#puis 9h pour le retour
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aaaah. Revoir sa famille. Une malédiction déguisée en bénédiction.
#je dois remonter pour une journée#UNE JOURNEE#et traverser toute la france#dépenser plus d'argent que ce que j'ai sur mon compte mdr#faire 9h de voiture#puis 9h pour le retour#pour la mort de ma grand-mère#et mon père qui trouve encore le moyen de critiquer et de me mettre la pression#et je SAIS qu'il va me forcer à parler avec mon frère alors que j'ai coupé les ponts avec lui depuis presque 2 ans#j'ai hâte de rentrer alors qu'on est pas encore parti :)))#jeracontemavie
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saga: Soumission & Domination 301
Max et Marc, Louis et moi bien sûr !
Comme Max insiste et pour récompenser ses efforts de pratique de la langue française, je l'autorise à draguer mon Marc.
Il rejoint le blockhaus un vendredi soir après ses cours (avec autorisation parentale d'y passer le WE). En attendant l'arrivée de Marc (retour d'Asie en milieu de soirée), il s'entraine (sportivement) avec les quelques qui se préparent à aller travailler pour moi. En l'occurrence, ce soir là, Morgan et Simon soulèvent des poids pour préparer leurs muscles. Viktor et Nikolaï, eux, alignent les longueurs dans le bassin de la serre. Avant leurs départs, ils sont rejoints par Clem qui vient pour ma rééducation. Ce dernier est collé de Benoît (rappel ils sont en couple) et de Louis qui vient, lui, pour me parler.
Louis est un peu embêté car je ne suis pas disponible de suite. Je lui dis alors de nous accompagner Clem et moi puisque je dois me faire masser. Il hésite puis nous suit alors que nous descendons d'un étage pour rejoindre au premier une des chambres, transformée en salle de kiné.
Clem m'aide à me hisser sur la table et me met nu avant d'officier sur mon corps. Assis à ma tête Louis peine à commencer.
Je lui dis d'y aller, je l'assure que Clem ne répétera rien. Ce denier confirme.
Louis se lance enfin. Il voulait savoir comment était le grand père de Franck. Ce dernier (son mec, pour rappel) l'avait prévenu la veille qu'il viendrait le chercher pour passer le WE chez son grand père. Ça le paniquait un maximum et il sentait qu'il allait faire ou dire des conneries qui mettrait Franck en porte à faux.
Je lui demande s'il en savait un peu plus que ça sur le WE. Il me répond que non, juste qu'il devait être prêt pour 9h le lendemain matin avec chaussures et blouson pour monter sur la moto de Franck plus un petit sac avec quelques affaires de rechange. Sa voix s'étrangle sur le dernier mot.
Couché sur le dos avec Clem sur moi pour me masser, je lui réponds de ne pas s'en faire. Je connais bien le bonhomme en question et l'assure du coté bienveillant avec lequel il traite son petit fils préféré, Franck. Louis me dit que ça le fait encore plus paniquer et qu'il est sûr que le grand père espère pour son petit fils un garçon surement plus brillant que lui et venant d'une meilleure famille. Sur ces points là, je le rassure. Je sais que malgré sa fortune, le grand père de Franck n'est pas de ceux qui ne jurent que par la naissance des gens ou même leur fortune. J'ajoute que sinon, nous ne nous serions jamais parlés ! En quelques phrases, je résume notre rencontre à La Baule et comment il avait apprécié mes compétences à éviter que Franck ne devienne un homo contrarié. Clem, qui entend lui aussi ce récit pour la première fois, est mort de rire devant mon aplomb. Il n'est pas étonné et me dit que cela fait longtemps qu'il m'a classé parmi les mecs que rien n'effraie et qui savent s'assumer sans faire cas de l'opinion des autres.
J'ajoute à l'intention de Louis que le grand père m'avait déjà demandé des infos sur lui quand il était passé me voir et je lui raconte notre diner. Louis est plus étonné par le comportement de Franck envers lui que par le fait que le grand père ait vu passer quelques uns de ses plans dragues.
A mon étonnement, il me dit qu'avec Franck, ils ne se sont pas juré une fidélité sexuelle mais sentimentale. J'aime bien le concept ! Clem nous dit que c'est le cas de tous les couples qui se sont formés dans ma petite équipe. Je n'y avais pas réfléchi mais c'est évident ! Ils se sont trouvés mais continuent à baiser pour ma boite comme avant !!
Avant que Louis ne parte, je lui dis qu'il doit surtout rester comme il est. Quand on force sa nature, on montre une façade louche qui est plus inquiétante que n'importe lequel des milieux auxquels on appartient. J'ajoute que je suis sûr que le WE se passera bien et qu'il rira de ses peurs le dimanche en rentrant à l'appart.
Quand nous sommes plus que tous les deux, Clem achève son massage. Avant de me retourner sur le ventre, il me claque un bisou sur les lèvres. Assis légèrement sur mes fesses pour me masser le dos, il recommence et place son bisou dans mon cou.
La tête enfouie dans la table, je lui demande ce qui me vaut ça.
Réponse de l'intéressé : t'es trop gentil et nous sommes tous des ingrats. Grace à toi nous sommes plusieurs à nous être trouvés, coté " orientation sexuelle " et/ou petits copains et je suis sûr que pas un de nous t'a remercié !
Je lui dis que je n'ai pas fait ça pour ça et que s'il s'avisait de comploter avec les autres pour m'octroyer une médaille, ils en seraient pour leurs frais. Je lui rappelais que ce n'était quand même pas sans bénéfice pour moi et que leurs prestations faisaient tourner le blockhaus, la flotte de véhicules (motos comprises) en plus de générer à tous des revenus substantiels.
Il me dit que cela n'empêchait pas qu'ils étaient tous heureux de ce qui leur arrivait.
Quand nous remontons, nous ne trouvons plus que Max et Benoît qui l'attendait avant d'aller à son rendez vous. Ils se roulent une pelle (Celm et Benoît) à croire que cela faisait 15 jours qu'ils ne s'étaient vus. Ils en ressortent tous les deux bandants ferme. Très pro, Benoît s'écarte et replaçant sa bite pour que le phénomène soit plus confortable dans son jeans. Il lui dit qu'il devrait être de retour vers 2h du matin, le client faisant partie des quelques plans " pépères " qui reposent (parmi tous mes autres clients).
Quand ils nous quittent, PH arrive. Je profite de leur présence à tous les deux pour leur demander de m'aider à me doucher avec eux. Max en a besoin après le sport et je sais que PH aime se laver en rentrant de la fac. Quand à moi, j'aimerai retirer l'excès de gel de massage qui colle à ma peau le peu de vêtement que je porte.
Nous passons un bon moment. Ils m'aident à rester debout sur ma jambe et demi pendant que l'eau coule sur nos corps puis à m'essuyer partout.
Comme nous avons décidé d'attendre Marc pour diner, Ammed nous sert un apéritif. Max à beau dire, il stresse avec les minutes qui passent et qui le rapprochent de son challenge. Nous limitons son alcoolémie à un fond de martini. Pour le détendre, je me moque gentiment de l'assurance qu'il affichait en fin d'après midi et qui avait fondu comme neige au soleil. PH qui voit que ça ne marche pas, le prend dans ses bras et lui raconte sa première rencontre avec Marc. Il lui raconte comment lui aussi attendait avec appréhension la première rencontre avec mon homme et comment il avait faillit s'enfuir en entendant la porte d'entrée s'ouvrir sur son passage et ses pas dans l'escalier qui menait au sous sol de la maison. Il continu sur le plaisir qu'il avait eu de voir que c'était un bel homme très bien foutu et même très bandant. Même s'il avait été, à l'époque, très autoritaire, il était sûr que maintenant Marc serait plus cool.
Là je mets un bémol, mon Marc revient d'Asie où les jeunes mecs donnent plus dans le docile que dans la grosse brute dominatrice. Depuis 3 semaines il se paye leurs bouches et leurs culs. Comme Max n'a pas voulu attendre que Marc se ré-acclimate, il devra assumer et obéir ! Je n'avais pas tord !
Quand Marc arrive, il nous trouve dans les grands canapés du salon et repère immédiatement Max en petite tenue (habitude de la maison, ce dernier n'a mis sur ses petites fesses qu'un boxer Calvin Klein blanc immaculé). Il accepte une accolade avec roulage de pelle de PH venu l'attendre devant le monte charge. Puis il s'approche de moi, encore coincé par ma jambe raide sur le canapé, se penche et me roule un patin mortel. Quand il se détache de moi, j'ai une gaule pas possible ! Ses lèvres, sa langue et ses mains venues encadrer mon visage, c'est trop ! C'est mon homme et je l'adore. Il se redresse et regardant Max, me demande si c'est le " Soir ". Max est rouge comme une pucelle. Il baisse le nez, n'osant pas regarder Marc. Je le pousse et lui dis de se lever. Il se redresse et se plante devant Marc. Ce dernier le fait tourner devant lui, admirant le corps bien musclé de Max. D'un doigt posé sous le menton, il relève la tête de Max et lui demande s'il a bien devant lui le petit mec qui voulait se faire un vieux. Baffouillements de l'intéressé qui lui jure qu'il n'a jamais parlé de lui en ces termes (les cours de français oral portent leurs fruits !).
Marc éclate alors de rire. Il le prend par les épaules et lui roule une pelle qui laisse notre petit ami littéralement sur le cul.
Le laissant pantelant, il demande à Samir de servir le diner. Comme je lui fais remarquer que d'habitude il se serait jeté sur le petit cul de Max, il me répond que venant de se faire un des stewards juste avant l'atterrissage, il pouvait attendre un peu avant d'étrenner mon dernier jouet. Max, à nous entendre parler de lui comme cela, se fait à l'idée que nous avons sur les relations sexuelles " extraconjugales " (hors de notre quintet : Marc, Hervé, PH, Ernesto et moi).
Il entre dans le jeu sachant que là ce n'est pas lui qui mène la danse. Durant le repas je vois qu'il fait attention aux quantités qu'il avale. Je me doute que c'est pour ne pas avoir de problème plus tard, pendant la baise.
Le diner est vite expédié et nous descendons d'un étage pour retrouver notre chambre-suite. Max qui n'y était encore jamais venu est étonné de la dimension du lit. Marc le propulse dessus et lui dit que c'est nécessaire afin de pouvoir y dormir à plusieurs avec avoir baisé.
Il nous quitte pour aller se doucher. Comme Max reste avec nous, je lui dis qu'il serait judicieux qu'il rejoigne mon mec sous l'eau. Avec PH nous nous installons sur le lit et nous matons les silhouettes au travers de la cloison de verre partiellement dépoli (en fait, très peu de la surface total).
Nous pouvons voir Max retirer son boxer avant de se glisser sous l'eau de la douche au coté de Marc. Il a vraiment un joli corps ce petit con. Je pense que c'est aussi ce que pense Marc vu la turgescence de ses 22cm de queue.
Cela semble décomplexer Max. Sans un mot, il s'agenouille devant mon mec et entame une pipe. Son enthousiasme débordant et brouillon le font s'étrangler deux/ trois fois avant qu'il trouve le bon rythme : pompage/respiration. Faut dire, à sa décharge (ha ha), qu'il avait essayé direct de s'enfiler les 22cm de bite entiers ! Même si 2cm ne représentent que 10% de plus, quand c'est sur une queue qui vous pénètre dans la gorge, ce n'est plus la même chose !
Marc sort de la douche en entrainant Max et ils reviennent directs sur le lit, à peine séchés. Quand Marc retourne Max et l'encule direct (avec kpote quand même), Ph soulage ma " tension " par un pipe bien faite. Max a soufflé un grand coup lors de la première pénétration. Je lui glisse le flacon de poppers sous le nez pour une prise dans chaque narine mais pas plus. Faudrait pas lui griller ses jeunes neurones !! En attendant cela a eu l'effet escompté et il prend beaucoup plus facilement la bite de Marc dans son joli petit cul avide. Alors que Marc encule Max en levrette, PH s'enfile mes 20cm en faisant attention de ne pas peser sur ma jambe en convalescence.
Je pivote pour mettre ma tête sous celle de Max et voir sur son visage la monté de son plaisir. Il est concentré ! Les yeux fermés, les lèvres entrouvertes, il savoure le limage de sa rondelle. Bientôt ce sont de petit cris de plaisir qui sortent de sa bouche. Je me redresse et presse mes lèvres sur les siennes. Il est surpris, ouvre les yeux, me voit et, volontairement alors, baisse la tête et vient se recoller à moi. Nos langues se cherchent, se trouvent et bataillent ensemble malgré les à-coups envoyés par Marc. Quand le plaisir devient trop intense, il s'écarte et je le vois haleter. De mon coté, PH est dans le même état à me chevaucher.
Comme je ne suis plus (temporairement) aussi résistant qu'avant, j'explose dans PH qui n'hésite pas à juter sur mon ventre. Il décule en serrant les fesses et rejoint mes bras pour regarder Marc baiser Max.
Marc change plusieurs fois de position (avec Max). Sans essayer tout le kamasoutra, ils en testent bien une bonne demi-douzaine puis reviennent à la bonne levrette pour s'achever. Pour une première ils font forts et explosent en même temps ! Alors que dans un dernier coup de rein, Marc envoyait la sauce dans son préservatif, Max à juste le temps de recueillir la sienne (de sauce) dans ses mains.
