#maison montfort
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dreamconsumer · 5 months ago
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Anne de Bretagne par Regnault.
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maisons-et-chateaux · 8 months ago
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Montfort-l'Amaury, Yvelines.
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francepittoresque · 1 year ago
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PATRIMOINE | Le Belvédère, maison-musée de Maurice Ravel, raconte le compositeur ➽ https://bit.ly/Maison-Musee-Ravel En lisière de la forêt de Rambouillet, à Montfort-L’Amaury, la maison-musée dédiée au compositeur Maurice Ravel a reçu une donation historique. Gravures, buste en grès, peinture et correspondances... Depuis novembre 2023, la vie et l’oeuvre de l’auteur du Boléro se précisent
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gayvoyageur · 2 days ago
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Le Chat Luthier
En route pour la maison d'hôtes gay friendly Le Chat Luthier chez Fabrice & Pierre à Montfort-sur-Argens en Provence (83)! 🐈
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leblogdemarinaetjm · 20 days ago
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SAMEDI 21 DÉCEMBRE 2024 (Billet 3 / 4)
« RAVEL BOLÉRO »
Cité de la musique - Philharmonie de Paris
(Du 3 déc. 2024 au 15 juin 2025)
L’inconvénient de la Cité de la musique, c’est qu’elle est à l’opposé de chez nous. Il ne faut pas moins de 45-50 minutes pour nous y rendre et encore quand il n’y a pas de problème sur les Lignes de Métro (2 changements et 3 Lignes entre les stations Javel André Citroën et Porte de Pantin). De plus, le XIXe n’est pas notre arrondissement préféré (et c’est un doux euphémisme), quant à la Cité elle-même, si l’acoustique des salles de concert est parait-il remarquable (nous ne sommes suffisamment mélomanes pour en juger), nous trouvons le hall d’accueil et les espaces de circulation d’une froideur digne des décors choisis par Jacques Tati dans Playtime. En plus, les extérieurs mériteraient un sérieux ravalement.
Mais bon, rien à dire, sauf des compliments, sur la partie réservée aux Expositions temporaires du Musée de la Cité de la musique que nous connaissions déjà.
Si vous décidiez de venir, avant toute chose, une recommandation TRÈS IMPORTANTE : réservez au début d’une heure (midi, 13h, 14h, etc.) et arrivez avec au moins 10 minutes d’avance pour vous positionner dans la file d’attente pour être bien placés car la visite commence par la projection d’un film d’environ 18 minutes, absolument ÉPOUSTOUFLANT !
Il s’agit de la mise en image, dans un dispositif cinématographique incroyable, de l’interprétation du Boléro par l’Orchestre de Paris, dirigé par Klaus Mäkelä. Des gros plans somptueux, une utilisation virtuose de l’effet « split screen » (écran divisé), une qualité sonore « prodigieuse »… On finit par être littéralement envoutés par le crescendo musical. Nous n’avions jamais entendu/vu le Boléro de cette façon, une « expérience » que nous ne sommes pas près d’oublier.
Ne serait-ce que pour ce film, cela vaut la peine de venir voir cette Exposition !
Mais 2 reproches :
une petite brochure en vente à la boutique aurait été la bienvenue, le « livre » de l’Expo est très beau mais il est cher
et la « bande-annonce » de l’Expo, censée attirer des visiteurs (voir ci-dessous), est de notre point de vue trop courte. 30 secondes de plus aurait été parfait !
Ci-après deux textes qui étaient notés sur les murs de l’Expo et un petit reportage photo, non-exhaustif bien sûr. Tout au long du parcours, des écrans diffusent de courts extraits d’œuvres inspirées du Boléro : films, concerts et un florilège de ballets dansés par des Japonais, des Africains, des Américains, des Français… PA-SSIO-NANT !
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Le boléro incarne à lui seul, presque toutes les caractéristiques de la personnalité et de la production de Maurice Ravel (1875-1937). Sous la forme d’une exposition dédiée à l’étude rayonnante de cette œuvre, la Philharmonie de Paris célèbre le 150e anniversaire de la naissance du compositeur et livre un portrait de l’artiste en forme de kaléidoscope.
Monument de l’histoire de la musique, cette œuvre est pourtant paradoxale, tant pour Ravel que pour le public. « Mon chef-d’œuvre ? Le boléro, bien sûr ! Malheureusement, il est vide de musique », écrivez le compositeur en 1928. Cette remarque à la fois provocante et espiègle masque un coup de génie : avec une économie extrême de moyens, un ostinato rythmique, deux motifs mélodiques, un crescendo orchestral et une modulation inattendue, Ravel crée un chef-d’œuvre universel, fruit d’une réflexion musicale radicale.
Le parcours propose une expérience audiovisuelle saisissante, en même temps qu’il réunit des objets patrimoniaux (parfois intimes) issus des collections françaises les plus prestigieuses, notamment de la maison-musée Ravel à Montfort-l’Amaury, où fut composé le Boléro
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Dès sa création scénique, le Boléro connaît de multiples relectures musicales dans des styles variés, de l’orchestre jazz de Ray Ventura (1938) au trio de Jacques Loussier (1999), du mambo au reggae ou au metal.
Sur le plan chorégraphique, les versions se succèdent : Michel Fokine (1935) et Serge Lifar (1941) s’emparent du Boléro, mais une interprétation fait date, celle de Maurice Béjart (1961), qui connaît cinq versions différentes. Jorge Donn, Nicolas, Leriche ou Sylvie Guilhem s’y illustrent. Plus récemment, on note la version collective de Thierry Malandain (voir le dernier Billet – NDLR du Blog).
Depuis l’entrée du Boléro au cinéma en 1934, avec le film éponyme mettant en scène deux stars de l’époque, Georges Raft et Carole Lombard, nombreux sont les réalisateurs ayant utilisé l’œuvre en contrepoint des images : Kurosawa avec « Rashomon » (1950), Claude Lelouch, pour « Les uns et les autres » (1981), Patrice Leconte dans « Le batteur du Boléro » (1992), jusqu’au récent « Boléro » d’Anne Fontaine (mars 2024).
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Cité de la musique - Philharmonie de Paris
221 av. Jean Jaurès, 75019
Horaires :
Du mardi au vendredi de 12h00 à 18h00​ Le samedi et le dimanche de 10h00 à 18h00
Fermeture le 25 décembre, le 1er janvier et 1er mai.
