#meilleur salon
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salonzaz marocain
#salon marocain#salon luxe#salon moderne#meilleur salon#top salon maison#beau salon#decoration interieure#decor maison#image salon#top salon
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I had a good day of shopping and good food (some choice moments here) in Salon-de-Provence
#inktober23#si vous êtes à Salon allez chez Unori manger des glaces#meilleur glacier de ma vie#this is messy as fuck but I'm tired and out of practice#comic strip
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Si vous êtes à la recherche du meilleur coiffeur à Repentigny, Qc, pensez à Barbier Gauthier, surnommé le "Barbier du quartier", car nous avons la réputation d'offrir à nos clients des services de premier ordre.
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saga: Soumission & Domination 383
Récit de Ric : suite
Nous sortons de sa chambre pour regagner celle qui sera la nôtre pour le reste du séjour. Son valet nous accompagne et nous dit de nous laver avant de repartir.
Retour à la douche. Mes jambes ne me tiennent plus et je me retrouve assis sous la pluie d'eau chaude. Amaury me rejoint et me prend dans ses bras. Sa bouche collée à mon oreille, il me parle tout bas. Il me félicite d'avoir encaissé ça comme un pro. Il me soulève et me masse la rondelle. Il sait y faire et je me sens me refermer rapidement sous et sur ses doigts. Je lui rends la politesse. On se masse pour faire partir les contractures provoquées par certaines positions. Et quand nous sommes secs, Le valet nous dit de nous enduire de l'huile et de nous détendre, nous avions quelques heures avant le prochain " intermède sexe ". Nous lui demandons si nous pouvons être d'une aide quelconque pour son petit " problème " à l'entrejambe. Il nous sourit mais décline notre proposition. Il ajoute que nous sommes à l'usage exclusif de son maitre et de ses amis.
Là nous venons d'apprendre quelque chose ! À suivre.
Nous sommes appelés à rejoindre le séjour près de deux heures plus tard. Notre client est debout au centre du salon avec toujours son valet. D'une pression sur nos nuques il nous place à ses pieds. Pas besoin de dessin, on a compris. Nos langues remontent les jambes jusqu'à son gland qui pend bas. C'est Amaury qui entame la fellation qui va amener cette monstrueuse bite à la raideur nécessaire pour une bonne sodo. Je sens que ce coup-là, la première intromission sera pour moi. Avec mes doigts je me prépare la rondelle. Le temps que Monsieur soit bien raide, ma rondelle s'est bien assouplie et quand, après s'être assis sur un des canapés il me fait signe de faire la " kpote ", je suis prêt. Un pied de chaque côté je m'accroupi et pose ma rondelle sur son gros gland. Je vais pour descendre gentiment qu'il me prend par la taille et m'abaisse brusquement.
Je me prends ses 30cm en une seule et rapide poussée. Mes pieds glissent et je me retrouve assis sur ses cuisses sans pouvoir me relever. Je ne peux retenir un hurlement étouffé par la grande main du serviteur apparue fort à propos pour me bâillonner. Putain de défonce !! Il m'empêche de remonter et de me libérer de son emprise. Je sens des larmes couler sur mes joues mais les mains posées sur le cuir j'essaye de me soutenir. Je ferme les yeux. Dans mon dos je sens un torse nu se plaquer contre moi. C'est Amaury. Je sens ses mains passer sous mes cuisses et me relever d'une vingtaine de cm avant de me relâcher complètement. C'est hard mais je kiffe ! Sans retenue aucune, mes fesses s'écrasent à chaque fois sur les cuisses musclées de notre émir, absorbant ainsi les derniers cm et mm de cette queue gigantesque.
En moi-même je me dis que de retour à la maison, mon père trouvera une différence, même avec ses 27x7. En attendant je ne débande pas sous mes plantages violents sur ce mat.
Le mec est endurant et Amaury plus fort que je le pensais. Je me fais détruire la rondelle un bon moment dans cette position.
Claquement de doigts et je suis relevé totalement. Amaury me remplace mais en position levrette ou plutôt jument dans ce cas précis. Je mate tout comme le serviteur. Je remarque qu'Amaury est encore meilleur que moi sur les hyper calibres ! Limite ça me vexe un peu. Je pensais qu'avec les doubles sodos par les clients blacks les mieux montés du carnet de clients de Sasha j'étais le meilleur. Belle leçon d'humilité ! Je n'en veux pas pour autant à Amaury. Je l'admire ! En attendant il se fait démonter la rondelle avec un rythme soutenu. Il se prend une alternance de pilonnage de fond de ventre avec des sorties totales avec rentrées brusques qui le propulse d'un mètre sur le tapis. L'émir accélère et ne sort que pour couvrir le dos d'Amaury d'une épaisse couche de sperme blanc. Je vais à notre salle d'eau pour prendre un drap de bain afin qu'en revenant dans notre chambre il ne salope pas le salon. Avant la douche nous évacuons notre excitation par un 69 vorace. Il ne nous faut que 5 mn pour juter comme des malades.
Douches, repos, diner léger dans notre chambre et attente, nos peaux sont huilées à nouveau et nos anus refermés.
A moitié endormis, le serviteur vient nous chercher. Nous avons juste le temps de nous graisser la rondelle sans oublier une bonne giclée en profondeur. Le salon est sombre malgré la lumière venant des rues. Notre émir n'est plus seul. Habillé d'une djellaba, il reçoit un Français. Je reconnais l'homme. C'est un politique de haut niveau. Je regarde Amaury, je vois qu'il sait aussi qui est le deuxième homme. Nous restons impassibles et toujours nus hormis les harnais dorés. L'invité est en costume.
D'un geste l'émir nous commande de venir, Amaury entre ses jambes et moi entre celle du Français. Nous nous exécutons rapidement ce qui vaut une remarque à notre propos, de la part du mien. " Bien obéissantes vos chiennes, il faudra me dire où vous les avez trouvez et quel dressage vous avez appliqué ". Claquement de doigts et nous plongeons entre leurs cuisses. J'appui mon visage sur l'entrejambe du politique. Il bande déjà. Il me parait bien monté mais rien à voir avec notre client, plutôt dans les 22x6. Dommage pour moi !
Le mec est impatient. Il ouvre vite son pantalon pour sortir sa bite. Propre, bien droite, la touffe entièrement rasée, je ne m'étais pas trompé dans mes estimations. Quand j'entends Amaury sucer, je me presse de l'imiter. C'est évident qu'une queue pareille me rentre direct entre les amygdales et que mon nez s'écrase sur le pubis sans provoquer de renvois. Autant l'émir est discret, autant son invité ne peut s'empêcher de commenter. Nous entendons tous un " putain que c'est bon une gorge de salope " et à moi directement " suce ma bite, je vais te défoncer, tu vas prendre cher ".
En moi-même, je me dis que c'est pas avec ce qu'il a entre les jambes qu'il va me faire du mal ! En attendant l'application de ses menaces, je le pompe consciencieusement. Il pose ses mains sur ma tête et tente à plusieurs reprises de m'étouffer avec son gland, reflexe misérable de petit chef ! Merci la natation, j'ai un temps d'apnée important. Je sens que je vais m'ennuyer avec lui, j'envie Amaury. Il essaye de me faire vomir mais n'y arrive pas et je sens que ça l'énerve un peu.
Il sort alors de son attaché case un plug queue de chien et me l'enfile avant de se remettre devant moi les cuisses écartées. " Voilà, comme ça il fait encore plus chienne ". Par dérision, je tortille du cul ce qui me vaut une caresse sur la tête et un " bon chien-chien ça ". Le temps de pose j'ai pu apercevoir Amaury qui se mettait en position pour se faire saillir. Ça donne l'idée au miens de faire pareil. Je me tourne donc et me retrouve à 4 pattes ma tête au niveau de celle d'Amaury. Son émir relève sa djellaba juste ce qu'il faut et fait disparaitre, avec une aisance parfaite, son sexe d'étalon dans le cul d'Amaury. Le mien est plus brouillon, après s'être couvert, il tente plusieurs fois de me la mettre avant d'y arriver. Son petit cri de triomphe amène un sourire compatissant sur le visage de l'émir. Je sens sa queue mais elle n'a vraiment rien à voir avec celle qui m'a défoncé précédemment. J'ai dû laisser transparaitre cet état de fait car un froncement de sourcils de l'émir me fait comprendre que je dois veiller à bien satisfaire son ami. Je rue du cul d'où un " holà, comme elle en veut cette chienne " pas très original. L'émir pousse Amaury en avant jusqu'à plaquer sa tête contre la mienne. On teste une pelle entre nous, voir si c'est ce qu'il désire. Il se penche et caresse nos têtes c'était bien ça. Ça me fait un peu oublier mon enculeur qui s'y prend comme un manche. Avec ce qu'il a, il pourrait me faire bien mieux que ça !! En plus je suis sûr qu'il se prend pour un baiseur de compétition. L'émir pousse Amaury jusqu'à la table basse et le tourne sur le dos. Il me fait signe de venir les rejoindre. Je marche à 4 pattes, l'autre imbécile collé à mes fesses. Je couvre Amaury et nous nous faisons un 69. Je prends plus de plaisir à lui faire une pipe qu'à me faire ramoner le conduit, c'est dire l'habileté de mon enculeur !! Le mec parle trop. Il nous dit que mon cul est meilleur que celui des dernières putes qu'il a monté. Qu'avec sa femme qui ne l'accepte que par devant, c'est ennuyeux, qu'il tienne absolument à pouvoir nous revoir etc. L'émir commence à s'échauffer du bonhomme nous l'entendons lui dire que ce n'est pas nécessaire car nous sommes trop chers pour lui.
L'invité se tait quelques instants. Et puis il remet ça !! Non seulement il baise mal mais en plus il est con, je dois faire avec. Amaury, lui est content. Je le sens dans l'enthousiasme qu'il met à me sucer la queue. Soudain mon piètre sodomiseur me prend par les épaules, redresse mon buste et accélère ses va et vient. Il jute précocement dans sa kpote en trois pauvres spasmes. En face de nous l'émir monte lentement vers le plaisir ultime, travaillant l'anneau d'Amaury alternativement de grands limages sur ses 30cm, du pilonnage de fond de cul ou juste de son gland à passer sur sa prostate quand ce ne sont pas par des rotations du bassin qu'il modifie ses poussées.
Le mien aurait pu en apprendre beaucoup à le regarder faire. En attendant, il se retire, ramollissant à toute vitesse. Il me replace le plug brutalement comme s'il avait besoin de ça pour me prouver sa domination ! Je ne bouge pas et continu mon 69. L'émir sort complètement d'Amaury et sa force fait que son gland remonte vers mon visage. Je laisse la bite de mon collègue et embouche le gland. Bien que géante, sa queue est toujours propre grâce à nos précautions. Quand il se met à alterner ma bouche et la rondelle d'Amaury, mon ancien partenaire s'exclame que c'est ce qu'il aurait dû faire, il aurait alors sûrement tenu plus longtemps. Le pauvre !!
L'émir me fait signe de couvrir Amaury de mon corps. Je me place de façon à ce qu'il puisse disposer de nos deux trous. C'était ce qu'il désirait puis alors qu'un bref refroidissement de mon trou (dû au retrait de cette ridicule queue de clebs) disparait il me saillit à mon tour.
Putain que c'est bon !! J'en oublie la médiocrité précédente. Amaury me reprend la bouche et notre pelle appuyée couvre mes gémissements de plaisir. Il nous fait jouir tous les deux avant de me recouvrir le dos de son sperme, c'est mon tour.
Pour un type comme ça, on se défonce tellement il baise bien. Par contre avec l'autre connard, pas question de faire du zèle. Collés ensembles par nos spermes mélangés, nous sommes recouverts de peignoirs et laissés là à récupérer.
La discussion entre notre hôte et l'homme politique passe sur des sujets sérieux. Je regarde Amaury et un clin d'oeil entre nous nous dit que c'est pour ça qu'on était là. Afin de détourner l'attention, Avec Amaury on se câline lentement. Ça commence avec une pelle, ça continu avec une pipe puis je l'encule. Le tout en silence afin de ne rien louper de la discussion en anglais.
Trois fois nous serons interpellés en anglais et à chaque fois nous avons ignoré l'appel feignant l'incompréhension de cette langue.
Comme nous ne sommes pas sollicités de nouveau, notre petite affaire s'approfondie et je me kpote pour tester mon collègue. Sa rondelle s'est bien resserrée depuis tout à l'heure et bien que monté modestement (quasiment moitié, rapport à notre étalon d'émir), je me sens bien collé. Amaury est encore très sensible de sa dernière monte et il apprécie cet intermède qui repose son anneau. Il me roule un patin et nous baisons à un rythme zen.
J'en oublie nos voisins jusqu'à ce que je me fasse défoncer par surprise. Reflexe : je me redresse et tourne la tête. Comme si un autre que nôtre client pouvait en avoir un aussi grosse ! Il est nu et le Français est parti. Je me fais baiser comme une reine et Amaury en profite par ricochet.
Ce sera la dernière fois que nous servirons.
Le lendemain matin, le serviteur nous remet à chacun une grosse enveloppe kraft avant de nous laisser partir. Il nous demande aussi nos n° de portables. Son maitre nous ayant trouvé très à son goût, nous devions nous attendre à être de nouveau demandés. Nous lui donnons celui de la société de Sasha.
Après consultation des contenus des enveloppes, Jona nous en a restitué 60% soit l'équivalent d'un an de salaire d'un cadre moyen !!
Amaury a voulu lui rendre lui disant qu'il n'avait fait cela que pour rendre service à Sasha, mais Jona est resté inflexible et il a dû partir avec !
Jardinier
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C'est le jour des langues aujourd'hui donc vous avez droit à un poste en français
Et je vais continuer à parler de Koisenu Futari (une série japonaise centrée sur deux personnages AroAce, mon premier poste ici) parce que cette série est mon coup de cœur du moment. <3
Je ne suis généralement pas très bonne à repérer les éléments de language visuel - mais il y a un détail de cette série qui me fait sourire à chaque fois qu'il est dans le plan.