N'ayant pas de quoi s'essuyer les mains, il sort sa petite langue rose et ingurgite sa propre production. Il nous fait rire avec un " c'est pas mauvais ".
Pendant tous le reste du WE, Max aura à coeur de satisfaire Marc. Il se plie à ses différents désire et apprend par là même de nouvelles positions et usages de son corps !
Aidé de PH, Marc l'initie aux prises " multiples ". J'arrive même à participer quelques instants mais les positions demande trop de tensions et ma jambe (plutôt une douleur dans cette dernière) me fait débander une ou deux fois avant que je ne jette l'éponge.
En conclusion de ce WE spécial, Max nous dira qu'il à vraiment apprécié de baiser avec Marc et qu'en plus d'avoir appris plein de choses, il ne verrait plus d'un même oeil les hommes plus mûrs.
Jardinier
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1️⃣
Aujourd’hui, dimanche 29/09/24, 5e Journée internationale de sensibilisation aux pertes et gaspillages de nourriture 🇺🇳 et Journée mondiale du cœur 🫀
2️⃣
Les Virades de l'Espoir aujourd’hui : cet évènement annécien est rythmé par deux temps forts : à 11h, un relai des familles (venez courir entre amis ou en famille par équipe) et à 15h, une course autour du Pâquier ouverte à tous et à toutes (venez déguisé pour pimenter le tout) 🙏
Et toute la journée sur le Pâquier, un village avec de nombreuses animations : ateliers créatifs, clowns, structures gonflables et des ateliers du souffle proposés par une équipe d’apnéistes. Sans oublier la paëlla géante pour se restaurer 👌
Et vu que la pluie a “plombé” le premier jour hier : la forêt est à l’honneur pour la 6e édition de la Fête du bois et de la forêt, portée par le Grand Annecy et l’association J’aime la forêt de Haute-Savoie qui rassemble les principaux acteurs de la forêt privée et publique 🌳
Fête du bois et de la forêt : animations, conférences,démonstrations, course d’orientation, jeux, parcours pédagogique, etc. durant tout le week-end. Totalement gratuit (à part l’éveil culinaire avec Jean Sulpice mais ça doit déjà être complet) 🪵
Et puis des navettes directes et gratuites sont proposées toutes les heures au départ de la gare routière d’Annecy entre 9h et 15h et un retour est programmé toutes les heures entre 10h et 18h au départ de la station du Semnoz 🚌
Dernier jour du High Five Festival qui se tient place François de Menthon. Pendant trois jours, les sports de montagne sont célébrés à travers des projections de films en avant-première, des concerts, des compétitions, des conférences et des animations 🏂
3️⃣
🧺 Trois marchés le dimanche matin à Annecy ➡️ Marché de la vieille ville 📍 Rue Sainte Claire ➡️ Marché des Teppes 📍 Place des Rhododendrons ⌚️ 7h-13h tous les deux ➡️ Marché du quartier du Vallon 📍 Place Jean Moulin ⌚️ 8h-12h 🍴
👟 Triathlon de Menthon ➡️ Le défi ? Format Superleague Triple XS : seul ou en équipe trois triathlons XS à la suite, chaque triathlon comprenant 350 m de nage, 10,2 km de vélo, et 2 km de course à pied (une expérience sportive inspirée par la Super League Triathlon) ℹ️ Podium et remise des prix à 15h 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️7h30-15h 📍 Plage municipale, Menthon-Saint-Bernard, Grand Annecy 🏊🚴🏃
🪦 Installation : Cavités habitées de Sarah Battaglia ➡️ Explorez la biodiversité visible et invisible au sein de cet espace refuge qu’est le cimetière. Cette proposition artistique multi-matériaux offre un espace évolutif d’observation et d'expérimentation autour de la symphonie du vivant ℹ️ Avant-dernière semaine (jusqu’au sam. 05/10/24) 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 7h30-20h 📍 Cimetière des Glaisins (rue de la Frasse) 👍
👀 Farfouille d'automne ➡️ Le vide-grenier automnal de Veyrier-du-Lac ℹ️ Parking gratuit, vous pouvez vous restaurer aux Crêpes des Brunes ou au restaurant Le Pêcheur 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 8h-17h 📍 Veyrier-du-Lac (quai du Général Doyen, port, Grand Annecy) 🗿
⛵ Régate voile : Solitaire d'automne ➡️ Compétition sportive : course pour des skippers seul à bord de leur croiseur ou de leur quillard ℹ️ 3e Solitaire et dernière de la SRVA cette année 🎫 0€ 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️9h-17h 📍 Club de voile (31 rue des Marquisats) 🌅
🏄 Paddle rose ➡️ Mobilisation pour la lutte contre le cancer du sein ℹ️ Inscription à 10h, Briefing joyeux à 10h45, départ sur l’eau à 11h (boucle de 3,5 km) et retour pour un pique-nique canadien à 12h15 🎫 10€ 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️10h 📍 Plage des Marquisats (58 rue des Marquisats) 🙏
🥰 Virades de l'Espoir ➡️ Journée nationale de loisirs, de mobilisation, de collecte et de solidarité ayant pour objectif de permettre à tous et à toutes de lutter contre la mucoviscidose 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️10h-18h 📍 Pâquier 🙏
☕ Coup de cœur annécien : un lieu d’accueil et d’échange ouvert quatre fois par semaine et géré par des bénévoles ℹ️ Boissons sans alcool, livres, jeux 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 10h-12h30 📍 Café du curé (6 quai de l’Évêché, vieille ville) ❤️
🥳 49e Fête d'automne et des associations ➡️ Près de 50 associations sont présentes : des animations gratuites (poneys, magicien, ateliers enfants avec tonton carton, tournage de poterie, manège, gratiféria ℹ️ Jusqu’au dim. 29/09/24 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 10h-18h 📍 Place Chorus 🥰
🥳 6e Fête du Bois et de la Forêt ➡️ Objectif : informer et sensibiliser le grand public sur les enjeux liés à une gestion forestière durable et multifonctionnelle ℹ️ Jusqu’au dim. 29/09/24 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 10h-18h 📍 Station du Semnoz, Grand Annecy 🌲
👀 Dernier jour❗️Salon habitat, jardin et décoration ➡️ 150 professionnels de la construction, de la rénovation et du jardin ℹ️ Jusqu’au dim. 29/09/24 🎫 5€ & 0€ (mineur·es) 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 10h-19h 📍 Arcadium (32 boulevard du Fier) 🛋️
🥳 Fête de la pomme ➡️ Au programme : tartiflette géante, boudin, beignets de pommes, pains et tartes cuits à l’ancienne, bidoyon, jeux insolites et vélos rigolos 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 11h-17h30 📍 Argonay (salle Polyvalente, 535 route du Parmelan, Grand Annecy) 🍎
🖼️ Troisième jour❗️ExpO : Au fil de la nature - Émotions et créations ➡️ Découvrez l'univers captivant de Hayat Chebah, où la nature prend vie à travers des sculptures et œuvres plastiques uniques en matériaux recyclés ℹ️ Du 27/09 au ven. 18/10/24 🎫 Entrée libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 13h-18h 📍 Forum Exposition Bonlieu 👨🎨
🧒 ExpO : Illusions, quand notre cerveau nous joue des tours ➡️ Plus d’une trentaine de dispositifs interactifs ℹ️ L’enfant doit être accompagné d'un adulte (inscrit lui aussi) 🎫 5€, 3€ & 0€ (- de 12 ans) 🎟️ Réservation en ligne 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 14h-16h & 16h-18h 📍 La Turbine sciences (Place Chorus) 🧠
📚 Grande braderie de La Turbine ➡️ Déballage : tous les documents à 1€ pièce (livres et CD retirés des collections), pour tous les goûts et tous les âges ℹ️ Jusqu’au dim. 29/09/24 🎫 Entrée libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 14h-18h 📍 Médiathèque la Turbine (place Chorus) 🛒
🖼️ ExpO : Imagined Landscapes de Yang Yongliang ➡️ Artiste shanghaïen inspiré par la peinture traditionnelle chinoise le Shanshui ℹ️ Jusqu’au dim. 15/12/24 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 14h-19h 📍 L’Abbaye (15 bis chemin de l'Abbaye) 👨🎨
🧒 Ateliers scientifiques : menés par les médiateurs du lieu, ils font appel à la manipulation, à la démarche scientifique et à l’apprentissage par la pratique ℹ️ Spécial adolescent·es 🎫 5€ & 3€ 🎟️ Réservation en ligne 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 14h15-15h45 📍 La Turbine sciences (Place Chorus) 🥼
🗣 Visite commentée❗️ExpO : Imagined Landscapes de Yang Yongliang ➡️ Visite commentée, gratuite et sans réservation, de l'exposition par une médiatrice d'Imagespassages ℹ️ Jusqu’au dim. 15/12/24 🎫 0€ 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 15h 📍 L’Abbaye (15 bis chemin de l'Abbaye) 😍
🎶 Ciné-concert qui nous ramène aux débuts du cinéma, où la musique jouait un rôle essentiel dans la création d'ambiances et d'émotions ➡️ Avec le pianiste, Pascal Wintz et la conteuse Pascale Porcherot ℹ️ Dans le cadre du festival des Empreintes Sonores ⏱️ 1h 🎫 7€ & 5€ (jeunes) 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 16h 📍 La Turbine Cinéma (Place Chorus) 🎥
👨👩👧👦 Rendez-vous des familles : un monument à portée de mains ⏱️ 1h 🎫 3 €, 2 € & 0 € (- de 8 ans) 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 16h 📍 Plateau des Glières (Accueil Mémoire du maquis, Thorens-Glières, Fillière, Grand Annecy) ⛰️
👨👩👧👦 Rendez-vous des familles : La vie quotidienne des Français·es dans les années 40 (jeu de plateau) ℹ️ En cas de vigilance météorologique orange (pluie, orage, vent), la visite est annulée 🎫 3 €, 2 € & 0 € (- de 8 ans) 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 16h 📍 Site de Morette, Route de Thônes, La Balme-de-Thuy 🎲
🎭 Théâtre: La porte à côté ➡️ Une comédie drôle et piquante qui donne envie de tomber amoureux de son voisin... ou pas 🎫 18€, 16€ (+65 ans) & 12€ (enfants jusqu'à 12 ans) 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 17h 📍 Théâtre Les Têtes de l'Art (36 avenue de Chambéry) 🤣
🎭 Comédie musicale : Grease is the word ➡️ Les amours tourmentés de Danny Zuko, chef du gang des T-Birds et de Sandy, son amour d’été ℹ️ C’est coloré, joyeux, pétillant… et un brin décalé, sortez vos robes à volants et vos blousons en cuir 🎫 20€ & 13€ (-12 ans) 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 19h30 📍 Salle Pierre Lamy (12 rue de la République) 🎶
🎼 Concert chorale ➡️ Organa : Chœur des Rives du Lac de Saint-Jorioz & Ensemble Vocal Ugine-Albertville (œuvres de Liszt, Gounod, Saint-Saëns, Franck et Gontran Dessagnes) 🎫 10 € & 0 € (-15 ans) 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 20h30 📍 Temple protestant (14 rue de la Poste) 🧑🎤
4️⃣
Qualité de l’air à Annecy : si les averses se font plus rares que les jours précédents, le ciel demeure voilé et les températures fraîches 🌡 Les concentrations d’ozone devraient peu évoluer et l’indice ATMO attendu reste moyen dans toute la région 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est faible (niveau 1) ➡️ Ambroisies, graminées : niveau 1 ; saule, cupressacées, armoise, autre : niveau 0 ➡️ Indice communal valable du 28/09 au vendredi 04/10/2024 inclus 🤧 Personnes allergiques : aérez le matin tôt ou tard le soir car les pollens sont moins présents 😷
5️⃣
Whaou, il existe au moins deux dictons pour la saint Gabriel : « La saint Gabriel apporte de bonnes nouvelles. » et « S'il gèle à la saint Gabriel, l'hiver part pour un long rappel. » 👍
Pour celles et ceux qui aiment les anges : « À la saint Michel, regarde le ciel. Si l’ange se baigne l’aile, il pleut jusqu’à Noël. » et plus subtil « À la saint Michel regarde le ciel, s’il se baigne l’aile, il pleut jusqu’à Noël. » 👼
Pour celles et ceux qui aiment le ciel : « À la saint Michel, la chaleur remonte au ciel. », « À la saint Michel, la graine de lin s'en retourne au ciel. », « À la saint Michel, la neige est au ciel. » et « Pluie de la saint Michel, ne demeure pas au ciel. » ☁
Pour celles et ceux qui aiment le ciel bis : « À la saint Michel, le goûter monte au ciel. », « Il n'est plus après la saint Michel de goûter qu'au ciel. » et « À la saint Michel, le lait de vache monte au ciel ; en avril, il descend comme une rivière. » 🌈
Pour celles et ceux qui aiment les fruits : « À la saint Michel, cueille ton fruit tel quel. », « À la saint Michel, on cueille chaque fruit. » et « Ne manque jamais d’avoir cueilli tous tes fruits avant la saint Michel. » 🍏
Pour celles et ceux qui aiment les hirondelles : « À la saint Michel, départ d'hirondelles. », « Des hirondelles à la saint Michel, I'hiver s'en vient après Noël. » et « Quand l'hirondelle voit la saint Michel, l'hiver ne vient qu'à la Noël. » 🐦
Pour celles et ceux qui aiment semer, le jardinage et/ou l’agriculture : « À la saint Michel, jette le blé au ciel. », « À la saint Michel sème ton seigle. » et « Pour la saint Michel, pour semer il est assez tôt. » 🌱
Pour les parieurs et parieuses : « Entre saint Michel et saint François (04/10), prends ta vendange telle qu’elle est, à saint Denis (09/10), prends-la si elle y est encore. » 🎲
Pour celles et ceux qui ont horreur des paris : « Entre la saint Michel et la saint François (04/10), prends ta vendange telle qu'elle est. » ou « Entre la saint Michel et la saint François (04/10), prends ta vendange qu’elle qu’elle soit. » 😉
Pour les scientifiques : « Pour la saint Michel, la neige est au ciel. Pour la saint Luc (18/10), elle est au suc (éminences volcaniques). Pour la Toussaint (01/11), elle est en chemin. Pour la saint André (30/11), elle est sous le pied. » 🧐
6️⃣
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un excellent automne à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🍂
Bonne fête aux Michel et Gabriel (je ne sais pas du tout pourquoi mais parfois il y a deux prénoms le même jour dans le calendrier) et aux Jérôme 😘
Bon septième et dernier jour de la semaine à tous et à toutes 🪐
📷 JamesO PhotO à Annecy le 15/09/24 📸
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19 décembre :
Hélas la fin de mon séjour au Brésil arrive déjà. Avant de rentrer en Argentine je visite le barrage d'Itaipu situé sur le fleuve Paraná qui sépare le Brésil du Paraguay. Mais je devrais plutôt écrire "qui unit", puisqu'il s'agit d'un site "binacional" où l'on se situe à la fois au Brésil et au Paraguay en même temps. Cette centrale énergétique est tout autant une prouesse technique que diplomatique; chaque pays détenant 50% de l'énergie produite et toute l'administration étant divisée entre les deux pays (2 PDG). 2e plus gros barrage au monde après celui des trois gorges en Chine, les installations sont impressionnantes; j'ai même visité une turbine en fonctionnement dont on ne voyait "que" l'arbre qui reliait la turbine à l'alternateur (!!!). De retoure à Puerto Iguazu en Argentine j'enchaîne avec un bus de 4h jusqu'à San Ignacio. Arrivé en fin de soirée je me couche direct.
