#mort pour la france
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«Vous avez hérité de la nationalité française, nous, nous l'avons méritée.» Missak Manouchian
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"Enregistrez-vous en cliquant là :) "
"Vous ne pouvez pas cliquer parce que vous n'êtes pas enregistrée :)"
Le seul point positive de la dématérialisation des procédures, c'est que je ne vais plus pester contre une personne en particulier, mais contre les abrutis qui se sont dits que mettre en ligne une version beta "mais bénéficiant d'une mise à jour tous les jours :)" d'une plateforme dont l'usage est obligatoire c'était faisable.
Ca fait moins de 8 jours que je suis rentrée, et je veux déjà repartir en vacances :(
#real life issues#wonder france#pays de merde avec des logiciels pourris#ah ça par contre amendes.gouv pour récupérer tes prunes ça fonctionne impec#evidemment le timbre fiscal de mes roubignoles à payer pour utiliser une plateforme de merde#et si carole derrière n'enregistre pas les informations que je lui envoie par la plateforme avant 18h c'est mort
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aaaah. Revoir sa famille. Une malédiction déguisée en bénédiction.
#je dois remonter pour une journée#UNE JOURNEE#et traverser toute la france#dépenser plus d'argent que ce que j'ai sur mon compte mdr#faire 9h de voiture#puis 9h pour le retour#pour la mort de ma grand-mère#et mon père qui trouve encore le moyen de critiquer et de me mettre la pression#et je SAIS qu'il va me forcer à parler avec mon frère alors que j'ai coupé les ponts avec lui depuis presque 2 ans#j'ai hâte de rentrer alors qu'on est pas encore parti :)))#jeracontemavie
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J'en peux plus putain de ce rance de gouvernement à la con, tout part en couille et ils ne font qu'empirer la situation merde, et après ils s'étonnent des représailles que le reste subiront. Je suis écoeuré.
#current events: french edition#''can you not be xenophobic for one second?'' 🇫🇷 gov: ''no ❤️''#juste quand je part en france pour noël putaiiin les conversations à table vont être dégueulasse#entre mon gp sénile raciste à mort et ma gm de droite vive le réveillon !#et mon père.......... pseudofacho version espagnole#et après ma mère se surprend que j'aime pas les réunions de famille...#la tension à 400. le plomb que je vais péter.#bref c'est la cata et je regarde droit dans l'abîme#me.txt
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Perpignan : Commémoration des combats de Bazeilles
A 18heures 30 mardi 19 septembre 2023 l’amicale des anciens d’outremer, du 24 ème Rima et des anciens combattants des Troupes de marine des Pyrénées-Orientales, à l’occasion de la commémoration annuelle des combats de Bazeilles (1870), a rendu hommage, devant la stèle du 24 et 44 ème RTS place Jean Moulin à Perpignan, aux soldats des TDM morts pour la France. En présence de madame la Députée…
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#Bazeilles#combattants#commémoration#héroisme#hommage#Le Journal Catalan#morts pour la France#perpignan#Pyrénées-Orientales#Soldats#Troupes de marine
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L'Art et la mode, no. 38, vol. 15, 22 septembre 1894, Paris. Toilettes de saison. Dessin de M. de Solar. Bibliothèque nationale de France
Toilette pour théâtre. Corsage et jupe en velours anglais vieux rouge. Col de guipure. Ceinture de satin feuille morte. Chapeau de velours à plumes.
Theatre ensemble. Bodice and skirt in old red English velvet. Guipure collar. Belt in dead leaf satin. Feathered velvet hat.
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Costume de ville. Drape chiné, manches de velours, prises dans l'empiècement boutonne. Chapeau velours et feutre, garni d'aigrette de plumes.
City suit. Mottled drape, velvet sleeves, taken in the buttoned yoke. Velvet and felt hat, trimmed with feather aigrette.
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Collet pour sortie de théâtre. Velours amaranthe. Col de plumes maïs. Guipure blanche. Jupe de satin noir, brodée de nœuds de jais.
Theatre collar. Amaranth velvet. Corn feather collar. White guipure. Black satin skirt, embroidered with jet bows.
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Toilette en tissu de soie fantaisie. Guipure écrue cabochonnée de jais. Col et manches de velours.
Fancy silk fabric ensemble. Ecru guipure cabochoned with jet. Velvet collar and sleeves.
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Costume de ville. Drap mousse et drap écossais tartan, mousse, noir et bleu.
City suit. Moss cloth and tartan Scottish cloth, moss, black and blue.
#L'Art et la mode#19th century#1890s#1894#on this day#September 22#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#gigot#suit#cape#collar#Modèles de chez#Marie de Solar
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French election stuff
Yo les gens Oui je sais, oh l'bâtard de banquier de chez Rothschild, y'a vraiment des gens qui te tentent de devenir pro peine de mort dans c'bas monde. Et il a placé à la dernière minute une élection LE WEEK-END DU DEBUT DES VACANCES ce chacal.
Alors par pitié faites tourner au maximum et agressivement les infos sur la procuration : - un électeur inscrit en France a droit de porter une procuration d'un autre électeur inscrit en France - pas besoin d'être inscrit au même bureau de vote - pas besoin d'être inscrit dans la même ville !!!
(source: https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1604 )
Et faites le tour de tous les gens que vous connaissez qui votent à gauche, et organisez les procurations de ceux qui seront pas là ! Si vous êtes dans une autre ville que votre liste électorale, et que vous connaissez des gens inscrits dans cette ville, pensez à demander s'ils ont besoin d'une procuration !
