviver une flamme à laquelle je tiens beaucoup, et pour créer un espace dédié à ma rééducation. Je suis le genre de personne qui a toujours voulu écrire, toujours eu pour rêve mais aussi pour but tangible de faire de l'écriture sa vie et son métier, et qui a toujours... écrit ? Oui en un sens, mes histoires et poèmes commencent à l'école primaire, j'ai écrit au collège, écrit à l'adolescence et à l'âge adulte ; j'ai écrit, en fait, tous les ans de ma vie, sous toutes les formes, intimes et artistiques, prose et rime, humour et drame. Mais ne pas savoir terminer : là est le fléau.
J'ai réécrit dix fois des débuts d'histoires, dès mes premières découvertes. Ma première histoire imaginée jeune n'a pas été terminée, je suppose qu'il y avait déjà en germe et mon perfectionnisme et (plus grave) mon manque de patience. On finit par se demander, saisi d'un doute aux allures horrifiques : est-ce que j'aime vraiment écrire, ou ai-je fantasmé toute ma vie la sacro-sainte posture de l'écrivain ?
J'écris dans ma tête. Constamment. Des pages et des pages. Quand je suis devant un clavier ou un crayon, je brûle les étapes, et fais péter trop de jalons. Ça ne va pas assez vite et j'ai l'esprit qui part et. Mille raisons et non-raisons. Comme maintenant. Dans ma tête j'écris le déroulé entier de mon rapport à l'écriture, de quoi en faire un roman, mais mon corps souhaite mettre à terme à ce billet, parce que j'ai besoin que les choses soient faites, aient été faites et je n'arrive pas à vraiment prendre le temps de les faire. Pourquoi cette hâte, constamment ? J'ai les mêmes pulsions quand je lis : je veux avoir terminé le roman.
Suis-je vaine ?
Si oui. Que la force me soit permise à maîtriser pour que cela change.
J'ai vieilli. J'ai grandi. Pour la première fois, je sens que mon visage change, que mes traits se durcissent lentement, je sais où un jour il y aura des rides. En fait, il y a déjà de petites rides sur ma peau. Je ne veux pas me réveiller un jour et réaliser que j'ai laissé passer toutes mes chances, tout le temps de faire ce que j'avais à faire. Il y a quelque chose de honteux et de désemparant à se dire qu'on a les mêmes rêves (atteignables !) qu'il y a dix ou quinze ans, que rien n'a changé, voire que tout a empiré. Perdre du poids. Terminer un roman. Trouver sa voix, du moins travailler activement à trouver sa voix. Je ne veux pas terminer ma vie en étant déçue de moi.
Il se cache une énergie et une volonté perdues qui m'appartenaient jadis, et je donnerais beaucoup pour les reconquérir.
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Vieillir
J'ai voulu faire un selfie, car il y a des semaines que je n'en ai pas fait, peut être même des mois. Mais impossible de me plaire sur la dizaine de photo que j'ai faite. Ou alors, je dois mettre un filtre et je me retrouve avec une peau lisse comme celle d'un bébé. Donc, ce n'est pas moi. Le but, ce n'est pas seulement de publier une belle photo , mais de publier une photo qui me ressemble !
Alors, je n'en ai publié aucune, j'ai tout effacé et j'étais au bord des larmes parce ce que je sais que désormais, chaque année qui passe va détruire un peu plus mon apparence. Je ne me suis jamais trouvée aussi "moche" que cette année, celle de mes 55 ans. Mais dans 2 ans, je trouverai sûrement toutes les photos de cette année très jolies !
Vieillir c'est vraiment terrible, surtout à l'époque des filtres, et des blogs de femmes qui te disent comment être belle. On se compare sans arrêt et passer la cinquantaine, on se sent rapidement hors course. Moi, j'ai la quasi certitude que je ne peux plus plaire à personne, exception faites de ces hommes qui ne pensent qu'au sexe et qui sauteraient sur n'importe qu'elle femme du moment qu'elle est d'accord. Mais que quelqu'un me regarde et me trouve belle, où juste jolie, où simplement à son goût, je n'y crois plus.
Et ce n'est vraiment pas évident d'accepter que désormais ma vie devra se vivre sans amour.
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Sale temps
Ami, où t’en vas-tu ? Pour quoi cours-tu ?
Je t’aime tant, j’aime tant te prendre
Doucement dans ma nuit,
Entre tes longs doigts me glisser.
Pourquoi si courte cette nuit ?
Et où se célèbre le jour
De cette soirée qui s’endort déjà ?
Je n’en ai plus de souvenirs
Avant que ceux-ci je les vive.
Je crois qu’il y a au loin
Une pierre qui m’attend,
Droite, sévère, amicale.
J’en ai tant aimé des cailloux,
J’en ai tant haï des frayeurs,
C’est étrange ces regrets
Quand dans ma main
J’avais serré la sienne.
Il n’y a pas que la neige que j’aime,
Il n’y a pas que la neige qui fond.
J’avais cru.
J’ai dormi si longtemps.
Quelle heure peut-il bien être ?
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"La faculté qui donne à l'existence sa saveur suprême..." dans les pensées de Peter Walsh
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Virginia Woolf, Mrs Dalloway
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Qui trop s’inquiète vieillira vite…
V. H. SCORP
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Je ne sais pas pour vous, mais l'amour des plantes m'est venu avec l'âge. Depuis 3 ans, mon salon, ma chambre, le bureau, la salle de bain et bien entendu mon balcon, se sont transformés en jardin. Moi qui n'avais pas la main verte, je suis désormais une excellente jardinière ! Probablement, mon besoin d'apporter de l'attention et du soin s'est rabattu sur les plantes et les animaux quand les enfants ont quittés la maison.
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(petite scène de la ville quotidienne, la traversée du grand âge)
l’instable sur le trottoir où la droiture n’est plus de mise, ni verticale, ni horizontale ; la vieillesse se définit ici dans l’indifférence générale, juste dans l’aléatoire de l’allure, la courbe de la silhouette ; cette femme dont les pas ne suivent plus la logique des autres qui l’entourent ; ces autres pas qui la dépassent ou bien plutôt qui croient la dépasser alors qu’elle n’est que déploiement de vie sur la vie, vie qui sait ralentir la vie, ralenti qui voit le monde au delà de ses limites, vaillance au regard de leur engagement à eux
vieillir c'est ne plus rien céder
© Pierre Cressant
(dimanche 10 septembre 2022)
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Vivre avec une chaleur extrême pourrait vous faire vieillir plus vite
L'exposition à une chaleur extrême pourrait conduire à un vieillissement plus rapide, un nouveau ��tude publié aujourd'hui dans la revue Avancées scientifiques suggère. Les personnes âgées vivant dans des zones plus chaudes des États-Unis ont montré un vieillissement plus rapide au niveau moléculaire que les personnes vivant dans des zones plus fraîches. L'étude a examiné les mesures de l'âge…
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