#ministère de la guerre
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artsandculture · 4 months ago
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Liberty Leading the People (1830) 🎨 Eugene Delacroix 🏛️ The Louvre 📍 Paris, France
Perhaps Delacroix’s most influential and most recognizable paintings, Liberty Leading the People was created to commemorate the July Revolution of 1830, which removed Charles X of France from power. Delacroix wrote in a letter to his brother that a bad mood that had been hold of him was lifting due to the painting on which he was embarking (the Liberty painting), and that if he could not fight for his country then at least he would paint for it. The French government bought the painting in 1831, with plans to hang it in the room of the new king Louis-Philippe, but it was soon taken down for its revolutionary content. Lady Liberty was eventually the model for the Statue of Liberty, which was given to the United States 50 years later, and has also been featured on the French banknote.
Peint de septembre à décembre 1830 dans l'atelier loué par Eugène Delacroix au 15 (actuel n°17 ?) quai Voltaire, à Paris ; envisagé pour la deuxième Exposition au profit des blessés de Juillet 1830, galerie de la Chambre des Pairs (palais du Luxembourg), Paris, janvier 1831 (n° 508 du livret sous le titre "Une Barricade"), en réalité non prêté ; admis par le jury le 13 avril 1831 et exposé au Salon de 1831 (ouvert du 1er mai au 15 août), Paris, Musée royal (Louvre), n° 511 du livret sous le titre "Le 28 juillet. La liberté guidant le peuple" (n° 1380 du registre d'entrée des ouvrages au Salon, sous le titre "La Liberté guidant le peuple au 29 juillet" [sic], aux dimensions de "293 x 358 cm" cadre compris) ; envisagé comme achat de la Liste civile du roi Louis-Philippe Ier, en juillet 1831, au prix de 2 000 francs, finalement acheté à l'artiste par le ministère du Commerce et des Travaux publics en août 1831, au prix de 3 000 francs (en remplacement de la commande à Delacroix, au même prix, d'un tableau d'histoire ayant pour sujet "Le roi Louis-Philippe Ier visitant la chaumière où il logea près de Valmy, le 8 juin 1831", annulée suite au désistement de Delacroix) ; présenté au musée du Luxembourg, Paris, en 1832 et en 1833 (n° 160 du supplément au catalogue du musée) ; mis en réserve vers 1833-1834 ; confié à l'artiste vers 1839 qui le met en dépôt au domicile de sa tante, Félicité Riesener, et de son cousin Léon Riesener, à Frépillon (Val-d'Oise) ; réclamé à l'artiste par la direction des Musées nationaux (ministère de l'Intérieur) en mars 1848 (Delacroix demande à cette occasion une augmentation du prix de 7 000 francs, soit un total de 10 000 francs ; cette augmentation lui est refusée) ; prêté par Delacroix au peintre et entrepreneur lyonnais Alphonse Jame entre mai 1848 et mars 1849, en vue d'être exposé à Lyon, contre 1000 francs (payés en deux versements de 500 francs, le 11 septembre 1849 et le 8 mars 1850) ; rentré à Paris et restitué à l'administration en mars 1849 ; possiblement présenté au musée du Luxembourg, Paris, à partir de juin 1849 jusqu'en 1850 (mais absent du catalogue du musée) ; mis en réserve dans les magasins du musée du Louvre de 1850 à 1855 ; présenté à l'Exposition universelle, Palais de l'Industrie et des Beaux-arts, Paris, 1855, n° 2926 du livret ; mis en réserve dans les magasins des Musées impériaux de 1856 à 1863 ; présenté au musée du Luxembourg, Paris, de 1863 à 1874 ; déplacé du musée du Luxembourg au musée du Louvre en novembre 1874 ; inventorié pour la première fois, sous le n° "R.F. 129", en 1875 et présenté à partir de cette date dans la salle des États au musée du Louvre ; mis en sécurité pendant la Première Guerre mondiale au couvent des Jacobins, à Toulouse (Haute-Garonne) de 1914 à 1918 ; restauré par Lucien Aubert (nettoyage et réintégration de la couche picturale) à Paris en 1920 ; mis en sécurité pendant la Seconde Guerre mondiale au château de Chambord (Loir-et-Cher) en 1939, puis déplacé au château de Sourches, Saint-Symphorien (Sarthe), le 29 septembre 1943 ; rentré du château de Sourches au musée du Louvre, Paris, le 16 juin 1945 ; restauré par Raymond Lepage et Paul Maridat (rentoilage) et par Georges Zezzos (allègement et réintégration de la couche picturale), au musée du Louvre durant l'été 1949 ; présenté au musée du Louvre dans la salle Mollien d'octobre 1949 à 1969, puis en salle Daru de juin 1969 à juin 1994, puis en salle Mollien depuis décembre 1995 ; restauré par David Cueco et Claire Bergeaud (remplacement du châssis, pose de bandes de tension sur les bords de la toile) au musée du Louvre en janvier-février 1999 ; restauré par Bénédicte Trémolières et Laurence Mugniot (nettoyage et réintégration de la couche picturale) au musée du Louvre, d'octobre 2023 à avril 2024.
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transparentgentlemenmarker · 9 months ago
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Maria Zakharova à Emmanuel Macron. Concernant les déclarations d'Emmanuel Macron sur la possibilité d'envoyer des troupes de l'OTAN en Ukraine. Je voudrais vous rappeler qu'il y a à peine un mois, le chef du ministère français des Affaires étrangères avait nié l'implication de Paris dans le recrutement de mercenaires pour le régime de Kiev et avait qualifié les preuves directes de « propagande russe grossière ». Il existe un fort sentiment que le président français, en principe, n'est conscient ni de ce que disent ses subordonnés ni de ce qu'il dit lui-même
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🌍 Le secrétaire général de l’OTAN, Stoltenberg, s’est désolidarisé des propos du président français, en annonçant qu’il mentait.
🇩🇪 Olaf Scholz, le chancelier allemand, tourne également le dos à la France. Il affirme que le président Macron a tout inventé et qu'il n'y aura pas d'offensive militaire contre la Russie.
🇪🇺 La Grèce, la Pologne, l’Autriche et la Suède ont également démenti la « fake news », du président français.