Tip partagée par @garnetrena qui est plus malin/expérimenté que moi en militantisme: Si vous avez personne pour prendre votre procuration, en désespoir de cause essayez de contacter un parti de gauche local ou un groupe de militants (genre asso anti-racisme, LGBT, féministe inclusive, tout ça) pour leur demander s'ils organisent des procurations pour les gens de gauche qui pourront pas voter eux même.
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Today, 20 November, is TDOR, the Transgender Day of Remembrance. A day on which the trans and non-binary community remembers and remembers the names of its dead, of those we have lost through murder, suicide or precarity.
The first victims are black, Latinx and more generally racialised trans women and transfemmes, as a result of the state's racist and transmisogynous violence.
We count them every year, even if many of the dead remain invisible, because of the misgendering / deadnaming of relatives, journalists, the police… etc :
https://transrespect.org/en/research/tmm/
https://tdor.translivesmatter.info/reports?view=map Around 373 trans and non-binary people have died in the last year, worldwide.
For this day I've decided to revive an old drawing I did for the 2016 inktober, the year I first came out.
If you don't want to spend this moment alone, you can turn to your trans and LGBTIA+ associations who are holding public or online recollections this evening.
Here's @orgasolitrans' list of rallies taking place tonight across France:
https://www.instagram.com/p/DCjH2GuCPfZ/?img_index=1
The video from @aggressively_trans :
https://www.instagram.com/p/DClWeIOi6OQ/
Lots of strength, love and support for us all. Let's support each other, remember our dead, fight for our lives!
FR - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Aujourd'hui 20 novembre, c'est le TDOR, le Transgender Day of Remembrance. Un jour où la communauté trans et non binaire se souvient et rappellent les noms de ses mort'es, de celleux que nous avons perdus par assassinats, sui*ides ou précarités.
Les premières victimes sont les femmes trans et personnes transfems noires, latinx, et plus généralement racisées, dû à la violence transmisogyne et raciste étatique.
Nous les recensons et en faisons le décompte tous les ans, même si beaucoup de mort'es restent invisibles, du fait du mégenrage / deadnaming des proches, des journalistes, de la police...etc :
- https://transrespect.org/en/research/tmm/ - https://tdor.translivesmatter.info/reports?view=map Environ 373 personnes trans et non binaire sont mortes depuis un an, dans le monde.
Pour ce jour j'ai décidé de reprendre un ancien dessin que j'avais fait pour l'inktober de 2016, l'année de mon premier coming out.
Si vous ne voulez pas passer ce moment seul'e vous pouvez vous tourner vers vos associations trans et LGBTIA+ qui font des recueillement publique ou en ligne ce soir.
Voici la liste de @orgasolitrans pour les rassemblements qui auront lieu ce soir un peu partout en france :
- https://www.instagram.com/p/DCjH2GuCPfZ/?img_index=1
La vidéo de @aggressively_trans :
- https://www.instagram.com/p/DClWeIOi6OQ/
Plein de force, d'amour et de soutien à nous toustes. Soutenons nous, souvenons nous de nos mortes, battons nous pour nos vies !
#TDOR#tdor2024#transdayofremembrance#transartist#trans#transgender#lgbtia#lgbtiart#transmisogyny#feminism#feminicide#transmisogynoir#transgenre#racism#TDS#deuil#mourning#commemoration#manga studio#illustration#queer#laurierthefox
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saga: Soumission & Domination 368
Vacances de la Toussaint (en France)
Depuis que je suis arrivé aux USA, je reste en contact par skype avec la France et mes amours bien sûr mais aussi mes " petits frères " Enguerrand, Max et Nathan.
Je ne sais pas si je leur manque mais eux m'appellent deux fois par semaine pour me raconter leurs misères tout en insistant bien sur leurs excellents bulletins de notes.
Du coup je ne peux refuser qu'ils me rejoignent tous les trois aux vacances de la Toussaint (je leur offre même les billets en première).
Ils arrivent accompagnés de PH et Ludovic. Je loue un shuttle entier et avec Tyler, les cueille à l'aéroport. En vol direct ils ne sont pas trop fatigués. Sur la route qui nous conduit chez le père de Tyler, Ludovic me dit qu'Enguerrand s'est fait un des Stewards dans l'avion. S'ensuit une bagarre verbale entre les deux frères, le plus jeune traitant son ainé de balance. Max et Nathan sont morts de rire car en fait ils avaient fait le pari à qui serait le premier à baiser en vol.
Tyler est éberlué de la façon qu'ont les benjamins de parler de sexe. Ces derniers poussent de grands cris dès qu'on entre dans San Francisco. Collés aux vitres ils n'arrêtent pas d'échanger leurs impressions. Nathan s'attendait à plus de gratte-ciels. Ils adorent dès qu'on passe Market street. Ça monte et ça descend comme dans les films.
Le standing de la maison de Matthew fait siffler le plus impudent.
Présentation au père de Tyler qui explique aux plus jeunes qu'ils sont chez eux. Je m'empresse d'ajouter en français que c'est réellement comme chez eux, c'est-à-dire qu'ils ne mettent pas tout à feu et à sang, pas plus qu'ils ne ramènent du monde.
Promesse de mes trois excités.
En attendant ils amusent bien Tyler et son père. Dane venu nous rejoindre pour diner intrigue le trio jusqu'à ce qu'il monte se coucher avec nous trois (PH, Ludovic et moi). J'entends tout bas un " faites ce que je dis, pas ce que je fais " alors que la porte de notre chambre se referme.
