#pas trop mal j'espère d'ailleurs
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Descente de police dans un bar féministe et queer, 28 mars 2023, Paris.
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Translation :
FROM STONEWALL TO THE MARAIS*
COPS ARE COPS
THEY WILL NEVER BE OUR ALLIES
PARIS, 28TH OF MARCH 2023, THE POLICE RAIDED A QUEER AND FEMINIST BAR
Gathering at 12h in front of the police station of the 8th arrondissement, 36 rue Laure Diebold
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Last night, after a day of national protest, the police came to harrass a queer and feminist bar. They took advantage of the situation to arrest one person, still currently in police custody.
All night long, the atmosphere was warm. We were celebrating the success of our pink block, we were delighted of this day.
Over and over again, several police trucks drove by the bar and we sang slogans to which they replied with shy provocations.
Two hours later, when the situation was completely quiet, the policemen came back determined to punish us.
They handcuffed someone from the bar chosen randomly, then threw a disencirclement grenade then a tear gas grenade from their car.
They threatened to run over the people who tried to hold back the car and smoked out the bar thus endangering several people.
Two fainted, the firemen had to intervene.
The police's repressive measures have been escalating for several weeks. We're already counting several hundreds of wounded including our comrade from SUD Rail who lost an eye, a comrade AESH who lost his thumb and the outburst of police violence at Sainte-Soline which have notably put two comrades in a coma in a life-threatening condition.
Last night, the police did not strike randomly.
By targeting this bar, a queer and feminist bar, a bar where the fight is being organised, the police reminds us of who they are, that they will never be the allies of the TPG (translator note : trans-faggots-dykes). She is also trying to directly target the activists even when they are on a night out.
This police harrassment which occured yesterday reminds us obviously of the unexpected raids and brutal arrestations perpetrated in our community sites in history at Stonewall just like in France.
We won't let ourselves be pushed around.
The TPG will continue rallying against the reform for retirement and against this world that exploits and oppresses us and we call for a gathering today at noon in front of the police station of the 8th arrondissement, 36 Laure Diebold street.
Translator notes :
*@ inverti.e.s is the collective of communist "TPG" : "trans, faggot and dykes". Here is their instagram : https://www.instagram.com/inverti.e.s/?hl=fr
*Paris is divided in 20 "arrondissements" (city districts, boroughs).
*Le Marais is known to be a historically gay neighbourhood, with gay bars and one of the only gay libraries in France, "Les mots à la bouche. It is also a neighbourhood known for its jewish and chinese population, and its jewellers.
Les mots à la bouche on Instagram
#lgbtq+#stonewall#paris#le marais#police violence#acab#pauline traduit#pas trop mal j'espère d'ailleurs#police raid#police raid on a queer feminist bar
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C'est bientôt la rentrée et comme je suis dans un gouffre sans fond de désespoir et de mollesse, je vais dresser une liste de choses qu'il faut que je fasse avant l'entrée en 2025, dans l'ordre chronologique (bon ya des trucs qui sont pas faciles à situer donc je vais voir où les mettre):
- Tout bien refaire mes fiches d'organisation et trier mon ordinateur (mon côté psychorigide revient au galop après 3 mois de déchéance)
- Rappeler tous les cons qui veulent pas répondre à mes demande de stages (ça fait bcp d'appels pour quelqu'un qui déteste appeler même ses parents, son mec ou ses potes, d'ailleurs ça fait qq années que j'ai instauré un safe word d'appel, si quelqu'un m'envoie un message où il y a écrit "courgette" c'est que l'appel est important et mérite que je le prenne, mais si c'est pas une urgence vitale en général ça m'énerve)
- Avoir mon permis (je suis à 2 ans de conduite, 2000€ de dépensé, des litres de larmes et de mascara, il est temps que ça cesse ce calvaire)
- Donner mon sang tous les deux mois et donc prendre rdv prochainement en septembre (faut que je reprenne du poids du coup parce qu'à 43kg je doute de survivre même si j'ai pu montrer une certaine résistance à la perte de sang dans mes années mutilation)
- Prendre rdv chez le médecin (que je comprenne pourquoi j'ai envie de vomir tout le temps, pourquoi j'ai mal aux reins, pourquoi je suis fatiguée, pourquoi je saigne pas pendant 2 mois puis après 6L en 2 jours et un petit test IST pour voir s'il reste une once de respect de mon mec à mon égard)
- Trouver un stage (par pitié acceptez-moi en stage que je ne sois pas obligée de demander les EHPAD, jme sens déjà bien trop en fin de vie pour faire un stage en soins palliatifs)
- Essayer d'instaurer des repas variés, à intervalles réguliers et un petit dej solide (non parce que c plus possible de manger un bout de salade par jour quand je suis stressée)
- Diminuer le RedBull (passer de 1/j à 1 tous les deux jours, on en est à ce stade d'addiction oui)
- Essayer de diminuer la clope (pas de volonté réelle pour le moment donc ça m'étonnerait)
- Faire du Yoga 1x par jour ou tous les deux jours et peut-être reprendre la course, ou m'inscrire à l'escalade (par contre 250€ une licence, pour ce prix, j'espère que le massage des mollets est inclus)
- Manquer le moins de cours possible et essayer de maintenir un 13.5 de moyenne, c'est le dernier semestre faut se bouger le fion
- Aller au cinéma au moins 2 fois par mois au.pire et 1 fois par semaine au mieux (pour maintenir la culture cinématographique que je Fake depuis des mois)
- Me séparer de mon copain (à moins d'un miracle et d'une prise de conscience rapide et profonde, ça me paraît malheureusement inévitable, ce qui veut dire me préparer à une rupture...)
- M'inscrire dans une association (parce que c'est intéressant mais surtout parce que je vais pouvoir dire dans mes lettres aux masters "eh regardez jsuis peut-être une merde en cours mais j'aide les enfants qui se font harceler a l'école prenez moi")
- Restée moins confinée dans mon appartement (aller respirer, marcher, chier, peu importe mais dehors, comme ça ça réduit les moments de vide et de grattage compulsif)
Bon déjà ce sera pas mal ça en vrai, je rajouterai bien trouver une manière de me faire de l'argent facilement mais à moins de dealer, ça me paraît pas très faisable, après pas vu pas pris comme on dit hm
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ce matin j'ai râlé dans mon coin car j'avais mal au ventre et que je me suis dis oh putain voilà j'ai encore des douleurs de règles une semaine avant de les avoir j'en ai marre mon corps a vraiment décidé de me faire chier depuis quelques temps genre un an ou deux mais en allant aux toilettes je me suis rendue compte que non j'avais juste mes règles et j'ai encore plus râlé car on ne peut plus se fier à rien elles sont encore en avance et ça m'énerve c'est pas normal puis j'étais pas bien car j'ai l'impression et souvent mes impressions se vérifient qu'on me ment et j'aime pas ça j'ai stalké quelqu'un aussi et ça m'a pas apporté grand chose finalement à part faire passer le temps, d'ailleurs je pense que les gens qui croient qu'on leur ment tout le temps (moi) y croient parce qu'eux-mêmes mentent et je n'aime pas mentir mais je suis bien obligée pour un ou deux trucs toujours les mêmes et ça me pèse car c'est des mensonges généralisés dans le sens où c'est le même mensonge mais à plusieurs personnes et j'aime pas ça, je pense que j'aime aussi pas trop mentir car souvent c'est pas du tout dans mon intérêt car je cache juste mes émotions et mes ressentis en me disant qu'ils ne sont pas valables ou que ça me porterait préjudice de les exprimer et ça me met dans des situations merdiques enfin bref c'est peut-être pour ça que j'ai encore essayé de faire plein de tri aujourd'hui car j'ai besoin de me vider de beaucoup de choses je crois mais j'y vais petit à petit même si à force je commence quand même à me sentir démunie de tout et pourtant j'en amasse des trucs mais j'ai besoin de me défaire de certaines choses j'ai envie d'être une nouvelle moi et ça prend du temps, dans l'après-midi mon amie qui habitait à trente secondes de chez moi m'a appelé car elle passait à l'appart une dernière fois et qu'elle savait que je voulais le voir avant de tourner la page avec elle, ça m'a fait bizarre mais j'ai bien aimé on a laissé une dernière trace en me mesurant sur la porte de la salle de bain comme ça je serai toujours là avec elle et sa famille avant le coup de peinture des nouveaux propriétaires, en repartant de l'appart on a croisé le chat que j'aime bien car il me colle tout le temps = le chat qu'elle aime pas car il la colle tout le temps, il avait l'air d'avoir extrêmement chaud donc elle a voulu le mouiller avec un peu d'eau mais c'est sorti tout seul et il a fui le pauvre mais au moins on peut dire qu'il est bien hydraté et là je suis rentrée chez moi avec l'envie de revoir fleabag car j'ai besoin d'avoir le cœur brisé mais je crois que je vais juste m'abrutir le cerveau car j'ai vu qu'il y avait de nouveaux épisodes de love is blind où ils vont se taper dessus (j'espère) donc voilà mon programme de cette fin d'après-midi et de journée peut-être si je ne m'arrête pas (passionnant n'est-ce pas)
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Automne 1917 - Champs-les-Sims
4/4
Et comme si cela ne suffisait pas, nous avons appris le décès il y a peu de la plus jeune soeur de Marie, Cloédie, elle aussi en mettant son enfant au monde. Cette pauvre petite n'avait déjà pas eu une vie facile, car chacun sait que la fillette née de cette union était la fille d'un homme qui n'a pas assumé ses responsabilités. Pensez vous, ce malappris, apprenant que sa jeune maîtresse attendait un enfant, s'est empressé d'épouser une autre femme qui attend également un enfant de lui. Qui peut bien se conduire ainsi ? La famille Ribeaucourt n'a t-elle pas assez souffert ? Le goujat a été fauché par un obus le mois dernier, mais il a tant fait souffrir autour de lui que j'ai bien du mal à me sentir désolée. Je suis navrée de vous apporter ainsi d'autres raisons de vous alarmer au sujet de votre Eugénie, mais le malheur ne peut pas encore frapper après tout cela, pas encore une fois.