🔎 Les propos ont été repris par les journaux du monde entier ce matin. De son côté, le porte-parole du Kremlin annonce que la Russie est prête à la guerre et que celle-ci semble inévitable, au vu des déclarations de la France.
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Welcome to my office, take a seat please
My name is Louis-Antoine-Léon Saint-Just. Call me Saint-Just or citizen. Refrain from using my first names unless we know each other. Do not use the particule. (That's the "de" before Saint-Just.) Unlike what some malicious gossip would have you believe, I am not a noble, and the "de" is not an indicator of such things. I am not a chevalier (knight) either. This honor was bestowed upon by humble father after twenty-five years of dedicated military service for the Last Tyrant, who elevated him at his retirement. The title was not hereditary. Do not pester me with this.
I am a member of the Convention nationale and of the Comité de salut public. I was a member of the committee in charge of redacting our ill-fated Constitution of Year One (1793, old style). It was born, but never allowed to grow. My enemies murdered it before it could take its first breath. My last project on designing institutions for our new Republic was snuffed out as well.
During my mandate on the Committee of Public Safety, I was sent as an extraordinary envoy attached to the army of the Rhine and then the army of the North, to ensure their actions and those of the local governments remain in line with the Revolution and its goals. We had to triumph, and thus we did.
I do not have much time for leisure but I enjoy writing, horse-riding and sightseeing when I can. I have a fondness for old ruins being reclaimed by nature, which I attribute to witnessing such happen to the château near the village where I grew up.
The nights are often long and lonely. There is much paperwork to go through. I remember once writing:
Le ministère est un monde de papier ; je ne sais point comment Rome et l'Égypte se gouvernaient sans cette ressource ; on pensait beaucoup, on écrivait peu... Les bureaux ont remplacé le monarchisme, le démon d'écrire nous fait la guerre, et l'on ne gouverne point.
And yet here I am, ready to answer your questions or comments. It won't make much of a difference, will it?
One last thing...
Do not presume to act with overt familiarity towards me. In other times, I might have been more likely to be convinced of your pure intentions. But times have changed.
***
General Note
This is a semi-serious RP blog. That means that while I try to keep a serious tone when I RP, there are still obviously comedic and lighthearted elements slipping in. I try to RP Saint-Just the way he seems to me after many many many years of studying him. He might not correspond to the historical Saint-Just. He has some particularities that historians don't all agree on, and I put in some of my headcanons that might not be shared by all.
You are free to send whatever you want, even nsfw, as long as you are respectful and use common decency. (It's still the Thermidor Crisis for a few days so be mindful about that.) I'm a person, not a chatbot.
However, you should know that Saint-Just and I reserve the right to use whatever you send however we see fit, maybe even as a prompt to discuss something else, and that you should expect your commentary or question to never actually be answered the way you want ;)
I've answered every ask I've got so far - so if yours hasn't been yet, it's because I'm still working on a response! Even though I know Saint-Just very well, there are always things one is required to study or think about!
Salut et fraternité, citoyen-ne-s.
(Last updated: 30 July 2024.)
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carbone14 · 2 years ago
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Cavalier polonais avec un fusil antichar wz.35 – 1938
©Ministère de la guerre - Pologne
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thebusylilbee · 1 month ago
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"L’absence de réaction de l’Occident face aux actions israéliennes et aux dizaines de milliers de civils tués se situe au-delà du double standard dénoncé depuis des mois. Il s’agit bien de complicité active de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité commis par un État voyou.
La rapidité et la violence des bombardements sur Beyrouth créent une forme de sidération, au Liban comme ici. Et la litanie des morts sans nom et sans sépulture, souvent civils, qui s’amoncèlent sous les frappes prétendument ciblées de l’armée israélienne, possède désormais un effet anesthésiant.
Comme le notait l’historien Vincent Lemire le 4 septembre au micro de France Inter, quelques jours avant l’offensive sur le Sud-Liban et Beyrouth : « On ne connaît pas les histoires et les visages des morts à Gaza. Au moins 40 000 morts, dont au moins 30 000 femmes et enfants à Gaza, innocents par définition… Ces chiffres ont pratiquement une capacité anesthésiante sur nous. Il y a quelques mois, on programmait des émissions parce qu’on parlait de 30 000 morts et non plus de 20 000. Mais aujourd’hui ces chiffres ne nous disent plus rien. On est obligé de les rapporter à une réalité française pour qu’ils continuent de nous frapper. »
Un mois après les massacres du 7 octobre, nous écrivions que « rapportés à la population israélienne, il a été dit que les massacres du 7 octobre ayant fait plus de 1 300 victimes équivalaient, en France, à un Bataclan qui aurait coûté la vie à 9 500 personnes. Si l’on prolonge ces calculs sordides, et qu’on rapporte les 9 000 morts de Gaza à une population totale d’environ 2,3 millions d’habitant·es, c’est comme si, en quatre semaines, la France avait perdu 264 000 habitants, dont plus de 100 000 enfants ».
Si l’on poursuit encore l’extrapolation macabre et que l’on se base sur un chiffre de désormais 41 000 morts à Gaza, la population palestinienne gazaouie engloutie depuis un an équivaut donc à 1,2 million de tués rapportés à la population française, soit à peine moins que le nombre de Français tués pendant la boucherie de la Première Guerre mondiale.
Guerre de vengeance
Mais puisqu’il n’est pas certain que même cette comparaison suffise à frapper les esprits, sans doute faut-il oser un autre parallèle. Si on se base sur les chiffres donnés par les ministères de la santé à Gaza et au Liban et qu’on ajoute une estimation basse des victimes sans nom ni sépulture qui se trouvent encore sous les décombres, on atteint au moins 60 000 morts directes dans les frappes de l’artillerie et de l’aviation israélienne.
Ce qui revient à dire qu’Israël a commis, depuis un an, l’équivalent d’un massacre du 7 octobre chaque semaine. Pourtant, aucun dirigeant occidental ne s’est précipité à Ramallah ou à Beyrouth pour exprimer son horreur devant le carnage. Aucun chef d’État ou de gouvernement n’a assuré les peuples palestinien et libanais de son soutien total face aux agressions. [...]
