#manger mieux
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Je sais pas si j'aurai un jour la patience de développer ça en fanfic ou d'en faire du fanart ou peu importe, mais l'idée qui occupe 95% de mon cerveau aujourd'hui, c'est
-> un Ă©pisode de Cartouche oĂč Madame Palatine rend visite Ă son fiston au Palais-Royal
#Cartouche prince des faubourgs#featuring: Liselotte en vieille dame sympa qui parle fort et prend de la place#qui adore son fiston et trouve qu'il travaille trop#qui se retrouve devant Isabelle et l'adopte sur-le-champ#et qui a au moins 2 potichiens avec elle en tout temps#elle dĂ©barque Ă l'improviste au Palais et Philippe est vaguement horrifiĂ© mais peut rien dire#son opinion de Falconi est qu'il est maigre comme un clou et beaucoup trop pĂąlot et que clairement il devrait manger mieux#l'opinion de Falconi est qu'il n'est pas payĂ© assez cher pour endurer tout ça#les Cartouchiens lui volent accidentellement quelque chose qui a une valeur sentimentale et c'est le bordel pour essayer de lui rendre#peut-ĂȘtre qu'ils volent aussi accidentellement un des petits chiens juste parce que c'est marrant
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Améliorer votre santé intestinale, mieux dormir et manger sans frustration
NOUVEAU PODCAST đ AmĂ©liorer votre santĂ© intestinale, mieux dormir et manger sans frustration. đPour Ă©couter mon podcast : - Recherchez « la pause fitness » sur votre plateforme de podcast prĂ©fĂ©rĂ©e - Ou rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien, fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautĂ©s» - Ou rendez-vous dans votre boite mail pour les fidĂšles auditeurs #fitnessmith #santĂ©intestinale #mieuxdormir #alimentationĂ©quilibrĂ©e #sommeil #cerveauetalimentation #perdredupoids #mangersansfrustration #santĂ© #melatonine #podcast #nutrition #troublesalimentaires #intestinirritable #cĂ©togĂšne #podcastfitness #alimentationsaine #cerveau #rĂ©Ă©quilibragealimentaire #bienetre #alimentationpourlasantĂ© #fitness #rĂ©gimesansfrustration #fitnessafter50 #mangermieux #mangerequilibre #santĂ©gastrointestinale #digestif #hormones #alimentationetsommeil #perdredelagraisse
Dans ce podcast, nous allons parler dâintestin irritable, mĂ©latonine, cerveau et alimentation. Nouveau ! Ma technique pour manger beaucoup sans grossir  Sommaire du podcast : Comment le cerveau gĂšre les repas en plusieurs phasesDes chercheurs de lâUniversitĂ© Friedrich-Alexander ont dĂ©couvert que le cerveau rĂ©gule lâalimentation en plusieurs phases, comme un relais oĂč des Ă©quipes de neuronesâŠ
#alimentation et sommeil#alimentation sans frustration#cerveau et alimentation#intestin irritable#manger beaucoup sans grossir#mélatonine et sommeil#mieux dormir#perte de poids sans frustration#régulation hormonale#réguler les repas#santé intestinale#troubles alimentaires
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Ah ben oui pourquoi pas une petite neige toute belle toute magique juste au pire moment jâadore
#en mĂȘme temps je vais en profiter pour aller Ă une Ă©picerie locale tandis que je suis dans le coin#jâai beau ĂȘtre pauvre je vais aller donner mon argent aux voisins avant dâencourager une corporation#mon lapin manger mieux que moi honnĂȘtement
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Voici ma farine sans gluten préférée
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#Alimentation#Ă©mission de tĂ©lĂ©vision#chronique#farine sans gluten#farine sans gluten prĂ©fĂ©rĂ©e#ingrĂ©dient#les zackardises#manger#mĂ©lange de farine tout usage sans gluten Mieux-Ătre#nourriture#Sans gluten#vidĂ©o#zachary barde
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VERDICT OF the cake being eaten :
Friend 1 said it's light (ironically)
Friend two saids ''oh une fois coupé on dirait des hémorroïdes lol''
Friend 3 a dit que je pourrais l'amener dans un magasin de bricolage et le mettre au rayon brique
Friend 4 l'a appelé Taco Bell sewer Monster
J'ai fait un quatre quart pour la premiĂšre fois depuis des siecles
#je devienne fou#et aprĂšs toute la soirĂ©e ils int dit que si jamais ils sont malades ils sauront pourquoi#joke on them personne n'est malade#mais voilĂ bon quand on se foiire parfois vaut mieux garder le rĂ©sultat pour soi et manger son gateay brique tout seul#il me reste la moitiĂ© a Ă©liminer ptdr#i will have ptsd from this timblr post#cookige#the infamous cake#JE COMPRENDS PAS MEME QU'UN POST EN FRANGLAIS AIT ĂTĂ REBLOG ZT COMMENTĂ PAR AUTANT DE GENs#MI CAKKEY#MY WITTLE CAKEY ARGH
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J'ai lu le dernier roman de Mélissa da Costa parce que j'avais jamais lu ce qu'elle écrit et je voulais me faire une idée mais wahou comment j'ai détesté la suite ci-dessous pour ne pas spoiler
dĂ©jà ça part mal parce que le type principal a 42 ans, il trompe sa femme avec une meuf de 24 ans et il dĂ©cide de la quitter pour elle j'Ă©tais đ ensuite il a un accident de scooter (entiĂšrement sa faute, il grille une prioritĂ© Ă droite et se prend un bus) qui le laisse paraplĂ©gique et il devient infect, ce qui pour moi est comprĂ©hensible aprĂšs un traumatisme, mais infect au point d'abuser les gens qui veulent l'aider genre sa nouvelle meuf : il lui jette des trucs Ă la tĂȘte, il lui fait des crises de jalousie et mĂȘme il l'Ă©trangle ?? et elle elle reste avec lui la grande folle ? bref il divorce ils s'installent ensemble en banlieue quand il sort de rĂ©Ă©ducation lui il pĂšte des cables rĂ©guliĂšrement il est violent avec sa meuf du coup elle dĂ©prime et il ose dire "on est pas mieux l'un que l'autre" bah tg françois elle est mille fois mieux que toi ok ! Son ex-femme devient pote avec eux elle vient manger toutes les semaines mais isabelle qu'est-ce que tu fous le mec se barre avec une jeunette avec qui il t'a trompĂ©e coupe les ponts je sais pas :/ ensuite françois dit "je veux un enfant" sa meuf veut pas trop parce que bah elle a 25 ans elle s'occupe de tout chez eux son mec est dĂ©testable mais elle finit par dire ok pour "le sauver" BIIIP grossiĂšre erreur !! Elle accouche puis elle fait une dĂ©pression post-partum parce que c'est clairement pas la vie qu'elle voulait et tout le monde lui tombe dessus en mode oh la la quelle mauvaise mĂšre mais WTF prenez vous-en Ă l'autre con de françois qui a fait que des caprices depuis le dĂ©but !!!! Il la respecte pas, Ă la fin elle suit des cours d'Ă©criture elle part 3 jours par semaine elle est heureuse et la premiĂšre chose qu'il se dit c'est "ok elle me trompe avec son prof beau gosse" françois je vais te tuer froidement