Au milieu de tout ce malheur, je trouve la nouvelle du droit de vote des femmes par chez vous assez réjouissante. En France, cette proposition ne cesse d'être retoquée depuis des années au prétexte que nous serions trop susceptibles d'être influencées par les curés ! Il est certain que toute femme digne de ce nom se prend toujours de passion pour les curés et ne se marient d'ailleurs jamais ! Veuillez excuser ma colère, mais alors même que de plus en plus d'homme au sein du gouvernement y soient favorables, cela n'arrive toujours pas, c'est une honte !
J'espère apprendre dans votre prochaine lettre une bonne nouvelle quand à votre nouvel enfant et de mon côté, j'espère que Constantin prendra le temps de vous écrire, je sais que cela vous pèse de ne pas avoir de nouvelles.
Avec l'assurance de mes sentiments les plus sincères,
Albertine Le Bris
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#sims 3#decades challenge#nohomechallenge#ts3#simblr#sims stories#Albertine Maigret#Jules Le Bris#Marie Ribeaucourt#Cloédie Ribeaucourt#Eugénie Bernard#Camille Ribeaucourt
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J'entrai dans la station-service. Je tins la porte à un homme qui était peut-être un routard États-Uniens, il avait la casquette la barbe et une chemise à carreaux enfin je crois je ne suis pas sûr je pourrais très bien dire n'importe quoi. L'homme m'a remercié chaleureusement il avait l'air sympathique, je me suis dit trop cool j'inspire du respect et de la chaleur à un homme qui est chauffeur de camion États-Uniens enfin je pense, j'espère, ce serait la classe. J'ai toujours trouvé cools les chauffeurs de camion États-Uniens, les hommes qui sont sur la route aux États-Unis. Les films sans doute...
On entre tous les deux dans les toilettes, je fais mon pipi et lui aussi, il s'en va, nous étions au pissoir. Moi je prends mon temps je suis un homme nerveux faut que ma ceinture soit remise parfaitement et que mon caleçon soit placé parfaitement sous mon short, faudrait pas que ça me dérange. Je passe les détails de tous les autres mécanismes de malade mental que j'ai et qui font que je suis un homme aussi lent qu'une tortue et qui vu de l'extérieur ressemble à un homme qui replace sa ceinture pendant 30 ans sans qu'au final ça ne change grand-chose à sa position initiale.
Dans les toilettes assis à côté de moi, de l'autre côté du mur, caché, j'entends un gémissement. Un soulagement même, prolongé, appuyé, bruyant. Chelou gênant mais quand-même sacrément drôle en vrai. Damn un homme encore plus bizarre que moi. Ça n'arrête pas les gémissements se répètent je me dis damn voilà un homme léger.
Ça me rappelle ce matin-là à l'auberge de jeunesse de la Nouvelle-Orléans où j'avais été réveillé également par un gémissement, c'était un long Damn d'ailleurs, genre daaaaaaaamn, mais aux sonorités plus érotiques et moins liées à l'univers gastrique. C'était tôt le matin j'avais mal dormi j'avais fait trop de portable la veille avant de m'endormir, et j'étais un peu stressé je devais partir à Mexico le jour même puis j'en avais ras le cul de cette auberge de merde, ouais c'était vraiment une auberge de merde je la recommande pas, si un jour ils me lisent ce que je pense arrivera inéluctablement aucun problème j'assume mes propos vous êtes une auberge de merde, une belle merde comme celle délicatement et savoureusement évacuée par l'homme décrit plus tôt.
Bref j'étais un peu de mauvaise humeur de me faire réveiller par les bruits d'une femme qui prend du plaisir. Nous étions seulement deux dans une grande chambre sans fenêtre de 6 lits superposés sans rideau isolant, et dont les lumières au plafond ressemblaient à celles des hôpitaux mais en encore plus moches et en encore plus lumineuses genre presque aveuglantes, d'un blanc froid aveuglant. Sauf que là on était dans le noir et j'entendais se tortiller dans le lit plus bas. Putain y en a qui s'en tape vraiment des autres, elle avait déjà été chiante la veille à faire des appels vidéos avec son homme jusqu'à pas d'heure, je me suis dit qu'il en avait peut-être marre de l'appeler et il était peut-être venu en personne, c'est vrai que j'avais cru comprendre qu'il y avait des passages un peu coquins lors de l'appel, alors que moi je lisais mon livre sur les Innus en pyjama, bien gentil bien sage bien docile dans mon lit superposé. Puis c'est vrai que je l'ai entendue se lever je crois, un peu plus tôt dans la matinée déjà tôt, peut-être qu'elle avait ramené son homme à ce moment-là mais c'était quand-même bizarre parce que normalement c'est interdit de ramener des invités, c'est pas moi qui le dit c'est le règlement. J'ai jeté quelques regards un peu énervés et peut-être un brin jaloux vers le lit de la meuf, quoique j'étais trop de mauvaise humeur pour avoir quelconque désir. J'ai vu bouger et je me demande si j'ai pas vu deux personnes. Ce qui est bizarre néanmoins c'est que quand ça s'est calmé, quand les gémissements qui en vrai sonnaient plutôt joliment, en tout cas plus jolis que l'autre cochon en train de chier dans la station-service de l'état de New York, bref quand ça s'est calmé elle a appelé quelqu'un. C'est bizarre de faire ça après l'amour c'est chelou quand-même non pourquoi tu ferais ça t'es bizarre.
J'ai lâché un Oh Come on parce que j'avoue j'étais agacé, y a des limites quand-même puis bon elle ne me faisait pas tellement peur. Elle a dit quelque chose je crois mais j'en suis pas sûr et puis de toute façon je m'en souviens plus. J'ai ajouté de manière polie, succincte et ouverte au dialogue qu'en gros elle était casse-couilles à faire tout ce bruit alors qu'il était à peine 8h du matin. Elle m'a répondu qu'il était exactement 8h du matin, comme si c'était l'argument ultime qui lui permettait de faire tout le bruit qu'elle voulait et qui m'empêchait de faire toute critique. Que répondre face à ça j'avoue j'étais un peu surpris, bien joué. Je me suis levé pour aller prendre mon petit-déjeuner j'avais mis le réveil à 8h du matin de toute façon et elle n'avait pas menti il était effectivement 8h du matin, fallait que je me taise bon dieu. Sur le chemin c'était bizarre j'avais l'impression qu'elle était seule dans son lit finalement mais bon tout n'était pas très clair dans ma tête j'étais fatigué, je pouvais pas vraiment réfléchir.