Cette guerre menée par Israël – guerre de représailles et de dissuasion mais aussi de vengeance – fait couler des rivières de sang dont les mains des dirigeants occidentaux – et avant tout étatsunien, c’est-à-dire Joe Biden mais aussi Kamala Harris en tête – sont entachées, tant ils partagent de responsabilités avec les criminels qui gouvernent Israël.
L’effacement des civils
Dans le monde post-7 octobre, bien préparé par le monde post-11 septembre et les centaines de milliers de morts d’Irak ou d’Afghanistan, c’est ainsi la notion même de population civile qui s’efface, en tout cas si ces civils ont le malheur d’être arabes ou musulmans.
Ce n’est pas seulement que les morts et les prisonniers israéliens ont des noms, des visages et des histoires, contrairement aux corps pourrissant dans les fosses communes de Gaza, enfouis dans les décombres de la banlieue sud de Beyrouth ou retenus dans les geôles inaccessibles du Néguev.
C’est qu’un corps palestinien ou chiite ne vaut plus rien aux yeux des Israéliens en particulier, et des Occidentaux en général, comme le manifeste la démesure des chiffres que l’on peut aujourd’hui mettre en regard.
Si l’on mesure non seulement les morts provoquées directement par les bombardements israéliens à Gaza, mais aussi toutes les victimes indirectes, notamment du fait des maladies et du manque d’accès aux soins, on peut sans doute facilement doubler le chiffre de 60 000 victimes, sans aller jusqu’aux 186 000 victimes comptabilisées par une publication récente du Lancet.
Ce qui signifierait qu’avec une estimation plausible de 120 000 morts à Gaza, on aurait déjà une centaine de morts palestiniens, pour un mort israélien le 7 octobre. Des chiffres effarants, à comparer avec un rapport de 7 à 1 pendant la première Intifada et de 3 à 1 pendant la seconde.
Autre exemple du décalage profond entre l’importance des corps et des vies d’un côté à l’autre de la barrière de Gaza ou du fleuve Litani : l’offensive israélienne au Liban a été justifiée par son gouvernement par la nécessité de permettre aux 60 000 déplacés du nord d’Israël de retourner dans leurs maisons.
Sans sous-estimer la vie devenue invivable de ses populations, que nous avions d’ailleurs documentée dans un reportage récent, comment est-il possible d’accepter une telle justification alors qu’elle se paye de l’exil forcé de déjà plus d’un million de Libanais ?
Les complicités occidentales
De cet effacement des civils libanais et palestiniens, l’Occident est comptable à plus d’un titre. D’abord en fournissant les armes et les devises nécessaires à ce carnage. Au moment même où il frappait Beyrouth et où les États-Unis affirmaient n’avoir pas été mis au courant, le gouvernement israélien se faisait un malin plaisir d’annoncer une nouvelle aide de 8,7 milliards de dollars en provenance de l’allié américain.
Dans quel monde peut-on trouver logique, comme ce fut le cas en avril dernier avec la levée du véto républicain au Congrès, de débloquer une « aide » comparable pour l’Ukraine attaquée par le régime de Poutine ; pour Taïwan sous la pression du régime chinois et pour Israël capable de détruire en quelques jours la menace du Hezbollah libanais après avoir réduit en miettes les infrastructures du Hamas ?
Ensuite, en refusant de reconnaître un État palestinien, à quelques rares exceptions près, telles la Norvège, l’Irlande et l’Espagne. Le Moyen-Orient est de fait bouleversé par la décapitation du Hezbollah – une action en passe de prouver que la menace iranienne sur Israël demeure circonscrite, tant le régime des mollahs est contesté en interne et incapable de rivaliser militairement avec un État hébreu soutenu par les États-Unis.
Dans ce moment majeur de redistribution des cartes, l’urgence est pourtant à une action diplomatique imposant la création d’un État palestinien sans lequel les logiques meurtrières et génocidaires à l’œuvre ne pourront que difficilement connaître de répit. [...]"
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nesiacha · 2 months ago
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Request to access some information about Ronsin
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According to Laboureau's diary , if I'm not mistaken, Ronsin says he adopted a son. Is this true or not?
Finally, I would like to access some information on BNF that I can't find, namely "Correspondance de Ronsin, commissaire ordonnateur en chef de l'armée de la Belgique, avec les commissaires de la convention nationale, le ministère de la guerre, etc." (1793) avec Charles-Philippe Ronsin (1752-1794)" translation into English "Correspondence of Ronsin, chief commissioner of the army of Belgium, with the commissioners of the national convention, the ministry of war, etc." (1793) with Charles-Philippe Ronsin (1752-1794)
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theoshiper · 19 days ago
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Bonjour !
Pour ceux qui voudraient faire du rp voici mon serveur de RP Harry Potter à l'époque de Tom !
(Je cherche notamment quelqu'un pour jouer Tom et faire du Tomarry)
RP Tom Riddle Era et les Voyageurs Temporels
Contexte
L’année scolaire de 1942 commence à Poudlard, marquant la cinquième année de Tom Riddle, et plusieurs événements se croisent et s’entremêlent.
Aux quatre coins du temps, des individus de toutes époques sont transportés en juillet 1942, après avoir touché une pierre couverte de runes, quelque part à leur époque. Ils sont alors transportés dans la salle du Voile, où le ministère de la Magie les prend en charge. Une nouvelle identité est donnée aux voyageurs, ainsi qu’une fausse histoire à maintenir.
Mais ils n’arrivent pas dans une période clémente : la guerre fait rage autant chez les Moldus que chez les sorciers.
Chez les Moldus, la Seconde Guerre mondiale fait des ravages, Londres est dévastée par le Blitz, des communautés entières en Europe sont transportées de force sans jamais revenir… tandis que l’Allemagne gagne de plus en plus de terrain et que les combats se multiplient. Les discriminations sont d’autant plus fortes et la désolation est reine.
Chez les sorciers, Grindelwald prend également de plus en plus d'ampleur, fait des ravages, des attaques, des assassinats, des enlèvements en Europe même s’il ne s’attaque pas à la Grande Bretagne. Les tensions entre sangs purs, sang mêlés et née moldus sont d’autant plus grandes et se cristallisent chez la jeune génération.