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C'est bientĂŽt la rentrĂ©e et comme je suis dans un gouffre sans fond de dĂ©sespoir et de mollesse, je vais dresser une liste de choses qu'il faut que je fasse avant l'entrĂ©e en 2025, dans l'ordre chronologique (bon ya des trucs qui sont pas faciles Ă situer donc je vais voir oĂč les mettre):
- Tout bien refaire mes fiches d'organisation et trier mon ordinateur (mon cÎté psychorigide revient au galop aprÚs 3 mois de déchéance)
- Rappeler tous les cons qui veulent pas rĂ©pondre Ă mes demande de stages (ça fait bcp d'appels pour quelqu'un qui dĂ©teste appeler mĂȘme ses parents, son mec ou ses potes, d'ailleurs ça fait qq annĂ©es que j'ai instaurĂ© un safe word d'appel, si quelqu'un m'envoie un message oĂč il y a Ă©crit "courgette" c'est que l'appel est important et mĂ©rite que je le prenne, mais si c'est pas une urgence vitale en gĂ©nĂ©ral ça m'ïżœïżœnerve)
- Avoir mon permis (je suis à 2 ans de conduite, 2000⏠de dépensé, des litres de larmes et de mascara, il est temps que ça cesse ce calvaire)
- Donner mon sang tous les deux mois et donc prendre rdv prochainement en septembre (faut que je reprenne du poids du coup parce qu'Ă 43kg je doute de survivre mĂȘme si j'ai pu montrer une certaine rĂ©sistance Ă la perte de sang dans mes annĂ©es mutilation)
- Prendre rdv chez le médecin (que je comprenne pourquoi j'ai envie de vomir tout le temps, pourquoi j'ai mal aux reins, pourquoi je suis fatiguée, pourquoi je saigne pas pendant 2 mois puis aprÚs 6L en 2 jours et un petit test IST pour voir s'il reste une once de respect de mon mec à mon égard)
- Trouver un stage (par pitié acceptez-moi en stage que je ne sois pas obligée de demander les EHPAD, jme sens déjà bien trop en fin de vie pour faire un stage en soins palliatifs)
- Essayer d'instaurer des repas variés, à intervalles réguliers et un petit dej solide (non parce que c plus possible de manger un bout de salade par jour quand je suis stressée)
- Diminuer le RedBull (passer de 1/j Ă 1 tous les deux jours, on en est Ă ce stade d'addiction oui)
- Essayer de diminuer la clope (pas de volonté réelle pour le moment donc ça m'étonnerait)
- Faire du Yoga 1x par jour ou tous les deux jours et peut-ĂȘtre reprendre la course, ou m'inscrire Ă l'escalade (par contre 250⏠une licence, pour ce prix, j'espĂšre que le massage des mollets est inclus)
- Manquer le moins de cours possible et essayer de maintenir un 13.5 de moyenne, c'est le dernier semestre faut se bouger le fion
- Aller au cinéma au moins 2 fois par mois au.pire et 1 fois par semaine au mieux (pour maintenir la culture cinématographique que je Fake depuis des mois)
- Me séparer de mon copain (à moins d'un miracle et d'une prise de conscience rapide et profonde, ça me paraßt malheureusement inévitable, ce qui veut dire me préparer à une rupture...)
- M'inscrire dans une association (parce que c'est intĂ©ressant mais surtout parce que je vais pouvoir dire dans mes lettres aux masters "eh regardez jsuis peut-ĂȘtre une merde en cours mais j'aide les enfants qui se font harceler a l'Ă©cole prenez moi")
- Restée moins confinée dans mon appartement (aller respirer, marcher, chier, peu importe mais dehors, comme ça ça réduit les moments de vide et de grattage compulsif)
Bon déjà ce sera pas mal ça en vrai, je rajouterai bien trouver une maniÚre de me faire de l'argent facilement mais à moins de dealer, ça me paraßt pas trÚs faisable, aprÚs pas vu pas pris comme on dit hm
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Les Celtes croyaient que les abeilles Ă©taient des intermĂ©diaires entre ce monde et l'autre. Ils pensaient que les abeilles pouvaient aider Ă transmettre des messages de ce monde au monde des morts, les aidant ainsi Ă communiquer avec leurs proches. Les abeilles sont tellement respectĂ©es pour leurs capacitĂ©s qu'il existe mĂȘme des documents juridiques crĂ©Ă©s dans le but de protĂ©ger toutes les pratiques liĂ©es aux abeilles. Le miel contient des enzymes vivantes.
đ Au contact d'une cuillĂšre en mĂ©tal, ces enzymes meurent.
đ La meilleure façon de manger du miel est d'utiliser une cuillĂšre en bois ou en plastique.
đ Le miel contient une substance qui aide le cerveau Ă mieux fonctionner.
đ Le miel est l'un des rares aliments sur terre qui ne peut soutenir que la vie humaine.
đ Une cuillĂšre Ă cafĂ© de miel suffit Ă maintenir la vie humaine pendant 24 heures.
đ La propolis, produite par les abeilles, est l'un des antibiotiques naturels les plus puissants.
đ Le miel n'a pas de date de pĂ©remption.
đ Les corps des grands empereurs Ă©taient enterrĂ©s dans des cercueils en or recouverts de miel pour Ă©viter qu'ils ne pourrissent.
đ Le terme « lune de miel » vient de la tradition qui veut que les jeunes mariĂ©s consomment du miel pour assurer leur fĂ©conditĂ© aprĂšs le mariage.
đ Une abeille vit moins de 40 jours, visite au moins 1 000 fleurs et produit moins d'une cuillĂšre Ă cafĂ© de miel au cours de sa vie.
đ L'une des premiĂšres piĂšces de monnaie portait un symbole d'abeille.
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La journĂ©e commençait bof parce qu'on avait prĂ©vu de faire "un truc" aujourd'hui mais on ne savait pas trop quoi, et c'est souvent comme ça que ça commence mal parce que moi je veux bien Ă peu prĂšs n'importe quoi pourvu qu'on passe par un magasin de bouquins ou de jeux, mais l'homme veut absolument visiter qqchose et bien manger et l'ado veut absolument faire les magasins sans ĂȘtre accostĂ© par un vendeur, manger en vitesse et ĂȘtre de retour assez vite du coup ce matin je sentais venir la journĂ©e de merde au point que l'ado a failli rester seul Ă la maison et Ă la derniĂšre seconde il a vu ce qu'il devait rĂ©chauffer pour manger Ă midi du coup il a dĂ©cidĂ© de venir, je ne sais pas comment je dois le prendre, mais il devait encore se laver alors on a pris le train suivant mais mĂȘme celui-lĂ on a failli le rater, ensuite j'ai rĂąlĂ© parce que "vous n'ĂȘtes pas foutus de prendre un peu sur vous alors soit je suis avec l'un OU l'autre, soit je passe des journĂ©es de merde quand vous ĂȘtes lĂ tous les deux mais y a jamais moyen de passer une journĂ©e normale Ă trois, vous ĂȘtes deux boulets, bordel" bon ça les a fait rĂ©flĂ©chir apparemment et la journĂ©e s'est bien passĂ©e jusqu'Ă un certain moment.