Nous entamons la nuit par un bon moment de sexe. Dane est content de retrouver mes deux amours et, après avoir rapproché les deux lits KingSize, nous passons de corps en corps, de bouches en bouches à bouches en bites et/ou en anus. J'ai grand plaisir à retrouver les corps parfaits de mes partenaires privilégiés. De leurs côtés j'ai l'impression qu'ils sont contents aussi. PH fait attention à ce que Dane ne soit pas exclu de nos retrouvailles. Je me gave de leurs langues, je retrouve le goût de leurs bites et de leurs précums. Miammm je les dévore !
Comme on va passer au sérieux (j'entends par là, les sodos), nous voyons la porte s'ouvrir et mes trois loustics sauter sur le lit. Evidemment ils sont déjà à poil et tout bandants !
Dane est le plus surpris. Moi, je pensais qu'ils auraient quand même attendu une invitation et peut être même un jour ou deux.
On repart pour quelques préliminaires mais les nouveaux venus nous font comprendre que ça, ils l'avaient déjà fait.
Max s'attaque à Dane que je dois décomplexer pour qu'il accepte de baiser avec. Enguerrand fait son " Caliméro " et brule la politesse à son frère pour que je l'encule. Ludovic le fait pivoter sur le dos (ma queue servant d'axe) et le chevauche. Non pas pour qu'Enguerrand le sodomise mais pour m'offrir le choix.
Royal !! Je passe d'un cul à l'autre trouvant le même plaisir dans chacun de leur corps. Sans ressentiments ils se roulent une pelle alors que je lime leurs rondelles en alternance.
PH s'occupe de Nathan en attendant que je pense à lui. Mais je pense à lui, même quand je lime un autre cul que le sien ! C'est mon amour !!
Je laisse les deux frères et le décolle de Nathan que j'envoie s'intercaler dans la fratrie.
Là c'est le gros câlin d'amour qui nous place dans une bulle.
Pelles, pipes, sodo, re pipes, re pelles, bouffages de rondelles et autres suçages de tétons, la totalité de nos corps participe à notre plaisir mutuel.
Quand nous explosons enfin, moi dans son cul et lui dans ma main, que nous léchons à deux. On s'aperçoit que la chambre est silencieuse et que nous sommes entourés de 5 voyeurs.
Dane me dit que c'était superbe : " gorgeous " pour lui. Il ajoute qu'il est pressé de trouver un mec avec qui se sera pareil.
Les " petits " s'éclipsent sans demander leurs restes et nous dormons entremêlés.
Réveil des Français dès 7h, décalage horaire ! Nous nous entassons dans le 4x4 de Dane pour faire connaitre au trio les délices du petit déjeuner chez Dottie's.
Comme j'y passe dès que je peux, je commence à y être connu. Il n'empêche que nous faisons la queue comme tout le monde. Le serveur nous place à la grande table (la seule) qui jouxte l'entrée. Je lui explique qui sont mes invités. Il les gratifie d'un bienvenu à San Francisco, draguant plus qu'à moitié Enguerrand. Le café arrive aussitôt accompagné d'un grand verre d'eau. Ça nous laisse le temps de choisir et à lui le temps de placer quelques clients de plus.
Quand nous passons commande, il est quand même un peu surpris par la quantité. Il n'empêche que les muffins comme les pancake et les oeufs brouillés/bacon/patate disparaissent tous de la table.
Nous déposons Tyler chez lui et faisons un détour par chez Dane pour récupérer son petit frère.
Il nous explique qu'il lui a demandé de s'occuper des jeunes pendant les 10 jours qu'ils vont passer ici. Comme il a son permis (c'est plus tôt qu'en France), ils seront indépendants les jours à venir. Ludovic le remercie et lui dit qu'il ne fait pas forcément un cadeau à son frère vu la " turbulence " du trio.
Quand nous rencontrons Duke, nous sommes rassurés. Il est aussi balèze que nous et semble pas timide. Sa poignée de main est ferme et il prend tout de suite le trio en charge. Ils grimpent dans son Pickup et nous propose de les suivre.
Alors qu'on file vers les quais, je demande à Dane s'il sait où son frère nous emmène. Réponse " aucune idée ". On est vite fixé en apercevant le quai d'embarquement pour Alcatraz.
Petite traversée calme. Je note que le trio a intégré Duke et réciproquement. Ils ne s'occupent plus de nous ! Visite intéressante, retour calme aussi, le quatuor parcourant le petit ferry de long en large.
Comme on reprend les voitures, Duke nous dit qu'ils vont aller faire du surf et qu'ils nous retrouveront dans la soirée. Si ce n'est pas un congé, c'est bien imité ! J'attrape Enguerrand et lui glisse un paquet de dollars, précisant qu'il ne devait pas laisser payer Duke pour eux. Il pousse les billets dans son short et me fait un bisou en me disant qu'il sait vivre.
On les retrouvera fourbus mais excité de s'être essayé au surf avec Duke.
Pendant le diner, il est à ma gauche. J'en profite pour lui demander si ça le gave pas trop d'avoir à se trainer 3 petits français. Quand il me dit qu'heureusement que nous autres (PH, Ludovic, Dane et moi) seront repartis ou en cours, comme ça ils pourront s'essayer à d'autres sports. Je capte le sous-entendu. En moi je me dis que si le petit frère est du même moule que le grand, ils vont bien s'amuser. Je donne ma bénédiction d'un " d'accord mais tu fais attention à eux, j'y tiens beaucoup " ce qu'il me dit savoir déjà et accepte.
