#mort pour la france
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«Vous avez hérité de la nationalité française, nous, nous l'avons méritée.» Missak Manouchian
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"Enregistrez-vous en cliquant là :) "
"Vous ne pouvez pas cliquer parce que vous n'êtes pas enregistrée :)"
Le seul point positive de la dématérialisation des procédures, c'est que je ne vais plus pester contre une personne en particulier, mais contre les abrutis qui se sont dits que mettre en ligne une version beta "mais bénéficiant d'une mise à jour tous les jours :)" d'une plateforme dont l'usage est obligatoire c'était faisable.
Ca fait moins de 8 jours que je suis rentrée, et je veux déjà repartir en vacances :(
#real life issues#wonder france#pays de merde avec des logiciels pourris#ah ça par contre amendes.gouv pour récupérer tes prunes ça fonctionne impec#evidemment le timbre fiscal de mes roubignoles à payer pour utiliser une plateforme de merde#et si carole derrière n'enregistre pas les informations que je lui envoie par la plateforme avant 18h c'est mort
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aaaah. Revoir sa famille. Une malédiction déguisée en bénédiction.
#je dois remonter pour une journée#UNE JOURNEE#et traverser toute la france#dépenser plus d'argent que ce que j'ai sur mon compte mdr#faire 9h de voiture#puis 9h pour le retour#pour la mort de ma grand-mère#et mon père qui trouve encore le moyen de critiquer et de me mettre la pression#et je SAIS qu'il va me forcer à parler avec mon frère alors que j'ai coupé les ponts avec lui depuis presque 2 ans#j'ai hâte de rentrer alors qu'on est pas encore parti :)))#jeracontemavie
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J'en peux plus putain de ce rance de gouvernement à la con, tout part en couille et ils ne font qu'empirer la situation merde, et après ils s'étonnent des représailles que le reste subiront. Je suis écoeuré.
#current events: french edition#''can you not be xenophobic for one second?'' 🇫🇷 gov: ''no ❤️''#juste quand je part en france pour noël putaiiin les conversations à table vont être dégueulasse#entre mon gp sénile raciste à mort et ma gm de droite vive le réveillon !#et mon père.......... pseudofacho version espagnole#et après ma mère se surprend que j'aime pas les réunions de famille...#la tension à 400. le plomb que je vais péter.#bref c'est la cata et je regarde droit dans l'abîme#me.txt
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L'Art et la mode, no. 38, vol. 15, 22 septembre 1894, Paris. Toilettes de saison. Dessin de M. de Solar. Bibliothèque nationale de France
Toilette pour théâtre. Corsage et jupe en velours anglais vieux rouge. Col de guipure. Ceinture de satin feuille morte. Chapeau de velours à plumes.
Theatre ensemble. Bodice and skirt in old red English velvet. Guipure collar. Belt in dead leaf satin. Feathered velvet hat.
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Costume de ville. Drape chiné, manches de velours, prises dans l'empiècement boutonne. Chapeau velours et feutre, garni d'aigrette de plumes.
City suit. Mottled drape, velvet sleeves, taken in the buttoned yoke. Velvet and felt hat, trimmed with feather aigrette.
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Collet pour sortie de théâtre. Velours amaranthe. Col de plumes maïs. Guipure blanche. Jupe de satin noir, brodée de nœuds de jais.
Theatre collar. Amaranth velvet. Corn feather collar. White guipure. Black satin skirt, embroidered with jet bows.
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Toilette en tissu de soie fantaisie. Guipure écrue cabochonnée de jais. Col et manches de velours.
Fancy silk fabric ensemble. Ecru guipure cabochoned with jet. Velvet collar and sleeves.
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Costume de ville. Drap mousse et drap écossais tartan, mousse, noir et bleu.
City suit. Moss cloth and tartan Scottish cloth, moss, black and blue.
#L'Art et la mode#19th century#1890s#1894#on this day#September 22#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#gigot#suit#cape#collar#Modèles de chez#Marie de Solar
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French election stuff
Yo les gens Oui je sais, oh l'bâtard de banquier de chez Rothschild, y'a vraiment des gens qui te tentent de devenir pro peine de mort dans c'bas monde. Et il a placé à la dernière minute une élection LE WEEK-END DU DEBUT DES VACANCES ce chacal.
Alors par pitié faites tourner au maximum et agressivement les infos sur la procuration : - un électeur inscrit en France a droit de porter une procuration d'un autre électeur inscrit en France - pas besoin d'être inscrit au même bureau de vote - pas besoin d'être inscrit dans la même ville !!!
(source: https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1604 )
Et faites le tour de tous les gens que vous connaissez qui votent à gauche, et organisez les procurations de ceux qui seront pas là ! Si vous êtes dans une autre ville que votre liste électorale, et que vous connaissez des gens inscrits dans cette ville, pensez à demander s'ils ont besoin d'une procuration !