Tarif plein : 11 € / Gratuit – 12 ans
Réservation sur le Site :
Visite Ravel Boléro | Philharmonie de Paris
Métro : Porte de Pantin (Ligne 5)
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actu-juridique · 1 month ago
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Les affaires criminelles des Yvelines : Roger Lesimple, le « turfiste enragé »
https://justifiable.fr/?p=2170 https://justifiable.fr/?p=2170 #affaires #criminelles #des #enragé #les #Lesimple #Roger #turfiste #Yvelines « Lesimple écrasait la tête de ses victimes à coups de bûche ou de pilon », titre en 1948, le journal Ce Soir. Roger Lesimple, 31 ans au moment des faits, a tué deux personnes à quelques jours d’intervalle pour quelques milliers de francs… Guillotiné en 1951, il a fait partie des condamnés à mort sélectionnés pour des essais de greffe de rein en France. Roger Lesimple a 31 ans lorsqu’il est arrêté à la Villette par l’inspecteur chef, Arnal et ses collègues, Godot et Deplanque. Lors d’un long interrogatoire, il avoue deux crimes, pour un gain de 6 900 francs. Le premier remonte au 22 décembre 1947. « À l’époque, Lesimple était garçon de ferme à Jumeauville, près de Montfort (Seine-et-Oise), relate le journal Ce Soir. Il avait un « tuyau » épatant aux courses. Il voulait jouer, mais il n’avait pas d’argent. Son camarade Blanchard, lui, avait un portefeuille plein de billets de « mille ». Le soir, Lesimple saisit Blanchard à la gorge avec ses deux grosses mains et il acheve sa victime en lui écrasant la tête avec le pilon à broyer les betteraves. Ce crime lui rapporta 6 000 francs. » Deux jours après, il est à Egly, près d’Arpajon. « Là, dans une baraque en planches, une vieille dame, Mme Lécureuil, 65 ans, élevait des poules et des lapins. Lesimple s’introduisit la nuit dans le local en brisant le carreau d’une fenêtre. Au bruit, la sexagénaire s’éveilla et se dressa sur sa couche. » Elle se mit à crier. Pour la faire taire, il lui tire une balle en pleine poitrine. «  Mais elle continuait à gémir, dit le bandit. Je l’ai achevée à coups de bûche » ! Son corps est découvert quatre jours plus tard, dévoré par les rats et les poules. Le gain pour Lesimple : 900 francs. Pensant à une mort naturelle, le corps est inhumé. Ce n’est qu’avec les aveux de Lesimple lors de son arrestation que l’assassinat put être reconnu. Surnommé « écumeur de la banlieue », il tente également en janvier de braquer un fermier à Trilport et un café sur les bords du canal de l’Ourcq à Aulnay. Puis « quelques fric-frac dans la région de Rosny et de Bondy », avec des cambriolages dans des maisons inhabitées. Maître Tiercin à la défense Mars 1950, Roger Lesimple est jugé devant les assises de Seine-et-Oise, à Versailles. Il est défendu par Maître Tiercin, du barreau de Versailles. On retrouve peu d’informations sur cet avocat dans les archives de la presse. Son nom apparaît dans une seconde affaire de la même époque, aux côtés de Maître Genty, pour défendre André Félix en 1949. Durant ce que le journal Le Combat appelle « le procès du satyre de Rueil », André Félix est accusé d’avoir violenté plusieurs femmes. Surnommé « le vampire », il avoue avant de se rétracter, « en expliquant qu’athlète complet, il n’en avait pas moins été pris d’une terreur panique devant l’appareil de la justice » (Ce Soir, 14 avril 1949). Il est relaxé au bénéfice du doute. Maître Tiercin apparaît ensuite dans l’affaire du « châtelain-gangster » en 1952, avec Maître Aubert et Maître Raoult. Tous les trois défendent Daniel Touche et ses complices pour de nombreux faits d’agressions et de cambriolages à Saint-Cloud. Ou encore pour la défense d’un homme accusé d’homicide involontaire : « Un coup de chance malheureux, qu’il décocha, le 24 septembre 1950, vers 21 h 45, à un jeune ivrogne, qui s’accrochait à lui, l’amène, aujourd’hui, devant les jurés de Versailles. �� Mars 1950, le procès à Versailles L’édition du 10 mars 1950 de Ce Soir fait un compte rendu du premier jour du procès de Roger Lesimple : « Tout au début de l’interrogatoire, le tueur a tenté d’expliquer d’une voix faible son enfance malheureuse. En fait, ces explications ont été fournies au jury par le président Pihier, l’accusé ne répondant que par monosyllabes. » Dans L’Humanité du même jour, il est fait état d’un « remords tardif », d’après le journaliste. « J’ai fait des aveux, car j’ai voulu libérer ma conscience », dit-il tout de même à l’audience. Lesimple est « une épave ». « Son père, gazé de guerre, est mort quand il avait 6 ans. Puis il a perdu sa mère. Repoussé de tous, il a volé à plusieurs reprises. » À plusieurs reprises dans la presse, les journalistes s’arrêtent sur ses mains : « Des mains énormes, des mains d’étrangleur. » Le contexte de son enfance ne change rien au verdict : Roger Lesimple est condamné à mort pour l’assassinat de Mme Lécureuil, et aux travaux forcés à perpétuité pour celui d’Aimé Blanchard. L’avocat général Furter avait pourtant « réclamé au jury une nouvelle condamnation au châtiment suprême. » (L’Aurore, 11 mars 1950). « Cela n’empêche pas Me Tiercin, son défenseur, de tenter de remonter le courant en faisant valoir que, malgré l’opinion des psychiatres, son client n’est pas, ne peut pas, être normal. Et son appel à la pitié n’est pas vain puisque, cette fois, le jury accorde des circonstances atténuantes à Lesimple. » Pour la tentative d’assassinat contre M. Corbrion de Trilport, il est condamné aux travaux forcés par les assises de la Seine-et-Marne, en novembre 1950. L’exécution, et une tentative de greffe d’organe Sans l’obtention de la grâce présidentielle, Roger Lesimple n’échappe pas à sa première condamnation. Il est guillotiné dans la cour de la prison de la Santé, sous le couperet d’Henri Desfourneaux, exécuteur en chef des arrêts criminels. Des essais de transplantation de reins sont alors réalisés par les pionniers de la médecine, René Küss, Charles Dubost et Marceau Servelle, après prélèvement sur les corps de plusieurs condamnés à mort en 1951, une première en Europe. Roger Lesimple en fait partie, sans qu’il ait donné son consentement au préalable. « Malheureusement, écrit le journal Paris-Presse le 24 janvier 1951, au cours des opérations préparatoires on s’aperçut que le supplicié était atteint d’une maladie du sang qui interdisait de poursuivre plus avant la tentative »… https://www.actu-juridique.fr/penal/les-affaires-criminelles-des-yvelines-roger-lesimple-le-turfiste-enrage/
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antigonegone · 10 months ago
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Pour étirer mes plumes et retrouver mes ailes, rien de tel que Ravel. C’était un grand compositeur, pas reconnu par les (vieux) professionnels de la profession à son époque, ainsi il a échoué à plusieurs reprises au prix de Rome. Il a refusé la légion d’honneur, une forme d’arroseur arrosé, l’Etat a payé et lui avait donné du haut de son 1m52 comme ambulancier pendant la 1ere guerre mondiale. Un film sur sa période Boléro vient de sortir signé Anne Fontaine. A voir rien que pour les scènes tournées au Belvédère sa maison située à Montfort L’Amaury. Et toute l’année des concerts des disques lui rendent hommage. Lundi c’était fabuleux salle Cortot. Philippe Bianconi qui a sorti une quasi intégrale de sa musique de piano chez Dolce Volta en 2023 a joué miroirs. Son toucher était multiple, il donnait à voir tous les instruments de l’orchestre. Le piano n’était pas que percussions, les couleurs les nuances les ambiances se sont succédé doucement, dans un quasi silence. Ravel composait pour piano puis l’orchestration venait ensuite (le Tombeau de Couperin…).
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germignylexempt · 2 years ago
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L'église de Germigny-l'Exempt passée aux rayons X
L'universitaire Emmanuel Legeard a consacré un volume entier à cet édifice des XIIe et XIIIe siècles. L'historien analyse son architecture, ses sculptures et les situe dans leur contexte historique et religieux. Ses six essais, qui se complètent, plongent d'abord le lecteur dans les intrigues politiques complexes entre les grandes maisons de province et la couronne de France, qui cherche à affermir son autorité, en utilisant l'autorité spirituelle conférée par l'église, sous prétexte d'instaurer la paix de Dieu.
Ces jeux de pouvoir sont à l'origine de la construction de l'église de Germigny, qui scelle l'alliance entre les Bourbon et Louis VI, et dont la monumentalité évoque la puissance royale. Mais la partie centrale de l'ouvrage est consacrée à un bas-relief légèrement postérieur qui constitue une autre singularité de l'église. Il met en scène les rois mages et notamment Gaspard qui brandit trois pièces d'or. Trois pièces lourdes de sens puisqu'elles font référence à la fois à l'Eucharistie et aux croisades, aussi bien celles visant à la reconquête des lieux saints que celle contre l'hérésie cathare en Languedoc.
