#meilleur salon
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salonzaz marocain
#salon marocain#salon luxe#salon moderne#meilleur salon#top salon maison#beau salon#decoration interieure#decor maison#image salon#top salon
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I had a good day of shopping and good food (some choice moments here) in Salon-de-Provence
#inktober23#si vous êtes à Salon allez chez Unori manger des glaces#meilleur glacier de ma vie#this is messy as fuck but I'm tired and out of practice#comic strip
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Si vous êtes à la recherche du meilleur coiffeur à Repentigny, Qc, pensez à Barbier Gauthier, surnommé le "Barbier du quartier", car nous avons la réputation d'offrir à nos clients des services de premier ordre.
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C'est le jour des langues aujourd'hui donc vous avez droit à un poste en français
Et je vais continuer à parler de Koisenu Futari (une série japonaise centrée sur deux personnages AroAce, mon premier poste ici) parce que cette série est mon coup de cœur du moment. <3
Je ne suis généralement pas très bonne à repérer les éléments de language visuel - mais il y a un détail de cette série qui me fait sourire à chaque fois qu'il est dans le plan.
Quand Sakuko se prépare à s'installer avec sa meilleure amie, elle achète une lampe colorée très fun.
Et c'est évident dès l'épisode 1 qu'elle va bien s'entendre avec Takahashi, parce qu'au delà d'être tous deux AroAce, ils partagent un amour des lampes colorées.
Voilà la première lampe que Takahashi allume la première fois qu'on découvre sa maison :
Il allume cette lampe en premier, avant même le plafonnier. Je vous jure que c'est fait exprès ! Elle est parfaitement centrée dans le cadre !
Je pense qu'elle sert aussi à annoncer le côté... disons maximaliste, de la maison. Il y a beaucoup de choses, partout, tout le temps, mais ça donne un côté très chaleureux au décor.
(en opposition à l'appart moderne et lumineux mais entièrement vide que Sakuko a visité avec sa meilleure amie quelques scènes plus tôt)
(Oui je tire beaucoup d'un unique arrêt-sur-image, et alors. Quand la cinématographie est bien faite il y a beaucoup a interpréter.)
Et comme elle est installée en plein milieu de la pièce à vivre, cette lampe est régulièrement à l'écran, et elle me fait sourire à chaque fois.
La revoilà dans l'épisode 4 :
Même éteinte elle est souvent présente :
Et finalement au premier plan dans la dernière scène de l'épisode :
Cette lampe est clairement un choix de décore délibéré et je l'adore ! C'est quasiment un personnage à ce stade.
D'ailleurs ce n'est pas la seule lampe à fleurs de la maison, il y en a plusieurs rien que dans le salon, et au moins une dans la chambre de Sakuko.
#speak your language day#spyld#koisenu futari#it's really weird to write on Tumblr in French because Tumblr has its own writing conventions that I cannot transpose in French#so not only am I writing in another language but I feel like the register isn't right either#j'ai envie d'acheter une lampe à fleurs maintenant#je suis à peu près sûre qu'il y a plus à dire sur cette lampe#mais j'y reviendrai quand j'aurai fini la série#aroace media#aroace#asexual#aromantic#aspec mafia#acespec mafia#arospec mafia
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Film Of an age. Eté 1999. Un danseur de salon serbe vit une romance inattendue et intense de 24 heures avec le frère aîné d'une amie.
Un film rare, une image, une réalisation, un scénario parfaits. Un mélange entre Wong Kar-Wai (Happy together) et les meilleurs films de Xavier Dolan. La qualité des dialogues est impressionnante, comme le jeu des acteurs qui les portent. L'histoire d'un coup de foudre comme il en arrive rarement dans la vie des hommes... et au cinéma. Bouleversant ! A découvrir assurément. Je recommande fortement. 💙👍
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Ouvrir les yeux, être mal réveillée, vouloir prendre un café, ne plus savoir où je suis...
J'arrive au salon et je le vois allongé sur le canapé, une tasse de café à la main, regardant le paysage, juste couvert d'une serviette !
Est-ce la réalité ou juste un rêve éveillé ?
Je m'approche de lui, le regarde, il ne me voit pas, plongé qu'il est dans ses pensées !!
Je ne vois qu'une chose qui dérange dans le spectacle offert à mes yeux ... la serviette .. maudite serviette qui me cache la vue, gâche mon rêve !!
Il me faut la retirer au plus vite !
Dés que ma main se pose sur la serviette pour la tirer, la sienne me prend le poignet, je tourne la tête et vois un sourire dessiné sur son visage ...
- Approche, à genoux, près de moi.
Sourire encore et de ma part également 🙂
- Retire là lentement si tu veux prendre possession de ce qu'il y a dessous.
Je ne me le fais pas dire deux fois !!
Que le spectacle est beau !!! Un vit dressé et fier m'attend.