On a visitĂ© Train World Ă Schaerbeek, c'Ă©tait Ă©normissime, l'histoire des trains en Belgique depuis les locomotives Ă vapeur jusqu'aux annĂ©es 70/80, des vrais vieux trains dans lesquels on pouvait rentrer, des vieux objets, des anciennes affiches, tout ça tout ça bref l'ado a trouvĂ© ça mieux que ce qu'il pensait (il pensait que c'Ă©tait un vieux musĂ©e poussiĂ©reux avec des miniatures de trains), l'homme Ă©tait content pcq sa proposition avait plu, et puis on a pris le tram vers le centre-ville, il y avait l'air-co donc gĂ©nial, on a mangĂ© un petit truc et on s'est baladĂ© en faisant des photos, la Rue Neuve n'est plus que l'ombre d'elle-mĂȘme mais il y a une chouette dynamique Ă Anspach, Ste Catherine, Les halles et vers la Grand Place. On est en pleine pĂ©riode des plaisirs d'Ă©tĂ© du coup il y avait des animations de rue et des acrobates sur la Grand Place. Elliott a reconnu un acrobate d'une troupe de cirque dont il suit l'actualitĂ©. Il est rentrĂ© dans des magasins, a trouvĂ© sa pointure sur les nouvelles Nike mais a eu la flemme de dĂ©penser ses sous alors il est sorti en rĂąlant bah oui la vie est chĂšre que veux-tu, et aprĂšs ça il a eu faim, il a Ă©tĂ© fatiguĂ©, il a eu mal aux pieds (tu sens venir le truc oĂč je lui dis que ok je mets la moitiĂ© sur les Nike parce qu'il se plaint subitement de ses pieds ?) (jamais de la vie mais bel essai) moi j'ai fini mon film de 72 photos, j'en ai entamĂ© un nouveau et cette fois je n'ai pas mis un Kodak, j'ai mis un lomography avec un effet un peu patinĂ© on verra ce que ça donne mais c'est aussi 72 photos, ça va prendre une blinde pour les faire, j'ai trouvĂ© 5 cartes pour ma collection dans Weward malgrĂ© que ça les ennuyait de me suivre dans des rues pour trouver ces cartes et on a mangĂ© un mochi prĂšs de la grand place, il Ă©tait dĂ©licieux et j'avais envie de parler japonais au gars du mochi mais j'ai pas osĂ© et pourtant je voyais bien qu'il galĂ©rait en français et pourtant je sais commander trois mochis en japonais, comprendre un prix, remercier et dire au revoir du coup j'Ă©tais un peu déçue de moi-mĂȘme. AprĂšs on a chacun eu fini nos pellicules et ça tombait bien parce que l'ado commençait Ă saturer de marcher sans autre but que des photos et des cartes Weward (pour ça il Ă©tait d'accord avec son pĂšre) on a dĂ©posĂ© les pellicules au labo, je me suis achetĂ© une dragonne colorĂ©e pour mon Pentax 17 et on a repris le train vers la maison. L'ado s'est assoupi 5 minutes sur mon Ă©paule et a dĂ©crĂ©tĂ© que "ah finalement ça va j'Ă©tais juste un peu fatiguĂ©" et vous avez remarquĂ© comme moi qu'on n'est rentrĂ©s ni dans un magasin de livres, ni de jeux.
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CĆur de mandarine
Fandom :Â One Piece
Relationship :Â Luffy x Nami
Voici ma participation pour le Flufftober 2024 pour le prompt : Nourriture réconfortante.
JâespĂšre que ça vous plaira.
RĂ©sumĂ© : Luffy avait observĂ© Nami toute la journĂ©e. Câest Ă©trange, pensa-t-il. Vraiment Ă©trange. Elle nâĂ©tait pas comme dâhabitude. Il la connaissait bien et il pouvait dire que quelque chose nâallait pas.
Disclaimer : One Piece appartient Ă Eiichiro Oda.
@flufftober
AO3 / FF.NET
Luffy avait observĂ© Nami toute la journĂ©e. Câest Ă©trange, pensa-t-il. Vraiment Ă©trange. Elle nâĂ©tait pas comme dâhabitude. Il la connaissait bien et il pouvait dire que quelque chose nâallait pas.
Il savait ce que les gens pensaient de lui. Quâil nâĂ©tait pas trĂšs intelligent. Mais cela ne le vexait pas. Il connaissait ses points forts et ses faiblesses. Il savait de quoi il Ă©tait capable oĂč pas. Et sâil voulait vraiment quelque chose, il faisait tout pour lâobtenir.
Mais il y avait une chose que les personnes qui lâentouraient semblaient ne pas avoir remarquĂ©. Quand il le fallait, il savait observer. Surtout lorsquâil sâagissait des personnes auxquelles il tenait. Câest comme ça quâil avait vite appris Ă connaĂźtre Nami. Il nâaurait pas su dire pourquoi, ni comment, mais depuis le jour de leur rencontre un lien spĂ©cial câĂ©tait crĂ©Ă© entre eux. Il avait essayĂ© de lui parler toute la journĂ©e, mais Ă chaque fois, elle le rembarrait plus ou moins violemment, ou elle lâinsultait.
La soirĂ©e Ă©tait arrivĂ©e, ainsi que lâheure du dĂźner. Luffy Ă©tait affamĂ© et il Ă©tait impatient de goĂ»ter ce que Sanji avait prĂ©parĂ©. Manger lui avait toujours fait du bien et il savait que ça ferait du bien Ă Nami. Il entra dans la cuisine avec fracas, accompagnĂ© de Chopper et Usopp. Il sâinstalla Ă table, tandis que Sanji servait les plats. Il regarda les membres de son Ă©quipage et fronça les sourcils. Nami nâĂ©tait pas lĂ . Il se leva brusquement et se dirigea vers la porte.
« Luffy ? OĂč est-ce que tu vas ? Demanda Sanji.
-Je vais chercher Nami.
-Tu devrais la laisser, dit Zoro. Tu vas encore te faire insulter.
-Je suis sĂ»r que lorsquâelle aura mangĂ©, elle ira mieux. »
Zoro haussa les Ă©paules.
« Câest toi qui vois, rĂ©pondit-il en buvant son rhum. »
Luffy partit Ă la recherche de sa navigatrice. Il passa devant le mandarinier et un immense sourire illumina son visage. Il savait ce qui ferait plaisir Ă Nami. Il allongea son bras et cueillit une mandarine. Il porta le fruit Ă son nez et huma son parfum.
Il ne mit pas longtemps Ă retrouver Nami. Elle Ă©tait assise sur le pont. Ses bras entouraient ses genoux qui Ă©taient repliĂ©s sur sa poitrine. Elle regardait au loin, comme si lâocĂ©an lâhypnotisait. Il sâapprocha et sâaccroupit devant elle.
« Tu nâes pas venue dĂźner, dit-il. »
Nami soupira, exaspérée.
« Pas maintenant Luffy. »
Mais il ne se dĂ©couragea pas. Elle nâallait pas bien et il voulait lâaider.
« Je suis sĂ»r quâaprĂšs avoir mangĂ©, ça ira mieux. »
Elle leva les yeux au ciel et sâapprĂȘta Ă lâinsulter lorsque Luffy lui tendit la mandarine. Nami Ă©carquilla les yeux. Elle prit la mandarine dâune main tremblante. Luffy sâassit Ă cĂŽtĂ© dâelle. Elle avait acceptĂ© son geste et semblait sâadoucir. Câest un bon dĂ©but, pensa-t-il. Nami ferma les yeux et sentit lâodeur de la mandarine. Une larme coula le long de sa joue.
« Aujourdâhui, câest lâanniversaire de la mort de Belmer. »
Luffy comprit alors les rĂ©actions quâelle avait eu toute la journĂ©e. MĂȘme sâil faisait tout pour ne rien montrer, le jour de la mort de Ace Ă©tait toujours difficile. Il porta sa main Ă son chapeau, lâenleva et le posa sur la tĂȘte de Nami. Elle tourna le regard vers lui, surprise. Elle sourit, Ă©plucha la mandarine et en donna la moitiĂ© Ă Luffy.
« Merci, dit-elle. »
Elle ne le remerciait pas seulement pour le fruit, mais pour sâinquiĂ©ter pour elle et rester prĂšs dâelle. Il prit la moitiĂ© de mandarine et sourit jusquâaux oreilles. Il savait que la nourriture lui ferait du bien.
Fin
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VoilĂ comment sont les choses aujourd'hui. Par oĂč commencer ? Je suis une survivante d'une profonde dĂ©pression et je souhaite Ă tout le monde d'avoir cette fiertĂ© un jour. Ăvidemment, ça ne veut pas dire que mes jours sont remplis de soleil, de paillettes et de sourire. Ăa veut juste dire que j'ai rĂ©cupĂ©rĂ© la force de vivre malgrĂ© tout ce qui peut me tomber dessus. Je suis encore submergĂ©e souvent par mes Ă©motions, mon cĆur crie souvent beaucoup trop fort ce qu'il ressent et c'est parfois difficile Ă gĂ©rer. Mais je fais de mon mieux. Oui c'est ça, je fais de mon mieux et pas seulement pour ça, pour la vie en gĂ©nĂ©ral. J'apprends Ă canalyser mon anxiĂ©tĂ© seule, sans me reposer sur les gens ou les cachetons. J'Ă©choue parfois, mais je sais que j'ai le droit d'Ă©chouer. Je ne m'en veux pas pour ça. Ou plutĂŽt... je ne m'en veux plus. J'essaye d'accepter toute les Ă©motions Ă bras ouvert, de pleurer quand l'envie s'en fait ressentir, taper du pied quand je suis contrariĂ©e et exprimer mes angoisses quand c'est le bordel dans ma tĂȘte au point oĂč je ne m'entends mĂȘme plus penser. Ah et j'ai des objectifs aussi. Dans le futur je veux dire. Si j'avais su que je m'y verrais un jour dans le futur... c'est fou comme j'avance. Je sais aimer sainement, manger Ă ma faim sans me priver, sortir dans des lieux publics, faire de nouvelle rencontres, pardonner et surtout j'apprends Ă m'aimer. Ăvidemment, la pĂ©riode de ma vie oĂč j'Ă©tais au plus bas est encore taboue, je n'aime pas l'Ă©voquer ou m'en souvenir. Mais je sais qu'un jour j'aurai digĂ©rĂ© ces Ă©vĂ©nements et que je saurai les accepter.