Je mangeais mon petit-déjeuner tranquille quand un employé chelou et casse-couilles m'a donné le coup de grâce, alors même que je me disais que la vie est finalement plutôt belle et pleine de surprises et de promesses. Le beurre de cacahuète et moi c'est une relation solide, couple ouvert certes mais on en a vu d'autres. L'homme s'est arrêté à mon niveau et il m'a demandé comment j'allais. C'était un peu bizarre parce qu'à mon arrivée il m'avait rappelé l'arrogance teintée d'un brin de malveillance que je connaissais d'autres êtres humains et que je n'étais pas prêt d'oublier. Puis il avait été prodigieusement indifférent ce qui était vraiment une belle perf pour quelqu'un qui travaille dans le domaine de l'accueil des gens, trimballant avec lui une vibe très bizarre pas toujours claire ni saine ni bienveillante mais en vrai j'en sais rien finalement de ce qui le traversait, j'exagère peut-être j'ai parfois pas peur de l'exagération. Il s'était montré subitement sympathique un soir où j'avais débarqué sans faire exprès à l'happy hour pourri qu'il organisait et où il n'y avait personne. Il m'a offert un soft me l'a même ouvert et servi et m'a filé un extra dollar pour que je puisse prendre le tram comme le tram n'acceptait pas la carte. Je sentais ou au moins j'avais l'impression que ça le faisait quand-même un peu chier de faire tout ça pour moi mais en vrai j'en sais rien c'est peut-être mon esprit aussi susceptible que chelou avec sa ceinture après avoir fait pipi qui parle, par contre j'avoue j'ai quand-même jubilé quand je lui ai indirectement fait comprendre que ouais t'inquiète tu peux me servir toi-même le coca que tu m'as offert et décapsulé, et ce dans le cadre d'un happy hour où personne n'est venu et où moi-même je n'allais pas rester. Merci gars pour le dollar que tu m'offres sans remboursement à venir ça fait plaisir, ça aide. Yesseusse je suis un gamin mais j'avoue pour le coup ça faisait du bien, je comprends le gémissement de joie du gros dégueulasse qui faisait caca dans la station-service à New York.
Puis j'ai compris que les employés recevaient des bonus si les guests les mentionnaient dans leurs commentaires sur booking.com à la fin de leur séjour. Je me suis dit ah ok je comprends mais d'un autre côté il n'était pas totalement frontal vis-à-vis de ça donc j'avoue qu'au fond de moi j'avais l'espoir naïf innocent gênant et débile que cet homme finalement s'intéressait un peu à moi, un tout petit peu. J'ai souvent ressenti cet étrange besoin de plaire et de séduire des êtres humains pourris qu'en vrai je n'aime pas et qui peuvent être parfois blessants voire carrément des connards finis, wow je suis quand-même spécial à être content si jamais je les fais rire. Bref à la suite de cette interaction on a eu quelques small talks bizarres où il était sympathique je trouvais ça ouais franchement bizarre puis je me disais non il va pas oser, il est quand-même pas sympathique et curieux à propos de ma vie juste pour choper de la thune, il va pas oser.
Ce matin là à la fin de mon petit déjeuner, à la fin de ses nouvelles questions polies quant à mon voyage, alors que je me dis cool il est quand-même sympa finalement même s'il est quand-même masse chelou, je suis même carrément flatté en fait finalement qu'un connard fini puisse s'intéresser à moi, wow j'ai quand-même du charisme j'inspire le respect et la curiosité à des êtres qui n'ont pas peur d'être des connards finis publiquement, bref à la fin de la petite conversation, il me dit Ah oh fait, n'oublie pas de mentionner mon nom dans ton commentaire. Il s'en va et rigole comme si de rien n'était.
Je rentre dans la chambre noire en me disant fuck ça me casse les couilles cette auberge c'est de la merde je déteste la Nouvelle Orléans c'est vraiment pas pour moi je suis trop gentil et sensible et stylé ouais ça faut le dire pour la Nouvelle Orléans, je suis quand-même stylé ouais enfin je le pense enfin je pense que je le pense ou plutôt je le dis pour compenser l'autre enfoiré que j'hésite à démonter dans mon commentaire booking.com, crois-moi j'en suis capable je pourrais faire un roman magnifique sur cet tentative de corruption horrible et terrifiante et malsaine et terriblement méchante d'un pauvre petit Bakpacker du quartier Contades de Strasbourg qui voulait juste avoir du fun à la Nouvelle Orléans et oublier son passé tragique. Mais bon en vrai je suis pas assez lâche je suis quand-même digne enfin c'est ce que je me dis j'aime bien penser ça tout de suite je me sens mieux, puis je me barre bientôt donc en vrai tranquille. Puis je me rends compte en vrai que la meuf qui a gémi bah elle est seule dans son lit en fait, a priori. Putain c'est ouf ! Ça change beaucoup de choses. C'est presque flatteur, elle s'est sentie suffisamment à l'aise dans la chambre avec moi pour se faire du bien toute seule, pour se caresser et gémir langoureusement, damn peut-être même que c'était une invitation, peut-être même qu'elle voulait mon attention et que je participe. Dans tous les cas elle a l'air d'avoir joui au son de son long gémissement en forme de daaaaaaaamn qui m'avait presque inquiété tant il était appuyé. Damn c'est presque flatteur c'est comme si j'avais contribué à la chose, qui sait peut-être que je l'ai inspirée.
L'agacement a disparu j'étais presque fière de moi, une femme de plus qui était comblée. J'avais été tenté de faire un max de bruit en faisant mes affaires et de laisser les lumières d'hôpital ultra aveuglantes et froides allumées lorsque je quitterais la chambre, parce que comme elle le disait il était exactement 8h du matin, en fait il était carrément plus tard donc ouais ma grande moi aussi j'ai tous les droits prends ça, comme je suis lâche Damn je me défoule sur une fille mais bon l'homme est un loup pour l'homme et moi je suis une tortue ou un petit agneau sans défense au passé tragique et qui cherche monsieur le berger pour me protéger des requins. Sauf que bref tout avait changé on était maintenant dans la même équipe avec ma compagne de chambre, t'inquiète j'ai capté les signaux merci et de rien je t'en prie, service. Bon après faut pas abuser elle m'avait quand-même réveillé puis la veille elle avait été bien bruyante avec son tel donc ouais fallait que je fasse quelque-chose, du coup je suis quand-même parti en laissant la lampe de chevet allumée et ouais j'ai fait ça ouais je suis sûr qu'elle avait trop les nerfs en tout cas voilà faut pas me chercher je suis pas un lâche je suis courageux.
Ce jour-là dans les toilettes de la station service dans l'état de New York, alors que l'homme dans les toilettes assis faisait comprendre qu'il était de plus en plus soulagé, et que le malade mental que je suis n'arrêtait pas d'ajuster sa ceinture sans rien ajuster du tout, je me suis quand-même demandé à quoi ressemblait l'individu expressif et soulagé et sonore. Ça pouvait pas être un beau gosse comme moi, on aime trop plaire nous les beaux gosses on est trop addicts au regard des autres et à leur reconnaissance et leur validation, on est pas assez libres on est un peu des baltringues en fait nous les beaux gosses parmi les beaux gosses, ça prend un homme courageux, un homme qui s'en bat les couilles. J'avais raison il avait l'air bien chelou et courageux et pas un beau gosse parmi les beaux gosses comme moi qui est un beau gosse parmi les beaux gosses.
J'ai eu la belle surprise de voir que l'être courageux chelou était dans mon bus en direction de New York City, il était assis tout à l'avant juste derrière le chauffeur il me semble, forcément. Pendant le trajet il s'est dirigé plusieurs fois à l'arrière du bus où étaient les toilettes, en vrai vraiment plusieurs fois c'était ouf j'étais impressionné en voilà un vraiment qui s'en bat les couilles qui est plus courageux que Marlon Brando y a pas photo, ça prend tellement plus de courage d'assumer aller aux toilettes d'un bus dont le trajet est de 9 heures, bref d'y aller et d'y revenir un nombre incalculable de fois devant presque les mêmes personnes et ce pendant 9 heures, ouais ça prend un courage et une force mentale de fou pour faire ça, un immense je m'en foutisme, bien plus de courage que les gens qui sauvent la nation ou les gens qui sauvent les gens dans le métro, respect bro, moi je stresse déjà si j'y vais plus d'une fois pendant le trajet, j'ai peur qu'on reconnaisse que je suis un chelou nerveux parmi les chelous nerveux pseudo lents et que du coup je ne fasse plus partie des beaux gosses parmi les beaux gosses qui attirent les filles vraiment intéressantes, Fuck j'aurais trop les nerfs qu'on réalise qu'en fait je suis pas un beau gosse parmi les beaux gosses mais vas-y j'ai quand-même l'impression que je suis peut-être quand-même un beau gosse parmi les beaux gosses, enfin j'espère s'il te plaît lecteur confirme. Je me demande si l'homme plus courageux qu'un militaire et qui vaut 100 policiers osait gémir comme il avait gémi lorsqu'il était dans la station-service, s'il osait le faire à chacune des dizaines de fois voire plus où il était allé aux toilettes du bus devant tout le monde, à chaque fois avec la même allure de chelou pressé et en vrai un brin ratatiné je suis sûr que tout le monde pouvait deviner qu'il allait faire caca. Wow ce serait ouf s'il avait osé gémir comme un fou, wow le courage du gars, dans ce cas oubliez tout ce que vous savez sur la guerre et faites le général, confiez lui les armées du monde entier il va nous sauver il aura pas peur c'est sûr il s'en bat les couilles c'est ouf c'est lui le vrai beau gosse parmi les beaux gosses.