Quand Sakuko se prépare à s'installer avec sa meilleure amie, elle achète une lampe colorée très fun.
Et c'est évident dès l'épisode 1 qu'elle va bien s'entendre avec Takahashi, parce qu'au delà d'être tous deux AroAce, ils partagent un amour des lampes colorées.
Voilà la première lampe que Takahashi allume la première fois qu'on découvre sa maison :
Il allume cette lampe en premier, avant même le plafonnier. Je vous jure que c'est fait exprès ! Elle est parfaitement centrée dans le cadre !
Je pense qu'elle sert aussi à annoncer le côté... disons maximaliste, de la maison. Il y a beaucoup de choses, partout, tout le temps, mais ça donne un côté très chaleureux au décor.
(en opposition à l'appart moderne et lumineux mais entièrement vide que Sakuko a visité avec sa meilleure amie quelques scènes plus tôt)
(Oui je tire beaucoup d'un unique arrêt-sur-image, et alors. Quand la cinématographie est bien faite il y a beaucoup a interpréter.)
Et comme elle est installée en plein milieu de la pièce à vivre, cette lampe est régulièrement à l'écran, et elle me fait sourire à chaque fois.
La revoilà dans l'épisode 4 :
Même éteinte elle est souvent présente :
Et finalement au premier plan dans la dernière scène de l'épisode :
Cette lampe est clairement un choix de décore délibéré et je l'adore ! C'est quasiment un personnage à ce stade.
D'ailleurs ce n'est pas la seule lampe à fleurs de la maison, il y en a plusieurs rien que dans le salon, et au moins une dans la chambre de Sakuko.
#speak your language day#spyld#koisenu futari#it's really weird to write on Tumblr in French because Tumblr has its own writing conventions that I cannot transpose in French#so not only am I writing in another language but I feel like the register isn't right either#j'ai envie d'acheter une lampe à fleurs maintenant#je suis à peu près sûre qu'il y a plus à dire sur cette lampe#mais j'y reviendrai quand j'aurai fini la série#aroace media#aroace#asexual#aromantic#aspec mafia#acespec mafia#arospec mafia
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Automne 1929 - Champs-les-Sims
7/7
En tous cas, cette cérémonie supplémentaire nous a tous fait un bien fou. Papa et Maman sont repartis en Egypte, Cléo est retournée à ses "errances mondaines et parisiennes" et Sélène va prendre un peu de repos dans la famille de son fiancé (c'est très récent). Quand à Ange et moi, dès qu'il sera revenu de Paris, nous serons enfin prêts à nous lancer dans des travaux d'envergure. Nous allons commencer modestement avec la réfection du salon, puis nous nous attaquerons au gros oeuvre.
Je sais aussi que tu es friand des nouvelles informations sur la cour que se livrent mon frère et Mademoiselle Laroche. Et bien sache que ça avance, petit à petit en tous cas. Je les surprend de plus en plus seuls tous les deux. Ils assurent que c'est en tout bien tout honneur, mais je pense que tu sais ce que ça signifie. Je ne pense pas me montrer si je t'affirme que ma prochaine lettre t'apprendra leurs fiançailles.
J'espère que cette fin d'année nous apportera, à toi et moi, de meilleures nouvelles et d'heureux événements.
Noé
*En québécois, cette expression peut signifier "c'est pénible/fâcheux".
Transcription :
Marc-Antoine « Enchanté, Madame Rumédier. Vous pouvez m’appeler Antoine, je ne suis pas du genre à faire des simagrées. »
Lucrèce « Appelez moi Ada… »
Marc-Antoine « On dirait que je vous fait une sacré impression. Vous venez de voir un fantôme ? »
Lucrèce « Pas du tout ! Vous me rappelez juste quelqu’un que j’ai connu autrefois. »
Arsinoé « Grand-Mère disait qu’Antoine ressemble énormément à notre grand-mère, Maximilien, même si il a les yeux de Maman. »
Marc-Antoine « J’en aurais aussi la carrure, le cheveux et le charisme. Mais j’imagine que c’est surtout ce qu’elle voulait voir. »
Arsinoé « En tous cas, si tu lui ressembles tant, ce ne peut pas être une mauvaise chose. Si mon père ne me parlais jamais vraiment du sien, Grand-Mère s’en est beaucoup chargée, Ada. Elle passait son temps à nous dire à quel point c’était un bon garçon, un homme formidable. »
Marc-Antoine « Et à quel point je lui ressemble ! »
Lucrèce « C’est de valeur*… »
Arsinoé « Ah, si vous aussi vous vous y mettez ! Parle t-on de mon grand-père au Canada ? »
Lucrèce « Pas vraiment. C’est que ça commence à remonter... »
Marc-Antoine « Allons, arrête d’embêter notre cousine avec tout ça Noé. Vous restez avec nous pour le repas j’espère. Aurore… enfin, je veux dire Mademoiselle Laroche, a préparé tout spécialement des pancakes pour le dessert. »
Lucrèce « Proposé de cette façon... »
Marc-Antoine « J’avoue que je me suis assez peu intéressé à la politique canadienne ces derniers mois. A Paris, on ne parle que des Etats-Unis ou de l’Italie, quand ce ne sont pas ces saletés de fascistes qui sont sur toutes les langues… Que pensez-vous de l’antimilitarisme Ada ? »
Lucrèce « Et bien… Personne n’aime la guerre Antoine. »
Marc-Antoine « Et pourtant, vous seriez surprise. Nous avons été si prompts à voter les crédits en 1914. »
Arsinoé « Oh bon sang, Antoine ! Nous n’avions que huit ans à cette époque ! Tu peux laisser tout ça derrière toi ? »
Lucrèce « Je devrais vous laisser... »
Arsinoé « Ah non ! Antoine, ferme donc un peu ton bec et vas chercher quelque chose à boire à notre invitée. Quelque chose de particulier vous ferait-il plaisir ? Je crois que ma tante Rose a laissé un peu de brandy. »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Lucrèce Le Bris#Ada Rumédier#Marc-Antoine Le Bris#Maximilien Le Bris#Albertine Maigret#Aurore Laroche#Rose Le Bris#Constantin Le Bris#Cléopâtre Le Bris#Sélène Le Bris#Gilberto Bragança#Ange de Chastel
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Ouvrir les yeux, être mal réveillée, vouloir prendre un café, ne plus savoir où je suis...
J'arrive au salon et je le vois allongé sur le canapé, une tasse de café à la main, regardant le paysage, juste couvert d'une serviette !
Est-ce la réalité ou juste un rêve éveillé ?
Je m'approche de lui, le regarde, il ne me voit pas, plongé qu'il est dans ses pensées !!
Je ne vois qu'une chose qui dérange dans le spectacle offert à mes yeux ... la serviette .. maudite serviette qui me cache la vue, gâche mon rêve !!
Il me faut la retirer au plus vite !
Dés que ma main se pose sur la serviette pour la tirer, la sienne me prend le poignet, je tourne la tête et vois un sourire dessiné sur son visage ...
- Approche, à genoux, près de moi.
Sourire encore et de ma part également 🙂
- Retire là lentement si tu veux prendre possession de ce qu'il y a dessous.
Je ne me le fais pas dire deux fois !!
Que le spectacle est beau !!! Un vit dressé et fier m'attend.
Je ne peux qu'approcher mes lèvres de ce vit, je ne peux que le déguster en le léchant sur la longueur, en suçant ce gland bien lisse, en recommençant et puis, n'y pouvant plus , l'entrer dans ma bouche et le déguster.
Il n'y a rien de mieux comme petit déjeuner !!
J'ai dégusté la crème jusqu'à la dernière goutte ... la meilleure à mes yeux !!!
MartyWha@20240528
Je vous souhaite une bonne fin de journée à toutes et tous :)
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« Est-il possible qu’on n’ait encore rien vu, reconnu et dit de vivant, est-il possible qu’on ait eu des millénaires pour observer, réfléchir et écrire et qu’on ait laissé passer ce millénaire comme une récréation pendant laquelle on mange sa tartine et une pomme ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que malgré invention et progrès, malgré la culture, la religion et la connaissance de l’univers l’on soit resté à la surface de la vie ? Est-il possible que l’on ait même recouvert cette surface qui après tout eu encore été quelque chose, qu’on l’ait recouverte d’une étoffe indiciblement ennuyeuse qui la fait ressembler à des meubles de salon pendant les vacances d’été ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’histoire de l’univers ait été mal comprise, est il possible que l’image du passé soit fausse parce que l’on a toujours parlé de ces foules comme si l’on ne racontait jamais que des réunions d’hommes au lieu de parler de celui autour de qui ils s’assemblaient parce qu’il était étranger et mourant ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que nous croyons devoir rattraper ce qui est arrivé avant que nous soyons nés ? Oui, c’est possible.
Est-il possible qu’il faille rappeler à tous l’un après l’autre qu’ils sont nés des anciens, qu’ils contiennent par conséquent ce passé et qu’ils n’ont rien à apprendre d’autres hommes qui prétendent posséder une connaissance meilleure ou différente ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que tous ces gens connaissent parfaitement un passé qui n’a jamais existé ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que toutes les réalités ne soient rien pour eux, que leur vie se déroule et ne soit attachée à rien comme une montre oubliée dans une chambre vide ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’on ne sache rien de toutes les jeunes filles qui vivent cependant ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’on dise les femmes, les enfants, les garçons et que l’on ne se doute pas malgré toute sa culture, que l’on ne se doute pas que tous ces mots depuis longtemps n’ont plus de pluriel mais n’ont qu’infiniment de singulier ?
Oui, c’est possible.
Est il possible qu’il y ait des gens qui disent Dieu et pensent que ce soit un être qui leur est commun ?
Oui, c’est possible.
Vois ces deux écoliers, l’un s’achète un couteau de poche et son voisin, le même jour, s’en achète un identique et après une semaine, ils se montrent leurs couteaux et il apparaît qu’il n’y a plus entre les deux qu’une lointaine ressemblance tant a été différent le sort des deux couteaux dans des mains différentes ? Oui, dit la mère de l’un s’il faut que vous eussiez toujours tout et encore est-il possible que l’on croit posséder un dieu sans l’user ?
Oui, c’est possible ».
Mais si tout est possible, si tout cela n’a même qu’un semblant de possibilité, mais alors il faudrait pour l’amour de tout au monde, il faudrait que quelque chose arriva.
- Rainer Maria Rilke se pose les questions dans ´Les Cahiers De Malte Laurids Brigge
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2024, tu as été l’année la plus éprouvante de ma vie, et pourtant, aussi l’une des plus marquantes.
Ces 365 jours m’ont changée, profondément. Tu m’as poussée dans mes retranchements, m’obligeant à faire face à ce que j’aurais préféré ignorer. Je suis tombée, plus d’une fois, et parfois si bas que je pensais ne jamais me relever. Mais, malgré tout, je n’ai jamais laissé la douleur me clouer au sol plus d’une journée.
Tu m’as pris ma plus belle étoile, un morceau de mon ciel. Tu as réveillé des fantômes que je pensais avoir enterrés pour de bon. Tu as compliqué ma santé, comme pour m’offrir une boucle familière, un rappel cruel d’un passé que je connais trop bien. Mais tu ne t’es pas arrêtée là. Entre les épreuves, tu as laissé des traces de lumière. Tu m’as montré que je donnais trop, parfois au détriment de moi-même. Et puis, doucement, tu as placé sur mon chemin des personnes inattendues. Des âmes que je n’aurais peut-être pas remarquées dans une autre vie, mais qui, cette fois, sont restées. Et elles ne se sont pas contentées de passer. Elles ont pris racine dans ma vie et dans mon cœur, m’apprenant que plus jamais je ne serais seule. Désormais, aucun obstacle ne sera affronté sans soutien.
Tu m’as aussi soufflé une vérité brutale : la vie est courte, parfois trop courte. Il faut se recentrer sur ce qui compte vraiment. Et aujourd’hui, en regardant en arrière, je sais ce qu’est l’essentiel : eux. Mes deux petits rigolos. Mes meilleurs amis. Mes amours. Ils m’ont tout appris, ou plutôt, ils m’ont réappris. Car ce n’est pas moi qui les élève, ce sont eux qui m’élèvent. Ils m’apprennent l’amour, le vrai. Pas celui qui blesse, qui ment ou qui écrase. Mais celui qui pardonne, qui endure et qui ne lâche jamais. Avec leurs pansements Pat’Patrouille et Spiderman, ils recouvrent des blessures que je pensais scellées à jamais. Ils me ramènent là où je m’étais perdue, dans cette partie de moi que je ne reconnaissais plus. Ils calment mes colères, apaisent mes peurs, et deviennent mes guides dans ce labyrinthe qu’est la vie. Ils m’apprennent à m’aimer, là où moi, j’avais oublié comment faire. Cette année, ils ont soufflé cinq et deux bougies. Ils remplissent mes jours de rires, de larmes, et d’une tendresse brute, si belle qu’elle en est parfois douloureuse. Alors, pour eux, j’ai tout changé.
Je leur ai offert une maison dans le Sud, bercée par le chant des cigales et l’odeur de la Méditerranée. Et un chalet niché entre trois montagnes, où règnent le silence, les batailles de boules de neige et l’odeur de la fondue. Je voulais qu’ils grandissent entourés de beauté, même quand moi, à l’intérieur, je me sentais brisée.
À force de tout porter, j’ai fini par lâcher prise.
J’ai dansé. Partout. Dans la rue, sous la pluie, debout sur une table, dans mon salon avec eux, sous la neige, dans les couloirs d’un hôpital, ou pieds nus sur le sable. J’ai dansé quand tout semblait s’écrouler, pour oublier que parfois, la vie est un cyclone qui emporte tout sur son passage.
Et au milieu du chaos, j’ai appris à respirer.
Je me suis envolée, loin. Nouvelle-Calédonie, Écosse, Dolomites, Rome, Londres, Bilbao, Majorque, Genève. J’ai fui, un peu, et en fuyant, j’ai retrouvé quelque chose que j’avais perdu : moi-même.