C'est vers la fin du diner, le vin aidant que l'on apprend qu'il s'est déjà fait Nathan et qu'il est pressé de faire l'amour avec les deux autres avec lesquelles il n'a pu qu'échanger quelques pipes dans le pickup. Questions des plus âgés pour savoir quand ils avaient réussi à le faire (Nathan et lui), réponse dans les toilettes d'Alcatraz alors qu'on attendait la navette.
De Dane à qui je reproche de ne pas nous avoir prévenus que son petit frère était comme nous, me parvient la réponse que si j'avais été au courant, j'aurai cherché à lui enfiler ma bite en premier. De Duke m'arrive un " mais t'inquiète j'ai bien envie de le faire avec toi ".
Merci pour mon égo !
Le lendemain après le départ de mes deux amours pour la France, Duke me demande s'il pouvait inviter la triplette chez lui, que ce serait beaucoup plus simple que de venir les chercher tous les jours chez Matthew. Dane m'assure que ses parents ne verront même pas la différence habitués à ce que de leurs amis passent souvent quelques jours chez eux. Tyler me dit qu'effectivement les parents de Dane et Duke sont cool et qu'il lui est arrivé d'y squatter 1 semaine quand son père était absent.
Je cède !! Et je reçois ma récompense, un french kiss de Duke ponctué à l'attention de Dane d'un " tu ne pensais quand même pas te le garder pour toi tout seul ?! ".
Retour à la Fac. Tous les soirs les garçons m'appellent pour me raconter leur journée. Visite complète de San-Francisco, de la Napa Vallée, échanges sportifs avec leur hôte très intéressé par le savant mélange des différentes techniques de combat que nous avons développé.
Quand ils apprennent que j'ai eu droit à des cours particulier avec un véritable Navy Seal, ils sont excités (bien que ce soit leur état naturel). C'est Enguerrand qui me dit que coté cul je vais apprécier le WE à venir. Il ne sait pas pour Dane mais Duke est un sacré bon coup au lit. Venant de lui qui en connait un bout sur le sujet, je bave d'impatience.
Quand j'en discute avec Dane, ce dernier me dit qu'il n'en sait rien, ils n'ont pas d'amis commun (enfin, de lit). Quand je lui demande s'ils n'ont rien fait ensemble depuis qu'il sait que son frérot est gay comme lui, il me le certifie à moitié choqué.
Dès le vendredi soir nous rejoignons les benjamins chez Dane. En plus de son frère et du trio français, il y a déjà 4 autres jeunes mecs.
Présentation, ce sont les meilleurs potes de Duke et d'après les comportements, ils connaissent déjà mes " petits frères " et bibliquement même !
Les parents partis prendre le soleil à San Diégo, nous avons la maison pour nous.
Ça devait arriver, à peine une demi-heure après notre arrivée, Duke réussit ce qu'il avait en tête depuis notre première rencontre, c'est-à-dire baiser avec moi !
Un peu plus petit que Dane, mais pas de la bite qui, aussi longue me parait juste un peu moins épaisse, il est terriblement baisable !!
Grosse pelle, pompage mutuel avec plus de la part de Duke. Il apprécie mes gorges profondes et me dit qu'il comprend d'où vient l'entrainement du trio. Lui-même n'est pas en reste et la capacité de sa gorge dépasse son encombrement par mon 20x5. Quand je le félicite, il me dit de ne pas en parler à Dane, il veut pas qu'il le croit trop " salope ".
C'est lui qui, d'impatience, me présente sa rondelle et se plante sur ma bite (préalablement recouverte de synthétique).
Quel cul ! Encore plus " nerveux " que celui de Dane, il m'enserre la bite, la pressant à me faire croire que j'encule un puceau. Il n'empêche que quand je pousse pour lui mettre mon dernier cm, le plus épais, j'ai le plaisir de l'entendre couiner.
Il tourne la tête et nous nous roulons un patin. Je le pousse à 4 pattes et après avoir attrapé ses hanches je l'encule virilement. Il apprécie et gémis sans retenue. Après un retournement afin qu'on se voit prendre notre pied, il m'enserre les hanches de ses jambes alors que je me colle à lui et lui donne ma langue à téter. Mes hanches continuent de pousser ma bite dans sa rondelle. Simultanément je sens son jus s'infiltrer entre nos abdos et sa rondelle bloquer les mouvements de ma bite à chaque éjaculation. Il me fait jouir et je m'écroule sur lui.
Alors que nous prenons un instant de repos avant de rejoindre les autres, il me demande comment je le note par rapport à son frère.
Je ris et lui dis qu'il va falloir qu'on recommence plusieurs fois pour que je puisse juger en toute connaissance de cause. Là, on s'est fait 2 positions ce qui est un peu court pour la comparaison.
Jardinier
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Transcript of the French dialogue in IWTV S2 Ep6 - Like the Light by Which God Made the World Before He Made Light
Attack at Madeleine’s shop:
[The song the attackers are singing here is the "Chant des Girondins", which was the short-lived French national anthem under the Second Republic (1848-1852). Here are the lyrics sung in this portion of the show:
"La France appelle ses enfants, – Allons dit le soldat, aux armes ! C’est ma mère, je la défends.
Mourir pour la Patrie"
Which translates to:
"France calls to its children,
- Come, says the soldier, to arms!
She is my mother, so I shall defend her.
To die for the motherland"]
Woman attacker: Bonsoir, Madame Éparvier !
Madeleine: Allez-y ! Faites vos dessins très ingénieux !
Bald attacker: Arrête de les laver et on arrête de revenir, hein !
Woman attacker: On l’a ! On l’a, la pute !... Madeleine est pas bien, elle a attaqué, t’as vu ?... Crie tout ce que tu veux, hein. Tes voisins s’en fichent.