Je ne peux qu'approcher mes lèvres de ce vit, je ne peux que le déguster en le léchant sur la longueur, en suçant ce gland bien lisse, en recommençant et puis, n'y pouvant plus , l'entrer dans ma bouche et le déguster.
Il n'y a rien de mieux comme petit déjeuner !!
J'ai dégusté la crème jusqu'à la dernière goutte ... la meilleure à mes yeux !!!
MartyWha@20240528
Je vous souhaite une bonne fin de journée à toutes et tous :)
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« Est-il possible qu’on n’ait encore rien vu, reconnu et dit de vivant, est-il possible qu’on ait eu des millénaires pour observer, réfléchir et écrire et qu’on ait laissé passer ce millénaire comme une récréation pendant laquelle on mange sa tartine et une pomme ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que malgré invention et progrès, malgré la culture, la religion et la connaissance de l’univers l’on soit resté à la surface de la vie ? Est-il possible que l’on ait même recouvert cette surface qui après tout eu encore été quelque chose, qu’on l’ait recouverte d’une étoffe indiciblement ennuyeuse qui la fait ressembler à des meubles de salon pendant les vacances d’été ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’histoire de l’univers ait été mal comprise, est il possible que l’image du passé soit fausse parce que l’on a toujours parlé de ces foules comme si l’on ne racontait jamais que des réunions d’hommes au lieu de parler de celui autour de qui ils s’assemblaient parce qu’il était étranger et mourant ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que nous croyons devoir rattraper ce qui est arrivé avant que nous soyons nés ? Oui, c’est possible.
Est-il possible qu’il faille rappeler à tous l’un après l’autre qu’ils sont nés des anciens, qu’ils contiennent par conséquent ce passé et qu’ils n’ont rien à apprendre d’autres hommes qui prétendent posséder une connaissance meilleure ou différente ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que tous ces gens connaissent parfaitement un passé qui n’a jamais existé ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que toutes les réalités ne soient rien pour eux, que leur vie se déroule et ne soit attachée à rien comme une montre oubliée dans une chambre vide ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’on ne sache rien de toutes les jeunes filles qui vivent cependant ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’on dise les femmes, les enfants, les garçons et que l’on ne se doute pas malgré toute sa culture, que l’on ne se doute pas que tous ces mots depuis longtemps n’ont plus de pluriel mais n’ont qu’infiniment de singulier ?
Oui, c’est possible.
Est il possible qu’il y ait des gens qui disent Dieu et pensent que ce soit un être qui leur est commun ?
Oui, c’est possible.
Vois ces deux écoliers, l’un s’achète un couteau de poche et son voisin, le même jour, s’en achète un identique et après une semaine, ils se montrent leurs couteaux et il apparaît qu’il n’y a plus entre les deux qu’une lointaine ressemblance tant a été différent le sort des deux couteaux dans des mains différentes ? Oui, dit la mère de l’un s’il faut que vous eussiez toujours tout et encore est-il possible que l’on croit posséder un dieu sans l’user ?
Oui, c’est possible ».
Mais si tout est possible, si tout cela n’a même qu’un semblant de possibilité, mais alors il faudrait pour l’amour de tout au monde, il faudrait que quelque chose arriva.
- Rainer Maria Rilke se pose les questions dans ´Les Cahiers De Malte Laurids Brigge
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sinon next story (TW viol):
la semaine passée c'était LE weekend de l'année car chaque année y a une grosse fête dans le village d'un de nos potes le vendredi et on enchaine avec la marche dans notre village samedi et dimanche. cette année J vient pas bref je vais avec Aub et M la soirée est cool je bois bcp (vraiment trop) on finit par rentrer
Là mon "pote" chez qui on dormait entre dans la sdb pendant que je mets mon pyjama, je lui demande de partir. Il part pas et me fait des commentaires comme quoi je suis "trop bonne" etc. Dois-je préciser qu'il a une copine ?! bref je lui redemande de s'en aller il fait mine de fermer la porte mais la laisse entrouverte pour me regarder alors je claque la porte. Je rejoins mes amis dans le salon et fait mine de rien. On continue à boire et rigoler quand à un moment je sens une main sur ma cuisse sous la couverture et c'est ce fameux "ami" chez qui on dort. je tape sa main pour qu'il la retire et lui lance un regard noir. Il recommence, je lui dis non, enlève sa main mais il recommence encore et encore en mettant sa main à chaque fois plus proche de ma vulve. là blackout tout ce qu'il me reste c'est des flash d'images et de sensations qui me donnent la nausée. je sais juste qu'à un moment sa copine est arrivée, elle s'est mise à crier. Moi j'étais là mais pas là. Mon corps était là mais pas moi. Je suis partie et j'ai été me réfugier dans le lit près d'Aub. Je nsuis restée là les yeux ouverts quelques heures puis j'ai fini par descendre
Là je tombe sur M, son mec et D dans le salon personne me parle ni me regarde, je rassemble mes affaires. J'essaie de parler à M qui me dit que j'ai fais une grosse bêtise. Je lui dis que je voulais pas, que j'ai dis non et retiré ses mains. Elle me dit "il faut être deux pour faire ça Léa" je lui dis qu'elle me connait mieux que ça et que jamais j'aurai fais une chose pareille elle me rétorque qu'on m'a entendu gémir. J'ai l'impression d'être à mon procès. Elle me dit que j'ai de la chance de pas avoir vu Aub ce matin. Je pars. Je marche le long de la route et je décide d'appeler A pour lui raconter la situation. j'étais encore saoul et je pleurais. Ma mère était en route pour venir me chercher. Il est resté au téléphone avec moi et m'a soutenu. J'en ai parlé à Am et S aussi qui ont été très présentes pour moi. J'ai essayé d'appeler Aub sur le chemin pour savoir si elle était rentrée chez elle sans succès donc j'ai laissé un message incompréhensible entre deux sanglots à moitié ivre.