2025, je t’attends. Je sais que tu ne me ménageras pas. Je sais que tu apporteras ton lot de tempêtes. Mais cette fois, je suis prête. Je suis fatiguée, c’est vrai, mais je suis aussi pleine d’une étrange sérénité. Cette année, je vais continuer à me reconstruire. Et tu verras, cette version de moi sera belle.
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L’album des souvenirs
Fandom : Naruto
Relationship : Naruto x Hinata
Résumé : Naruto prit un autre album et tourna les pages. Il s'arrêta sur une photo en particulier. Il s'agissait d'Hinata. Elle était âgée de dix-sept ans, elle était assise à une table d'Ichiraku et tenait un bol de ramen. Il se souvenait parfaitement de ce jour. Il s'agissait de leur premier rendez-vous.
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto.
AO3 / FF.NET
Naruto ouvrit la porte de chez lui et se déchaussa en soupirant. Sa journée était enfin terminée et pour une fois il pouvait rentrer plus tôt. Il allait pouvoir dîner en famille, ce qui se produisait que trop rarement à son goût. Sa famille lui manquait quand il travaillait trop. Mais il était Hokage et les villageois étaient aussi sa famille. Heureusement, Hinata et ses enfants comprenaient. Il était chanceux d'avoir leur soutien et leur amour.
« Hinata-chan ! Appella-t-il.
-Dans le salon. »
Il se dirigea vers le salon. Hinata était assise dans le canapé. Il s'approcha et vit plusieurs albums photo ouverts sur la table basse. Il s'assit à côté d'elle et prit un album qu'il ouvrit.
« Ça fait des années que je ne les ai pas regardés, dit-il »
Hinata sourit tendrement.
« J'étais en train de faire du rangement quand je suis tombée dessus. Ça fait plus d'une heure que je les regarde, je n'ai pas vu le temps passer.
-Tu t'es perdue dans nos souvenirs.
-De merveilleux souvenirs. J'allais me préparer du thé. Tu en veux ? »
Naruto acquiesça. Hinata se leva et se dirigea vers la cuisine. Il feuilleta l'album et ne put s'empêcher de sourire. C'était des moments précieux de leur vie. La vie qu'il avait toujours voulue et qui était encore mieux que dans ses rêves.
Il prit un autre album et tourna les pages. Il s'arrêta sur une photo en particulier. Il s'agissait d'Hinata. Elle était âgée de dix-sept ans, elle était assise à une table d'Ichiraku et tenait un bol de ramen. Il se souvenait parfaitement de ce jour. Il s'agissait de leur premier rendez-vous.
Il se souvint de l’angoisse qu’il avait ressenti avant de lui demander de sortir avec lui. Malgré les conseils bancals et les plans idiots de Kiba et Konohamaru et les encouragements de Sakura qui tentait de le rassurer en lui disant qu’Hinata accepterait, il avait peur de se faire rejeter. Mais elle lui avait dit oui et il ne pouvait pas être plus heureux.
Il avait prévu de l’emmener à Ichiraku. C’était un endroit important pour lui et il voulait partager ça avec Hinata. Plus la date du rendez-vous approchait, plus il était nerveux. Il se posait des tas de questions. Est-ce que le dîner à Ichiraku lui plairait ? Est-ce qui allait dire ou faire quelque chose qui lui déplairait, ou pire, qui la blesserait ? Il avait demandé des conseils à Sakura. Après tout, elle était sa meilleure amie et surtout, elle était une fille. Elle savait ce qui pourrait plaire à Hinata.
« Reste toi-même et tout se passera bien, lui avait-elle dit. »
Rester soi-même, pensa-t-il sarcastiquement. Comme si ça pouvait l’aider. Puis le jour de leur rendez-vous était arrivé. Il n’avait jamais été aussi nerveux. Ses mains étaient moites et il avait l’impression que son cœur allait sortir de sa poitrine, tellement il battait fort. Au début, il avait vraiment l’impression de faire et dire n’importe quoi. Elle devait le prendre pour un idiot. Mais plus le temps passait, plus il se sentait à l’aise. Jamais il n’avait passé un aussi bon moment.
À la fin de la soirée, il avait remarqué qu’Hinata avait mangé plus de ramen que lui. Mieux encore, elle avait battu le record du restaurant. Ayame l’avait pris en photo pour fêter ça. Une copie était fièrement accrochée au mur d’Ichiraku. Cela faisait un moment que Naruto avait compris qu’il était amoureux d’Hinata. Mais à ce moment précis, il savait qu’il allait passer le reste de sa vie avec elle.
Il fut sortit de ses pensées lorsqu’Hinata s’assit à côté de lui. Elle lui tendit une tasse de thé qu’il accepta. Elle regarda la photo de leur premier rendez-vous et sourit.
« J’étais tellement nerveuse ce jour là. »
Naruto la regarda, surpris.
« Vraiment ? Tu avais l’air si sereine.
-J’ai tout fait pour ne rien monter. Je ne voulais pas gâcher notre rendez-vous. Mais grâce à toi, j’ai passé une merveilleuse soirée. »
Un immense sourire illumina le visage de Naruto. Il s’approcha d’Hinata et l’embrassa. Cette soirée avait été un tournant pour lui. Il vivait la vie qu’il avait toujours rêvé et tout cela, il le devait à Hinata.
Fin
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Always And Forever
Chapitre 3 -> Bébé surprise
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Un doux après-midi d'automne baignait la petite maison d'un soleil doré. Les feuilles rouges et orange tapissaient le sol, et la cheminée crépitait doucement, diffusant une chaleur réconfortante. Agatha, mère aimante et débordante d'énergie, jouait par terre avec son fils de cinq ans, Nicki.
Rosalia, la belle-mère de Nicki et femme d'Agatha, était assise non loin, à la table du salon. Elle feuilletait un livre en souriant, observant discrètement la scène, prête à intervenir si le chaos devenait incontrôlable.
Nicki s'appliquait à empiler des blocs de bois pour construire une tour.
« Maman, regarde ! Ma tour est presque aussi grande que toi ! » cria-t-il avec enthousiasme.
Agatha plissa les yeux, feignant une évaluation sérieuse. « Hmm... pas mal, mais je pense qu'il manque un petit quelque chose. Peut-être une pancarte qui dit : 'Tour de Nicki, champion du monde !' »
Nicki éclata de rire. « Oui ! Et toi, Rosalia, tu sais construire des tours aussi ? »
Rosalia, surprise d'être soudain au centre de l'attention, posa son livre avec un sourire. « Moi ? Évidemment. Je construisais des tours bien avant ta naissance, jeune homme. »
Nicki leva un sourcil, sceptique. « Prouve-le ! Viens jouer avec nous ! »
Agatha croisa les bras, malicieuse. « Alors, Rosalia ? Prête à relever le défi d'un garçon de cinq ans ? »
Rosalia, un sourire en coin, se leva et s'installa sur le tapis. « Très bien, préparez-vous à perdre. »
La compétition fut lancée, et bientôt les trois s'affairaient à construire la plus grande et la plus solide des tours.
« Oh non ! » s'écria Nicki en voyant sa construction vaciller. D'un geste rapide, Rosalia tendit la main pour la stabiliser, ce qui lui valut un regard impressionné de Nicki.
« T'es forte, Rosalia ! » admit-il en riant.
« Et oui, j'ai mes secrets », répondit-elle avec un clin d'œil.
Mais Agatha, amusée par tant de complicité, fit mine d'être outrée. « Nicki, tu trahis déjà ton équipe ? »
Nicki se redressa avec un grand sourire. « Non, jamais ! Mais je vais quand même lui voler son idée. »
Il éclata de rire en lançant un coussin sur Rosalia, ce qui déclencha une bataille générale où les rires résonnèrent dans toute la maison.
Au bout de quelques minutes, les trois s'écroulèrent sur le tapis, épuisés mais heureux. Rosalia, légèrement décoiffée, regarda Agatha avec un sourire complice.
« Il est encore plus têtu que toi, tu le sais ? »
Agatha haussa les épaules, taquine. « Forcément, il tient ça de moi. »
Nicki, blotti entre elles deux, leva les yeux avec un sourire innocent. « Vous êtes les meilleures ! »
Agatha passa un bras autour de son fils et l'autre autour de Rosalia. Ce moment de complicité improvisé leur rappelait que, malgré les différences et les liens complexes, ils formaient une famille unie.
Alors qu'ils reprenaient leur souffle après la bataille de coussins, Nicki tourna un regard malicieux vers Rosalia.
« Rosalia, fais de la magie ! » demanda-t-il avec excitation, ses yeux pétillant d'admiration.
Rosalia leva un sourcil, feignant l'indifférence. « De la magie ? Mais pourquoi je ferais ça ? »
« S'il te plaaîîît ! » insista Nicki, joignant ses mains dans une supplication exagérée.
Agatha, amusée, intervint. « Oh, allez, Rosalia. Donne-lui un petit spectacle, il adore ça. Et moi aussi, d'ailleurs. »
Rosalia soupira, mais un sourire en coin trahissait son plaisir. « Très bien. Mais attention, je ne fais ça qu'une seule fois ! »
Elle se redressa et tendit les mains devant elle. En quelques secondes, l'air autour d'elle sembla se charger d'humidité, et une sphère d'eau limpide se forma entre ses doigts. Nicki poussa un petit cri d'émerveillement, sautillant sur place.
Rosalia fit ensuite tourner la sphère doucement, lui donnant la forme d'un poisson qui nageait dans l'air. Puis le poisson se transforma en une étoile scintillante, et enfin en une petite vague qui sembla danser devant eux.
Nicki était captivé. « C'est trop beau ! Fais encore un poisson ! »
Rosalia sourit et forma un nouveau poisson, mais cette fois, elle le fit sauter comme s'il plongeait dans une rivière invisible. Agatha, fascinée elle aussi, applaudit doucement.
« Je dois avouer que tu es vraiment douée, Rosalia. C'est magnifique », dit-elle, un grand sourire aux lèvres.
Mais Rosalia, toujours espiègle, fit soudain disparaître le poisson et lança un regard malicieux à Agatha. « Magnifique, hein ? Alors tu ne m'en voudras pas si j'ajoute une petite touche... rafraîchissante. »
Avant qu'Agatha n'ait le temps de répondre, Rosalia fit jaillir un petit jet d'eau directement sur elle.
« Rosalia ! » s'écria Agatha, éclatant de rire en essayant de se protéger.
Nicki se roula par terre de rire. « Maman, t'es toute mouillée ! »
Agatha, les cheveux légèrement trempés, pointa un doigt accusateur vers Rosalia. « Très bien, tu l'as cherché. Attends un peu que je t'attrape ! »
Elle se leva d'un bond et tenta de rattraper Rosalia, qui s'éloigna en riant, une nouvelle boule d'eau prête à l'emploi.
Le salon se transforma rapidement en une joyeuse pagaille, les éclats de rire résonnant dans la maison. Nicki, ravi, les regardait jouer, des étoiles dans les yeux.
« Vous êtes les meilleures ! » déclara-t-il, tout sourire, en sautant dans les bras d'Agatha.
Rosalia, un peu essoufflée, posa une main sur l'épaule d'Agatha, le visage encore illuminé d'un sourire. « Je crois qu'on a fait la journée de ce petit. »
Agatha, regardant son fils rayonnant de bonheur, hocha la tête. « Et la mienne aussi. »
Agatha s'essuya le visage encore légèrement mouillé, une expression mi-agacée, mi-amusée sur les lèvres. Rosalia s'approcha doucement, un éclat taquin dans les yeux.
« Allez, Agatha, avoue que tu t'es bien amusée, même si tu es trempée », dit-elle en souriant.
Agatha haussa les épaules, feignant l'indifférence. « Peut-être. Mais tu vas le payer. »
Rosalia éclata de rire et, avant qu'Agatha ne réplique, elle se pencha et déposa un baiser rapide sur sa joue.
Nicki, qui observait la scène avec attention, éclata de rire en sautillant sur place. « Beurk, un bisou ! » s'écria-t-il, les joues rouges de malice.
Agatha écarquilla les yeux, surprise par le geste. Puis, elle se mit à rire en secouant la tête. « Oh, vraiment, Rosalia ? C'est comme ça que tu comptes m'amadouer ? »
Rosalia haussa les épaules avec un sourire innocent. « Et ça a marché, non ? »
Nicki continua de rire, les mains sur son ventre. « Maman, tu rougis ! Rosalia t'a eu ! »
Agatha, faussement outrée, se tourna vers son fils. « Moi, rougir ? Jamais ! Tu racontes n'importe quoi, petit monstre. »
Mais Nicki, toujours hilare, s'éloigna en courant pour éviter les chatouilles qu'il voyait venir.
Rosalia observa la scène, les bras croisés, son sourire toujours présent. « Vous êtes vraiment adorables, tous les deux », dit-elle doucement.
Agatha la regarda, ses traits s'adoucissant. « Merci, Rosalia. Pour être là. Pour Nicki. Pour moi. »
Rosalia lui fit un clin d'œil. « Toujours. On est une famille, non ? »
Nicki, entendant cela, revint vers elles en courant et se jeta dans leurs bras. « Une famille trop cool ! »
Les trois restèrent là un moment, blottis les uns contre les autres, un mélange de rires et de chaleur dans cette maison où l'amour, malgré ses nuances, trouvait toujours sa place.
Agatha ouvrit les yeux brusquement, le cœur battant encore d'une chaleur familière. Elle mit quelques secondes à reprendre ses esprits, son regard se posant sur le plafond sombre de sa chambre. L'écho des rires de Nicki et Rosalia résonnait encore dans son esprit, vibrant d'une tendresse presque palpable.
Elle tendit instinctivement la main à côté d'elle, mais ne trouva que le vide froid des draps. Le silence de la pièce lui rappela cruellement qu'elle était seule. Elle se redressa lentement, prenant une grande inspiration pour apaiser le poids qui s'était soudain posé sur sa poitrine.
« Encore ce rêve... » murmura-t-elle, sa voix brisée par une émotion qu'elle avait essayé d'enterrer depuis si longtemps.
