Tumgik
#parents séparés noël ensemble
roihangbe · 2 years
Text
Rituel puissant pour obtenir la garde exclusive de ou des enfants apres un divorce
Rituel puissant pour obtenir la garde exclusive de ou des enfants apres un divorce - Vous souhaitez avoir la garde de votre enfant après le divorce? Voici le rituel pour avoir immédiatement la garde de votre enfant.
Rituel puissant pour obtenir la garde exclusive de ou des enfants apres un divorce – Vous souhaitez avoir la garde de votre enfant après le divorce? Voici le rituel pour avoir immédiatement la garde de votre enfant.Au sortir d’un divorce, les parents ne s’entendent pas toujours sur les modalités de garde des enfants, chacun cherchant à obtenir la garde exclusive. Généralement, l’affaire est…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
biarritzzz · 2 years
Text
Documentaire extrêmement émouvant sur deux femmes qui se sont rencontrées à Ravensbrück le soir de Noël 1943.
L’une, Nelly, est belge, chanteuse d’opéra et résistante. L’autre, Nadine, est d’origine chinoise et belge, de parents diplomates et vit à Paris dans les salons lesbiens.
Elles se rencontrent dans le camp de Ravensbrück et tombent amoureuses. Elles ne se quitteront plus. Elle s’aident à vivre. À survivre.
Nelly est déplacée à Mauthausen en 1944 (on ne sait pas pourquoi) et les deux femmes sont séparées. Mais elles survivent miraculeusement et se retrouvent vers 1946. Comment? Le film n’apporte pas de réponse.
Elles vont ensuite vivre ensemble à Caracas au Vénézuela jusqu’à la mort de Nadine.
On a des lettres et un journal qu’elles ont écrit à deux mains (personne n’a jamais voulu le publier) ainsi que plusieurs petits films tournés par Nadine qui les montrent dans leur intérieur au Vénézuela, le tout conservé par la petite-fille de Nelly qui vit aujourd’hui dans le nord de la France.
C’est très émouvant mais triste aussi. Parce que ces deux femmes qui s’aimaient et ont vécu ensemble toute leur vie après la guerre n’ont jamais parlé de leur relation aux deux petites-filles de Nelly. La relation n’était pas évoquée en tant que telle.
On comprend à demi-mot que la fille de Nelly n’acceptait pas la relation de sa mère avec Nadine. Grosse homophobe donc. Et la petite-fille est clairement dans le déni vu le nombre de fois qu’elle parle d’ « amitié » pour décrire la relation de sa grand-mère avec Nadine.
Le mot « lesbienne » est prononcé une seule et unique fois par une autre lesbienne qui faisait partie du cercle de Nathalie Clifford Barney auquel appartenait également Nadine.
Bien sûr, il y a des traces de leur relation grâce aux écrits, photos et films mais il y a tout un pan de la vie de ces femmes qui est complètement passé à la trappe puisqu’elles ne pouvaient pas vivre complètement ouvertement.
Et puis il y a évidemment le tabou et le silence sur les camps de concentration. Personne ne voulait en entendre parler après-guerre. Donc c’est un double silence: silence sur l’homosexualité et silence sur les traumatismes du camp de concentration.
Et malgré tout ça, ces deux femmes ont survécu, ont construit une nouvelle vie ensemble, se sont aimées et sont enterrées dans le même cimetière à Bruxelles. Si ça n’est pas de la résilience.
J’aurais aimé qu’on en sache un peu plus sur Nadine. Sa famille, ses parents. Mais le film nous en dit peu.
Tumblr media
2 notes · View notes
beatlesonline-blog · 2 years
Link
0 notes
chezledawson · 3 years
Text
Saison 4 épisode 21: Separation Anxiety
Tout le monde se fait la tronche depuis le bal de promo. 
Dossone n’a pas reparlé à Gretchen et Joer à Pacey. 
Mais Guèle dit à Dosson que Gretchen lui a donné son préavis et qu’elle quitte la ville. 
Tumblr media
Dosson va alors la trouver avec le prétexte de signer son album souvenir du lycée (?). 
Tumblr media Tumblr media
  Gretchen lui explique qu’elle s’est inscrite à des cours d’été pour rattraper son année et qu’avant ça elle part faire un petit road trip. 
Tumblr media Tumblr media
ça mouline dans la tête de Dossone le forceur qui a une super idée: JE VAIS VENIR FAIRE LE ROAD TRIP AVEC TOI!!
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Gretchen a l’air ra-vie
Tumblr media
Elle lui donne rdv le lendemain pour le grand départ mais eheh quand Dossonne arrive, Gretchenne s’est en fait déjà barrée pendant la nuit (en lui laissant un petit mot dans son album souvenir mdr)
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Eheh bien ouej la Gretch. 
Côté Pacey et Joey: le mec de l’université où va Joer qu’on avait déjà vu dans l’épisode de noël là où elle arrêtait pas de chouiner (un des épisodes) revient à Capeside (est-ce que ces gens n’ont pas une vie importante plutôt que de passer leur temps au yach club de port-barcarès sérieux?) pour une autre soirée de rencontre entre les futurs étudiants. 
Tumblr media Tumblr media
Il demande à Joer si elle peut emmener Pacey parce qu’ils avaient bien accroché l’autre fois et il a une proposition à lui faire.
Joey fait des moues et des phrases alambiquées pour dire qu’ils sont séparés mais que ILS SONT EN BONS TERMES (mdr on la connait celle-là) et qu’il viendra.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Elle pense qu’ils ont un programme spécial dum-dum à l’Université que Pacey pourrait intégrer et que c’est sûrement pour ça que le doyen veut le voir!
Elle va trouver Pacey (qui est bientôt re-homeless vu que Gretchen s’est barrée et que c’est elle qui payait la barak), lui explique le bouzin et Pacey lui dit qu’elle lui manque. 
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Ils vont à cette soirée ensemble, j’adore les cheveux de Joer franchement ils ont enfin trouvé une coiffeuse potable sur le plateau, bravo. 
Tumblr media Tumblr media
C vrai.
Et bon, en fait le doyen propose à Pacey un job de matelot sur son bateau cet été, pas du tout un truc pour un programme spécial pour aller à l’université.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Pacey fait sa tête de dépression-je-suis-un-nullos, Joey est #triss de l’y avoir fait croire. 
Tumblr media
    Sinon side story un peu plus réjouissante: Jen se retrouve nez à nez avec Stéphane Plaza et Sophie Fergiani chez la mémé:
Tumblr media
La mémé a mis la maison en vente! Sans le lui dire!
Et en plus pour aller vivre dans une maison de retraite...
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Jen comprend que c’est pour financer ses études que la mémé se sacrifie, et elle est colère.
Elle veut aller voir la dite Brea pour se faire une idée, et ça ressemble plutôt à une prison avec une mémé garde qui les engueule.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Calmos Brenda. 
   Je comprenais pas pourquoi c’est la mémé qui devait s’occuper de financer les études de Jen vu que ses parents sont pétés de tunes, mais on comprend que Jen a refusé l’argent de ses vieux. 
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Ah ben on est bien maintenant, on pousse la mémé à l’ehpad parce qu’on a des principes? Pas bravo Jen. 
  Et puis bon 15000 dialogues plus tard, après en avoir discuté avec Jack, Jen propose à la mémé de venir s’installer à Boston (où elle a choisi d’aller à l’université) où elles vivront ensemble. 
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
J’adore cette idée. 
Tumblr media
Trop adorables pour Capeside.
12 notes · View notes
ericmie · 5 years
Text
DÉFAITES DE NOËL
Je songe aux veufs et aux veuves qui, en famille, ou ce qu’il en reste après décompositions et recompositions, sourient et donnent le change, ont acheté des cadeaux, en offrent et en reçoivent, boivent du champagne et dévorent de la bûche, avalent de la dinde au marron et se gavent de foie gras, mais passeront la soirée, au milieu du bruit, en présence de l’absent qui, plus que tout autre présent ce soir-là, sera le présent essentiel: la mort c’est la présence douloureuse et lancinante de l’absent.
Je songe aux parents qui ont perdu leur enfant, quel que soit l’âge: un cancer, un accident de voiture ou de moto, un suicide, un arrêt cardiaque, un AVC fatal, une rupture d’anévrisme. Il y aura des cris de joie d’enfants ou de petits enfants, mais là aussi, là encore, on songera au dernier Noël avec celle ou celui qui n’est plus là et dont le visage pris par la mort ne cessera de hanter la soirée du parent affligé par un douleur telle qu’aucun nom n’existe pour la nommer – on dit veuve ou veuf pour qui perd sa femme ou son mari, orphelin pour qui perd ses parents, mais rien pour la souffrance d’un parent privé de son enfant : perdre un enfant c’est se perdre sans retour.
Je songe à ceux qui ont perdu un père, une mère, un grand-père, une grand-mère et qui, années après années, voient les rangs de la table familiale s’éclaircir parce que les anciens laissent des places vides. Les grands-pères hélas devenus papys, les grands-mères devenus hélas mamies, quand ce ne sont pas des sobriquets tous plus ridicules les uns que les autres, du genre maloum ou papoum, qu’on a vus se fatiguer, vieillir, s’effondrer, puis partir, seront là quand on regardera furtivement la place qu’ils occupaient l’année d’avant dans le fauteuil et dont ils s’étaient relevés avec tant de peine: les vieux nous donnent des leçons, ils nous précédent.
Je songe à ceux qui sont en train de perdre l’un d’entre eux, un mari ou une femme, un compagnon ou un compagne, un fils ou un fille, un grand-père ou une grand mère, et qui, dans un lit d’hôpital ou fragilement assis autour de la table de fête, savent qu’ils passent là leur dernier Noël mais sourient tout de même en acceptant les cadeaux de bonne grâce tout en mesurant l’étendue de la vanité de toute chose alors qu’ils se trouvent aux portes du néant: le néant s’accompagne ce soir-là de son terrible silence .
Je songe aux parents fâchés avec leurs enfants ou aux enfants fâchés avec leurs parents, chacun dans leurs coins, recuisant de vieilles haines, remâchant d’antiques différends, ruminant d’anciens reproches, tournant dans leurs cervelles abîmées de mauvaises querelles, de fausses offenses, incapables les uns ou les autres de faire les concessions qui permettraient au moins de sauver ce qui peut l’être le soir d’une fête où se trouve célébrée la naissance d’un enfant qui, dit-on, devenu homme, enseignera l’amour du prochain et le pardon des fautes: la haine salit qui hait.
Je songe aux divorcés qui imposent à leurs enfants des soirées séparées, une année chez l’un, une année chez l’autre, avec de nouvelles parentèles mais surtout de nouvelles fratries, privant l’un et l’autre de la joie d’être ensemble par incapacité à réussir une séparation qui devrait au moins permettre aux enfants de disposer de leurs deux parents et de leurs nouveaux beaux parents réunis: un divorce peut désunir un couple, il ne devrait jamais désunir ce qui, en lui, fut à l’origine des enfants.
Je songe aux beaux-parents privés d’un gendre aimé ou d’une belle-fille chérie, l’un étant devenu avec le mariage un nouveau fils et l’autre une nouvelle fille, mais à qui les divorcés ont  demandé du jour au lendemain à leurs parents de tirer un trait sur celle ou celui qu’ils avaient accueillis comme un nouveau membre de la famille: l’affection n’est pas une marchandise.