Le samedi je me rends à la fête du village pcq on avait déjà payé le BBQ même si j'avais juste envie de mourir. J y était et m'a nié et était super froide avec moi. Je me suis doutée que les filles avaient dû lui raconter leur version de l'histoire. je décide de rentrer tôt car je me sens mal et j'ai pas dormi. impossible de fermer l'oeil de la nuit j'ai une nausée constante qui me colle à la peau. quand je ferme les yeux j'ai des flashbacks qui me donnent envie de me défenestrer. Dimanche rebelote, je me rends à la fête sans en avoir envie pcq je m'étais engagée auprès de deux amies du village. Au cours de la journée bourrée J me dis "faudra qu'on parle de tes bêtises" je lui dis que c'est pas des bêtises. finalement plus tard je me confie à plusieurs amis du village qui ont été très présents pour moi. bien plus tard dans la soirée, et bien trop saoul, J me permets de lui parler je lui raconte ce qu'il s'est passé, elle ne me croit pas. je suis hystérique, je pleure comme une folle. Comment c'est possible ????? Je pars de là et j'appelle A je suis ivre morte et j'ai envie de me faire du mal. On se prend la tête au téléphone je rentre chez moi et je me fais du mal. A arrive, je pars avec lui. Il désinfecte mes plaies et on va se coucher.
Aujourd'hui la nausée est un peu passée, je ne dors tjr pas. Je me dégoute et la réaction de mes soi-disant meilleures amies me dégoute encore plus. Je suis en colère. J'ai même des messages de mon agresseur reconnaissant qu'il a forcé et abusé.
J'ai toujours été là pour elles, aujourd'hui je vis un enfer et elles me tournent le dos.
j'ai mon mémoire à rendre dans 7 jours
mon chat chez A vient de se faire écraser on ne sait pas si elle va survivre
j'ai tjr envie de me faire du mal
je m'en veux de solliciter A autant mais je ne sais pas vers qui me tourner d'autre
Stp le karma choisi une autre cible j'ai assez donné
j'ai l'impressions que tout ça s'est passé hier littéralement mais ça va déjà faire une semaine
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hier j’ai rejoint youcef tout beau dans son jean de cowboy en fin d’après-midi pour qu’on aille faire mon cadeau d’anniversaire à savoir mes deux piercing tant attendus autant par lui que par moi!! le salon dans lequel il avait pris rendez-vous n’a pas pu nous prendre car le perceur était en vacances finalement donc on a eu peur on était trop déçus mais on nous a proposé d’aller dans un autre qui s’appelait joli cœur (comme moi il a dit) et la perceuse était trop mimi, j’ai saigné mais dans la bonne humeur et c’est trop trop beau donc je suis trop contente depuis… et une fois sortis du perceur je pensais qu’on prenait juste notre temps pour boire un peu et se balader avant le match mais en allant sur les quais il a commencé à me raconter une histoire sans fin en me regardant bien dans les yeux pour que je ne puisse regarder nulle part ailleurs puisque juste devant nous mes meilleurs copains m’attendaient ce que je n’avais pas vu venir après il faut dire que j’étais encore un peu toute étourdie des piercing bref il a organisé tout ça et on a passé une trop cool soirée, il avait acheté un gâteau absolument délicieux que personne sauf lui et moi n’a su apprécier car ils ont tous des mauvais palais, on a gagné le match donc je me sens vengée des portugais et tout le monde m’a offert des cadeaux trop mimis donc je suis remplie d’amour, il avait bien raison quand il m’a promis que je passerai un meilleur anniversaire que la semaine dernière
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saga: Soumission & Domination 322
WE à Paris-2
Le vernissage est terminé et je me retrouve le pantalon sur les chevilles, dans le bureau de Bo-gosse avec l'artiste à mes genoux en train de me pomper grave.