Elle se passa une main dans les cheveux, les souvenirs encore si vivants qu'ils en étaient presque douloureux. Elle revoyait Nicki, si petit, riant aux éclats. Elle revoyait Rosalia, toujours taquine, mais si protectrice. Et elle se revoyait, plus jeune, plus insouciante, entourée de ceux qu'elle aimait.
Agatha posa les pieds au sol et s'assit au bord du lit. Elle passa une main sur son visage, essuyant une larme qui avait roulé sans qu'elle s'en rende compte.
Son regard se posa sur une photo posée sur sa table de chevet. Elle la prit doucement entre ses mains : une vieille image un peu fanée où elle tenait Nicki dans ses bras, avec Rosalia à leurs côtés, un sourire éclatant sur les lèvres.
« Vous me manquez tellement... » souffla-t-elle, sa voix presque un murmure.
Mais elle savait qu'elle ne pouvait pas s'abandonner à la nostalgie. Le passé était une douceur amère, un rappel de ce qu'elle avait perdu, mais aussi de ce qu'elle devait chérir. Elle se leva, serrant la photo contre elle une dernière fois avant de la reposer.
« Un jour à la fois », se dit-elle, les yeux fermés, tentant de retrouver une certaine paix.
Elle s'approcha de la fenêtre et regarda dehors, le ciel encore teinté de l'aube naissante. La vie continuait, et, quelque part, elle savait qu'elle devait continuer aussi, pour eux, et pour elle-même.
༺♡༻
Wanda se réveilla brusquement, le cœur battant, comme si quelque chose n'allait pas. Elle ouvrit les yeux, et le silence dans la chambre la frappa instantanément. Les draps étaient éparpillés autour d'elle, et une légère lumière filtrant à travers les rideaux donnait à la pièce une atmosphère douce, presque irréelle.
Elle se leva lentement, sentant un malaise étrange se répandre dans son corps. Alors qu'elle se rendait dans la salle de bain, elle jeta un coup d'œil à son reflet dans le miroir. Et là, quelque chose la frappa immédiatement.
Son ventre.
Elle n'était pas juste fatiguée ou malade, elle était... enceinte.
Elle posa une main tremblante sur son ventre, se demandant si ses yeux lui jouaient des tours. Le miroir, comme le reste de la pièce, semblait flou, comme si elle sortait d'un rêve, ou d'un cauchemar. Mais l'évidence était là : elle portait une vie en elle. Une vie qu'elle n'avait jamais attendue, qui semblait avoir surgi sans qu'elle puisse l'expliquer.
Un bruit derrière elle attira son attention, et elle se tourna rapidement. Vision, son mari, entra dans la pièce, l'air un peu perdu, comme s'il se demandait pourquoi elle semblait si perturbée.
« Wanda, tu vas bien ? » demanda-t-il, son regard inquiet parcourant le visage de sa femme. Mais avant qu'elle ne puisse répondre, il remarqua aussi son ventre. Il s'arrêta net, l'expression figée. « Wanda... »
Elle posa les mains sur son ventre, mais aucune explication ne semblait à la portée de ses lèvres. Comment cela pouvait-il être possible ? Elle n'avait aucune mémoire d'une grossesse, aucune idée de comment cela avait pu se produire.
« Ce n'est... pas possible, » murmura Vision, les yeux écarquillés. « Tu... tu es enceinte ? Mais... Comment ? »
Wanda ferma les yeux un instant, ressentant la magie qui flottait autour d'elle, la même magie qui l'avait toujours accompagnée, qu'elle avait contrôlée et utilisée de bien des façons. Mais cette fois-ci, quelque chose était différent. Il n'y avait pas de manipulation consciente de sa part, pas de souhait formulé. C'était... comme si la magie elle-même avait pris le contrôle, agissant sans qu'elle l'ait décidé.
Un frisson la parcourut. Elle tourna ses yeux vers Vision, qui semblait toujours aussi déconcerté.
« C'est de la magie, Vision, » dit-elle d'une voix tremblante, mais pleine de certitude. « Je ne sais pas comment, mais je sais que c'est à cause de ma magie. »
Vision semblait déconcerté. « Ta magie... mais comment... ? » Il s'approcha doucement d'elle, comme s'il cherchait des réponses dans ses yeux. « Est-ce que tu... l'as fait exprès ? »
Wanda secoua lentement la tête. « Non, je n'ai rien fait, rien demandé. Je pense que c'est... le chaos de ma magie, quelque chose que j'ai perdu le contrôle de. » Elle baissa les yeux vers son ventre, comme si elle espérait y trouver une réponse. « Ça ne peut pas être réel, mais je sens cette vie, je sens que c'est réel. »
Vision s'approcha, ses mains tendues, comme pour toucher doucement son ventre. Il semblait tout aussi perdu qu'elle, mais il se rendait bien compte que ce n'était pas quelque chose qu'ils pouvaient ignorer.
« Alors, c'est de la magie... mais pourquoi maintenant ? Pourquoi pas avant ? »
Wanda ferma les yeux un instant, ressentant une vague de confusion et de peur. Elle ne comprenait pas, mais la magie, bien qu'invisible, était là, dans chaque fibre de son être. Peut-être que la réponse résidait dans la magie elle-même, un mystère qu'ils devraient résoudre ensemble.
Elle se tourna vers Vision, son regard rempli d'incertitude. « Je ne sais pas, Vision. Mais... je vais tout faire pour comprendre. Et pour protéger cette vie. »
Tandis que Wanda se retrouvait à naviguer entre la surprise et la confusion, un sentiment étrange de protection et de tendresse grandissait en elle. Son ventre, toujours plus visible, la rappelait constamment à cette réalité étrange et incompréhensible : elle était enceinte, et cette vie grandissait en elle, sans qu'elle n'en ait pris conscience.
Un matin, alors que Vision se penchait sur une pile de livres, de traités sur la maternité et la parentalité, Wanda se leva tôt. Elle regarda son reflet dans le miroir et se surprit à sourire légèrement, malgré l'incompréhension qui flottait autour d'elle. Elle passa une main sur son ventre, murmurant doucement, comme pour se rassurer elle-même.
« Tu grandis, petit être, et je vais tout faire pour que tu sois en sécurité. »
Wanda se dirigea vers la pièce libre de la maison, un espace qu'ils n'avaient pas encore utilisé. Elle y avait commencé à préparer une chambre, une chambre qui, à son grand étonnement, semblait se remplir d'elle-même d'une manière presque magique. Des couleurs douces se répandaient sur les murs, des meubles apparaissaient comme par enchantement, parfaitement adaptés à un futur bébé, même si Wanda n'avait jamais fait le choix de chaque détail.
La magie était là, encore une fois, tissant des fils invisibles autour d'elle, comme si tout ce processus était guidé par une force plus grande qu'elle-même. Elle s'assit doucement au centre de la pièce, les mains sur son ventre, une bouffée d'émotion l'envahissant.
Vision entra quelques minutes plus tard, les lunettes sur le nez, une pile de livres de maternité dans les bras. Il s'arrêta sur le seuil, observant la chambre en train de se créer sous les mains de Wanda, une lueur de compréhension dans ses yeux.
« Tu as commencé à préparer la chambre ? » demanda-t-il, sa voix douce mais pleine d'étonnement.
Wanda hocha la tête, un sourire triste aux lèvres. « Je crois que c'est comme si... tout cela devait arriver. Comme si la magie savait déjà. » Elle se leva et s'approcha de lui. « Mais je me sens perdue, Vision. Est-ce que c'est vraiment ce que nous devons faire ? Est-ce que nous sommes prêts à accueillir cette vie, surtout de cette façon ? »
Vision posa les livres sur une table et la regarda profondément. « Nous n'avons pas beaucoup de réponses, Wanda. Mais nous avons l'un l'autre. Et nous ferons tout ce qu'il faut pour que cet enfant grandisse dans un environnement où il se sentira aimé et protégé. » Il prit doucement ses mains. « Nous serons là pour lui, ou elle. Et nous serons là l'un pour l'autre, peu importe ce que cela signifie. »
Wanda se laissa aller dans ses bras, cherchant un peu de réconfort dans ses bras solides. « J'ai peur, Vision. Je ne sais pas si je peux contrôler ça. Je ne sais même pas si cette vie est réelle. »
Vision la serra un peu plus fort. « Peu importe comment il ou elle est arrivé(e) ici, Wanda. Ce qui compte maintenant, c'est ce que nous ferons pour cette vie. » Il baissa les yeux vers le ventre de Wanda. « Il ou elle est là. Et cela doit signifier quelque chose de profond. »
Wanda sourit légèrement, ses yeux brillants de larmes. « Je suppose que tu as raison. »
Elle se redressa et regarda autour d'elle. La chambre, même si elle était encore inachevée, avait une chaleur étrange, comme si elle appartenait déjà à leur futur enfant. Elle savait que la magie ne ferait pas tout, mais elle comprenait que cette petite créature avait un rôle à jouer, même dans un monde aussi complexe que le leur.
Vision prit sa main et la guida vers la fenêtre. « Nous ferons tout ce qu'il faut. Pour cet enfant. »
Les deux restèrent là un moment, regardant le paysage, plongés dans leurs pensées, mais aussi dans une détermination nouvelle. Peu importe d'où venait la magie, peu importe la façon dont cette grossesse était arrivée, ils étaient prêts à tout pour cet enfant. Parce qu'en fin de compte, l'amour et la protection étaient bien réels.
༺♡༻
Ce matin-là, le soleil brillait doucement à travers les fenêtres de la maison d'Agnès, les rayons réchauffant la pièce d'une lumière douce et agréable. Il était près de 10 heures, et Agnès s'était installée dans son jardin, une tasse de thé à la main, profitant de la tranquillité de la matinée. Le parfum des fleurs s'épanouissant autour d'elle remplissait l'air, créant une atmosphère sereine.
Alors qu'elle savourait sa tasse, un bruit soudain attira son attention. Elle tourna la tête juste à temps pour voir un chien noir et blanc se faufiler sous la clôture, se dirigeant vers elle avec enthousiasme. Max, le chien de Rosalia, courait vers elle à toute vitesse, la langue pendante et la queue battant joyeusement l'air.
Agnès éclata de rire, déposant sa tasse sur la petite table de jardin. "Max ! Qu'est-ce que tu fais ici, toi ?" s'exclama-t-elle, s'abaissant pour accueillir le chien avec de grandes caresses.
Max, heureux de la voir, sauta autour d'elle, reniflant et léchant ses mains avec enthousiasme. Il semblait aussi surpris qu'elle de se retrouver dans son jardin, mais totalement content d'être ici.
"Eh bien, tu es un petit aventurier, toi !" dit Agnès, en écoutant le bruit des pattes du chien tapant sur le sol en terre battue. "Rosalia va être furieuse, tu sais !"
À cet instant, Rosalia arriva en courant, les cheveux en bataille et l'air légèrement paniqué. "Max ! Où es-tu passé, espèce de petit fugueur ?!" s'écria-t-elle, essoufflée en voyant le chien chez Agnès.
Max, tout joyeux, aboya en réponse et se jeta sur Rosalia, comme s'il ne comprenait pas bien ce qui venait de se passer, tout en courant autour d'elle.
Agnès sourit en la voyant arriver. "Il a trouvé un trou sous la clôture, je suppose. Il est ici, tout content." Elle regarda Rosalia en riant. "Il est plutôt rapide, je dois l'admettre."
Rosalia posa une main sur son front, exaspérée, mais amusée à la fois. "Je vais devoir réparer ça encore une fois..." dit-elle, avant de s'approcher de Max pour le saisir par le collier et l'attirer doucement vers elle.
"Désolée, Agnès. Il a un vrai don pour l'évasion."
Agnès rit de bon cœur. "Ne t'inquiète pas, Rosalia. C'est plus drôle qu'autre chose. Mais bon, si tu veux, viens prendre un café pour te remettre de ta course-poursuite."
Rosalia, soulagée, sourit. "Un café, ça m'irait très bien. Merci, Agnès."
Les deux femmes se dirigèrent ensemble vers la porte de la maison, Max trottinant derrière elles, comme si sa petite aventure de la matinée avait été la meilleure chose qui lui soit arrivée. La matinée, bien que débutant sur un imprévu, apporta une légèreté et une complicité nouvelles entre elles, le tout sous le regard d'un Max satisfait, installé confortablement dans le salon.
Agnès et Rosalia s'installèrent autour de la table de la cuisine, un silence apaisant régnant dans la pièce, à l'exception du doux bruit du café qui coulait. Agnès, le sourire aux lèvres, déposa une tasse devant Rosalia. Les deux femmes s'étaient habituées à ces moments de calme, appréciant la simplicité d'un café partagé.
"Alors, comment va ton travail ? Toujours aussi intense ?" demanda Agnès en souriant, prenant une gorgée de son café. Elle savait que Rosalia avait une vie bien remplie, mais elle aimait prendre des nouvelles de ses projets.
Rosalia soupira, une lueur de fatigue dans les yeux. "Oui, c'est un peu épuisant en ce moment. Entre le travail et tout le reste, je ne sais plus où donner de la tête. Et toi, Agnès, comment ça va avec tout ce que tu gères chez toi ?" Elle croisa les bras, l'air à la fois amusé et admiratif. "J'ai l'impression que tu arrives toujours à tout organiser à la perfection."
Agnès sourit, un peu gênée. "Oh, tu sais, il y a des jours où ça va et des jours où ça va moins bien. Mais je trouve toujours du temps pour m'occuper de mes petites plantes et prendre un peu de temps pour moi. C'est important de s'évader un peu." Elle posa la tasse sur la table et se leva pour aller chercher un plateau de biscuits. "C'est un peu comme une petite pause dans la journée, tu vois ?"
Rosalia la suivit des yeux, hochant la tête en signe de compréhension. "Oui, je comprends. Parfois, il suffit de prendre un moment, même court, pour se ressourcer. Sinon, on finit par se perdre dans la course du quotidien." Elle se pencha en arrière, les yeux un peu lointains, avant de revenir au présent. "Je pense que je vais essayer de ralentir un peu. Peut-être que ça m'aidera."