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"I'm sad again, don't tell my boyfriend It's not what he's made for"
Les paroles de la chanson de Billie Eilish dans le film Barbie ont créé une trend sur tiktok de gars qui répondent à leur copine "it's exactly what I was made for". Ça apaise grave mon cœur et me redonne un tout petit peu foi en les mecs et l'amour. Je m'en fous de ce qu'on peut dire sur ce film, j'ai l'impression qu'il bouge vraiment les consciences dans ma génération en tout cas. Je l'ai pas encore regardé mais j'ai vu beaucoup de retours de la part de meufs et j'ai l'impression qu'une solidarité féminine s'est créée autour. Je voyais beaucoup de commentaires dire "les filles, on sait à quel moment on a toutes pleuré". On sait exactement toutes ce qu'on vit au quotidien en tant que femmes et dans une salle de cinéma ça doit faire bizarre. Pendant les scènes avec des messages féministes tu dois être là à te dire "quel monde de merde quand-même" et tu sais que toutes les meufs sont en train de penser pareil. Je sais pas du tout expliquer mon ressenti, j'ai l'impression que c'est très bancal, mais il est 3h du mat' et je suis éclatée donc faut pas trop m'en demander. J'espère que c'est un minimum compréhensible.
J'ai l'impression que c'est un film dédié aux filles et que ça assume entièrement et perso je kiffe ça. Parce qu'on a toujours honte de tout ce qui fait "trop" fille. D'ailleurs j'ai vu pas mal de meufs dire qu'elles n'avaient jamais voulu porter du rose parce qu'on dit toujours que ça fait "princesse" ou trop "girly". Puis ce truc du "I'm not like other girls", ça veut tout dire!! Les meufs ont honte de faire ce qui est considéré comme "typiquement pour les filles". Et j'ai l'impression que le film leur fait réaliser. Bref, j'ai hâte de le voir.
(27/07/2023)
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Je sais pas comment j'ai pu rater cette occasion- Mais je suis la pour le DVD commentary !! :DD
Et sans grande surprise j'aimerais tout savoir sur Lux Lunae ! J'aime trop comment tu met en scène cet univers !!
J’ai eu beaucoup de mal à choisir un seul passage, du coup j'en ai pris 2 qui font 500 mots à eux 2. ( J'espère que c'est okay )
Donc de "Elle n’avait pas pour habitude de sortir la nuit..." à "..y a pas grand monde que j’aimerais voir là-haut.” Pour la première.
Et "Un battement. Deux battements. Trois battements..." à "...un monument à l’inévitable et à l’éternité."
(Referring to this ask game)
Ohohoho, kitty time !! :3c
Et 😭 oui c'est ok, prenez des extraits de plus 500 mots si vous voulez, je suis pas à ça près X) Voire plusieurs extraits, en fait, moi on me donne l'opportunité de ramble sur mes fics je suis ravie–
Elle n’avait pas pour habitude de sortir la nuit – et encore moins de le faire sans la protection d’un ou deux gardiens. Même les chatons le savaient : la ville était sans pitié pour ceux qui s’y égaraient, et sans soleil pour veiller sur eux, ils n’avaient plus un chat à prier.
(Les gardiens étant l'équivalent des guerriers, Béa/Tournesol n'a pas l'habitude de sortir sans ; techniquement cette ligne est. Un peu stupide vu qu'on apprend quelques paragraphes plus tard qu'elle est accompagnée par Liam, mais shhh– Je réalise d'ailleurs maintenant que la ligne sur le soleil insinue un peu que les chats de la Colonie ont un genre de religion autour du soleil, mais c'est pas le cas, hein, c'est juste. Plus safe en journée en ville X'))
Enfin, si. Elle en avait, maintenant, des chats à prier.
Ç’avait été une découverte déroutante. Toute sa vie, elle avait vécu sans croyances, s’était dévouée à son rôle de guérisseuse, malgré des méthodes qu’on lui reprochait peu orthodoxes mais qu’elle ne considérait que comme une façon comme une autre de sauver des vies. Toute sa vie, elle s’était jugée seule responsable des vies qu’on lui confiait, des vies qu’elle avait entre ses pattes.
(Petite référence aux saignées de la Béa canon, même si honnêtement j'ai aucune idée de comment ça se retranscrirait dans l'AU – est-ce qu'elle. Mort ses patients jusqu'au sang ? À réfléchir... ou pas, d'ailleurs 😭)
Et voilà qu’on lui présentait une puissance autre. Une puissance supérieure, capable de régir la vie des chats de Gangs, de leur apporter leur aide ou, au contraire, de les maudire s’ils leur désobéissaient.
(En utilisant Béa/Tournesol ici, j'utilise une technique très commune dans pas mal de fantasy, qui a probablement un nom, mais que j'appelle affectueusement "je lance un pèquenaud qui connaît rien au système du coin pour l'introduire au lecteur non initié" <3 D'ailleurs, techniquement, de tout l'OS, c'est le passage avec Yann qui est venu en premier ! À la base je voulais juste écrire un passage cryptique avec une apparition de Yann, et j'ai même failli utiliser MT en personnage principal (et réduire tout ça à un rêve qu'il finirait par shrug off au réveil), mais Béa me fournissait plus d'opportunités de subplots et me permettait de coller au thème Lune, sur lequel j'avais très envie d'écrire :])
Où avaient été ces chats, tout ce temps, lorsqu’elle s’était battue contre le temps, tentant désespérément de garder en vie une âme qui lui échappait ?
(Petit questionnement à la Papillon ✨ ... enfin je crois, mes souvenirs de Papillon sont vagues et j'en suis pas arrivée là à ma relecture du cycle 2, mais c'est l'idée que j'en ai en tête X))
Elle avait du mal à croire en eux, elle devait se l’avouer. Mais intégrer le Gang signifiait accepter ses traditions, et ce voyage au clair de lune n’en était qu’une parmi tant d’autres.
(Le clair de lune..... *sigh* la première version de cet OS parlait de pleine lune, parce que je pensais que c'était là que se réunissaient les guérisseurs, pour une raison ou une autre ? Puis j'ai relu le tome, quoi, 3 ? Et j'ai réalisé que c'était à la demi-lune qu'ils se retrouvaient. Puis j'ai lu le tome 5 et en fait c'était à la nouvelle lune qu'ils se retrouvaient. Puis j'en ai discuté avec Spotty et en fait non c'était bien la demi-lune– bref, tout une histoire X'))
“Un problème, ma pote ?”
(Si y a bien un problème auquel je m'attendais pas en écrivant cet AU, c'est bien la question des speech patterns, parce que mine de rien, la façon de parler des chats de LGDC est très "simpliste" : ils se tutoient tous, ont tous un niveau de langage globalement courant et family-friendly, s'aventurent peu dans le familier ou le soutenu, et ont rarement des tics de langages bien à eux ; or, ce genre de différences dans le langage, RPZ en regorge– et encore, ça se voit peu dans Ad Nominem et encore moins dans Lux Lunae, parce qu'il n'y a que des personnages qui se tutoient et ont un niveau de langage courant, même si j'ai cru comprendre que les chats qui lâchent des 'putain' avaient surpris, mais pour écrire des personnages comme MT ? MT, le chef de gang qui qualifie tout le monde de reuf et de bitch, menant une cérémonie, ce truc au langage extrêmement précis et solennel ? Ouais, c'est un équilibre à trouver, hein X') Je ne prends bien sûr absolument pas cet exemple à cause d'un potentiel WIP, nooon.....)
Les oreilles de Tournesol Écarlate tressaillirent tandis que se coulait à ses côtés la forme rousse et élancée de Faux Trèfle, l’œil curieux et la queue battante.
“Non, non, pas du tout, m’sieur !” miaula-t-elle prudemment tandis que ses oreilles, par instinct, s’aplatissaient contre son crâne.
(Aslkjsdfs au contraire, les comportements de chats, c'est quelque chose que je m'attendais pas à autant apprécier écrire <3 Les mouvements d'oreilles, de queues, la fourrure, le museau, les miaulements, les feulements, les ronronnements, j'adore écrire tout ce qui est relatif aux habitudes et actions des chats en tant que chats ✨)
Faux Trèfle pencha la tête sur le côté, comme peu convaincu, mais n’insista pas. “Bon. Prête pour ta première rencontre avec nos ancêtres ?”
Non, bien sûr que non. Comment être prête à rencontrer les esprits potentiellement fictifs de chats de Gangs morts ?
Tournesol Écarlate acquiesça néanmoins.