Je songe aux grands-parents privés de leurs petits enfants à cause de ces mêmes divorces qui, après les lois de l’amour imposent celles de la haine et font d’un petit-fils ou d’une petite-fille un otage affectif sans aucun souci des conséquences pour la construction de son identité  d’un être qui se trouve privé d’une partie constituante de son affectivité. Quand on chosifie les êtres pris et jetés comme des mouchoirs sales, on ne peut s’étonner de voir un jour l’enfant devenu grand procéder comme on le lui aura appris  en le lui montrant: le mépris s’enseigne aussi bien que la bonté.
Je songe aux amants et aux maîtresses qui prennent dans l’ombre la place laissée vacante par un mari ou un épouse devenus insoucieux de l’autre avec le temps et qui, chacun dans leur coin, ne rêvent que d’un Noël avec leurs aimés cachés, loin de la fête dans laquelle ils se trouvent –avant, s’ils devaient passer à l’acte, de découvrir que d’autres Noëls avec leurs anciens partenaires devenus leurs nouveaux, génèrent les mêmes ennuis et les mêmes faux-semblants avec des familles recomposées qui restent, quoi qu’on en dise, des familles décomposées: une porcelaine raccommodée ne l’est que de fragments cassés.  
Je songe aux anciens avancés en âge qui ne sont pas sans songer que l’année suivante, le repas aura peut-être lieu sans eux et que c’est peut-être leur denier Noël sur cette terre en songeant avec mélancolie à ce qu’ont été les lointains Noëls de leur enfance. Le regard et l’âme déjà un peu ailleurs, parfois non loin de leurs morts, sinon déjà avec eux, ils sont là, autour de cette table bruyante, sans y être tout en y étant: les plus présent sont parfois les absents.
Je songe aux jeunes homosexuels qui n’ont pas encore dit à leurs parents qu’homme ils aimaient les hommes ou femmes qu’elles aimaient les femmes et qui sourient chaque année, un peu embarrassés, quand l’un des convives leur dit immanquablement: "alors quant est-ce que tu nous présentes ta copine?"  (ou "ton copain" c’est selon!) La famille est un nœud de vipères.
Je songe aux homosexuels qui ont dit, eux, à leurs parents, qu’ils l’étaient et qui ont été de ce fait soit priés de venir seuls, soit sortis de la vie de leurs ascendants qui disaient pourtant depuis toujours que ça ne leur poserait aucun problème que leur enfant soit homosexuel, sauf le jour où ils ont appris que c’était le cas. Idem avec le compagnon ou la compagne maghrébin ou black, juif ou musulman. Il y a loin de la coupe aux lèvres.
Je songe à celle qui sait que le géniteur de son enfant n’est pas le père qui, lui, ignorant la chose depuis toujours, regarde de façon émerveillée l’enfant d’un autre, cet autre sachant quant à lui que sa progéniture vit cette fête en ignorant tout cela dans les bras d’un autre homme qui se croit son père. Je songe aussi à ces familles où tout le monde sait que le père n’est pas le père, sauf lui et l’enfant qui se réjouissent de la soirée. Les vérités d’alcôves sont les plus cruelles.
Je songe à ceux qui portent d’autre secrets, pas forcément de famille, mais à qui un médecin a annoncé une maladie incurable, voire une espérance de vie limitée à quelques mois et qui, par amour pour les leurs, pour différer un terrible chagrin qui ne manquera pas de venir,  n’en disent rien et lèvent leur coupe de champagne vers le ciel en sachant que ce sera la dernière fois. La vraie grandeur se trouve dans les petites choses.
Je songe à ceux qui seront seuls, invités par personne, oubliés, délaissés, abandonnés comme les chiens attachés à un arbre avant de partir en vacances pour ne pas s’encombrer la vie. Ils regarderont à la télévision une émission enregistrée un mois plus tôt, ils mangeront une tranche de jambon partagée avec leur chat ou leur chien. Leur téléphone ne sonnera pas. Ils iront s’endormir de bonne heure en priant pour que le deux janvier de l’année suivante arrive le plus vite possible car ils n’ignorent pas que le 31 décembre répétera ce cauchemar de Noël. Parfois des vivants sont déjà morts.
Je songe à ceux qui, attirés par le chant des sirènes du capitalisme européen, ont risqué leur vie pour traverser la méditerranée en espérant un El Dorado français qui s’avère un Enfer et qui, sans toit, sans table, sans pain, sans famille, sans argent, se retrouveront dans un hall d’immeuble avec des SDF pour chercher l’endroit où le froid se fera le moins vif ou sous des bâches en plastique non loin des périphériques boueux et pollués. Nombre de rêves conduisent aux enfers.
Je songe à ces prostituées et prostitués qui avaient rêvé d’une autre vie et se sont perdus dans le labyrinthe où ils monnayent leur corps à des misérables en quête ce soir-là d’une petite mort tarifée à l’issue de laquelle à la mélancolie et le désespoir qui les auront conduits là s’ajouteront le dégoût et le mépris de soi. L’addition de deux misères ne suffit pas à créer un bonheur.  
Je songe à ceux qui travailleront dans les hôpitaux, les commissariats, les gendarmeries, les morgues, les casernes de pompier et à leurs familles amputées de ceux qui annonceront à d’autres familles qu’elles sont elles aussi amputées par un accident, une mort,  une catastrophe, une violence. La fête est parfois celle de Thanatos.
Je songe aussi à ceux qui travailleront pour le bonheur des autres dans les hôtels, les aéroports, les gares, les avions, mais aussi dans les restaurants, les cabarets, les cinémas, les clubs, les théâtres et autres endroits où l’on va cuver sa solitude sans trop en avoir l’air et qui, eux aussi, seront privés des leurs qui fêteront Noël sans eux. Les solitudes ajoutées augmentent la solitude.
Je songe à ceux qui, en ouvrant leurs cadeaux, détesteront ceux qui les leur auront offerts et n’auront de cesse de refourguer le tout sur un site de revente engorgé pendant plusieurs heures avec ces livres déjà lus par la personne qui les offre, ces disques déjà écoutés, ces vêtements déjà portés, voire ces objets achetés en solde au plus petit prix, l’étiquette y est encore parfois, mal arrachée, sinon récupérés chez Emmaüs ou dans un vide-grenier, sans oublier les chocolats saturés de sucre des grandes surfaces. On ne donne pas ce que l’on a mais ce que l’on est.
Je songe trop…
Il y aura aussi des rires d’enfants, cela ne durera pas, mais c’est probablement le moment de grâce qui justifie cette soirée anniversaire d’un Jésus qui n’a jamais existé historiquement mais qui a pourtant fait tant de bruit dans l’histoire de l’Occident et plus particulièrement ce soir de Noël…
Michel Onfray
2 notes · View notes
lefeusacre-editions · 6 years
Text
BOOKHOUSE BOYS #49 | LES FRÈRES LAMBERT | VIDÉASTES & AUTEURS
Tumblr media
Steven & Warren Lambert, deux personnages aussi paradoxalement discrets qu’ils sont immenses. Dans la même pièce on les mélange, séparés on les confond. Mais dans l’un ou l‘autre cas, les deux Lambert, vrais frères pas jumeaux pour un sou, ont cette faculté d’agrandir les hommes qu’ils croisent au lieu de faire peser leur ombre de garçons courbés sur plus petit qu’eux. On a vu Steven L. au menu de Vies et morts des super-héros et l’on se souvient de Warren L. au programme du Livre des trahisons. Ensemble ils font des films. Isolément, Steven, l’aîné, est hanté par le motif de la boucherie (son poignant documentaire Sans colère et sans haine  ou son commissariat à l’exposition Boucherie féerique). Plus jeune et un rien plus haut - à moins que ce ne soit l’inverse -, Warren sort aujourd’hui TROPIQUE DU SPLENDID, un essai salutaire sur la France telle qu’elle est perçue depuis plus de quarante ans par les Bronzés et telle qu’on veut nous la faire gober - ce livre est un médicament de l’âme.
Les Frères Lambert sont nos premiers Bookhouse Boys de l’année 2019.
Welcome.
| Que trouve-t-on comme nouvelles acquisitions dans ​vos bibliothèques ?
STEVEN : Je n’ai pas de bibliothèque chez moi, du coup j’empile et en plus je lis lentement mais je vois : le catalogue de l’exposition que Thomas Hirschhorn a consacrée au poète Manuel Joseph, la monographie de Delphine Wibaux, Sur la forme de Jean-Christophe Bailly, Les Années 10 de Nathalie Quintane, Nuits étroitement surveillées de Pierre Pachet, Insomniac Dreams le recueil des petites fiches que tenait Nabokov sur ses rêves, L’Ecriture des pierres de Roger Caillois, Jerusalem d’Alan Moore, La Philosophie floue de Miller Levy et bien sûr Tropique du Splendid.
WARREN : Hormis les livres que j’ai reçus pour Noël (les lettres de Lou à Guillaume Apollinaire et Éloge de l’ombre de Jun'ichirō Tanizaki), il y a Autoportrait de l’auteur en coureur de fond de Haruki Murakami. De lui, j’ai d’abord lu ses nouvelles puis je suis tombé sur ce livre qui semblait avoir beaucoup de lien avec, d'une part, un regain depuis un an de mon activité physique et littéraire, et d’autre part avec le livre que je finis en ce moment sur la saga Rocky. Je l’ai d’ailleurs délibérément acheté dans l’édition 2009 parue chez Belfond pour sa couverture, sur laquelle on voit une petite photo en pied de l’écrivain, dos à nous, le corps luisant seulement revêtu d’un short et d’une paire de baskets, et qui me rappela immédiatement l’affiche belge du premier Rocky que j’ai chez moi, où Adrian habillée avec une élégance folle se tient main dans la main avec Stallone en tenue de boxeur, prêts à partir au loin comme le couple à la fin des Temps modernes de Chaplin.
| Quels livres marquants avez-vous ​l’un et l’autre découver​​t​s ​ à l'adolescence, et que ​vous possédez toujours ?
STEVEN : Je suis un spectateur avant d’être un lecteur mais je me soigne. Je ne lisais pas beaucoup au lycée sinon ce que tout groupuscule « littéraire » lit à un moment, comme le Werther de Goethe. Pour ne rien arranger je donne depuis plusieurs années partie de mes livres à la bibliothèque d’un squat. Le seul livre auquel je pense c’est le recueil La Rose de Robert Walser.
WARREN : Perceval ou le conte du Graal de Chrétien de Troyes ; Un roi sans divertissement de Jean Giono ; Nadja d’André Breton ; Fin de Partie de Samuel Beckett. En gros, tous les livres du programme à l'époque au lycée ! Comme quoi… En même temps quand j'y pense : l’amour courtois, une parabole sur la Nature anthropophage, le surréalisme et le théâtre de l’absurde, ça ressemble aussi quelque part au programme d’une vie.
| Sans égard pour sa qualité, lequel de vos livres possède la plus grande valeur sentimentale, et pourquoi ?
STEVEN : Je suis un fétichiste de l’objet livre. Tous les livres ont pour moi une valeur sentimentale, encore plus ceux qu’on me donne à lire.
WARREN : Tous les livres que l’on m’a offerts et ceux que j’ai acquis au Regard Moderne, l’antre de feu Jacques Noël, l’archange des libraires parti dans l’autre monde il y a deux ans. Et puis mes premières bandes dessinées achetées par mon père – que j’ai d’ailleurs refilées depuis à mon petit frère – sur lesquelles se trouvent encore au dos l’étiquette avec le prix en francs quasi effacée.
| Lequel de​ vos livres offririez​-​vous à quelqu'un qui vous plaît ?
STEVEN : Je lui offrirais des fleurs.