Vous trouverez :
- Une communauté en construction, bienveillante et LGBT friendly
- La possibilité de jouer des personnages canons ou des OCs de l’époque de votre choix
- Un contexte politique riche avec la possibilité de jouer des adultes tout comme des élèves
- Un bot spécialement créer pour le serveur
- La possibilité de faire des “What If” à n’importe quelle époque et d’explorer différents scénarios.
Vos choix auront des conséquences !
Votre lettre :
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lepartidelamort · 3 months ago
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Les Sages de Sion à l’origine de l’arrestation de Pavel Durov
Durov est la cible d’une cabale aux larges ramifications.
L’angle d’attaque de la « justice » française est basique : comme patron de Telegram, Durov est coresponsable de tous les crimes ou délits que des utilisateurs auraient pu commettre via son réseau social, partout dans le monde.
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Selon cette logique, le patron d’Orange devrait être arrêté pour avoir fourni internet à des criminels.
De même pour le patron d’Apple pour avoir fourni des smartphones à des criminels.
Macron, tout comme les juges à sa botte, n’est que l’instrument de commanditaires beaucoup plus puissants.
Il s’agit bien sûr du gouvernement américain.
Washington se sert des états croupions de l’UE pour faire ce que la loi américaine ne permet pas.
L’idée des juifs est de faire plier les réseaux sociaux qui seraient tentés de leur résister, même partiellement.
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Ces derniers temps, Durov n’était pas dans les petits papiers des juifs.
Haaretz :
Il y a quelques mois, des pirates informatiques étrangers ont réussi à s’introduire dans un ordinateur lié au ministère israélien de la justice. Des dizaines de milliers de fichiers classifiés et de courriels sensibles ont été divulgués. Des liens permettant à quiconque de télécharger ces fichiers ont été publiés sur Telegram, l’application de messagerie instantanée la plus populaire.
Cependant, ils ont rapidement commencé à disparaître. L’un après l’autre, les canaux Telegram des pirates ont été supprimés, leurs utilisateurs effacés et les messages contenant les liens de téléchargement disparus.
Selon un certain nombre de personnes bien informées, Israël mène une guerre numérique sur plusieurs fronts pour tenter d’endiguer la fuite apparemment sans fin de ses informations. Il s’agit notamment de surveiller le web et les sites de médias sociaux à la recherche de fuites et d’adresser des demandes de retrait légal à des entreprises technologiques telles que Google, Amazon, Meta et même Telegram, afin de les supprimer ou de les bloquer.
Depuis le 7 octobre et jusqu’à aujourd’hui, nous avons assisté à un effort concerté de cyber-attaques, dont certaines sont directement liées ou attribuées à des États ennemis et à des organisations terroristes, pour mener des « attaques de perception sous la forme de publication de fuites », explique Haim Wismonsky, directeur de l’unité cybernétique du bureau du procureur de l’État israélien, qui fait partie du ministère de la justice et qui est l’organisme chargé de déposer les demandes effectives auprès des entreprises technologiques.
« La publication de ces fuites a pour but de faire peur, d’inspirer la panique au public et de donner le sentiment que nous sommes exposés et pénétrables, mais elle vise également à causer des dommages économiques, voire à mettre en danger la vie des personnes dont les données personnelles sont incluses dans ces fuites », a expliqué M. Wismonsky à Haaretz.
Cette politique et la manière dont elle est mise en œuvre font d’Israël un cas unique. De nombreux pays, dont les États-Unis, prennent généralement des mesures pénales ou juridiques à l’encontre des auteurs de fuites, qu’ils soient étrangers ou locaux, mais s’accommodent de l’existence de la fuite en ligne. Israël, en revanche, utilise les règles internes des entreprises technologiques pour les inciter à retirer les produits piratés en son nom – et empêcher ainsi les données divulguées d’atteindre le public ou les journalistes, tant en Israël qu’à l’étranger.
Les plateformes, même celles qui sont considérées comme hostiles aux demandes des gouvernements, comme Telegram, ont mis en place des règles destinées à les défendre contre les ramifications juridiques de la conduite de leurs utilisateurs. Il peut s’agir de demandes de retrait pour violation des droits d’auteur ou de plaintes pour diffamation.
Les documents piratés entrent dans la catégorie générale des biens volés, de sorte que les politiques mises en place pour empêcher la diffusion de fichiers permettant de télécharger illégalement des films ou des séries télévisées peuvent également être utilisées pour retirer des documents piratés, volés sur des serveurs israéliens sans le consentement de l’utilisateur.
Ces derniers mois, par exemple, des demandes israéliennes signalant des violations des conditions d’utilisation de Telegram ont conduit à au moins dix suppressions d’utilisateurs et de canaux de groupes de pirates. Souvent, ce sont les mêmes groupes de pirates qui, sans se laisser décourager, ont ouvert un nouveau canal et posté de nouveaux liens vers les mêmes fuites.
Depuis le début de la guerre, Telegram s’est révélé être un défi de taille pour Israël. Alors que de nombreuses entreprises technologiques ont rationalisé les mécanismes par lesquels les États peuvent les contacter, Telegram est considéré comme le moins coopératif de tous.
Qui plus est, alors que de nombreuses plateformes de médias sociaux ont investi massivement dans la modération, permettant aux personnes et aux organisations d’aider à surveiller le contenu – par exemple, le retrait de contenu antisémite ou de messages incitant au terrorisme ou même le retrait de vidéos du massacre du 7 octobre – Telegram ne l’a pas fait. Les États et les utilisateurs disposent d’une adresse électronique unique à laquelle ils peuvent envoyer leurs griefs.
Telegram est apparu au début de la guerre comme une plateforme clé utilisée par le Hamas dans sa guerre de l’information contre Israël, une plateforme qu’Israël n’a pas été en mesure de traiter correctement, faute de capacités de surveillance et de compréhension de la plateforme. Préoccupés par la vague de contenus pro-Hamas, qui comprenait des vidéos de l’attaque elle-même ainsi qu’un flux constant de matériel de propagande, des Israéliens du secteur des hautes technologies ont tenté, à la fin de l’année 2023, de contacter le fondateur de Telegram, Pavel Durov.