“Tu les as déjà vus, les chats des étoiles, toi, m’sieur ?” tenta-t-elle, en une tentative à peine dissimulée de se rassurer.
Le matou leva le museau vers le ciel.
“Pas vraiment, non. Ils apparaissent pas trop aux guerriers ordinaires comme moi. On est pas assez intéressants pour eux, je suppose.”
Son ton était presque… mélancolique. Presque déçu.
(Est-ce vous aussi vous pensez souvent au fait que 90% des chats ne voient jamais aucun chat ou signe du Clan des Étoiles avant leur mort et croient toute leur vie en l'existence d'esprits qu'ils n'ont pas de chances de rencontrer. Est-ce que vous aussi vous pensez aux jeunes chats qui apprennent que les esprits choisissent certains d'entre eux et en font leurs héros et qui espèrent longtemps être choisis par une prophétie avant de lentement réaliser qu'ils font partie de ceux qui ne seront que des chats ordinaires ? Parce que moi jamais, hahaa... Bref je pense que ce serait le cas de Liam. J'ai aucune preuve et ça sert pas à grand-chose niveau scénario mais. Ouais.)
“De toute façon,” enchaîna-t-il en secouant le museau, “y a pas grand monde que j’aimerais voir là-haut.”
(Et ooh, une angsty backstory qui pointe :3c Techniquement il a pas de backstory décidée, mais j'aime bien me dire qu'il avait pas vraiment d'amis autres que Marcello et que les seules personnes qui l'attendent au Clan des Étoiles sont ses parents, qu'il a pas particulièrement envie de revoir.....)
–––
Un battement. Deux battements. Trois battements.
(Une énumération à trois éléments, aka ce que je fais de mieux 👍 /hj, mais un ami m'a fait remarquer que j'en utilisais beaucoup en lisant une de mes fics il y a des années et j'y repense à chaque fois que j'en fais une T-T)
Tournesol Écarlate avait cessé de compter depuis bien longtemps lorsqu’elle décida qu’elle en avait assez, et qu’elle se contenterait de mentir à Faux Trèfle s’il lui demandait ce qu’elle avait vu.
Lorsque ses yeux se rouvrirent, elle n’était plus à Los Santos.
(Le coup de "le protagoniste attend un changement qui ne vient pas mais découvre que le changement s'est produit hors champ alors qu'iel est sur le point d'abandonner", un classique !)
Elle laissa échapper un hoquet de surprise.
(Apparemment les chats peuvent vraiment avoir le hoquet ; j'aurais mis ça quoi qu'il arrive je pense. J'aurais pas été la première à trop personifier les chats pour que ce soit réaliste X))
Partout autour d’elle s’étendait une vaste plaine semblant infinie, sans un arbre ou un rocher pour en perturber la clarté. L’herbe était agitée d’un léger vent dont Tournesol Écarlate ne ressentait pourtant pas la moindre brise, et le ciel nocturne était parsemé de plus d’étoiles qu’elle n’en avait jamais vues. Le lieu semblait imperturbable, imperturbé, un monument à l’inévitable et à l’éternité.
(Honnêtement je savais plus comment était décrit le lieu où les chats rencontraient le Clan des Étoiles dans les livres (et d'ailleurs je crois qu'il y en a plusieurs, en fait, ça dépend des chats) donc j'ai improvisé une plaine un peu surnaturelle~ Et j'aime beaucoup la dernière phrase mais c'est purement des fioritures, hein, je trouvais juste ça joli X))
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Bon et bien c'était laborieux !
Je pensais atteindre l'objectif bien avant mais pas mal de choses énergivores se sont greffées (le mois de juillet tendu au boulot, tensions avec ma responsable...). J'espère que vous êtes contentes de votre Camp NaNo @queenfredegund et @violets-in-her-arms-writes
Mais au moins j'ai dépassé mon objectif !
-J'ai écrit 3 chapitres de ma fic (et d'ailleurs je suis entrée en plein dans l'arc final, ça fait quelque chose après avoir passé tant de temps dessus).
-Et j'ai terminé aussi aujourd'hui le premier chapitre d'une petite histoire qui m'est venue complètement par impulsion. Je ne sais pas où ça va mener mais c'est drôle à écrire.
Et comme je poste toujours des extraits, je vais en mettre un de cette dernière vu que c'est ce que je trouve le mieux.
J'ai repris un concept que j'utilise dans mes histoires, avec une héroïne ayant des pouvoirs liés aux ténèbres sans que ça ne soit quelque chose de maléfique. C'était très intéressant de décrire ses perceptions et sa fascination pour l'obscurité.
"Marya courut à perdre haleine mais ne s'éloigna pas de la rivière. Le froid cour d'eau serpentait à l’infini. La boue collait à ses bottes. Elle pressa l’allure, mais le paysage ne changea pas. Chaque pas la ramenait à son point de départ. Un soleil indifférent et blafard la contemplait depuis son zénith.
Acculée, Marya chercha une issue, ne souhaitant rien de plus que dormir et oublier. Elle s’agita, se souvint être dans un rêve et souhaita de toutes ses forces se réveiller. Rien ne bougea. Une brise spectrale agita les doigts squelettiques des arbres.
Marya était prisonnière des limbes. Sa détresse coula sur ses joues. Il lui fallait un abri, ne plus voir ce lieux de désolation. Ses poings se serrèrent et elle maudit la rivière. Sa colère se heurta à un mur invisible.
Une ombre glissa soudain près d'elle. Une voix douce et légère murmura son nom.
“Viens, Marya.”
Les ombres jaillirent, rideau noir, mouvant et soyeux et occultèrent peu à peu la rivière. Eperdue de reconnaissance, Marya sourit. La danse de l'obscurité l'envoutait. Elle en oublia presque sa tristesse.
Une impression de familiarité l’étreignait, son cœur chantait. Marya se laissa porter par le rêve et tendit la main par instinct. Elle franchit le voile, descendit dans le ventre de la nuit. Cette dernière l’enveloppa dans le plus beau des manteaux, la coucha sur le velours. Le cauchemar avait disparu. Ne restaient plus que le noir et les battements de son coeur. Les ténèbres n’étaient ni trop chauds ni trop frais. Marya s’allongea et y déposa sa tête, les trouvant plus confortables qu'un oreiller. Un délicieux silence l’entoura.
Elle ne voulait pas se réveiller…la réalité et la rivière reviendraient demain. Pour l'instant, rien ne pouvait cependant l'atteindre. La quiétude finit par la gagner.
Le reste de la nuit passa dans un sommeil réparateur et sans rêves.
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C'était vraiment incroyable aujourd'hui
Ce matin je suis arrivée une heure en avance à la fac alors j'ai pu traîner un peu à la terrasse (ça devient un peu mon QG haha) et ensuite Nathan est arrivé, ça m'a fait plaisir qu'il soit de retour
Toute la matinée on a fait que papoter en cours et se raconter les dernières anecdotes, puis on a aussi pas mal rigolé à cause des profs (surtout le prof de trad trop bizarre ??? Je me sens un peu désolée de lui avoir parlé d'un ton un peu condescendant, c'était pas ce que je voulais mais bon tant pis c'est fait)
Ce midi j'ai mangé mon petit sandwich chez Nathan, je lui ai raconté tout (enfin pas tout à fait TOUT) ce qu'il s'était passé avec Jess et où j'en étais moi vis a vis de tout ça (et il m'a répété exactement ce que je savais qu'il allait me dire hahahaha)
D'ailleurs ce matin (un peu pour attirer son attention je dois l'avouer) sur Instagram j'ai posté un vieux tirage que j'avais fait à propos de lui et moi et ça m'a fait sourire qu'il aime la story sans même savoir que c'était a propos de lui ni ce que ça voulait dire (bon en fait peut-être qu'il sait dans la mesure où j'ai mis du Johnnie Carwash avec ? La musique Forever Yours ?)
Enfin bref voilà, je fais que de penser à lui, ça m'obsède
CET APRÈS MIDI JAI FAIT MON PIERCING ET OLALALALALA JAVAIS TELLEMENT HATE
Je suis tellement contente du résultat
J'étais excitée comme une puce avant le rendez vous, et puis quand Pauline faisait les marquages pour percer elle m'a fait LE MEILLEUR COMPLIMENT POSSIBLE
Elle m'a dit que j'avais l'anatomie IDÉALE, que dis-je, PARFAITE, pour faire un jestrum (en plus j'ai vraiment hésité à faire celui ci plutôt que le labret 🥲) et qu'elle avait presque jamais l'occasion d'en faire et qu'elle aimerait vraiment énormément me le faire si jamais un jour je veux sauter le pas
ALORS PEUT-ÊTRE QUE DANS LES MOIS A VENIR UN JESTRUM VIENDRA DECORER UN PEU PLUS ?