Après la politique des seigneurs, Emmanuel Legeard explore celle de l'Église, la réforme grégorienne et l'implication de guerriers pieux comme le fameux Simon de Montfort, qui n'a eu de cesse de défendre l'Église les armes à la main. Tout au long de cet ouvrage, Emmanuel Legeard fait preuve d'une érudition sans faille. Comme toujours pour le Moyen Âge, les sources étant parcellaires (on ignore, par exemple, la date exacte de la construction de l'église de Germigny), l'auteur émet des hypothèses. Mais celles-ci sont toujours parfaitement étayées et acquièrent sous sa plume la force de l'évidence, si bien que le lecteur a l'impression d'assister à la scène finale d'un roman policier lors de laquelle le détective relie tous les indices qui lui ont permis d'avoir le fin mot de l'énigme. Un livre pointu mais passionnant.
Frédéric Merle
Germigny-L'Exempt ou Les Trois Deniers de Gaspard. Emmanuel Legeard. Éd. L'Harmattan. 2022. 20,50€.
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yaznomadeurbain · 4 years ago
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Quel Foie Gras, si vous avez oublié de vous en procurer, l’idée Gourmande du jour (23/24), le sud-ouest express et savoureux !
Quel Foie Gras, si vous avez oublié de vous en procurer, l’idée Gourmande du jour (23/24), le sud-ouest express et savoureux ! #ComtesseduBarry @Maison_Montfort @MaisondelaTruffe @Monoprix #LaBonneFoie
Sucrées, salées ? La période de Noël est faste en douceurs, gourmandises simples ou sophistiquées, l’important est le plaisir de nos palais. Je vous présente donc chaque jour une idée gourmande pour les apéros, les repas ou les desserts de fêtes. Vous avez oublié le foie gras ? Pas le temps d’aller chez le petit artisan du coin ou commander un produit chez le producteur. Voici quatre offres…
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roehenstart · 2 years ago
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Francis II of Brittany.
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justforbooks · 4 years ago
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Joseph Maurice Ravel was born on March 7, 1875. He was a French composer, pianist and conductor. He is often associated with impressionism along with his elder contemporary Claude Debussy, although both composers rejected the term. In the 1920s and 1930s Ravel was internationally regarded as France's greatest living composer.
Born to a music-loving family, Ravel attended France's premier music college, the Paris Conservatoire; he was not well regarded by its conservative establishment, whose biased treatment of him caused a scandal. After leaving the conservatoire, Ravel found his own way as a composer, developing a style of great clarity and incorporating elements of modernism, baroque, neoclassicism and, in his later works, jazz. He liked to experiment with musical form, as in his best-known work, Boléro (1928), in which repetition takes the place of development. Renowned for his abilities in orchestration, Ravel made some orchestral arrangements of other composers' piano music, of which his 1922 version of Mussorgsky's Pictures at an Exhibition is the best known.
A slow and painstaking worker, Ravel composed fewer pieces than many of his contemporaries. Among his works to enter the repertoire are pieces for piano, chamber music, two piano concertos, ballet music, two operas and eight song cycles; he wrote no symphonies or church music. Many of his works exist in two versions: first, a piano score and later an orchestration. Some of his piano music, such as Gaspard de la nuit (1908), is exceptionally difficult to play, and his complex orchestral works such as Daphnis et Chloé (1912) require skilful balance in performance.
Ravel was among the first composers to recognise the potential of recording to bring their music to a wider public. From the 1920s, despite limited technique as a pianist or conductor, he took part in recordings of several of his works; others were made under his supervision.
Ravel declined not only the Légion d'honneur, but all state honours from France, refusing to let his name go forward for election to the Institut de France. He accepted foreign awards, including honorary membership of the Royal Philharmonic Society in 1921, the Belgian Ordre de Léopold in 1926, and an honorary doctorate from the University of Oxford in 1928.
After Ravel's death, his brother and legatee, Edouard, turned the composer's house at Montfort-l'Amaury into a museum, leaving it substantially as Ravel had known it. As of 2018 the maison-musée de Maurice Ravel remains open for guided tours.
In his later years, Edouard Ravel declared his intention to leave the bulk of the composer's estate to the city of Paris for the endowment of a Nobel Prize in music, but evidently changed his mind. After his death in 1960, the estate passed through several hands. Despite the substantial royalties paid for performing Ravel's music, the news magazine Le Point reported in 2000 that it was unclear who the beneficiaries were. The British newspaper The Guardian reported in 2001 that no money from royalties had been forthcoming for the maintenance of the Ravel museum at Montfort-l'Amaury, which was in a poor state of repair.
Daily inspiration. Discover more photos at http://justforbooks.tumblr.com
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dreamconsumer · 5 months ago
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Jean IV Duc de Bretagne.
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furiefrancaise · 4 years ago
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Un camarade ayant passé 7 années dans les Forces spéciales a accepté de répondre à des questions (sans langue de bois), nous l’en remercions!
-Salut,  présente-toi...
Puisqu’on ne se connaît pas je me présente, je suis un Monsieur.  Plus sérieusement, je suis un jeune entrepreneur (salut à toi), je  dirige deux sociétés dans l’industrie textile, également gérant d’un  Domaine oléicole et d’événementiel en Provence et accessoirement j’ai  passé sept ans dans la marine nationale au sein des forces spéciales. Je continue à appliquer, transmettre et entretenir ce savoir-faire pour  des missions privées, certaines rémunérées d’autres pour les idées. La  dernière en date : le Haut-Karabakh.
- Peux-tu nous parler de ton passé de militant politique ? Quelles  furent les raisons de ton engagement ?
J’ai le GUD dans la peau comme l’illustre un tatouage que je porterai  jusqu’au Valhalla si je ne perds pas ma jambe illuminée par ces trois  lettres en caractère gothique d’ici là... Blague à part, mon engagement de jeunesse dans la mouvance nationaliste  révolutionnaire est la continuation logique de celui de mon père en ses  jeunes années, car je l’ai toujours considéré comme un modèle d’homme et  par conséquent un exemple à suivre.  Et puis quand on voit ce qu’il y a en face, ce qui m’a pousser à  défendre le bon côté c’est avant tout la « Cuestión de estética ».
-À quel âge décides-tu de rejoindre l'armée française ? Pourquoi ?
Je me suis engagé dans l’armée à 16 ans, en intégrant l’école des  mousses après une pré-adolescence un peu turbulente et très itinérante  où je me suis fait renvoyer d’à peu près tous les collèges et autres  pensions dans lesquelles j’atterrissais, à chaque fois pour assez peu de  temps...  Après une fugue un peu plus longue et turbulente que les autres où j’ai  fait mon petit remake pré-pubère d’orange mécanique sur le pavé parisien  avec ma bande de droogies à croix celtique, je me suis fait rattraper  par la maréchaussée, une batte ensanglantée dans la main avec comme  perspective d’avenir immédiate la prison pour mineur. Je commençais à devenir vraiment ingérable alors en sortant de garde à  vue, mon père en a eu ras le bol de me voir me complaire dans mon rôle  de cancre bagarreur professionnel : il a décidé que mes gitaneries  étaient finies et en conséquence, a organisé un dîner avec un de ses  amis qui a joué le rôle d’un proto Pascal le grand frère en plus street  cred’, cet éducateur musclé à la mandale aussi facile que la queue de  détente, est un homme qui est aujourd’hui mon parrain de cœur et de béret vert, également mon associé ; Marco. Un ancien commando marine,  légende vivante de Lorient aujourd’hui devenu condottiere des temps  modernes.  « La prison ou l’armée, tu choisis. » C’est comme ça qu’il m’a frontalement posé le défi.  L’École de la rue à Paname où l’école du crime à Lorient  J’ai choisi la deuxième option.  Pour la semaine.  Et la première, pour les perm’s.  Au final je suis allez au bout des deux ; du Commando de Montfort  jusqu’à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis.