Bien qu’ils aient réussi à contacter Durov, qui vit aux Émirats arabes unis, celui-ci s’est montré peu réceptif à ces demandes privées d’amélioration de la modération sur la plateforme. Bien que quelques pages liées directement à l’aile militaire du Hamas aient été bloquées localement par la suite, l’initiative privée n’a pas réussi à convaincre le fondateur de l’application. Des sources expliquent que Google ou Meta retireront une page s’il s’avère qu’elle est directement liée au Hamas et qu’Amazon supprimera un site web pour avoir hébergé du matériel terroriste.
Sur Telegram, le contenu ne peut pas être supprimé avec de tels arguments. Seules les marchandises manifestement volées seront retirées, ce qui fait des réclamations de contenu la seule voie efficace pour les autorités juridiques israéliennes. Les données parlent d’elles-mêmes : Selon les chiffres officiels fournis par Israël, le ministère de la justice a envoyé à Facebook plus de 40 000 demandes de retrait de « contenu illégal » qui ont été acceptées. Il ne s’agit pas de messages pro- ou anti-israéliens, mais de contenus illégaux au regard des normes occidentales. Même TikTok a retiré plus de 20 000 messages signalés par Israël. Sur Telegram, ce nombre est légèrement supérieur à 1 300.
Les juifs veulent faire main basse sur Telegram.
Si Durov veut pouvoir à nouveau faire le tour du monde avec des prostituées slaves, il va devoir donner aux juifs ce qu’ils veulent.
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lupitovi · 1 year ago
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Shaka Ponk - Tout le monde danse 
Je sors à peine de la crise de nos quarantaines  Et je me traîne, j’me traîne. Les autres sont repassés sur le même thème Mais je ne suis pas la même, pas la même. 
Même si tout le monde danse en belle Assemblée et que le beat cogne Même si quelques-uns pensent à se rassembler et que les flics cognent 
Everybody dance Everybody dance 
Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody 
Tout le monde danse quand ces gens-là claquent des doigts Mais moi je danse pas. 
Tu dis que l’amour existe et que le SYS t’aime Mais je suis ken, j’suis ken Tout le monde s’écrase, toute le monde rejoue la même scène Mais ça ne vaut pas la peine, pas la peine. 
Même si tout le monde danse pour ne pas penser (Ou ne pense qu’à dépenser) Même quand tous ces gosses pensent à tout balancer c’est du mineur en majorité. 
Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody  
Tout le monde danse quand ces gens là claquent des doigts Mais moi je danse pas. 
Je danse pas cet air, Je danse pas les fausses guerres. Je danse pas quand on me dicte tout et son contraire. J’danse pas quand ces gens là claquent des doigts. Les aiguilles de fer dans des clés de bras, j’danse pas . Je danse pas pour le beat qui s’agite dans le ministère Big Pharma, j’danse pas Quand la vie s’enterrent sous les carrières leurs messages d’amour pour la terre, j’danse pas. 
 Les badass qui t’défoncent, qui t’effacent, qui t’encrassent l’art,  la terre et les artères en fêtant des lois, votées au pas de l’oie, dans des orgies romaines , Paris 7éme. 
Je danse pas Et je prends pas la pose, pour qu’on nous fourre des doses sous hypnose médiatique les Trois Singes en laisse, pour une Presse en sbire Ne rien voir, ne rien entendre et ne rien dire 
J’danse pas Quand ces gens-là claquent des doigts,  Je pense pas, comme ces tâches qui croient que pour que rien ne s’effondre, il suffit de s’en foutre. Et ce cri de la Vie, que personne n’écoute. 
J’danse pas pour les mass médias, pour les putes à clic et les politiques qui s’échangent des gosses par millions de minois mijotés,  asservis pour les putes à lobbies sur insta. 
J’danse pas sur la peur, les coups bas, les muselières aux infirmières Les docteurs bannis des médias pour laisser les antennes aux promos de la haine d’un faux candidat. 
J’danse pas pour ces mioches au pouvoir  Des urnes fourrées au désespoir J’danse pas pour ces sales gosses ripous qui cassent le vivant comme un vieux jouet dont on se fout. 
J’danse pas Si on me prends pour une bonne J’danse pas Quand on me prend pour conne Je danserai toujours pour ma belle Daronne pour pas que sa Nature ne nous abandonne. 
Tout le monde danse quand ces gens-là claquent des doigts Mais moi je danse pas. Tout le monde danse quand ces gens-là claquent des doigts Mais moi je danse pas. 
Mais comme il suffit de ne pas s’en faire et se faire notre mère la terre Comme il suffit de ne pas s’en faire Comme il suffit de ne pas s’en faire.
Ne pas s’en faire et se faire notre mère la terre Il suffit de ne pas s’en faire Il suffit de ne pas se faire chier. 
Mais comme il suffit de ne pas s’en faire et se faire notre chère mer Comme il suffit de ne pas s’en faire Comme il suffit de ne pas s’en faire. 
Ne pas s’en faire et se faire notre mère la terre Il suffit de danser binaire Il suffit de ne pas se faire chier.
Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody
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aurevoirmonty · 8 months ago
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« L’Ukraine a perdu… nous avons une armée de majorettes à côté des Russes » indique un rapport secret de l’armée française.
L’armée française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piqué le président au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels défense expliquent « l’affolement » de l’Élysée, où les chefs de partis sont invités ce jeudi 7 mars à évoquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face à Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoqué un tollé en Europe et écopé d’un désaveu américain. Plusieurs militaires français, interrogés par Marianne, disent, eux, être « tombés de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armée de majorettes ! », raille un haut gradé, persuadé que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’Élysée, on assume la position : « Le président voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimétrés et calibrés ».