Madeleine: Arrête ! Non !
Bald attacker: On va voir ce qu’elle a donné à l’Allemand !
Madeleine: Tu suces du sang… T’es un v…
Armand and Madeleine discuss her turning:
Armand: Tu aimerais être l’une des nôtres ?
Madeleine: Non, je veux être avec elle. Et toi, tu peux aller te faire foutre.
Armand: They always think they’re different. Stronger. Superior. Jusqu’à ce que la solitude arrive.
Madeleine: Monsieur, ça fait longtemps que je suis toute seule.
Armand: Tu seras un monstre.
Madeleine: Si tu fais de moi un monstre, tu feras que me transformer en ce que je suis déjà.
Armand: Tu vas manger des humains comme tu manges ta pomme ? Un par nuit, aucune pitié pour l’enfant, la mère, l’invalide ?
Madeleine: Je suis un humain et j’aime ma nourriture. Quand je serai un vampire, est-ce que j’aimerai ma nourriture ?
Armand: Comment choisiras-tu qui tuer ?
Madeleine: Je tuerai sur les bords. Les faibles d’abord, et occasionnellement je me livrerai à mes appétits.
Armand: Et quand les derniers vestiges de ton époque auront disparu ? Les voitures, les coiffures, les croyances ? Comment continueras-tu ?
Madeleine: Jeune homme… There’s been a war. Claudia! He thinks there’s something left of my era!... Mais quel con ! [not captioned, but she’s basically calling Armand a dumbass.]
Armand: Comment vas-tu survivre à l’éternité ?
Madeleine: L’homme qui vivait en face… La Gestapo est venue le chercher. On a entendu un coup de feu quand la voiture a tourné au coin de la rue. Et la femme qui habitait plus bas, elle est morte de faim dans sa chambre. Elle portait des vêtements très chics. Elle devenait de plus en plus maigre jusqu’à ce qu’un jour, je regarde par sa porte et elle était là, un squelette dans des vêtements chics. Parfois, je le voyais dans leurs yeux, quand ils étaient sur le point d’abandonner. Et moi, j’ai survécu. Moi, j’ai suivi mes instincts. J’ai trouvé l’amour dont j’avais besoin, même quand c’était un amour dangereux. And I have again.
Armand: Et que feras-tu dans quelques décennies quand elle se jettera dans le feu ? Parce qu’elle le fera.
Madeleine: Peut-être qu’elle le fera pas. T’en sais rien. Peut-être que je suis ce dont elle a besoin pour survivre.
Louis and Armand at the Sacré-Cœur:
Okay, this is a subtle one.
While Loumand kiss on the steps of the Sacré-Cœur, you can hear a man taunting them in the background.
He says: "Hé ! Mais vas-y hé ! Mais suce-le, tant que t’y es ! Sale pédé !"
Which translates to: "Hey! Well go on then! Why don’t you suck him off while you’re at it! Fucking faggots!"
This explains why Louis turns his head around for a second after kissing Armand...
Madeleine’s turning:
Madeleine: J’arrive pas à croire que mon dernier verre de vin soit un Chardonnay. J’aurais dû en prévoir plus.
Madeleine: La pièce tourne…
That's it for this episode! See you in a week for the next one!
Ep. 2 here
Ep. 3 here
Ep. 4 here
#interview with the vampire#iwtv#iwtv season 2#iwtv spoilers#amc interview with the vampire#amc iwtv#french dialogue
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Icône du cinéma français, Alain Delon s’est éteint ce dimanche 18 août, à 88 ans. De sa révélation sur le grand écran au début des années 1960 à son César du meilleur acteur, retour sur sa carrière en sept films emblématiques qui ont campé son style.
Il était l’un des acteurs qui a enregistré le plus d’entrées en France, totalisant plus de 136 millions de spectateurs avec l’ensemble des films qui l’ont mis en scène. Alain Delon est mort ce dimanche 18 août 2024, à l’âge de 88 ans, ont annoncé ses enfants. La star du grand écran a marqué le cinéma français de son empreinte avec 90 longs-métrages, qui ont façonné sa réputation de légende et son style caractéristique. En voici sept particulièrement marquants.
« Christine » (1958) : sa rencontre avec Romy Schneider Alain Delon n’a que 23 ans et a fait ses premiers pas au cinéma un an plus tôt, dans Quand la femme s’en mêle d’Yves Allégret, lorsque l’actrice allemande Romy Schneider le choisit sur photo pour tourner avec elle dans Christine, de Pierre-Gaspard Huit. Il y incarne le lieutenant Franz Lobheiner, amant d’une riche baronne autrichienne dont il veut rompre, qui tombe follement amoureux de la charmante Christine Weiring, jouée par la jeune star du cinéma qui n’a alors que 20 ans. La première rencontre entre les deux acteurs, à la descente de l’avion, deux mois plus tôt, n’était pourtant pas des plus concluantes. La barrière de la langue les sépare et le duo ne s’entend absolument pas. Ils finiront pourtant par tomber amoureux et former un couple connu comme « les plus beaux fiancés d’Europe ».
« Plein soleil » (1960) : la révélation d’un « jeune premier » Deux ans plus tard, Alain Delon est choisi par le réalisateur René Clément pour jouer dans une adaptation du roman Monsieur Ripley, de Patricia Highsmith. Alors qu’il devait jouer le deuxième rôle masculin, il parvient à convaincre l’équipe de réalisation qu’il serait plus adapté dans le costume du personnage principal, Tom Ripley, qui colle plus à son caractère un peu « voyou ». Avec ce rôle, Alain Delon se révèle sur le grand écran et pose les jalons de ce qui deviendra son style, charismatique et un peu rebelle. « Personne ne savait qui j’étais. Le film qui a fait le tour du monde, a été la base de ma carrière », avait d’ailleurs reconnu l’acteur.
