#mais j’adore le costume
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#Emmanuel moire#le roi soleil#louis XIV#j’arrive pas à trouver une photo de la chanson « pour arriver à moi »#mais j’adore le costume#aussi dans le clip pour « mon essentiel »#gotta be one of my favorite genders
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Swing Macabre jour 5
(English under the french and pictures)
Aujourd’hui, nous allons voir les inspirations de François.
Et sa garde-robe. C’est lié.
Bon l’inspiration Transi et Dance Macabre, ça, c’est fait et assumé, mais la grande majorité du temps, ces cadavres-là se baladent soit à poils, soit avec leur linceul ouvert à tous les vents. Et même si ça va bien aux autres morts de Swing Macabre, François a besoin d’un peu plus de panache.
Surtout que lors de la première version de Swing Macabre, il est arrivé d’un bloc, comme un squelette vêtu d’une combi arlequin et sur le coup je n’y ai pas beaucoup réfléchi plus
(écoutez, le prof venait de refuser TOUS les scénars sur lesquels ont bossait depuis un mois et on avait tous une semaine pour en reproposer un. Et en plus je me suis dégonflée et j’ai proposé un truc plus classique qui a été refusé aussi. J’aurais dû proposer mes petits squelettes qui font du swing).
Bref.
Quelques années plus tard, même si j’aime toujours le concept de l’arlequin, je vais essayer de fouiller un poil plus ses inspirations plus ou moins inconscientes.
Jack Skellington. Bon je vais pas le réfuter, hein, c’est le King of Halloween, LE squelette qui chante et qui danse par excellence, qu’est-ce que vous voulez que j’y fasse ?
Mais il est aussi copyrighté et j’ai pas envie de me prendre un procès par une souris, donc on va soigneusement éviter l’hommage. Pas de costume d’épouvantail ou de costume à rayures pour François.
Commençons par le nom de François alors. Ça, c’est un hommage à François Villon, un poète français qui a écrit (entre autres) la Balade des Pendus (aka Epitaphe Villon, ou Frères humains), source d’un traumatisme scolaire du collège. Il vivait à l’époque médiévale, donc, ça recoupe un peu la période des Danses Macabres.
Le dandy médiéval (et je vous JURE que ce sont de vrais costumes médiévaux, des reconstructions modernes ou largement inspirés d’imagerie médiévale, même si le premier est plus Italien que français)
François, coté personnalité, est physiquement incapable de prendre les choses sérieusement. Il va faire des blagues, danser, avoir des réactions probablement inappropriées (du point de vue de l’Ankou surtout). Il est, et c’est un point important du personnage, la mort joyeuse, la mort qui célèbre la vie, il est aux autres morts ce que Día de Muertos est à la Toussaint, joyeux, festif et coloré.
Donc effectivement, l’arlequin et ses couleurs corresponds à ce côté à part, joyeux et coloré, mais aussi le Fou du roi ou le bouffon, qui est à contrecourant du reste de la société.
Le Bouffon du Roi, que j’aime assez, surtout le multicolore MAIS le chapeau de François ayant besoin d’être amovible pour les besoins de l’histoire, va probablement passer à la trappe.
Et enfin, le retour aux sources avec le costume d’arlequin d’origine et une version peut être un peu plus travaillée. (Pas fanne des manches bouffantes cela dit…)
J’aurais pu aussi fouiller visuellement du coté Día de Muertos, que j’adore, mais là, on s’écartait peut-être un peu trop de la Danse Macabre et des Transis médiévaux.
(Mais soyez surs que François est fan du concept aussi)
Donc voilà. Trois influences.
Et vous ? Vous préférez lequel ?
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Today, we’re going to see the inspirations about François.
And his dressing, it’s linked.
So, Transis and Dance Macabre inspiration, done and assumed, but most of the times, these cadavers are strolling around either naked or with their shroud flapping around. And even if it suits well the other dead of Swing Macabre, François need a bit more flair.
Especially since, in Swing Macabre’s first version François was born in a flash, as a Harlequin clad skeleton, and at the time, I didn’t think long about it (look, the teacher just refused ALL the scenario we’ve been working on for a month and we only had a week to present new ones. And moreover, I chickened out and showed something more classical, which was also refused. I should have presented my little swinging skeletons).
So.
A few years later, even if I still love the harlequin concept, I’m going to try and dig a bit more in the character’s inspirations, conscious or not.
First inspiration: Jack Skellington. Look, I can’t refute it, he is the King of Halloween, THE singing and dancing skeleton, what can I do about it?
But, he is also copyrighted and I don’t want a trial form a mouse, so let’s carefully avoid the tribute. No scarecrow costume or pin-stripe suit for François.
Let’s start by François’ name, then. This is an homage to François Villon, a French poet who wrote (among others) La Balade des Pendus (Ballad of the hanged, also known as Epitaphe Villon, or Frères humains (Humans Brothers?) ), origin of a traumatism from high school. Villon lived in the Late Middle Age, it’s an overlap with the Dance Macabre’s period.
The medieval Dandy (and I swear those are either true medieval clothes, modern reconstruction from LARP or largely inspired by medieval imagery, even if the first is more Italian than French)
François, personality wise, is physically unable to take things seriously. He is going to prank, to dance, to have inappropriate reactions (from Ankou’s point of view). He is, and this is an important side of the character, the happy death, the death who celebrate life, he is to the others characters what Día de Muertos is to Saint’s day, joyous, festive and colored.
So, yeah, the harlequin and his colors go well with this theme, but another kind of character work well, too, the King’s fool or buffoon, both going against the tide of society.
The King’s buffoon. I quite like these designs, especially the multicolored one, BUT François’ hat needs to be easily removable for story means, so it’s probably not going to fit.
And finally, return to the roots of the character, with the original harlequin body suit and a version a little more thought out. (not a fanne of the puffy sleeve, thought)
I could also have gone towards the visual of the Día de Muertos, which I LOVE, but I had a feeling I was steering a bit too much away from the Dance Macabre et medieval Transis.
(But rest assured, François is a fan of the concept!)
So here. Three influences, six costumes.
And you ? which one do you prefer?
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Mes coups de cœurs :
- Le concert de jazz au Mezzrow, tellement intimiste, joyeux et magique.
- Please Don’t Tell, un bar à cocktails caché derrière une cabine téléphonique elle-même cachée dans un restaurant de hot dog
- Le musical &Juliet, les acteurs étaient parfaits, l’histoire captivante, les costumes et décors majestueux
- Le quartier de Greenwich où j’aimerais vivre (et pas seulement parce qu’il y a un Marie Blachère)
- Christmas Spectacular un show parfait pour se mettre dans l’ambiance de Noël qui m’a ramené en enfance grâce à sa féerie
- Little Islands qui est une sorte de parc construit en hauteur sur l’eau, c’était magnifique avec les couleurs automnales
- La visite de Liberty et Ellis Island, je m’attendais à quelque chose de très touristique avec des explications en surface mais leur audio guide sont très bien faits et assez technique. En plus le froid avait réduit le nombre de touristes!