20 décembre:
Si je suis dans ce village c'est parce qu'il se situe dans la région où les Jésuites se sont implantés à partir du XVIe siècle. De véritable cités monastiques en autarcie exclusives aux guaranis se sont ainsi développées pendant à peu près 2 siècles avant que l'ordre ne se fasse expulser par les couronnes espagnol et portugaise. Puis les guerres entre les nouveaux pays formés de nouveau monde on finit d'achever ce qui restait des missions. Du coup il ne reste que des ruines qui sont aujourd'hui plus nettoyées que restaurées et classées patrimoine mondiale Unesco. BREF, j'ai visité celle de San Ignacio, j'étais tout seul, et ça m'a fait pensé un peu à Angkor Wat, des ruines dans la jungle qui sortent d'un temps perdu et mystiques. On a envie de se téléporter dans le temps et faire revivre cette société "communiste" (mais aussi esclavagiste, rien n'est parfait finalement avec cette doctrine). Puisque je suis dans la jungle autant profiter de cet enfers vert. Je loue donc un vélo (tout aussi pourri que la VW que j'avais loué) pour me rendre au parc Teyucuaré et admirer des points de vue sur le Paraná. Il fait trop chaud; 38° et 1000000% d'humidité. J'ai mon 1er accident de drone quand je le fais décoller direct sur un arbre... il se casse la gueule devant moi (une torture à regarder) mais j'arrive à le faire revoler malgré un bras disloqué que je n'arrive plus à replier. Il s'en sort... l'après midi je prends un bus de 1h pour Posada, la grande ville de la région.
21 décembre :
Je continue donc ma visite des missions Jésuites à partir de Posada, à la frontière Paraguayenne, que je franchi pour visiter Trinidad. Tout autant en ruine que San Ignacio, je prends autant de plaisir à m'y balader. Je passerai 4h à faire l'AR depuis Posadas pour 40min de visite mais j'ai mon tampon du Paraguay sur mon passeport, et ça, ça n'a pas de prix. Puis je refais le grand saut du retour vers Córdoba avec un bus de 18h. Mention spéciale à Yuri, un Paraguayen que j'aurai croisé 2 fois et qui m'expliquera comment il est poursuivi par les mafias, comment Dieu exterminera ses ennemis avec des éclairs, et comment il a le droit d'user de la forces d'ici là. Aucune idée comment je me suis retrouvé à papoter avec lui mais j'ai vite pris mes distance avec ce fou furieu.
22 décembre :
Arrivé à 9h à Córdoba que je connais déjà, je m'occupe comme je peux jusqu'à prendre mon bus de 23h30 pour Mendoza. Je fais entre autre un musée d'art moderne puis un musée d'art contemporain dont je ne comprends absolument rien. Vivement retrouver les Andes, ça fait 2 nuits de suite que je rêve (littéralement) de randonnée.
23 décembre :
Arrivé à 09h00 à la capitale viticole d'Amerique du sud, je découvre la ville surtout pendant mon trajet à pied de la gare routière à mon hostel. La ville a été détruite pendant un tremblement de terre et il n'y a pas vraiment d'attraction touristique. Par contre elle a été reconstruite avec de larges trottoirs sous de gros arbres abritant les piétons du soleil; c'est très agréable. Journée logistique : lessive, achat camping gaz, transfert vidéos sur le cloud, courses en prévisions de mes prochains bivouacs, apero (je respecte le région et ça sera du vin cette fois).
24 décembre :
Sans émotions de m'éloigner de la civilation en ces jours où les relations sociales sont de coutume, je pars m'isoler dans la montagne. Que Mendoza soit réputée pour son vin, c'est comme l'eau sur les plumes d'un canard, ca glisse (ballec), qu'elle soit située au pied de l'Aconcagua (6990m !!!), sommet des Amériques, le canard s'est pris un obus dans la gueule. Du coup, bus jusqu'au lieu dit "las cuevas" juste avant le tunnel qui mène au Chilie (officiellement je suis d'ailleurs ni en Argentine ni au Chilie, étant entre les 2 postes frontière). Puis, ENFIN, je randonne jusqu'à un lac gelé situé dans une vallée aux couleurs incroyables, ça ressemble un peu aux Alpes mais en plus austère, toujours ces touches rougeâtres qui doivent être du à l'immersion de cette chaîne de montagne gigantesque dans l'océan, et qui doit être à l'origine de tous ces matériaux donnant des couleurs originales. Je voulais camper au lac mais c'est assez exposé au vent et je ne n'avais pas prévu qu'il soit gelé, je risque de passer une sale nuit dans le froid (pourtant je ne suis "que" à 3700m). Je plante ma tente plus bas à 3500m, ce qui ne m'empêchera pas d'avoir un peu froid. J'ai une vue panoramique sur la vallée, je suis complètement seul, la "presque" pleine lune prend le relais au soleil donnant un spectacle de lumière.
Bilan: 10km, 600m d+
25 décembre :
Grosse journée au programme. Je reviens sur la ruta 7, qui relie Buenos Aires à Santiago, pendant le réveil du soleil. Puis je monte au Pico del Cristo Redentor, marquant la frontière avec le Chili. Belle vue mais pas aussi impressionnante que décrit par le routard. Puis stop jusqu'au sentier qui mène à la Laguna Horcones, dans le parc provincial Aconcagua, et que je dois donc payé (3eur). Belle vue sur l'Aconcagua. Parenthèse ouverte sur ce parc: ça aurait été un pure bonheur que d'essayer (restons humble) de monter au sommet de l'Aconcagua. Il n'est pas du tout technique (moins que le Huyana Potosi en Bolivie) et le "seul" challenge, c'est l'altitude. Sachant que j'ai fait un sommet à 6300m sans ressentir aucun effet d'altitude, j'avais très envie de tester mes limites. MAIS, s'y aventurer coûte 5000e, rien que le permis pour y accéder c'est 1000e. On est loin des 40eur que j'ai payé pour le Parinacota (6300m). Donc j'y fais l'impasse et je me ballade hors de ce parc. L'accès à la nature doit être un bien publique et je refuse de participer à sa commercialisation. Parenthèse fermée. Puis stop jusqu'à la puente del Inca ou je fait le début de la randonnée menant au Cerro Penitentes. La nuit je sors ma tête de la tente et je vois que toute la vallée est éclairée par la pleine lune. J'en suis émus tellement c'est merveilleux.
Bilan: 23km, 1100m d+
26 décembre :
C'est parti pour finir le (gros du) travail entamée la veille. Day pack et je grimpe 1400m d+, traverse 4 gués dechaussé, pour arrivé à 4400m d'altitude sur un plateau aux falaises verticales et qui domine mon bivouac. Le paysage me fait toujours penser aux Alpes, mais en tellement plus impressionnant... pour commencer j'ai une vue directe et dégagée sur le mythique Aconcagua, et tout autour sur 360°, plein de monts blanc (oui au pluriel), des vallées, un lac turquoise, des cours d'eau (c'est le debut de l'été et la montagne perd toute ses eaux). J'ai l'impression d'être au sommet du monde, noyé dans un univers qui, littéralement, me dépasse. Je redescends, reprend mon gros sac au bivouac, et reviens sur la ruta 7. L'autostop sera infructueux et je médite sur comment l'humain peut être naturellement bon lorsque le contact est direct, et naturellement un gros connard lorsqu'une barrière nous sépare; ici un pare-brise. Donc je marche jusqu'à un bled et attends 1h le bus qui m'amène au village d'Uspallata où je dormirai au camping.
Bilan: 22km, 1500m d+
27 décembre :
Ah j'oubliais: Feliz Navidad! Sans festivité, je prends le bus du retour pour Mendoza où je me repose jusqu'à l'heure de l'apero mais surtout du dîner. Mendoza étant réputé pour sa gastronomie je me fais un bon resto. Et bien les argentins n'ont obsolument rien à envier à nos vins, ils sont excellents et surtout très bon marché. Un (gros) verre ne coûte que 1,5eur. La viande est sans surprise dionisiaque, fondante dans la bouche, et le rhum Barceló Gran Anejo (République dominicaine) d'une douceur qui manque je trouve aux rhums Martiniquais (ma seul référence).
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Bonsoir à tous les parents ,
Ce matin, nous nous sommes réveillés à 9h pour le petit déjeuner.
Plus tard dans la matinée, on s'est préparé et on a fait les pique-niques .
Nous sommes partis à 11h30 à la piscine en car .
On a découvert la splendide piscine "Solara de koinigsfeld" .
Nous nous sommes installés Pour déjeuner sur l'herbe.
La piscine est constituée d'un toboggan, de plusieurs plongeoir, de plusieurs bassins.
Les animateurs nous ont proposé de faire des activités comme du Volley, chenille et plusieurs autres danses . Nous avons invité d'autres jeunes allemands à se joindre à nous sans succès...
Antonin à proposé aussi une activité aquagym.
On est reparti à 16h .
De retour au camp ,on a goûté.
Puis nous avons fait le jeu des sardines.
Ce soir ,nous mangeons "crêpe-party"
Puis à 21h il y a une veillée musicale.
Nous dormirons à minuit.
Biisssooooooooouuuusssss!!
Chloé,Juliette Maya,Loïs
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machu picchu, perou
2023/10/16
jour 1
le bus nous prend a 6h du mat', on passe une heure a recuperer d'autres touristes a travers la ville.
on traverse une magnifique vallee, on passe un petit col a plus de 4000m et on redescend.
ca fait deja 3h de trajet, mais le chauffeur s'engage sur une piste a flanc de falaise. pendant 2 autres heures on croise d'autres bus et des camions enormes (la piste est en renovation / elargissement peut-etre).
apres le dejeuner, 3h de marche le long de la voie ferree. on apercoit quelques ruines.
arrives a agua calliente, on va vite faire la queue pour recuperer notre numero d'attente pour le lendemain.
jour 2
a l'heure dite on fait la queue, on montre notre billet d'attente et on achete nos billets.
jour 3
on se leve a 4h30 pour etre devant la billetterie pour les bus a 5h et prendre le premier bus a 5h30.
6h on est devant l'entree du machu picchu pour l'ouverture!
7h on a fini notre circuit 4 et on commence l'ascencion du huayna picchu.
8h on est au sommet on fait notre photo.
9h on a fini la visite, 1h de descente, puis 3h le long du chemin de fer pour attraper le bus avant 14h.
pour les chauffeurs, ca fait 12 heures aller-retour sur des routes pas possibles dans la journee, avec juste une petite pause a midi!
ah oui, les gens organises prennent leur billet 1 mois a l'avance sur internet pour ne pas avoir a s'arreter a agua calliente...
et les gens riches prennent le train: 6h direct depuis cusco...
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Chers Frères et Sœurs,
Atteindre votre plein potentiel a travers l’humilité (Part 3 Final)
Dans un monde qui valorise souvent la promotion de soi et l’orgueil, Jésus nous appelle à l’humilité. Il nous enseigne que la vraie grandeur se trouve dans le service aux autres et dans la promotion de leurs besoins avant les nôtres. Lorsque nous nous humilions, nous nous ouvrons à la grâce de Dieu et à ses bénédictions.