« Le Guépard » (1963) : la palme d’or à Cannes Alain Delon y incarne Tancrède Falconeri, le neveu du prince Fabrice de Salina (Burt Lancaster) qui se lie d’amour avec une bourgeoise, Angelica Sedara (Claudia Cardinale), dans une Italie du milieu du XIXe siècle marquée par le déclin de l’aristocratie traditionnelle. Adapté du roman éponyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, cette fresque obtient la Palme d’or au Festival de Cannes en 1963 et devient un succès commercial et critique dès sa sortie. Alain Delon, au sommet de son élégance (moustache fine et raie sur le côté), y est l’incarnation de la noblesse. Le couple qu’il forme avec Claudia Cardinale entre dans l’histoire du cinéma. Le film comporte notamment une scène de bal devenue iconique, qui marque la victoire de la bourgeoisie sur la noblesse et où les trajectoires du trio principal trouvent leur aboutissement.
« Le Samouraï » (1967) : la consécration du « genre » Delon Cette première collaboration avec Jean-Pierre Melville donne l’un des chefs-d’œuvre de la filmographie de Delon, qui incarne le tueur solitaire Jef Costello. Fantomatique, inexpressif (son personnage n’a quasiment aucune réplique), obsédé par la maîtrise, avec son regard bleu froid, son imper et son chapeau : ce personnage est à la base du mythe Delon. L’esthétique de ce polar glacial influencera nombre d’autres cinéastes, dont John Woo ou Quentin Tarantino. La collaboration Delon-Melville accouchera d’un autre chef-d’œuvre, Le Cercle rouge (1970, avec Bourvil), avant Un flic (1972).
« La Piscine » (1969) : les retrouvailles avec Romy Schneider Mi-drame, mi-polar, ce film de Jacques Deray marque les retrouvailles entre Alain Delon et Romy Schneider, avec qui il a formé un couple mythique du cinéma français. Il n’y aura pas de retour de flamme entre eux mais la carrière de l’actrice allemande, alors en demi-teinte, redécolle. Plus de 3 millions de spectateurs plongent dans la piscine au-dessus de Saint-Tropez, fréquentée par le couple mais aussi par Maurice Ronet et Jane Birkin. Delon dira plus tard : « Ce film, je ne peux plus le regarder. Trop douloureux de revoir Romy et Maurice (morts en 1982 et 1983, N.D.L.R) rire aux éclats. »
« Borsalino » (1970) : son duo iconique avec Belmondo C’est encore grâce à Jacques Deray qu’Alain Delon connaît un vrai succès populaire avec Borsalino, où il forme un tandem iconique avec Jean-Paul Belmondo. Le film, histoire de deux jeunes voyous qui tentent de devenir les caïds de la pègre marseillaise, marque le point d’orgue du duo entre Delon et son rival, mais aussi ami. « Heureusement qu’il était là. Ni l’un ni l’autre n’aurait fait la même carrière sans l’autre. Il y avait une compétition mais aussi une sorte de stimulation entre nous. Ça m’aurait vraiment emmerdé qu’il ne soit pas là. Qu’est-ce que j’aurais foutu sans lui pendant cinquante ans ? » Le succès est au rendez-vous : le long métrage enregistre plus de 4,7 millions d’entrées et une suite, Borsalino and Co, sort au cinéma quatre ans plus tard.
« Notre histoire » (1984) : son seul César du meilleur acteur Malgré son immense carrière, Alain Delon n’a décroché qu’une seule fois le César du meilleur acteur obtenu en 1985 pour son rôle dans Notre histoire, de Bertrand Blier, sorti l’année précédente. Cette comédie dramatique, parfois absurde, parle de solitude et d’amour, autour de la rencontre dans un train, entre Robert, la quarantaine fatiguée, et une jeune femme désabusée, incarnée par Nathalie Baye. Le public ne suivra pas, mais la critique a majoritairement aimé ce film dans lequel Delon a pris des risques pour camper un personnage fragile, un ivrogne, bien loin de celui qu’il interprétait dans le Samouraï.
Alain Delon, qui avait commencé sa carrière à la fin des années 1950, était l’un des derniers monstres sacrés du cinéma français.
Né le 8 novembre 1935 à Sceaux (Hauts-de-Seine), Alain Delon fait ses débuts sur le grand écran à la fin des années 1950, dans Quand la femme s’en mêle, d’Yves Allégret.
Ces premiers pas au cinéma, il les doit à un « scout » qui les repère, lui et son charisme, lors d’un casting sauvage réalisé en marge du Festival de Cannes, à une époque où le jeune Alain Delon enchaîne les petits boulots. Quelques mois plus tôt, il était revenu d’Indochine, où il a servi dans la Marine, avant d’être renvoyé pour avoir, selon la légende, « emprunté » une jeep pour aller faire la fête. Un beau gosse un rien rebelle. Tout Delon est là, déjà.
Ce personnage de voyou magnifique, auquel sa nature semble le prédestiner, Alain Delon va l’étrenner, le perfectionner durant une bonne partie de sa carrière.
Très rapidement, on le verra ainsi incarner un tueur à gages dans Le Samouraï (1967), dans l’une de ses nombreuses collaborations avec Jean-Pierre Melville. Puis, dans Borsalino (1970), où il partage l’affiche avec son meilleur ennemi, Jean-Paul Belmondo, il prend les traits d’un éminent membre de la pègre marseillaise.