Musées : Morgan Library, MoMA, American Museum of Natural History et Liberty/Ellis Island
Musicals et Shows : &Juliet (pour l’anniversaire de Juliette, pas mal non?), concert de Jazz au Mezzrow, Christmas Spectacular avec les Rockets au Radio City Music Hall et Hell’s Kitchen
Parks : Central Park (of course!), McCarren Park, Bryant Park, Roosevelt Island (mi parc, mi île), Battery Park et Domino Park
Restaurants : trop haha mais un qui m’a beaucoup marqué c’est Veselka, une resto ukrainien parce qu’ils faisaient des pierogis (raviolis de l’est que j’ai découvert en Pologne et que j’adore)
Sweets : cookies chez Levain Bakery, donuts chez Peter Pan Bakery, cupcakes chez Magnolia Bakery, cheese cake chez Veniero’s et Martha’s Country Bakery
Shops : Goods For The Study, MoMA Design Store, les shops vintage à Greenwich Village, Burson and Reynolds à Greenpoint, PlantShed à Meatpacking et toutes les librairies indépendantes qui ont croisé mon chemin
Autres : la High Line, Chelsea Market, the Edge avec une vue imprenable sur Manhattan et New Jersey, Little Islands et les quartiers de Cobble Hill et Brooklyn Heights
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Sur Le Misanthrope : Adaptations
Une première mise en scène, datant de 1977, par Pierre Dux (classique)
Casting : Alceste - Georges Descrières, Oronte - Bernard Dheran, Philinte - Michel Duchaussoy, Dubois - Gérard Caillaud, Clitandre - Philippe Rondest, Acaste - Guy Michel, Arsinoé - Bérangère Dautun, Eliante - Dominique Constanza, Célimène - Béatrice Agenin
Costume tout noir pour Descrières, quelques rubans verts qui garnissent l’épaule ; il sera intéressant de noter comment chaque metteur en scène habille son Alceste. Chose étrange, la vue donnée par les fenêtres de chez Célimène ressemble à une vue d’un jardin de Versailles (carrément pas fait au hasard, on vous fait confiance m’sieur Dux). Ô diction naturelle d’un texte classique, mon amour ! J’ai l’impression d’entendre une vraie conversation, c’est magnifique. Un Alceste déjà bien énervé, dans les starting blocks dès le début (j’aime beaucoup le jeu de Descrières), mais qui a une certaine noblesse, une certaine majesté. Intéressant de voir que le costume de Philinte est le même que celui d’Alceste, mais son opposé complet en termes de couleur (rouge vif). On dirait que ce Philinte est le psy d’Alceste, c’est marrant. Psy un peu ferme, car le petit côté misanthrope de Philinte semble ici plus utilisé pour souligner les excès d’Alceste. Pour l’instant je vois l’amitié Alceste/Philinte like two old queens, c’est jouissif pour moi. Bon excusez-moi, les costumes masculins sont tous les mêmes, juste de couleur différentes et plus ou moins ornés. Un Oronte précieux et pétasse à souhait (excellent Bernard Dheran). Philinte qui donne des petits coups de tête approbateurs quand Alceste réussit l’interaction sociale, my autistic king. Potescore à la lecture du sonnet, vraiment mon moment préféré, eux qui se prennent le bec à voix basse mais dont la resting bitch face ressurgit immédiatement telles les fleurs au printemps. Philinte a l’air constamment atterré par son pote, je trouve ça hilarant. Une Célimène MAGNIFIQUE (Béatrice Agenin, quelle belle femme mon dieu), tout en noir, absolument charmante (et qui n’hésite pas à embrasser Alceste dans sa première apparition pour lui donner une preuve de son amour), très ironique, et médisante pétillante. Alceste l’aime, bon dieu, au début d’un amour grognon mais qui garde une certaine tendresse ; sa colère dans l’Acte III après la “trahison” de Célimène est bouillante, mais en sous-main, pas vraiment de grands éclats de voix, une rage plutôt contenue (malgré un poing qui aurait pu partir). Mais ils s’aiment quand même. La grande folle tout en rose c’est bien sûr Acaste (Guy Michel qui ne ménage aucun ridicule), et son acolyte en jaune poussin, Clitandre, plus soft (très bon Philippe Rondest). Eliante (jolie Dominique Constanza) semble prendre un peu après sa cousine dans le ton, mais reste mimi (par contre, un peu plus d’émotion que diable, à certains moments j’avais l’impression de voir jouer une carpe. Avec tout le respect que je lui dois.). Bérangère Dautun est une Arsinoé très méprisante, la voix posée, j’adore. All by myself joue bien fort dans ma tête à la dernière sortie de notre asocial préféré. Je retiens de cette pièce un Alceste assez désillusionné pour garder un certain calme, qui lui confère une aura noble, mais pas assez pour ne pas s’énerver de temps à autre.
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Deuxième version, de 1959, mise en scène (bien sûr classique) de Jean Kerchbron
Casting : Alceste - Renaud Mary, Philinte - Bernard Dheran, Oronte - Jean Le Poulain, Célimène - Françoise Christophe, Eliante - Evelyne Dandry, Acaste - Jacques Ciron, Clitandre - Alain Feydeau, Arsinoé - Malka Ribovska
Caméra qui est le point de vue d’Alceste ??? Innovative ! Surprise de retrouver l’Oronte de la version de 77 en Philinte. Diction pas très naturelle, pet peeve. Perruque ridicule pour Renaud Mary, mais c’est pas sa faute. Mise en scène hyper minimaliste, je suis surpris (agréablement je le concède). Turbopétasse de Le Poulain en Oronte, parfait. Je suis furieusement bisexuel pour la Célimène de Françoise Christophe, hautaine et au rire méprisant jouissif. Turbopétasses derechef avec Clitandre et Acaste, les années 60 n’étaient-elles donc faites que de cela ? Je suis également furieusement bisexuel pour l’Eliante d’Evelyne Dandry, Philinte je vais te piquer ta femme. Même Arsinoé (Malka Ribovska) est MAGNIFIQUE, un joli filon pour les fans de Molière lesbiennes. Dheran est super en Philinte tout doux, monsieur flirtez avec moi svp pour le 14 février. Une bonne vieille interprétation tout ce qu’il y a de plus classique.
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Troisième version, de 2000, mise en scène de Jean-Pierre Miquel (classico-moderne ?)