L’humilité est également cruciale dans nos interactions avec les autres croyants. Rappelez-vous d’approcher les autres avec empathie, douceur et compréhension, en favorisant l’unité et l’harmonie dans le corps du Christ. L’apôtre Paul nous encourage « soyez toujours humbles, empreints de douceur et patients, supportez-vous les uns les autres avec amour. » (Ephésiens 4:2 BDS)
Ravalez votre fierté et commencez à marcher avec humilité. Que pourriez-vous faire pour mieux vous entendre avec les gens? De petits gestes de bonté en toute humilité peuvent faire une grande différence. Un jour, j’étais dans un supermarché avec ma femme à la caisse et nous étions très en retard pour mon prochain rendez-vous. Honnêtement, j’étais un peu nerveux puisque toutes les caissières étaient très occupées mais la nôtre était particulièrement lente. Il ne restait plus qu’une personne devant nous et la caissière a commencé à prendre le temps de lui parler… Le temps passait et je perdais un peu mon sang-froid en étant pas très poli envers elle. Nous avons finalement payé, conduit à ma réunion et puis retour à la maison. Je me sentais si mal au sujet de mon comportement. Le soir, j’ai prié et demandé pardon. Je pensais que tout allait bien maintenant et je suis allé me coucher. Croyez-moi le Seigneur m’a réveillé si fort à deux heures du matin et m’a demandé de retourner au supermarché et de demander pardon. À 9h, je suis retourné au supermarché et j’ai finalement trouvé la dame. Je me suis immédiatement humilié et présenté des excuses. Vous auriez dû voir la lumière dans ses yeux montrant son appréciation et tous les commentaires positifs de ses collègues autour d’elle. J’ai ressenti un grand soulagement dans mon cœur ! L’humilité est cruciale dans nos interactions avec les gens autour de nous.
Ainsi, mes chers frères et sœurs, je vous encourage à suivre l’exemple de l’humilité de Jésus. Cherchez des occasions de servir les autres, mettez leurs besoins avant les vôtres, et rappelez-vous toujours que la vraie grandeur vient d’un cœur humble. Que Dieu vous bénisse abondamment tandis que vous marchez sur les traces de notre humble Sauveur. Comme Jésus l’a dit dans Matthieu, « Quiconque s’élèvera sera abaissé, et quiconque s’abaissera sera élevé.” » (Matthieu 23:12 LSG)
Prions : « Seigneur, je te demande de retirer de ma vie toute pensée ou action orgueilleuse. Crée en moi un cœur pur et renouvelle un esprit droit en moi. Que ma vie soit le reflet de ton amour et de ton humilité. Merci, Seigneur, pour ton exemple d’humilité et pour la grâce que tu m’accordes. Je prie pour que tu continues à me modeler à l’image de ton Fils, Jésus Christ, qui s’est humilié jusqu’à la mort sur la croix. Au nom puissant de Jésus, je prie. Amen et Amen. »
Soit béni et rappelle toi que Tu es choisi !!! «Ce n’est pas vous qui m’avez choisi; mais moi, je vous ai choisis» (Jean 15 :16, LSG)
Que Dieu vous bénisse ! Que la grâce de Dieu vous accompagne aujourd’hui ! Je vous souhaite une belle journée et que Dieu vous protège et vous bénisse.
…/DG
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9 ET 10 FÉVRIER 2k23 - PANTIN(E)
LA VEILLE:
Le 8 février, jour de montage de la scénographie. C'est avec une intense satisfaction que j'ai déjeuné dans le parc devant la salle Jacques Brel à Pantin (rebaptisé Pantine par le maire pour un an)
J'ai la vague impression de jouer à domicile - tout près de mon nouvel appart (17 minutes à pieds), et de chez ma mère (30 minutes en voiture), et de mes amix (Paris c'est pas loin du tout, et je tiens vraiment à avoir un retour des gens que j'aime sur mon travail)
Pendant un montage qui dura plus longtemps que d'habitude, j'ai découpai de grandes feuilles pour le spectacle pendant plusieurs heures d'affilé, dans l'espace bar du théâtre. Posé près de moi mon téléphone diffuse un épisode du podcast de @Mimabycami, avec ponctuellement des petits coucous de Jean-Louis qui essaie de mettre ses accessoires dans le noir, étant donné que l'heure est aux réglages des projecteurs. Il y a aussi les interventions de régisseurs, qui ont donné leur avis sur le sujet du podcast: l'amour et la séduction à l'ère d'internet. L'épisode s'appelle "Le guide de la chieuse partie 2" (j'avais un peu honte mais eh ca parle d'amour à l'aube des codes de ma génération - j'écoute ca comme un témoignage exotique, ou sociologique disons)
J'étais dans une énergie bizarre. Parfois arriver dans un nouveau lieu me remplis d'énergie, j'ai envie de parler et d'être très expansive. Mais là je me sentais très décontenancée, comme un premier jour d'école.
Au moment où on a eu besoin de nous, vers 17h30, j'étais crevée (pas à cause du découpage de papier, mais j'ai pris un cours de boxe le matin même)
On a fait les réglages d'ombres et de mécanismes jusqu'à presque 20 heures, et ensuite j'ai continué ma journée ma journée de mon côté. Être à domicile est piégeux car on se Calle des choses à faire après le taff et on est pas entièrement concentré sur la compagnie, et donc le projet.
PREMIER JOUR:
Arrivée à 9h pour les ultimes réglages sons. Échauffement, filage technique et pause déjeuner.
Je suis fébrile comme jamais car ma mère et mon frère seront là. Je commande leur Uber à 14h, ils arrivent 5 minutes avant la représentation. J'entends ma mère dire "pourquoi elle viens pas nous chercher?" à mon frère, alors que je suis au téléphone avec lui, depuis les coulisses (haha )
Ca c'est super bien passé, même si pendant tout le spectacle j'allais beaucoup trop vite, en essayant de me freiner sur les moments où Jean-Louis a beaucoup de manipulations à faire dans l'ombre. On avait un rythme désaccordé lui et moi.
Une première journée épuisante - mais très stylé car j'ai pu montrer mon travail à ma famille, et aussi à Grace, dont j'espère bientôt avoir les retours!
DEUXIÈME ET DERNIER JOUR:
Arrivée à 11 heures. Échauffement puis déjeuné. La fait de jouer deux fois alors que je suis courbaturée à mort est éclipsée par la venue Serine l'après-midi puis Jaubert le soir. J'avais un peu oublié ce truc de jouer près de ceux qu'on aime, de leur "présenter un travail". Peut-être que jouer loin de chez moi trop longtemps m'éloigne aussi un peu d'une des choses qui me plaisent beaucoup au théâtre: Être vue autrement par mes proches.
Il y avait Severine pour les deux dernières séances, et j'ai bien aimé aussi avoir des retours. Car au final je ne me regarde jamais et me démobiliser sur le plateau est très simple. Alors qu'avec le point de vue extérieur de Severine, et même de Nama à Rodez, je me recharge d'intentions, et d'émotions.
Prochaine et avant dernière étape avant la fin de la saison: Sarzeau!
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El cañon de Colca
Samedi 6 août 2022
2h50, le réveil sonne, il est l'heure de se préparer pour ma toute première excursion. Direction le canyon de Colca.
Le bus de voyage nous prend à la plaza de Cayma, et c'est parti pour 3 heures de route. Nous nous arrêtons dans deux petits villages typiques du Pérou. Dans l'un deux y régnait un petit marché aux couleurs du pays.
Avant d'arriver au point culminant, le bus consacra un dernier arrêt au mirador Cruz del Cóndor. Nous avons eu le privilège d'observer le vol des condors au dessus du canyon. C'était un moment impressionnant et splendide. Les oiseaux géants nous offraient de majestueux spectacles au dessus de notre tête, se laissant porter par les courants thermiques.
Nous reprenons la route avec la tête et l'appareil photo remplis de belles images. Nous arrivons enfin au départ du trek, au mirador de San Miguel. Nous rangeons les pulls et les manteaux et sortons les bobs et les lunettes de soleil. La fraicheur du matin a laissé place aux rayons du soleil qui nous ont réchauffé durant toute notre balade.
9h, nous sommes à 3000 mètres d'altitudes, nous commençons à descendre le canyon. Nous plongeons dans des paysages à perte de vue.
12h, nous arrivons enfin à la rivière de Colca. Elle se situe au fond du canyon. Nous nous posons quelques minutes pour nous ravitailler et profiter encore du décor qui nous entoure. En face nous pouvons percevoir le chemin que nous venons d'emprunter.
Puis nous reprenons notre chemin, cette fois-ci nous entamons la montée du canyon. Les panoramas sont une nouvelle fois époustouflants. Nous traversons un petit village. Deux péruviens d'un certain âge, nous ont gentiment laissé accéder à leur point d'eau. C'est la première fois, ici au Pérou, que je bois de l'eau tirée d'un robinet sans avoir besoin de la bouillir avant de la boire. Après avoir assouvi notre soif et papoter avec les deux habitants du village, nous continuons notre route. Il est 15h30, nous devons presser le pas, si nous voulons arriver à notre logis avant la nuit.
A 17h, nous sommes à 2100 mètres d'altitudes. Nous apercevons enfin l'oasis du canyon. Une magnifique verdure alimentée par la rivière de Colca. C'est ici que nous passons la nuit.
Le maté, la bière, la piscine, les jeux de cartes, les étoiles, la lune et la douceur de la nuit nous accompagnent tout au long de la soirée.
21h, après avoir mangé au restaurant de notre havre de paix, nous nous réfugions dans les bras de morphée. Un repos bien mérité.
5h du matin, les quatre réveils de la chambre sonnent. Nous nous préparons pour la deuxième et dernière journée.
5h52, nous sortons les frontales et prenons le chemin, laissant derrière nous l'eldorado. Nous avons l'honneur d'assister au 'El Almanecer' : le lever de l'âme.
La montée est ardue. La principale difficulté à gérer, est la respiration. Mon corps ressentant la montée en altitude, j'ai dû me concentrer davantage sur ma respiration. Un bon exercice pour écouter son corps et ses besoins.
Après 1h30 de marches, ayant avalé seulement 3 morceaux de pommes, mon organisme me fait vite comprendre qu'il a à nouveau besoin de sucre pour continuer. Alors ni une, ni deux, nous sortons "la chartreuse" et le sucre: un véritable remède. Le moteur était relancé et j'ai pu finir l'excursion en toute tranquillité.
9h07, nous arrivons au point culminant à 3 187 mètres d'altitudes. Après l'effort, le réconfort, le "keke" alias le quatre quart a été dévoré en quelques minutes.
Nous profitons encore du paysage qui nous a accompagné tout au long de notre périple. Puis nous repartons direction le bus.
Lors de notre retour, nous nous arrêtons au bassin d'eau chaude pour 1h de détente bien méritée. Nous continuons notre trajet direction Chibay pour y déjeuner. Nous nous installons dans un marché couvert typique péruvien et dégustons une délicieuse truite grillée accompagnée de son riz et tout cela cuit devant nos yeux.
Puis nous reprenons le bus direction Arequipa, avec quelques arrêts pour observer les volcans de la région ou encore les alpacas et les lamas.
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26 juillet
C’était une super soirée hier soir. Le parc Lafontaine, des amis du monde entier, de la musique. Mélissa avait organisé son pot de départ et l’ambiance était vraiment agréable. On aurait continué de danser si les policiers n’étaient pas arrivés pour nous demander de quitter le parc. 1h40 du matin, me voila sur le retour de la maison. 5h30, j’attends que le café coule. C’est long. J’improvise un pique-nique, je maquille le manque de sommeil. 9h et quelques, me voila sur un cheval. Maggie. Le hasard fait bien les choses, Maggie est une jument super sympa. Pendant presque 2h, je suis le groupe en m’endormant presque assise. J’ai mal au ventre. La balade me paraît interminable. L’une des accompagnatrices ne cesse de parler. Non, elle ne parle pas, elle hurle. Elle dit « des chevals », elle tente le franglais tant bien que mal, elle invente des mots. Bref, je ne sais pas ce qui est le plus désagréable finalement : les restes de la soirée d’hier soir ou cette situation cocace. Passons. 13h, je réalise que la journée va être longue. On a déjà mangé, on a déjà fait la petite balade et le groupe est particulièrement CHIANT. Les gens sont très très très timides. Il y a ce couple franco-canadien. Ils se sont habillés pareil. Lui, rêve de devenir directeur d’un grand supermarché. Elle, le regarde avec des yeux remplis d’espoir. Il y a ces deux amies québécoises, sans arrêt en retrait, qui ne parlent que pour dire Oui ou Non. Il y a ces deux autres amies françaises passionnées de danse orientale. Et puis, il y a une dernière personne, venue seule, qui voyage seule, qui vit seule, qui est constamment seule. Et Geminis. Et moi. Dans les voitures, à l’aller, au retour, tout le monde dort. Bref, j’avais hâte de rentrer. Quelle fut ma surprise quand j’ai réalisé que, ce soir, était organisé un bbq avec la totalité de l’immeuble. Tout était prêt, l’odeur de la fumée était entrée dans chaque appartement pour dire que tout était prêt, on est tous descendus avec de quoi dîner : des saucisses, des bouteilles rescapées, des trucs à se partager. Tout était prêt jusqu’à la pluie. Bien évidemment, on était trop nombreux pour se tasser dans l’appartement du bas. Trempés, affamés, fatigués de la veille... 21h16, me voilà en train de m’enfuir de la soirée par l’escalier d’urgence.