Je laisse le temps au temps, je me donne le droit d'exister, je me suis pardonnĂ©, je me donne la permission de vivre, d'ĂȘtre celle que je suis, de m'aimer. J'ai cessĂ© cette guerre contre moi mĂȘme car finalement, il n'y aurait jamais eu de gagnant.
VoilĂ oĂč en est ma vie aujourd'hui. Et toi, comment vas-tu?
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Instrumentation des corps et des voix racisĂ©es Ă des fins de diversion pour masquer la rĂ©alitĂ© sociale et Ă©conomique des minoritĂ©s en France... Aya gagne des millions et divertit les imbĂ©ciles heureux pendant que les femmes de mĂ©nage banlieusardes des grands hĂŽtels parisiens rĂ©duites en esclavage sont en lutte pour faire manger leurs familles Ă leur faim....Belle rĂ©cupĂ©ration culturelle du capitalisme qu'Aya Nakamura. Je me sens plus fier quand je vois le parcours de DJ Mehdi ou de JosĂ©phine Baker que quand je scrute cet abrutissement volontaire des masses prolĂ©taires et pauperisĂ©es des quartiers par ce langage stĂ©rile, caricatural, appauvri et vĂ©hiculant tous les clichĂ©s qui vont bien aux nĂ©o coloniaux, qui au mieux quand ils ne nous veulent pas morts, nous aiment apolitiques et objets de leurs fantasmes sexuels dominateurs...đđđđđ
Vive la culture libre, vive le hip hop libre, politique, conscient et fier de l'ĂȘtre
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je me sens mieux au travail, enfin je me sens mieux dans la vie en gĂ©nĂ©ral depuis cet Ă©tĂ©, j'aime toujours pas ce que je fais mais j'aime y aller pour mes collĂšgues. Ceux que j'apprĂ©cie. Il y en a un avec qui on fait du sport ensemble. Certaines personnes avec qui je vais boire des verres. Une collĂšgue m'a mĂȘme invitĂ© Ă manger dans un restaurant gastro le mois prochain et ensuite finir avec un lancĂ© de haches (ça n'a aucun sens đ). MĂȘme avec mon Ă©quipe, je me sens + ok de parler.
Deux personnes m'ont dit "alors tu fais quoi aprĂšs ton contrat ? tu prolonges j'espĂšre ? ce serait bien. Ou tu as prĂ©vue de repartir ?" et honnĂȘtement j'ai rigolĂ© nerveusement, en disant que je prenais ce qu'il y avait Ă prendre, bien qu'au fond de moi je sais que c'est temporaire. Parce qu'il y a ma formation cafĂ©. Et je vais pouvoir me renseigner dessus avant la fin dâannĂ©e puisque je serai dans la ville en question. J'ai toujours envie de vivre Ă MontrĂ©al. Ou l'Australie. Je sais vraiment pas oĂč je serai l'annĂ©e prochaine, ça me tracassait Ă©normĂ©ment pendant un temps, et aujourd'hui je vis juste au jour le jour. Je me suis encore inscrite pour le pvt, et on verra ce qui s'en suit. Si ça se fait pas, ce sera l'annĂ©e d'aprĂšs. Si je dois prolonger, je prolongerai. Si je dois ĂȘtre barista, je le serai. Chaque chose arrive pour une raison. (Mais j'espĂšre faire quelque chose que j'aime, et surtout dans un endroit oĂč je serai Ă©panouie, genre barista Ă MontrĂ©al..... je dis ça je dis rien)
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Waiting
DURING those hours of waiting, what did they do? We must needs tell, since this is a matter of history.
While the men made bullets and the women lint, while a large saucepan of melted brass and lead, destined to the bullet-mould smoked over a glowing brazier, while the sentinels watched, weapon in hand, on the barricade, while Enjolras, whom it was impossible to divert, kept an eye on the sentinels,
Combeferre, Courfeyrac, Jean Prouvaire, Feuilly, Bossuet, Joly, Bahorel, and some others, sought each other out and united as in the most peaceful days of their conversations in their student life, and, in one corner of this wine-shop which had been converted into a casement, a couple of paces distant from the redoubt which they had built, with their carbines loaded and primed resting against the backs of their chairs, these fine young fellows, so close to a supreme hour, began to recite love verses. What verses?
These:
Vous rappelez-vous notre douce vie, Lorsque nous Ă©tions si jeunes tous deux, Et que nous n'avions au cĆur d'autre envie Que d'ĂȘtre bien mis et d'ĂȘtre amoureux, Lorsqu'en ajoutant votre age Ă mon age, Nous ne comptions pas Ă deux quarante ans, Et que, dans notre humble et petit mĂ©nage, Tout, mĂȘme l'hiver, nous Ă©tait printemps?
Beaux jours! Manuel etait fier et sage, Paris s'asseyait Ă de saints banquets, Foy lançait la foudre, et votre corsage Avait une Ă©pingle oĂč je me piquais. Tout vous contemplait. Avocat sans causes, Quand je vous menais au Prado dĂźner, Vous Ă©tiez jolie au point que les roses Me faisaient l'effet de se retourner.
Je les entendais dire: Est elle belle! Comme elle sent bon! Quels cheveux à fiots Sous son mantelet elle cache une aile, Son bonnet charmant est à peine éclos. J'errais avec toi, pressant ton bras souple. Les passants crovaient que l'amour charmé Avait marié, dans notre heureux couple, Le doux mois d'avril au beau mois de mai.
Nous vivions cachĂ©s, contents, porte close, DĂ©vorant l'amour, bon fruit dĂ©fendu, Ma bouche n'avait pas dit une chose Que dĂ©jĂ ton cĆur avait rĂ©pondu.
La Sorbonne Ă©tait l'endroit bucolique OĂč je t'adorais du soir au matin. C'est ainsi qu'une Ăąme amoureuse applique La carte du Tendre au pays Latin.
O place Maubert! Î place Dauphine! Quand, dans le taudis frais et printanier, Tu tirais ton bas sur ton jambe fine, Je voyais un astre au fond du grenier. J'ai fort lu Platon, mais rien ne m'en reste; Mieux que Malebranche et que Lamennais Tu me démontrais la bonté céleste Avec une fleur que tu me donnais.
Je t'obĂ©issais, tu m'Ă©tais soumise; O grenier dorĂ©! te lacer! te voir Aller et venir dĂšs l'aube en chemise, Mirant ton jeune front Ă ton vieux miroir. Et qui donc pourrait perdre la mĂ©moire De ces temps d'aurore et de firmament, De rubans, de fleurs, de gaze et de moire, OĂč l'amour bĂ©gaye un argot charmant? Nos jardins Ă©taient un pot de tulipe; Tu masquais la vitre avec un jupon; Je prenais le bol de terre de pipe, Et je te donnais le tasse en japon.
Et ces grands malheurs qui nous faisaient rire! Ton manchon brûlé, ton boa perdu! Et ce cher portrait du divin Shakespeare Qu'un soir pour souper nons avons vendu!