Casting : Arsinoé - Alberte Aveline, Oronte - Michel Favory, Eliante - Isabelle Gardien, Alceste - Denis Podalydès, Clitandre - Laurent d’Olce, Célimène - Clotilde de Bayser, Philinte - Laurent Natrella, Acaste - Christian Gonon, Le Garde / Dubois - Guillaume Gallienne
Wow, Podalydès avec les cheveux encore très très bruns. Un tout tout petit ruban vert en guise de collier, c’est un Alceste bien mélancolique, comme Podalydès sait faire ce genre de personnage. Je compare avec une autre version dont je parlerais après celle-ci, je sais, mais j’ai l’impression de voir la mise en scène d’Hervieu-Léger en moins bien, les personnages sont placés pareils et rient même parfois aux mêmes moments…Mais il manque la petite étincelle que donnent Corbery et Génovèse dans l’autre version. Non vraiment Podalydès est hyper calme en début de pièce, c’est très bizarre. Guys pick up the fucking pace, ça a pas l’air naturel ni dans l’esprit de la pièce, qu’est-ce que vous faites ??? Et bordel, Natrella, un peu d’émotion merde, j’ai l’impression de voir un ragondin à qui on a filé un texte et un costume de dentelle. Favory, pareil, le ridicule d’Oronte est où ??? Clotilde de Bayser à vingt ans MADAME je suis à vos genoux. Elle est belle, pétillante, souriante, drôle, bref, ma femme. Aussi, serait-ce un lieu commun de foutre Acaste et Clitandre en jaune poussin et rose pétant ? Alceste se réveille un peu à l’Acte II, merci, on attendait que ça. Un tout petit pitchoune Gallienne. Est-ce que c’est aussi un lieu commun de foutre Alceste enserrant de ses bras la taille de Célimène et poser la tête sur ses genoux ? (ça ne me dérange pas, les hommes désespérés on aime ça ici). Un Alceste bien cheum aussi, dont la déclaration “je voudrais qu’aucun ne vous trouvasses aimable” est assez creepy. Wow, Philinte qui fume (*transpose immédiatement ça avec Génovèse et décède promptement par excès de horniness*). Les costumes deviennent hyper sombres à la fin, pas mal. Et Célimène qui reste seule sur scène avant le tomber de rideau ? (dieu quelle femme magnifiquement belle.). Je me suis quand même assez emmerdé, la mise en scène aurait tellement pu être mieux mise en valeur, et les comédiens étaient pas trop au rendez-vous…
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Quatrième et dernière version, de 2019, mise en scène de Clément Hervieu-Léger (une moderne, pour changer)
Casting : Alceste - Loïc Corbery, Philinte - Eric Génovèse, Célimène - Adeline d’Hermy, Eliante - Jennifer Decker (mais j’ai aussi vu Claire de La Rue du Caën), Oronte - Serge Bagdassarian, Arsinoé - Florence Viala, Acaste - Christophe Montenez (mais j’ai aussi vu Clément Hervieu-Léger), Clitandre - Pierre Hancisse (mais j’ai aussi vu Birane Ba), Dubois - Gilles David (mais j’ai aussi vu Christian Gonon)
Comme d’hab je vous ai réservé ma version favorite pour la fin et…j’adore cette mise en scène. Depuis je fais totalement confiance à Hervieu-Léger en matière de direction artistique. Transposée dans un salon d’un appartement haussmannien en emménagement, la pièce reprend un peu de vigueur avec une mise en scène plus contemporaine. Des jeux de lumière, de musique de fond contribuent à l’ambiance et surtout rappellent que la pièce se déroule sur une journée. Mais ce sont d’abord les acteurs qui donnent un nouvel éclairage. C’est la seule fois jusqu’ici où j’ai vu la misanthropie d’Alceste traitée comme une véritable maladie, qui lui fait autant de mal qu’il en fait aux autres. C’est Loïc Corbery (pour moi, un des meilleurs acteurs de sa génération) qui porte cet Alceste blessé, à l’aura de chat mouillé, qui alterne périodes de calme ressentiment avec des explosions de colère stupéfiantes. Je compare avec la reprise de la pièce en 2023 (que j’ai vue hihihi), il a rendu son personnage plus calme par endroits, mais cela fait ressortir toute la violence de ses éclats. Philinte est campé par Eric Génovèse qui donne une douceur indicible à ce personnage ; qui garde cependant une bonne couche de rire devant Alceste et son ridicule, sans pour autant cesser d’agir comme un véritable ami (des petites attentions, l’aide à l’interaction sociale, sa présence presque constante auprès de lui, son inquiétude pour lui, la scène du câlin…LA SCÈNE DU CÂLIN PUTAIN), sans oublier la petite touche de misanthropie inhérente au personnage (et qui le rend complexe). Mention reprise 2023 : il est plus abrasif, plus triste peut-être, plus misanthrope, mais ça relève encore plus les moments de douceur. Célimène (Adeline d’Hermy je vous AIME) est si belle, si pleine de vie, et amoureuse en plus…Le duo qu’elle forme avec Corbery (bouleversants dans l’Acte III) permet de nous rappeler en nous mettant un gros coup de couteau dans le cœur que leur amour restera impossible. Eliante est choupinette outre commune mesure, Philinte sans déconner un jour je vais te piquer ta femme (ou eux deux ? vive la bisexualité). Serge Bagdassarian est un Oronte jouissif par l’interprétation typique et personnelle qu’il donne de ce personnage ; même chose pour Florence Viala en Arsinoé particulièrement âpre ; Acaste et Clitandre, peu importe les interprètes, sont parfaits et confinent aux petits-maîtres quelquefois (même si Hervieu-Léger en Acaste a été la plus pétasse to have ever pétassed). Si les moments de comédie sont là, on oublie surtout pas de nous rappeler que c’est aussi une tragédie, et la fin de la pièce est tellement douce amère…Enfin bref, je pourrais passer des heures à parler de cette mise en scène là, mais mon compte principal est un assez vibrant témoin de mon admiration pour celle-ci.
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Sorti en 1968 , il sera partie intégrante du second album de Jacques Dutronc connu sous le nom de son premier titre « Comment elles dorment ? » que l’on retrouve sur le 45 tours à 4 chansons . « il est cinq heures, Paris s’éveille » est édité en plusieurs langues , notamment en Espagnol et en allemand, mais la chanson reste chantée en Français, y compris dans la version Espagnole. Cette chanson décrit Paris qui s’éveille sur un rythme qui fait penser au bruit de la vie et du métro parisien . La légende dit que ce morceau fut écrit par les « Jacques », en rentrant d’une guindaille… on peut le croire. C’est un petit bijou de poésie psychédélique. Personnellement, j’adore …
Le prix moyen Discogs de la version française avec Dutronc moustachu est de 3 €. Il est 5 € si Jacques Dutronc a revêtu son costume orange . Le prix moyen de la version allemande est de 4,62 € et de la version espagnole est de 9,55 €. La version française « cigarette au bec » a un prix moyen Discogs de 4,57 €. Par contre, le plaisir à écouter ce vinyle n’est pas quantifiable…😉
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CR : Fashion MEET du 19 janvier 2024
Reporting by zaza ! merci <3
Tour de présentation des présent·es
Emmanuelle, Manue c’est plus court : Je vais très bien j’ai passé une semaine super mais j’aime pas la neige. Clairon : J’adore dessiner sur les cacahuètes. Globalement ça va, c’est ma première réunion fashion week. J’aime plus la neige, ça me saoule. Joey : Je suis très fatigué et content d’avoir mangé des chips au vinaigre. Première réunion fashion week. Cécile : ça va ! C’est ma deuxième réunion mais un peu déçue de ne pas avoir fait la semaine de couture. Louis : ça va très bien mais un peu fatigué. Je n’ai pas pu être là cette semaine, c’est ma deuxième réunion mais je n’ai rien cousu. Catherine : J’ai été toute la semaine aux Faidides mais c’est ma première réunion. Marianne : J’ai passé la semaine aux Faidides, c’était agréable et je tresse de la ficelle bleue pour faire une robe. Myriam : J’ai fait deux jours à faire des trucs avec du papier peint. C’est ma première réu fashion week. Noélie : Je suis un peu en furie, il faut que je me calme. J’ai été un peu aux Faidides. Joelle : 1er réunion mais j’ai passé la semaine aux Faidides. J’ai raté ce que j’ai fait mais j’espère faire mieux. Zaza : Je n’ai rien cousu et ne suis pas sûre d’en faire. Par contre, je prévois de faire une conférence. C’est ma première réu. Hélène : Je suis de loin avec beaucoup d’excitation et 1e réunion pour humer la créativité. Thelma : humhummhuhihimm pffffrrriouuuu
Manue nous fait le compte-rendu de la 1er réunion de la Maison Mère
La maison mère gère l’orga générale et est composée de : Marcus, Paul, Lucie (Grande aux ailes), Léa (Auzelles), Zoé G, Manue
Le dimanche 10 novembre est la date choisie pour le défilé de la fashion week (le 11 novembre est férié) + possibilité d’événements en amont.