Non sérieux j'adore le résultat du labret
En sortant du salon je suis allée voir Jay et ça m'a fait plaisir d'enfin le revoir, ça faisait longtemps. Il m'a serré fort fort fort dans les bras et c'était chouette d'être là de nouveau
Je suis restée peut-être bien 2h, y'avait Berga aussi, il est rentré du travail environ 20 minutes après que je sois arrivée et ça m'a fait plaisir de le revoir lui aussi, il est trop adorable avec ses comportements d'enfants malgré sa dégaine de gros dur
(D'ailleurs j'ai appris que Pops posait une famtek ce weekend normalement alors si c'est le cas j'espère que je serai invitée hehe j'ai trop envie de remettre le couvert)
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Mesdames et messieurs, nous avons le plaisir de vous annoncer que nous avons survécu ! Et voici donc la narration de notre premier jour en terres sauvages :)
L'aventure commence bien : pendant qu'on se tourne les pouces à l'auberge en se disant que le tuktuk qui devait nous récupérer est en retard, un monsieur arrive et explique que ça fait 30 min qu'il attend dans la rue ! Oups. Il nous emmène quand même à l'agence avec le sourire, c'est agréable. Le responsable de l'agence nous attend avec notre guide anglophone, on est rassurées, il a l'air de parler correctement anglais ! Deux filles qui rentraient de trek nous ont raconté hier que leur guide parlait trois mots et que ça avait été impossible d'échanger vraiment, c'est tellement dommage …
On monte ensuite à l'arrière de deux motos, armées de nos sac à dos (qu'on ne pourra malheureusement pas poser à l'avant, les deux sont chargés comme des mules avec deux énormes paquets, l'un deux ayant un pack de 9L d'eau en équilibre par dessus), et c'est parti pour … 1h30 de route. Aouch. Après la première demi heure, on s'arrête dans un petit magasin où le guide nous achète un masque : on part ensuite sur les routes en terre. Je me dis intérieurement que ce n'est pas forcément nécessaire, on en a déjà fait des routes en terre et ça allait ! Erreur de débutante, heureusement qu'on les a mis … les routes en terre ocre soulèvent des nuages de poussière qui se déposent absolument sur tout, les vêtements, le visage (nos guides trichent, ils ont des visières ! On sera de notre côté marquées à vie, couvertes de terre au moindre interstice à découvert), même les arbres en bord de route changent de couleur. Le pire, c'est quand un camion passe : ils créent une mini tempête qui nous engloutit, un vrai bonheur! Nos vêtements et notre sac en sont aussi couverts, j'espère que ça partira au lavage !! Sakal, notre guide, nous explique en rigolant qu'il s'agit de la neige cambodgienne... On vous laisse juges !
On longe les rizières à sec et les plantations d'arbres à cajou, où quelques rares fruits ( les genres de poires allant du vert au rouge en fonction de leur maturité. On en a goûté sur un marché et de nouveau pendant le trek, on n'est pas fans) trônent encore, c'est très joli.
Après quelques pauses (nos guides ont visiblement aussi mal aux fesses que nous), on finit par arriver devant un petit gué qui ressemble bigrement à celui de Chi Phat! Au milieu de la rivière, un grand bateau tirant des filets est stationné, on nous explique qu'il récupère le sable charié par la rivière depuis le Vietnam : le renouvellement est constant, avec l'accord du gouvernement ce sable est revendu dans la région, surtout pour construire des maisons.
On finit la route par une petite demi heure au milieu des villages de minorités, à faire coucou aux enfants qui nous regardent passer. On s'arrête pour acheter du vin de riz, la route ressemble de moins en moins à quelque chose (respect aux conducteurs, ils gèrent !), et soudain c'est un cul de sac, on est arrivées ! (Dans la cour d'une maison)
Entourées de cochons (l'un des bébés essaye d'ailleurs de manger la queue de la maman, qui n'apprecie pas du tout) et de poulets, on comprend avec sidération que les deux énorme sacs qui étaient posés à l'avant des motos sont donc de la nourriture : il y a 8kg de riz de prévu (on est 4, sur 4 jours hein), des pâtes, du pain, une quantité astronomique de légumes, un sachet de fruit… et de la viande crue (spoiler alert, c'était carrément trop, à part les fruits qu'on a finis en un jour et demi). Un instant de regret nous submerge quand on pense que la veille, on aurait pu répondre qu'on était végétariennes et éviter de manger de la viande restée pendant 3 jours dans un sac par 35°, puis la résignation s'installe, et on suppose que s'ils avaient des touristes malades à tour de bras, ils ne feraient pas ça … suspense jusqu'à la fin du séjour !
Ayant donc récupéré notre guide local (Mr Cho, celui qui ne parle pas anglais mais connait la zone comme sa poche), nous fourons nos hamacs dans les sacs, nous debarbouillons pendant qu'ils se séparent la nourriture (et vu la quantité de terre qu'on étale sur nos masques, c'était nécessaire!), récupérons le pain, les bananes et 3L d'eau chacune, et c'est parti mon kiki !
On commence par traverser de longs champs desséchés, rizières abandonnées à cette période de l'année qui reprendront toute leur splendeur à la saison des pluies. On alterne entre rizières et vergers (beaucoup de cajou, quelques manguiers), et on nous explique qu'après le défrichage d'une nouvelle zone, on plante en même temps du riz et des arbres. La double culture se poursuit jusqu'à ce que les arbres aient trop grandi, après quoi on recommence dans une autre zone en conservant le verger : 1kg de cajous (encore dans leur coque verte, puisqu'ils n'ont pas les machines pour les décortiquer sur place et aucune envie de se brûler les mains sur le contenu acide, comme ce qui se fait en Inde) vaut environ 1,10$ (moins qu'il y a quelques années, où le kg était à 1,25$), alors que le riz, même de meilleure qualité, se vend au mieux à 75cents le kg.
En ce qui concerne le riz, ils plantent différentes variétés, de normal (40cents le kg) à excellent : un meilleur riz demande plus d'intrants, il faut donc avoir les moyens de se payer les fertilisants.
On passe également devant des termitières géantes, un des ennemis des plantations : s'ils s'attaquent normalement plutôt aux troncs morts, ils partent parfois à l'assaut de la chair tendre juste sous l'écorce, ce qui finit par les tuer. Il faut alors pulvériser un mélange chimique sur le tronc pour le sauver. Les termitières trop gênantes peuvent être brulées, mais elles servent aussi de nourriture aux poulets ou aux varans, les locaux ont donc l'air de les laisser plutôt tranquilles.
En avançant, Sakal (notre guide anglophone non local) nous explique les utilisations de différentes plantes, de la plante mille pattes qui sert à traiter leur morsure venimeuse, à la plante en forme de pieds de boeuf utilisée pour fumer, en passant par la plante comestible (instant d'introspection avant de croquer dans une feuille rose, on se sent un peu entre la chèvre et la chenille. Verdict : c'est peut être comestible, mais contrairement au guide qui se régale, je n'irai pas jusqu'à dire bon ! C'est un peu aigre, mais ça passe).
On passe soudain des champs à la forêt, la délimitation est très nette, et on se pose pour déjeuner. La pause est d'ailleurs looooooongue, et n'est que la première d'une longue lignée aujourd'hui. Visiblement, notre guide anglophone n'a pas l'habitude de marcher autant avec de poids sur le dos, d'autant plus que sa ceinture ventrale est cassée (parceque ce n'est pas un problème de dénivelé ou de distance, on ne marche pas vite et c'est tout plat) : on fait trois grandes pauses entre 13h et 14h10, ce qui nous agace honnêtement un peu. On se demande si on va un jour arriver à la cascade promise, et si on ne devra pas se dépêcher d'en partir à cause du temps perdu ici, je demande donc si on peut se remettre en marche (sans rien mentionner d'autre). Malgré mes pincettes (j'ai dit que je voulais partir à cause des mouches qui nous tournaient autour, ce qui est vrai aussi !), j'ai l'impression qu'il est un peu vexé (et désolé), et on repart cette fois au pas de course ! Notre guide local (en tête) vit sa vie tranquillement, on sent qu'il a l'habitude de faire bien pire pour le coup. Je récolte au passage une estafilade sur le mollet gauche, les bambous sont vraiment traîtres.
Note : on s'habituera vite à ce rythme finalement, c'était surtout qu'on ne s'y attendait pas
On arrive enfin à notre très jolie cascade, où nous piquons une tête avec délectation… elle est certes bien fraîche, mais qu'est ce que ça fait du bien !! On retrouve sur place un autre groupe qui dormira visiblement ici, pour notre part nous repartons après une bonne heure à se tremper les pieds. (Et à tenter de se nettoyer de la poussière de ce matin, optimistes que nous sommes).