Tumblr media
WARREN : J’ai hélas arrêté ces ruses-là à la fac. Du reste, je crois bien n’avoir jamais offert à quelqu’un de livre qui ait un sens à percer, une sorte de message secret. J’ai arrêté parce que c’était plutôt moi qui me perdait chaque fois qu’une femme que j’aimais m’offrait quelque chose. Je l’ai en revanche beaucoup fait avec les films, et aujourd’hui peut-être un peu encore avec la musique, les chansons. Avec une chanson, c'est ce qui me plait, plus c’est gros, plus ça passe. Et je me suis rendu compte, paradoxalement, que plus c’est gros, plus c’est insoupçonnable.
| Que trouve-t-on comme livres honteux dans ​vos rayonnages ?
STEVEN : Là où il y a du plaisir, il n’y a pas de honte.
WARREN : Il n’y a pas de livres honteux, il n’y a que des livres que j’ai parfois honte de ne pas avoir encore lus. J’ai même découvert qu’au Japon, il existait un mot pour cette manie d’accumuler les livres et de ne pas les lire : tsundoku. Mais comme avec les rencontres, je me console en me disant que maintes fois certains se sont confirmés être de très bonnes intuitions, même s'ils auront mis du temps pour arriver jusqu’à moi ou moi à eux. Et d’autres qui, au fond, n’étaient dès le début absolument pas des histoires sérieuses.
| Quels livres a​vez-vous hérité de ​vos proches ?
STEVEN : Ceux qu’ils ont écrits et qui m’ont donné envie d’écrire et montré que c’était aussi possible d’écrire comme ça : le livre sur Lost de Pâcome Thiellement, Traum d’Aurélien Lemant, le Rocky de mon frère.
WARREN : Aucun, mais cela s'explique parce que, par exemple, mon père était et est encore davantage un lecteur de journaux que de livres. Je me souviens qu’il les conservait tous à une époque. Lorsqu’adolescent, mon père a déménagé, je revois encore au grenier chez ma grand-mère paternelle les dizaines de cartons d’exemplaires du « Monde », comme de grosses boites inédites d’On Kawara et qu’il mit à la poubelle comme on se débarrasserait d’une vie, mais qui en l’occurrence serait aussi celle des autres, de tout le monde. En ce qui concerne ma mère, son goût s'est toujours principalement porté sur les biographies, ce qui n’était pas mon truc, aussi je ne lui ai jamais piqué un seul bouquin. Elle avait également en évidence sur la bibliothèque le Quarto Gallimard de Marcel Proust, et je me revois me dire, gamin, que jamais je ne passerai mon temps à lire un livre aussi gros, qui plus est sur le Temps perdu.
| Le livre que ​chacun a le plus lu et relu ?
STEVEN : Je relis rarement sinon jamais un livre. Je retourne vers certains passages, je lis d’autres livres du même auteur ou j’explore la constellation qu’il tisse ou que je lui tisse avec d’autres. J’ai beaucoup relu les livres de Philippe Lacoue-Labarthe. J’ai envie de revenir vers Que faire des classes moyennes ? de Quintane.
WARREN : Il y a un livre chez mes grands-parents maternels qui nous a marqué mon frère et moi quand nous étions mômes, qui était un livre relié, ancien et de grand format, aux tranches dorées, sur Léonard de Vinci. Mon grand-père avait appris la reliure en autodidacte et je ne sais pas si ce livre épais en était un de sa fabrication. Je ne crois pas que nous ayons jamais lu ne serait-ce qu’une ligne de cet ouvrage qui, dans mon souvenir, semblait assez technique, mais je sais que nous l’avons beaucoup feuilleté, ouvert au hasard. Il devait, je pense, avoir simplement à nos yeux de gosses la magie du livre d'une Histoire sans fin, ou de ceux prenant vie dans Richard au pays des Livres magiques.
Tumblr media
| Le livre qui suscite en ​vous des envies d'autodafé ?
STEVEN : Je suis incapable de faire du mal à un livre. Je préfère les livres qui brûlent d’eux-mêmes.
WARREN : Je prends soin de ne pas ouvrir les livres qui me dégoûtent d’avance. Question d’hygiène.
| On ​vous propose de vivre éternellement dans un roman de votre choix, oui, mais lequel ?
STEVEN : Ça n’a pas l’air d’avoir trop réussi au narrateur de l’Invention de Morel.
WARREN : Non de vivre mais, comme dans Fahrenheit 451 de Truffaut, plutôt d’en savoir un par cœur, je choisirais Novecento : pianiste d’Alessandro Baricco, un livre que j’ai découvert tout à fait récemment. Tiens, voilà un de ces livres qui a mis pile dix ans à arriver jusqu’à moi alors que c'est la femme avec qui pourtant je vivais qui me l’a offert et dédicacé en décembre 2008. Et puis celui-ci serait facile à apprendre puisqu’il s’agit d’un monologue.
| Quel est l'incunable que ​vous rêvez de posséder, votre saint Graal bibliophilique ?
STEVEN : Je suis bien trop paresseux pour courir après un livre.
WARREN : Je ne rêve pas de livre. Le livre rêvé est toujours celui que l’on me mettrait entre les mains et dont je ne soupçonnais pas qu'il était fait pour moi, qu'il était celui que j'attendais exactement au moment où j'en aurais besoin. Cela m'est arrivé de nombreuses fois, par hasard ou grâce à des amis, et chaque fois ce miracle est une façon tellement puissante de vous reconnecter avec le monde.
| Au bout d'une vie de lecture, et s'il n'en restait qu'un ?
STEVEN : Je suis nul en devinettes.
WARREN : Le dernier que je serai en train de lire avant de fermer les yeux, et si possible sans avoir pu en connaître la fin.
Crédit photos : Vladimir Vatsev
Le Feu Sacré sera présent au vernissage de TROPIQUE DU SPLENDID, le mardi 12 février 2019, à la librairie LE MONTE-EN-L’AIR (PARIS) dès 19h. La soirée sera présentée par notre ami Pacôme Thiellement, maître de cérémonie.
Tumblr media
1 note · View note
cassandre-ln · 4 years
Text
Observation n°2 à l’école maternelle Charles Perrault
Jeudi 26 novembre - 8h25 
Je suis arrivée en même temps que les élèves. En arrivant, ils posent leurs affaires puis leurs cahiers. En effet, ils doivent laisser toutes leurs affaires provenant de la maison et aller se laver les mains. Ainsi, la maîtresse passe beaucoup plus de temps le matin, car elle doit aider tous les enfants à déposer leurs affaires, chose que faisaient avant les parents. Effectivement, ils ne peuvent plus le faire car ils n’ont pas le droit d’entrer dans le bâtiment à cause de la pandémie. Ainsi, ce début de matinée est beaucoup plus difficile à gérer pour l’enseignante car elle doit s’occuper à la fois des enfants qui sont déjà en classe, de ceux qui vont se laver les mains et de l'accueil des parents. En effet, le portail ferme plus tard pour éviter que tous les parents se croisent. 
J’étais dans la même classe que la dernière fois avec la directrice et les mêmes élèves. Il y avait toujours l’aide pour l’élève malentendant et l’étudiante en service civique. La seule différence était que l’ATSEM était revenue. De plus, les règles sanitaires sont les mêmes que la dernière fois. 
Les enfants étaient très contents de me revoir, ils m’ont tout de suite reconnus. Plus que la dernière fois, ils sont très attirés par moi. Pour cause, quelques-uns viennent me voir pour me raconter leur vie, me dire leur liste de cadeaux de Noël ou me racontent des blagues. Ainsi, je pense qu’ils sont un peu plus dissipés quand je suis présente. 
La première activité était de faire un puzzle en totale autonomie. Ainsi, cette activité sera relatée dans le cahier de réussite qui sert à évaluer les élèves. Cela permet aux élèves de les motiver et de terminer l’exercice. En parallèle, l’enseignante fait des petits groupes d’élèves et les fait passer sur un parcours de motricité. Elle m’indique que cela est une manière de faire du sport et de les préparer au cours d’EPS qu'ils auront l’année prochaine. Elle fait cela très souvent et travaille des choses différentes à chaque fois, ici c’était l’équilibre. Cette année, elle ne peut pas faire d’activités qui demandent l’utilisation des mains car la salle est partagée avec les autres classes. En effet, les enfants ne doivent pas avoir de contacts avec les élèves des autres classes, seulement avec ceux qui sont dans la leur. Lors de ce parcours, l’enseignante les accompagne tout le long, les encourage et n’hésite pas à leur tenir la main quand ils perdent l’équilibre. Ainsi, on voit que la distanciation entre les élèves et leur enseignante est très difficile à cet âge là. C’est pour cela que l’établissement privilégie la désinfection. Après l’utilisation de la salle, elle l’aère. 
Comme la dernière fois, les élèves sont très proches de l’enseignante. Effectivement, certains enfants demandent des câlins. Toutefois, je remarque qu’ils sont aussi très proches de l’ATSEM. En effet, elle n’hésite pas à les appeler par des surnoms affectueux comme : "choupinette", ou les traite de “petits monstres” pour les faire rire. De plus, les élèves aussi l'appellent par un surnom avec l'abréviation de son prénom. Elle joue aussi un rôle dans cette relation pédagogique. 
Quand l’enseignante est partie pour un bref rendez-vous, les élèves continuaient à faire leur puzzle en autonomie et l’ATSEM et l’étudiante parlaient de l’annonce du déconfinement et des règles sanitaires, en préparant la prochaine activité. En effet, le plus difficile pour elle est le port du masque. L’ATSEM me disait qu’elle avait beaucoup de mal à communiquer à la longue et que c’était de plus en plus difficile de s’énerver avec. De plus, quand elle me parlait, je n’arrivais pas à tout entendre comme le son est atténué par le masque. Alors, les élèves ont peut-être parfois du mal à comprendre les adultes. L’étudiante dit aussi que la classe est beaucoup plus difficile à gérer quand l’ATSEM n’est pas là. Plus tard, les enfants se sont mis à parler de la guerre, et certains disaient que leur grand-père l’avait faite. Puis, des enfants ont soit commencé à s’inquiéter ou soit accusé les autres de mentir. Alors, l’ATSEM pour calmer tout le monde, a raconté l’histoire de son père qui avait fait la Seconde Guerre Mondiale et les rassure en leur disant que c’était terminé, avant de leur demander de changer de sujet. On voit alors que les adultes peuvent évoquer leur vie privée à leurs élèves. Peut-être que l’inquiétude des élèves provient également de la situation actuelle. 
Après son rendez-vous, la maîtresse décide de faire un point sur les chiffres et les lettres. Ainsi, elle commence par faire l’appel en montrant l’étiquette des noms de tous les élèves et en leur demandant qui n’est pas présent. De cette manière, ils apprennent à lire et à orthographier les prénoms de leurs camarades. Puis, elle leur demande de faire des phrases complètes en rapport avec les personnes absentes et de faire des calculs pour les comptabiliser. Ils doivent ensuite faire d’autres exercices comme dire la date, présenter la météo ou lire des poèmes, qui est un très bon exercice à la fois pour apprendre à lire et à mémoriser. Je vois que l’enseignante rencontre des difficultés lorsqu’elle doit faire apprendre les sons aux élèves. En effet, ils ne peuvent pas voir les mouvements de sa bouche ou de sa langue, avec le masque. Cela fatigue la maîtresse qui doit redoubler d’effort pour se faire comprendre et c’est aussi difficile pour les élèves de bien comprendre. Ils apprennent également à compter grâce aux billes qui nourrissent le poisson. C’est une nouvelle manière d’apprendre de façon plus amusante. L’enseignante demande à un élève de m'expliquer pourquoi ils leur donnent 24 billes. L’élève m’explique alors qu’ils font une multiplication afin de donner la dose parfaite. On voit alors qu’elle les prépare beaucoup au CP. Il serait alors intéressant de demander en entretien si cela est normal, ou si cela s’est accentué depuis la pandémie. 