- Intégrer les Forces Spéciales, c'était ton objectif premier ? Ou bien  est-ce plus une opportunité que tu as saisi par la suite ?
Je suis un absolutiste. Dieu vomi les tièdes. Je n’ai jamais envisagé rien d’autre que de servir au sein d’une unité  des forces spéciales. Déjà parce que Marco m’avait posé le défi, je me devais donc de le  relever après une parole d’homme donnée et ensuite parce que je n’ai jamais envisagé l’échec ; et en cas d’échec à Lorient, j’aurais de toute façon tenté d’intégrer une autre unité des forces spéciales ou des services spéciaux et ce jusqu’à ce que je réussisse ou que je sois définitivement réformé, médicalement parlant.
-Un souvenir marquant lors du mythique stage co ?
Oui, un mot de la devise de la république qui prend tout son sens là bas : égalité. Au département Commandos, pas de passes droits.  D’ailleurs, j’ai une petite anecdote à ce propos, les deux fils d’un célèbre instructeur, Marius, faisaient partie de mon stage commando, eh bien en dépit de leur ascendance ils ont échoué.  Là-bas l’égalité n’est pas un vain mot. Au fond de la cuve à 4°, peu importe d’où vous venez, qui sont vos parents, qui vous êtes, ce qui compte c’est ce que vous faites, vous réussissez ou vous échouez. Au stage commando de Lorient c’est peut-être l’un des seuls endroits de France où le mot égalité n’est pas qu’un paravent de belles idées creuses servant à décorer les frontispices des édifices publics.
- As-tu été fréquemment déployé sur des théâtres d'opérations extérieures ? Peux-tu nous dire dans quels pays ?
Je suis tenu au confidentiel défense jusqu’en 2022, d’où mon anonymat.  Je peux simplement vous dire que je suis parti en mission plusieurs fois en Afrique et au Moyen-Orient, principalement.
- Peux-tu nous raconter comment tu as vécu lors de tes missions, sur le plan physique, mental, psychologique ?
D’un point de vue physique, j’ai assez mal vécu la digestion de la gastronomie locale pour le moins baroque, et l’absence complète du beau sexe européen est toujours pesante pour le guerrier qui aspire naturellement à tirer un coup après en avoir tiré plusieurs...
- La mort est un risque pour un soldat, encore plus pour un FS. As-tu réussi à te faire à cette idée ? Comment ?
Il y a une phrase tirée du film l’Armée des ombres du grand Melville, adaptation du roman de Kessel qui pourrait à peu près résumer ma pensée à ce propos:  « C'est impossible de ne pas avoir peur quand on va mourir. C'est parce que je suis trop borné, trop animal pour y croire. Et si je n'y crois pas jusqu'au dernier instant, jusqu'à la plus fine limite, je ne mourrais jamais. Quelle découverte ! Et comme elle plaîrait au patron ! » La mort, à donner ou à recevoir fait parti du métier, c’est le jeu.  Quand on signe on le sait ou alors on s’abstient.  Mais il y a une différence entre savoir et comprendre.  Et comme le disait Eschylle, c’est une loi, souffrir pour comprendre.  Dans l’abstrait, dans la fougue et l’inconscience de la jeunesse ardente post adolescente, la mort n’existe pas tant qu’on n’a pas dansé avec elle en collé-serré.  Elle peut-être très légère pesant seulement quelques grammes d’acier me frôlant la tête à 720 mètres secondes sortant de la bouche d’une kalash, ou plus lourde comme les cercueils drapés de tricolore dans lesquels reposent les copains qu’on veille pendant toute une nuit sans sommeil, sans paroles, ça c’est une réalité concrète, une piqure de rappel qui nous fait comprendre qu’elle est là.  On le sait. On n’en parle pas.  Pour faire ce qu’on fait, on est bien obligé de ne pas trop y penser autrement ce serait totalement paralysant.  Dans l’action, seule la rage de vivre donc de vaincre compte.  En puis de toute façon : « Viva la Muerte! »
- Quel regard portes-tu sur ces 7 années d'engagement ?
J’ai connu le meilleur comme le pire. Je n’ai aucun remords, aucun regrets, il n’y a que là-bas qu’on peut vivre de telles aventures dans notre petit monde moderne aseptisé, alors si c’était à refaire, je le referai, sans aucune hésitation.  J’ai rencontré des hommes exceptionnels, des frères d’armes mais aussi des types d’une médiocrité humaine insondable. J’ai connu les grandeurs mais aussi les servitudes de la vie militaire.  Une chose est sûre, être dans l’institution c’est forcément limitant, il y’a toujours un plus gradé au dessus de vous, c’est le concept même de l’armée. Maintenant, j’ai enfin retrouvé ma liberté.
- Que fait un FS quand il retourne à la vie civile ?
Il va aux putes où il va voir sa femme. Parfois, les putes des uns sont les femmes des autres. C’est pas pour rien qu’il y a toujours un ascenseur et une cage d’escalier.  La guerre à toujours fait plus de cocus que de morts !
- Un mot pour ceux qui comme toi seraient tentés par cette aventure ?
Bonne chance.
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haitilegends · 4 years ago
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Haïti Legends ''Sa Nou Dwe Konnen''
Jean Emmanuel Jabouin '' Premier Trompettiste du Compas Direct''
Biographie
Louis Carl St-Jean.
De son vrai nom Jean Emmanuel Jabouin, Talès a vu le jour à la Croix-des Bouquets le 24 juin 1930. Il est le fils du Cayen Emmanuel Jabouin, ancien fonctionnaire de l’administration publique, et d’Indiana Victor, originaire de la Croix-des-Bouquets. À l’âge de 3 ans, Talès est frappé par la fièvre typhoïde, qui le laisse avec une légère paralysie des jambes. Peu après sa guérison (vers quatre ou cinq ans), il commence à manifester un intérêt pour la musique. Non sans rire, il raconte: « Je prenais plaisir à m’asseoir sur la « manoumba » lorsque les troubadours qui venaient se produire presque toutes les fins de semaine dans la cour de la maison de mes parents prenaient leur pause… Ces exécutants eux-mêmes prenaient plaisir à me regarder pincer les lames de cet instrument qui était plus grand que moi. »
En 1937, la mère de Talès déménage et s’installe avec son fils à la rue du Champ-de-Mars, presque au coin de la rue de l’Enterrement, au cœur du Morne-à-Tuf. La maison voisine est celle des époux Augustin Baron où se produit souvent le légendaire pianiste et musicien François Alexis Guignard (dit Père Guignard). En cours de semaine, il fabrique, avec des tiges de papaye, des saxophones qu’il joue, assure-t-il, avec la plus grande joie pour les voisins. En octobre 1941, Talès est admis à l’Ecole Centrale des Arts et Métiers où il apprend la musique et la trompette sous la direction du maestro Augustin Bruno.
En juillet 1947, Talès, frais émoulu de la Centrale, fait ses débuts avec l’Ensemble Anilus Cadet, dont le QG se trouve à la rue de l’Enterrement, en face de l’Hospice Saint François de Sales. Il joue alors à côté de Fritz Ferrier, d’Issalem « Sonson » Bastien et d’autres exécutants qu’Anilus recrutait au besoin. En septembre 1949, Talès occupe l’un des dix pupitres du Jazz des Caraïbes. C’est cet orchestre, monté par Issa El Saieh, qui, en février 1950, accompagne Daniel Santos, Estela « Tete » Martinez et d’autres stars latinoaméricaines de passage au « Simbie Night Club », au « Vodou Night Club » et dans d’autres boîtes de nuit port-au-princiennes. Nous tenons de lui cette confidence pour le moins étonnante: « C’est au sein de l’Orchestre des Caraïbes que je peux retracer mes meilleurs souvenirs sur la scène musicale… » Après la dislocation de ce dixtuor, Talès s’associe de nouveau au groupe d’Anilus Cadet, qui obtient le deuxième prix du carnaval de 1951 pour la méringue « Bèl carnaval ». (Le premier prix a été décerné à TI-TA-TO.)