Tip partagée par @garnetrena qui est plus malin/expérimenté que moi en militantisme: Si vous avez personne pour prendre votre procuration, en désespoir de cause essayez de contacter un parti de gauche local ou un groupe de militants (genre asso anti-racisme, LGBT, féministe inclusive, tout ça) pour leur demander s'ils organisent des procurations pour les gens de gauche qui pourront pas voter eux même.
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Aujourd'hui 20 novembre, c'est le TDOR, le Transgender Day of Remembrance. Un jour où la communauté trans et non binaire se souvient et rappellent les noms de ses mort'es, de celleux que nous avons perdus par assassinats, sui*ides ou précarités.
Les premières victimes sont les femmes trans et personnes transfems noires, latinx, et plus généralement racisées, dû à la violence transmisogyne et raciste étatique.
Nous les recensons et en faisons le décompte tous les ans, même si beaucoup de mort'es restent invisibles, du fait du mégenrage / deadnaming des proches, des journalistes, de la police...etc :
- https://transrespect.org/en/research/tmm/ - https://tdor.translivesmatter.info/reports?view=map Environ 373 personnes trans et non binaire sont mortes depuis un an, dans le monde.
Pour ce jour j'ai décidé de reprendre un ancien dessin que j'avais fait pour l'inktober de 2016, l'année de mon premier coming out.
Si vous ne voulez pas passer ce moment seul'e vous pouvez vous tourner vers vos associations trans et LGBTIA+ qui font des recueillement publique ou en ligne ce soir.
Voici la liste de @orgasolitrans pour les rassemblements qui auront lieu ce soir un peu partout en france :
- https://www.instagram.com/p/DCjH2GuCPfZ/?img_index=1
La vidéo de @aggressively_trans :
- https://www.instagram.com/p/DClWeIOi6OQ/
Plein de force, d'amour et de soutien à nous toustes. Soutenons nous, souvenons nous de nos mortes, battons nous pour nos vies !
#TDOR#tdor2024#transdayofremembrance#transartist#trans#transgender#lgbtia#lgbtiart#transmisogyny#feminism#feminicide#transmisogynoir#transgenre#racism#TDS#deuil#mourning#commemoration#manga studio#illustration#queer#laurierthefox
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Transcript of the French dialogue in IWTV S2 Ep6 - Like the Light by Which God Made the World Before He Made Light
Attack at Madeleine’s shop:
[The song the attackers are singing here is the "Chant des Girondins", which was the short-lived French national anthem under the Second Republic (1848-1852). Here are the lyrics sung in this portion of the show:
"La France appelle ses enfants, – Allons dit le soldat, aux armes ! C’est ma mère, je la défends.
Mourir pour la Patrie"
Which translates to:
"France calls to its children,
- Come, says the soldier, to arms!
She is my mother, so I shall defend her.
To die for the motherland"]
Woman attacker: Bonsoir, Madame Éparvier !
Madeleine: Allez-y ! Faites vos dessins très ingénieux !
Bald attacker: Arrête de les laver et on arrête de revenir, hein !
Woman attacker: On l’a ! On l’a, la pute !... Madeleine est pas bien, elle a attaqué, t’as vu ?... Crie tout ce que tu veux, hein. Tes voisins s’en fichent.
Madeleine: Arrête ! Non !
Bald attacker: On va voir ce qu’elle a donné à l’Allemand !
Madeleine: Tu suces du sang… T’es un v…
Armand and Madeleine discuss her turning:
Armand: Tu aimerais être l’une des nôtres ?
Madeleine: Non, je veux être avec elle. Et toi, tu peux aller te faire foutre.
Armand: They always think they’re different. Stronger. Superior. Jusqu’à ce que la solitude arrive.
Madeleine: Monsieur, ça fait longtemps que je suis toute seule.
Armand: Tu seras un monstre.
Madeleine: Si tu fais de moi un monstre, tu feras que me transformer en ce que je suis déjà.
Armand: Tu vas manger des humains comme tu manges ta pomme ? Un par nuit, aucune pitié pour l’enfant, la mère, l’invalide ?
Madeleine: Je suis un humain et j’aime ma nourriture. Quand je serai un vampire, est-ce que j’aimerai ma nourriture ?
Armand: Comment choisiras-tu qui tuer ?
Madeleine: Je tuerai sur les bords. Les faibles d’abord, et occasionnellement je me livrerai à mes appétits.
Armand: Et quand les derniers vestiges de ton époque auront disparu ? Les voitures, les coiffures, les croyances ? Comment continueras-tu ?