Public visé : environ 500 personnes, ça sera peut-être beaucoup moins ou beaucoup plus ! Pour référence, le défilé rural à Blada, a accueilli plus de 450 personnes et tout le monde n’a pas pu rentrer (voir le pdocast sur le défilé rutal).
Le lieu doit être une grande salle, l'organisation simple et efficace. Une base de qualité qui met en valeur les créations et les maisons de couture. Le gymnase de Cunlhat est l'option retenue pour l'évènement. Possibilité de mettre de la moquette rouge au sol, et utiliser les grands rideaux pour couper la salle en deux. Attention à gérer l’interdiction de consommation des boissons/alimentation dans la salle principale. Le repas sera sans doute fait par le collectif EnSol => collectif ensemble et solidaire qui fait des repas aux profits de personnes exilées.
17 maisons de couture ont été évoquées = on peut imaginer 10 minutes par maison = 3h de défilé. Cela pourrait se passer de 17h à 20h suivi d’une fête (costumée bien sur !). Organisation et passages à recalibrer une semaine avant en fonction des participations réelles.
Partenariats possibles :
Le Bief pourrait être un soutien technique
La médiathèque de cunlhat est très déjà très investie et propose des livres sur le sujet. Envie de faire des conférences également, possibilité d’y faire celle de Zaza sur le bon gout !
Il faudra faire de la comm bientôt pour ouvrir à d’autres maisons de couture = comm prévue en février puis à la rentrée pour communiquer sur la fashion week en elle-même.
Plein de gens disent : « J’ai plein de trucs si ça vous intéresse » donc il y a un tableau de petites annonces pour mettre en lien les personnes qui donnent/qui cherchent »
Tour des projets et idées du moment :
Une agence de mannequinnat : contacter Célien pour vous manifester et qu'on prenne vos mensurations : [email protected]
Clairon et Emmy : la Maison bouffon·ne Défilés à partir de tas de costumes. Toujours une personne qui défile avec les autres qui cherchent à ajouter des éléments à leur costume en direct + maquillage. Environ 10 personnes peuvent participer. Cela peut être le tour de chauffe de certain·es mannequins Possibilité de défiler pour d’autres personnes ensuite.
Noélie : la melting pot Elle n’a pas autant de texture qu’elle voudrait pour faire un truc « animal » mais finalement elle serait intéressée par la Maison récup. "J’avais plein d’idée et c’est retombé, un peu dans le flou pour le moment."
Manue : les choses magiques Les mythologies, les monstres, les forces magiques, les étoiles, etc. Elle fait un kimono avec ces tatouages des choses qu’elle aime bien dans sa vie. Elle a aussi cousu un pyjama, avec un chapeau ou masque. Elle a fait une cape cousue avec des constellations d’étoiles (c’est très long !). Envie de faire des chasubles à accrocher à la taille et très ornementés. Idée de vêtements de cérémonie. Manue accueille des petites mains qui pourraient l’aider (de coudre des boutons à plus compliqué)
Catherine : sauvetage d'une tente à la poubelle Pendant les vacances, elle a trouvé une tente et se lance dans la Maison Récup. Influence : Gorp core (vêtements de la montagne porté en ville). Cette semaine, elle a commencé une robe en toile de tente + une capuche avec une autre partie de la tente + doublure avec un duvet + projet de robe de soirée en plus avec la tente. Si on trouve d’autres tentes, lui faire passer ?
Marianne : le tressage au doigt (de pied) Robe en ficelles de paysan crochetée au doigt + blouson en bâche d’enrubannage rose (si on a un plan récup lui dire !). Autre projet : robe simple en lin avec un masque plume/graine/poil/lichen. Récupérer des k-way et mettre des têtes d’animaux en sérigraphie pour les cyclistes. Trouver le plan pour faire des impressions réfléchissantes ou des coutures en tissus réfléchissants. Possibilité de récupérer des vêtements techniques (pompiers ou autre) et récupérer les parties réfléchissantes
[Puis on a parlé des cerfs zombies qui commencent à atteindre le mooooooooonde.]
Joey : la réflexion en cours Au début de la réflexion sur ses envies. Envie de créer mais ne sait pas quoi. Je suis chaud pour aider aussi pour créer des choses (peut-être petite main pour Manue). Intérêt pour l’idée de contraste : se cacher/se montrer.
[À ce sujet : Carolane et Victor se demande s’il y aura des reveals ? ]
Joëlle : Paco(tille) Rabanne Robe en récup type Paco Rabanne en CD. Comment les percer ? Pointe chaude ? Lui donner nos vieux CD (Michel Sardou vivement conseillé).
Arthur : les sous-vêtements de la terre Idée à plusieurs de faire les sous-vêtements de la terre. Peut-être autour des ateliers couture des Lococotiers (les mercredi de 16h à 18h) + avec Léa D. => à organiser ! Ou bien sur l’idée de la chèvre de monsieur sequin.
INFOS : le carnaval d’Ambert le 6 avril et celui de Cunlhat peuvent être un des lieux pour aller présenter ses costumes.
Question d’Arthur : est-ce que c’est intéressant de creuser la possibilité d’avoir des conférences sur la production textile ? Il a un contact d’un groupe de personnes qui a réfléchi à cette question ; voir avec des historien·nes sur les luttes sociales liées au textile. Dominique Cardon, historienne et scientifique de la matière et a fait des recherches sur la teinture végétale et thésarde sur la draperie au Moyen Age (filière de la laine), question du lien entre « naturel et écologique (ou pas) ! » Question du défraiement pour ces conférences ?
Conférence par Zaza : la construction du goût Elle propose une conférence sur la construction du goût. Le bon goût existe-t-il ? En partenariat avec la médiathèque de Cunlhat. Peut aider la maison mère si besoin : à voir lors des prochaines réunions si besoin qu’elle rejoigne la maison mère. Possibilité de participer à l’animation publique du jour J aussi si besoin.
Amande et Ella : idées de mise en corps des mannequins pour les défilés
Cécile : la SMF (sans maison fixe) Le truc de la maison, ça lui fait peur en raison de sa présence discontinue. D’autres personnes n’ont pas le temps donc demande la possibilité de faire une maison fourre-tout ou de se coller dans d’autres maisons. La réponse est oui, possibilité de s’ajouter à une maison en cours en fonction de sa création. Envie de fluo et de bleu roi !