C'est à ce moment-là que je propose à Bo-gosse de finir la soirée chez lui avec son nouveau peintre.
C'est aussi à ce moment-là que Ludovic entre, à ma recherche. Il n'est pas étonné, PH à qui il avait demandé où j'étais, lui avait répondu " probablement en train de me faire pomper par l'artiste ". Il passe sa main sur la tête du pompeur et me demande s'il est meilleur que lui. Je l'attrape par le cou, lui roule une pelle et lui dit qu'il n'y a pas comparaison, il est le meilleur. J'attends un peu et ajoute " avec PH, Ernesto, Jimmy et une demi-douzaine d'autres mecs, mais toi, je t'aime ".
Il me roule une nouvelle pelle et d'un petit coup de bassin pousse la tête de l'artiste sur ma bite enfonçant mon gland dans sa gorge à l'étouffer. Petite vengeance ?!
Bo-gosse met fin aux hostilités. Il nous entraine vers les autres (après que je me sois réajusté). Regroupés, il nous propose de finir la soirée chez eux (lui et Moitié). Les provinciaux sont partants et Alban ne laisse pas son Ric filer sans lui. Bras dessus bras dessous, nous prenons toute la largeur des trottoirs jusqu'à leur appartement.
C'est la première fois que j'entre chez eux, les autres fois nous avions baisé dans son bureau !
Bel appartement donnant sur l'église de La Madeleine, dans les 400m², l'intérieur est très moderne. Le mobilier actuel est ponctué par des pièces anciennes de toute beauté. Notamment une commode Louis XV avec bronzes dorés qui se détache du reste du salon avec une glace avec cadre en bois doré de bien 20cm de large.
On joue les curieux et furetons dans tous les coins. Evidemment quand nous arrivons à leur chambre, la pose est plus longue.
Je crois bien que c'est Ludovic qui a poussé Bo-gosse en avant pour qu'il chute sur le lit. Quand ça commence comme ça, tout le monde se retrouve à poil rapidement. Moitié ouvre le tiroir à Kpotes et gels et ça part pour une nuit de débauche.
Je n'ai pas le temps de faire attention aux autres. Moi je me retrouve à enfiler ma queue dans le cul de Moitié. Il prend toujours aussi bien et aussi facile à la pénétration. Par contre une fois dedans il sait vous serrer la bite comme moi, c'est-à-dire que s'il le veut on ne peut plus bouger, compressé par sa rondelle. En attendant il me libère et je peux coulisser dans son cul. Une impression soyeuse parcourt ma hampe pourtant couverte d'un préservatif. Peut-être que c'est dû à la marque. Je le lime un bon 1/4 d'heure avant de trouver ma rondelle bien vide. La bite de Ludovic est libre. Couché sur le dos, ce dernier se fait bourrer la gueule par Alban et le cul par Bo-gosse. Ernesto et PH sont occupés à faire monter en pression Ric. Comme je me dégage de Moitié, je suis remplacé par notre ibère qui n'attendait que ça. PH lui occupe l'avant et enfile ses 19cm derrière la glotte de notre ami.
Je vois Ric enjamber le corps de Ludovic et s'assoir sur son sexe. Il fait face à Alban et je les vois se rouler des pelles. Orphelin, je repousse Bo-gosse et m'intercale entre lui et Ludovic.
J'ai juste le temps de m'enfoncer dans son cul avec toujours autant de délice, que Bo-gosse me défonce le cul. Son arrivée intempestive m'écrase contre les fesses de Ludovic qui poussé, s'étrangle avec le gland d'Alban.
Le temps de trouver tous nos rythmes et de les faire coïncider, Ludovic trinque ! Il s'étrangle plusieurs fois mais c'est bon pour moi. Quand il manque de s'étouffer, il se contracte de partout et sa rondelle spasme sur ma bite, la bloquant dans son évolution. Chaque pression bloquante, m'envoie dans le cerveau un coup de pression qui me chauffe, mais me chauffe !! Du coup je répercute à mon occupant et Bo-gosse me gueule dans les oreilles que c'est trop bon.
Ludo encaisse mais il bande dans le vide. Je me dégage de son cul et le retourne. En 69 nous nous faisons du bien. Alban n'a pas perdu au change, une kpote et il défonce mon mec ! Malgré ma bite dans le fond de sa bouche, la pénétration d'Alban lui arrache un gémissement long, long, enfin aussi long que les 21cm qui lui rentre dans le cul. Il ne peut y échapper, de toute manières il ne le voulait pas non plus, car je le bloque, menton posé sur son pubis et mon nez entre ses couilles remontées.