J'Ă©tais mendiant et toi charitable. Je baisais au vol tes bras frais et ronds. Dante in folio nous servait de table Pour manger gaĂźment un cent de marrons. La premiĂšre fois qu'en mon joyeux bouge Je pris un baiser a ton lĂšvre en feu, Quand tu t'en allais dĂ©coiffĂ©e et rouge, Je restai tout pĂąle et je crus en Dieu! Te rappelles-tu nos bonheurs sans nombre, Et tous ces fichus changĂ©s en chiffons? Oh que de soupirs, de nos cĆurs pleins d'ombre, Se sont envolĂ©s dans les cieux profonds!(1)
The hour, the spot, these souvenirs of youth recalled, a few stars which began to twinkle in the sky, the funeral repose of those deserted streets, the imminence of the inexorable adventure which was in preparation, gave a pathetic charm to these verses murmured in a low tone in the dusk by Jean Prouvaire, who, as we have said, was a gentle poet.
In the meantime, a lamp had been lighted in the small barricade, and in the large one, one of those wax torches such as are to be met with on Shrove-Tuesday in front of vehicles loaded with masks, on their way to la Courtille. These torches, as the reader has seen, came from the Faubourg Saint-Antoine.
The torch had been placed in a sort of cage of paving-stones closed on three sides to shelter it from the wind, and disposed in such a fashion that all the light fell on the flag. The street and the barricade remained sunk in gloom, and nothing was to be seen except the red flag formidably illuminated as by an enormous dark-lantern.
This light enhanced the scarlet of the flag, with an indescribable and terrible purple.
(1) Do you remember our sweet life, when we were both so young, and when we had no other desire in our hearts than to be well dressed and in love? When, by adding your age to my age, we could not count forty years between us, and when, in our humble and tiny household, everything was spring to us even in winter. Fair days! Manuel was proud and wise, Paris sat at sacred banquets, Foy launched thunderbolts, and your corsage had a pin on which I pricked myself. Everything gazed upon you. A briefless lawyer, when I took you to the Prado to dine, you were so beautiful that the roses seemed to me to trn round, and I heard them say: Is she not beautiful! How good she smells! What billowing hair! Beneath her mantle she hides a wing. Her charming bonnet is hardly unfolded. I wandered with thee, pressing thy supple arm. The passers-by thought that love bewitched had wedded, in our happy couple, he gentle month of April to the fair month of May. We lived concealed, conent, with closed doors, devouring love, that sweed forbidden fruit. My mouth had not uttered a thing when thy heart had already responded. The Sorbonne was the bucolic spot where I adored thee from eve till morn. 'Tis thus that an amorous soul applies the chart of the Tender to the Latin country. O Place Maubert! O Place Dauphine! When in the fresh spring-like hut thou didst draw thy stocking on thy delicate leg, I saw a star in the depths of the garret. I have read a great deal of Plato, but nothing of it remains by me; better than Malebranche and than Lamennais thou didst demonstrate to me celestial goodness with a flower which thou gavest to me. I obeyed thee, thou didst submit to me; oh gilded garret! to lace thee! to behold thee going and coming from dawn in thy chemise, gazing at thy yourg brow in thine ancient mirror! And who, then, would forego the memory of those days of aurora and the firmament, of flowers, of gauze and of moire. when love stammers a charming slang? Our gardens consisted of a pot of tulips; thou didst mask the window with thy petticoat; I took the earthenware bowl and I gave thee the Japanese cup. And those great misfortunes which made us laugh! Thy cuff scorched, thy boa lost! And that dear portrait of the divine Shakespeare which we sold one evening that we might sup! I was a beggar and thou wert charitable. I kissed thy fresh round arms in haste. A folio Danto served us as a table on which to eat merrily a centime's worth of chestnuts. The first time that. in my joyous den, I snatched a kiss from thy fiery lip, when thou wentest forth, dishevelled and blushing, I turned deathly pale and I believed in God. Dost thou recall our innumerable joys, and all those fichus changed to rags? Oh! what sighs from our hearts full of gloom fluttered forth to the heavenly depths!â
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La devanture d'une pĂątisserie
Il Ă©tait une fois la devanture dâune pĂątisserie. Cette part de cake aux myrtilles, ce cookie Ă la pistache, cette gĂ©nĂ©reuse tranche de babka⊠Il y a tant des choses qui lui donnent envie. Tout la fait saliver. Autour dâelle, les gens se bousculent pour arriver Ă se faire une place dans le magasin. Les enfants affamĂ©s, arrivĂ©s de lâĂ©cole, se pressent au milieu des amateurs de gourmandises et autres becs sucrĂ©s qui se font tout autant de joie de cĂ©lĂ©brer lâheure du goĂ»ter. Elle les observe franchir la porte et se dĂ©cider si rapidement pour une part de brownie ou un muffin aussitĂŽt dĂ©vorĂ©, aussitĂŽt avalĂ©. Ils ferment les yeux, savourent les derniĂšres notes sucrĂ©es restĂ©es sur leur papilles et sâen lĂšchent les doigts avant de repartir gaiement Ă leurs activitĂ©s. Pendant ce temps-lĂ , la jeune fille nâest toujours pas rentrĂ©e dans la pĂątisserie. Elle a beau avoir faim et trĂšs envie de toutes ces petites merveilles, la peur la paralyse. Aussi appĂ©tissants que ces gĂąteaux lui paraissent, ils la terrifient. Le trop, le gras, le sucre, manger, grossir, perdre le contrĂŽle⊠tout lui fait peur. La nourriture la hante, fait de sa vie une obsession. Et finalement, cette peur est si grande quâelle prĂ©fĂšre sâincliner et faire encore une croix sur ses envies sucrĂ©es.
Comme Ă chaque fois que la vendeuse voit cette jeune fille partir en courant au milieu de ses clients, aprĂšs avoir errer pendant une heure devant ses pĂątisseries, elle fait la mĂȘme priĂšre. Elle espĂšre quâun jour cette jeune fille osera enfin tenter un pied Ă lâintĂ©rieur de son magasin. Elle le lui souhaite du fond du cĆur parce quâelle connaĂźt mieux que quiconque la frustration, la culpabilitĂ© et la peur quâest capable de susciter la simple vue dâun petit morceau de gĂąteau. Elle le lui souhaite, oui, parce quâaprĂšs toutes ces annĂ©es Ă sâĂȘtre aussi battue avec ses peurs, aujourdâhui elle savoure chaque jour sa libertĂ©, et une vie riche en plaisirs et autres gourmandises.
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" Journalist "
đ đČđ đČđ» đđ°đČÌđ»đČ : Vinsmoke Sanji
đ„đČÌđđđșđČÌ : Tandis que Sanji concocte le dĂźner des chapeau de paille, sa petite amie lui tient compagnie. Lui aux fourneaux, elle sur la table Ă manger, les deux amants discutent, passent du bon temps ensemble, tout en profitant du calme que leur apporte leur voyage maritime, sans nouveau dĂ©fi Ă relever ni ennemi Ă vaincre. Ă s'y mĂ©prendre, l'instant est d'une perfection sans pareil.
đđđČđżđđ¶đđđČđșđČđ»đ : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
đœđđđđđ đđ đđđđ : đ,đđđ.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Sanji arrive prĂšs de moi, contournant la table et dĂ©posant dessus une assiette ainsi qu'une tasse fumante. Je relĂšve la tĂȘte, abandonnant mon article.
« Et voilà pour toi ma douce, un chocolat chaud et une part de tarte à la pomme. Bon appétit. » il déclare dans un sourire.