Agnès lui apporta quelques biscuits et se rassit. "C'est parfois plus facile à dire qu'à faire, mais tu sais, prendre du recul, même un tout petit peu, peut faire une grande différence. Parfois, il suffit juste d'écouter ce dont on a vraiment besoin, sans se laisser envahir."
Les deux femmes se plongèrent dans un silence paisible, appréciant simplement la compagnie de l'autre. Il n'y avait pas besoin de mots superflus pour comprendre ce que chacune ressentait. Le café, les biscuits et la chaleur de la conversation suffisaient amplement.
"Tu veux que je t'aide avec quelque chose ? Si tu veux te détendre un peu, je peux te donner un coup de main pour tes projets," proposa Agnès après un moment, bien que l'idée de Rosalia de ralentir semblait être une bonne direction à prendre.
Rosalia secoua la tête, souriant doucement. "Non, je crois que pour l'instant, j'ai juste besoin de me poser un moment. Mais merci, Agnès. Vraiment." Elle la regarda dans les yeux, reconnaissante. "Ça fait du bien de pouvoir parler, sans pression."
"Tu as toujours une place ici pour ça," répondit Agnès avec un sourire chaleureux. "Pas de pression, juste du temps pour nous."
Les deux femmes se laissèrent aller à la douceur du moment, savourant la compagnie de l'autre dans une atmosphère tranquille, loin des préoccupations du monde extérieur. Le temps semblait suspendu, et c'était tout ce dont elles avaient besoin à cet instant.
Rosalia jeta un coup d'œil à sa montre, les sourcils froncés. "Oh, je suis désolée, il est déjà tard," dit-elle en se levant précipitamment. "Je dois vraiment filer chez Wanda. Elle m'a appelée juste avant que je parte, et je crois qu'il y a quelque chose qu'elle veut me montrer."
Agnès la regarda, un petit sourire en coin. "C'est drôle, tu sais, tu sembles toujours rappliquer chez Wanda dès qu'elle t'appelle. C'est comme si elle avait un pouvoir particulier sur toi," dit-elle en plaisantant, mais avec une pointe de curiosité dans la voix.
Rosalia s'arrêta un instant, un peu gênée par la remarque. Elle prit une grande inspiration avant de répondre, comme si elle réfléchissait à la manière d'expliquer sans trop en dire. "Eh bien, Wanda... elle a parfois besoin de moi. C'est une amie. Elle a traversé beaucoup de choses ces derniers temps, et je suis toujours là pour elle quand elle en a besoin."
Agnès la regarda attentivement, un air pensif sur le visage. Elle n'avait pas l'habitude de voir Rosalia aussi réservée, et cela éveillait en elle une certaine curiosité. "Hmm... je vois. Mais tu sais, ça m'a toujours un peu intriguée. Pourquoi, à chaque fois qu'elle t'appelle, tu sembles courir à son secours ? Je me demandais s'il n'y avait pas quelque chose de plus entre vous deux."
Rosalia baissa les yeux un instant, comme cherchant ses mots. Elle avait l'air de vouloir répondre, mais hésitait. Après une pause, elle releva la tête et croisa le regard d'Agnès. "Il n'y a rien de plus, Agnès. On est juste amies. Vraiment." Elle insista, avec un sourire un peu timide. "Je sais que ça peut paraître étrange parfois, mais je tiens à elle. Elle est passée par des choses difficiles, et je suis là pour elle, comme n'importe quelle amie le serait."
Agnès la regarda attentivement, voyant la sincérité dans ses yeux. Elle hocha la tête doucement, se détendant. "D'accord, je comprends mieux maintenant. C'est juste que tu sembles si attentive à elle, parfois je me demande si c'est plus que de l'amitié. Mais je vois que tu tiens vraiment à elle, et je respecte ça." Elle lui sourit, levant la main pour poser une main sur son bras. "Ne t'inquiète pas, Rosalia. Je sais que tu as un grand cœur. Je ne voulais pas te mettre mal à l'aise."
Rosalia sourit, reconnaissante pour la compréhension d'Agnès. "Merci, Agnès. Tu sais, c'est juste que... parfois, quand quelqu'un passe par des moments difficiles, tu veux être là, tout simplement. Et Wanda, c'est comme une sœur pour moi."
Agnès acquiesça. "Je comprends parfaitement. Il n'y a rien de plus beau que d'avoir des amis sur qui compter, surtout dans les moments durs." Elle se leva alors pour accompagner Rosalia jusqu'à la porte. "Tu sais où me trouver si tu as besoin de parler."
Rosalia lui sourit, un peu plus apaisée, et lui fit un clin d'œil. "Merci, Agnès. Je vais filer, mais je te promets que la prochaine fois, je prendrai plus de temps pour papoter avec toi. À bientôt !"
"À bientôt, Rosalia," répondit Agnès en la regardant partir, une pensée inquiète mais tendre pour son amie.
Elle savait que Wanda avait besoin de beaucoup de
soutien, mais elle espérait que Rosalia ne se perdait pas dans cette relation d'amitié, qu'elle pouvait parfois être plus compliquée qu'elle ne le semblait.
Rosalia quitta la maison, laissant Agnès avec ses réflexions sur les liens invisibles qui tissaient les relations entre les gens, parfois plus forts que tout le reste.
༺♡༻
Wanda se tenait devant le miroir, fixant son reflet avec une étrange expression. Cela faisait quelques jours qu'elle avait commencé à sentir des changements physiques, mais ce matin-là, l'évolution était plus évidente que jamais. Elle observait son ventre, qui semblait avoir doublé de taille en une nuit. À peine la veille, elle avait eu une silhouette normale, mais aujourd'hui, elle portait déjà un ventre de six mois. Elle posa sa main dessus, un frisson la parcourant.
"Qu'est-ce qui se passe ?" murmura-t-elle pour elle-même, incrédule. Elle savait que la magie pouvait influer sur son corps de façons surprenantes, mais cette rapidité d'évolution la laissait déstabilisée.
En même temps, un léger mouvement, comme une pression à l'intérieur de son ventre, attira son attention. C'était presque imperceptible, un petit coup, mais il se répéta rapidement. Wanda posa ses deux mains sur son ventre, ressentant les coups du bébé, un frisson parcourant sa peau.
Elle sourit doucement, mais une inquiétude sous-jacente s'installa rapidement. Les coups du bébé étaient une sensation merveilleuse, mais quelque chose clochait. Ses pouvoirs commençaient à s'agiter à l'intérieur d'elle. Comme si l'émergence de cette nouvelle vie était liée à une perturbation de son contrôle magique.
Elle ferma les yeux un instant, essayant de se concentrer pour apaiser cette énergie qui bouillonnait en elle. Mais plus elle tentait de maîtriser ses pouvoirs, plus ils semblaient s'échapper de ses mains. Des petites distorsions de réalité apparurent autour d'elle — des objets qui flottaient brièvement dans les airs, la lumière qui vacillait. Son regard se porta sur un vase posé sur une étagère, et avant qu'elle ne puisse réagir, il se mit à léviter légèrement.
Wanda paniqua un instant, tendant la main pour tenter de contrôler l'objet, mais au lieu de cela, des éclats de lumière rouge éclatèrent autour d'elle. Elle ferma les yeux, concentrant son esprit, et réussit finalement à faire redescendre le vase. Mais l'angoisse demeurait. Qu'est-ce que cela signifie ? pensa-t-elle.
Les premiers coups du bébé étaient toujours là, plus prononcés, et chaque mouvement semblait s'accompagner d'une poussée de magie incontrôlable. La grossesse, qui était censée être un moment de bonheur et d'émerveillement, devenait une source de confusion et de peur. Wanda savait que ses pouvoirs avaient toujours été instables, mais jamais à ce point.
Elle se dirigea vers la fenêtre, observant le monde extérieur, essayant de se calmer. Elle ne pouvait plus ignorer cette connexion grandissante entre son état physique et ses capacités magiques. Est-ce que mon pouvoir grandit avec cette grossesse ? se demanda-t-elle. Elle serra les poings, essayant de concentrer sa magie pour apaiser les vagues d'énergie qui traversaient son corps. Mais au lieu de la calmer, elle sentit les choses s'intensifier, comme si un lien invisible entre le bébé et elle-même rendait sa magie encore plus volatile.
Il lui fallait absolument en parler à quelqu'un, et rapidement. Mais à qui ? Vision ? Il ne comprendrait peut-être pas. Et Rosalia... elle avait un sentiment confus à propos de ses pouvoirs et de ce qui se passait en elle. Elle devait être prudente, mais Wanda savait qu'elle ne pouvait plus ignorer ce phénomène.
Les coups du bébé se firent à nouveau sentir, plus forts, comme pour lui rappeler que tout ceci, cette grossesse, ce pouvoir, était désormais un chemin qu'elle ne pouvait plus éviter.
Wanda se tenait toujours près de la fenêtre, les yeux fermés, essayant de reprendre le contrôle de ses pouvoirs. Chaque fois qu'elle se concentrait sur sa magie pour apaiser les tremblements qui parcouraient son corps, quelque chose en elle se rebellait, comme un flux incontrôlable d'énergie. Le bébé bougeait à l'intérieur d'elle, et chaque coup semblait amplifier cette vague de magie qui la traversait.
Elle se mordillait la lèvre, fermant les poings dans une tentative de maîtriser la situation. Mais la pression augmentait. Le vase qui avait failli tomber plus tôt se leva de nouveau dans les airs, flottant lentement devant elle, luisant d'une lumière rouge brillante. Wanda frissonna et, cette fois, elle ne tenta même pas de le redescendre.
"Non..." murmura-t-elle, la voix tremblante, alors que les objets autour d'elle commençaient à se déplacer, comme pris dans un tourbillon magique invisible.
À cet instant, la porte d'entrée s'ouvrit doucement, et Rosalia entra sans frapper, comme elle avait l'habitude de faire lorsqu'elle venait rendre visite à Wanda. Mais en la voyant, une tension palpable dans l'air, Rosalia s'arrêta brusquement. Son regard se posa immédiatement sur le flot d'énergie rouge qui remplissait la pièce. Elle plissa les yeux et fit quelques pas en avant, ses yeux passant d'un objet flottant à l'autre.
"Wanda... qu'est-ce qui se passe ?" demanda-t-elle, la voix étonnée, presque inquiète. "C'est... c'est toi qui fais ça ?"
Wanda tourna lentement la tête, ses yeux brillants d'une lueur rouge intense. Elle savait qu'elle ne pouvait pas cacher plus longtemps ce qu'elle était. Elle avait toujours évité de montrer l'étendue de ses pouvoirs à Rosalia, ne voulant pas la perturber ou l'effrayer. Mais aujourd'hui, l'énergie qui la traversait était trop forte, trop incontrôlable.
"Je... je ne sais pas," répondit Wanda d'une voix faible, presque perdue. "Je... je crois que mes pouvoirs se sont amplifiés avec cette grossesse. Mais je n'arrive pas à les contrôler..."
Rosalia observa la scène, son regard passant des objets qui flottaient autour de Wanda à la silhouette de son amie. Un frisson parcourut son échine en réalisant que Wanda ne contrôlait pas seulement des objets — il y avait quelque chose de beaucoup plus profond et puissant derrière tout ça.
"Tu es une sorcière..." dit Rosalia, les mots sortant lentement, comme si elle venait de faire une découverte importante. Elle s'avança vers Wanda, ses yeux remplis de compréhension, mais aussi de surprise. "Je savais que tu avais des pouvoirs... mais pas à ce point."
Wanda baissa les yeux, gênée, puis souffla doucement. "Je n'ai jamais voulu te le dire, Rosalia. J'ai... j'ai essayé de garder cela caché. J'ai eu peur que si tu le savais, tu me verrais différemment. Mais... je suppose que je n'ai plus de choix, n'est-ce pas ?"
Rosalia s'approcha lentement, ses yeux emplis de curiosité et de préoccupation. "Tu n'as pas à avoir peur de me le dire, Wanda. Je ne te jugerai pas." Elle s'arrêta à quelques pas d'elle, ses yeux fixés sur la lumière rouge qui entourait Wanda. "Mais tu es sûre que tu peux gérer tout ça ? Ce pouvoir... ça a l'air d'être plus que ce que tu avais avant."
Wanda hocha la tête, le regard un peu perdu. "Je pensais que je pouvais tout contrôler, mais avec la grossesse, tout semble déborder... chaque coup du bébé semble amplifier ma magie, et je n'arrive plus à la maîtriser." Elle baissa les yeux, visiblement accablée. "C'est trop pour moi, Rosalia. Je ne sais même pas ce qui se passe..."
Rosalia s'assit près d'elle, posant une main sur son épaule. "Écoute, je ne suis pas une experte en magie, mais je crois que tout ça peut se régler. Peut-être que ce n'est pas une question de contrôle, mais de comprendre ce qui se passe réellement en toi. Cette grossesse, ton pouvoir... c'est un mélange de deux forces énormes."
Wanda la regarda, une lueur d'espoir dans ses yeux. "Tu penses que... je peux retrouver le contrôle ?"
Rosalia sourit doucement. "On va trouver une solution, ensemble. Je sais que tu n'es pas seule, Wanda. Et peut-être que ton pouvoir n'est pas là pour te détruire, mais pour grandir avec toi, pour que tu l'utilises d'une manière différente."
Un silence s'installa entre elles, mais c'était un silence apaisant. Rosalia, en ayant découvert la véritable nature de Wanda, n'était plus dans l'inquiétude pure, mais dans une profonde compréhension. Elle savait que les choses allaient être difficiles, mais elle était prête à aider son amie, peu importe la situation.
Les coups du bébé, plus forts à chaque instant, résonnaient comme un rappel que ce pouvoir, aussi incontrôlable soit-il, faisait partie d'un tout. Une nouvelle vie se préparait à naître, et avec elle, un changement peut-être plus grand que tout ce qu'elles avaient imaginé.
Wanda ferma les yeux un instant, prenant une profonde inspiration pour tenter de maîtriser la tempête intérieure qui la secouait. Elle sentit son énergie, un flot incessant de magie, tourbillonner dans chaque cellule de son corps. Elle avait toujours eu cette connexion particulière avec ses pouvoirs, mais cette fois, l'intensité était décuplée par la grossesse et les mouvements du bébé à l'intérieur d'elle.