Madeleine: Jeune homme… There’s been a war. Claudia! He thinks there’s something left of my era!... Mais quel con ! [not captioned, but she’s basically calling Armand a dumbass.]
Armand: Comment vas-tu survivre à l’éternité ?
Madeleine: L’homme qui vivait en face… La Gestapo est venue le chercher. On a entendu un coup de feu quand la voiture a tourné au coin de la rue. Et la femme qui habitait plus bas, elle est morte de faim dans sa chambre. Elle portait des vêtements très chics. Elle devenait de plus en plus maigre jusqu’à ce qu’un jour, je regarde par sa porte et elle était là, un squelette dans des vêtements chics. Parfois, je le voyais dans leurs yeux, quand ils étaient sur le point d’abandonner. Et moi, j’ai survécu. Moi, j’ai suivi mes instincts. J’ai trouvé l’amour dont j’avais besoin, même quand c’était un amour dangereux. And I have again.
Armand: Et que feras-tu dans quelques décennies quand elle se jettera dans le feu ? Parce qu’elle le fera.
Madeleine: Peut-être qu’elle le fera pas. T’en sais rien. Peut-être que je suis ce dont elle a besoin pour survivre.
Louis and Armand at the Sacré-Cœur:
Okay, this is a subtle one.
While Loumand kiss on the steps of the Sacré-Cœur, you can hear a man taunting them in the background.
He says: "Hé ! Mais vas-y hé ! Mais suce-le, tant que t’y es ! Sale pédé !"
Which translates to: "Hey! Well go on then! Why don’t you suck him off while you’re at it! Fucking faggots!"
This explains why Louis turns his head around for a second after kissing Armand...
Madeleine’s turning:
Madeleine: J’arrive pas à croire que mon dernier verre de vin soit un Chardonnay. J’aurais dû en prévoir plus.
Madeleine: La pièce tourne…
That's it for this episode! See you in a week for the next one!
Ep. 2 here
Ep. 3 here
Ep. 4 here
#interview with the vampire#iwtv#iwtv season 2#iwtv spoilers#amc interview with the vampire#amc iwtv#french dialogue
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L'AU de Gravity Falls (Fraternité Falls ?) avec Ford et Stan en vieux militants de gauche français, ça va me faire ma semaine.
D'un côté, t'as Ford qui était militant au PCF dans les années 70, ancien soixante-huitard (il a tellement fait ses études à Nanterre), limite trotskiste, le gars expert en théorie marxiste, tu débats avec lui et il te sort 45 textes de Marx ou Benjamin qui te contredisent, l'intello de gauche avec ses pulls troués et ses millions de feuilles volantes, mais qui, contrairement à tous ses camarades, ne fait pas de la socio mais de la physique ! Étonnamment, il a cru au programme commun en 81, il a voté pour Mitterrand, et paf en 82, Stan le pousse dans le portail. Il revient en 2012, sous la présidence de Hollande "ah mais le PCF est encore là?" "C'est mort" "c'est à cause du PS, ces sales social-traitres !", il apprend a posteriori la trahison de Mitterand et le tournant de la rigueur "on peut vraiment pas faire confiance à un socialiste", il fume des clopes en rageant devant le Mystery Shack à chaque intervention télévisée de Hollande et il cotise toujours au PCF, malgré tout.
De l'autre, t'as Stan, peu politisé dans son adolescence, et qui passe à côté de mai 68 parce qu'à la rue à ce moment là, qui vit de débrouille, de galère, qui ne vote pas, ne s'intéresse pas à tout ça pendant longtemps parce que bah, ce qu'il veut c'est survivre jusqu'au lendemain et c'est tout. Et puis, il pousse par accident Ford dans un portail, et le voilà bien malgré lui installé à Gravity Falls. Et maintenant que la survie n'est plus un enjeu, sa conscience politique s'éveille et elle est évidemment marquée par ses années de galère. Ces hommes politiques qui parlent d"assistanat", qu'est-ce qu'ils connaissent à la misère ? Stan est pas très cultivé politiquement et il a pas le temps pour ça, il a un portail à réparer et un frère à sauver, mais les mecs en cravate qui parlent sans rien connaître, ça l'enrage. Et ils ont le culot de dire que c'est à cause de l'immigration qu'il y a du chômage en France ! Stan vote LO, NPA, il vote pour des gens du peuple sans jamais adhérer à un parti (mais il a quand même failli être sur une liste électorale locale !) et il emmerde les fachos, par principe, sans vraiment trop creuser derrière. Il entarte des politicards, il fait des manifs sauvages et il tabasse des fachos dès qu'il peut. Au Mystery Shack, à certaines heures, on peut entendre les Béruriers Noirs gueuler "LA JEUNESSE EMMERDE LE FRONT NATIONAL" et Stan corrige "la VIEILLESSE emmerde le front national".