Au ministère des Armées, dans l’entourage de Sébastien Lecornu, on défend la parole présidentielle : « L’état des forces en Ukraine est très préoccupant. Les propos du président appellent à un sursaut et montrent qu’on est à un tournant. » Comment en est-on arrivés là ? Plusieurs rapports confidentiels défense, que Marianne a pu consulter, évoquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble désormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries européennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyée par du matériel occidental, allait renvoyer l’armée russe à Moscou. Rédigés cet automne, les « retex » (retours d’expérience) de l’opération sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisée dans la boue et le sang et ne s’est soldée par aucun gain stratégique », écrit un rapport confidentiel défense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accès. En amont, la planification, imaginée à Kiev et dans les états-majors occidentaux, s’est révélée « désastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dès que les premières lignes de défense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait […] Ces phases préliminaires fondamentales ont été faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en défensif : c’est-à-dire la volonté du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport évoquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituées l’ont essentiellement été sur le plan administratif » et les formations n’ont pas duré plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vétérans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont été lancés à l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avérée inexpugnable ». Sans aucun appui aérien, avec du matériel occidental disparate et moins performant que l’ancien matériel soviétique (« vétuste, facile d’entretien, et apte à être utilisé en mode dégradé », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bénéfices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage électronique pénalisant, côté ukrainien, l’utilisation de drones et les systèmes de commandement ». « L’armée russe est aujourd’hui la référence “tactique et technique” pour penser et mettre en œuvre le mode défensif », écrit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du génie lui ayant permis de construire des ouvrages défensifs (« absence presque totale de ce matériel côté ukrainien, et impossibilité des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un général russe), ont été minés dans des proportions énormes (7 000 km de mines).
Les généraux occidentaux, tout particulièrement américains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel désastre, mais leur arrogance a été plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de défense russe malgré plus de 5 mois d’offensive.
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Un nombre effrayant d’hommes ont été envoyés à la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est déterminée à en faire tuer beaucoup plus pour le même résultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gérer leur troupe de réserve, pour garantir l’endurance opérationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unités avant leur usure complète, mélange les recrues à des troupes aguerries, ménage des périodes de repos à l’arrière régulières… et « a toujours eu un réservoir de force cohérent pour gérer les imprévus ». On est bien loin de l’idée répandue à l’ouest d’une armée russe envoyant ses troupes à la boucherie sans compter… « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes à la manœuvre interarmées à l’échelon du corps d’armée capables de défier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne défensive », conclut ce rapport confidentiel défense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer à rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrêter les hostilités ».
Un gradé français résume : « Il est clair, au vu des forces en présence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
Deuxième constat : le conflit est entré dans une phase critique en décembre. Selon nos sources militaires à Paris, l’armée ukrainienne est passée, contrainte et forcée, en mode défensif. « La combativité des soldats ukrainiens est profondément affectée », mentionne un rapport prospectif sur l’année 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitié, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentré de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes détruisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accélérer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armée ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 à 800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici à l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront près de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire à l’été.
La rupture du front à Avdivka est symptomatique. Cette place forte était censée être imprenable.
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Maintenant qu’elle est tombée, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne défensive et ils doivent en créer une à la hâte, ce qui les pousse à jeter dans la brèche leurs maigres réserves. Ces unités, engagées à terrain découvert pour ralentir les Russes, sont rapidement détruites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arrière du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unités dans cette opération et cela se ressentira lors de l’inévitable offensive russe du printemps ou de l’ét��.
En matière de matériel, la balance est tout aussi déséquilibrée : l’offensive ratée de 2023 aurait « tactiquement détruit » la moitié des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais été aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra être mise sur pied cette année. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rôdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu être envisagé de renforcer l’armée ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, à l’arrière, permettant de libérer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradé, confirmant une « montée en puissance » de militaires occidentaux en civil. Même si deux wagons américains, vraisemblablement utilisés par la CIA, sont accrochés au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitié la présence de forces spéciales en Ukraine. « Outre les Américains, qui ont autorisé le New York Times à visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dément pas la présence de forces spéciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation… Troisième constat : le risque de rupture russe est réel. C’est la dernière leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armée française. Le 17 février, Kiev a dû abandonner la ville d’Avdiïvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-là de bastion fortifié. « C’était à la fois le cœur et le symbole de la résistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­Avdiïvka », tirant une série de leçons accablantes. « Les Russes ont changé leur mode opératoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la première fois à grande échelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bétonnés de plus de 2 m. Un enfer pour les défenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
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De plus, les Russes utilisent des réducteurs de son sur les armes légères d’infanterie afin de déjouer les systèmes de détection acoustique sur le terrain. « La décision de repli des forces armées ukrainiennes a été une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudaineté et son impréparation », faisant craindre que ce choix ait été « plus subi que décidé par le commandement ukrainien », évoquant un possible début de « débandade ». « Les forces armées ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possèdent pas les capacités humaines et matérielles […] pour tenir un secteur du front qui est soumis à l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien à Avdiïvka montre que, malgré l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rétablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste à savoir ce que les Russes feront de ce succès tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un ébranlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils à « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derrière Avdiïvka le permet », signale ce document récent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mêmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant à paraître faible quand on est fort ». Selon cette analyse, après deux ans de guerre, les forces russes ont donc montré leur capacité à « développer une endurance opérationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensité basée sur l’attrition continue de l’armée ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratégique nouvelle, où l’armée russe semble en position de force face à une armée ukrainienne à bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissé, à envisager des renforts de troupes ? Une perspective réaliste face à la situation opérationnelle du moment, qualifiée de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraître réaliste d’un strict point de vue tactique peut se révéler irréaliste d’un point de vue stratégique et diplomatique », soupire un gradé français.
Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thème de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisé une grossière opération d’intoxication.
📌 CYBER – Des nouvelles cyberattaque pro-russes contre la France Avec @emiliebrouss, @ericbrunet et @cyberguerre C’est en ce moment sur #LCI #La26 ⤵️ pic.twitter.com/anUTXNa6wZ — LCI (@LCI) March 11, 2024
Les Ukrainiens n’auraient jamais dû suivre la juiverie occidentale, à présent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir à leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut déclencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
Démocratie Participative
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jloisse · 6 months ago
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L’ENTITÉ SIONISTE EN MODE PANIQUE !
Les ministres sionistes en mode panique, après que la CPI a demandé un mandat d'arrêt contre les criminels de guerre Netanyahu et Galant.
❎ Le ministre du Cabinet de Guerre a qualifié cette décision de « crime historique ».
❎ Le ministre de la Sécurité nationale Ben-Gvir a qualifié la CPI de « tribunal antisémite ».