Rosalia, silencieuse, attendait en observant Wanda avec bienveillance. Elle savait que l'instant était crucial pour son amie, et que la calmer, la recentrer, était ce dont elle avait besoin. "Respire, Wanda. Respire profondément," dit-elle doucement, sa voix remplie de calme et de douceur.
Wanda hocha la tête lentement, reconnaissant dans la voix de Rosalia une ancre dans cette mer déchaînée de magie. Elle inspira profondément, puis expira lentement, essayant de se concentrer sur sa respiration, de sentir son ventre se soulever et se reposer au rythme de l'air qu'elle absorbait.
À chaque inspiration, l'énergie magique qui tourbillonnait en elle semblait perdre un peu de sa force. Petit à petit, les objets qui flottaient dans la pièce redescendaient lentement, jusqu'à ce que tout se stabilise autour d'elle. La lumière rouge qui baignait la pièce se calma également, s'éteignant presque complètement, comme si Wanda retrouvait son équilibre intérieur.
Le ventre de Wanda se contracta doucement à nouveau alors qu'elle ressentait un autre coup du bébé, plus doux cette fois, comme un rappel de la vie en elle. Mais cette fois-ci, au lieu de paniquer, elle sourit faiblement. "Je... je crois que ça va. C'est juste... difficile à gérer," dit-elle, sa voix encore tremblante mais apaisée.
Rosalia s'assit à côté d'elle, son regard posé sur elle avec une profonde tendresse. "Tu as fait du bon travail, Wanda. Tu as su reprendre le contrôle. C'est normal que ça soit un peu effrayant, surtout avec tout ce qui se passe à l'intérieur de toi. Mais tu es forte, plus forte que tu ne le penses."
Wanda regarda son amie avec reconnaissance, un sourire timide sur les lèvres. "Je ne sais pas ce que je ferais sans toi, Rosalia. J'avais tellement peur de tout ça. Je pensais que je ne pouvais plus contrôler quoi que ce soit, surtout avec ce bébé. Mais... je crois que, d'une manière ou d'une autre, je dois accepter ce qui se passe, et apprendre à vivre avec."
Rosalia lui sourit, posant une main réconfortante sur son bras. "Tu n'as pas à tout contrôler, Wanda. Parfois, la magie et la vie suivent leur propre chemin. Ce n'est pas une faiblesse de ne pas avoir tout sous contrôle. C'est humain."
Wanda ferma les yeux un instant, se laissant envahir par la chaleur des paroles de Rosalia. Elle avait passé tellement de temps à chercher à maîtriser tout ce qui l'entourait, à éviter de perdre son pouvoir, mais à cet instant précis, elle comprenait que la véritable force résidait peut-être dans l'acceptation de ses vulnérabilités. Elle ne pouvait pas tout maîtriser. Et peut-être que ce n'était pas une mauvaise chose.
"Je pense que tu as raison. Peut-être que je dois juste... laisser aller certaines choses," murmura Wanda. "Je dois accepter que ma magie fasse partie de moi, et que ce bébé aussi fait partie de tout ça." Elle posa une main sur son ventre, sentant à nouveau un léger mouvement. "Ce bébé... il va grandir avec mes pouvoirs. Et peut-être que, comme toi, il m'apprendra à trouver un équilibre."
Rosalia lui sourit, émue par la douceur de ses paroles. "Exactement. Vous apprendrez à grandir ensemble, tous les deux. Et je serai là, toujours, pour vous aider à chaque étape."
Les deux femmes restèrent silencieuses pendant un moment, chacune perdue dans ses pensées. Les tensions magiques dans la pièce s'étaient dissipées, et le calme semblait s'être installé. Wanda, apaisée, savait que le chemin qui s'ouvrait devant elle serait difficile, mais elle ne serait pas seule. Avec Rosalia à ses côtés, elle pourrait affronter ce qui viendrait, en apprenant à vivre avec ses pouvoirs et à embrasser la magie de la maternité.
Agnès arriva chez Wanda, surprise de recevoir un appel de sa part à cette heure-là. En entrant dans la maison, elle s'attendait à une conversation sérieuse, mais ce qu'elle trouva à l'intérieur la fit sourire.
Wanda, avec un air espiègle, se tourna vers Agnès, ses yeux pétillants de malice. "Eh bien, eh bien, eh bien," commença-t-elle avec une voix taquine, "si ce n'est pas la personne la plus méprisable de toute cette terre..."
Agnès arqua un sourcil et s'approcha d'un pas tranquille. "Ah, je vois. C'est ainsi que tu accueilles tes invités, Wanda ? Je pensais que tu étais contente de me voir." Son ton était également joueur, comme un défi silencieux.
Wanda la fixa un moment avant de sourire davantage. "Chérie, je sais que je suis ta préférée. Pas besoin de faire semblant," poursuivis Agnes en rigolant, s'inclinant légèrement pour appuyer ses mots.
Rosalia, qui était près de Wanda, observa la scène avec un sourire amusé. Elle savait que ces deux-là avaient une façon bien à elles de se taquiner. Mais alors, comme si l'ambiance était trop légère, Wanda, sans quitter son sourire malicieux, se tourna sérieusement vers Agnès. Wanda, toujours avec son sourire espiègle, passa lentement sa main sur la hanche de Rosalia, un geste tendre et protecteur. Ses yeux se tournèrent ensuite vers Agnès, qui les observait en silence. La pièce, jusque-là pleine de taquineries et de rires, sembla soudainement se charger d'une tension subtile. Wanda, les yeux brillants de malice, brisa le silence avec des mots simples, mais pleins de signification.
"Non, ma personne préférée, c'est Rosalia," dit-elle calmement, mais d'une manière qui semblait marquer un tournant dans la conversation.
Agnès resta figée un instant, son regard se fixant sur la main de Wanda sur la hanche de Rosalia. Une vague de jalousie, qu'elle n'avait pas anticipée, la submergea. Son sourire se fit plus discret, et une froideur imperceptible s'installa dans ses yeux. Elle ne dit rien, mais son silence en disait long. Le léger mouvement de ses lèvres laissait entendre qu'elle cherchait ses mots.
Agnès, sentant que la tension avait pris une tournure qu'elle n'avait pas anticipée, décida de changer de sujet. Elle se força à sourire, faisant mine de ne rien avoir remarqué. "Bon, assez de taquineries pour aujourd'hui," dit-elle d'un ton léger, en jetant un dernier coup d'œil à Rosalia, qui était toujours inconsciente de l'effet qu'elle avait provoqué. "Dis-moi, Wanda, pourquoi m'as-tu appelée ?"
Wanda, comme si elle avait attendu cette question, se redressa un peu, son sourire s'adoucissant. Elle laissa passer un instant de silence avant de se tourner complètement vers Agnès. Elle posa doucement sa main sur son ventre arrondi, son regard s'éclairant d'une lueur d'émotion.
"Regarde," dit-elle, sa voix empreinte de tendresse et de complicité. Elle écarta légèrement son t-shirt pour dévoiler son ventre bien arrondi, qui trahissait sans ambiguïté sa grossesse.
Agnès resta figée un instant, ses yeux se posant sur le ventre de Wanda. Un mélange de surprise et de douceur traversa son regard. Elle n'avait pas vu ça venir. Elle s'était attendue à une révélation importante, mais pas celle-ci. Le ventre de Wanda était bien plus gros qu'elle ne l'avait imaginé, et cela semblait souligner toute la profondeur du changement qui s'opérait en elle.
"Tu... tu es enceinte ?" murmura Agnès, une touche de surprise dans sa voix, mais aussi un brin de tendresse cachée. "Depuis combien de temps ?"
Wanda hocha la tête, son sourire devenant plus large. "Quelques mois maintenant. J'ai commencé à sentir les premiers coups du bébé. Et... je pensais qu'il était temps de te le dire."
Rosalia, qui jusque-là était restée en retrait, se tourna également vers Wanda, les yeux pleins de curiosité et d'admiration. "C'est incroyable," dit-elle doucement, un sourire sincère sur les lèvres. "Tu vas être une super maman, Wanda."
Agnès regarda Wanda, puis son regard se perdit un instant sur le ventre arrondi. Elle était bouleversée par cette nouvelle, mais aussi touchée. Wanda n'avait jamais cherché à cacher quoi que ce soit, et pourtant, là, elle comprenait qu'elle avait été en quelque sorte exclue de cette partie de sa vie. Agnès ne la blâmait pas, mais il y avait un petit pincement dans son cœur, un mélange d'émotion et de regrets.
"Je suis... je suis vraiment contente pour toi, Wanda," finit-elle par dire, son sourire devenant plus doux. "Je suis sûre que tu seras une mère incroyable."
Wanda hocha la tête, son regard se remplissant d'une chaleur douce. "Merci, Agnès. Je l'espère. Mais j'aurai besoin de toi, de toutes les personnes qui me sont chères pour m'aider à traverser tout ça."
Le moment était sincère et rempli d'émotion, et Agnès se sentit touchée par la vulnérabilité de Wanda, même si la jalousie était encore là, cachée derrière son sourire. Elle savait que, malgré tout, elle serait présente pour elle, même si les choses semblaient changer autour d'elles.
Agnès, après un silence pensif, se tourna vers Rosalia, un sourire sincère se dessinant sur ses lèvres. "Tu sais," dit-elle d'un ton plus léger, "Je pense qu'on pourrait aller chercher quelques vêtements pour bébé pour Wanda. Il faut bien commencer à préparer tout ça, non ?"
Rosalia, qui observait Wanda avec un regard rempli de bienveillance, tourna son attention vers Agnès et hocha la tête avec enthousiasme. "C'est une excellente idée ! Wanda mérite d'avoir tout ce qu'il faut pour ce bébé. Et je suis sûre qu'elle adorerait avoir des petites choses choisies avec soin."
Wanda, qui avait écouté la conversation, sourit doucement, touchée par l'intention. "Vraiment, vous n'avez pas à faire ça pour moi, c'est déjà assez merveilleux que vous soyez là. Mais je ne dirais pas non à quelques jolies petites tenues pour le bébé," répondit-elle, sa voix douce et pleine de gratitude.
Agnès lui lança un regard taquin. "Oh, on sait toutes les deux que ce n'est pas seulement pour le bébé. C'est aussi pour toi, Wanda. Après tout, tu mérites de te sentir bien dans cette nouvelle aventure." Elle se tourna ensuite vers Rosalia. "Alors, tu es partante ?"
Rosalia sourit largement. "Bien sûr ! Je suis impatiente de choisir de petites choses mignonnes. Et peut-être qu'on trouvera même quelques surprises pour Wanda."
Agnès rit doucement, avant de se tourner vers Wanda pour un dernier regard. "Ne t'inquiète pas, nous serons prudentes. Et je suis sûre qu'on trouvera des vêtements qui te plairont." Elle se leva et se dirigea vers la porte avec Rosalia à ses côtés.
Wanda les regarda partir, le cœur un peu plus léger, touchée par la générosité de ses amies. "Merci, vraiment. Vous êtes incroyables," murmura-t-elle avant qu'elles ne franchissent la porte.
Alors que Rosalia et Agnès sortaient ensemble, une certaine complicité s'était installée entre elles, et bien qu'Agnès fût encore légèrement émue par tout ce qui venait de se passer, elle savait que ce geste – cet acte de soutien – allait renforcer leur lien, celui de la famille qu'elles formaient à leur manière.
༺♡༻
Agnès et Rosalia se retrouvèrent dans une boutique de vêtements pour bébé, les rayons regorgeant de petites tenues colorées et mignonnes. Agnès, le sourire malicieux aux lèvres, en profita pour rendre l'atmosphère plus légère et... un peu plus électrique.
En parcourant les étagères, Agnès lança un regard complice à Rosalia, qui feuilletait les vêtements avec attention. "Tu sais," dit-elle, d'un ton taquin, "je n'avais pas remarqué à quel point tu avais du goût. Je suppose que tu t'y connais en mode bébé, mais... je me demande si tu choisis des vêtements avec autant de soin pour tes autres amies."
Rosalia tourna brièvement la tête vers Agnès, un léger sourire aux lèvres. "Oh, tu sais, je pense que je suis une experte en vêtements mignons. Mais je ne choisis jamais rien sans m'assurer que ça ira parfaitement, même pour un petit bébé." Elle continua de parcourir les étagères, mais elle sentit l'air entre elles se charger d'une nouvelle énergie.
Agnès s'approcha un peu plus près, effleurant doucement le bras de Rosalia en prenant un petit ensemble de body. "Oh, vraiment ? Alors je suppose que tu pourrais aussi bien choisir des vêtements pour des adultes. Je suis sûre que tu saurais parfaitement comment me faire fondre," dit-elle, un sourire en coin, laissant son geste traîner un instant sur le bras de Rosalia avant de retirer sa main.
Rosalia, un peu surprise par l'audace de son geste, se redressa légèrement, un éclat dans les yeux. Elle feignit une innocence exagérée. "Vraiment, Agnès ? Et moi qui pensais que tu préférais garder tes distances," répondit-elle, son ton légèrement moqueur mais amusé.
Agnès haussait les sourcils, le regard plus pétillant. "Ah, tu sais, je suis pleine de surprises. Peut-être que je devrais te montrer d'autres facettes de ma personnalité," dit-elle en se penchant légèrement en avant, comme pour murmurer un secret. Elle laissa sa main effleurer à nouveau l'épaule de Rosalia, cette fois plus assurée, son sourire s'élargissant.
Rosalia tourna lentement la tête vers Agnès, un sourire en coin se formant sur ses lèvres. "Tu es incorrigible, Agnès. Mais je suppose que c'est ce qui te rend si... intéressante," répondit-elle, son ton doux mais chargé d'un sous-entendu léger.
Agnès s'éloigna alors d'un pas, choisissant un petit chapeau pour bébé avec un sourire satisfait. "Si tu veux vraiment me connaître, Rosalia, il faudra bien plus qu'une simple boutade pour me faire fondre," lança-t-elle, son regard taquin se posant sur son amie.