À la même époque, Talès, Emmanuel Duroseau fils (piano), Montfort Jean-Baptiste (contrebasse), Louis Denis (batterie) et Marcel Jean (tambour) vont prêter leurs talents à Guy Durosier, qui, sur la recommandation d’Issa El Saieh, dirige l’Ensemble Tabou, le sextette de l’Hôtel Rivoli (Pétionville). Au cours de la même période, Talès accompagne dans les quatre coins du pays le troubadour Nicolas « Candio » Duverseau, grand chantre du magloirisme. Il joue aussi dans d’autres groupements d’occasion qui animent des pique-niques dominicaux et des soirées dansantes organisées le plus souvent par Stanislas Henry et Antoine Dextra à Carrefour Marin, commune de la Croix des Bouquets.
À la fin de 1951, Talès adhère à l’Orchestre Atomique Junior, monté par Nemours Jean-Baptiste après sa séparation de l’Orchestre Atomique. Au cours de l’année 1952, le groupe de Nemours est dissous. Immédiatement le bouillant maestro est appelé à diriger l’Orchestre Citadelle. Lorsqu’Hector Lominy se sépare de cet orchestre, Talès y est engagé pour seconder Jean Moïse. Véritable bûcheur, Nemours met sur pied parallèlement un petit groupement pour « faire la côte », selon l’expression de l’époque. Avec Dérico (chanteur), Webert Sicot (saxophone alto), Gérard Dupervil (trompette), son frère Montfort Jean-Baptiste ou parfois Augustin Fontaine (contrebasse), Hilaire ou parfois « Bibiche » (batterie) et d’autres musiciens, il sillonne par monts et par vaux les coins et recoins de la République, spécialement pour animer des fêtes champêtres.
En novembre 1953, Talès prend le chemin du Casino International et s’associe au Conjunto Panamerican dirigé par le trompettiste Emile D. Dugué. Il évolue alors aux côtés d’Ulysse Cabral (chanteur), Julien Paul (contrebasse), Charles Dessalines (saxophone alto), Gabriel Dasque (tambour), etc. Environ six mois plus tard, Talès s’écarte de ce groupe pour aller remplacer Kesnel Hall dans l’Orchestre Atomique, placé alors sous la baguette du pianiste Robert Camille. Il y passe moins de six mois et regagne l’Orchestre Citadelle pour succéder à Gesner Domingue.
Vers la fin de 1954, Nemours Jean-Baptiste, toujours maestro de l’Orchestre Citadelle, fonde le Conjunto International. Pour l’aider à égayer les clients des restaurants dansants de Jean Lumarque, dont l’un à Kenscoff, l’autre à Carrefour, il invite plusieurs musiciens, dont Talès à la trompette, à participer dans cette merveilleuse aventure : Dérico (chanteur), Mozart Duroseau (accordéon), Montfort Jean-Baptiste (contrebasse), Webert Sicot (saxophone alto), parfois Gary Labidou (saxophone alto) et Kreutzer Duroseau (tambour). Le 22 mars 1955, après les travaux d’agrandissement et d’aménagement du night club « Aux Calebasses » à Carrefour, « Le Conjunto » devient officiellement « Ensemble Aux Calebasses ». Il convient de rappeler que la date du 26 juillet 1955 a été symboliquement retenue comme celle de la fondation de la formation musicale de Nemours Jean-Baptiste, ancêtre, donc, du compas direct. Talès en sera le premier et unique trompettiste jusqu’à l’arrivée de Walter Tadal en 1956.
Lorsque, en septembre 1958, Nemours quitte « Aux Calebasses » pour aller se produire au « Palladium Night Club », de Sénatus Lafleur, il baptise son groupe de son nom: Super Ensemble Nemours Jean-Baptiste. « Alors, affirme Talès, prendra naissance le compas direct », genre musical dont il a été l’un des grands artisans, de concert avec Walter Tadal, Raymond Gaspard, Julien Paul, Louis Lahens, André Boston et de bien d’autres musiciens. Là-dessus, il sied d’entendre la voix de Talès pour mieux nous renseigner: « Quand on parle de compas direct, il faut avouer que Kreutzer Duroseau a été le véritable catalyseur de ce mouvement … Richard Duroseau représente l’âme même du compas direct… » (Entrevue avec Louis Carl Saint Jean, 22 octobre 2005.)
Le 5 juillet 1964, le Super Ensemble Nemours Jean-Baptiste entame une tournée aux Etats-Unis. Le 22 septembre, date du retour du groupe en Haïti, notre trompettiste, en parfait accord avec Nemours, fait ses adieux au compas direct. Il est remplacé par le brillant trompettiste jérémien Emilio Gay. Dès le début de l’année 1965, Talès entame sa carrière aux Etats-Unis. Sur la recommandation de l’excellent saxophoniste Charles Dessalines, il intègre « Los Ases del Sesenta » qui jouent à Broadway Cafe, Myrtle Avenue, Brooklyn. Il y restera jusqu’en mars – avril 1977. Moins d’un mois plus tard, il entre au Conjuto du chanteur cubain Monguito Guillan (dit « El Unico ») où évolue également le contrebassiste Fritz Grand-Pierre. Par la suite, Talès et Raymond Marcel jouent tantôt avec ''Enrique Rosa y La Sabrosa'' tantôt avec Johnny Dupre y su Orquesta Internacional. En 1980, Talès met fin à sa carrière musicale après avoir passé deux merveilleuses années au sein du groupe du chanteur dominicain Rafael Batista.
À part d’avoir été un talentueux trompettiste, Talès a également été un analyste fin et lucide de la question musicale haïtienne. S’il reconnaît en Nemours Jean-Baptiste « un maestro extraordinaire et un grand visionnaire », ses musiciens préférés ont toujours été : Antalcidas O. Murat, Guy Durosier, Murat Pierre, Michel Desgrottes, Raoul Guillaume, Richard Duroseau et Webert Sicot. D’ailleurs, comme Nemours Jean-Baptiste lui-même, Talès a toujours vu en Antalcidas Murat « un maître ». En outre, il n’a jamais passé par quatre chemins pour affirmer : « Je suis Haïtien avant d’être musicien […] C’était un honneur pour moi d’avoir joué dans le groupe de Nemours pendant près de quinze ans. Cependant, je dois avouer que le Jazz des Jeunes était, de loin, le plus grand ensemble musical du pays… C’est le Jazz des Jeunes qui jouait la vraie musique du pays... » (Entrevue avec LCSJ, 25 octobre 2005). Hubert François, Jean Moïse, Alphonse Simon, Raymond Sicot et André Déjean ont été ses idoles parmi nos trompettistes.
Si Talès était connu comme un très bon musicien, il jouissait aussi de la réputation d’un excellent père de famille. Tandis qu’il menait sa carrière de musicien, il a travaillé comme barbier pendant plus de deux décennies dans un salon de coiffure situé à Sterling Place, à Brooklyn. Il a ainsi assuré l’éducation de quatre merveilleux enfants que lui a donnés sa femme Denise Frédéric Jabouin qu’il a épousé en 1953: Reynald Jabouin, docteur en médecine (décédé à New York en janvier 2015); Patrick Jabouin, agent immobilier et docteur en Théologie; Fanya Jabouin Monnay, docteur en thérapie conjugale et familiale et Jean Emmanuel Jabouin, Jr., MBA en Marketing.