Chacun nous profitons d'une belle queue dans le cul qui s'active avec maestria et chacun nous nous occupons amoureusement de la bite de son amour ! Excité par les frottements sur ma rondelle, je pompe comme un malade sa bite. Je m'enfile son gland dans la gorge et dégluti pour le masser. J'alterne en le gardant en bouche et en passant ma langue râpeuse sur toute sa surface, dessous de couronne comprise, j'excite chaque mm² de la peau fine couverte de terminaisons nerveuses.
Je ne suis content que quand je sens qu'il lâche les vannes et que je sens rouler sous ma langue ses spermatozoïdes qui nagent dans son jus. J'en garde le plus en bouche pour noyer son gland dedans. Dans le lointain, j'entends Alban rugir alors qu'il doit remplir sa kpote. Puis c'est à mon tour de prendre mon plaisir. Je m'enfonce une dernière fois dans sa gorge et y lâche mon premier jet direct vers l'estomac !
Je recule le bassin pour larguer le reste dans la bouche de Ludovic qu'il puisse à son tour goûter mon sperme. Le mouvement m'enfonce bien profond les 24cm de Bo-gosse dans le cul.
Je sens les mains qui me tenaient les hanches me serrer plus fort, mon enculeur vient de juter à son tour.
Je me dégage. Je serre bien les lèvres en quittant la bite de Ludovic pour ne pas laisser échapper de sperme et je sens que Ludo fait de même. Nos enculeurs respectifs s'écartent et je me retourne pour rouler une pelle juteuse à mon dernier amour. Nos spermes se mélanges, je suis sûr que nos spermatos se battent entre eux, s'entortillent leurs flagelles comme nos langues s'affrontent.
Nous nous décollons que quand le partage est terminé et que nos dents brillent.
Nos deux enculeurs nous traitent affectueusement de salopes insatiables. Cette appréciation trouve un écho de la part du trio qui a fini, lui aussi.
Bo-gosse s'absente le temps de ramener des bouteilles d'eau. On en vide quelques une avant d'aller nous doucher. On a eu un peu chaud pendant un moment !
Comme ils ont une douche à deux pommes nous arrivons à nous y entasser tous. L'avantage c'est qu'on fait tomber un peu de gel douche sur nos tête et quand il coule, à partir des épaules, il nous suffit de nous frotter les uns contre les autres pour nous savonner efficacement. Evidemment nous sommes bruyant et même trop puisque ça tape contre le mur mitoyen avec l'appartement d'à côté. Donc, on se calme un peu !
Ça bataille encore un peu quand on recherche nos habits. Les slips et shortys volent dans tous les sens. Jusqu'à ce que chacun récupère le sien. Les chemises sont reboutonnées mais les cravates glissées dans les poches.
Nous rentrons à pied. Ric et Alban tournent vers l'atelier et nous nous dirigeons vers l'appart de Kev. L'air frais nous réveille tous et quand nous passons devant l'immeuble d'Henri, nous voyons son étage allumé et nous nous invitons. Kev nous ouvre, il a la clef. Nous trouvons Henri en peignoir sur son canapé à étudier des dossiers. Il nous accueille chaleureusement sans se soucier de l'heure. Il nous remercie même de le distraire de son travail.
Kev sort les alcools et sert tout le monde. Le choix est consensuel et se fixe sur un Jet 27 sur glaçon. Henri parle avec tout le monde et même plus avec Ludovic. Il sait bien qui il est et comment il se situe dans notre couple à 6 ! Henri est adorable et bienveillant comme toujours, comme il l'a été avec moi, même quand je n'étais encore que l'escort d'Emma.
C'est son seul ami qui sait presque tout. Et c'est pour ça aussi que je lui ai mis Kev entre les mains. Les amis, ça se bichonne non ?
Henri me demande comment marche ma société. Je lui brosse le tableau en quelques chiffres : CA, nombre d'employés et masse salariale, résultats nets et impôts, de la maison mère française. Ernesto sort ceux de la filiale espagnole.
Henri les analyse en quelques secondes. Il trouve que la masse salariale est trop importante. Il ajoute même si mon salaire est compris dedans. Kev est d'accord avec lui. Il me le dit plus crument : je paye très/trop cher mes collaborateurs.
Ma réponse est nette, je n'ai pas besoin de réfléchir. Je leur dit qu'il suffit que cela m'assure un salaire très confortable et que cela paye le blockhaus et mes 3 beurs de services (et oui y'a aussi Jimmy qui s'occupe de la campagne à l'année), ça me va. En plus je ne travaille qu'avec des jeunes qui, eux, ont besoin de cet argent pour vivre, donc si je peux donner un coup de pouce, je ne vois pas pourquoi je me priverais.
Kev me prend dans ses bras et me roule une pelle. Il me dit qu'il me reconnait là. Henri, lui, me dit qu'avec cette philosophie, ma société tourne alors idéalement !