Sa phrase me fait arquer un sourcil, je le questionne du regard. Je dĂ©pose mon stylo Ă plume prĂšs de mon papier et tĂąche de me souvenir si je lui ai demandĂ© de me servir quoi que ce soit, cependant, rien ne me vient Ă l'esprit. Enfin, Ă vrai dire, j'ai Ă©tĂ© tellement occupĂ©e Ă travailler aujourd'hui, mĂȘme me souvenir de ce que j'ai mangĂ© Ă midi serait complexe. Il est vrai que j'ai un lĂ©ger petit creux, par contre, il doit ĂȘtre assez tard dans l'aprĂšs-midi, peut-ĂȘtre bientĂŽt l'heure de dĂźner, voilĂ pourquoi mon estomac s'est soudain mis Ă grogner, et la vue allĂ©chante de la dite tarde ainsi que l'odeur de ma boisson n'aident pas. Le sourire flamboyant de Sanji me fait face. Je lui souris en retour, qu'il est beau... Puis, sur un ton pensif je lui rĂ©ponds :
« Je ne me souviens pas de t'avoir demandé de me faire quoi que ce soit. »
Sanji essuie ses mains humides sur son tablier, il attrape sa cigarette entre ses doigts.
« Je me suis dis que tu devais avoir faim à force de travailler. » explique-t-il en expirant de la fumée.
« Je vois, merci beaucoup alors. »
Ma réponse semble lui plaire, puisque je vois son sourire s'agrandir et ses yeux se plisser. Sanji se penche au dessus de moi et embrasse mon front, puis il se redresse et prend une taffe de sa cigarette.
« Tu me diras ce que tu en penses ? »
« Bien sûr. Laisse moi finir ma phrase et je suis toute à toi. »
Je rattrape mon stylo Ă plume et tire mon article au bord de la table. Pendant que Sanji retourne dans sa cuisine, moi, je conclue mon travail. Cela fait depuis hier que je suis dessus. Sur cette feuille de papier, j'y conte mes aventures avec Luffy et l'Ă©quipage, les gens que nous avons rencontrĂ©s Ă Wano, les ennemis que nous avons vaincus Ă Dressrosa et Punk Hazard. Ces derniĂšres semaines ont Ă©tĂ© particuliĂšrement agitĂ©es, je n'ai pas eu une seule minute Ă moi, pas une seule minute Ă Ă©crire. Ăa n'est pas vraiment une passion. J'ai le don de l'Ă©criture, je m'en sers, mais ça n'est pas par plaisir, plutĂŽt pour satisfaire la curiositĂ© de mon pĂšre. Peut-ĂȘtre aussi mettre sur papier ces choses folles que j'ai vĂ©cu depuis mon arrivĂ©e sur le Sunny. Et qui sait... Peut-ĂȘtre que cet article finira publiĂ©.
En guise de bruit de fond, j'ai Sanji et le dßner qu'il nous prépare. C'est plaisant. Je l'entends trancher de la viande, mélanger des ingrédients, marmonner dans sa barbe et sortir des restes de son immense frigo fermé à double tour. Parfois, je l'entends goûter sa propre nourriture et faire des commentaires, affirmant qu'il manque ceci, que cela est parfait, ainsi de suite. J'aime cette atmosphÚre.
Sur le Sunny, je ne trouve rien de mieux que de me rĂ©fugier dans la cuisine lorsque Sanji y confectionne des plats. Le bruit des vagues et les mouvements du navire qui tangue est tout autant agrĂ©able, sachant que, puisque nous sommes en intĂ©rieur, le tout est attĂ©nuĂ©. Et puis, savoir Sanji proche de moi a quelque chose de rĂ©confortant. Je me sais en sĂ©curitĂ©. J'aurais pu rester avec Robin, elle lit souvent au calme, ou mĂȘme Nami, pendant qu'elle est chargĂ©e d'observer les directions que le navire prends. Ou Zoro, lui qui a cette fĂącheuse tendance Ă s'entraĂźner dans la tour de pie sans jamais vraiment dire ou faire quoi que ce soit. Mais, il n'y a pas Ă dire, je ne me sens bien qu'ici. La table, tous ces bruits autour de moi et l'idĂ©e que, dans quelques heures, je serai encore assise ici, cette fois mon travail terminĂ©e et auprĂšs de mes amis Ă dĂźner. Nous serons tous prĂ©sents, Ă nous chamailler, rire et boire, jusqu'Ă ce que la fatigue nous emporte.
Alors je reste lĂ . Je reste lĂ et je continue d'Ă©crire mon article.
Les lignes et phrases s'enchaĂźnent, je conte mes aventures sur Wano en attendant que Luffy nous revienne, je conte mes combats contre les hommes de Kaido aux Cents BĂȘtes et les rĂ©vĂ©lations sur le pays de Wano que nous avons faites au cours de la bataille. Mon pĂšre en sera ravi, j'en suis persuadĂ©e, aprĂšs tout, ça n'est pas tous les jours que les secrets de cette terre fermĂ©e au publique sont dĂ©voilĂ©s.
Lorsque j'ai fini, quelques secondes plus tard, je dépose ma feuille dans une pochette rouge et mon stylo à plume dedans. Je repousse le tout et me saisis ensuite de mon assiette et tasse. La boisson est encore chaude, parfait.
« Alors dis moi, ton pÚre, ce Morgans, pourquoi il s'intéresse autant à nous ? »
Sanji cuisine dos Ă moi, de sa poĂȘle, il fait revenir du riz. J'esquisse un rictus tout en apportant mon chocolat chaud Ă mes lĂšvres.
« Je ne sais pas vraiment, je t'avouerai.. Il m'a juste demandé de le tenir au courant des décisions de Luffy et de citer le nom de tous nos ennemis. »
Mes mains sont un peu froides, elles commencent à se réchauffer.
« Je crois qu'il l'aime bien, c'est tout. »
« Je me souviens l'avoir vu sur le territoire de Big Mom. » affirme-t-il en attrapant sa cigarette de sa main libre. « Il n'a pas cherchĂ© Ă nous arrĂȘter. Il me semble qu'il nous encourageait, Ă vrai dire.. »
Ma réponse s'accompagne d'un léger rire.
« Ăa lui ressemble bien. »
Mon pĂšre est un personnage haut en couleur, toujours Ă la recherche du dernier scoop et Ă fouiner lĂ oĂč il ne devrait pas. D'aussi loin que je me souvienne, We News âžșle ballon gonflable dans lequel il Ă©crit, poste et imprime ses articlesâžș a toujours Ă©tĂ© ma maison. Mon terrain de jeu aussi. J'y ai Ă©cris mes premiĂšres histoires, j'en ai imaginĂ© des centaines, et combien de fois me suis-je imaginĂ©e grande journaliste.. prenant le siĂšge de mon pĂšre et tenant le monde dans la paume de ma main, reine des informations, cheffe de la vĂ©ritĂ©. Puis, un jour, Monkey D. Luffy est arrivĂ© avec son Ă©quipage, et j'ai Ă©tĂ© forcĂ©e de prĂ©venir mon pĂšre que non, je ne rentrerai pas Ă la maison, que j'Ă©tais Ă prĂ©sent une ennemie du gouvernement. Je me souviens encore parfaitement de sa rĂ©action, il avait ri et m'avait dit de m'amuser. Ce morceau du passĂ© me met du baume au coeur. J'ai Ă©coutĂ© son conseil, je n'ai jamais Ă©tĂ© aussi Ă©panouie..
Pendant quelques semaines aprÚs mon départ, nous n'avons pas pu nous parler. Les communications entre pirates sont souvent détournées par la marine, c'est un fait, mon pÚre était persuadé que ça aurait aussi été le cas avec nous. Il m'a affirmé que notre équipage détient des vérités et secrets que le gouvernement mondial convoite dans le but de les faire taire. Nous avec. Nous nous sommes donc résolus à nous envoyer des lettres via ses Martins Facteurs, une fois, deux fois tous les trois mois. Et cela me suffit amplement.
« Je lui ai parlé de Kinémon. »
DĂ©posant ma tasse sur la table, je m'attaque Ă ma tarte aux pommes.
« Kinémon ? » s'étonne Sanji.
Il est toujours dos à moi, coupant quelque chose. Je le vois remuer sa lame et déplacer des morceaux de nourriture d'un bol jusqu'à sa planche en bois, pour cela, je me suis penchée en avant. Je me rassois ensuite.