Après avoir parcouru sans naufrage notre espace immense, Talès se repose de ses œuvres merveilleuses depuis le 3 octobre 2015 au Forest Lawn Cemetery, à Fort Lauderdale, en Floride. Pour son émule Raymond Marcel: « Talès repésentait le modèle de l’ami fidèle... La sonorité suave de son jeu avait fait de lui l’un de nos meilleurs trompettistes. » De son côté, son ancien camarade Serge Simpson, deuxième accordéoniste et premier et unique vibraphoniste du Super Ensemble Nemours Jean-Baptiste, a salué en lui: « Un homme d’un comportement exemplaire. Le jeu de Talès à la trompette, poursuit Simpson, reflétait deux qualités rarement réunis chez une seule personne: la discipline et la bonne humeur. J'ai toujours gardé un grand respect pour ce musicien... » Puisse le nom de Jean Emmanuel Jabouin rester gravé à jamais dans la mémoire de tous ceux qui ont aimé la musique haïtienne en général, le compas direct en particulier. Ce n’est qu’un au revoir, Talès! Ce n’est qu’un au revoir!
Auteur:
Louis Carl Saint Jean
4 octobre 2015
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uneminuteparseconde · 5 years ago
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Des concerts à Paris et alentour en gras : les derniers ajouts :-: in bold: the last news Février 25. Paint Fumes + Os Noctàmbulos – Le Zorba 26. Emily Jane White + Jim Rosemberg – La Cave (Argenteuil) 27. Laurent Perrier & David Fenech + Fantasia Nel Dessert – Le Zorba 27. Sofy Major + Membrane + Pord – Espace B 27. Jessica93 + Ddashband + Absolute Never + Osage + Team PC + Pap’s Club – Le Cirque électrique 27. Deeat Palace + Elek Ember + Philémon – Instants chavirés (Montreuil) 27. Zombie Zombie + Kreidler – Petit Bain ||COMPLET|| 28. Vindicatrix + Extractor Fan + Meryll Ampe + Axel Larsen – Les Nautes 28. Bosco Mujo + DST + Dress Rehearsals + Gerard Jugno 106 + Françoise Pagan + Amosphère + Siink + Thi-Lea (Offnoise) – La Station 28. Shlømo + A Strange Wedding + Adar + Azamat B. + Eastel + Belafa aka Corbeille Dallas – Sierra Neon (Saint-Denis) 29. m-O-m – théâtre Le Montfort (gratuit) 29. Nylex + Plomb + Hélice Island – Le Zorba 29. Vulcanizadora + À Travers + Konpyuta & Richard Frances – Quai de Bourbon 29. Coude + Zarboth + The Guru Guru – Espace B 29. Extractor Fan + Macon + Saada Abe + Vindicatrix + Allpass (dj) –  L’Époque 29. SPFDJ b2b VTSS + Dax J + Hadone + Stranger – tba ||COMPLET|| Mars 02. DIIV – La Gaîté lyrique ||COMPLET|| 03. Napalm Death + EYEHATEGOD + Misery Index + Rotten Sound – La Machine 03. Scorpion Violente + Air LQD – Quai de Bourbon 03. Handle + CIA Debutante + David Fenech – Espace B 03/04. The Mission – Petit Bain 04. David Fenech & Laurent Perrier – Quai de Bourbon 05. Dorian Pimpernel + Mooon – Supersonic (gratuit) 05. TZII + Sacrifice Seul – Quai de Bourbon 05. Instant Voodoo + Laurence Wasser – Le Zorba 05. Orange Blossom : “Sharing” avec les machines de François Delarozière – Élysée Montmartre 05. King Dude – La Boule noire 06. Frustration + Italia 90 – Le Trianon 06. Electric Fire + Fantazio et les Turbulents (Sonic Protest) – Les Voûtes 06. UVB76 – Café de Paris 06. France + Autrenoir + Aho Ssan + Astrid Sonne + Keki + Janomax – La Station 06. Violent quand on aime + Officium + Matière danse – Espace B 06. Chris Liebing + AZF – Dehors Brut 07. Sourdure – La Lingerie|Les Grands Voisins (gratuit) 07. L’atelier d’éveil musical du centre social Raymond-Poulidor + Foudre rockeur (Sonic Protest) – Les Voûtes 07. Ensemble intercontemporain joue Steve Reich : cinéconcert sur un film de Gerhard Richter – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 07. Dave Clarke + Kuss + Murd + Toscan Haas – Dehors Brut 07. Alcest + Birds In Row + Kælan Mikla – La Machine ||COMPLET|| 10. Tempers – Supersonic (gratuit) 10. Jerusalem in my Heart + Méryll Ampe et les élèves de l’Ensapc + Lucretia Dalt (Sonic Protest) – La Dynamo (Pantin) 10. Arnaud Rebotini : live pour “Fix Me” d’Alban Richard – Centre des Arts (Enghien-les-Bains) 11. Mopcut + F-Space + We Use Cookies + Astra Zenecan (Sonic Protest) – La Station 11. Morrissey – Salle Pleyel 11. Nada Surf + John Vanderslice – La Cigale ||COMPLET|| 12 Thomas Bégin + JD Zazie (Sonic Protest) – La Muse en circuit (Alfortville) 13. Russian Circle + Torche – Bataclan 13. Jean Jean + All Caps + Quadrupède – Quai de Bourbon 13. Emptyset + Hair Stylistics + Méryll Ampe (Sonic Protest) – L’Échangeur (Bagnolet) 14. Panico Panico + Tabatha Crash + Cosse – ESS’pace 14. Lonely Walk + Tamara Goukassova + Shock – L'Espace B 14. Why The Eye + WAqWAq Kingdom + Maria Violenza + Fleuves noirs + Jean-Marc Foussat + Julia Hanadi Al Abed + Pierre Gordeeff (Sonic Protest) – L’Échangeur (Bagnolet) 15. Das Synthetische Mischgewebe & Anla Courtis + Ricardo Dias Gomes & Loïc Ponceau + Seijiro Murayama & Florian Tositti + Phanes – tba 16. Hällas + La Secte du Futur + Meurtrières – La Maroquinerie 17. Chelsea Wolf – La Gaîté lyrique ||COMPLET|| 18. Pelada + Eye + Fiesta En El Vacio (Ideal Trouble) – Petit Bain 18. Lee Scratch Perry & Adrian Sherwood + 2Decks + Zaraz Wam Zagram (Sonic Protest) – Église Saint-Merry 19. HP (Haswell & Powell) + Inga Huld Hakonadrottir & Yann Legay + Asmus Tietchens + Regreb “2 Cymbals” (Sonic Protest) – Église Saint-Merry 19. Boubacar Cissokho (Paris Music) – Bibliothèque historique de la Ville de Paris 20. Bleib Modern + Order 89 + Blind Delon + IV Horsemen + Paulie Jan + Codex Empire + Opale + Panzer + DJ Varsovie (fest. des souvenirs brisés) – Petit Bain 20. Jon Hopkins – Salle Pleyel 20. Martin Kohlstedt + Manu le Malin joue Barbara (Paris Music) – Musée des Arts et Métiers 20. Yan Wagner + Madben (Paris Music) – Cathédrale américaine 20. Senyawa + Bonne humeur provisoire + Black Trumpets (Sonic Protest) – La Marbrerie (Montreuil) 20. Paula Temple + 16H07 b2b Ket Robinson + Ma Čka – Yoyo|Palais de Tokyo 20. Ellen Allien + Shlømo – Dehors brut 20. Ensemble Dedalus : "Occam Ocean" d'Éliane Radigue – Le Studio|Philharmonie ||COMPLET|| 21. Mind/Matter + Die Orangen + Mitra Mitra + Qual + Rendered + Verset Zero + Years of Denial (fest. des souvenirs brisés) – Petit Bain 21. Container + Muqata’a + OD Bongo + Diatribes & Horns + Jealousy Party + Urge + Wirklich Pipit + Me Donner + Cancelled + FLF + 2Mo (Sonic Protest) – Le Générateur (Gentilly) 21. GZA – La Marbrerie (Montreuil) 21. ABSL + Anetha + Hektos Oaks + High Future + Randomer + Sugar – tba 21. Front 242 + She Past Away – Élysée Montmartre ||COMPLET|| 21. Laurie Anderson : "The Art of Falling" – Cité de la musique|Philharmonie 22. Mike Cooper + Yann Legay + Will Guthrie & Ensemble Nist-Nah + Cheb Gero (Sonic Protest) – théâtre Berthelot (Montreuil) 22. Laurie Anderson : "The Art of Falling" – Cité de la musique|Philharmonie ||COMPLET|| 24. Skemer + IV Horsemen + Silly Joy – Supersonic (gratuit) 24. Joe Gideon – Espace B 25. Low House (Eugene S. Robinson & Putan Club) + Moodie Black – Petit Bain 25. Wrekmeister Harmonies – Espace B 25. Buzzkull + Kontravoid + Crystal Geometry – Badaboum 27. Lebanon Hanover – La Gaîté lyrique 27. Baston – L’International 27. Maggy Payne : « Crystal » (diff.) + 9T Antiope + John Wiese + Matthias Puech + Nihvak (fest. Présences électronique) – Studio 104|Maison de la Radio 27. Mongolito + Biere Noire + Bisous De Saddam + Léa Jacta Est + Club Passion (Croux fest.) – Café de Paris 28. Ensemble Links : "Drumming" de Steve Reich + Cabaret contemporain joue Kraftwerk – théâtre de la Cité internationale 28. Iannis Xenakis : « Mycenae Alpha » (diff.) + Marja Ahti + Rashad Becker + Nina Garcia + Kode9 (fest. Présences électronique) – Studio 104|Maison de la Radio 28. Cut Hands + NAH + Shit&Shine + France Sauvage + Burris Meyer + UVB76 (dj) – Petit Bain 28. Satan + Noyades + S.O.L.A.N + Traitors + Accès de faiblesse (Croux fest.) – Espace B 28. Denis Frajerman + David Fenech – Plateforme 28. Balladur + Bracco + Coeval + Bajram Bili (dj) – La Boule noire 28. 14anger + Brecc + Oguz + Fuerr + Draugr + Atim – tba 29. Ivo Malec : « Recitativio » + Eve Aboulkheir + Richard Chartier + Lee Gamble + Will Guthrie & Mark Fell (fest. Présences électronique) – Studio 104|Maison de la Radio Avril 01. Lea Bertucci – tbc 03. CocoRosie – Le Trianon ||COMPLET|| 03. Kuniyuki Takahashi & Henrik Schwarz + Hugo LX & DJ Nori + Akiko Nakayama (Japan Connection fest.) – La Gaîté lyrique 04. Hiroaki Umeda + Nonotak + Aalko + Make It Deep Soundsystem (Japan Connection fest.) – La Gaîté lyrique 04. Satoshi Tomiie & Kuniyuki + Hiroshi Watanabe + DJ Masda + Akiko Kiyama + Daisuke Tanabe + Intercity-Express (Japan Connection fest.) – La Gaîté lyrique 04. Ash Code – Espace B 04. 2kilos &More & Black Sifichi + Plurals – Le vent se lève 04. OOIOO – Lafayette Anticipations 04. Katie Gately – Sacré 04. Wow + Laura Palmer – L’International 06. Julie Doiron – Espace B 06. Bauhaus – Grand Rex 08. Föllakzoid + UVB76 – Espace B 09. Will Samson + Northwest + Lyson Leclercq – Le vent se lève 09. The Chap + Rubin Steiner Live Band – Badaboum 10. Manu Le Malin + Popof + Nout Heretik + Noisebuilder + Electrobugz + Krïs Heretik + Broke Heretik + Aness Heretik + Split Heretik + Tom Buld'r.Heretik + Limka + Le Jall + Boubou Antinorm17 – tba 11. Infecticide + Astaffort Mods + Mono Siren – Supersonic (gratuit) 11. IAMX – Café de la danse 12. VTSS + Hadone – tba 14. Lucy Railton & Joe Houston jouent "Patterns in a chromatic field" de Morton Feldman – Instants chavirés (Montreuil) 14/15. Metronomy – La Cigale 16/17. Metronomy – La Cigale ||COMPLET|| 17. Facs + ISaAC – Petit Bain 18. Siglo XX – La Boule noire 19. Rome + Primordial + Moonsorrow – La Machine 20. Big ‡ Brave + Jessica Moss – La Boule Noire 23. Volkor X + ToutEstBeau + Aphélie – Supersonic (gratuit) 23. Health + Pencey Sloe + Dead – Petit Bain 24. Parade Ground – L’International 25. Selofan + Jupiter Jane – Supersonic (gratuit) 26. Pharmakon + Deeat Palace + Unas (Ideal Trouble) – Petit Bain 26. Igorrr + Author & Punisher + Otto Von Schirach – La Cigale 27. Dean Wareham joue "On Fire" de Galaxie 500 – Petit Bain 27. Caribou – L’Olympia 27. The Foals + The Murder Capital – Zénith 28. Ulver – L’Alhambra 29. Protomartyr – La Boule Noire 29. Movie Star Junkies + Sam Fleisch + Tibia – Gibus 30. Conflict + The Filaments – Gibus Mai 02. Richie Hawtin – T7 05. The Sonics + Messer Chups – Trabendo 06. hackedepicciotto – Espace B 07. Laurent Perrier & David Fenech – Souffle Continu (gratuit) 08. Max Richter : "Infra" + Jlin + Ian William Craig – Cité de la musique|Philharmonie ||COMPLET|| 09. Max Richter : "Voices" – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 09. Jonas Gruska + Leila Bordreuil + Jean-Philippe Gross + Kali Malone (fest. Focus) – Le 104 09. Extrawelt + Oxia + Popof + Wuza + O'Tawa – Le Kilowatt (Ivry/Seine) 10. Iannis Xenakis : « La Légende d’Eer » + Folke Rabe : « Cyclone » et « What ??? » (fest. Focus) – Le 104 10. Max Richter : "Recomposed" & "Three Worlds" – Salle Pierre Boulez|Philharmonie ||COMPLET|| 11. Cannibale + Frankie and the Witch Fingers + Euromilliard – La Maroquinerie 11. The Electric Soft Parade + Tim Keegan – Petit Bain 13. Wire – La Maroquinerie 13. Austra – Badaboum ||COMPLET|| 14>16. Tops + Aksak Maboul + Corridor + JFDR + Palberta (Le Beau festival) – La Boule noire & La Station 16. Black Midi – Carreau du Temple 19. Swans + Norman Westberg – Le Trabendo 20. The Jesus & Mary Chain (Villette sonique) – Grande Halle de La Villette 21. Yves Tumor (Villette sonique) – Trabendo 22. Stephen O’Malley (Villette sonique) – Grande Halle de La Villette 22. Kim Gordon (Villette sonique) – Cabaret sauvage 22. François Bayle : « Le Projet Ouïr » + Marco Parini : « De Parmegiani Sonorum » + Yan Maresz (fest. Akousma) – Studio 104|Maison de la Radio 23. Julien Négrier + Hans Tutschku : « Provenance-émergence » + Félicia Atkinson : « For Georgia O’Keefe » + Warren Burt + Michèle Bokanowski (fest. Akousma) – Studio 104|Maison de la Radio 24. Philippe Mion + Pierre-Yves Macé : « Contre-flux II » + Daniel Teruggi : « Nova Puppis » + Adam Stanovitch + Gilles Racot : « Noir lumière » (fest. Akousma) – Studio 104|Maison de la Radio 23/24. Damon Albarn – Salle Pierre Boulez|Philharmonie ||COMPLET|| 25. The Church – Petit Bain 26. Minimal Compact – La Machine 30/31. Paula Temple + Dave Clarke + Ben Klock + Len Faki + 999999999 + VTSS b2b Shlomo + DVS1 + François X… (Marvellous Island) – île de loisirs de Vaires-Torcy  Juin 01/02. The Dead C – Instants Chavirés (Montreuil) 03. Bambara – Espace B 04. Phill Niblock + Tim Shaw – Instants Chavirés (Montreuil) 05. And Also The Trees – La Maroquinerie 06/07. Four Tet + Nils Frahm + Park Hie Jin + Modeselektor… (fest. We Love Green) – Bois de Vincennes 12. The Breath of Life + Box and the Twins – Gibus 13. Flat Worms (Ideal Trouble) – Gibus 14. Nick Cave & The Bad Seeds – Bercy Arena 18. Acid Mothers Temple – Espace B 27. Meryem Aboulouafa + Nicolas Godin (Days Off) – Cité de la musique 28. Ensemble Social Silence joue “Music for Airport” de Brian Eno (Days Off) – Studio|Philharmonie 28. Wooden Elephant joue “Kid A” de Radiohead (Days Off) – Amphithéâtre|Cité de la musique 29. Alva Noto & Ryuichi