PH connait mes comptes mais Ernesto et surtout Ludovic apprennent les chiffres totaux.
Ludovic en reste sur le cul. Il ne voyait pas ma société aussi importante. Ernesto me dit qu'il lui reste du boulot pour que la filiale espagnole rejoigne le niveau de la maison mère !
Ludovic trouve que je paye quand même énormément d'impôts. Je reconnais là le côté " droite terrienne " de sa famille. Je lui dis que moi, je suis content d'en payer autant. Qu'il n'oublie pas que c'est la prise en charge de la santé de tous, des infrastructures qui nous entourent. Et oui, je sais qu'il y a de la gabegie et qu'on pourrait sûrement faire mieux sans penser que nous en tant qu'homo, nous bénéficions de la totalité des impôts des hétéros sans avoir droit à tous leurs avantages. Mais je ne transfèrerais pas mon siège social ailleurs !
Henri qui est dans la même situation avec sa société basée en France, m'approuve. Il nous dit qu'il pense comme moi. La seule entorse qu'il a faite étant célibataire a été d'adopter Kev pour pouvoir économiser un peu sur les frais de succession.
Kev me donne les clefs de son appart et me glisse qu'il va rester cette nuit (enfin ce qu'il en reste) avec son mec/père. Il ajoute qu'ils nous attendent pour le brunch du dimanche.
La nuit sera calme. Tous éreintés par notre folle journée.
Réveils vers 11h ! Sans nous presser, nous nous câlinons sans sexe jusqu'à avoir les yeux en face des trous. Rasages, douches, quelques vêtements sur les fesses et nous débarquons 2 n° plus loin, chez Henri.
Je ne sais depuis combien de temps ils sont réveillés mais quand nous arrivons, un véritable buffet excite nos appétits. Les viennoiseries font concurrence aux plats plus anglo-saxons (sans aller jusqu'au red-beans). Nous ne nous faisons pas prier et pillons allègrement la table. Henri est un hôte charmant et nous avons plaisir à être avec lui malgré la différence d'âge.
Il nous demande ce que nous pensons de l'artiste dont nous avons vu les oeuvres la veille.
Je suis clair, je lui dis que sa bouche et son cul sont meilleurs que ses toiles.
Mes amis se récrient que je suis dur. Y'en a quand même pas mal qui ont aimé vu les commentaires que son oeuvre suscitait. Bof ! Moi j'aime pas.
Ernesto est le premier à nous quitter. Son avion pour Barcelone part vers 16h alors que notre train est en début de soirée.
Henri me lance les clefs de sa voiture pour que nous soyons ensemble un peu plus longtemps. Ernesto lui roule un gros patin de remerciement et nous le laissons tout bandant j'en suis sûr !
La C6 a toutes les options, quel confort ! On est dimanche et la circulation est fluide. Nous arrivons rapidement à Orly. Dans le hall, un peu de monde. Comme d'habitude, notre passage fait se retourner plus d'une femme et d'un homme. Nos embrassades alors qu'Ernesto doit passer en salle d'embarquement, en détourne pas mal. Faut dire qu'on met la langue dans nos bisous d'adieu !!
Retour à Paris. Henri nous demande de venir plus souvent les voir. Il sait que Kev est trop content quand nous sommes là. En plus ça lui permet de " choquer " en s'affichant avec nous. Il me dit que la prochaine fois nous devrions venir avec Emma et qu'on se fera un théâtre ou un opéra.
Je n'en ai vu qu'un d'opéra mais je me souviens bien de l'acteur/chanteur principal, un anglais à croquer !
Je lui dis qu'il nous fasse signe quand il y aura quelque chose à ne pas louper.
Kev nous ramène à Montparnasse juste à temps. Nous courrons et n'avons même pas le temps de composter. Du coup alors que le train démarre, je cherche le contrôleur pour lui expliquer notre cas. Je le trouve. Dans les 25/30ans pas avantagé par son uniforme alors qu'il parait pas mal.
Je lui explique que nous sommes 3 à ne pas avoir eu le temps de composter et je nous excuse d'avance. Il me demande où nous sommes. Je lui dis que mes amis ont dû prendre leurs places en premières. Je lui montre mon billet et alors qu'il le poinçonne, nous nous dirigeons vers les places. Quand nous arrivons, j'ai la surprise de voir Ric en train de discuter avec eux. Sourires avenants et contrits de mes amis qui présentent à leur tour leur billet. Ludovic déshabille le contrôleur de ses yeux et ce dernier ne peut que le remarquer. Je le vois rougir, teinte pivoine, et bafouiller pour nous dire que c'était pas grave et que nous avions eu le bon réflexe de venir le trouver.