❎ Selon le ministre des Finances Smotrich, la CPI a fait preuve d'une telle « expression d'hypocrisie et de haine envers les Juifs » que le monde « n'a pas vu depuis la propagande nazie ».
❎ Le ministre israélien des Affaires étrangères a annoncé la création d'un groupe de travail de crise au sein du ministère pour contrer l'émission éventuelle de mandats d'arrêt de la CPI contre Netanyahu et Gallant.
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dragees-surprises-rpg · 1 year ago
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CONTEXTE • Dragées Surprises
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Année deux mille.
La Grande Guerre a laissé des traces indélébiles que les plus jeunes ont la fortune de pouvoir ignorer. Si les familles se sont reconstituées tant bien que mal après de lourdes pertes, les Ministères du monde entier y ont vu une faille dans leur système, au point de le revoir de bout en bout. Les choses se devaient de changer et pour cela, les écoles magiques également. C’est ainsi qu’une collaboration magique mondiale fit son apparition, bouleversant Poudlard dans ses fondements même. Les Ministères du monde entier s’étaient mis d’accord sur un fait important : faire entrer des enfants dans une école magique était bien trop dangereux pour que cela ne reste ainsi.
Terminée l’école de Poudlard, c’était désormais une université où tout élève Sorcier, Sang-pur, Sang-mêlé, ou même Né-Moldu pouvait entrer à l’âge de dix-sept ans. Ainsi, tous pouvaient se voir offrir une éducation moins stricte que celle de l’école et y faire leurs premiers pas en tant que sorciers déjà accomplis
Les Ministères voulaient éviter de répéter les erreurs du passé en mettant en danger des enfants; trop jeunes pour pouvoir se défendre en cas d’attaque.
Il aura fallu sept ans pour que la nouvelle année d’entrée dans les écoles magiques soit mise en place à travers le monde. Sept ans, pour permettre aux élèves arrivant à peine de terminer leur scolarité, enfin que chacun soit diplômé avant que tout ne change pour le meilleur.
Deux mille seize.
Nicholas Lawson est un jeune sorcier dont la plupart ignorent le nom. Sa famille n’est pas connue, ses faits d’armes inconnus au bataillon et pourtant, c’est lui qui a été désigné pour diriger la toute nouvelle Université de Poudlard. Pourquoi ? Parce qu’il s’agit très justement d’un illustre inconnu. Ainsi, il ne souffre d’aucune discrimination dûe à son statut, il ne souffre pas du nom de sa famille ou de quelques rumeurs à son sujet. Nicholas Lawson est un homme droit qui souhaite faire de Poudlard un lieu où tout élève, quelle que soit la nature de son sang, peut se sentir chez lui. Pour lui, il semble évident que les Maisons, telles qu'elles ont toujours existé, ne sont plus d’actualité.
Il ne s’agit plus de ranger un élève quant à son courage ou son intelligence. Désormais, les maisons changent. On ne parle plus des braves et des loyaux, des leaders et des rusés, des justes et travailleurs et des créatifs et intelligents; désormais, les maisons porteront le nom des sucreries préférées du nouveau directeur de l’école. C’est en tout cas ce qu’il a révélé à la Gazette du Sorcier. Ainsi, les classes sociales disparaissent au profit d’un enseignement plus sain. Son mot d’ordre ? Que chacun ici se sente à l’aise et en confiance.
Deux mille vingt-trois.
Cela fait maintenant sept ans que Nicholas Lawson, actuel directeur de l’école de Poudlard, dirige l’établissement d’une main de fer. Son objectif est, et ce depuis sa nomination à la tête de l’école, de faire de Poudlard un endroit bien plus vivant et bien plus sécurisant pour quiconque y mettrait les pieds.
Aujourd’hui encore, Poudlard est entachée par sa réputation, car elle y a vu naître les Sorciers les plus malfaisants du monde sorcier. Nicholas veut redorer le blason de l’excellence Écossaise, car l’école souffre toujours des rumeurs du passé, des dégâts commis en son sein il y a vingt trois ans de cela. Pourtant, dans l’ombre, un complot plus grand se prépare. Quelque chose de sombre se rapproche, quelque chose qui pourrait bien menacer la stabilité de Poudlard et de tout l’équilibre magique.
Saurez-vous brandir votre baguette et vous battre, lorsque viendra l’heure ?
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selidren · 1 year ago
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Champs-les-Sims - Automne 1914
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Cher cousin (ou cousine),
Nous voici en guerre. Quel malheur ! Comme bon nombre d'entre nous, il me semblait que la paix n'aurait jamais de faim. Pire encore, voici que nos hommes sont soumis à la conscription. J'ai du laisser Constantin rejoindre un bataillon, bien malgré moi et malgré lui. Pour mon plus grand soulagement, il a été affecté à la logistique et je prie chaque jour pour qu'il n'ait jamais à vivre ne serait-ce qu'un instant de combats.
Tous les autres hommes du village sont partis. Parmi les plus âgés, nombreux ont été les volontaires, persuadés que la guerre serait l'affaire de quelques semaines. Il n'y avait guère que nous, les mères, pour réellement s'en émouvoir semble-t-il, peut-être se rappelleront de nos mises en garde d'ici quelques temps. Quand Adelphe et les deux Messieurs de Chastel sont partis, Madame Eugénie a versé toutes les larmes de son corps, et elles n'ont fait que redoubler quand la mobilisation de Constantin a été confirmée, en dépit de son inaptitude manifeste. Et malgré mes tentatives pour la rassurer, je dois admettre que je suis également terrorisée à l'idée de recevoir un jour une de ces lettres du ministère de la guerre nous annonçant la mort d'un de nos maris. Je prie le Seigneur qu'il nous en préserve encore. Que dirai-je à mes enfants si jamais leur père ne revient pas ? Ou qu'arrivera t-il si Constantin ou Adelphe venaient à perdre l'autre ?