Vivement demain 🤭
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1️⃣
Aujourd’hui, samedi 28/09/24, Journée internationale du droit d'accès à l'information ℹ️ Journée mondiale contre la rage 💉 et Journée mondiale du droit à l'avortement 👌
2️⃣
Le FC Annecy était en déplacement hier au soir à Bastia pour la 7e journée du championnat de France de Ligue 2 ➡️ Match nul (2-2) sur la pelouse bretonne, un point pour chaque équipe donc. Un point de plus donc pour les Rouges et Blancs (12 au compteur), bravo ⚽
La nuit dernière a eu lieu la 20e Nuit européenne des chercheurs. J’avais trouvé avant-hier un dépliant sur Chambéry mais rien sur Annecy mais j’ai consacré hier un peu de temps à cette journée car voici bien une thématique qui m’intéresse particulièrement 😍
Déjà le nom, Nuit européenne des chercheurs mais également Nuit européenne des chercheur·es. En ce qui me concerne, je préfère chercheuses donc Nuit européenne des chercheurs et des chercheuses mais bon chacun·e sa préférence 😎
Sur le site du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche : dans 300 villes de toute l’Europe, au cours de deux soirées, des chercheur·es de toutes disciplines et de tous horizons vont à la rencontre du public pour raconter qui ils sont et ce qu’ils font 🤩
Deux soirées, j’ai la première mais où peut bien se cacher la seconde❓J’ai fini par comprendre que l’opération était pilotée chez nous par l’Université Savoie Mont-Blanc et que pour sa 3e édition, il n’y avait rien sur Annecy (trois sites retenus pour les deux départements) 👌
Aujourd’hui, chantier participatif de réfection du Pré-Pugin. Remise en état de la mare avec création d'hibernaculum. Journée continue (il faut penser à son pique-nique) de 9h30 à 16h (tenue adaptée, outils de jardinage et gants bienvenus). Participation gratuite 👏
La forêt est à l’honneur pour la 6e édition de la "Fête du bois et de la forêt", portée par l’Agglomération du Grand Annecy et l’association "J’aime la forêt de Haute-Savoie" qui rassemble les principaux acteurs de la forêt privée et publique 🌳
Fête du bois et de la forêt : animations, conférences,démonstrations, course d’orientation, jeux, parcours pédagogique, etc. durant tout le week-end. Totalement gratuit (à part l’éveil culinaire avec Jean Sulpice mais ça doit déjà être complet) 🪵
Et puis des navettes directes et gratuites sont proposées toutes les heures au départ de la gare routière d’Annecy entre 9h et 15h et un retour est programmé toutes les heures entre 10h et 18h au départ de la station du Semnoz 🚌
3️⃣
🧺 Trois marchés le samedi à Annecy ➡️ Marché du boulevard Taine (alimentaire et produits divers) ⌚️ 7h-13h ➡️ Marché de Vieugy (marché alimentaire) ⌚️ 8h-12h ➡️ P'tit marché du Vieux Meythet (marché alimentaire) ⌚️ 8h30-12h30 🍴
🪦 Installation : Cavités habitées de Sarah Battaglia ➡️ Explorez la biodiversité visible et invisible au sein de cet espace refuge qu’est le cimetière. Cette proposition artistique multi-matériaux offre un espace évolutif d’observation et d'expérimentation autour de la symphonie du vivant ℹ️ Avant-dernière semaine (jusqu’au sam. 05/10/24) 🎫 Accès libre 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 7h30-20h 📍 Cimetière des Glaisins (rue de la Frasse) 👍
☕ Coup de cœur annécien : un lieu d’accueil et d’échange ouvert quatre fois par semaine et géré par des bénévoles ℹ️ Boissons sans alcool, livres, jeux (café solidaire avec l’Ukraine) 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 9h30-15h 📍 Café du curé (6 quai de l’Évêché, vieille ville) ❤️
✍ Ateliers d'écriture ➡️ Cycle avec Nabil Louaar sur le thème Ma vie, ma ville : réflexions partagées sur l'appartenance à un lieu à travers un instant créatif ℹ️ Débutants ou faux débutants, à vos carnets ⏱️ 2h 🎫 0€ 🎟️ Sur inscr. 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 10h 📍 Médiathèque Louise Michel (5 rue François Vernex) ❤️
🖼️ Dernier jour❗️ExpO : Christophe Torossian ➡️ Aime manier les formes géométriques, les aplats de couleurs mates et brillantes se jouent des époques et font naître des atmosphères, de quoi brouiller les pistes et le regard ℹ️ Dernière semaine, dernier samedi, dernier jour, dernières heures 🎫 Accès libre 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 10h-17h 📍 Artekné (Centre Bonlieu) 👨🎨
📚 Grande braderie de La Turbine ➡️ Déballage : tous les documents à 1€ pièce (livres et CD retirés des collections), pour tous les goûts et tous les âges ℹ️ Jusqu’au dim. 29/09/24 🎫 Entrée libre 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 10h-12h30 & 14h-18h 📍 Médiathèque la Turbine (place Chorus) 🛒
🖼️ ExpO : La nuit est encore debout c'est pour ça que je ne dors pas d'Annabelle Guetatra ➡️ Dessins aux fonds vaporeux travaillés au pastel sec ou à l’huile ℹ️ Jusqu’au sam. 23/11/24 🎫 Entrée libre 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 10h-13h & 14h-18h 📍 Le Point Commun (12 avenue Auguste Renoir) 👩🎨
🥳 49e Fête d'automne et des associations ➡️ Près de 50 associations sont présentes : des animations gratuites (poneys, magicien, ateliers enfants avec tonton carton, tournage de poterie, manège, gratiféria ℹ️ Jusqu’au dim. 29/09/24 🎫 Accès libre 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 10h-18h 📍 Place Chorus 🥰
🖼️ ExpO BibliO : Carnets de voyages d'une famille annécienne à la Belle Époque ℹ️ Rédigés entre 1883 et 1912, ornés de photos et dessins, voyage panorama de l'Europe avec Annecy comme pied à terre 🎫 Accès libre 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 10h-18h 📍 Médiathèque Bonlieu (Centre Bonlieu) 🤩
🥳 6e Fête du Bois et de la Forêt ➡️ Objectif : informer et sensibiliser le grand public sur les enjeux liés à une gestion forestière durable et multifonctionnelle ℹ️ Jusqu’au dim. 29/09/24 🎫 Accès libre 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 10h-18h 📍 Station du Semnoz, Grand Annecy 🌲
👀 Avant-dernier jour❗️Salon habitat, jardin et décoration ➡️ 150 professionnels de la construction, de la rénovation et du jardin ℹ️ Jusqu’au dim. 29/09/24 🎫 5€, 0 € (mineur·es) 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 10h-19h 📍 Arcadium (32 boulevard du Fier) 🛋️
🗣 Interview croisée❗️Jean-Paul Alègre et Natacha Astuto ℹ️ Dans le cadre du festival Sur un Plateau ⏱️ 1h10 🎫 0€ 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 10h30 📍 Bar de Bonlieu Scène nationale (1 rue Jean Jaurès) 🎤
🧒 Tout-petit tu lis ➡️ Un moment en famille, pour les enfants et leurs parents, autour d’une sélection d’histoires à écouter et à regarder ℹ️ Installez-vous confortablement et c’est parti ⏱️ 30 min 🎫 0€ 🎟️ Inscription auprès des médiathécaires 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 10h30 📍 Médiathèque Les Romains (1 boulevard de la Rocade) 📚
🖼️ Deuxième jour❗️ExpO : Au fil de la nature - Émotions et créations ➡️ Découvrez l'univers captivant de Hayat Chebah, où la nature prend vie à travers des sculptures et œuvres plastiques uniques en matériaux recyclés ℹ️ Du 27/09 au ven. 18/10/24 🎫 Entrée libre 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 13h-18h 📍 Forum Exposition Bonlieu 👨🎨
🧒 ExpO : Illusions, quand notre cerveau nous joue des tours ➡️ Plus d’une trentaine de dispositifs interactifs ℹ️ L’enfant doit être accompagné d'un adulte (inscrit lui aussi) 🎫 5€, 3€ & 0€ (-12 ans) 🎟️ Réservation en ligne 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 14h-16h & 16h-18h 📍 La Turbine sciences (Place Chorus) 🧠
🖼️ ExpO : Imagined Landscapes de Yang Yongliang ➡️ Artiste shanghaïen inspiré par la peinture traditionnelle chinoise le Shanshui ℹ️ Jusqu’au dim. 15/12/24 🎫 Accès libre 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 14h-19h 📍 L’Abbaye (15 bis chemin de l'Abbaye) 👨🎨
😴 Sieste musicale ➡️ Dans une ambiance propice à la détente, une programmation musicale thématisée : détendez-vous, tendez l'oreille... bienvenue dans votre bulle musicale pour un temps consacré à l'écoute et à la découverte ℹ️ Spécial famille avec enfants, pour votre confort, n'hésitez pas à apporter votre nécessaire de sieste (matelas, tapis, coussins, etc.) ⏱️ 1h 🎫 0€ 🎟️ Inscr. auprès des médiathécaires 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 14h30 📍 Médiathèque Seynod (1 place de l'Hôtel de ville) 👨👩👧👦
🗣 Visite commentée❗️ExpO : La nuit est encore debout c'est pour ça que je ne dors pas ➡️ Laissez-vous porter, une médiatrice vous accompagne et vous livre les clés de l'exposition d'Annabelle Guetatra ℹ️ Jusqu’au sam. 23/11/24 ⏱️ 1h 🎫 0€ 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 14h30 📍 Le Point Commun (12 avenue Auguste Renoir) 😍
🧒 Spécial adolescent·es : 14 ateliers numériques sur la programmation, les défis robotiques et la création numérique ℹ️ Des ateliers accessibles dès 5 ans sont proposés par les médiateurs numériques 🎫 5€ & 3€ 🎟️ Réserv. en ligne 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 14h30-15h30 & 16h-17h 📍 La Turbine sciences (Place Chorus) 🤖
🗣 Visite commentée❗️ExpO : Imagined Landscapes de Yang Yongliang ➡️ Visite commentée, gratuite et sans réservation, de l'exposition par une médiatrice d'Imagespassages ℹ️ Jusqu’au dim. 15/12/24 🎫 0€ 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 15h 📍 L’Abbaye (15 bis chemin de l'Abbaye) 😍
✍ Séance de dédicaces : Matthieu Fayet ➡️ Le mangaka annécien dédicace son manga Ronin publié par le magazine Konkuru. Vous y découvrirez Anjo, un héros pas comme les autres ℹ️ Accompagné de son éditeur Joffrey Defrance 🎫 Entrée libre 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 15h 📍 BD Fugue Café (Centre Bonlieu) ❤️
🗣 Visite guidée : découvrez la vieille ville d’Annecy, son histoire, son architecture et ses personnages marquants ℹ️ Théo vous accompagne le long de ses canaux et à travers ses arcades et passages couverts 🎫 12, 6 & 4 € 🎟️ Réserv. en ligne oblig. 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 16h 📍 Centre Bonlieu (Forum) ❤️
🖼️ Dernier jour❗️ExpO : Mythologies & faux-semblants de Michel Pourchet ➡️ La sculpture s'est imposée très tôt comme le médium le plus évident mais la relation dessin-peinture-poésie ne s'est jamais tarie ℹ️ Dernière semaine, dernier samedi, dernier jour, dernières heures 🎫 Accès libre 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 16h-19h 📍 L'Atelier 9 (9 avenue de la Mandallaz) 👨🎨
🎭 Comédie : Je vous hai'me ➡️ Avec beaucoup d'humour et une pincée de gravité, Philomène nous raconte sa vie, et plus encore ℹ️ Dans le cadre du festival de théâtre Sur un Plateau ⏱️ 1h15 🎫 10€ & 8€ 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 17h 📍 Théâtre de l'Échange (26 rue Sommeiller) 👀
🎶 Concert : Slift ➡️ Le trio toulousain revient à Annecy ℹ️ Il en impose par sa charpente écrasante taillée dans le rock dont la puissance déferle sans jamais faiblir 🎫 24€, 22 € & 0€ (-10 ans) 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 20h30 (ouverture des portes à 20h) 📍 Le Brise Glace - Grande salle (54 bis rue des Marquisats) 🎸
🎭 En présence de l'autrice Natacha Astuto❗️Cinquième étage ➡️ Lyon, France, 1943 : Armande, Claire, Solange et Marthe sont des résistantes engagées, courageuses et efficaces ℹ️ Comédie dramatico-historique (à partir de 12 ans), dans le cadre du festival Sur un Plateau ⏱️ 1h20 🎫 10€ & 8€ 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 20h30 📍 Salle Pierre Lamy (12 rue de la République) 👀
🎭 Théâtre: La porte à côté ➡️ Une comédie drôle et piquante qui donne envie de tomber amoureux de son voisin... ou pas 🎫 18€, 16€ (+65 ans) & 12€ (enfants jusqu'à 12 ans) 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 20h30 📍 Théâtre Les Têtes de l'Art (36 avenue de Chambéry) 🤣
🎶 Concert : Karim Dabo guest Matthias Dabo ➡️ Artiste compositeur chanteur, Karim Dabo partage son répertoire Afropop, accompagné par son frère jumeau, Matthias Dabo, venu spécialement de la Réunion, pour quelques morceaux 🎫 12€ & 0€ (-12 ans) 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 20h30📍 Afrodanse (180 C avenue des Alpes, Épagny Metz-Tessy, Grand Annecy) 👨🎤
🎭 Petites culottes et vieilles dentelles ➡️ Découvrez un curieux patrimoine : les sous-vêtements féminins ℹ️ Dans le cadre du festival des Empreintes Sonores ⏱️ 1h15 🎫 12€ & 10€ (-18 ans & demandeurs d’emploi) 📆 Sam. 28/09/24 ⌚️ 20h30 📍 Espace culturel La Ferme (60 route du Barioz, Argonay, Grand Annecy) 🩲
4️⃣
Qualité de l’air à Annecy : la météo reste agitée avec un vent de nord-ouest soutenu et des passages d’averses réguliers, notamment sur le nord de la région 🌧 Cela favorise la qualité de l’air, et l’indice ATMO attendu sur la région reste moyen 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est faible (niveau 1) ➡️ Ambroisies, graminées : niveau 1 ; saule, cupressacées, armoise, autre : niveau 0 ➡️ Indice communal valable du 21/09 au vendredi 04/10/2024 inclus 🤧 Personnes allergiques : le chlore irrite vos muqueuses fragilisées par les pollens, évitez les piscines 😷
5️⃣
Quatre dictons du jour pour le prix de trois : « Année de hannetons annonce blé et vin à foison. » 🪲 « Année de mousserons, pas de vin dans les flacons. » 🍷 « Beau temps du soir, au nigaud donne espoir. » 😉 « Midi ciel vilain, minuit ciel serein. » 🌃
Et trois autres dictons du jour pour la route : « À septembre chaud, octobre mouillé. » 🧐 « Les arbres jettent l’or de leurs feuilles par les fenêtres de l’automne. » 🍂 « Septembre en sa tournure, de mars fait la figure. » 🤔
Pour celles et ceux qui aiment les chats : « Chat qui se frotte l’oreille temps vif qui se réveille. » 👂 « Chat qui se peigne, pluie prochaine. » 🪮 « Quand le chat passe la patte sur la tête, bientôt il y aura tempête. » 🐈
6️⃣
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un excellent automne à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🍂
Bonne fête aux Venceslas & demain aux Michel et Gabriel (je ne sais pas du tout pourquoi, parfois il y a deux prénoms le même jour dans le calendrier) 😘
Bon sixième jour de la semaine à tous et à toutes 🌠
📷 JamesO PhotO à Annecy le 15/09/24 📸
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17 juillet:
Arrivé à Ljubljana à 06h00 après 9h de route dont 2 de sommeil. Je suis fatigué mais je veux profiter du calme du matin pour faire une première visite de la ville qui de réveil puis de monter sur le château qui la domine sur une colinne. Je termine en zombie la visite, me dirige vers mon hostel, le monsieur me dit que mon lit ne sera prêt que pour 13h00 (il est 11h), du coup je lui dit que ok mais que je dors sur le canapé de l'entrée. Je ne sais pas ce qu'il me répond, je dors déjà. Au réveil je continue ma visite avec le parc Tivoli et autres quartiers en marchant un peu au hasard.