En 2012, Ford revient, Stan et lui se disputent etc, y a l'apocalypse, ils se réconcilient. Ils discutent de tout, de rien, mais pas de politique, parce qu'il y a tellement plus important à ce moment là.
Et puis un soir, alors qu'ils regardent la télé, on annonce au 20h que Hollande va faire une intervention ce soir. Les deux frères sifflent entre leurs dents, sans se concerter :
"Sale traître"
Regards surpris l'un sur l'autre, puis sourires : évidemment. Évidemment.
Stan fume des roulées avec Ford devant le Mystery Shack. Il râle en disant que les hommes politiques ne comprennent pas le peuple, Ford l'accuse en souriant d'être populiste, Stan rétorque que Ford est un "sale coco de merde". Ils rigolent. La vie est belle.
#Fraternité falls#c'est son nom pour moi#gravity falls#j'aime beaucoup l'idée qu'ils soient tous les deux devenus de gauche (même d'extrême-gauche) mais sans se concerter#ford est peut-être inspiré de membres de ma famille dont mon grand-père qui est un ex soixante-huitard#oui je sais que j'ai dit que ford était un militant ps mais en vrai c'est plus marrant s'il est encore au pcf#pour ford imaginez le sketch des inconnus sur le vieux militant communiste#french politics
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Icône du cinéma français, Alain Delon s’est éteint ce dimanche 18 août, à 88 ans. De sa révélation sur le grand écran au début des années 1960 à son César du meilleur acteur, retour sur sa carrière en sept films emblématiques qui ont campé son style.
Il était l’un des acteurs qui a enregistré le plus d’entrées en France, totalisant plus de 136 millions de spectateurs avec l’ensemble des films qui l’ont mis en scène. Alain Delon est mort ce dimanche 18 août 2024, à l’âge de 88 ans, ont annoncé ses enfants. La star du grand écran a marqué le cinéma français de son empreinte avec 90 longs-métrages, qui ont façonné sa réputation de légende et son style caractéristique. En voici sept particulièrement marquants.
« Christine » (1958) : sa rencontre avec Romy Schneider Alain Delon n’a que 23 ans et a fait ses premiers pas au cinéma un an plus tôt, dans Quand la femme s’en mêle d’Yves Allégret, lorsque l’actrice allemande Romy Schneider le choisit sur photo pour tourner avec elle dans Christine, de Pierre-Gaspard Huit. Il y incarne le lieutenant Franz Lobheiner, amant d’une riche baronne autrichienne dont il veut rompre, qui tombe follement amoureux de la charmante Christine Weiring, jouée par la jeune star du cinéma qui n’a alors que 20 ans. La première rencontre entre les deux acteurs, à la descente de l’avion, deux mois plus tôt, n’était pourtant pas des plus concluantes. La barrière de la langue les sépare et le duo ne s’entend absolument pas. Ils finiront pourtant par tomber amoureux et former un couple connu comme « les plus beaux fiancés d’Europe ».
« Plein soleil » (1960) : la révélation d’un « jeune premier » Deux ans plus tard, Alain Delon est choisi par le réalisateur René Clément pour jouer dans une adaptation du roman Monsieur Ripley, de Patricia Highsmith. Alors qu’il devait jouer le deuxième rôle masculin, il parvient à convaincre l’équipe de réalisation qu’il serait plus adapté dans le costume du personnage principal, Tom Ripley, qui colle plus à son caractère un peu « voyou ». Avec ce rôle, Alain Delon se révèle sur le grand écran et pose les jalons de ce qui deviendra son style, charismatique et un peu rebelle. « Personne ne savait qui j’étais. Le film qui a fait le tour du monde, a été la base de ma carrière », avait d’ailleurs reconnu l’acteur.
« Le Guépard » (1963) : la palme d’or à Cannes Alain Delon y incarne Tancrède Falconeri, le neveu du prince Fabrice de Salina (Burt Lancaster) qui se lie d’amour avec une bourgeoise, Angelica Sedara (Claudia Cardinale), dans une Italie du milieu du XIXe siècle marquée par le déclin de l’aristocratie traditionnelle. Adapté du roman éponyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, cette fresque obtient la Palme d’or au Festival de Cannes en 1963 et devient un succès commercial et critique dès sa sortie. Alain Delon, au sommet de son élégance (moustache fine et raie sur le côté), y est l’incarnation de la noblesse. Le couple qu’il forme avec Claudia Cardinale entre dans l’histoire du cinéma. Le film comporte notamment une scène de bal devenue iconique, qui marque la victoire de la bourgeoisie sur la noblesse et où les trajectoires du trio principal trouvent leur aboutissement.