Rosalia secoua la tête en souriant, mais un petit éclat d'amusement brillait dans ses yeux. "Je ne doute pas de cela," répondit-elle. "Mais soyons claires, Agnès. Tu es la plus rusée des deux. Tu es prête à faire fondre n'importe qui."
Les deux femmes continuèrent de parcourir la boutique, mais l'atmosphère entre elles était désormais chargée de flirt subtil et de taquineries à peine voilées. Agnès, bien qu'elle s'amusât de l'effet qu'elle avait sur Rosalia, savait aussi que cette complicité, cette tension amicale, ajoutait un peu plus de piquant à leur relation. Et elle adorait ça. Après avoir choisi quelques tenues pour bébé, Agnès et Rosalia décidèrent de s'arrêter dans un café du coin pour boire un verre. La journée avait été animée, mais une tension agréable flottait toujours entre elles, comme si le flirt et les taquineries continuaient d'habiter l'air autour d'elles.
Elles s'assirent à une table près de la fenêtre, la lumière douce de l'après-midi caressant leurs visages. Agnès, visiblement de bonne humeur, lança un sourire charmeur à Rosalia avant de prendre une gorgée de son verre. "Tu sais," dit-elle lentement, sa voix teintée de malice, "c'est agréable de passer du temps avec toi. J'avais presque oublié à quel point tu pouvais être... captivante."
Rosalia, assise en face d'elle, la regarda par-dessus son verre, son regard déjà chargé d'un sous-entendu. Elle répondit, d'une voix douce mais pleine de défi : "Oh, Agnès, tu es pleine de compliments aujourd'hui. Mais je me demande... est-ce que c'est vraiment moi qui suis captivante, ou est-ce toi qui sais comment rendre chaque moment intéressant ?"
Les yeux d'Agnès s'étrécirent légèrement, un éclat de plaisir dans le regard. Elle s'approcha un peu de la table, ses lèvres esquissant un sourire subtil. "Eh bien, c'est difficile de résister à un tel charme," dit-elle, un léger rire dans la voix. Puis, ses yeux descendirent légèrement sur le corps de Rosalia, observant la façon dont sa chemise tombait juste parfaitement, ses formes qu'elle trouvait incroyablement séduisantes.
"Tu sais, j'adore la façon dont tu te tiens, Rosalia. Il y a quelque chose d'imparable chez toi."
Rosalia soutint son regard, un sourire en coin naissant sur ses lèvres. Elle n'hésita pas à répondre par un jeu tout aussi provocateur, tout en mordillant doucement sa lèvre inférieure. "Vraiment ? Parce que toi aussi, tu sais parfaitement comment attirer l'attention. Mais je dois avouer que j'aime bien la façon dont tu me regardes," dit-elle, sa voix plus basse, mais sensuelle.
Le jeu de regards s'intensifia, les yeux d'Agnès ne quittant pas Rosalia, et une tension palpable se créa autour d'elles, comme un fil invisible les reliant. Rosalia la fixa, un regard audacieux mais amusé, sentant la chaleur de cette connexion entre elles.
"Et toi, Rosalia," dit Agnès d'un ton plus intime, sa voix presque un murmure, "tu n'arrêtes jamais d'être aussi... séduisante." Elle laissa ses yeux s'attarder sur ses lèvres, avant de les relever lentement vers ses yeux. "Tu es la tentation incarnée."
Rosalia, amusée par la tournure des choses, n'hésita pas à jouer à son tour. Elle se pencha légèrement en avant, son regard se faisant plus intense, sa voix douce mais pleine de sous-entendus.
"Et toi, Agnès, tu es l'une des plus grandes tentatrices que j'ai jamais rencontrées," répondit-elle, ses yeux balayant lentement le corps d'Agnès de haut en bas, avant de revenir à ses yeux. "C'est dangereux de me regarder comme ça, tu sais."
Agnès sentit son cœur s'accélérer légèrement sous ce regard, mais elle ne cilla pas, un sourire provocateur sur les lèvres. "Je suis une grande fille, Rosalia," répondit-elle avec assurance. "Je sais ce que je fais."
Leurs yeux se verrouillèrent à nouveau, le silence autour d'elles devenant presque lourd. Rosalia mordilla encore une fois sa lèvre inférieure, ce petit geste ayant un effet indescriptible sur Agnès. "Tu crois vraiment que tu peux gérer ça ?" murmura Rosalia, une lueur de défi dans le regard.
"Je n'ai jamais eu peur d'un défi," répondit Agnès, son regard brillant d'une étincelle de jeu et de désir.
Les deux femmes étaient maintenant pleinement conscientes de l'alchimie qui se trouvait entre elles. Chaque geste, chaque mot, chaque regard semblait alimenter un feu de plus en plus difficile à ignorer. Et bien que rien de concret n'ait été dit, il était clair que l'attraction entre elles était devenue indéniable.
Leurs regards restèrent un instant suspendus, chacun mesurant l'autre dans un silence chargé d'intensité. Agnès, toujours aussi audacieuse, se pencha légèrement en avant, son sourire s'approfondissant. Elle caressa doucement le bord de son verre, ses doigts effleurant les gouttes d'eau qui s'y étaient formées à cause de la condensation. Chaque mouvement semblait calculé, comme si elle jouait un jeu silencieux avec Rosalia.
Rosalia, pour sa part, ne se laissa pas démonter. Elle répondit à ce défi silencieux par un petit sourire en coin, l'ombre d'un amusement dans les yeux. Elle se laissa un instant aller à l'intensité du moment, avant de briser le silence, sa voix plus basse, plus intime.
"Tu sais, Agnès," commença-t-elle, les yeux toujours ancrés dans les siens, "je suis bien plus difficile à séduire que tu ne sembles le penser."
Agnès éclata d'un petit rire, sa voix légèrement moqueuse. "Oh, je n'ai aucun doute là-dessus. Mais je me demande, Rosalia," dit-elle, se redressant un peu, "Est-ce que tu pourrais résister à une petite dose de ce que je sais offrir ?"
Elle marqua une pause, les mots porteurs de sous-entendus, avant de laisser ses yeux se promener lentement sur le corps de Rosalia, cette fois de manière plus appuyée, détaillant ses gestes avec une attention presque palpable.
Rosalia sentit la tension monter en elle, mais elle répondit d'un ton défiant, le regard brillant. "Et toi, Agnès ? Tu crois vraiment pouvoir jouer à ce jeu sans risquer d'y perdre ?" Elle attrapa son verre et prit une gorgée, ses lèvres effleurant le bord du verre d'une manière sensuellement délibérée. Elle savait très bien que chaque geste avait son impact sur Agnès.
Le petit sourire d'Agnès se fit plus profond alors qu'elle observait chaque mouvement, chaque expression de Rosalia. "Tu sais," dit-elle en murmurant, "je n'ai jamais été une grande perdante." Elle se pencha alors davantage en avant, presque imperceptiblement, son regard se faisant plus intense, capturant celui de Rosalia. "Mais toi, tu es tellement... captivante, Rosalia. J'ai l'impression que je pourrais perdre le contrôle à tout instant, et ça m'excite."
Rosalia sentit son souffle se bloquer un instant sous l'effet de la proximité d'Agnès, sa peau frémissant presque sous la chaleur de son regard. Elle mordilla de nouveau sa lèvre, cette fois avec plus d'intensité. "Je dois dire... que ce n'est pas si facile de me déstabiliser," répondit-elle, sa voix sensuellement rauque. "Mais si tu veux vraiment me tester, je suis prête à voir si tu tiens jusqu'à la fin."
Les regards de l'une et de l'autre se croisèrent à nouveau, un échange silencieux mais plein de promesses. La tension entre elles ne cessait d'augmenter, alimentée par ces gestes, ces sourires et ces mots chargés de sous-entendus.
Agnès, fascinée, se sentit un peu prise dans le jeu qu'elle avait initié. Elle savait que Rosalia n'était pas du genre à se laisser séduire facilement, et cela la rendait encore plus excitée par la situation. Elle se leva lentement, son mouvement fluide et assuré, avant de faire un pas vers Rosalia.
"Je pense que je vais devoir trouver un autre moyen de te faire céder," murmura Agnès, sa voix pleine de défi et de désir. Elle s'arrêta juste à côté de Rosalia, leur proximité se faisant presque électrique, avant d'ajouter, un sourire taquin aux lèvres : "Mais je me demande... est-ce que tu me laisses seulement une chance ?"
Rosalia, toujours aussi sûre d'elle, leva un peu le menton, son regard ne quittant pas celui d'Agnès. "Tu devrais vraiment tout donner si tu veux que je m'abandonne à toi." Elle se redressa légèrement dans son fauteuil, se rapprochant presque imperceptiblement, comme si elle la défiait de faire le premier pas.
Leurs corps étaient maintenant si proches que la moindre brise aurait suffi à faire trembler la tension qui pesait dans l'air. Mais aucune d'elles ne faisait le moindre mouvement décisif, se laissant toutes deux emporter par le jeu, jouant avec cette fine ligne entre désir et contrôle.
Le jeu de regards continua, sans qu'aucune ne cède complètement, mais chacune savait que l'une ou l'autre finirait par se perdre dans cette attirance irrésistible.
༺♡༻
Les agents du SHIELD, postés à la frontière de Westview, observaient attentivement la ville étrange et mystérieuse qui semblait être complètement coupée du reste du monde. Une brume d'incertitude planait autour de l'événement qui s'y était produit : Wanda Maximoff, ou plus précisément, l'entité qu'elle était devenue, avait créé cette ville de toute pièce.
Les rapports étaient clairs, bien que fragmentés : les habitants de Westview semblaient être prisonniers de cette réalité alternative, avec aucune mémoire claire des événements avant d'y être coincés. Des signaux ont été interceptés, et après plusieurs mois d'investigation discrète, les agents du SHIELD avaient découvert que Wanda Maximoff était probablement la source de cette anomalie.
Réunis dans une salle de conférence secrète, à l'intérieur d'un bunker bien protégé, les agents du SHIELD se préparaient à une réunion de stratégie. Ils s'assirent autour d'une grande table, les visages tendus, prêts à discuter des prochaines étapes.
Le directeur du SHIELD, un homme calme et implacable, prit la parole en premier, ses yeux rivés sur les documents étalés devant lui. "Nous avons des preuves claires que Wanda Maximoff est responsable de la création de Westview. Ses pouvoirs, bien qu'extraordinaires, semblent avoir échappé à tout contrôle."
Un agent, un expert en analyses psychologiques, leva la main avant de prendre la parole. "Ce n'est pas seulement un simple acte de pouvoir, c'est une tentative manifeste de manipulation. Wanda a créé une réalité parallèle où elle peut contrôler le temps, les gens, tout. C'est une forme de réalité tissée autour de ses désirs et de ses pertes."
Un autre agent, plus militaire, donna son avis. "Nous avons observé que toute tentative d'entrer dans la ville a échoué. Les forces sont beaucoup plus puissantes qu'on l'avait imaginé. Mais si Wanda a le contrôle de cette ville, cela signifie qu'elle doit aussi être le point de faiblesse. Si nous pouvons l'atteindre, peut-être pouvons-nous résoudre cette situation."
Le directeur hoche la tête en signe d'accord. "Oui, nous avons encore beaucoup à apprendre sur la nature de ses pouvoirs et la structure de cette réalité. Ce n'est pas juste une manipulation psychologique ; elle manipule la réalité elle-même. Les conséquences de ce qu'elle fait ne sont pas juste locales, elles pourraient se répercuter bien au-delà de Westview si elle perd le contrôle."
"Et les habitants ?" demanda un agent, qui avait l'air préoccupé. "Sont-ils conscients de ce qui se passe ?"
"Certains ont repris conscience, mais c'est partiel," répondit l'analyste. "Nous avons eu des témoignages. Certains habitants ont commencé à se rendre compte qu'ils sont coincés dans cette illusion. Mais l'emprise de Wanda est trop forte pour eux. C'est comme une prison mentale."
Un agent plus jeune, un spécialiste des opérations spéciales, fit une suggestion. "Peut-être que l'approche la plus directe serait de chercher un moyen d'intercepter Wanda, de la confronter directement et de comprendre ce qu'elle veut vraiment. Si on la frappe sur ses motivations, peut-être qu'on pourra briser ce cercle."
"Nous devons agir avec prudence," intervint le directeur, "Parce que Wanda n'est pas seulement une menace. Elle a aussi une capacité émotionnelle... Elle manipule non seulement la réalité mais les émotions des gens, les personnes qui l'entourent. C'est ce qui la rend d'autant plus dangereuse. Nous devons être stratégiques. Une confrontation frontale pourrait être suicidaire."
Un silence s'installa dans la salle alors que tout le monde réfléchissait aux risques. Finalement, le directeur reprit la parole : "Notre priorité doit être de comprendre l'origine et la portée de ses pouvoirs. Nous devons aussi nous assurer que nous avons une équipe prête à intervenir si les choses dégénèrent. Nous devons être prêts à tout. La situation à Westview pourrait avoir des conséquences bien plus graves si elle s'étend au-delà des murs de cette ville."
"Quel est notre plan d'action ?" demanda l'un des agents.
"Nous allons établir des lignes de communication secrètes pour observer les événements à Westview. Nous devons recueillir plus d'informations sur la façon dont Wanda interagit avec les habitants. En parallèle, je veux que des équipes d'élite se préparent à pénétrer la ville, mais seulement si nous avons suffisamment d'informations pour garantir leur sécurité. Nous devons apprendre à comprendre cette réalité qu'elle a créée, et pourquoi elle agit de cette manière."
La réunion se poursuivit avec des discussions plus détaillées sur les actions à entreprendre, mais une chose était claire : les agents du SHIELD avaient une mission urgente. Wanda Maximoff n'était plus simplement la super-héroïne qu'ils connaissaient, elle était devenue une force imprévisible, une entité capable de remodeler le monde selon ses désirs. Et le SHIELD allait devoir comprendre comment l'arrêter avant que cela n'échappe complètement à tout contrôle.