Plus tard, l’enseignante propose 3 ateliers : un d’écriture, un d’ortographe et de vocabulaire et le dernier de reconnaissance des lettres et des syllabes. Ces ateliers se font en travaux de groupe, ce qui renvoie à une des fonctions de la maternelle : la socialisation. De plus, il y a un roulement entre ces ateliers. Je me suis surtout focalisée sur l’atelier d’écriture qui se fait avec l’enseignante. Pour cet atelier, la disposition des élèves est beaucoup plus scolaire et formelle. En effet, certains travaux se font sur des tables où tous les élèves se font face. Ici, les élèves sont côte à côte, face au tableau, comme ils le seront l’année prochaine en CP. L’enseignante fait d’ailleurs beaucoup d’allusions sur celle-ci, afin de bien les préparer. Le but est qu’ils soient le plus à l’aise possible. La transition sera en effet moins brutale, surtout s’il y a un confinement. Le but est donc d’apprendre à bien écrire les lettres, à maîtriser les espaces et à bien aligner son écriture (il n’y a pas de lignes). De plus, la maîtresse commence à leur apprendre la ponctuation. Elle leur fait un modèle au tableau et ils doivent le recopier. Elle passe alors dans les rangs pour aider les élèves mais s’intéresse surtout à ceux qui n’y arrivent pas, afin de réduire l’écart de compétences. En plus, à chaque séance (plusieurs fois par semaine), les élèves choisissent un mot qu’ils aiment. Cela leur permet d’enrichir le vocabulaire des autres et d’apprendre plus de mots. De plus, on donne le choix aux élèves de ce qu’ils veulent faire. Lors de cet exercice, les élèves sont très calmes et appliqués, l’enseignante n’a pas besoin de les reprendre. J’ai d’ailleurs l’impression que plus ils apprécient l’adulte, plus ils sont calmes. En effet, l’atelier est beaucoup plus bruyant avec l’étudiante car elle est moins proche des enfants. 
L’élève qui récitait les couleurs la dernière fois pendant la lecture d’une histoire est en fait un élève étranger. L’ATSEM me raconte qu’il ne parlait pas du tout français avant la rentrée car il venait tout juste de quitter l’Italie. Il commence tout juste à apprendre la langue. L’enseignante lui accorde alors une importance particulière afin qu’il ne soit pas désavantagé par rapport aux autres. De plus, on observe un réel échange entre lui et les autres. Pour cause, ils leur demandent parfois la traduction de ce mot en italien. De cette manière, les adultes renforcent le lien avec cet élève. Pendant l’exercice d’écriture, l’enseignante passe un peu plus de temps avec lui pour savoir s’il arrive bien à prononcer les lettres et les mots, mais il y a toujours le problème du masque. En effet, il n’a jamais été à l’école avant alors c’est un peu difficile pour lui. Elle lui apprend également à bien tenir son stylo en lui tenant la main. 
Je remarque aussi qu’il y a des dessins affichés à la fenêtre. Ceux-ci sont inspirés de tableaux de peintres célèbres comme Van Gogh ou Monet. On voit alors que la maîtresse leur transmet déjà une certaine culture. 
Puis vient l’heure de la récréation. Elle arrive beaucoup plus tard que prévu car les classes doivent se partager la cours afin de ne pas mélanger les enfants. Ainsi, seulement deux classes peuvent y aller en même temps, sur les quatre. La cour est donc séparée en deux à l’aide d’une corde. Les élèves savent alors qu’il est interdit de la franchir. L’enseignante m’a expliqué qu’au début cela était assez difficile pour eux. Pour cause, ils étaient très proches de leurs copains mais ne pouvaient pas jouer avec eux. Cela était d’autant plus difficile pour les fratries qui sont ensemble à la maison, mais qui ne peuvent pas se parler à l’école. Toutefois, les enfants peuvent jouer ensemble et avoir des contacts avec leurs camarades de classe. 
Fin de l’observation : 11h45
0 notes
oneyearinreddeer · 7 years
Text
11e billet
Je jure solennellement que j’ai pris pas mal de retard dans mes billets.
Bon, je ne suis pas décédée malgré mon long silence sur mon blog. La période de Noël est toujours plus difficile (askip, c’est la première fois que je pars en échange après tout). Du coup j’avais moins l’envie de vous écrire quelque chose.
Et ensuite j’ai tout simplement pas eu le temps.
Commençons par le commencement :
UNE TRES BELLE ANNEE 2018 A VOUS TOUS
Bon, Noël. J’ai fêté Noël en quatre jours, ma mère d’accueil a dix frères et soeurs et retrouver une grande famille bruyante m’a fait du bien. Je vais pas vous dire que j’ai une fibre maternelle sur développée mais j’ai assez d’expérience pour m’être débrouillée avec les enfants.
J’ai également passé quelques moments (notamment le réveillon) avec mon amie Malena et ses parents d’accueils (qui sont mes conseillers). Toutes les deux on avait une petite phase de déprime et être ensemble nous a fait beaucoup du bien.
Je suis retournée au Centre Commercial d’Edmonton avec Malena et un autre garçon de Red Deer (Cameron). C’était aussi sympa que la première fois et j’adooooore dépenser mon argent.
Le nouvel an était “chill” comme disent les jeunes. On a regardé un film. Pas de feux d’artifice étant donné froid -40°C. C’est la première fois que je sens mes crottes de nez se geler en direct.
Le lendemain, à Sylvan Lake, il y avait un feux d’artifice et une rotarienne d’un club voisin a emmené Malena et moi. 
Aussi, quelques jours plus tard nous sommes allés skier (vous avez vu les vidéos sur mon mur Facebook). Autant vous dire que c’était une expérience intéressante. Surtout que je me casse la gueule en marchant mille fois/seconde. J’ai failli mourir plusieurs fois.
Le dernier samedi des vacances je suis allée au Zoo de Calgary pour voir les “Zoo Lights” qui sont plutôt connues ici.
Enfin, le retour à l’école. Les examens arrivent fin de semaine (j’en ai eu un la semaine dernière et j’en aurais un vendredi). Social Studies et Anglais. J’ai une partie écrite hors-session (sur des pc parce que ... Why not ?) et une partie QCM en session.
J’ai également un oral en art pour présenter mes ““““oeuvres””““““.
J’ai ENFIN fais ma présentation sur la Belgique. Qui a beaucoup plus. Je me suis inspirée du sketch d’Alex Vyzorek où il présente quelques articles de journaux sur la Belgique. Ca a fait son petit effet.
Le lendemain je suis allée à une réunion rotaract où j’ai rencontré le gouverneur du district.
Aujourd’hui je suis allée au tribunal! Ma  famille d’accueil est au courant que je souhaite faire du droit et m’ont proposé d’y aller en compagnie d’une amie de ma mère d’accueil. Bon, le tribunal de Red Deer c’est pas le Palais de Justice de Bruxelles.
J’ai vu une affaire en droit des familles et un cambriolage. Quand je suis allée au Palais de Bruxelles, ça avait été très rapide. Mais vu l’acoustique et la taille des salles, les juges sont obligés de parler fort et clairement. Ce qui n’est pas le cas des juges (ou, en tout cas que j’ai rencontré) ici et j’ai eu pas mal de mal à suivre.
Le droit belge vient tout droit du droit Romain. Le droit canadien également mais a de forte influence de la part du Common Wealth donc y’a quelques différences (la façon dont les affaires sont séparées vu la taille du pays, comment elles sont traitées, les tribunaux sont organisés et l’utilisation de la jurisprudence). L’amie de ma mère d’accueil m’a dit qu’elle me tiendrait au courant d’une affaire intéressante pour que je puisse y assister.
C’était enrichissant, et ça m’a un peu plus confirmé que, même si je suis pas  tout à fait sûre (mais presque) que je veux étudier droit l’année prochaine. Je m’inscris à l’université dans deux semaines.
Bon, c’est à peu près tout. J’ai pas beaucoup de photos mais je vous mets les meilleures.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Méfaits accomplis
3 notes · View notes
eglise22 · 5 years
Text
Homélie de la messe du 29 décembre 2019 à Beaune - Le Jour du Seigneur -
Tumblr media
Frères et sœurs,
Je souhaite que vous ayez passé un bon Noël, et j'espère que, pour beaucoup d'entre vous, cela aura été l'occasion d'une fête familiale dans la bonne humeur et la joie de se retrouver.
En même temps, je pense à ceux d'entre vous qui seront restés seuls : la solitude est encore plus douloureuse en ces fêtes de fin d'année. Et il y a aussi ces souffrances ravivées quand l'un ou l'autre membre de la famille est loin, quand tel autre a refusé de venir, ou quand les reproches, les jalousies refont surface … Non, la famille ce n'est de loin pas toujours facile, tout simplement parce que c'est notre premier lieu de vie.
Pourtant, ce dimanche, fêter la Sainte Famille, c'est nous inviter à porter un autre regard sur nos familles. Sainte famille : la famille de Joseph, Marie et Jésus, mais pas seulement. Dans nos familles à nous aussi, il y a de la sainteté, bien plus que nous ne pourrions le penser.
Attention : sainte famille ne veut pas dire famille parfaite. Une famille parfaite, ça n'existe pas. _ D'ailleurs la Bible porte un regard très réaliste sur la famille : Caïn et Abel, Joseph et ses frères, et jusqu'aux frères de Jésus, qui le prenaient pour un fou.
Mais la sainteté de Dieu, quand elle rejoint nos vies, ce n'est ni la perfection ni la pureté absolue. La sainteté, ce n'est pas l'absence de mal, mais c'est quand nous sommes plus forts que le mal, quand, malgré le mal, nous réussissons à continuer à aimer – à aimer quand même. La sainteté de la famille, c'est, malgré le mal, faire que la lumière reste allumée dans la maison. Que la lumière reste allumée en moi, alors qu'il y aurait tant de raisons pour qu'elle s'éteigne.
Par exemple, quand des parents qui se sont séparés acceptent pourtant d'être là ensemble pour l'anniversaire d'un enfant, pour qu'il ait ce jour-là son papa et sa maman avec lui. Ou quand, nous saisissons l'occasion d'un décès, d'un mariage, d'un Noël, pour en faire des retrouvailles et nous réconcilier, même après de longues années de brouille.
Mais je voudrais surtout vous rendre attentifs à trois façons de vivre la sainteté dans nos familles, trois attitudes toutes naturelles où nous rejoignons la sainteté de Dieu.
D'abord la nourriture. Nourrir la vie des autres, pour qu'ils vivent. C'est ce que nous faisons chaque jour. Dès la naissance, la maman qui nourrit, qui allaite son enfant, en lui donnant d'elle-même comme elle l'a déjà fait durant neuf mois. Et ensuite, pendant des années, cette responsabilité des parents de nourrir leurs enfants de tant de manières, et dans de multiples domaines. Voilà de la sainteté : car Dieu est celui qui non seulement donne la vie, mais veut la nourrir sans cesse pour qu'elle se développe. A chaque repas, à chaque nourriture partagée, oui, quelque chose de la sainteté de Dieu prend chair en nous – notre famille devient un lieu de sainteté.