Et comme je n'ai plus le droit de mettre de photos, vous aurez droit à un deuxième post tout à l'heure !
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Lettre 36
Dimanche 12 Mars 2023
Cher Hugo,
La journée post partiel a été calme. J'ai pu profiter d'une grasse matinée et trainer dans mon lit ne appréciant Dr House que je dévore encore et toujours. La série touche bientôt à sa fin et elle sera bientôt ajoutée à mon tableau. J'ai décidé de ne pas commencer à reviser trop tôt parce que j'ai de petits contrôles entre temps avant le dernier partiel de samedi.
Toute la journée, bien qu'elle ait été entrecoupée de moments différents, j'ai discuté avec Thibault. Nous avons papoté de tout et de rien, il a d'ailleurs commencé à mettre son visage à la caméra et a découvert que j'étais une multi tache. Bah oui ! Maintenant il sait pour mes comptes, l'Egypte, les crimes et aussi pour le meme game et les videos youtube. Il s'est montré très intéressé, a posé plein de questions, je le sentais très admiratif et étonné. Son ton a soudainement changé, il s'est adoucit et est devenu beaucoup plus locace. J'ai beaucoup aimé cette partie de la journée, je dois dire que sa présence me détend et je rigole beaucoup à son contact. Nous sommes visiblement jamais fatigués de discuter, jamais fatigués de l'un et de l'autre, ni même épuisés en termes de sujets. J'ai le sentiment qu'on se trouve mutuellement très intéressants et ça nous va bien. Les choses évoluent à une vitesse extrêmement lente mais dans le fond, ce n'est pas plus mal.
J'ai quand même un peu travailler parce que j'avais des contrôles de compréhension orale à faire sur Eureka pour l'espagnol. Je ne te raconte pas l'enfer ! Je n'avais tellement pas envie, une flemme immense s'était emparée de moi bien avant que je me lance. A la fin je me suis quand même prêtée au jeu pour rendre un travail propre et faire de belles phrases, en particulier quand j'ai compris que c'était noté. Au départ j'ai surtout cru que c'était un exercice à faire pour le lendemain après-midi. Alors heureusement que je l'ai fait ! Quelle angoisse ahah.
Enfin, la lettre est courte étant donné le peu de choses faites durant cette journée. J'ai aussi eu mon grand père au téléphone, nous avons conclu que nous irions visiter l'intérieur du Panthéon quand nous nous rendrons à Paris en juin. J'ai hate de prendre plein de photos et d'élargir le panel de choses faites dans cette ville. Je pense lui proposer de faire le musée d'Orsay aussi mais nous verrons. En plus ce sont de supers idées, mon grand-père a été de nombreuses fois à Paris mais n'a jamais fait le Pantheon, ca pourrait être super de partager ca avec lui. Je suis toute excitée !
J'espère que tout se passe bien pour toi et que la journée de demain sera encore meilleure. Passes une bonne nuit, je t'aime Hugo.
M.
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Suite à la récente élection de Donald Trump aux États-Unis j'ai pu encore voir quelques personnes dans mes followers être hostile envers sa personne Je suis ouvert au débat avec ces individus et curieux de connaître les raisons pour lesquelles vous détester ou n'aimer pas le personnage.En sachant qu'il sera aisé d'argumenter avec les personnes qui ont pour sources d'informations les médias français qui comme vous allez peut-être le savoir sont tenus par les adversaires de ce que représente Trump. Vous comprendrez donc qu'il ne s'agit pas de propager la bonne parole à son encontre. Il est très facile de faire passer quiconque pour la pire des ordures au travers des médias. Le pouvoir des medias du pouvoir en place, aujourd'hui ne se démontre plus. Il n'est jamais trop tard pour aller vérifier les faits à partir de sources plus fiables que des diffusions d'informations médiatiques qui sont inclinées par des groupes d'intérêts biaisés.Alors si vous souhaitez répéter ce que un France 2 ou BFM TV peut rapporter c'est votre choix. Si vous ne souhaitez pas faire l'effort d'aller vérifier l'information aux travers de passions antagonistes stimulées et façonnées par ces médias du pouvoir alors qu'il en soit ainsi. ( Exemple : Je n'irais pas écouter ou essayer de changer d'avis sur Trump car : "il est raciste" / très facile de fact checker en quoi Trump n'est nullement raciste. Un exemple parmis d'autre est sa défense de Mike Tyson contre tous durant son procès pour accusations de maltraitance et vi%7 qui furent fausses par la suite. "Il veut la guerre et le chaos" / l'une des plus grandes qualités qui fut démontré par Trump durant ses années de politiques furent sa capacité à vouloir cesser l'impérialisme américain dans la politique étrangère des États-Unis. Ce qui n'a pas plus à ces enemies qui ont voulu le voir mort bien sûr. D'ailleurs à peine arrivé à l'office qu'il demande déjà à Zelenski d'arrêter les frais. Zelenski étant un pantin du complexe militaro industriel américain et de la CIA mais c'est un autre sujet. "Trump est d'extrême droite" oui tellement d'extrême droite que son administration est la plus concentré en Gauche depuis on ne sait combien d'années etc...) Et pour ce qui est de l'excuse de dire "oh mais je n'ai pas le temps pour tout ça" eh bien au lieu de scroller pendant des heures le soir ou regarder une série vous prenez le temps de vous informer, de réfléchir par vous même et vous faire votre propre opinion.Ainsi votre point de vue commencera à avoir une plus grande légitimité que ceux des troupeaux de perroquets assujettis par le pouvoir des world globalists milliardaires en place et leurs médias qui façonnent les opinions de toutes pièces. Ces mêmes médias qui ne travailleront jamais pour le bien des peuples et des cultures.Maintenant si cela donne globalement une perspective d'espoir vis à vis des peuples qui refusent de se soumettre à l'agenda mondialiste pour ce qui est de la France cela ne changera rien au fait que nous allons payer les factures de la guerre d'Ukraine. Le déclin de l'Empire américain se fera plus en douceur avec Trump au pouvoir. Aussi j'espère voir Robert Kennedy réussir son combat noble contre les industries qui détruisent la santé du peuple américain sur la planche à billets. Espérons que rien de mal de lui arrive en attendant. Les enfants inconscients qui dirigent l'Union Européenne assume le va-t-en guerre et se foutent bien des conséquences pour les peuples d'Europe. La France en particulier en payera les frais si ce n'est déjà le cas.
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Il faut savoir qu'après la publication de ces mots sur le réseau social Instagram. Les publications furent shadowbanned et avaient disparu du réseau, même des archives ce qui fut une première pour moi ayant publié nombre de fois sur Instagram en story précédemment. Ainsi cet entreprise de censure a su faire retentir plus profondément les propos que javais exprimé, propos et réflections pourtant rationnels et raisonnables.