« Le Samouraï » (1967) : la consécration du « genre » Delon Cette première collaboration avec Jean-Pierre Melville donne l’un des chefs-d’œuvre de la filmographie de Delon, qui incarne le tueur solitaire Jef Costello. Fantomatique, inexpressif (son personnage n’a quasiment aucune réplique), obsédé par la maîtrise, avec son regard bleu froid, son imper et son chapeau : ce personnage est à la base du mythe Delon. L’esthétique de ce polar glacial influencera nombre d’autres cinéastes, dont John Woo ou Quentin Tarantino. La collaboration Delon-Melville accouchera d’un autre chef-d’œuvre, Le Cercle rouge (1970, avec Bourvil), avant Un flic (1972).
« La Piscine » (1969) : les retrouvailles avec Romy Schneider Mi-drame, mi-polar, ce film de Jacques Deray marque les retrouvailles entre Alain Delon et Romy Schneider, avec qui il a formé un couple mythique du cinéma français. Il n’y aura pas de retour de flamme entre eux mais la carrière de l’actrice allemande, alors en demi-teinte, redécolle. Plus de 3 millions de spectateurs plongent dans la piscine au-dessus de Saint-Tropez, fréquentée par le couple mais aussi par Maurice Ronet et Jane Birkin. Delon dira plus tard : « Ce film, je ne peux plus le regarder. Trop douloureux de revoir Romy et Maurice (morts en 1982 et 1983, N.D.L.R) rire aux éclats. »
« Borsalino » (1970) : son duo iconique avec Belmondo C’est encore grâce à Jacques Deray qu’Alain Delon connaît un vrai succès populaire avec Borsalino, où il forme un tandem iconique avec Jean-Paul Belmondo. Le film, histoire de deux jeunes voyous qui tentent de devenir les caïds de la pègre marseillaise, marque le point d’orgue du duo entre Delon et son rival, mais aussi ami. « Heureusement qu’il était là. Ni l’un ni l’autre n’aurait fait la même carrière sans l’autre. Il y avait une compétition mais aussi une sorte de stimulation entre nous. Ça m’aurait vraiment emmerdé qu’il ne soit pas là. Qu’est-ce que j’aurais foutu sans lui pendant cinquante ans ? » Le succès est au rendez-vous : le long métrage enregistre plus de 4,7 millions d’entrées et une suite, Borsalino and Co, sort au cinéma quatre ans plus tard.
« Notre histoire » (1984) : son seul César du meilleur acteur Malgré son immense carrière, Alain Delon n’a décroché qu’une seule fois le César du meilleur acteur obtenu en 1985 pour son rôle dans Notre histoire, de Bertrand Blier, sorti l’année précédente. Cette comédie dramatique, parfois absurde, parle de solitude et d’amour, autour de la rencontre dans un train, entre Robert, la quarantaine fatiguée, et une jeune femme désabusée, incarnée par Nathalie Baye. Le public ne suivra pas, mais la critique a majoritairement aimé ce film dans lequel Delon a pris des risques pour camper un personnage fragile, un ivrogne, bien loin de celui qu’il interprétait dans le Samouraï.
Alain Delon, qui avait commencé sa carrière à la fin des années 1950, était l’un des derniers monstres sacrés du cinéma français.
Né le 8 novembre 1935 à Sceaux (Hauts-de-Seine), Alain Delon fait ses débuts sur le grand écran à la fin des années 1950, dans Quand la femme s’en mêle, d’Yves Allégret.
Ces premiers pas au cinéma, il les doit à un « scout » qui les repère, lui et son charisme, lors d’un casting sauvage réalisé en marge du Festival de Cannes, à une époque où le jeune Alain Delon enchaîne les petits boulots. Quelques mois plus tôt, il était revenu d’Indochine, où il a servi dans la Marine, avant d’être renvoyé pour avoir, selon la légende, « emprunté » une jeep pour aller faire la fête. Un beau gosse un rien rebelle. Tout Delon est là, déjà.
Ce personnage de voyou magnifique, auquel sa nature semble le prédestiner, Alain Delon va l’étrenner, le perfectionner durant une bonne partie de sa carrière.
Très rapidement, on le verra ainsi incarner un tueur à gages dans Le Samouraï (1967), dans l’une de ses nombreuses collaborations avec Jean-Pierre Melville. Puis, dans Borsalino (1970), où il partage l’affiche avec son meilleur ennemi, Jean-Paul Belmondo, il prend les traits d’un éminent membre de la pègre marseillaise.
Toujours en 1970, dans Le Cercle rouge, il joue un autre bandit de classe, traqué par un Bourvil à contre-emploi. Mais, plus tard, les Français le verront passer de l’autre côté de l’insigne, dans Parole de flic ou Pour la peau d’un flic, film qu’il produira, comme une trentaine d’autres.