Toujours en 1970, dans Le Cercle rouge, il joue un autre bandit de classe, traqué par un Bourvil à contre-emploi. Mais, plus tard, les Français le verront passer de l’autre côté de l’insigne, dans Parole de flic ou Pour la peau d’un flic, film qu’il produira, comme une trentaine d’autres.
La rubrique des faits divers, celui qui ne cachera jamais ses attaches à droite la côtoiera également dans le civil. À la fin des années 1960, alors qu’il est au faîte de sa gloire, il sera ainsi entendu dans le cadre de la médiatique affaire Markovic, du nom de son ancien homme à tout faire yougoslave, retrouvé assassiné. La procédure, dans laquelle un ami d’Alain Delon, François Marcantoni, était le principal suspect, avait débouché sur un non-lieu pour preuves insuffisantes. Elle aura néanmoins perturbé le tournage du Clan des Siciliens, dans lequel il partage l’affiche Jean Gabin et Lino Ventura. Rien que ça.
Puis, au tournant des années 2023 et 2024, il sera l’objet d’une brouille entre ses enfants, Anouckha, Alain-Fabien et Anthony, sur fond d’héritage et de présence d’une « dame de compagnie », Hiromi Rollin. La découverte, quelques semaines plus tard, des dizaines d’armes que possède l’acteur dans sa résidence de Douchy (Loiret), finira d’alimenter une chronique qui aura quelque peu terni l’image de l’acteur.
Mais, entre-temps, Alain Delon aura peaufiné son autre facette, celle du séducteur à la gueule d’ange. Celle-ci crève l’écran dès 1960, dans Plein Soleil de René Clément et dans Rocco et ses frères, où Delon donne la réplique à Claudia Cardinale, sous les ordres de l’un de ses mentors, Luchino Visconti.
Ce séducteur patenté, les spectateurs le retrouveront régulièrement par la suite. Dans Le Guépard (1963), film-fleuve issu de l’œuvre de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, par exemple. Mais aussi, et peut-être surtout, dans La Piscine (1970), film sensuel dans lequel Delon donne la réplique à Romy Schneider, son ex-compagne.
Plus que ceux qu’il forma avec Nathalie Delon, Mireille Darc ou, un temps, avec Dalida, le couple mythique qu’Alain Delon forma avec l’interprète de Sissi, contribuera à le faire entrer dans la légende du cinéma français, celle à laquelle, diront ses détracteurs, il était si conscient d’appartenir. Difficile toutefois, en regardant dans le rétroviseur, de le contredire sur ce point.
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L'AU de Gravity Falls (Fraternité Falls ?) avec Ford et Stan en vieux militants de gauche français, ça va me faire ma semaine.
D'un côté, t'as Ford qui était militant au PCF dans les années 70, ancien soixante-huitard (il a tellement fait ses études à Nanterre), limite trotskiste, le gars expert en théorie marxiste, tu débats avec lui et il te sort 45 textes de Marx ou Benjamin qui te contredisent, l'intello de gauche avec ses pulls troués et ses millions de feuilles volantes, mais qui, contrairement à tous ses camarades, ne fait pas de la socio mais de la physique ! Étonnamment, il a cru au programme commun en 81, il a voté pour Mitterrand, et paf en 82, Stan le pousse dans le portail. Il revient en 2012, sous la présidence de Hollande "ah mais le PCF est encore là?" "C'est mort" "c'est à cause du PS, ces sales social-traitres !", il apprend a posteriori la trahison de Mitterand et le tournant de la rigueur "on peut vraiment pas faire confiance à un socialiste", il fume des clopes en rageant devant le Mystery Shack à chaque intervention télévisée de Hollande et il cotise toujours au PCF, malgré tout.
De l'autre, t'as Stan, peu politisé dans son adolescence, et qui passe à côté de mai 68 parce qu'à la rue à ce moment là, qui vit de débrouille, de galère, qui ne vote pas, ne s'intéresse pas à tout ça pendant longtemps parce que bah, ce qu'il veut c'est survivre jusqu'au lendemain et c'est tout. Et puis, il pousse par accident Ford dans un portail, et le voilà bien malgré lui installé à Gravity Falls. Et maintenant que la survie n'est plus un enjeu, sa conscience politique s'éveille et elle est évidemment marquée par ses années de galère. Ces hommes politiques qui parlent d"assistanat", qu'est-ce qu'ils connaissent à la misère ? Stan est pas très cultivé politiquement et il a pas le temps pour ça, il a un portail à réparer et un frère à sauver, mais les mecs en cravate qui parlent sans rien connaître, ça l'enrage. Et ils ont le culot de dire que c'est à cause de l'immigration qu'il y a du chômage en France ! Stan vote LO, NPA, il vote pour des gens du peuple sans jamais adhérer à un parti (mais il a quand même failli être sur une liste électorale locale !) et il emmerde les fachos, par principe, sans vraiment trop creuser derrière. Il entarte des politicards, il fait des manifs sauvages et il tabasse des fachos dès qu'il peut. Au Mystery Shack, à certaines heures, on peut entendre les Béruriers Noirs gueuler "LA JEUNESSE EMMERDE LE FRONT NATIONAL" et Stan corrige "la VIEILLESSE emmerde le front national".
En 2012, Ford revient, Stan et lui se disputent etc, y a l'apocalypse, ils se réconcilient. Ils discutent de tout, de rien, mais pas de politique, parce qu'il y a tellement plus important à ce moment là.