18 juillet:
Visites de musée sur l'histoire du pays. Je me rends compte qu'avant mon périple dans les balkans je ne savais absolument rien des yougoslaves.
19 juillet:
Day trip à Bled, où je fais le tour du lac et de son îlot avec église qui font de très belles photos, surtout à l'heure du levé de soleil où je suis arrivé. Puis visite des villages médiévaux Kranj et Skofja Loka. C'est joli mais les villages du midi en France que j'ai visité l'automne dernier sont trop frais dans ma mémoire pour ne pas comparer...
Retour à Ljubljana, grosse sieste puis bière en haut de la tour Nebotičnik avec vue sublime sur la ville et son château. Puis re-biere et cevapi.
20 juillet:
Dernier jour dans les balkans ! Grasse matinée parce que j'ai pas grand chose à faire; la prévision météo m'empêchant de faire une excursion en nature. Du coup free walking tour, musée de Jože Plečni, l'architecte de Sécession qui a énormément contribué aux villes de Prague, Viennes et Ljubljana, et visite de la bibliothèque universitaire.
En enfin bus direct pour Paris, 18 heures de route.
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Le(s) labo(s)
#1 [RACONTAGE]
"La covid", qu'est-ce que c'est moche. Prononcé comme écrit je n'y arrive pas. Même avis pour "le covid". C'est à cause de cette maladie partageant le même nom qu'une bière, que je me suis retrouvé à faire la tournée des labos, au lieu des bars.
(Bon ok il était 11h du matin et dans tous les cas, je n'ai jamais fait la tournée des bars.) “Cas contact”, je pense que ça parle à tout le monde. J'ai vu une personne qui doutait de ses symptômes, on en a fait des blagues et manque de peau, elle s'est avérée être positive. Nouvelle négative pour moi. Le premier labo où je me suis rendu était étonnamment vide. Pas de file d'attente interminable et une atmosphère calme et détendue à l'intérieur. Bizarre, ce n'est pas ce qu'on m'avait décrit. Je m'approche pour prononcer le pitch que j'ai rédigé avec ma coach de la Sécu, et je comprends au soupir de la secrétaire que ça ne va pas le faire : «Uniquement sur rdv, vous pouvez en prendre un pour lundi.
-Mais c'est écrit sur votre site que c'est possible. -Roh ils l'ont toujours pas enlevé ?! C'est pénible {elle râle auprès de sa collègue tout en essayant de froncer les sourcils pour montrer qu'elle est contrariée, compliqué d'être expressive quand on a un masque}. On a déjà fait remonter l'info. Désolé monsieur, mais si vous voulez vous pouvez essayer à Richelieu Drouot ? Le labo ferme à 13h. -{Je regarde l'heure et estime la distance} Non ça va aller. Merci au revoir. » Je suis donc rentré chez moi en ayant gâché 30 minutes de ma vie pour voir Christelle de l'accueil se plaindre du service informatique. Heureusement que je fraude, payer 3,8€ pour ça aurait été excessif. Fort de ce premier échec, je décide de tenter un autre labo durant l'après-midi sur recommandation de ma sœur et après avoir vérifié sur le site du Ministère de la Santé. C'est supposé être la source d'info la plus crédible en ce moment et je fais confiance à ma sœur mais, l'expérience m'a prouvé qu'il valait mieux prévenir que guérir.
J'ai essayé d'appeler et je suis tombé sur une hotline fantôme qui a raccroché dès que le jingle était fini. Sympa. Je prends une capture d'écran cette fois, en espérant quand-même que Mamadou le stagiaire de l'informatique, tient à jour le site.
C'est à pied que j'ai décidé d'y aller. 28 minutes de trajet selon l'appli. Sur le chemin je me suis arrêté prendre un sandwich tomates mozza et à ma grande surprise la vendeuse m'a offert "une douceur pour accompagner mon vendredi après-midi". La phrase était tellement préparée que ça m'a fait sourire. Peut-être les astres seront-ils favorables à l'accomplissement de ma quête.
{Étant immigré, j'ai eu la joie chaque année depuis mes 18 ans de faire la queue à la préfecture pour: déposer mes documents, redéposer d'autres documents, encore revenir car Jean fermait son guichet une heure avant la fin sans raison particulière, récupérer un deuxième document provisoire et, enfin recevoir mon titre de séjour. Ces longs allers-retours sont d'autant plus usants que si on ne veut pas passer sa journée à espérer que Jean ne fermera pas plus tôt son guichet, il faut être parmi les premiers.
Mais pour être en tête de la file d'attente de la sous-préfecture d'Antony, il faut se lever de bon matin. La première fois, j'y suis allé à 7h du mat' et il y avait déjà 20 personnes devant moi. A quelle heure ouvre la préfecture ? 9h. J'ai donc appris au fil des années que si je voulais plier cette affaire en détente et rentrer chez moi tôt, il fallait au moins que j'y sois à 5h30. Mais bon, ça c'est une autre (longue) histoire.} Grâce à mes compétences confirmées en pliage de file d'attente, j'ai eu la bonne idée de me pointer 30 minutes avant l'ouverture, soit à 13h. Une seule personne devant semble attendre. J'ai le temps de checker les infos affichées sur la porte. Début septembre le Dr a annoncé que le labo ne prenait que les rdvs. Pourtant, leur site mis à jour récemment par Mamadou dit le contraire. Je décide quand-même de patienter en regardant un épisode de Gumball.
L'homme qui était là avant moi m'apostrophe alors : « Vous êtes en train de les appeler là ? -Euh non pourquoi ? -Ah, vous connaissez les délais ? -Une semaine voir plus si vous n'avez ni ordonnance ni SMS de l'assurance maladie, sinon 48h. Regardez {je lui montre le saint-écrit produit par Mamadou} -Putain c'est trop long ! »
J'ai rentré mes lèvres, et haussé mes sourcils en même temps que mes épaules et mes mains: la tête qui veut dire que j'approuve et que j'en ai rien à foutre en même temps, sentiment assez ambivalent. Il soupire (sans masque) et retourne à son appel vidéo en s'éloignant du laboratoire.
Je prends place devant une barrière située juste en face de la porte d'entrée. Désormais je suis seul, je suis le premier. Mon k-way est jaune poussin, personne ne pourra dire qu'il ne m'a pas vu.
13h17: Une première dame avec un chapeau arrive, et se met à ma gauche sans poser de question.
13h20: Un second homme à lunettes arrive livre à la main et se met à ma droite. Il fait un tour rapide de la porte d'entrée et des environs, me regarde, puis ouvre tranquillement son livre.
13h22: Un troisième homme avec un afro arrive au téléphone, il fait également un tour rapide des environs et se met à la droite du second.
13h25: Un quatrième homme arrive en boitant et se met à la gauche de la seconde dame. A partir de ce moment là il arrive une cinquième, puis sixième, et septième… J'arrête de compter en me disant que mon k-way jaune me donne le totem d'immunité pour pouvoir entrer en premier. Toutes les personnes qui arrivent essaient de comprendre la logique de la file d'attente et se positionnent à gauche ou à droite. Je suis alors pris d'un malaise et me dis qu'il aurait peut-être fallu effectuer une file d'attente en bonne et due forme car c'est une situation propice au "j'étais là avant". À la sous-préfecture d'Antony j'ai vu des gens se battre pour moins que ça. Bah, après tout ce n'est pas mon problème aujourd'hui, je suis premier. Une dame aux cheveux rouges arrive alors et se positionne près de la porte. Tous les regards se tournent vers elle et je crois que nous lui avons bien transmis notre pensée "ça sert à rien de te mettre là, c'est pas à qui sera le plus proche". Je pense qu'elle a bien reçu le message car elle s'est éloignée de la porte, tout en restant sur le côté. 13h29: Je range mon portable et enlève mon casque. Ça faisait un moment déjà que je suis plus focalisé sur les arrivées que sur ma musique. L'homme à lunettes me voyant faire, il décide de fermer son livre.
13h30: J'ai l'impression d'être le général d'une armée dans Kingdom et que l'on attend mon feu vert pour commencer la bataille. C'est pas hier, c'est pas demain, c'est maintenant. Je m'avance donc vers la porte pour l'ouvrir… Sans succès. La pause déjeuner n'est pas encore finie. Je retourne à ma place en me disant qu'il ne me reste qu'à patienter.
13h32: Une dame à l'allure snob arrive comme les autres, mais vient se positionner près de la porte et essaye même de l'ouvrir. Insensible au regard assassin des (im)patients, très sûre dans ses mouvements, je me suis dit qu'elle devait travailler au labo. Ou alors elle est sacrément gonflée.
13h37: Les volets se sont ouverts et une secrétaire médicale est sortie du cabinet pour annoncer "c'est ouvert". La dame-snob en profite pour se glisser dans le cabinet et ainsi échapper aux protestations en commençant à parler au docteur. Je m'avance alors pour limiter la casse et ne pas perdre ma place de premier. Derrière moi mon armée a formé les rangs et chacun avait l'air de connaître sa place, excepté la dame aux cheveux rouges. J'entre alors dans le cabinet et elle m'emboîte le pas. Là, c'est le drame.
Lunettes-man ouvre le bal : « Qu'est-ce que vous faites ? Vous voyez pas que y a une queue ? Allez derrière comme tout le monde ! Rousse-woman: J'ai juste une question ! Lunettes-man: Ouais ben moi aussi j'ai une réunion, et je fais la queue !
Pendant la cohue, l'homme qui boitait en a profité pour passer devant moi en montrant une carte.