~~<><><><>~~ FIN~~<><><><>~~
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saga: Soumission & Domination 365
Yago en France
Yago débarque à l'avion une semaine après notre retour. On prend la 300C pour aller le chercher. Il va passer son premier WE chez nous et je lui présenterai Olivier et Pierre lundi. On le voit nous chercher des yeux et être soulagé quand il nous trouve. Alors qu'il allait nous serrer la main, nous l'accueillons tous les trois d'une bonne pelle. Dans la voiture, il nous raconte sa semaine, ses doutes à venir, car finalement il ne nous connait quand même pas depuis longtemps ! Quand on arrive à la maison, il est surpris, surtout par Samir et Ammed. La maison et la piscine fait aussi son petit effet. Nous sommes rapidement en maillot sur la terrasse à prendre une bière. Evidement ça dégénère vite en minitouze. Nous ne cessons qu'après que chacun se soit pris les autres dans son cul et plus.
Il nous dit que nous lui avions manqué même si les copains de son frère avaient essayés de le baiser à leur tour. Il nous dit qu'il ne leur avait pas donné sa rondelle même si le passage de nos bites lui avaient terriblement manqué.
La soirée est agréable et bien sûr il dort (façon de dire) avec nous.
Dimanche : Olivier et Pierre, impatients de connaitre leur futur " aide ", arrivent pour le café avec un framboisier du meilleur pâtissier du coin. Je fais les présentations. Les nouveaux venus se mettent aussi en maillot alors que Samir met le gâteau sur un plat. Eux aussi sont bien bronzés et malgré son grand âge (33 ans), Olivier reste pas mal ! Il ne fait pas les 10 ans d'écart qu'il a avec Pierre. Comme Yago parle aussi bien le français qu'Ernesto, la compréhension est totale. Olivier et Pierre discutent avec lui de ce qu'il va faire dans le cabinet d'architecture. Evidemment pas mal de tri et classement de dossiers mais aussi des visites de chantiers, il accompagnera même Pierre à Paris pour aller voir le fondeur d'Alban qui doit leur préparer une de ses oeuvres pour un de leur très bon client.
Il est content et se tourne vers moi pour me remercier.
L'après-midi se passe à peaufiner notre bronzage. Le soir c'est moi qui conduis Yago chez mes architectes. Il trouve la maison superbe (création originale d'Olivier). Pierre lui fait faire le tour alors qu'avec Olivier je sors dans le jardin.
Ce dernier me remercie pour mon stagiaire. Il le trouve canon et est sûr que Pierre est en train de lui faire sa fête dans la chambre qu'ils lui ont réservée.
Il est vrai que quand nous rentrons dans le salon, après une bonne demi-heure à faire le tour du jardin, il n'y a personne. Nous enfilons un grand couloir et tout de suite nous entendons des gémissements significatifs. On suit le son et nous les trouvons nus sur un grand lit, Pierre à 4 pattes et Yago bien enfoncé dans son cul. Avec Olivier, je reste à la porte et nous les matons en train de se donner du plaisir. Pierre est assez loquace et réclame " met la moi bien profond" dès que Yago se retire. Je tends le bras en arrière et ma main trouve les 19x6 d'Olivier, bien raides et serrés par le jeans. Quand je l'ai en main, il m'approche et me chuchote qu'on pourrait peut-être se joindre à eux ?! Doucement j'entre dans la pièce. Les protagonistes n'entendent rien, focalisés sur leur plaisir. Quand j'enlace Yago, il sursaute et défonce Pierre brutalement alors qu'il veut s'écarter de moi. Il se calme dès qu'il voit que c'est seulement nous. Il essaye quand même de sortir du cul de Pierre croyant quand même avoir fait une bêtise. Ce n'est qu'avec le déshabillage d'Olivier qu'il comprend qu'il n'y a aucun problème.
Leur petite baise perso s'étoffe de notre présence. Je laisse Olivier jauger de son stagiaire. Pour cela il utilise l'outil que lui a fournis la nature et en même temps il vérifie que le jeune homme est chaud ! Moi, je me contente des trois bouches à ma disposition. Comme les 3 sont suffisamment profondes pour mes 20cm, je me fais quand même plaisir. Yago fait le jambon d'un sandwich d'Architectes ! Et d'après les sons qu'il émet, il apprécie la position. La bouche de pierre est trop bonne et je ne peux me retenir de juter. Mon sperme fuse entre son dos et les pecs de Yago où il se fait écraser/étaler. Le trio emmanché prend son pied et les kpotes se remplissent !
Etalés sur le dos à reprendre leurs souffles je vois trois mecs contents !! Quand je demande à Yago s'il pense pouvoir rester quelques semaines chez eux, il me répond avec un grand sourire que ça devrait le faire. Je leur fais à chacun un bisou sur les lèvres et m'éclipse sachant que nous le reverrons chaque WE et qu'entre-temps Pierre me dira comment ça va. La semaine se partage entre la vérification que tous mes escorts sont bien où et avec qui ils doivent être, la ferme des parents de Ludovic et une visite chez Emma qui elle aussi est rentrée de Grèce.
Bien que bronzée, le dragon (tatouage) est encore très visible. Elle me dit qu'avec lui, heureusement que les garçons (Jona et François) étaient là, sinon elle aurait succombée sous le nombre des prétendants ! Elle a passée trois semaines de plaisir au soleil et les garçons que lui ont ramené mes escorts ont été toujours judicieusement choisis et tous très bon au lit, même s'ils étaient tous bi.
Il n'empêche que malgré les réserves de plaisir qu'elle avait accumulée, nous n'avons pas chômé et à 4 (Ludovic, PH, Ernesto et moi) nous l'avons emmené plusieurs fois de suite au nirvana des femmes qui n'ont pas peur de leurs désirs ! Elle a eu la gentillesse de nous dire qu'avec nous c'était quand même meilleur. Il est vrai que nous connaissons chaque cm² de son corps. Nous savons où appuyer pour donner telle ou telle sensation et quand multiplier les excitations (vaginales, anales...). Le soir on se skype avec la triplette. Ils sont bavards, c'est pas possible ! Ils parlent tous en même temps, pour nous raconter en détail leur journée. Qui a fait quoi pour aider à la ferme mais surtout ils y vont en surenchère de sexe. Il n'y a pas un jour où ils n'ont pas testé une position ou un lieu de baise nouveau !! Ludovic a beau les mettre en garde de ne pas se faire attraper par le paternel, rien n'y fait !!
Pierre m'appel pour me dire que Yago n'est pas seulement bon au lit mais qu'il leur abat un travail phénoménal. Après avoir capté le système de tri et rangement, il leur avait quasiment tout rangé en une semaine. Les visites de chantier le passionnent et ses questions sont toujours pertinentes !
Quand ils nous le déposent le vendredi soir (ils partent en WE en amoureux sur la cote), nous nous retrouvons avec un gamin renforcé sur sa vocation et épanoui. Et quand Ludovic revient avec la triplette (Enguerrand, Max et Nathan), c'est la fête à la maison.
Le premier WE, nous avons vu débarquer par la porte du fond du jardin Arnaud et Léopold. Ils nous avaient entendus nous battre dans la piscine et venaient voir s'il ne restait pas une petite place pour eux. Frank et Louis débarquent à leur tour tout comme les Jumeaux (Tic et Tac) avec Théo bien sûr. Si la soirée commence couverte (en maillots de bain), elle dégénère vite et c'est à poil que se termine l'apéritif ! A poil et les queues bandantes ! Yago est content de voir que personne ne fait de différence avec lui. Les jumeaux sont ravis de voir une nouvelle tête et ils n'ont de cesse que d'avoir mis Théo sur sa bite. Si Yago n'osait pas y aller trop fort avec notre jeunot, après quelques va et vient et la démonstration de maitrise de la rondelle du petit enculé, il s'est déchainé et a bien pris son pieds en lui labourant le cul comme à la salope qu'il est ! Théo a beau avoir grandi, il reste toujours avec sa tête de jeune homme et un corps plus élancé que musclé. Par contre sa rondelle, elle est très musclée faut dire que l'usage journalier qu'en font les jumeaux l'a rendue souple mais forte aussi. La dernière fois que j'ai mis un doigt dedans, il en a bloqué la progression fermement ! Là, c'est Yago qui profite du massage anal de Théo ! Je m'approche de lui. Je lui dis d'apprécier le tonus musculaire de la rondelle qu'il perfore. C'est le type de performance que j'attends de mes Escorts. Il rit et dit me comprendre c'est réellement trop bon. Je le laisse savourer le petit mec des jumeaux. De mon côté, je vais prendre mon plaisir dans le cul de Léo qui ne le prête pas à tout le monde. Depuis que je l'ai dépucelé à la hussarde sur une aire de repos d'autoroute alors que je l'avais laissé enculer Baz, il accepte que je recommence ! C'est trop bon. Sa rondelle est très serrée et je dois appuyer fort pour rentrer toute ma bite. Arnaud, devant son mec, lui conseille de se détendre et finalement, devant ses grimaces, lui passe le flacon de poppers sous le nez. Bonne initiative, il se détend et, sans flotter, je coulisse plus facilement et le plaisir monte dans nos deux corps emboités. Quand nous terminons notre " petite affaire ", nous prenons conscience des odeurs de viandes grillées qui émanent du BBQ lancé par mes hommes de service. Les autres aussi sont purgés où remplis (enfin les kpotes surtout).
Yago s'est complètement fondu dans mon petit groupe. Quand je le retrouve, le bras d'Ernesto est sur ses épaules et les jumeaux discutent avec lui. Nous prenons notre temps et le diner traine en longueur. Les bières se succèdent et nous sommes très fatigués au moment d'aller nous coucher. Même les voisins (Arnaud et Léo) restent dormir ! La répartition dans les différentes chambres se fait plus selon les forces de chacun à faire quelques mètres de plus que l'autre ! Je vois Yago entrer avec la triplette dans le baisodrome du premier. Avec Mes 3 amours, nous restons entre nous dans notre chambre.
Samedi : Je me réveille un troupeau de bison traverse mon cerveau avec les indiens qui courent derrière !! Il est déjà 10h mais je suis le premier debout (après Samir et Ammed !). Un café et je me plonge dans l'eau. Nage à contre-courant mise, je crawl une bonne demi-heure avant de voir apparaitre de nouvelles têtes. Ernesto me rejoint dans l'eau alors que les autres apportent de quoi démarrer la journée.
Quand on sort de l'eau, tout le monde est réveillé. Je propose un décrassage de 5Km et leur dit de ne pas trop manger.
Equipements au sous-sol. On opte tous pour des cyclistes et quand on voit Yago rouler les jambes jusqu'au bas de ses fesses, nous l'imitons tous ! Comme il fait chaud, les marcels sont passés dans les ceintures. Je prends juste ma carte bancaire et mon i phone. Rapidement le groupe se scinde en deux selon nos vitesses de course. Je suis dans le premier groupe avec mes amours plus Yago et Léo. Les autres trainent derrière nous ! Arnaud est avec et ils ne risquent pas de se perdre.
On trotte gentiment. Je suis content de voir que Yago ne fait pas que soulever de la fonte. Nous faisons une pause dans le bar de l'oncle de Louis. Quand les trainards arrivent nous sommes servis des rafraichissements que nous avions commandés pour tous. En terrasse, nos physiques attirent le regard des passants et touristes. Ça et les rires qui nous échappent.
Avant qu'on soit trop refroidis, on retourne à la maison.
A l'arrivée les douches du sous-sol saturent mais nous nous serrons et du coup le gel douche est étalé par frottements entre nous !! Puis détente dans la piscine ou sur la terrasse jusqu'au déjeuner. L'après-midi suit le même programme sauf pour certains qui comme moi soulèvent de la fonte. Installée au sous-sol, la salle reste fraiche même à la fin d'un été chaud. J'alterne avec Ernesto et Yago. Ludovic et PH le font entre eux, leurs barres sont plus légères ! Yago est content car il n'y a pas d'installation chez Olivier et Pierre, juste une piscine.
Du coup le midi nous faisons le plein de protéines (Samir ajoute du tofu à nos salades de légumes). Sieste au soleil pour ne pas perdre nos bronzages. Et ça redémarre après un petit tour dans l'eau. La terrasse est grande et heureusement car quand nous sommes tous allongés, on en couvre une bonne part. Cette fois la triplette a décidé que cela faisait longtemps qu'on en s'était pas retrouvé et sans nous isoler des autres, nous nous retrouvons quand même seuls (enfin façon de dire quand on est 7 !!). Max et Enguerrand se battent pour être le premier à couvrir ma bite ! Ernesto attrape Max par le cou et le détourne vers sa propre bite et lui clos le bec en s'enfonçant loin entre ses amygdales. Nathan cherche et trouve PH. Ludovic me rejoint et à nous deux nous faisons décoller son petit frère. Je ne ressens plus aucun blocage ni aucune réticence alors que je fais l'amour avec Enguerrand. Je pense que maintenant l'épisode " XX de XXX " est vraiment terminé. Je crois que sa nouvelle vie avec Max et Nathan lui a redonné l'équilibre d'un mec bien dans sa peau. Les parents exceptionnels (concernant leurs réactions lorsqu'ils ont appris la chose) qu'il a y est aussi pour beaucoup.
En attendant il se donne à fond avec moi et son frère. Il tourne entre nous deux. Quand je ne suis pas dans son cul, je l'ai dans mes bras et on se roule des pelles, juste secoués par les va et vient de Ludo dans son cul. Si c'est pas ça c'est qu'on est en 69. Puis Ludovic nous quitte et nous terminons tous les deux seuls.
Repus, moi sur le dos vidé, Enguerrand la tête sur mon épaule, nous nous faisons écraser par Max et Nathan jaloux de lui. Je me retrouve enfoui sous les 180Kg des 3 jeunes mecs cherchant tous à me rouler un patin ! Je suis sauvé par l'intervention d'Ernesto et Yago qui me dégagent en envoyant mes " agresseurs " se rafraichir les idées dans la piscine.
Petit WE banal de vacances d'été en France !!
Jardinier
the sin perfume
the firework burnt their clothes
ready to scream and jump for the New Year
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