La rubrique des faits divers, celui qui ne cachera jamais ses attaches à droite la côtoiera également dans le civil. À la fin des années 1960, alors qu’il est au faîte de sa gloire, il sera ainsi entendu dans le cadre de la médiatique affaire Markovic, du nom de son ancien homme à tout faire yougoslave, retrouvé assassiné. La procédure, dans laquelle un ami d’Alain Delon, François Marcantoni, était le principal suspect, avait débouché sur un non-lieu pour preuves insuffisantes. Elle aura néanmoins perturbé le tournage du Clan des Siciliens, dans lequel il partage l’affiche Jean Gabin et Lino Ventura. Rien que ça.
Puis, au tournant des années 2023 et 2024, il sera l’objet d’une brouille entre ses enfants, Anouckha, Alain-Fabien et Anthony, sur fond d’héritage et de présence d’une « dame de compagnie », Hiromi Rollin. La découverte, quelques semaines plus tard, des dizaines d’armes que possède l’acteur dans sa résidence de Douchy (Loiret), finira d’alimenter une chronique qui aura quelque peu terni l’image de l’acteur.
Mais, entre-temps, Alain Delon aura peaufiné son autre facette, celle du séducteur à la gueule d’ange. Celle-ci crève l’écran dès 1960, dans Plein Soleil de René Clément et dans Rocco et ses frères, où Delon donne la réplique à Claudia Cardinale, sous les ordres de l’un de ses mentors, Luchino Visconti.
Ce séducteur patenté, les spectateurs le retrouveront régulièrement par la suite. Dans Le Guépard (1963), film-fleuve issu de l’œuvre de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, par exemple. Mais aussi, et peut-être surtout, dans La Piscine (1970), film sensuel dans lequel Delon donne la réplique à Romy Schneider, son ex-compagne.
Plus que ceux qu’il forma avec Nathalie Delon, Mireille Darc ou, un temps, avec Dalida, le couple mythique qu’Alain Delon forma avec l’interprète de Sissi, contribuera à le faire entrer dans la légende du cinéma français, celle à laquelle, diront ses détracteurs, il était si conscient d’appartenir. Difficile toutefois, en regardant dans le rétroviseur, de le contredire sur ce point.
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MA FRANCE ET MOI
"C’est celle de 1789, une FRANCE qui se lève, celle qui conteste, qui refuse !
La FRANCE qui proteste qui veut savoir, c’est la FRANCE joyeuse, curieuse et érudite, la FRANCE de Molière qui tant se battit contre l’hypocrisie, celle de La Fontaine celle de Stendhal, de Balzac, celle de Jaurès, celle de Victor Hugo et de Jules Vallès !
La FRANCE de l’invention, des chercheurs, celle de Pasteur, celle de Denis Papin et de Pierre et Marie Curie !
La FRANCE des Lettres, celle de Chateaubriand, de Montaigne, la FRANCE de la Poésie, celle de Musset, d’Eluard, de Baudelaire, de Verlaine et celle d’ Aimé Césaire !
La FRANCE qui combat tous les totalitarismes, tous les racismes, tous les intégrismes, l’obscurantisme et tout manichéisme !
La FRANCE qui aime les Mots, les Mots doux, les Mots d’Amour, et aussi la Liberté de dire des gros Mots !
La FRANCE qui n’en finira jamais de détester le mot "SOUMISSION" et de choyer le Mot RÉVOLTE !
Oui ma FRANCE à moi c’est celle des Poètes, des Musiciens, celle d’Armstrong, celle de l’Accordéon, celle des Chansons douces, des Chansons graves, des Espiègles, des Humoristiques, des Moqueuses ou celle truffée de Mots qui font rêver d’un Amour que l’on n’osera jamais déclarer à celle qu’on aime.
Ma FRANCE à moi c’est celle de Picasso, de Cézanne et celle de Soulages, celle d’Ingres, celle de Rodin !
La FRANCE des Calembours, des "Bidochons", celle de la Paillardise aussi bien que celle du "Chant des Partisans".
Ma FRANCE c’est celle de Daumier, celle de l’ "Assiette au beurre", du "Sapeur Camembert", celle de Chaval, celle de Cabu, de Gottlieb, de Siné, celle du "Canard", de "Fluide Glacial" et de "Charlie", drôles, insolents, LIBRES !
Ma FRANCE, c’est aussi celle des dictées de Pivot celle de Klarsfeld et celle de Léopold Sedar Senghor, la FRANCE des "Enfants du Paradis" et des "Enfants du Veld ’hiv", celle de la Mode libre, celle de la Danse, des flirts et des Câlins, celle de la Musique douce et des Rocks déjantés, celle de la Gourmandise !