Ludovic que je ne maitrise plus, si jamais j'ai pu un moment le diriger (je m'aperçois qu'il s'est émancipé), lui demande carrément s'il n'avait pas une cabine privé. De pivoine il passe tomate et il s'étouffe. Je lui tape dans le dos pour relancer sa respiration. Mais il a un mouvement de recul brusque. Quand j'en regarde la raison, je vois la main de Ludovic serrer la queue bandante du contrôleur dans son pantalon. Il est infernal ! Je lui dis de lâcher ce monsieur et de le laisser faire son travail. Au contrôleur, je lui exprime mes excuses pour le comportement déplacé de mon ami.
Quand il m'entend, il se défend que c'est pas lui qui a une trique de ouf. Qu'il essayait juste de rendre service ! PH entre dans le jeu. Il dit qu'effectivement, on ne peut décemment laisser repartir ce monsieur dans cet état. Avec tous les yeux des passagers au niveau de son bassin, tous vont s'apercevoir qu'il bande à mort. Il se lève et se place dans l'entrée de la cabine à 4. Ludovic ne perd pas de temps et dégrafe son pantalon. Ce dernier tombe immédiatement sur ses chaussures noires et laisse apparaitre un slip quelconque. Par contre, ce qui ne l'est pas c'est ce qu'il ne cache plus, un gros sexe de plus de 20cm épais. Vu le gabarit moyen du mec, c'est impressionnant. Même si je sais que les queues c'est pas proportionnel à la taille du mec !
Encore sous le choc notre jeune contrôleur ne réagit pas.
Il ne reprend ses esprits que lorsque Ludovic avale son gland. Il essaye alors de reculer mais ma présence dans son dos l'en empêche.
Je pose mon menton dans sa salière droite et lui souffle de se laisser faire. Que je connais mon Ludo, il va lui faire un bien fou.
Désireux je pense de ne pas faire d'esclandre, il serre les lèvres et se laisse pomper. Je rejoins PH pour faire écran avec le reste du wagon. Dans notre dos, passent des voyageurs qui cherchent leurs places où vont au wagon restaurant.
Notre contrôleur prend des initiatives. Il pose ses mains sur la tête de Ludovic et gère le rythme de pompage. Ludo se fait aux modifications des va et vient les mains posées sur le fessier cheminot pour éviter tout retrait intempestif.
Il ne relâche la pression que quand, dans un souffle, notre controleur l'informe que ça monte. Deux coups de poignet et il jute dans le mouchoir en papier que je tends à Ludovic.
Il se rajuste rapidement et nous souhaite un bon voyage. Il part, laissant derrière lui une odeur de sperme frais ! On éclate de rire quand la femme qui est installée face à notre porte plisse le nez. Nous ne reverrons plus notre contrôleur qu'à 10mn de l'arrivée. Il passe devant nous avec un sourire et un clin d'oeil. C'est seulement là que je note l'alliance qu'il porte à l'annulaire gauche.
Jardinier
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صالونات مغربية جديدة
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L’album des souvenirs
Fandom : Naruto
Relationship : Naruto x Hinata
Résumé : Naruto prit un autre album et tourna les pages. Il s'arrêta sur une photo en particulier. Il s'agissait d'Hinata. Elle était âgée de dix-sept ans, elle était assise à une table d'Ichiraku et tenait un bol de ramen. Il se souvenait parfaitement de ce jour. Il s'agissait de leur premier rendez-vous.
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto.
AO3 / FF.NET
Naruto ouvrit la porte de chez lui et se déchaussa en soupirant. Sa journée était enfin terminée et pour une fois il pouvait rentrer plus tôt. Il allait pouvoir dîner en famille, ce qui se produisait que trop rarement à son goût. Sa famille lui manquait quand il travaillait trop. Mais il était Hokage et les villageois étaient aussi sa famille. Heureusement, Hinata et ses enfants comprenaient. Il était chanceux d'avoir leur soutien et leur amour.
« Hinata-chan ! Appella-t-il.
-Dans le salon. »
Il se dirigea vers le salon. Hinata était assise dans le canapé. Il s'approcha et vit plusieurs albums photo ouverts sur la table basse. Il s'assit à côté d'elle et prit un album qu'il ouvrit.
« Ça fait des années que je ne les ai pas regardés, dit-il »
Hinata sourit tendrement.
« J'étais en train de faire du rangement quand je suis tombée dessus. Ça fait plus d'une heure que je les regarde, je n'ai pas vu le temps passer.
-Tu t'es perdue dans nos souvenirs.
-De merveilleux souvenirs. J'allais me préparer du thé. Tu en veux ? »
Naruto acquiesça. Hinata se leva et se dirigea vers la cuisine. Il feuilleta l'album et ne put s'empêcher de sourire. C'était des moments précieux de leur vie. La vie qu'il avait toujours voulue et qui était encore mieux que dans ses rêves.