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thebusylilbee · 2 months ago
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A noter qu'une question sur la vente d'armes par la France à la colonie sioniste a été posée en février 2024 dans le Journal Officiel des Questions du Sénat, et que personne au sein du Ministère de l'Europe et des affaires étrangères n'a pris le temps de répondre depuis... Voici le contenu de la question :
Question de M. GAY Fabien (Seine-Saint-Denis - CRCE-K) publiée le 15/02/2024
M. Fabien Gay interroge M. le ministre de l'Europe et des affaires étrangères sur les ventes d'armes opérées par la France à Israël en 2023 et 2024. Le rapport annuel sur les exportations d'armes, présenté par le ministère des armées en juillet 2023, établit que depuis 10 ans, la France a vendu pour 208 millions d'euros de matériel militaire à Israël, dont 25,6 millions en 2022, auxquels s'ajoutent près de 9 millions d'euros d'autorisations d'exports d'armes de catégorie militaire ML4. Ces ventes intervenaient dans un contexte où l'organisation des Nations unies (ONU) formulait des alertes répétées sur les atteintes aux droits perpétrées par les colons et l'armée israélienne à l'encontre des Palestiniens dans la bande de Gaza et en Cisjordanie. Pourtant, la France est signataire depuis 2013 du traité des Nations unies sur le commerce des armes (TCA), qui interdit aux États la vente d'armes s'ils ont « connaissance [...] que ces armes ou ces biens pourraient servir à commettre un génocide, des crimes contre l'humanité, des violations graves des conventions de Genève de 1949, des attaques dirigées contre des civils ou des biens de caractère civil et protégés comme tels, ou d'autres crimes de guerre ». La situation géopolitique s'est encore dégradée par suite de l'attaque du Hamas perpétrée à l'encontre de civils israéliens le 7/10/2023. Depuis, l'offensive militaire menée par le Gouvernement israélien dans la bande de Gaza a engendré la mort de plus de 27 000 Palestiniens et provoqué au moins 66 000 blessés ; 10 000 personnes sont toujours portées disparues sous les décombres liés aux bombardements incessants, au moins 1,8 million de Gazaouis ont été déplacés. Concernant la Cisjordanie occupée, les exactions commises par les colons et l'armée israélienne se multiplient. Le 26/01/2024, la Cour internationale de justice a ordonné à l'État israélien de s'abstenir de commettre des actes entrant dans le champ d'application de la convention sur le génocide et de « prévenir et punir » toute incitation au génocide des populations palestiniennes. Le Premier ministre israélien a qualifié cette décision de « fausse » et « scandaleuse » et a ajouté que son pays continuera à se « défendre ». De plus, douze de ses ministres, dont celui en charge de la sécurité nationale, ont participé le 28/01/2024 à un grand rassemblement appelant à l'installation de colonies à Gaza et au transfert de la population palestinienne hors de ce territoire. L'existence d'un risque génocidaire plausible à Gaza, reconnu par une haute instance internationale, oblige désormais expressément l'ensemble des États, qui sont notamment tenus de cesser tout export d'armes, de matériels ou de technologies militaires vers Israël. Le ministère des affaires étrangères français a été interrogé sur l'existence d'exports d'armes vers Israël au cours de l'année 2023, et spécifiquement suite au 7 octobre. En l'absence de chiffres officiels, le ministère a annoncé le 24/01/2024 que : « La France respecte strictement ses engagements internationaux dans ses exportations d'armes vers Israël [...]. À ce titre, elle n'exporte pas et n'exportait pas avant les événements dramatiques du 7 octobre de matériels létaux susceptibles d'être employés contre des populations civiles dans la bande de Gaza », tout en précisant que la France « exporte des équipements militaires à Israël afin de lui permettre d'assurer sa défense, comme l'article 51 de la Charte des Nations unies lui en donne le droit ». Aussi, il souhaiterait obtenir des chiffres précis sur les exports et autorisations d'exports d'armes décidés par la France vers Israël en 2023, et le détail des équipements qui ont été livrés dans cette période. Il souhaiterait aussi savoir si le Gouvernement entend prononcer en 2024 un embargo sur la vente d'armes à Israël, conformément aux engagements internationaux de la France.
Publiée dans le JO Sénat du 15/02/2024 - page 506
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loomoffateleprojet · 2 years ago
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Contexte,
1927 le monde entier est en mouvement. Les guerres moldus du début du siècle façonnent le monde, et même celui des sorciers ne peut échapper à ces mutations. Si le spectre d’une guerre se profile dans le monde magique, opposant ceux qui s’opposent au Secret Magique et ceux qui veulent le préserver, la France Sorcière ne fait pas exception.
Cette bonne vieille France sorcière où le Ministère des Affaires Magiques gèrent tout, et ne laisse qu’aux vestiges de sa Monarchie entravée les miettes d’un rôle d’apparat. Si officiellement la France Magique est une monarchie Constitutionnelle, officieusement, le Roi n’est qu’une figure, marionnette désarticulée répondant aux volontés du Ministère. Un poids dont il faudrait se débarrasser pour certains, un affront qu’il faudrait réparer pour d'autres. Les mages du pays sont divisés sur cette épineuse question qui rejoint finalement celle du Secret Magique.  
Si le flegme français les pousse à occulter bien des problèmes, la question de la tête de leur Roi n’est officiellement pas sur le tapis. Mais Gellert Grindelwald dont l’ascension fulgurante fait la une du Cri de la Gargouille fait des émules et rallient nombre de français à sa cause. Dont la famille Royale et ses alliés qui sont fermement convaincus de la supériorité du sorcier sur le moldu. C'est sans compter sur les protecteurs du Secret Magique, déterminés à conserver le statu quo, même si le prix à payer en est le sang.
La magie n’a jamais été aussi en danger qu’à ce jour. Alors, il ne reste plus qu’à prier Hécate, déesse grecque de la magie et espérer que le monde ne s'effondre pas dans le chaos le plus total.
Pour plus d’info, rendez vous sur le sujet Pub Rpg Design
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filmsetseriespourtous · 9 months ago
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Guy Ritchie, son dernier film met en vedette Henry Cavill
Dans le dernier film de Guy Ritchie, Henry Cavill est à l’affiche, promettant une aventure hors du commun. Abandonnant ses rôles emblématiques de Superman et de Geralt de Riv, Cavill se retrouve à diriger un groupe de soldats britanniques dans une mission pour contrecarrer les plans du Troisième Reich. Inspiré du livre de Damien Lewis, « Le Ministère de la Guerre Peu Courtoise » mélange fiction…
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