Une deuxième façon de vivre la sainteté en famille, c'est d'aider. Aider, devant la maladie, devant le vieillissement, le handicap. Savez-vous qu'aujourd'hui, en France, ce ne sont pas moins de onze millions d'entre nous qui donnent de leur temps, de leurs forces à aider leurs proches : ceux qu'on appelle désormais « les aidants ». C'est bien de la sainteté qu'ils mettent ainsi dans leur famille comme en eux-mêmes. Et le Christ pourra leur dire un jour : ce que tu as fait pour eux, c'est à moi que tu l'as fait.
Et une troisième attitude où la sainteté de Dieu vient habiter nos familles, c'est quand nous élevons nos enfants. Élever des enfants, c'est le rôle tout naturel de la famille. Mais est-ce que nous réalisons combien ce mot « élever » est fort et signifiant ? Pas seulement faire grandir, mais faire aller plus haut, et encore plus haut. Élever les autres vers ce qu'ils sont appelés à devenir - des enfants de Dieu, capables d'aimer comme Dieu aime. Voilà un vrai chemin de sainteté pour la famille : chercher à nous élever les uns les autres vers toujours plus d'amour. Pas seulement les parents vers les enfants, mais les époux entre eux, les enfants vers les parents, les frères et sœurs entre eux. Voilà ce qui devrait être notre préoccupation première au sein de nos familles : chercher à nous élever mutuellement dans notre capacité d'aimer - est-ce que nous y pensons assez ?
Nourrir, aider, élever, voilà ce qu'ont vécu Joseph, Marie, Jésus entre eux, comme nous le vivons nous aussi, au quotidien. Voilà ce dont l'Enfant Jésus que nous fêtons ici, a eu besoin, comme tous les enfants. Trois façons pour que la sainteté, le souffle même de Dieu rejoigne nos enfants. Et voilà de la joie que Dieu a envie de partager avec nous.
Même si souvent cela n'aura rien de facile. Mais c'est pour que la lumière reste allumée dans la maison. La lumière de Noël. Cette lumière que l'Enfant Jésus voudrait voir briller dans chacune de nos familles.
Références bibliques : Si 3, 2-6. 12-14 ; Ps 127 ; Col 3, 12-21 ; Mt 2, 13-15. 19-23
Prédicateur : F. Gabriel NissimParoisse : Sanctuaire de l'Enfant-JésusVille : BeauneTemps : Temps de NoëlJour : La Sainte Famille
via Communauté pastorale du Littoral Ouest https://ift.tt/2Q9Tc4c
Tumblr media
0 notes
Photo
Tumblr media
Nolann Ross
Cillian Murphy
43 ans
Agent de la CIA 
Pigalle et Montmartre
 Fils d’un agent fédéral et d’une mère diplomate américaine, Léonardo avait dès son jeune âge un avenir tout tracé et il n’avait pas déçu ses parents en étant premier de sa promo au concours d’entrée de l’armée de terre des Etats unis. Il avait suivi un entrainement intensif de trois années avant d’être envoyé au front, en Afghanistan. Au fil des années il avait gravi les échelons, rentrant parfois au pays pour quelques semaines avant de partir à nouveau. Sa détermination et son dévouement pour son pays avait attiré bien des regards et il était devenu chef d’opérations à seulement 28 ans. Il dirigeait les missions sur le terrain depuis la base située hors des zones de guerre et il devait bien souvent prendre des décisions avec de lourdes conséquences. Ce qui lui manquait le plus c’était d’être sur le terrain mais avec un grade aussi élévé que le sien, il était peu probable qu’il y retourne un jour. Bien trop accaparé par sa carrière, le brun n’avait jamais pris le temps de se poser et de fonder un semblant de famille. Il avait eu quelques aventures, lors de ses permissions assez longues pour qu’il puisse rentrer au pays mais en dehors de ça, rien d’assez serieux. A part une aventure qu’il avait eu avec un de ses soldats et qui s’était bien évidemment mal terminée. C’était Ethan qui avait fait le premier pas, la veille d’un départ en permission. La base était éclairée par des guirlandes alors que la neige tombait sur la base située dans les montagnes Afghanes et les soldats célébraient Noël de manière plutôt précaire mais après quatre mois sans retourner au pays, ils avaient tous le cœur léger à l’idée de rentrer. Le petit brun était arrivé deux mois auparavant, et était seulement sous-officier. Autant dire qu’il était l’un des hommes que Léonardo devait guider sur le terrain depuis la base. Après avoir passé la nuit ensemble, les deux hommes s’étaient séparés au petit matin pour rentrer dans leurs familles respective, sans l’espoir de se revoir un jour. C’était sans compter sur Ethan qui l’avait contacté deux semaines plus tard. Léo avait dans un premier temps ignoré son message, ne souhaitant pas s’accrocher à qui que ce soit, avant de céder et le recontacter une semaine plus tard. Vivant tous les deux à seulement quelques heures de route l’un de l’autre, ils s’étaient revus plusieurs fois avant que Léonardo ne soit appelé pour partir à nouveau en mission, en Syrie, cette fois. Alors que leur idylle avait duré seulement quelques semaines, le brun gardait un souvenir amère de leur séparation, pour une fois, il avait ressentit quelque chose. Leur histoire semblait s’arrêter ici et pourant, alors que la décision avait été prise de renforcer les troupes disponibles à la base Américaine située dans le sud de la Syrie, Ethan avait été l’un des trente soldats déployés. Dans un premier temps Léo avait tenté de garder ses distances et avait ignoré le plus jeune mais il avait bien rapidement craqué. La tention ici et la pression psychologique était difficilement supportable et le besoin de réconfort se faisait ressentir.
 Ce que Léonardo avait redouté avait fini par arriver. Alors que les ordres avaient été donnés pour attaquer une base ennemie dans le désert syrien, Léonardo avait tiqué, bien qu’il n’avait rien dit. Quelque chose n’allait pas. Malgré ça, il devait obéir aux ordres et il avait tenté de mener la mission à bien, sauf que rien ne s’était passé comme prévu. Alors que sur le radar il voyait ses troupes se déployer dans la base qui semblait vide, les syriens prirent les soldats américains au piège et en l’espace de quelques secondes, ce qui comptait le plus à ses yeux disparu de l’écran radar, dans un silence seulement dérangé par un bruit parasyte de radio. Les décisions erronées de hauts placés à l’autre bout du monde avait mené une treintaine de jeunes soldats à la mort. A vrai dire, étaient-ils morts ou encore en vie, subissant des tortures atroces afin de révéler des informations sur les bases installées en Syrie, Léonardo se le demandait encore aujourd’hui.
 Aujourd’hui âgé de 43 ans, il avait longuement hésité à démissionner, ne supportant plus la résponsabilité d’avoir autant de vie entre ses mains, le brun avait rempli un dossier pour pouvoir être transféré à la CIA. Avec ses résultats excellents il avait évidemment été prit et il avait insisté pour être sur le terrain. Après quelques mois d’entrainement pour être agent infiltré, le brun avait été appelé pour une mission. Des dirigeants d’un groupement terroriste se cachaient à Paris et plusieurs agents devaient y être envoyés sous couverture. Léonardo parlant plusieurs langues dont le Français, il avait été le premier choisi. Son travail consistait à recueillir des informations sur ces cibles tout en se faisant un place dans ce réseau. Il avait emménagé depuis peu à Paris et se faisait passer pour un certain Nolann Ross, originaire d’Ecosse et affilié à un réseau de traffique d’arme qui semblait intéresser les dirigeants d’un groupe extrémiste. Se dédier à son travail était la solution qu’il avait trouvé pour oublier sa peine et il s’était promis de ne plus refaire la même erreur, quitte à ne jamais fonder de famille. Il vivait une vie bien trop risquée pour pouvoir y impliquer qui que ce soit.
0 notes
christophe76460 · 6 years
Text
Robert de Columbia en Caroline du Sud nous demande par email : « Pasteur John, je me demande s’il n’y a pas des situations dans lesquelles un temps distinct pour les enfants – dans des salles d’écoles du dimanche, complètement séparées du culte – est nécessaire. Notre église est aux prises avec ce problème, car de nombreuses familles ont des enfants en bas âge, certaines ont des enfants qui déambulent partout et sont bruyants, d’autres ont des enfants de cinq ans qui sont turbulents et nous avons trois enfants d’âge différent ayant des besoins spéciaux (comme l’autisme ou la trisomie 21). Le problème est le suivant : la plupart des parents veulent une pause et souhaitent donc que les enfants bénéficient d’un temps à part pendant le culte des adultes, cependant ceux qui s’occupent des enfants souhaiteraient être au culte et se sentent limités dans leur capacité à contrôler le comportement des enfants. Que devrions-nous faire ? »
Les enfants : au culte ou pas ?
J’espère qu’il y a un leader fort dans votre église parce que des leaders faibles ne seront jamais capables de résister à l’assaut des critiques qui surviendront si vous essayez de faire ce que je vais vous proposer de faire. Quand je suis arrivé à Bethléhem en tant que pasteur en 1980, l’une des premières questions que j’ai eu à traiter concernait la place des enfants dans le culte. Nous n’en avions pas beaucoup, mais ils commençaient à venir. Et tout le monde voulait savoir ce qu’on allait faire. Y aura-t-il une prédication pour les enfants au milieu du culte, durant ce petit délai de trois minutes pendant lequel les enfants marchent vers l’avant ? Devrions-nous avoir une école du dimanche pour les enfants de moins de treize ans en espérant qu’ils reviennent au culte avec les adultes, s’ils ne disparaissent pas, à l’âge de treize ans ? Que faire ?
Alors, ma femme, Noël, et moi avons travaillé ensemble sur ce problème. On n’a plus travaillé de la sorte depuis. Nous avons collaboré de façon étroite parce que nous étions tous les deux incroyablement convaincus de l’importance de cette question, et nous avons risqué notre ministère pour cette cause. Nous avons fait équipe et rédigé un article pour notre communauté en faisant valoir que nous ne devrions pas avoir d’école du dimanche pour les enfants et que nous ne devrions pas avoir une mini prédication pour les enfants pendant le culte, mais que les parents ou autres adultes responsables – si les enfants n’ont pas de parents chrétiens – devraient amener leurs enfants au culte après l’âge d’environ 4 ans. Nous avons donc fourni une crèche jusqu’à cet âge-là et finalement ces crèches, je le dis entre guillemets : « sont devenues des moments très centrés sur Dieu édifiant les petits enfants et les aidant à s’ouvrir à Dieu, et ce pour les préparer à assister au culte des adultes avec maman et papa ».
Cet article que nous avons écrit est sur le site web deDesiring God. Ça s’appelle The Family: Together in God’s Presence (trad. La Famille : Ensemble dans la Présence de Dieu). Je vais en citer un extrait, mais je vais laisser de côté ce que tout le monde veut savoir, à savoir comment garder les enfants sous contrôle. C’est la partie que ma femme a écrite. Et donc, si ce que je dis ici vous interpelle suffisamment que pour susciter votre intérêt, alors allez sur le site Web et cherchez l’article et lisez ce que ma femme avait à dire à ce sujet. Mais je pense que la grande question qui se pose ici est celle de nos conceptions du culte, de l’éducation des enfants et de la façon dont on transmet des choses aux enfants.