Il prit un autre album et tourna les pages. Il s'arrêta sur une photo en particulier. Il s'agissait d'Hinata. Elle était âgée de dix-sept ans, elle était assise à une table d'Ichiraku et tenait un bol de ramen. Il se souvenait parfaitement de ce jour. Il s'agissait de leur premier rendez-vous.
Il se souvint de l’angoisse qu’il avait ressenti avant de lui demander de sortir avec lui. Malgré les conseils bancals et les plans idiots de Kiba et Konohamaru et les encouragements de Sakura qui tentait de le rassurer en lui disant qu’Hinata accepterait, il avait peur de se faire rejeter. Mais elle lui avait dit oui et il ne pouvait pas être plus heureux.
Il avait prévu de l’emmener à Ichiraku. C’était un endroit important pour lui et il voulait partager ça avec Hinata. Plus la date du rendez-vous approchait, plus il était nerveux. Il se posait des tas de questions. Est-ce que le dîner à Ichiraku lui plairait ? Est-ce qui allait dire ou faire quelque chose qui lui déplairait, ou pire, qui la blesserait ? Il avait demandé des conseils à Sakura. Après tout, elle était sa meilleure amie et surtout, elle était une fille. Elle savait ce qui pourrait plaire à Hinata.
« Reste toi-même et tout se passera bien, lui avait-elle dit. »
Rester soi-même, pensa-t-il sarcastiquement. Comme si ça pouvait l’aider. Puis le jour de leur rendez-vous était arrivé. Il n’avait jamais été aussi nerveux. Ses mains étaient moites et il avait l’impression que son cœur allait sortir de sa poitrine, tellement il battait fort. Au début, il avait vraiment l’impression de faire et dire n’importe quoi. Elle devait le prendre pour un idiot. Mais plus le temps passait, plus il se sentait à l’aise. Jamais il n’avait passé un aussi bon moment.
À la fin de la soirée, il avait remarqué qu’Hinata avait mangé plus de ramen que lui. Mieux encore, elle avait battu le record du restaurant. Ayame l’avait pris en photo pour fêter ça. Une copie était fièrement accrochée au mur d’Ichiraku. Cela faisait un moment que Naruto avait compris qu’il était amoureux d’Hinata. Mais à ce moment précis, il savait qu’il allait passer le reste de sa vie avec elle.
Il fut sortit de ses pensées lorsqu’Hinata s’assit à côté de lui. Elle lui tendit une tasse de thé qu’il accepta. Elle regarda la photo de leur premier rendez-vous et sourit.
« J’étais tellement nerveuse ce jour là. »
Naruto la regarda, surpris.
« Vraiment ? Tu avais l’air si sereine.
-J’ai tout fait pour ne rien monter. Je ne voulais pas gâcher notre rendez-vous. Mais grâce à toi, j’ai passé une merveilleuse soirée. »
Un immense sourire illumina le visage de Naruto. Il s’approcha d’Hinata et l’embrassa. Cette soirée avait été un tournant pour lui. Il vivait la vie qu’il avait toujours rêvé et tout cela, il le devait à Hinata.
Fin
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Je m'y oppose !
Marina conseille à Mario d'en parler aussi à Lola, car la connaissant elle risque de le prendre mal si elle ne l'apprend pas par son fils. Son premier crush d'ado, c'est important non ?!
Mario : "D'ailleurs maman, je voulais te dire un truc."
Lola : "Tu as obtenu une bonne note pour changer ?"
Mario : "Haha trop drôle. Non, enfait j'vais inviter Sally au bal de fin d'année."
Marina *encourageante*: "Son premier crush d'ado, tu te rends compte ?"
Lola : "Euh, c'est cool. Mais j'aimerais que tu priorises tes notes. En ce moment, t'as pas le meilleur profil pour avoir le bac donc..."
Marina : "Arrête, il fait beaucoup d'efforts ! Nos sessions de révisions se passent de mieux en mieux."
Lola : "Tu peux l'encourager et être la gentille flic, moi ça ne m'intéresse pas. Je veux que tes notes s'améliorent, sinon tu peux dire au revoir à ta Sylvie."
Le lendemain...
C'est le dawa chez les Bialetti ! Et Marina n'en peut plus. Encore une fuite d'eau ce matin, et le buffet de la fête d'Halloween n'a pas été nettoyé. Si elle accepte de vivre dans un logement social, elle refuse de vivre dans une maison sale !
Le meilleur ami de Mario, Josh, est souvent à la maison en ce moment, et n'aide pas particulièrement Marina à garder le salon en bon état.
Josh : "Bonjour Marina, bien dormi ?"
Marina s'étouffe avec sa bouchée.
Marina : "Oui, oui ! "
Mario est réveillé depuis un moment, et décide de prendre de la glace pour son petit-déjeuner.
Mario : "Josh, tu veux pas m'aider à nettoyer après ? Y'a Sally qui vient tout à l'heure."
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