Ma France à moi c’est une FRANCE capable de renvoyer dos à dos la Bible et le Coran s’il lui prend l’envie d’être Athée !
Eh oui ! Ma FRANCE est une FRANCE LIBRE, FRATERNELLE et éternellement INSOUMISE aux dictats de la "bien-pensance" !
Il n’est qu’en respectant toutes ces diversités qu’on arrive un jour à vivre la "DOUCE FRANCE" de Trenet.
Celle qui m’a toujours plu et que notre jeunesse lucide et combative fera perdurer par-delà les obscurantismes.
Figure révolutionnaire, emblématique, durant "La Commune", le "Père Duchêne" écrivait au frontispice du Journal qu’il publiait en 1793 ,
"LA RÉPUBLIQUE OU LA MORT !"
Son journal coûtait 1 sou… mais on en avait pour son argent !"
Pierre Perret
C'était aussi ma FRANCE...
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La France est en soins palliatifs. Sous piquouze de choc. De l’olympisme en intraveineuse. Du shoot de winner médaillé or. Plus de gouvernement, certes, mais le petit peuple, toujours coiffé par ses élites, se délecte. Bientôt on tentera de payer sa baguette en drachme estampillé BCE, mais qui s’en fout ? La tant redoutée “troïka bruxelloise” viendra déféquer dans les bottes de la garde républicaine, nakamuratée à mort et bien incapable de défendre la porte du château. On devra faire ceci et ne plus faire cela. On dira adieu à l’épargne, aux retraites, à la santé. On se responsabilisera enfin sous le regard sévère (mais juste) de Blackrock, de Pfizer, d’Ourzoula et de tous les copains habillé en bleu atlantique. Chiche que l’on nous demandera d’apprendre l’ukrainien.
Et Branlotin, dans tout cela ? Eh bien le petit connard narcissique est parti tâter du muscle au soleil, photographié sur le yacht d’un énième oligarque (?), tout sourire, déjà bronzé, sans Jean-Bri. Ça va nous faire un combo cocaïne-vaseline au coucher du soleil, à n’en pas douter. Les feux de l’amour, avec le tandem Jolly-Boucheron en guests stars descendues en Falcon de la République.
La France coule, le sourire béat, les poumons pleins d’air pur, dans le bonheur d’une capitale sans bagnoles, sans racaille ouane-tou-sri, sans SDF, sans OQTF, sans subsahariens vendeurs de tour Eiffel, sans plus trop de violeurs pakis, mais avec plein de caméras réputées intelligentes, gavée de QR codes inquisiteurs en diable, avec du bleu poulaga à chaque carrefour, du piou-piou en gare, des bénévoles qui essaient encore de sourire aux couillons sportophiles venus de partout se faire plumer dans les restos à micro-ondes des quartiers encore épargnés par les grillages et les blocs de béton.
La France se noie parce qu’elle a bu la tasse dans une Seine plombée par les étrons, les rats crevés et les larmes des Gabin, des Audiard, des Blier, des Ventura et de tous les cadors d’un passé couillu et bien révolu. Un milliard et quatre cents millions pour permettre à Salvadorina Allende et à une ministre clitoridienne de jouir d’un bain pourri, infect, dégueulatoire. Tristes connes, pauvres athlètes.
Que se passera-t-il après tout cela ? Nul ne peut le dire. Les cartes de Madame Irma sont illisibles, tombées de la table, parties sous le tapis ou déjà bouffées par les rongeurs darwinisés par la règle du profit et du silence. Même les conjectureux de plateau nous parlent de concours de javelot ou de 400 mètres haies tant l’horizon est bouché – illisible, imprévisible, invisible.
La France, la France, la France... chienne aînée d’une Église wokisée, pute consentante de satrapes ricaneurs et lâches, cumshotée dans tous ses orifices, veinifiée à la pfizzerine, noyée dans la Cène, raccourcie à la Conciergerie... pauvre fille, qui fut si belle. Se remettra-t-elle de tous ces coups bas, ces avilissements, ces misères proprement médiévales ? 2025, année des funérailles, ou premier chapitre d’un nouveau récit ? Les deux, qui sait, mon Général ?
J.-M. M.
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L’entrée du lycée Robert-Doisneau, à Corbeil-Essonnes.
Cette histoire qui se passe au lycée Robert Doisneau de Corbeil-Essonnes est surréaliste.
Un professeur de maths a demandé à un élève de retirer sa casquette, car c’est interdit de la porter dans les couloirs du lycée. L’élève refuse, l’enseignant la confisque, et l’élève revient avec un copain pour menacer le prof : « je vais te buter, sale fils de pute ! ». Ensuite, l’enseignant affirme que l’élève lui a mis un coup de poings (ce que l’élève nie).