[On se dit : « La cohérence, c’est l’incohérence »]
Louis : Bici Social Crew (Lieu-Dit à Clermont) Envie de faire des choses, des discussions sont en cours. Envie de reporter les vêtements (lors de performances par ex.) ou encore par des teams de prévention qui sont présentes en soirée pour discuter consentement ou autre. Envie d’être identifié·es en faisant partie de ce groupe là mais en étant un peu grimmé·es.
Lika et Cécile Elles vont se voir une fois par mois. Elles cherchent des sacs plastiques de couleurs, filets d’oignons.
La suite ?
Potentielles sorties dans des musées ? Musée du costume à Moulins, musée du textile à Clermont, musée d’art et d’industrie à Sté selon les expos, St Jean du Gard – expo sur les vers à Soie. Proposer et se tenir au jus en fonction des envies !
Prochaine résidence de couture et cie : semaine du 22 avril
On pourrait faire comme la dernière, du lundi 22 au dimanche 28 pour permettre à certains de se libérer le weekend ! On sera encore aux faidides parce qu'il y fait bon vivre et qu'on a de la place (et qu'ils nous ont confirmé la dispo à ces dates)
Bisou bon’nuit !
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Carte d'Anniversaire de Mitsuki: 16 Idoles Album
Partie 1 / Partie 2 / partie 3
Partie 2 : La lettre de fan de mes souvenirs
Dans la chambre d’Iori et Mitsuki. Mitsuki porte son costume de Zéro
Mitsuki : Veux-tu entendre ma chanson ?
Mitsuki : Je la chanterai comme remerciement pour ton succulent gâteau. Chante avec moi.
Mitsuki : Chante ma chanson avec moi… La chanson de Zéro.
Maman Izumi : Incroyable, Mitsuki ! Tu es si cool !
Iori : Onii-chan est trop cool !
Mitsuki : Vraiment ? Comme Zéro ?
Iori : Oui, comme Zéro !
Iori : Onii-chan ressemble à Zéro !
Mitsuki : Okay, donc à partir de maintenant, je serai Zéro ! Que le concert commence !
Iori : Onii-chan, tu es le meilleur !
Mitsuki : Iori, je ne suis pas “Onii-chan” là ! Je viens de te le dire, je suis Zéro ! Tu dois m’appeler Zéro !
Iori : D’accord… Zéro-onii-chan !
Mitsuki : Ahah ! Tu n’as pas besoin d’ajouter le “Onii-chan” !
Iori : Mais, Iori a un grand frère… non ?
Mitsuki : Quoi ? Hum… eh bien, oui, mais… bon, très bien !
Mitsuki : Iori, fait un signe à Zéro ! Comme ça Zéro te fera un fan service !
Iori : C’est quoi un “fan service” ?
Mitsuki : C’est rien, c’est rien ! Juste agite ta main !
Iori : Oui ! Zéro-onii-chan !
Mitsuki : … !!
Iori : … Onii-chan ? Pourquoi tu fermes les yeux aussi souvent ?
Maman Izumi : Qu'y a-t-il ? Tu as quelque chose dans les yeux ?
Mitsuki : Non ! Je suis en train de faire un clin d’œil ! Je fais un fan service pour Iori ! Regardez !
Iori : Onii-chan, tu dois fermer qu’un œil pour faire un clin d’œil.
Mitsuki : … Quoi ? Je ferme qu’un œil là ! Regarde !
Iori : ? Hum, tu continues de fermer les deux…
Maman Izumi : ! Comme on pouvait s’y attendre de ton frère ! Il fait un clin d’œil en utilisant ses deux yeux car il est plus fort que Zéro !
Mitsuki : Quoi ?
Iori : Ooooh ! Incroyable, Onii-chan ! Onii-chan est plus fort que Zéro !!
Mitsuki : N-non, c’est pas le cas ! Je ne suis pas plus fort que Zéro !
Mitsuki : C’est juste que je peux pas imiter l’éclat de Zéro avec seulement un œil, j’ai besoin des deux !
Iori : Ooooh ! Onii-chan est tellement éclatant !!
Mitsuki : Oui ! Je suis éblouissant, car je suis devenu Zéro ! Ah, c’est aussi un fan service !
Iori : Ah, une étoile en origami… tellement éblouissant !
Mitsuki : Oui ! Je l’ai fait avec les papiers en or et en argent qu’on m’a donné à l’école ! Maman, j’en ai une pour toi aussi.
Maman Izumi : Merci, Mitsuki. Tu as fait du bon travail.
Mitsuki : Oui ! J’en ai aussi une pour Papa. Je lui donnerai quand il rentrera à la maison.
Maman Izumi : Je suis sûr que cela lui fera grand plaisir. Il va peut-être même pleurer de joie !
Mitsuki : Alors, je lui redonnerai le sourire ! Quand je serai grand, je deviendrai définitivement une idole qui donnera le sourire à tout le monde, comme Zéro !
Iori : Tu le deviendra ! C’est certain, Onii-chan ! Iori est toujours heureux quand il est avec Onii-chan !
Maman Izumi : C’est pareil pour moi. Votre Maman est toujours heureuse quand elle est avec Mitsuki. Il est déjà une idole resplendissante. N’est-ce pas Iori ?
Iori : Oui ! Onii-chan est une idole !
Mitsuki : Vraiment ? Mais, je ne suis toujours pas à la hauteur de Zéro ! C’était incroyable quand il est venu dans notre magasin !
Iori : Onii-chan, raconte-moi cette histoire encore une fois.
Mitsuki : D’accord ! Quand Zéro a commencé à chanter, tout le monde s’est mis à sourire en un clin d’œil ! Les clients comme les passants… tout le monde souriaient ! En un clin d’œil !
Iori : Incroyable !
Mitsuki : Oui, Zéro est incroyable !
Maman Izumi : Tu aimes vraiment entendre ton frère raconter cette histoire, hein, Iori ?
Iori : Oui ! Car Onii-chan est toujours heureux quand il parle de Zéro. Donc Iori veut l’entendre aussi !
Maman Izumi : J’adore aussi les histoires de Mitsuki à propos de Zéro.
Mitsuki : Aaaah… est-ce que Zéro reviendra ici ? Est-ce que je pourrais chanter avec lui une fois de plus ?
Iori : Onii-chan, tu veux rencontrer Zéro ?
Mitsuki : Oui… j’aimerais le rencontrer à nouveau un jour. Si je le rencontre, je lui demanderai tellement de choses !
Mitsuki : Comme, comment je pourrais devenir une idole ? Ou, comment je pourrais rendre les gens heureux ?
Iori : Alors, Iori va écrire une lettre à Zéro.
Mitsuki : Quoi ?! Une lettre à Zéro ?!
Iori : Je veux lui demander de revenir dans notre magasin et de rencontrer Onii-chan une fois de plus.
Mitsuki : Iori, tu es si gentil ! Merci, de te soucier autant de moi.
Mitsuki : Je serais content si il revenait, mais il est une idole et son travail consiste à donner le sourire à plein de gens…
Mitsuki : Je ne pense pas qu’il puisse revenir juste pour moi.