Des témoins authentiques de ce qu’est l’adoration
Permettez-moi donc de vous faire part de quelques réflexions tirées de cet article. Le culte centré sur Dieu est extrêmement important dans la vie familiale et dans la vie de l’Église. Pendant mes 33 ans de pastorat, nous approchions le moment d’adoration du dimanche matin avec beaucoup de sérieux, de sincérité et d’attente. Et n’interprétez pas ces mots comme étant le contraire de la joie. Pensez à une joie sérieuse. Pensez à une joie profonde. Nous étions et sommes des gens heureux à Bethléhem. Nous avons essayé de bannir, cependant, tout ce qui est frivole, insignifiant, familier et désagréable. Je déteste les cultes d’adoration marqués par ce genre de caractéristiques. Ce ne sont pas tous les cultes qui avaient cette saveur de joie sérieuse. Nous appelions le dimanche matin le mont de la Transfiguration, c’est-à-dire un lieu de gloire impressionnant où vous tombez sur votre face presque sans voix en face de Dieu. Et le dimanche soir – ou le mercredi soir ou tout autre jour – était le mont des Oliviers, qui était l’endroit familier où Jésus se couchait et discutait probablement avec ses disciples. C’est tout à fait crucial dans l’église aussi.
Nous n’avions pas de prédication pour les enfants dans le cadre du culte du dimanche matin. Nous pensions que même si cela pouvait être amusant pour les enfants, à long terme, cela affaiblirait l’intensité spirituelle de notre culte. Il y a un tempspour tout (voir Ecclésiaste 3.1). C’est tellement crucial. Les gens pensent qu’il faut tout mettre dans le culte du dimanche matin ou tout enlever. Il nous a semblé que pendant au moins une heure par semaine sur 168, nous devions maintenir une intensité maximale d’émouvante vénération. Je le répète encore une fois, parce que j’aime beaucoup cette phrase : une intensité maximale et soutenue d’émouvante vénération. Et nos arguments pour amener les enfants au culte, bien sûr, n’auront du poids qu’auprès de parents qui aiment vraiment cela, qui aiment vraiment rencontrer Dieu dans le culte et qui veulent vraiment que leurs enfants obtiennent cela et grandissent en respirant cet air. La plus grande pierre d’achoppement pour les enfants dans le culte est les parents qui n’aiment pas faire cela durant le culte. Ils n’aiment pas ça. Les enfants peuvent sentir la différence entre le devoir et le plaisir. Ils savent si papa aime être ici.
Ainsi, la première et la plus importante tâche d’un parent est de tomber amoureux du culte de Dieu. Tout sentiment d’être là par devoir ou d’y être forcé ou pour une autre raison que le fait d’aimer être là, les enfants le savent et ils le détesteront tout comme vous, au fond d’eux. Vous ne pouvez pas transmettre ce que vous ne possédez pas. Et c’est ce que vous voulez que vos enfants reçoivent. Vous voulez qu’ils reçoivent l’adoration authentique. L’adoration authentique et sincère est la chose la plus précieuse de l’expérience humaine. Pensez-y. L’effet cumulatif de 650 cultes d’adoration passés avec maman et papa en communion authentique avec Dieu et son peuple entre l’âge de quatre et dix-sept ans est tout à fait incalculable.
Le but est que les enfants se passionnent pour le culte de Dieu en regardant maman et papa se réjouir en Dieu semaine après semaine. Quel serait l’impact si, pendant douze ans, les enfants voyaient papa, le visage dans les mains, prier pendant le temps précédant le culte ? Quel serait l’impact s’ils voyaient maman et papa rayonner de joie en chantant les louanges de Dieu ? Pensez-y. Des millions et des millions d’enfants ne voient jamais leurs parents chanter, et encore moins chanter des chansons avec joie à un grand Dieu. Quelque chose me semble vraiment anormal quand les parents veulent mettre leurs enfants, dans les années qui les forme le plus, avec d’autres enfants et d’autres adultes pour façonner leur attitude et leur comportement dans le culte plutôt que de les avoir avec eux pour les former. Pourquoi les parents ne seraient-ils pas jaloux de montrer à leurs enfants l’immense valeur qu’ils accordent à la vénération joyeuse s’exerçant en la présence du Dieu tout-puissant ?
L’adoration : bien plus qu’une activité banale
Bien sûr, cela leur passe au-dessus de la tête. C’est censé leur passer au-dessus de la tête. Ce sont des débutants. Leur langue natale leur passe au-dessus de la tête dès qu’ils sortent du sein de leur mère. Mais nous ne disons pas : bien, plaçons-les avec d’autres enfants dans une situation qui respecte leurs propres limites pour qu’ils puissent comprendre un mot ou deux. Non. Nous les immergeons dans la langue tous les jours dont ils ne comprennent pas 90% dans l’espoir et l’attente qu’ils grandissent dans l’usage joyeux de la langue. Bien avant que les enfants ne comprennent pleinement ce qui se passe dans le culte, ce qui est chanté et ce qui est dit, ils absorbent d’énormes quantités de ce qui est précieux.
Et c’est vrai même s’ils disent qu’ils s’ennuient. La musique et les mots deviennent familiers. Le message derrière la musique commence à se faire sentir. La forme du culte commence à être naturelle. Même si la plupart des prédications passent au-dessus de leur tête, l’expérience a démontré que les enfants entendent et se souviennent de choses remarquables. Le contenu des prières, des chants et de la prédication donne aux parents une occasion incomparable d’enseigner à leurs enfants les grandes vérités de la foi. Quelle opportunité. Si les parents apprenaient seulement à interroger leurs enfants après le culte et à leur expliquer ensuite les choses, cela deviendrait extrêmement précieux pour leur croissance à long terme dans la connaissance de Dieu.
Il y a un sentiment de solennité et de crainte que les enfants devraient ressentir en présence de Dieu. Ils devraient comprendre que c’est un moment sacré, un lieu sacré. Il est peu probable que cela se produise à l’école du dimanche. Et malheureusement, il est peu probable que cela se produise dans de nombreux cultes pour adultes qui accordent une grande importance au bavardage horizontal plutôt qu’à la joie verticale. Le but est de les éveiller à la grandeur et à la majesté de Dieu, pas seulement à sa tendresse et à sa familiarité.
Voilà pourquoi il est si précieux d’avoir les enfants au culte. Il y aurait tellement d’autres choses à dire, en particulier sur le genre d’éducation et de discipline à la maison qui rendent tout cela possible. Mais vous pouvez consulter l’article que j’ai mentionné plus haut à ce sujet et voir ce que Noël et moi avons écrit sur la discipline. En un mot, des rencontres sincères et passionnées avec le Dieu vivant dans le culte devraient être le plus grand désir du cœur d’un parent. Et il n’y a pas de meilleur endroit ou de meilleur moment pour transmettre cela que lorsque maman et papa adorent Dieu avec les enfants dans le culte.
0 notes
cafardjaneread · 8 years
Text
Voilà, c’est fait.
Toute la famille était là (sauf mon papa, vu que mes parents sont séparés).
D’ailleurs je me suis dit que j’allais organiser des repas, apéros, sorties, trucs, avec mes cousins et les autres, parce que c’est pas assez de se voir juste à Noël (quand ma tata trouve pas que ça coûte trop cher de tous manger ensemble), et juste aux enterrements (et bientôt aux baptêmes bientôt). On se voit jamais, pourtant je les aime mes cousins, même si ce sont des Valaisans qui se moquent des Vaudois, et que j’aimerais pas qu’on se perde de vue.
Avant la cérémonie, ça allait, mais dès que j’ai vu mon cousin, j’ai fondu en larme, mes jambes étaient faibles, et on s’est fait des câlins surement pour la première fois avec ceux de ma famille. Et ces musiques qui tire les larmes en bas : Vole de Céline Dion, et Hello d’Adèle. C’était beau, malgré toutes ses paroles sur Jésus qui nous a sauvé, que je comprend pas trop.
Enfin bref, la famille avait l’air de peu à peu accepter le choix d’Irma, malgré l’incompréhension, leur colère et leur culpabilité qui aurait pu être présente. Ça s’est bien passé. Aussi bien que peut se passer une messe d’adieu.
7 notes · View notes
capitanogiorgio · 8 years
Note
hogwarts au prompt même dans sa septième année, Gauvain se perd encore dans le château -gag
Cinquante ans plus tard
Gauvain ajusta sa cravate jauneet bronze tandis qu'il sortait de la salle commune de Poufsouffle. Il semblaitpressé, le visage presqu'heureux, alors qu'il se mit à accélérer le pas dansles couloirs désert du château. Les vacances de Noël étaient toujours trèscalmes à Poudlard, ne laissant qu'une poignée d'élèves qui ne rentraient pasdans leur famille pour passer les fêtes de fin d'année. Gauvain faisait partiede ceux-là, plus par choix, aussi bien de sa part que de ses parents, que parcontrainte. Yvain lui avait bien proposé de passer Noël avec lui chez sesparents, mais l'adolescent savait très bien que les parents de son meilleur amin'étaient pas parmi les gens les plus aimables et il ne voulait pas causer deproblèmes. De toute façon, voilà déjà deux débuts d'hiver que le jeune hommerestait avec plus d'impatience que l'on ne l'aurait cru : la faute à un certainSerpentard aux boucles hirsutes. Galessin et Gauvain s'était toujours plus oumoins connus, leurs parents se connaissaient et travaillaient au Ministère dela Magie, de fait les deux garçons s'étaient déjà croisés. Mais jamais il ne s'étaitjamais vraiment parlé avant leur arrivée à Poudlard. La répartition de Gauvainà Poufsouffle n'avait pas ravi ses parents et de ce que Galessin avait entendu,ils étaient persuadés d'avoir raté son éducation. Dès lors, Galessin avaitdécidé de se montrer gentil avec lui et n'avait pas hésité à le défendre quandcertains élèves s'en prenaient à lui. Quelques coups et expressions bienchoisies plus tard et personne n'avait cherché à attaquer Gauvain.
Au grand soulagement duSerpentard, le jeune garçon s'était trouvé un ami en la personne d'Yvain. Iln'était pas très brillant mais il tenait beaucoup à Gauvain. Galessin avait étéle spectateur lointain de leurs effusions de rire, de leurs expériencesfarfelues et de leur transformation en deux garçons généreux et drôles. Ils'��tait toujours tenu en retrait, il ne voulait pas s'accaparer Gauvain, maisson compatriote Orcanien prenait toujours le temps de venir le voir et dediscuter avec lui dès qu'il en avait l'occasion. C'était peut-être lesmeilleurs moments des semaines du Serpentard.
Tout avait changé deux Noël plustôt.
Gauvain n'était pas rentré chezlui. Il commençait à en avoir assez des regards emplis de jugements de sesparents, de leurs mots pleins de dédains, si tant est qu'ils lui adressent laparole. Il préférait encore rester seul que de rentrer en Orcanie. Et aupremier matin des vacances, il avait été surpris de voir Galessin à table, auxcôtés des quelques autres élèves restant. Les deux garçons avaient vu làl'occasion de passer plus de temps ensemble et ne s'étaient pas quitté detoutes les vacances, alternant entre le dortoir de l'un et l'autre pour dormir.Quelque chose avait changé, ils étaient désormais liés par un lien bien plusfort. Quand les cours avaient repris, ils se virent moins, mais chacune deleurs interactions étaient ponctuées par des joues rougissantes et de boules auventre.
C'est au Noël suivant, celui deleur sixième année, où ils étaient restés au château une nouvelle fois, qu'ilss'étaient avoué leurs sentiments. Pendant le temps où Poudlard était presquevide, ils avaient passé très peu de temps séparé l'un de l'autre. Les vacancesfinies, Galessin était désormais un invité fréquent de la table desPoufsouffle. Gauvain était également devenu un fervent supporter de Quidditch,lui qui ne s'était jamais vraiment intéressé au sport sorcier le plus célèbredu monde.