« De lui et sa femme. » je prĂ©cise. « Tu te rends compte qu'elle l'a attendu pendant vingt ans ? Elle n'Ă©tait mĂȘme pas sĂ»re qu'il reviendrait un jour ! »
« Oh, ma douce.. Que tu es romantique ! »
Sanji fait volte-face dans ma direction, les yeux brillants. Je lui offre un clin d'oeil et lui fait mine d'ĂȘtre touchĂ© en plein coeur, poussant une plainte au passage. Nous Ă©changeons un rire complice. Mon coeur s'est lĂ©gĂšrement emballĂ©, quant Ă ma main elle a raffermi sa prise sur la petite assiette. Je me pince mes lĂšvres. Ce jeu entre lui et moi ne me laisse pas indemne... Depuis que je le connais, je n'ai jamais pu vraiment rĂ©sister aux charmes de Sanji.
Celui-ci reprend d'ailleurs la parole. Il est retourné à sa précédente tùche.
« Mais, tu es sûre que c'est le genre d'informations que ton pÚre veut entendre ? »
« Je ne vais pas non plus lui dire que nous avons trouvĂ© un ponĂ©glyphe ou lui donner les coordonnĂ©es de la tombe de Kaido. » je me justifie. « Je le connais, il a beau dire qu'il ne postera rien, il voudra quand mĂȘme titiller le commandant en chef de la marine. »
« Il a déjà fait fort avec nos affiches de recherche.. » il acquiesce.
« Exactement ! Tu sais qu'il m'a dit que celle de Luffy les terrifie ? Ils lui ont demandé de la retirer, mais c'était trop tard quand il a reçu l'appel. Je doute d'ailleurs qu'il aurait accepté de le faire. »
« L'affiche de Luffy ? » s'exclame Sanji. « Pourquoi ça ? »
J'hausse les épaules. J'apporte ensuite une partie de ma tarte entre mes lÚvres et la goûte, je reprends donc une fois ma bouchée finie :
« Peut-ĂȘtre que c'est l'Ă©veil de son fruit qui a fait paniquer la marine ? AprĂšs tout, ça doit ĂȘtre spectaculaire si c'est grĂące à ça qu'il a vaincu Kaido. »
« Peut-ĂȘtre, ça me paraĂźt pas faux. »
Sanji m'a l'air surpris par mon hypothÚse, pendant ce temps là , je finis de trancher ma troisiÚme part et l'enfourne dans ma bouche. Sa tarte est succulente, finement fraßche, sucrée à souhait, elle fond sur la langue. Je suis à deux doigts de pousser une plainte liée à l'extase. Sanji a vraiment des doigts d'or..
« Quoi qu'il en soit, mon pÚre n'en saura rien. C'est un secret ! Je garde nos informations les plus importantes dans un coffre fort, je le lui donnerai lorsque Luffy sera devenu le roi des pirates; et qui sait, il me laissera enfin une place en tant que journaliste indépendante. »
« Qu'elle merveilleuse idée ! »
Sanji fait volte-face, une carotte Ă la main qu'il Ă©pluche.
« Je t'imagine déjà écrire des articles sur nous et notre mariage ! Tu serais si mignonne avec un clapet et un trench-coat ! La plus belle des journalistes ! »
Son enthousiasme me m'arrache un gloussement. Je me cache derriĂšre mon poing, l'expression hilare avec mes yeux plissĂ©s. Sanji continue son monologue et, l'espace d'une seconde, je crois mĂȘme apercevoir des coeurs Ă la place de ses yeux, de gros coeurs palpitant et d'un rose pĂ©tillant. Mes doigts se retrouvent et, nerveusement, je me mets Ă les triturer. Sanji abandonne sa carotte Ă©pluchĂ©e, il s'en saisit d'une autre sans pour autant arrĂȘter de me sourire.
« Je n'en suis pas encore à là , mais un jour, oui, sûrement... » je murmure.
Sanji me sourit grandement.
« Tu es si talentueuse, ça ne fait aucun doute, ma douce ! »
Je termine de boire le fond de mon chocolat chaud et dĂ©pose la tasse au coeur de mon assiette vide. Mon goĂ»ter conclut, je me dĂ©pĂȘche donc de rendre la vaisselle Ă Sanji. L'assiette et la tasse assemblĂ©es en cette jolie sculpture, je me lĂšve de la table Ă manger du Sunny et marche en direction de la cuisine pour les lui rendre.
« Merci beaucoup Sanji, c'était délicieux. »
Il me regarde d'un Ćil curieux.
Sanji se dĂ©pĂȘche de poser la pomme de terre qu'il Ă©pluche et de me vider les mains. Surprise, je le laisse faire.
« Laisse moi m'occuper de ça, c'est mon travail. »
« Ohâžș mais je peux m'en charger, tu sais ? Ăa ne me dĂ©range pas. »
« Je sais. » il répond, un petit rictus au coin des lÚvres. « Mais c'est mon plaisir. »
« Mhh, d'accord alors. »
Me voyant approcher, Sanji se penche sur moi, il tourne lĂ©gĂšrement la tĂȘte sur le cĂŽtĂ© et accueillit mon baiser Ă bras ouvert. Ce sont les mains dans le dos, posĂ©e sur la pointe de mes pieds que j'embrasse sa joue. Toutefois, cela ne me suffit pas. C'est soudain; j'en dĂ©sire plus. Un simple baiser me paraĂźt bien trop maigre pour remercier Sanji de tout ce qu'il fait au sein du Sunny, pas seulement auprĂšs de moi, lorsque mes aprĂšs-midis s'Ă©coulent Ă ses cĂŽtĂ©s et qu'il prend le temps de discuter avec moi et de me donner Ă manger, non, il y a tout le reste. Sa position sur le navire, sa dĂ©termination et force. Alors qu'il se tient devant moi, aussi aimant, aussi attentif, je ne peux m'empĂȘcher de l'aimer davantage. Pire encore, j'ai l'impression de retomber amoureuse de lui. J'attrape donc son visage en coupe, et embrasse ses lĂšvres.
Nos bouches se rencontrent dans un délicat baiser. Il est bref, ne voit le jour que pendant à peine deux petites secondes, c'est apparemment le temps qu'il faut à Sanji pour commencer à trembler. La vaisselle entre ses mains se met à frétiller bruyamment. Depuis la paume de mes mains, je sentais sa peau chauffer.
Je me recule une fois satisfaite.
Mes lÚvres pincées en une fine ligne, je rejoins mes mains devant mon corps et m'incline légÚrement en avant.
« Encore merci, Sanji. Ăa m'a fait plaisir. »
Soudain, il m'apparaĂźt en 2D. Sanji tombe en arriĂšre telle une feuille de papier, balancĂ©e de droite Ă gauche guidĂ©e par le vent âžșalors que nous sommes en intĂ©rieur ?âžș, avant d'atterrir au sol. J'arque un sourcil. Ses yeux palpitent, tels de cĆurs enragĂ©s et un sourire bĂ©at frĂŽlant l'idiotie s'est incrustĂ© sur ses lĂšvres. Je le regarde faire, tenant toujours ma vaisselle dans ses mains, il me paraĂźt ailleurs, dans un autre monde. Je l'entends murmurer mon prĂ©nom, Ă l'instar d'une incantation, suivit de "ma jolie", "ma douce" et mon propre cĆur s'emballe. Il ne bouge vraiment pas. Sanji est figĂ© sur place.
« Euh, tout va bien..? »
Je me risque Ă le questionner, ne sachant pas si ce sont ses sottises habituelles, ou si il est temps que j'aille chercher Chopper. C'est une premiĂšre toutefois : il ne saigne pas du nez. Mais ça, c'est peut-ĂȘtre parce que je ne lui avais pas montrĂ© mon dĂ©colletĂ©..
Tout de mĂȘme prĂ©occupĂ©e, je refuse de l'abandonner, je me rapproche donc de lui. Cela se dĂ©roule en silence. Je contourne sa silhouette Ă©lancĂ©e pour m'accroupir Ă cĂŽtĂ© de son visage et le toucher, Sanji ne rĂ©pond toujours pas. Le dĂ©barrassant de l'assiette de tasse, que je dĂ©pose au sol, je me mets Ă titiller sa joue. Plantant le bout de mon ongle dans l'onctuositĂ© de cette derniĂšre, je rĂ©pĂšte l'opĂ©ration, murmurant son prĂ©nom au passage, jusqu'Ă le voir finalement cligner des yeux.