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Lecture [SP] L'EVEIL: La saga d'Enya - Tome1
Service Presse venant de Simplement.Pro Bonjour tout le monde ! Comment allez-vous ? J'espère que vous êtes en forme ? Aujourd'hui, je vous entraine dans de la lecture. Oui, oui ! J'espère que mon avis vous donnera une idée du titre et vous permettra de savoir si oui ou non il vous plaira ! Sur ce... Nous sommes partis dans le premier tome de l'Eveil ! Même la carapace la plus dure peut être brisée. Au commencement était le Néant. Les 5 Dieux primordiaux sont apparus lorsque la première heure du crépuscule est arrivée, donnant ainsi naissance à l’Homme. Eau, Vent, Feu, Foudre et Terre. Cinq pays se faisant front. Le monde a alors basculé dans le chaos le plus total… Enya a échappé à un sombre destin en étant recueilli par son oncle, Volker. Depuis sa plus tendre enfance, elle vit dans le village d’Askéria au Pays de l’Eau. Ayant toujours la sensation de ne pas être à sa place, elle a toujours vécu en cachant sa véritable nature, luttant pour survivre et garder le contrôle. Les villageois l’ont toujours rejetée, persécutée, traitée comme une paria… Afin de préserver sa véritable identité et ses dons, Enya doit constamment se plier à des règles bien précises. Ne pas laisser ses émotions prendre le dessus. Ne pas se mêler aux autres et surtout ne pas se baigner sous aucun prétexte… Cependant un évènement imprévu va bouleverser complètement sa vie. Enya va alors être projetée en plein cœur d’un conflit vieux de plusieurs siècles, mêlant Dieux, trahison et soldats divins… Savoir manier une épée, des poignards et connaître les rudiments du corps à corps ne lui suffiront pas… Soudain les croyances et les certitudes d’Enya volent en éclats. Et si tout ce qu’elle pensait connaître ou savoir se révélait complètement faux ? Ici, le rythme et la profondeur du récit se complètent à merveille donnant envie de tourner les pages, d'en découvrir plus. Les moments plus calmes ne le restent pas indéfiniment et les personnages évoluent pendant l'histoire, ne donnant pas une sensation de stagnation. Cela se remarque au niveau de l'héroïne dont la passivité initiale disparait progressivement tout en gardant une cohérence. Cela ne se fait pas tout le temps et il est bon de le mettre en avant à mes yeux ! La plume de l'autrice est également agréable, elle nous entraine en douceur dans un univers que l'on ne connait pas et nous permet de nous y plonger petit à petit sans avoir envie de refermer le livre. Du moins, pour moi, ce ne sera peut-être pas le cas de tout le monde et c'est tout à fait normal : les goûts sont dans la nature et ce que j'aime ne plaira peut-être pas à quelqu'un d'autre. C'est d'ailleurs tant mieux car cela permet de chouettes échanges ! Bref, bref, je retourne sur ce dont je parlais juste avant... La plume ! Cette dernière, en plus d'être agréable, est précise ce qui m'a permis d'imaginer sans aucun problème ce que j'avais sous les yeux. Imaginer les scènes et les personnages était réellement facile ce qui plaira à pas mal de monde je pense. Les bases posées sont intéressantes, prenantes et mènent vers une suite qui intrigue surtout au vu de ce qu'il se passe au niveau de la fin. Cela tient en haleine et donne envie de partir sur la suite ! Au niveau des problèmes que j'ai repéré, ce sont surtout quelques répétitions et des coquilles, ces dernières disparaissant au fil des pages. Cela ne m'a pas posé de soucis, mais je sais que cela peut en faire certains de leur lecture alors je préfère vous prévenir. Sinon, ce n'est pas bien ennuyant. Ce premier volume promet de nombreuses aventures pour la suite, des éléments autant émouvants que plus doux. La Fantasy s'ouvre face à nous dans ce roman, nous promet de l'originalité et nous l'offre tout en restant cohérente. Ce côté unique, présent, permet de faire de réelles découvertes, de se poser des questions, de ne pas trop se dire que l'on a déjà une sensation de déjà-vu lors de certains passages parce que cela arrive, oui, lorsque l'on a de nombreux points de référence de la ressentir. Ce n'est pas un mal, loin de là, je sais juste que cela peut parfois titiller, ennuyer avant de se replonger le plus naturellement du monde dans la lecture. Bien que ce ne soit pas un coup de coeur pur, c'était un réel plaisir de découvrir ce titre. La fin m'a donné envie de découvrir la suite, l'éternel questionnement du "Mais que va-t-il se passer ? Est-ce que tout ira bien pour eux ?" venant. Je ne doute pas qu'il trouvera son public et plaira à de nombreuses personnes appréciant le genre ! Et vous, l'avez-vous lu ou souhaitez-vous vous plonger dedans ? Read the full article
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Eté 1916 - Champs-les-Sims
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Cher cousin Jules,
J'espère que cette lettre vous trouvera toujours en bonne santé et heureux avec votre famille. De notre côté, nous avons appris juste après notre dernière lettre que Félix, le mari de Juliette, a été porté disparu au front. La pauvre est inconsolable car trop lucide pour ne pas comprendre que cette formule ne laisse aucun espoir. C'est une femme pragmatique, alors pour tromper son chagrin, elle a entrepris de rejoindre une formation pour devenir infirmière à la Croix Rouge. Elle a rejoint Rose dans un hôpital de Compiègne.
La semaine passée, Rose est d'ailleurs venue se reposer à la maison pour sa permission. Elle est bien évidemment toujours la bienvenue au Domaine de Chastel, mais elle assure que depuis la mort de son mari, elle ne peut plus y mettre les pieds sans que cela lui fasse mal. Elle envisage d'acheter une maison plus à sa taille dès la fin des combats, et bien entendu, elle exclu de jamais se remarier. Elle a à peine trente ans, et la voilà déjà veuve.
Elle nous a donc raconté son quotidien derrière les lignes de front où elle se trouvait au début des hostilités. Malgré toute son angoisse, Madame Eugénie était très fière d'annoncer à toutes les autres mères du village que sa petite-fille était la deuxième femme médecin appelée par l'armée française durant toute son histoire. En effet, je ne sais pas comment cela se passe au Canada, mais il n'y a qu'une seule autre femme comme notre Rose quelque part dans un hôpital de campagne. Il faut dire qu'elles sont en substance encore assez rares à obtenir le diplôme. Après le décès de Zéphir, elle a demandé à être affectée en tant que civile dans une maison de repos de la Croix Rouge pour s'occuper des soldats gravement amputés, elle elle nous avait écrit alors qu'elle ne voulait plus voir un seul homme mourir sous sa garde. Elle a dès lors été affectée dans son un hôpital à Compiègne, installé dans une très belle résidence.
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#sims 3#decades challenge#nohomechallenge#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Albertine Le Bris#Jules Le Bris#Rose Le Bris#Juliette Le Bris#Félix Beauvais#Zéphir de Chastel
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c'était le jour du départ aujourd'hui normalement, Morgane et Elodie m'ont envoyé des messages de soutien et ça m'a fait du bien au coeur. Il s'est d'ailleurs serré quand ma mère me disait à plusieurs reprises "ah là tu devrais déjà être dans l'avion !" mais j'ai réussi à dire ma soeur que je ne souhaitais pas en parler quand elle m'a parlé de Montréal à son arrivée. Et puis il y a eu quelqu'un de la famille qui est arrivé, je crois que je n'ai jamais eu aussi mal au coeur - à propos de Montréal - qu'à ce moment-là. Son "mais toi alors c'est quand que tu pars au Canada ?" J'ai rigolé nerveusement, mais j'avais envie de pleurer au fond de moi. J'ai juste fini par dire que je devais partir aujourd'hui mais que j'avais été contrainte d'annuler à 6 jours du départ.
c'est dur ce regard, même si c'est de la famille - qui n'est pas importante pour moi -, ce sentiment de déception. Ce sentiment qu'ils doivent penser que je ne suis pas capable.
j'ai entendu que mon meilleur ami avait pleuré la veille de mon annulation car il voulait pas perdre sa meilleure amie, et quand il a apprit que je restais, il était heureux, d'après sa mère. C'est trop de sentiments différents que j'ai ces derniers jours... J'essaye de profiter de la vie alors que je sens que mon coeur n'est plus là et que je vais regretter toute ma vie de ne pas être partie. Cette sensation que votre vie doit se faire là-bas...
ce n'est que partie remise, j'espère, mais en attendant je n'ai plus vraiment le contrôle de ma vie. Je suis juste spectatrice de tout ça. Je vais passer mon anniversaire ici entouré d'une famille que je voulais loin de moi, je devais fêter mes 25 ans dans ma ville de coeur, seule mais heureuse. C'était tout ce qui m'importait, d'être là-bas. Là je suis juste face à la réalité de la chose, j'ai beau être entouré de ma famille - dont je ne ressens pas ma place pour plusieurs raisons - et de mes ami(e)s, cela n'empêche pas que je me sens toujours seule. J'ai pas forcément l'impression qu'on comprend ce que je ressens, qu'on pense que je suis agaçante avec mes sentiments, que je pense trop, que j'hésite trop.
Montréal c'était censé être une bouffée d'air frais pour moi. J'aurais dû me réveiller avec le sourire, là je retarde juste le moment où je dois sortir du lit et affronter cette journée en me disant que je n'y suis pas. Je porte encore sur mon dos les bagages d'une rupture que je n'ai pas souhaité, un géniteur que je ne reconnais plus, des échecs amicaux... Des bagages que je ne voulais même pas prendre avec moi là-bas. Mais ça commence à faire lourd, après tout ce temps.
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hey
fin d'année = anniversaire
je suis (à peu près) adulte maintenant
jtavoue que jsuis grave en stress pour la suite mais en même temps super excitée
cqui me rassure c'est qu'en lisant le journal de maman j'ai vu qu'elle était aussi stressée et excitée que moi quand elle a emménagée toute seule pour la première fois
mais au final elle a eut une vie plutôt sympa (vu que j'étais là :p)
du coup.. je suis triste de partir de la maison mais jserais pas très loin et puis jpourrais toujours revenir quand jveux
j'emménagerai pas avec akando
il va pas à la fac au fait il part faire carrière dans la musique
jvais faire une coloc avec chiemi qui va dans la même fac que moi
j'espère qu'on va pas trop se crêper le chignon
d'ailleurs faut que jparle avec akando de mon.. truc
j'espère qu'il va pas trop le prendre mal
parce que jme suis beaucoup attachée à lui..
vio
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