Gauvain était si absorbé par sespensées et l'impatience qu'il avait à l'idée de passer les vacances collés àGalessin, qu'il ne s'était pas rendu compte que les escaliers n'en avaient, unenouvelle fois, fait qu'à leur tête et qu'il avait suivi une mauvaise directiondepuis un moment. Il  regarda autour delui et eut un air perplexe : il ne reconnaissait pas cet endroit. Il s'aventuradans un couloir dans l'espoir de retrouver son chemin mais il n'eut pas cettechance. Ce ne fut que plusieurs minutes plus tard qu'il sentit des brass'enrouler autour de sa taille.
“Tu t'es encore perdu?” Demanda Galessin, sourire aux lèvres, en posant sa tête sur l'épaule deGauvain.
“C'est de ta faute.”Tenta de se défendre Gauvain.
“Ah oui ?”
“Vous consumez bien trop mespensées seigneur Galessin.”
Le Serpentard eut un rire clairqui trouva écho dans le grand et haut couloir. Gauvain était en septième annéeet se perdait toujours, c'était une caractéristique que Galessin trouvaitmignonne, et il ne pouvait s'empêcher d'être amusé par toutes les excusesdifférentes que le Poufsouffle lui avait donné pour se défendre.
“Allez viens, tu m'as promisque tu me laisseras t'apprendre à jouer au Quidditch.”
Les deux garçons repartirent dansla bonne direction, main dans la main, sûr qu'ils avaient trouvé chez l'autreun guide dans leur vie.
6 notes · View notes
vfstreaming · 4 years
Text
High School Musical 2 Vfhd Fr Streaming Vf En Complet 2007 Illimité
High School Musical 2 Vfhd Fr Streaming Vf En Complet 2007 Illimité
Cliquez ici pour le streaming >>> https://is.gd/nECHq6
Regarder Gratuit >>>https://is.gd/nECHq6
[Vfhd@fr] » High School Musical 2 Film avec sous-titres français » High School Musical 2
6060
High School Musical 2 (2007) [Vfhd@fr] Streaming complet vf Avec sous-titres anglais et français
6.5
Notes de film: 6.5/10 2,751 röster
Date de sortie: 2007-08-17
Production: Disney Channel /
Wiki page: https://en.wikipedia.org/wiki/High School Musical 2
Genres: ComédieDrameFamilialMusiqueRomanceTéléfilm
Ce sont bientôt les vacances, les élèves d’East High sont prêts à passer un moment inoubliable. Mais pour l’instant, il faut trouver un job d’été…Troy et Gabriella passent l’été ensemble au Country Club de Lava Springs, appartenant aux parents de Ryan et Sharpay. Gabriella y est embauchée comme maître-nageur et Troy comme serveur. Les amoureux sont bientôt rejoints par toute la bande. Tous se mettent au travail et espèrent participer au concours des jeunes talents organisé par le club, qui sacrera les deux meilleurs chanteurs de l’année… Mais Sharpay compte bien conserver son titre ! Après l’humiliation qu’elle a subie lors de la dernière comédie musicale de l’école, elle est décidée à se venger de Gabriella… Que la compétition commence !
High School Musical 2 [Vfhd@fr] Streaming complet vf Avec sous-titres anglais et français
Titre du film: High School Musical 2 Popularité: 19.28 Durée: 101 Minutes Slogan:
Streaming en HD
High School Musical 2 streaming complet film vf avec sous-titres français gratuitement. Regardez un film en ligne ou regardez les meilleures vidéos HD 1080p gratuites sur votre ordinateur de bureau, ordinateur portable, ordinateur portable, tablette, iPhone, iPad, Mac Pro et plus encore.
High School Musical 2 – Acteurs et actrices
Zac Efron Troy Bolton
Vanessa Hudgens Gabriella Montez
Ashley Tisdale Sharpay Evans
Lucas Grabeel Ryan Evans
Corbin Bleu Chad Danforth
Monique Coleman Taylor McKessie
Bart Johnson Coach Jack Bolton
Alyson Reed Ms. Darbus
High School Musical 2 Bande annonce
[Vfhd@fr] Streaming complet vf Avec sous-titres anglais et français Film Complet
Regardez le film complet en ligne! Connexion haut débit, choisissez parmi la liste de serveurs ci-dessous
720pChoose Server 1 1080pChoose Server 2 4KChoose Server 3 HDChoose Server 4
Les utilisateurs recherchent et regardent également des films après ces questions.: High School Musical 2 [Vfhd@fr] Streaming complet vf Avec sous-titres anglais et français, voirfilm High School Musical 2 streaming vostfr vf, High School Musical 2 film complet streaming vf, High School Musical 2 film en ligne, High School Musical 2 streaming complet en francais, regarder High School Musical 2 film complet streaming, High School Musical 2 stream complet entier film
Partager ce film avec vos amis
Dans une catégorie similaire
6.5
High School Musical : Premiers pas sur scène
Pendant les vacances de Noël, Gabriella Montez, une lycéenne timide, rencontre le beau Troy Bolton, lors d’une soirée de karaoké à la station de ski. Bien qu’ils soient très différents l’un de l’autre, les deux chanteurs en herbe vont découvrir qu’ils partagent le même amour pour la musique et qu’ils sont inexplicablement attirés l’un par l’autre… De retour au lycée, Troy s’aperçoit que Gabriella n’est autre que la nouvelle élève de l’établissement ! Ensemble, ils décident de participer à l’audition pour jouer dans la comédie musicale de l’école. Mais leurs amis ne l’entendent pas de cette oreille… les deux héros du film vont devoir déjouer complots et intrigues pour pouvoir vivre pleinement leur passion.
6.6
High School Musical 3 : Nos années lycée
Troy et Gabriella, qui sont en dernière année, affrontent la perspective d’être séparés l’un de l’autre, puisqu’ils iront faire leurs études dans des universités différentes. Avec l’aide du reste des Wildcats, ils vont mettre en scène une comédie musicale élaborée reflétant leurs expériences, leurs espoirs et leurs craintes vis-à-vis de leur avenir. Riche d’une nouvelle musique extraordinaire et de numéros de danse inédits et exceptionnels conçus pour tirer parti au maximum du grand écran, ce film bouillonnant de jeunesse et d’énergie offrira le meilleur des jeunes artistes de East High…
6.6
Comme Cendrillon 2 – Danse jusqu’au bout de la nuit…
Mary vit avec sa belle-mère Dominique Blatt, et ses 2 demi-soeurs, Britt et Bree. Lors d’un bal Mary danse avec Joey Parker, un chanteur à la mode. Les deux jeunes gens tombent amoureux sans savoir qui ils sont. Joey va alors organiser un nouveau bal afin de retrouver Mary.
7.5
Presque Célèbre
Dans les années 70, William Miller, un adolescent de quinze ans, ne vit que pour la musique rock. Ce qu’il souhaite le plus au monde, c’est écrire des articles sur cette musique qu’il aime tant.Il envoie un essai au magazine Rolling Stone dans l’espoir de devenir journaliste. Son talent n’est pas passé inaperçu : on est prêt à l’envoyer suivre le groupe Stillwater en tournée afin qu’il fasse un reportage sur eux.Le rêve devient réalité ; malgré les objections d’Elaine, sa mère, William s’engage dans cette folle aventure.Il n’est toutefois pas facile de gagner la confiance des musiciens, surtout lorsqu’on est journaliste. William prouve rapidement aux membres de Stillwater qu’il est avant tout un admirateur inconditionnel de leur musique. Au cours de leur tournée, il abandonne peu à peu la passivité de son rôle d’observateur pour participer à la vie du groupe.
×
High School Musical 2 (2007)
Inscription gratuite
Pour regarder ce film en ligne, vous devez créer un compte GRATUIT. L’inscription est facile et rapide. L’accès prend moins de 1 minute
Créer mon compte Sécurisé vérifié
Formats disponible
0 notes
splendidenolwenn · 7 years
Photo
Tumblr media
Interview. Nolwenn Leroy et Stéphanie Fugain : "Sensibilisez vos enfants au don"
A l'occasion du lancement des illuminations de Noël par le Comité du Faubourg Saint Honoré, qui soutient cette année l'Association Laurette Fugain, nous avons rencontré Stéphanie Fugain et Nolwenn Leroy. Toutes deux nous racontent leurs investissements dans la lutte contre les leucémies.
Jeudi 16 décembre, rue du faubourg Saint Honoré. Les chants de Noël réchauffent ce quartier luxueux de la capitale, qui s'apprête à être mis en lumière à l'occasion du Winter Time 2017. Cet événement, organisé par le Comité du Faubourg Saint Honoré, vise à réchauffer les cœurs des passants, des habitants, mais aussi de ceux qui luttent chaque jour contre la maladie. Cette année, c'est l'association Laurette Fugain qui a été choisie, portée par une marraine de choix : Nolwenn Leroy. L'objectif ? Sensibiliser le grand public à cette cause, au don de vie (de plaquettes, de sang, de moelle osseuse, de plasma, de sang de cordon ou encore d'organe...) et les inciter à participer à la Tombola en cours jusqu'au 27 janvier, dont l'intégralité des bénéfices récoltés ira à l'association. Avec plus de 4000 nouveaux cas de leucémies en France découverts chaque année, difficile en effet de rester insensible. Stéphanie Fugain et Nolwenn Leroy comptent bien ne rien lâcher en ce sens. Jamais.
Le Comité du Faubourg Saint Honoré vous a choisi pour la 6e édition du Winter Time. Racontez-nous, comment cela s'est-il déroulé ? 
Stéphanie Fugain : J'avais suivi les précédentes éditions, je me suis donc rapprochée du Comité via une amie et tout s'est fait très vite. Ils ont rapidement été partants. J'étais ravie, c'est une très belle occasion pour l'association Laurette Fugain.
Nolwenn Leroy : A plusieurs reprises, j'ai dit à Stéphanie que j'aimerais soutenir à nouveau son association. Aussi, lorsque le Comité du Faubourg Saint Honoré m'a proposé de devenir marraine de ce bel événement, je n’ai pas hésité. Winter Time était l’occasion parfaite. Etre associée aux lumières de Noël, c’est quelque chose d’un peu magique. Et le fait que le luxe et le prestige des boutiques de ce quartier se mobilisent pour des causes aussi importantes, c’est bien aussi. Ça sort de la superficialité qu’on peut leur accorder. Récolter de l'argent pour la bonne cause, via la tombola, c’est super.
Stéphanie Fugain : Quand le Comité du Faubourg St Honoré m’a annoncé qu’il avait contacté Nolwenn et qu'elle avait accepté, j'étais ravie ! Nous nous connaissons depuis 15 ans, elle a toujours été là, dès le début de l’association. La première fois que je l’ai rencontrée, j’ai adoré sa sincérité, sa force, son énergie… C’est une vraie beauté intérieure et extérieure. Elle ne pouvait pas me faire de plus beau cadeau.
Nolwenn, vous soutenez l'Association Laurette Fugain, mais aussi la Fondation Abbé Pierre et faites partie des Enfoirés. Comment expliquer cette envie de vous investir dans des causes ?
NL : Je suis une personne engagée, et cela depuis toujours, bien avant de devenir artiste. A 15 ans, je suis partie en voyage humanitaire au Mali, distribuer des fournitures scolaires dans des petits villages. Plus tard, j’ai fait une FAC de droit car mon plan B, si la musique n’avait pas marché, c’était de m’engager pleinement dans l’humanitaire. Aujourd’hui, de par mon métier, j’ai la possibilité de mettre en lumière certaines causes dont on ne parle parfois pas ou peu. Je suis marraine de la fondation Abbé Pierre depuis 15 ans, dès que j’ai l’opportunité de faire quelque chose, je le fais.