Rousse-woman a alors continué : -Et eux alors ils étaient là avant ?! J'ai fait ma tête d'approbation qui veut aussi dire que je m'en fous comme de l'an 40 et lui ai répondu : -Elle c'est déjà trop tard, et lui il a une carte d'invalidité. Dr: Fiioouuou on peut tous se détendre et souffler ? Afro-man: Faites la queue comme tout le monde ! Lunettes-man : Y en a toujours qui respectent rien c'est pas possible ! Rousse-woman: J'ai juste une question, si ils répondaient au téléphone je serais pas là. Chapeau-woman: Oui oui c'est ça, moi aussi j'ai une question. Lunettes-man : Ouais moi aussi j'ai une réunion et pourtant je fais la queue ! » Malgré tout le bazar qui régnait, mon tour est enfin arrivé. Je vais voir le Dr en lui exposant ma problématique grâce au même pitch que j'ai utilisé le matin, et en m'appuyant cette fois sur une capture d'écran du saint-écrit de Mamadou. Il me regarde et me répond simplement : « Non on ne prend pas sans rdv, vous pouvez en prendre un maintenant et revenir mardi. -Mais c'est pourtant écrit sur votre site. -Non non on ne prend pas de rdv. » Je sais reconnaître une situation où il est possible de négocier, ce n'était clairement pas le cas. Je suis donc parti sans demander mon reste en laissant mes troupes désorganisées se fritter avec Rousse-woman. {Mamadou le stagiaire de l'informatique 2 - 0 Le raconteur du dimanche} Si ça n'en tenait qu'à moi j'aurais abandonné et je serais juste resté isolé pendant 14 jours en attendant que ça passe. Mais le fait est que j'aime les relations sociales et mon syndrome du FOMO a commencé à se réveiller à l'idée que j'allais passer le week-end seul, sans mes supers potes. J'ai donc persévéré et continué mes recherches. En croisant les publications de trois sources différentes et en prenant en compte leur date de publication, j'ai enfin réussi à trouver le Labo Promis parmi une dizaine de candidats. {Mamadou le stagiaire de l'informatique 2 - 1 Le raconteur du dimanche} J'ai donc réussi à passer un test sans rdv à Issy-les-Moulineaux dans un gymnase réaménagé, après 2 heures de recherches, 5 km parcourus à pied et un incident diplomatique. Comment était la file d'attente ? Je pourrais vous le raconter mais ça, c'est une autre histoire 🙃
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Ce texte a déjà été publié dans ce journal le 23 mars 2013. Il fait un peu doublon sur certaines choses avec celui parut hier, mais j’ai préféré le garder dans son intégralité. Il est clair et résume très bien ces moments si importants dans mon itinéraire photographique.
Mercredi 25 juillet 1973.
L’image latente est l’image invisible à l’œil nu mais exposée sur la pellicule. Elle se transforme en image réelle une fois le film développé. Les fabricants de films conseillent de développer le film le plus rapidement possible. Ce même film doit être protégé de la lumière pendant le lapse de temps qui sépare la prise de vue du développement.
Les photos montrées aujourd’hui ainsi que celle vue sur le journal d’hier ont été prises en 1973 et développées 23 ans plus tard. Pourquoi ? Je ne le sais pas, peut-être qu’un psy pourrait l’expliquer. Voilà leur histoire, étrangement mêlée à la mienne.
Viré de mon appartement New Yorkais pour cause de bricolage (journal daté du 20 mars 2013 avec un texte du 24 février 1973), Stanley me trouva un travail au Stevensville Lake Hotel, dans les montagnes Catskill au nord de New York. Je m’y rendis en autobus le 14 avril. Je serai serveur pour le personnel (staff waiter). Sur un carnet rescapé de cette époque, je vois que je travaillais de 07h30 à 2h30 (14h30) et de 5h à 9h (17-21h). La paye était réduite au minimum, le système américain privilégiant les pourboires obligatoires, en général 10% de la note du repas, mais dans mon cas, laissé à l’appréciation du personnel que j’allais servir. Pour gagner plus, je travaillais aussi deux ou trois fois par semaine dans le night club, après avoir fini mon service normal.
Les conditions de logement étaient plutôt spartiates. Le travail demandait beaucoup d’énergie. Quand on est jeune, elle est présente.
Tout se passait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Un jour de congé par semaine, puis une permission de deux jours qui me permit d’aller voir mes amis à New York. Je voyais Ted Feder qui avait une petite agence de photo. Il m’avait été présenté par Marcia. Ted me proposa d’aller pour un éditeur new yorkais en Amérique du Sud pour illustrer des livres de langue espagnole. J’acceptais avec joie ce qui allait être mon premier travail professionnel. Il fallait trouver une date. Ce fut fait après les évènements qui suivirent.
Au retour, deux des personnes travaillant à l’hôtel avaient été virées. L’une d’entre elle, McDuff, un intellectuel en rupture avec qui nous parlions souvent, l’autre Richie qui allait de travail en travail, un peu déconnecté des réalités et avec qui j’avais sympathisé. Il fut retrouvé mort quelques jours plus tard, je crois qu’il s’était noyé.
Le fait de vivre au même endroit permettait d’économiser tout l’argent gagné. Je le destinais maintenant à ce voyage en Amérique latine, même si au passage, une amie photographe de la Soho Photo Gallery, Terry, m’avait proposé un échange : elle m’épousait pour que je puisse acquérir le sésame, la green card (carte verte) de résident permanent, symbole de la fin de tous les maux de l’immigrant illégal que j’étais devenu. J
Un après midi une rumeur folle courut dans l’hôtel : l’immigration faisait des vérifications dans tous les établissements de la région. Il y en avait beaucoup, fréquenté principalement par une clientèle de New York. La plupart des serveurs étaient principalement d’Amérique latine, mais il y avait aussi des chinois. Les propriétaires des hôtels n’étaient pas très regardants sur les permis de séjour. J’étais sans doute un des rares français dans cette situation. Tous venus pour des raisons économiques, sauf moi qui ne rêvait que de devenir photographe. Il y avait quand même quelques serveurs sud-américains, dont un brésilien, qui avaient leurs papiers. Le soir, la rumeur s’amplifia : ils (l’immigration) visitent tous les hôtels, ils vont venir demain. Panique générale. La direction décida de loger toutes les personnes sans papiers dans un bungalow destiné à la clientèle. Je me présentais à la personne en charge de la manoeuvre qui fut très surprise de voir ce jeune frenchie dans la même situation que les latinos et chinois, alors que tout le monde était persuadé que j’avais mes papiers. Je bénéficiais quand même d’un traitement de faveur : on me donna dans ce bungalow une chambre pour moi tout seul, alors que les latinos furent regroupés dans une même chambre, et les chinois dans une autre. Le lendemain matin vers 6 heures, on me téléphona dans ma chambre en chuchotant : « Alain, don’t move, they are everywhere » (Alain, ne bouge pas ils sont partout). Etrangement, je trouvais que la situation avait quelque chose d’exaltant. Je allais même jusqu'à écarter les rideaux très légèrement pour essayer de voir l’ennemi. En vain. L’alerte fut levée environ une heure plus tard. Tout le monde se regroupa dans ma chambre où un serveur brésilien en situation légale nous apporta sur un grand plateau un petit déjeuner somptueux. Je ne me souviens plus de son nom. Nous étions à ce moment là tous heureux, comme débarrassés de ce poids menaçant de l’expulsion. Il proposa alors à un autre serveur brésilien comme lui, mais illégal, de le faire sortir du périmètre de la zone dangereuse. Il accepta. Il me le proposa aussi. Je refusais, préférant rester dans le bungalow maintenant que l’orage était passé. Je les vis partir dans une Ford Mustang. Je crois qu’elle était de couleur noire.
Une trentaine de minutes plus tard, comme dans un film, les voitures de l’immigration revinrent, encerclèrent très vite le bungalow. On entendait les hommes parler dans leurs talkie walkies, puis l’un d’entre eux frappa à la porte de ma chambre, où nous étions encore tous. Il dit en anglais, puis en espagnol « immigration of the United states, open the door, you will not be harmed ». Une femme se dirigea vers la porte pour l’ouvrir.
La chambre était composée d’un grand lit et d’un lit simple posé contre un mur. A ce moment là, je me précipitai sous ce lit pour me cacher, avec autour du cou mon premier Leica. Mes compagnons d’infortune sortirent tous. On ne me vit pas. Je retenais ma respiration. Dans ma précipitation, j’avais laissé ma paire de chaussures à côté du grand lit. J’avais des larmes aux yeux. C’était la fin de mon rêve américain. Lorsque tous mes compagnons furent sortis et dirigés vers des voitures de l’immigration, que le bungalow fut vide de ses occupants, un officier fit le tour des chambres. A défaut de le voir, je l’entendais. Une chambre, une deuxième, une troisième, puis il entra dans celle où je me trouvais. Il souleva sans doute machinalement le bout de couverture qui me protégeait. Ou bien il avait vu mes chaussures. A partir du moment ou je ne m’étais pas rendu avec les autres, il pensa que je pouvais être dangereux. Il me mit immédiatement les menottes, prit le Leica en me signalant que je le récupérerai plus tard, puis nous sortîmes rejoindre les autres. Il fut très correct.
J’ai toujours pensé que nous avions été donnés par les brésiliens qui avaient du être interceptés par l’immigration en sortant de l’hôtel et avaient fait sans doute un deal. Je n’ai jamais eu de preuves, mais je ne vois pas ce qui aurait pu se passer d’autre.
Station de police de Monticello. Photos de face, de profil. Empreintes digitales. Bascule dans un autre monde. C’est rapide, c’est étrange. J’avais un statut, celui de serveur, même s’il n’était pas prestigieux. Je suis maintenant un repris de justice, ou presque.
Les voitures de l’immigration nous emmenèrent ensuite à New York. Elles roulaient très vite. Nous fûmes tous incarcérés dans la prison de l’immigration, en étage. C’est en se rendant dans ce bâtiment il y avait trois ans, pour avoir une extension de visa, que mon attention avait été portée sur l’agence d’emploi de Stanley, à deux cent mètres.
D’un téléphone public j’appelais Stanley pour le prévenir de ce qui venait de m’arriver. De la terrasse contigüe à notre prison et protégée par des grilles, je pus le voir. Il était avec Jasmine, sa copine de Trinidad. Nous nous fîmes des grands signes.
Le lendemain, je fus condamné par un juge à payer une caution remboursable de 500$. Je devais quitter le pays sous un mois. C’était aussi la condition pour la recouvrer. La caution fut payée par le chef des cuisines de l’hôtel venu essayer de récupérer la moitié de son personnel. Je le remboursais de suite sur le pactole que j’avais gagné. Il devait me redonner cet argent s’il était remboursé par l’immigration après mon départ. Il ne le fit jamais. Après le jugement, l’officier qui visa mon passeport voulu me renvoyer sur la France. Je lui demandais de me laisser partir pour le Mexique, premier arrêt de mon tour d’Amérique du Sud, sans lui dire que j’allais travailler pour un éditeur américain. Il accepta.
Je retournais travailler une semaine au Stevensville Lake Hotel, le temps d’être remplaçé.
Les films de cette période restèrent dans un petit sac vert pendant 23 ans. Leur période de latence aura été très longue. Ces photos n’ont rien d’extraordinaire, mais à les regarder maintenant, ces moments enfouis dans mon subconscient si longtemps refont surface. Que reste-t-il de notre mémoire, si ce n’est une photographie ? Des photographies.
Le jeudi 23 août 1973, je m’envolais pour le Mexique. J’étais devenu photographe.
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Les ombres au Ladakh...
En juillet 2019, nous sommes partis 15 jours au Ladakh, région himalayenne au nord de l'Inde. N'étant pas de grands sportifs, nous avions hésité à partir là-bas. En effet, c'est une région pour les amoureux du trekking.
Après nous être documentés nous avons donc orienté notre séjour sur des visites culturelles et de courtes randonnées. Nous n'avons pas été déçus, ce fut un voyage très dépaysant, avec une diversité d'activités et de paysages et un accueil chaleureux de la part de la population locale.
Avant d’arriver au Ladakh, une escale à Delhi est obligatoire. Tous les vols vers cette région montagneuse ont lieu tôt le matin (et seulement quand les conditions météorologiques le permettent). Nous avons donc passé la nuit dans l'aéroport de Delhi et en avons profité pour retirer de l'argent. Au Ladakh tout se paye en espèces.
Après une demi heure de vol nous survolons l'Himalaya...
Durant les 15 dernières minutes, le pilotage se fait à vue en slalomant au milieu des hauts sommets, frissons garantis.
Nous avons organisé ce voyage en trois périodes :
les temples autour de Leh durant 4 jours,
la région à l'ouest de Leh (Alchi, Lamayuru) pendant 4 jours,
la vallée de la Nubra au nord de la région durant 4 jours.
1- Leh et les temples alentours.
Il est essentiel de prévoir 24 h d'acclimatation à Leh.
Nous avons réservé nos 4 nuits à l’hôtel Mentokling guesthouse (https://www.booking.com/hotel/in/mentokling-guest-house-and-garden-restaurant.fr.html). Doté d'un accueil remarquable, chaleureux et attentionné, cet établissement dispose de chambres spacieuses (salle de bain privative) et d'un restaurant dans le jardin.
Nous avons visité les temples alentours en nous déplaçant quotidiennement avec un chauffeur de l'agence Nomadicway trouvée à côté de l'hôtel (http://thenomadicway.in).
Voici nos coups de cœur dans cette région :
Le temple de Stakna, à l'écart des sites touristiques : il offre une vue saisissante sur l'Indus et les montagnes enneigées en arrière plan.
Le monastère d'Hémis et son festival bouddhiste (11 et 12 juillet 2019) : ce temple, situé au bout d'une vallée, est le plus grand du pays. Nous y sommes allés la veille d’un important festival bouddhiste, pour les préparatifs : nous étions les seuls touristes, pas de foule locale et avons pu assister à des recueillements et prières à l'intérieur des temples.
La randonnée entre Shey et Thiksey : une randonnée facile d'une durée d'une heure entre ces deux sites. Le chauffeur nous a déposés au départ et récupérés à l'arrivée. Elle se situe le long de l'Indus et traverse un village.