Sakamoto + Echo Collective joue “12 Conversations with Thilo Heinzmann” de Jóhann Jóhansson (Days Off) – Salle Boulez|Philharmonie 30. Emilíana Torrini & The Colorist Orchestra + Agnes Obel (Days Off) – Salle Boulez|Philharmonie Juillet 01. Apparat – Le Trianon 01. Arandel : “InBach” (Days Off) – Amphithéâtre|Cité de la musique 02. Orchestre de Paris : “Symphony No. 1 "Low"” de Philip Glass + “Music for Ensemble and Orchestra” de Steve Reich (Days Off) – Salle Boulez|Philharmonie 03. Perfume Genius + Anna Calvi  (Days Off) – Cité de la musique 04. Nicolás Jaar : musique pour la pièce chorégraphique “¡miércoles!” de Stéphanie Janaina (Days Off) – Studio|Philharmonie 04. Kevin Morby + Andrew Bird Symphonique (Days Off) – Salle Boulez|Philharmonie 05/06. Suzanne Vega, Ensemble Ictus & Collegium Vocale Gent : “Einstein on the Beach” de Philip Glass (Days Off) – Cité de la musique 07. The Rapture + Sons of Raphael (Days Off) – Salle Boulez|Philharmonie 17/18. Grim + Galerie Schallschutz + Am Not + Linekraft + Deathpanel + Detrimental Effect + African Imperial Wizard – Les Voûtes 18. Oh Sees – Cabaret sauvage  Septembre 27. Mudhoney – La Maroquinerie 30. Peter Hook & The Light : Joy Division : A Celebration – Bataclan
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leblogdemarinaetjm · 10 months ago
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SAMEDI 9 MARS 2024 (Billet 2 / 3)
« BOLERO, LE MYSTERE RAVEL » (2h 00min)
Un film d’Anne Fontaine, avec Raphaël Personnaz, Doria Tillier, Jeanne Balibar, Emmanuelle Devos…
Commençons par un article très intéressant trouvé sur le Net.
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D’où vient l’inspiration artistique ? Comment le génie sort-il de sa bouteille ? Il n’y a évidemment aucune explication définitive au mystère de ce jaillissement hormis un minimum d’ingrédients de base tels le talent, une quête, et la rencontre fulgurante entre la psyché profonde de l’artiste et les circonstances de son existence. « Je ne crois pas aux muses, je crois en la musique, je l’honore et je lui fais mes prières, mais elle ne me répond pas toujours… » : ainsi parlait Maurice Ravel dont la cinéaste française Anne Fontaine a choisi de sonder le processus créatif de son œuvre mondialement célèbre, le « Boléro », dans « Bolero, le Mystère Ravel ».
Un long métrage dans la lignée du travail maîtrisé de l’expérimentée réalisatrice, mais également porteur d’une petite musique originale en sourdine, une ombre insistante de tristesse et de contention faisant écho à la personnalité élégamment mélancolique de son protagoniste. En découle un tempo narratif précis et rigoureux, prenant son temps, et une volonté de ne pas laisser le spectateur être trop distrait par la mélodie du film (l’amour impossible, les péripéties rocambolesques de la naissance du « Boléro »), ni anticiper le crescendo final (on sait tous d’avance que l’œuvre verra le jour). Car sous sa patine de biopic à travers une œuvre musicale dont le succès international a permis à son auteur de pulvériser les frontières de la postérité, c’est un étrange match entre refus du bonheur et catastrophe annoncée que la cinéaste dépeint, un conflit au coeur d’un « volcan de glace » d’où un chef-d’œuvre va émerger.
Nous sommes en 1927 et l’insomniaque Maurice Ravel (un excellent Raphaël Personnaz), compositeur très reconnu dans le monde mais qui a aussi ses détracteurs à cause d’un style très peu émotionnel, se voit commander une musique de ballet par l’impétueuse chorégraphe Ida Rubinstein (Jeanne Balibar). Complètement bloqué dans son processus créatif, mais soutenu par Misia (Doria Tillier) dont il est amoureux transi, Marguerite (Emmanuelle Devos), Cipa (Vincent Perez) et Madame Revelot (Sophie Guillemin), Ravel parviendra néanmoins à ses fins, composant l’air lancinant et hypnotique qui touche au tétracorde inférieur (« le son des origines, la fondation primitive »). Mais comme son œuvre (« ça se répète, ça se répète, puis ça recommence et à un moment, ça se détraque, tout explose et puis c’est la fin, comme la vie ! »), l’existence même de l’artiste (secrètement alourdi par un passé dévoilé par quelques flashbacks) est en train de vaciller…
Délice musical (avec de oeuvres de Ravel interprétées au piano par Alexandre Tharaud), « Bolero, le Mystère Ravel » est un film sourdement douloureux sous son enveloppe traditionnelle, une plongée en observation au plus près de la psychologie insaisissable (même par lui-même) d’un génie parfois perdu dans sa propre musique, empli de sons et de vide, comme étranger à l’existence humaine commune et néanmoins rêvant d’y goûter, fataliste et attachant.
En tournant en partie dans la maison de Ravel, à Montfort-l'Amaury, Anne Fontaine était au plus près du cadre intime du compositeur. « Dans cette maison à son image, se souvient-elle, avec son piano et son jardin japonais, on était comme en fusion avec un génie et sa fragilité. » Ce que ressent, aussi, le spectateur. Pari réussi.
(Source : « cineuropa.org »)
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Que dire de plus ? Il n’est pas évident que ce film plaise à tout le monde. « Télérama » et « Les Cahiers du Cinéma », toujours un peu « scrogneugneux », n’ont pas aimé… mais d’autres critiques « Pro » l’ont bien apprécié et une grande majorité de spectateurs aussi (pas tous, certes !).
Nous y sommes allés mercredi, le jour de sa sortie, avec une sœur de Marina (Ghislaine) et son mari (Pierre) et tous les quatre avons été unanimes : « Bolero, le Mystère Ravel » est un très bon film. Mais allons-nous vous le recommander ? Pas sûr…
JM a particulièrement apprécié la mise en scène fluide, subtile, élégante, très « féminine » d’Anne Fontaine et précisément, surtout, TOUS les passages que certains journalistes ont critiqués.
L’interprétation des comédiens est excellente, Raphaël Personnaz en tête, très bien entouré par Doria Tillier, Jeanne Balibar, Emmanuelle Devos et Vincent Pérez. Grâce à leurs talents et à un remarquable travail dans les cadrages, la réalisatrice, parfois au plus près des visages, a su remarquablement les mettre en valeur et dans le cas du compositeur, nous révéler au fur et à mesure de nombreuses facettes de sa personnalité, à la fois troublante, déroutante et finalement, hyper-sensible, mélancoliquement émouvante.
Les dialogues sonnent très juste… très beau travail sur la photo, les costumes… bref, de notre point de vue, une réussite totale !
Marina lui a donné ❤️❤️❤️ et JM, ❤️❤️❤️❤️ sur 5.
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