Iori : Je vois… Zéro est très occupé…
Mitsuki : On ne peut rien y faire. Car Zéro appartient à tout le monde.
Iori : Hmm…
Maman Izumi : Oui, Zéro doit être occupé… mais je pense que lui écrire une lettre est une superbe idée.
Mitsuki : Hein ?
Iori : Vraiment ?
Maman Izumi : Dès fois, les clients laissent, à votre père et moi, des lettres qui disent: “Ce gâteau était délicieux, merci beaucoup.”
Maman Izumi : Ces lettres nous rendent heureux, on ne peut s’empêcher de sourire.
Maman Izumi : Comment t’étais-tu senti quand tu as rencontré Zéro, Mitsuki ?
Mitsuki : … Heureux. Je me suis tellement amusé et j’étais très heureux ! Je l’aime !
Maman Izumi : Ne penses-tu pas que Zéro serait aussi heureux que maman et papa, si tu lui écris une lettre à propos de ce que tu ressens ?
Mitsuki : Vraiment ?! Cela ferait plaisir à Zéro ?!
Maman Izumi : Oui, j’en suis sûr.
Iori : J’écrirai ! Iori va écrire une lettre et dire à Zéro que Onii-chan l’aime !
Mitsuki : D’accord, Iori ! Écrivons cette lettre ensemble !
Maman Izumi : Fufu, alors je ramènerai une enveloppe du magasin plus tard. Le papier… Je pense qu’on en a du papier à lettre quelque part ?
Mitsuki : Oh, oh ! Est-ce que je peux dessiner quelque chose dans la lettre ? Je veux dessiner le visage de Zéro, comme je l’ai fait pour la fête des pères !
Maman Izumi : Je trouve que c’est une bonne idée ! Tu pourrais dessiner sur du papier blanc puis ajouter le message.
Mitsuki : Oui !
Iori : Onii-chan, tu veux des crayons ?
Mitsuki : Merci, Iori ! Ah, attends ! Je ne veux pas tacher le costume de Zéro, donc je vais le remettre dans la boîte…
Fondu enchaîné
Maman Izumi : Ces papiers devraient faire l’affaire ! Vas-y, Mitsuki. Et, une pour toi aussi, Iori.
Mitsuki : Merci, Maman. Hum… Que vais-je écrire dans ma lettre…
Mitsuki : Erhm… Zéro. Sama. Vous… portez… vous… bien… ? Mmh, je devrais écrire “bien” avec les kanji. Comme ça, Zéro pourrait penser que je suis un garçon intelligent !
Mitsuki : Hum, peut-être que je devrais écrire “sama” avec les kanji aussi. Maman, tu en penses quoi ?
Maman Izumi : Fufu, peut-être. Mais, je pense que Zéro sera impressionné dans tous les cas, car tu lui as écrit une lettre.
Mitsuki : J’espère…
Iori : Onii-chan, Onii-chan ! Est-ce qu’Iori écrit bien ?
Mitsuki : Mmh ? Laisse-moi voir… O-nii-i-cha-n… Incroyable, Iori ! Es-tu vraiment aussi doué en écriture ?
Iori : Est-ce que Iori est bon ?
Mitsuki : Oui, très bon ! Ok, je vais devoir écrire soigneusement pour de pas me faire dépasser…
Maman Izumi : Fufu. Quand je ramènerai l’enveloppe, devrait-on aller ensemble acheter des timbres au konbini ?
Mitsuki & Iori : Oui !
Mitsuki : Est-ce que je peux poster ma lettre moi-même ?
Maman Izumi : Bien sûr.
Mitsuki : Hourra ! Zéro, j’espère que ma lettre te fera plaisir !
Iori : ……
Mitsuki : Qu’y a-t-il Iori ?
Iori : Non, rien du tout. J’espère que ta lettre fera plaisir à Zéro, Onii-chan !
Mitsuki : Ah, je suis surexcité rien que de penser que nos lettres vont se retrouver entre les mains de Zéro !
Iori : Oui !
Fin de la partie 2
#traduction française#idolish7#iori izumi#mitsuki izumi#mama izumi#aaaaah mes bébés sont trop chou nooon?#je les adore tellement!!
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Kv1 : le long post de lila
Bon. Déjà, j’ai adoré ce film. J’ai vu quasiment tous mes personnages préférés (Caius i miss u), les costumes sont magnifiques, les vfx aussi, décors, musique, la PHOTO.
Et du coup je voulais partager quelques réflexions en vrac.
Le duc d’Aquitaine c’est juste le plus gentil. Mais je dois avouer que j’aurais bien aimé le voir plus moralement ambigüe et faire des alliances avec tout le monde (il veut pas dire non aux gens).
Quarto… c’est dommage parce que j’aurais adoré le voir plus. J’ai trouvé qu’il est parti un peu rapidement.
Et c’est ça le seul défaut que je peux faire au film. La première partie va vraiment super vite.
Calo avec des cheveux ???
Lancelot est chef’s kiss. C’est un de mes personnages préférés parce qu’il est bien écrit. J’adore comment son costume de LANCELOTORTUE est synonyme de son état. Dur mais retranché dans lui même. Il est brisé, exténué et ça se voit. Et pourtant, il a toujours son hybris. Une des questions pour les films suivants sera si il mérite la rédemption. Pas si il en aura une mais si il la mérite.
Et le duel. Encore une fois, j’adore la symbolique du noir chez arthur et du blanc chez lancelot. Arthur est en noir, ça rappelle sa dépression mais aussi ses motivations. Il fait le bien et ne fait le mal qu’en cas de dernier ressort. Lancelot pense faire le bien mais fait le mal.
Aussi, les flashbacks avec la jeunesse d’Arthur en maurEtanie sont supers même si j’ai eu la vague impression d’un retcon avec Shedda (alors que non).
Ce qui nous ramène au duel. La scène de flashback montre arthur qui tue furadja. Pour moi, c’est la première fois qu’il tue quelqu’un. Et il le fait par amour. Parce qu’elle a posé la main sur quelqu’un qu’arthur aime. Et arthur ne peut pas tuer lancelot. Parce qu’il l’aime encore. Parce que malgré toutes les conneries, il croit encore en lancelot et croira toujours en lui.
Quand lancelot dit « vous êtes un incapable », j’interprète ça comme s’il parlait de lui-même . Il sait qu’il ne sera jamais à la hauteur d’arthur. Et il veut mourir. Il provoque arthur pour qu’il le tue et abrège ses souffrances. Parce qu’il ne croit même plus en sa propre rédemption. Encore une fois : lancelot méritera-t-il sa rédemption ?
Arthur aussi est prêt à mourir. Et je pense que c’était un ultime test de courage envers lui-même. C’est très symbolique en plus. Mourir écrasé sous les pierres de la forteresse qu’il a fait construire. En un sens, c’est ça, l’idée de redevenir un héros. Il est de nouveau prêt à mourir pour kaamelott.
Honnêtement, j’ai pensé que la bassine de Fraganan c’était le graal.
EXCALIBUR MAINTENANT. On se faisait la réflexion avec Rarou mais excalibur ne flamboie plus pour plusieurs raisons.