2- L'ouest de Leh, en direction de Lamayuru.
Nous quittons Leh pour une excursion de 4 jours à l'ouest de Leh avec un chauffeur guide.
Il existe dans cette région le baby trek, un trek de trois à quatre jours dans la vallée du Sham, avec ses 4 à 5 heures de marche quotidiennes à 4000m d'altitude. C'est un trek réputé pour sa facilité mais même pour le faire, il vous faudra être bien entraînés ce qui n'est pas notre cas. Nous choisissons de visiter quelques temples en faisant des randonnées d'une heure ou deux autour.
Mais avant cela une halte s'impose à la confluence de l'Indus et du Zanskar.
Ici la vallée de l'Indus est beaucoup plus encaissée et moins verdoyante qu'à l'est !
Nos incontournables pour cette région :
Alchi, petit village historique avec l' un des monastères les plus anciens du Ladakh. Il vaut mieux y aller tôt le matin vers 9h pour profiter de la quiétude du lieu avec les Ladakhis qui viennent prier.
Le temple de Ridzong blotti au fond d'une vallée. Il s'agit d'un véritable village construit contre la montagne et doté de multiples coursives dans lesquelles nous avons adoré nous perdre. A partir de là, nous faisons une randonnée (de deux heures en aller-retour) afin de marcher un peu dans ce décor de rêve. Le départ se fait à l'arrière du temple dans une vallée étroite encaissée. Ici, pas d'inquiétude, les chauffeurs ont l'habitude et nous attendent tranquillement. Même si ce monastère est un peu excentré, il vaut vraiment le détour.
Les monastères de Temisgang et Tserkarmo. Situés l'un en face de l'autre au fond d'une vallée, ces deux sites méritent un détour pour la vue époustouflante. L'accueil par les moines y est très chaleureux. Une conversation s'engage avec l'un d'eux. Apprenant que nous sommes français, il s'exclame « yellow jacket »! Et oui, même ici au fin fond de l'Himalaya, les gilets jaunes ont fait parler d'eux.
Un gros coup de cœur pour le monastère de Wanla et la randonnée qui part à l'arrière du temple. Il s'agit d'un site perché dominant la vallée, seul lieu verdoyant du secteur. La vue est à couper le souffle, comme sur un balcon, nous surplombons la confluence de deux rivières, coulant au milieu des champs. Autour, les hauts sommets enneigés de plus de 6000m.
Ce vieux monastère est habité par deux moines qui nous accueillent avec un large sourire. Ils nous ouvrent les portes du site, somptueux ! Nous y restons quelques temps, nous nous y sentons vraiment bien. Puis, après ce moment de détente, nous enchaînons avec une marche à l'arrière du temple pour environ 2h aller-retour. Ici pas de flore ou de faune particulière mais juste des paysages somptueux. Notre corps s'habitue à l'altitude ; même si nous n'en avons pas l'impression, nous sommes à 4000m d'altitude.
Bon à savoir: Ce monastère est accessible en voiture ou à pied à partir de Lamayuru par une randonnée d'environ 4h (aller simple). Si vous souhaitez faire cette randonnée, vous trouverez facilement un guide dans le village de Lamayuru. Ce dernier village et son monastère ne présentent que peu d'intérêt sauf pour y dormir.
3- La vallée de la Nubra au nord de la région.
Nous quittons Leh très tôt le matin en direction du nord et la Vallée de la Nubra pour un trajet de 6h avec Srin, le chauffeur qui nous conduit depuis le début. Le trajet en lui même vaut le détour. La route, qui devient très vite une piste, serpente tantôt à flanc de montagne tantôt le long de rivière où s'abreuvent les yacks. Nous passons deux postes contrôles tenus par des militaires. Dans ce pays l'armée est omni présente et chaque jour nous croisons des dizaines de convois militaires.
Nous arrivons au fameux col de Khardung La, à 5200m d'altitude, sous une véritable tempête de neige, en plein dans les nuages. Ces conditions météorologiques renforcent la magie de ce lieu.
Bon à savoir : Pour accéder dans la vallée de la Nubra, il faut s'enregistrer quelques jours avant afin d'obtenir une autorisation payante (les agences de trek ou chauffeurs de Leh s'en chargent).
Les agences parlent de la vallée de la Nubra mais il s'agit bien en fait de deux vallées bien distinctes : d'un côté la rivière Nubra de Diskit à Panamik et de l'autre la rivière Shyok de Diskit à Turtuk (frontière pakistanaise).
Nous séjournons deux nuits à Hunder, lieu central pour la vallée de la Shyok, à l'hôtel Sand Dunes View Resort https://www.booking.com/hotel/in/sand-dunes-view-guest-house.fr.html
Nous avons une chambre spacieuse donnant sur un véritable jardin à l'anglaise avec son potager. Le lieu est paisible et un buffet est à disposition pour le dîner. Arrivés au restaurant le premier soir, nous préférons préciser que nous ne mangeons pas pimenté car nous sommes les seuls touristes européens dans l'hôtel. Le serveur nous dit de ne pas nous inquiéter, ce n'est pas épicé. A la première bouchée, le palais en feu, nous nous demandons ce que cela doit être lorsque c'est bien pimenté.
Nous avons adoré cette région, peu fréquentée par les touristes.
Ce que nous avons aimé dans la vallée de la Shyok :
le monastère de Diskit composé de deux sites qui se font face : le monastère adossé à la montagne et un bouddha de plus de 30m qui offre une vue impressionnante sur l'ensemble de la vallée.
les dunes de sable et la balade à dos de chameaux entre Hunder et Diskit. Nous avions chacun notre chameau et sommes partis avec un guide. Plusieurs forfaits sont possibles (30mn, 1h ou 2h) pour un prix tout à fait raisonnable. Dépaysement garanti avec une vue imprenable sur le désert de dunes entouré des montagnes enneigées de 6000m.
randonnée dans les gorges de la Zongpa : le départ se fait à côté du temple à la sortie de Hunder en direction du Pakistan. Le sentier débute à gauche de la route. Il longe la rivière, surplombée par des hautes falaises minérales. Il s'agit d'une randonnée en aller-retour pouvant facilement durer 2 heures.
Bon à savoir : malgré les recommandations de l'agence pour aller jusqu'au village de Turtuk, il n'est pas conseillé d'aller jusque là car proche de la frontière pakistanaise. Nous sommes allés jusqu'au village de Bosgang mais avons fait demi-tour car nous ne nous y sentions pas en sécurité.
Après deux jours et deux nuits à Hunder, nous partons pour la vallée de la Nubra, encore moins touristique.
Nous y passons notre unique nuit sous tente au Tiger Camp Nubra à Sumur. Il s'agit d'une chambre d'hôtel sous toile avec sa salle de bain en dur et un vrai lit. Un souvenir mémorable, seuls dans le camping face aux montagnes.
C'est un secteur très peu visité, notre chauffeur est étonné que nous voulions visiter deux sites connus seulement des bouddhistes locaux.
Nos deux coups de cœur dans cette vallée :
le monastère d'Ensa situé à la limite de la zone autorisée et accessible par une petite piste montant à flanc de montagne sur les 10 derniers kilomètres. Ce qui est intéressant n'est pas tant l'intérieur du monastère (seulement quelques peintures) que la zone située au-dessus de ce monastère. Un sentier un peu raide (10 mn à pied) mène à un champ de stupas. C'est un véritable promontoire qui domine la vallée, on se sent seuls au monde, face à cette immensité. Ces stupas d'un blanc immaculé et les quelques drapeaux de prières flottant au vent incitent à la méditation.
le lac de Yarab Tso caché derrière deux petites collines situées au beau milieu d'une grande plaine où broutent des chevaux sauvages. On y accède par une courte randonnée de 30 minutes. L'eau est bleue turquoise et limpide tel un lac de montagne. C'est un lieu de recueillement pour les bouddhistes.
Le lendemain, nous reprenons la route pour Leh, toujours bercés par la musique locale que notre chauffeur écoute et nous fait découvrir. Nous avons tellement aimé certains airs qu'encore aujourd'hui il nous arrive d'écouter « Om mani padme um » (https://www.youtube.com/watch?v=8UOcXiBGGb8), Kal Ho Naa Ho (https://www.youtube.com/watch?v=g0eO74UmRBs).
En chemin, notre chauffeur nous annonce « mammouths, mammouths », nous apercevons alors une marmotte bien dodue dans l'herbe à quelques mètres de la route. Un peu plus loin, à notre grand étonnement, il nous indique la présence de « phoques », en réalité un petit renard, autrement dit « fox ». Notre chauffeur parle anglais mais avec un léger accent, rendant quelques situations comiques comme celles-ci.
Au retour nous nous arrêtons au col de Khardung La sous un soleil radieux. A cette altitude, la météo change très vite. Nous profitons ainsi d'une vue dégagée et grimpons quelques marches menant à un petit temple. Situés à 5200m, nous avons le souffle court mais la vue en vaut la peine !
Nous rejoignons notre hôtel de Leh pour une dernière nuit au Ladakh avant de partir à l'aéroport à 6h du matin le lendemain. Arrivés à l'aéroport, le temps est nuageux et nous apprenons qu'aucun avion ne décolle aujourd'hui. Nous sommes déçus et frustrés car nous ratons par la même occasion notre correspondance Delhi-Paris. Nous réessayons le lendemain matin et achetons un autre billet à 150€ par personne pour un vol Leh – Delhi. Arrivés à Delhi, nous devons aussi racheter un billet Delhi – Paris pour un coût exorbitant !
Bon à savoir : en conclusion de cette mésaventure, il faut prévoir une nuit minimum de battement à Delhi car les vols entre Delhi et Leh dépendent de la météo : les annulations sont fréquentes et les billets non remboursés.
La faune et flore locales :
Dans cette région quasi désertique de l'Inde, la faune et la flore sont relativement rares.
La gastronomie:
La cuisine du Ladakh est un mélange entre celle du Tibet et celle de l'Inde, plutôt très épicée et piquante ! On y trouve de nombreux plats végétariens et quelques spécialités telles que « les momos » (petits raviolis fourrés à la viande ou au légumes). De manière générale, il est possible de se restaurer pour quelques roupies.
Bon à savoir : Le restaurant « Tibetan Kitchen » à Leh qui présente une carte variée, des tables en extérieur éclairées à la lueur des bougies pour un prix très raisonnable. L'endroit est fréquenté et il vaut mieux s'y présenter assez tôt (19h30 maxi) car il n'y a pas de réservation possible.
Le Ladakh à travers le regard de Cécile :
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Vendredi 27 mars 2020
Jour 10 - (je ne sais plus)
Je me réveille tôt comme chaque matin, impossible de faire des grasses mats. 8:30-9h Max !
Petit-dej avec du soleil qui traverse le salon, tellement agréable de le voir dès le matin. Vraiment un plaisir matinal. Dans ma tête à chaque fois j’me dis « grave lourd ça va bronzée sec ajd »
C’était du mitho rêvé puisque j’ai commencé à nettoyer la maison, j’avais comme planning: petit dej, faire lettre de motivation, dej, sport.
Mdr j’ai commencé à sortir les produits de nettoyage et à trouver des choses à nettoyer au lieu de travailler. Il y’a pistache ( le chat des Priou) qui réside. Enfin plus clairement nous résidons chez Pistache, donc comme il y’a un chat, il y a des poils, donc c’est une vrai excuse les sessions nettoyage.
Du coup je me suis mise devant mon ordi vers 11:30-12h je pense et j’ai fini ma lettre de motivation à 20h mdrrrr une vrai productivité quoi.
En vrai c’était long vous allez dire mais c’était plaisant, j’étais contente de faire qql chose d’interessant et d’utile. De lire des trucs sur les futurs cours, de faire des recherches sur l’école, de trouver un sens à ma lettre. D’envoyé ma lettre à mes cops pour qu’elle me fasse des retours, de la corriger, de la continuer et toussa vrmt j’ai aimé faire ça. J’avais une angoisse je me disait ça va être trop long trop dur, donc je repoussait les jours pour ne pas la faire. Au final c’était que des angoisses. Fallait juste s’y mettre ma belle.
Je me suis mise au soleil pour travailler c’était parfaitttttt !! je pouvais bronzée et en même temps travailler. Top moi ça me va parfaitement.
Déjeuné sur la terrasse : pâte au poireau et aubergine trop trop bon ! Les poules ont kiffées aussi !
Ensuite je me suis remise à faire mes lettres, j’ai pris une douche, fait plusieurs masques.. Eloïse qui me dit que je vais me cramer la peau si je ne respecte pas les conseils d’utilisation de son masque à l’argile. Du coup je cours à la salle de bain me nettoyer. C’était déjà trop tard mdrrr, ma peau était un peu brûlée...
Ensuite je me met sur insta et j’écoute mes deux potes comédiens faire un direct. Sujet plutôt intéressant : la tromperie.
Pas grand monde rejoins mon avis sur la tromperie, puis à la fin j’arrive à partager mon point de vu ce qui a permis la remise en question .. vive les débats
Dîné devant un épisode de BM et puis dodo.
Pas de sport ajd j’ai un peu le seum, mais bon au moins j’ai réussi à faire ma lettre.
Demain grosse session 🧘🏻♀️
J’vous embrasse les sœurs
PS: Le confinement c’était coool ajd
Ange-
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