Et puis un soir, alors qu'ils regardent la télé, on annonce au 20h que Hollande va faire une intervention ce soir. Les deux frères sifflent entre leurs dents, sans se concerter :
"Sale traître"
Regards surpris l'un sur l'autre, puis sourires : évidemment. Évidemment.
Stan fume des roulées avec Ford devant le Mystery Shack. Il râle en disant que les hommes politiques ne comprennent pas le peuple, Ford l'accuse en souriant d'être populiste, Stan rétorque que Ford est un "sale coco de merde". Ils rigolent. La vie est belle.
#Fraternité falls#c'est son nom pour moi#gravity falls#j'aime beaucoup l'idée qu'ils soient tous les deux devenus de gauche (même d'extrême-gauche) mais sans se concerter#ford est peut-être inspiré de membres de ma famille dont mon grand-père qui est un ex soixante-huitard#oui je sais que j'ai dit que ford était un militant ps mais en vrai c'est plus marrant s'il est encore au pcf#pour ford imaginez le sketch des inconnus sur le vieux militant communiste#french politics
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"Les races ne se font pas toutes seules, ne se défendent pas toutes seules ; elles sont au fond de chaque homme en instance, en "devenir" au fond de chaque espèce. C'est tout. Elles exigent pour durer, pour subsister, un effort permanent, stoïque, de chaque être vivant, pour vaincre la disparition et la mort. Elles sont en "devenir", toujours en péril, toujours menacées. Les Aryens ont encore, peut-être, quelques possibilités de "s'accomplir" en purifiant leur race, de se dénégrifier, de se déjudaïser, il n'est que temps ! s'ils sont trop lâches, trop vils, trop fainéants, s'ils se laissent trop nombreusement enculer par les négrites, les asiates, par les juifs ils disparaîtront, ignoblement. D’autres races viendront, jaunes sans doute, qui les balayeront, qui les rejetteront à la mer. France, Empire du Soleil Couchant. Les Français négroïdes ne s'en iront pas sans douleurs. Ils crèveront par servitudes, par guerres, révolutions, par tueries mutuelles, endémiques, rituelles, hébétées, tournées à l'état d'infernales, irrésistibles manies."
Louis-Ferdinand Céline, L’école des cadavres, 1938.
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MA FRANCE ET MOI
"C’est celle de 1789, une FRANCE qui se lève, celle qui conteste, qui refuse !
La FRANCE qui proteste qui veut savoir, c’est la FRANCE joyeuse, curieuse et érudite, la FRANCE de Molière qui tant se battit contre l’hypocrisie, celle de La Fontaine celle de Stendhal, de Balzac, celle de Jaurès, celle de Victor Hugo et de Jules Vallès !
La FRANCE de l’invention, des chercheurs, celle de Pasteur, celle de Denis Papin et de Pierre et Marie Curie !
La FRANCE des Lettres, celle de Chateaubriand, de Montaigne, la FRANCE de la Poésie, celle de Musset, d’Eluard, de Baudelaire, de Verlaine et celle d’ Aimé Césaire !
La FRANCE qui combat tous les totalitarismes, tous les racismes, tous les intégrismes, l’obscurantisme et tout manichéisme !
La FRANCE qui aime les Mots, les Mots doux, les Mots d’Amour, et aussi la Liberté de dire des gros Mots !
La FRANCE qui n’en finira jamais de détester le mot "SOUMISSION" et de choyer le Mot RÉVOLTE !
Oui ma FRANCE à moi c’est celle des Poètes, des Musiciens, celle d’Armstrong, celle de l’Accordéon, celle des Chansons douces, des Chansons graves, des Espiègles, des Humoristiques, des Moqueuses ou celle truffée de Mots qui font rêver d’un Amour que l’on n’osera jamais déclarer à celle qu’on aime.
Ma FRANCE à moi c’est celle de Picasso, de Cézanne et celle de Soulages, celle d’Ingres, celle de Rodin !
La FRANCE des Calembours, des "Bidochons", celle de la Paillardise aussi bien que celle du "Chant des Partisans".
Ma FRANCE c’est celle de Daumier, celle de l’ "Assiette au beurre", du "Sapeur Camembert", celle de Chaval, celle de Cabu, de Gottlieb, de Siné, celle du "Canard", de "Fluide Glacial" et de "Charlie", drôles, insolents, LIBRES !
Ma FRANCE, c’est aussi celle des dictées de Pivot celle de Klarsfeld et celle de Léopold Sedar Senghor, la FRANCE des "Enfants du Paradis" et des "Enfants du Veld ’hiv", celle de la Mode libre, celle de la Danse, des flirts et des Câlins, celle de la Musique douce et des Rocks déjantés, celle de la Gourmandise !
Ma France à moi c’est une FRANCE capable de renvoyer dos à dos la Bible et le Coran s’il lui prend l’envie d’être Athée !
Eh oui ! Ma FRANCE est une FRANCE LIBRE, FRATERNELLE et éternellement INSOUMISE aux dictats de la "bien-pensance" !
Il n’est qu’en respectant toutes ces diversités qu’on arrive un jour à vivre la "DOUCE FRANCE" de Trenet.
Celle qui m’a toujours plu et que notre jeunesse lucide et combative fera perdurer par-delà les obscurantismes.
Figure révolutionnaire, emblématique, durant "La Commune", le "Père Duchêne" écrivait au frontispice du Journal qu’il publiait en 1793 ,
"LA RÉPUBLIQUE OU LA MORT !"
Son journal coûtait 1 sou… mais on en avait pour son argent !"
Pierre Perret
C'était aussi ma FRANCE...
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