Au début, les flammes reviennent car elle admet qu’arthur est le héros, l’élu. Mais sa destinée a changé. Peut-être était-ce justement le destin d’arthur que de tout laisser à lancelot pour revenir plus fort ?
Au moment du duel, excalibur 1) devient chargée d’éclairs bleus 2) noircie.
Je pense que les éclairs peuvent avoir un lien avec les dieux dans le sens où arthur passe un instant du "côté obscur". Les dieux l’accompagnent. Ils ne veulent pas de clemence pour lancelot, celui qui les a affrontés. Et arthur met toute sa rage.
Mais quand arthur s’apprête à tuer lancelot, elle noircie. Parce que ce n’est plus arthur. Il est guidé par sa colère, sa dépression, ses remords. Tuer lancelot, ce n’est pas la solution qui viendra mettre fin au bordel. Au contraire.
Mevanwi aussi. Je pense sincèrement qu’elle aura un rôle beaucoup plus important dans les prochains films. Elle a appris la magie et flirte avec le pouvoir pour devenir plus grande. Et je pense qu’elle ne se soucie même plus de ses enfants. Son personnage me rappelle Médée.
Et Méléagant. Je pensais sincèrement qu’on ne le verrait qu’à la toute fin du film MAIS qu’il jouait dans l’ombre, tirait les ficelles, venait hanter lancelot. Ce qui veut dire que tout ce qu’il s’est passé pendant dix ans est du fait de lancelot, de son libre arbitre. Notez que Meleagant n’apparaît que pendant les grosses conneries faites aux dieux : Mevanwi et l’échange d’epouses, lancelot qui fait sécession, excalibur replantée et la fragmentation du royaume. Pour cesar, je pense que c’était laisser l’empire aux mains de Sallustius.
Donc meleagant serait un champion des dieux, comme arthur et le champion des hommes. Il porte leur justice, leurs armes, tout ça sans scrupules. C’est l’épée des dieux, comme excalibur devient celle des hommes.
Et concernant bedivere, je pense qu’il aura un rôle plus important dans les autres films. C’est un personnage de la légende qui accompagne arthur avant de mourir et lance excalibur, que nimue récupère.
Gareth sweetheart. Un batard ou fils de loth et anna ? Il semble être un peu plus jeune que gauvain. Peut-être est-ce le fils d’une dame de la cour ou d’une paysanne. Mais il connaît la magie, ce qui laisse à supposer qu’il était assez proche de son père. Peut-être qu’il va trahir la résistance ou alors qu’il travaille pour le compte de son père…
Et Shedda. Au départ, j’avais l’impression d’un retcon vis à vis d’aconia, alors que c’est pas du tout ça. Je pense que c’est pour montrer les malheurs d’arthur en amour. Shedda a été la découverte de l’amour, la philia. Aconia, ç’a été l’eros, l’amour romantique, l’amour passionnel (au vieux sens du terme, qui fait souffrir). Mevanwi, aussi une forme de passion mais ce ludus, un amour de jeu qui se transforme en mania, l’amour obsessionnel. Et Guenievre, c’est le pragma, l’amour qui se construit, se développe au fil des ans.
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" J’adore cette scène entre Guenièvre et Arthur. Je la trouve magnifique, je la trouve sublime d’émotion, de retenue. (...) À l’écran, on ne voit pas bien la couronne que Guenièvre vient chercher mais je n’ai pas voulu copier la vraie couronne de la série. J’ai fais faire une couronne au stylo 3D. L’idée était de reprendre l’aspect des fleurs blanches évidemment mais de fleurs qui, à l’image de l’amour de Guenièvre pour Arthur, ne se fanent jamais… Des fleurs inventées, atypiques, comme en mutation à l’instar de leur amour. "
"De fleurs qui, à l’image de l’amour de Guenièvre pour Arthur, ne se fanent jamais"
Amour qui ne se fane jamais 😭😭😭😭
Merci Marylin Fitoussi ♥️♥️ (me demande comment AA lui a décrit leur relation * curious *)
Je vous conseille de lire sa longue interview de cet été ; on apprend des choses sur son approches des costumes :
#kaamelott#arthur x guenièvre#arthur x guenievre#pendranièvre#pendranievre#marylin fitoussi#costumes kaamelott#interview kaamelott#kv1 spoilers
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66. Pas de costumes comme tel mais de la lingerie ou des vêtements qui imitent le rôle, oui.
67. J’adore la lingerie.
68. Des fois oui mais plus je vieillie plus j’aime ça soft intense.
69. Arrêter de réfléchir et juste savourer.
70. Pas vraiment non.
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Un petit top 10
Aujourd’hui, j’ai envie d’écrire mais je ne sais pas sur quoi. Je ne veux pas écrire de poème. Je ne veux pas écrire un texte par peur de dévoiler involontairement l’intrigue de ma nouvelle ‘l’hôtel particulier’. D’ailleurs, cette dernière est bien lancée, j’ai la suite en tête mais je préfère prendre mon temps pour rédiger proprement le fil de l’histoire. Alors, j’ai trouvé cette idée, histoire de changer. Il s’agit d’un petit top 10 de mes films préférés. Je tiens à préciser que ce classement est subjectif et peut très bien varier d’un moment à l’autre.
10e: Mulholand drive de David Lynch, 2001.
C’est un petit bijou ! Sur le coup, je n’avais pas été emballé et je l’ai vu deux fois avant de le comprendre. Enfin, d’avoir mon interprétation. L’intrigue est magnifique. On ne sait pas où l’on va et puis une fois qu’on tient le fil, le film est une vraie claque. La fin surprend par sa logique. Pour regarder ce film, je vous conseille d’être concentré du début à la fin. C’est du David Lynch et c’est génial. Les acteurs aussi sont magnifiques.
09e : Revolution de Hugh Hudson, 1985.
Rien que le casting : Al Pacino, Anastasia Kinski et Donald Sutherland vaut le détour. Ce film est une épopée qui raconte l’histoire d’un homme arrivant à New York en pleine révolte. Son bateau est réquisitionné, son fils de 12 ans s’enrôle dans l’armée pour devenir tambour. Les costumes, l’histoire, le jeu des acteurs…tout est efficace dans ce film qui parle de guerre et montre la guerre dans sa cruauté. L’émotion dans certaines scènes vous prend aux tripes. Il fut un temps où j’aurais mis ‘le dernier des Mohicans’ avec Daniel D. Lewis qui parle de cette même période par contre Revolution se montre plus réaliste.
08e : L’échelle de Jacob d’Adrian Lyne, 1990
J’ai vu ce film tardivement. Et pareil que pour Mulholand Drive, j’ai été scotché surtout quand on connait la filmographie du réalisateur : Flashdance et 9 semaines et demi. C’est l’histoire d’un vétéran du Vietnam qui voit des monstres partout. Le film est sombre, presque anxiogène tellement on pense suffoquer. C’est du Lovecraft et je comprends qu’il ait inspiré d’autres films et jeux vidéo comme Silent Hill.