Comment choisissez-vous vos causes ?
NL : On ne peut pas malheureusement porter tous les messages, car après, ils perdent de leur impact. La fondation Abbé Pierre et l’association Laurette Fugain n’ont rien à voir, tout comme mon combat pour l’écologie, qui est le combat de tous les combats puisqu’il s’agit de l’avenir. J’essaie de faire un choix et lorsque je m’investis, j’aime être présente. Que mon nom apparaisse sur un site, sans savoir de quoi ça parle, ça ne m’intéresse pas. Ça n’a aucun sens. Quand on s’engage, il faut pouvoir être présente et s’investir.
Stéphanie, l'association Laurette Fugain lutte contre les leucémies. Où en est-on aujourd'hui ?
SF : La lutte que l’on mène est dédiée à tous les cancers de l’enfant. Les cancers solides : identifiés sur une partie du corps, et les cancers liquides, du sang, donc les leucémies. Aujourd’hui, il n’y a pas de traitements pédiatriques réels. Les enfants sont soignés avec des traitements d’adulte adaptés. Si beaucoup s'en sortent, ils ont d’autres problèmes par la suite : ils ne grandissent pas, ont du diabète, des maladies du cœur, etc. En les traitant ainsi, on a certes « éliminé » les mauvaises cellules, mais aussi les bonnes. Il faut savoir que 85% des leucémies pédiatriques sont soignées, mais ce sont des maladies très longues qui malheureusement récidivent assez souvent. Il y a cinq années durant lesquelles il y a la possibilité de rechuter (de la même leucémie ou d’une autre, ou même d'un autre cancer). Il y a des moyens de soigner les enfants, mais il faut se battre pour cela et c’est ce que nous faisons. Par exemple, nous travaillons avec une cohorte de médecins à Marseille, qui s’appelle LEA leucémie enfants et adolescents. On travaille pour le mieux guérir : guérir, mais pas à tous les prix. Quand un traitement arrive aux Etats-Unis, il faut attendre des années pour qu’il soit disponible en France. Des parents s’endettent jusqu’à 400 000€ pour aller faire soigner leur enfant là-bas. Prioriser les cancers des enfants, fabriquer des médicaments pour toutes sortes de cancer, leur donner les moyens de bien guérir, mais aussi de bien grandir, c'est ça notre combat. L’association Laurette Fugain soutient à hauteur de 500 000€ (jusqu’à 800 000€) le travail des chercheurs chaque année. L’état ne nous donne pas d’argent, donc on multiplie les actions pour récolter des fonds.
Quels sont les projets 2018 de votre association ?
SF : Il y a de gros projets qui se font avec des cohortes de médecins et professeurs. Nous soutenons ces projets financièrement. Ils travaillent sur des choses exceptionnelles comme les réactions des malades suite à une greffe de moelle osseuse par exemple. Ils cherchent comment éviter les réactions du greffon, suite à un don d'une personne très proche et a priori compatible. Ça s’appelle la GHV. C’est exactement ce qu’à eu Laurette, d’où l’envie d’autant plus grande de soutenir leurs recherches. L’Etat doit désormais soutenir ce projet financièrement, mais c’est nous qui l’avons fait démarrer. Nous en sommes fiers. Il y aussi de gros projets à la Réunion, où les services sont pris d'assaut par les petits malades Africains, séparés de leur famille pour être envoyés en France, alors qu'avec des investissements, ils pourraient rester sur place. Un enfant doit être avec sa famille pour guérir !
Vous avez un petit mot à faire passer aux Magicmamans ?
SF : Toutes les mamans peuvent nous aider, car elles sont toutes concernées. On a forcément une autre vision des choses de la vie quand on est maman. On sait que tout peut arriver. Ce que je peux conseiller, c’est de ne pas oublier, dans l’éducation des enfants, d'enseigner ce qu’est le partage, le don. J’ai eu la chance de grandir dans une famille de donneurs et très tôt, on m’en a parlé. Mère à mon tour, j’ai élevé mes enfants ainsi. De dire à son enfant « aujourd’hui, tu es majeur, tu as 18 ans, je t’emmène avec moi et tu vas faire un don ». C’est quelque chose qu’on n’oublie jamais. Laurette était donneuse avant d’être malade. Elle savait l’importance que ça avait. Aujourd’hui, les familles sont de moins en moins donneuses. Il y a de moins en moins de temps, il faut concilier la vie professionnelle et la vie de maman et je sais que ce n’est pas facile. Les cancers, ce n’est pas une anecdote. C’est le quotidien, il ne faut pas fermer les yeux en se disant que ça n’arrivera jamais. Rappelons-nous les choses essentielles : la santé, l’amour, le partage, le vivre ensemble avec bienveillance. Soyons attentifs à l’histoire de vie que nous créons. Apprendre les règles de la vie, c’est la possibilité de bien grandir et d’être un bon adulte plus tard.
© Photo: MagicMaman / Propos recueillis par Anne-Charlotte Rateau
0 notes
vfstreaming · 4 years
Text
High School Musical Premiers Pas Sur Scène Vfhd Fr Streaming Vf En Complet 2006 Illimité
High School Musical Premiers Pas Sur Scène Vfhd Fr Streaming Vf En Complet 2006 Illimité
Cliquez ici pour le streaming >>> https://is.gd/zA7vE7
Regarder Gratuit >>>https://is.gd/zA7vE7
[Vfhd@fr] » High School Musical : Premiers pas sur scène Film avec sous-titres français » High School Musical : Premiers pas sur scène
5580
High School Musical : Premiers pas sur scène (2006) [Vfhd@fr] Streaming complet vf Avec sous-titres anglais et français
6.5
Notes de film: 6.5/10 3,312 röster
Date de sortie: 2006-01-20
Production: Salty Pictures / First Street Films /
Wiki page: https://en.wikipedia.org/wiki/High School Musical : Premiers pas sur scène
Genres: ComédieDrameFamilialMusiqueTéléfilmRomance
Pendant les vacances de Noël, Gabriella Montez, une lycéenne timide, rencontre le beau Troy Bolton, lors d’une soirée de karaoké à la station de ski. Bien qu’ils soient très différents l’un de l’autre, les deux chanteurs en herbe vont découvrir qu’ils partagent le même amour pour la musique et qu’ils sont inexplicablement attirés l’un par l’autre… De retour au lycée, Troy s’aperçoit que Gabriella n’est autre que la nouvelle élève de l’établissement ! Ensemble, ils décident de participer à l’audition pour jouer dans la comédie musicale de l’école. Mais leurs amis ne l’entendent pas de cette oreille… les deux héros du film vont devoir déjouer complots et intrigues pour pouvoir vivre pleinement leur passion.
High School Musical : Premiers pas sur scène [Vfhd@fr] Streaming complet vf Avec sous-titres anglais et français
Titre du film: High School Musical : Premiers pas sur scène Popularité: 17.172 Durée: 93 Minutes Slogan:
Streaming en HD
High School Musical : Premiers pas sur scène streaming complet film vf avec sous-titres français gratuitement. Regardez un film en ligne ou regardez les meilleures vidéos HD 1080p gratuites sur votre ordinateur de bureau, ordinateur portable, ordinateur portable, tablette, iPhone, iPad, Mac Pro et plus encore.
High School Musical : Premiers pas sur scène – Acteurs et actrices
Zac Efron Troy Bolton
Vanessa Hudgens Gabriella Montez
Ashley Tisdale Sharpay Evans
Lucas Grabeel Ryan Evans
Corbin Bleu Chad Danforth
Monique Coleman Taylor McKessie
Bart Johnson Jack Bolton
Alyson Reed Ms. Darbus
High School Musical : Premiers pas sur scène Bande annonce
[Vfhd@fr] Streaming complet vf Avec sous-titres anglais et français Film Complet
Regardez le film complet en ligne! Connexion haut débit, choisissez parmi la liste de serveurs ci-dessous
720pChoose Server 1 1080pChoose Server 2 4KChoose Server 3 HDChoose Server 4
Les utilisateurs recherchent et regardent également des films après ces questions.: High School Musical : Premiers pas sur scène [Vfhd@fr] Streaming complet vf Avec sous-titres anglais et français, voirfilm High School Musical : Premiers pas sur scène streaming vostfr vf, High School Musical : Premiers pas sur scène film complet streaming vf, High School Musical : Premiers pas sur scène film en ligne, High School Musical : Premiers pas sur scène streaming complet en francais, regarder High School Musical : Premiers pas sur scène film complet streaming, High School Musical : Premiers pas sur scène stream complet entier film
Partager ce film avec vos amis
Dans une catégorie similaire
6.6
High School Musical 3 : Nos années lycée
Troy et Gabriella, qui sont en dernière année, affrontent la perspective d’être séparés l’un de l’autre, puisqu’ils iront faire leurs études dans des universités différentes. Avec l’aide du reste des Wildcats, ils vont mettre en scène une comédie musicale élaborée reflétant leurs expériences, leurs espoirs et leurs craintes vis-à-vis de leur avenir. Riche d’une nouvelle musique extraordinaire et de numéros de danse inédits et exceptionnels conçus pour tirer parti au maximum du grand écran, ce film bouillonnant de jeunesse et d’énergie offrira le meilleur des jeunes artistes de East High…
6.5
High School Musical 2
Ce sont bientôt les vacances, les élèves d’East High sont prêts à passer un moment inoubliable. Mais pour l’instant, il faut trouver un job d’été…Troy et Gabriella passent l’été ensemble au Country Club de Lava Springs, appartenant aux parents de Ryan et Sharpay. Gabriella y est embauchée comme maître-nageur et Troy comme serveur. Les amoureux sont bientôt rejoints par toute la bande. Tous se mettent au travail et espèrent participer au concours des jeunes talents organisé par le club, qui sacrera les deux meilleurs chanteurs de l’année… Mais Sharpay compte bien conserver son titre ! Après l’humiliation qu’elle a subie lors de la dernière comédie musicale de l’école, elle est décidée à se venger de Gabriella… Que la compétition commence !
6.3
Comme Cendrillon 3 – Il était une chanson
Surmenée, harcelée et terrifiée d’être mise en famille d’accueil, Katie, 17 ans, exécute les ordres de sa belle-mère de sa demi-sœur et de son demi-frère sans se plaindre. Vocalement douée, Katie se sent particulièrement bouleversée lorsqu’elle est contrainte de prêter sa voix à sa demi-sœur sans talent, Beverly Van Ravensway, afin qu’elle puisse décrocher un contrat d’enregistrement avec la maison de disque the Massive Records dont le président, Guy Morgan, est à la recherche de nouveaux talents spectaculaires pour le Service de la Culture d’une prestigieuse école privée.
6.2
Appelez-moi DJ Rebel
Tara Adams, une élève de première introvertie qui ne peut se résoudre à parler en classe, surtout quand le rockeur populaire, Gavin, est devant elle. Malgré sa timidité à l’école, seule dans sa chambre, Tara se jette comme animatrice de Radio Rebel et, en tant qu’hôte d’un podcast en soirée. Radio Rebel gagne rapidement les fans sur le campus. La directrice de l’école qui considère Radio Rebel comme un message pour être au mépris évident de l’école d’ “anti-distraction politique”
×
High School Musical : Premiers pas sur scène (2006)
Inscription gratuite
Pour regarder ce film en ligne, vous devez créer un compte GRATUIT. L’inscription est facile et rapide. L’accès prend moins de 1 minute
Créer mon compte Sécurisé vérifié
Formats disponible
0 notes