Le prof porte plainte. Une expertise médicale atteste qu’il a des contusions au visage et des hématomes aux jambes. Plusieurs enseignants témoignent en faveur de leur collègue : ils ont vu des élèves lui adresser des coups de pieds et des croche-pattes. L’élève, lui, affirme que le prof l’a plaqué contre un mur mais ce témoignage est infirmé par celui d’un membre de la communauté éducative…
Que croyez-vous qu’il se passa ?
Les lycéens ont fait pression sur le proviseur : blocus toute la semaine devant le lycée, tirs de mortier d’artifice sur l’établissement… et affiches placardées dans la rue avec des menaces de mort : on y voit le nom et le visage du prof, avec cette mention : « wanted dead or alive ».
Le proviseur ne soutient pas l’enseignant et le conseil de discipline auquel est convoqué l’élève ne fait pas référence aux coups portés sur le prof. Une partie des enseignants, pour certains élus de gauche au département ou à la ville, se désolidarisent et préfèrent se fier aux témoignages des élèves : ils reprochent à leur collègue d’être trop zélé avec l’application du règlement intérieur…
Et pour finir, le proviseur rencontre les élèves et leur promet… qu’à l’avenir, les casquettes seront autorisées dans les couloirs !
www.lefigaro.fr/actualite-france/wanted-dead-or-alive-pour-une-histoire-de-casquette-un-enseignant-menace-de-mort-et-un-lycee-bloque-a-coups-de-mortiers-d-artifice-20241018
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La Mode nationale, no. 5, 31 janvier 1903, Paris. Deux Toilettes de visite. Bibliothèque nationale de France
(1.) — Robe de promenade ou de visite pour jeune femme, en homespun "croûte de pain". La jupe en forme s'orne de trois volants pèlerine arretés devant et s'effeuillant au-dessous d'une bande de biais juxtaposés. Chaque volant est liséré de quatre biais. Selon le choix, ces biais et ceux qui surmontent le volant supérieur peuvent être remplacés par des piqûres. Petit paletot sac légèrement cintré sous les bras, arrondi devant et bordé de biais comme la jupe.
Deux cols pèlerine garnis de biais ou de piqûres sont agrémentés d'un troisième col en velours marron avec dépassan clair. Guimpe plissée en soie du même ton que la robe. Grand nœud de velours à longs pans sous le col. Manche un peu ample du bas, montée dans un poignet cerclé de plis ou de biais.
Chapeau de feutre blanc, bordé de velours noir. enguirlandé de feuillage mort. Nœud de velours feuille morte sur les cheveux.
(1.) — Walking or visiting dress for young women, in “bread crust” homespun. The shaped skirt is adorned with three pelerine ruffles stopped in front and frayed below with a strip of juxtaposed bias binding. Each ruffle is edged with four biases. Depending on the choice, these biases and those above the upper ruffle can be replaced by stitching. Small sack coat, slightly fitted under the arms, rounded at the front and edged at an angle like the skirt.
Two pilgrim collars trimmed with bias or stitching are embellished with a third brown velvet collar with light overpass. Pleated silk guimpe in the same tone as the dress. Large velvet bow with long tails under the collar. Slightly loose sleeve at the bottom, set in a wrist surrounded by pleats or bias.
White felt hat, lined with black velvet. garlanded with dead foliage. Dead leaf velvet bow on the hair.
Matériaux: 7m,50 de lainage, 1 mètre de velours marron.
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(2.) — Toilette de ville pour jeune femme ou dame d'âge moyen. Robe de drap bleu lac; à la jupe, volant pèlerine. Paletot trois-quarts en drap satin noir, un peu cintré dans le dos, ample du dos. Double pèlerine gondolée sur les épaules; un grand col de cluny noir se termine par deux pans mélangés de mousseline de soie qui tombent très bas devant. Manche plssée sur l'épaule, très ample vers le poignet où un bracelet de dentelle la serre pour fournir un volant.
Chapeau de feutre blanc liséré de velours noir, guirlande de roses roses de tons fanés autour de la calotte.
(2.) — City ensemble for young or middle-aged ladies. Lake blue cloth dress; at the skirt, pelerine flounce. Three-quarter-length overcoat in black satin cloth, slightly fitted at the back, loose at the back. Double curled cape on the shoulders; a large black cluny collar ends with two mixed panels of silk muslin which fall very low in front. Sleeve pleated on the shoulder, very loose towards the wrist where a lace bracelet tightens it to provide a ruffle.
Chapeau de feutre blanc liséré de velours noir, guirlande de roses roses de tons fanés autour de la calotte.
Matériaux: 4 mètres de drap noir; pour la rube, 6 mètres de drap bleu.
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