« Tu as besoin que j'appelle Chopper ? »
Sanji a l'air hébété. Un sourire presque immédiat prend place sur son visage lorsque son regard encontre le mien.
« Pourquoi donc ? Je ne me suis jamais sentis aussi bien de ma vie. »
Peu satisfaite de sa réponse, je fais la moue. Pendant ce temps, il apporte ses doigts à ses lÚvres. Il semble pensif, il est plongé dans ses pensées.
« Tu n'es vraiment pas croyable quand tu t'y mets... »
« Tu t'es inquiĂ©tĂ©e pour moi, ma douce ? Comme c'est gentil ! Jeâžș »
« Pas croyable, j'ai dit. » je peste.
Je lui donne un petit coup de pied aux cĂŽtes, plutĂŽt une bousculade, de maniĂšre Ă le faire taire. Sanji cligne des yeux, cela fait fait son effet.
« Je t'embrasse tout le temps, tu devrais t'y habituer... »
« Quoi ? Jamais ! » il s'offusque.
Sa main se saisit brusquement de la mienne, cela m'arrache un hoquet de surprise.
« Tes lĂšvres sont le nectar le plus dĂ©licieux qu'il m'ait Ă©tĂ© donnĂ© de goĂ»ter. Si il m'arrive un jour de m'en lasser, alors je suis devenu fou, j'ai perdu ma raison de vivre. Car pour rien au monde je ne voudrais m'en sĂ©parer, si ça ne tenait qu'Ă moi jeâžș »
Furieusement gĂȘnĂ©e, je m'Ă©loigne.
« J'ai compris ! »
Je cache ensuite mon visage derriĂšre mes mains, espĂ©rant qu'en faisant ceci, il comprenne mon embarras et cesse son numĂ©ro. Qu'est-ce qu'il peut ĂȘtre charmeur quand il s'y met, je peine Ă y croire ! Mon corps se redresse de lui-mĂȘme, j'entends Sanji m'imiter. La vaisselle et le dĂźner sont depuis longtemps abandonnĂ©s.
« Ne sois pas embarrassée, je t'en prie, ma douce. Je ne fais que dire la vérité. »
Il se saisit de mes avants-bras et les abaisse de maniĂšre Ă faire tomber mon masque. Face au sĂ©rieux de son expression, je suis incapable de tourner la tĂȘte, c'est Ă mon tour de me retrouver figĂ©e sur place. Sanji me sourit timidement et se rapproche de moi.
« Puis-je en avoir un autre ? »
« Unâžș Un quoi ? »
Il pointe ses lĂšvres de son index.
« Ohâžș »
Mon cĆur bat si vite dĂ©sormais... J'ai l'impression que des tambours palpitent en mon sein. RythmĂ©s et puissants, ils s'en vont jusqu'Ă faire trembler mes tympans, et faire tressaillir ma jugulaire.
« Jeâžș Je suppose. »
« Tu pourras travailler sereinement aprÚs, je te laisserai tranquille. »
« D'accord... »
Je me pose sur la pointe des pieds, et tandis que abaisse son visage dans ma direction.
Sanji m'embrasse.
Mes yeux se ferment et nos lĂšvres se touchent de nouveau, encore une fois dans un baiser si tendre et amoureux... Il s'est approchĂ© de moi, consciencieux, puis s'est emparĂ© de ma bouche, sans avoir cessĂ© de me contempler. Ăa n'a rien Ă voir avec un baiser sensuel, plein de vie voire empestants la luxure. Ici, non, c'est totalement diffĂ©rent. La maniĂšre dont Sanji tient mes poignets entre ses mains, celle dont il se colle Ă moi, sans pour autant se frotter. Il est entiĂšrement focalisĂ© sur notre Ă©change. SĂ»rement a-t-il lui aussi fermĂ© les yeux. Mes doigts se referment jusqu'Ă former des poings et mes sourcils se froncent. MalgrĂ© moi, je gĂ©mis contre lui, Sanji me rĂ©pond dans un grognement et, Ă cela, nos langues se frĂŽlent.
Il m'emporte ailleurs. Des portes s'ouvrent sur une toute autre dimension. Je sens le vent me caresser les cheveux, une chaleur me dévorer l'estomac et mes pieds se faire léger. Ce... C'est indescriptible. Je m'accroche à ce sentiment jusqu'à en redemander plus.
Sanji m'a fiĂ©vreusement embrassĂ©e. Lorsque je le force Ă se sĂ©parer de moi, il me laisse bouche bĂ©e. Je suis sans mot; haletante, le visage couvert de gĂȘne.
J'ai les yeux grands ouverts.
« Je croisâžș »
« Je vaisâžș »
Nos regards se croisent, puis, Ă l'unisson nous parlons :
« Toi d'abord ! »
Nous rions.
« Je.. je t'en prie ma douce. » déclare Sanji en relùchant mes poignets. « à toi l'honneur. »
« Jeâžș Je disais... Je vaisâžș Je vais retourner travailler ? » je balbutie, tant bien que mal.v« Enfinâžș Poster ma lettre ? Mon pĂšre doit attendre. Enfin non ! Le Martin facteur, je.. je veux dire. »
« Oui et, quant Ă moi jeâžș j'ai le dĂźner Ă finir de prĂ©parer. Alorsâžș »
« Oui ! »
« Oui, oui ! »
Sanji et moi Ă©changeons un coup d'Ćil. Un petit rire s'Ă©chappe de mes lĂšvres, il m'imite et cela me fait sourire, malgrĂ© le fait qu'il a l'air totalement paniquĂ©. Sanji est tout rouge. Ses joues sont rosies au possible, c'en est stupĂ©fiant. Plus je le regarde, et plus j'ai envie deâžș
Un grand fracas nous arrĂȘte.
Surpris, nous faisons volte-face en direction de l'entrĂ©e de la cuisine, lĂ oĂč la porte a violemment Ă©tĂ© ouverte. Celle-ci claque contre le mur. Une seconde plus tard, les silhouettes de notre capitaine et du canonnier y font leur apparition.
« Sanji ! » se lamente Luffy. « J'ai faim ! »
C'est mon signal. Jetant un dernier coup d'Ćil Ă Sanji, je presse le pas jusqu'Ă atteindre ma pochette sur la table. Il est Ă prĂ©sent bien trop occupĂ© pour me remarquer, c'est dommage... Ma pochette n'a pas bougĂ© depuis que je l'ai refermĂ©e. Elle y est abandonnĂ©e. Je la visse donc contre ma poitrine, Ă©vitant le regard lourd de suspicions de Usopp au passage et profite des plaintes poussĂ©es par notre capitaine pour prendre la poudre d'escampette. J'entends Sanji Ă©lever la voix et Luffy s'Ă©crier âžșplutĂŽt le supplierâžș, les deux ne tardent pas Ă se chamailler. Apprendre que Luffy s'est jetĂ© sur le frigo ne me surprendrait pas, il a toujours Ă©tĂ© un Ă©nergumĂšne sacrĂ©ment gourmand..
Je referme la porte de la cuisine derriĂšre moi et me dĂ©pĂȘche de descendre les escaliers menant au pont principal du Sunny. Ensuite, je fuis jusqu'Ă rejoindre ma chambre Ă coucher. C'est le cĆur battant Ă mille Ă l'heure et l'esprit embrumĂ© que je marche. La sensation des lĂšvres du joli blond imprimĂ©e dans ma tĂȘte, et la chaleur de ses doigts enroulĂ©s autour de mes poignets hantant mes souvenirs, je commencĂ© Ă sourire.
Il me tarde d'Ă©crire mon prochain article. Qui sait.. Peut-ĂȘtre que celui-ci lui sera dĂ©diĂ©..?
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