07e : Alexandre le bienheureux d’Yves Robert, 1968
C’est le premier film français du classement. Je l’ai vu la première fois quand j’avais cinq ans à cause de mon prénom et déjà ce film m’avait marqué par sa poésie. Un homme qui veut vivre tranquille avec son chien et qui est emmerdé par les autres qui ne le comprennent pas. Ce film se regarde comme un fleuve qui coule tranquillement. C’est du bonheur sur pellicule.
06e : La vie et rien d’autre de Bertrand Tavernier, 1989
Des films sur la première guerre mondiale, je vous en conseille plusieurs comme ‘les croix de bois’ ou la première version de ‘A l’ouest, rien de nouveau’. Ces films ont la particularité d’avoir été tourné sur des lieux où s’est déroulée la guerre des tranchées mais aussi avec des acteurs qui ont été soldats. La vie et rien d’autre ne montre rien de la guerre proprement dit, le film raconte l’après-guerre. Sabine Azema recherche son mari disparu et rencontre une jeune institutrice à la recherche de son fiancé. Elles sont confrontées à un Philippe Noiret en officier têtu. Le film montre la recherche d’un proche disparu, la reconstruction d’une zone dévastée, des agriculteurs habillés en soldat parce qu’ils n’ont plus rien. D’autres soldats qui attendent la démobilisation. Et l’angoisse de ne jamais savoir ce qu’est devenu un proche disparu.
05e : Le grand blond avec une chaussure noire d’Yves Robert, 1972
Avec sa suite, c’est le genre de film que je regarde facilement toute une après-midi. Il est génial. Des acteurs fabuleux, je suis fan de Pierre Richard. Des scènes cultes, le décolleté culte de Mireille d’Arc et le sérieux de Jean Rochefort. Quant à Bernard Blier, « pourquoi une chaussure noire ? » « Merde, on tourne en rond ! ».
04e : Le magnifique de Philippe de Broca, 1973.
Un film génial avec ses phrases cultes. J’adore cette période de Belmondo où il joue la comédie avec un talent incomparable. En plus, dans ce film, on voit deux facettes du personnage où il parodie James Bond et joue d’un piètre auteur de romans. C’est certainement un des premiers pastiches avant les « y a-t-il un avion pour sauver la reine d’Hollywood ? ». Et j’avoue, ado, j’’étais amoureux de Jacqueline Bisset.
03e : Shining de Stanley Kubrick, 1980.
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, je ne suis pas amateur des films d’horreur. Je n’ai jamais vu les ‘Hostel’ ‘Saw’ et autre monstruosité gore du même calibre. Il y a trois films d’horreur qui m’ont réellement marqué, L’échelle de Jacob, l’exorciste et donc Shining. L’ambiance de ce dernier reste impressionnante. J’ai vu et revu des commentaires sur le film et je reste toujours baba de cette œuvre faite par Stanley Kubrick. Tout semble s’imbriquer alors que rien n’a de sens. L’isolement, la folie… c’est un film que je vois différemment à chaque projection. Et Nicholson, magnifique !
02e : Un singe en hiver, d’Henri Verneuil, 1962.
J’aurai pu mettre ‘les tontons flingueurs’ ou ‘les vieux de la vieille’ mais aux trois, j’ai une préférence particulière pour un singe en hiver car on trouve tout dans ce film. Il y a de l’humour, de la gentillesse, de la connerie, de la tendresse, de la tristesse. On se met dans la peau de Belmondo ou de Gabin quand ils partent en vadrouille ou quand ils sont seuls, amers et tristes.
01er : Barry Lindon, de Stanley Kubrick, 1975
OK, je reconnais être fan de Kubrick. Mais avouez, pour ceux qui ont vu ce film que c’est un chef d’œuvre. Filmé à la bougie, des scènes qui suivent la musique et inversement. Une histoire incroyablement bien scénarisée. Ce film se regarde comme un tableau dans un musée, en silence et on cherche le détail. Historiquement, il est parfait (tenues d’époque, manières, dialogues…) Et la fin…quelle fin !!!
Voilà c’était mon petit top 10 du moment. Demain, Un singe en hiver passera premier et je dégagerai Mulholand Drive pour Brazil de Terry Gilliam parce que je l’ai oublié tout comme Conan le barbare. Eh oui, j’ai adoré ce film et je vous conseille de le regarder juste pour la musique. Même l’histoire est géniale car elle dénonce l’influence des sectes. J’aurais pu aussi ajouter « guerre et paix » de Sergueï Bondartchouk. L’oeuvre soviétique avec d’incroyables scènes de combats utilisant 100 000 figurants en partie des soldats de l’armée rouge est disponible en russe sur youtube. Et il y a aussi « il était une fois en Amérique » de Sergio Léone... et zut, j'ai oublié 'un jour sans fin'.
Finalement, un top 10 c’est court.
Alex@r60 – février 2021
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1, 4, 7, 9, 10, 11, 12 et 24 ^^ !
Wahou, merci! Je réponds très en retard, désolée! ^^
1: Who is your favourite historical person?
Chez les rois de France, Philippe le Bel, qui a fait beaucoup de grandes avancées en matière politique, et Louis XVI, qui était de la meilleure volonté du monde et a simplement manqué de chance en arrivant dans un contexte pourri et en n’étant pas formé convenablement.
A part eux, je suis fascinée par Talleyrand et par Chateaubriand, même s’ils ne se supportaient pas. Talleyrand a retourné sa veste un nombre incalculable de fois, mais c’était quelqu’un de diaboliquement intelligent. Quant à Chateaubriand, ses Mémoires d’Outre-Tombe sont très intéressantes, surtout ses analyses politiques. J’aime beaucoup voir ces personnalités de l’Ancien Régime qui survivent après la Révolution: on oppose trop souvent Ancien Régime et XIXe siècle en oubliant que certains ont pleinement vécu les deux périodes. Ce sont souvent les plus intéressants :)
Et chez les femmes pour essayer de diversifier un peu: Blanche de Castille, une femme politique d’une belle trempe, qui a soutenu son mari (dont elle était proche! Arrêtons de dire que les mariages politiques étaient toujours malheureux!) tout au long de sa vie, a pris une grande part à l’éducation de ses enfants et a exercé deux belles régences. A une période tout à fait différente, j’admire beaucoup Colette, pour ses écrits et son indépendance d’esprit. Elle est un peu méconnue de nos jours et on ne la lit plus du tout, c’est vraiment dommage...
4: Favourite historical era?
Très cliché, mais le beau XIIIe siècle, jusqu’à la fin de la dynastie capétienne. C’était une période incroyablement riche: campagnes prospères, essor des villes, explosion des chantiers de cathédrales, développement des universités, renforcement de l’appareil politique avec Philippe Auguste, Louis IX et Philippe le Bel... L’art du second XIIIe est magnifique aussi, très équilibré et pas encore maniéré comme parfois au XIVe siècle.
J’ai aussi beaucoup d’affection pour les années 1900-1910, très esthétiques et pleines de foi en le progrès.
7: Historical dressing, uniform, or costume?
Je ne suis pas sûre de comprendre la question? Mais s’il faut choisir entre les trois, historical dressing. Je me suis prise de passion pour les Costubeuses qui recréent des vêtements historiques en essayant de coller au plus près à la réalité et je rêve d’essayer moi aussi (mais pour le moment mes compétences en couture se limitent à réparer mes vêtements donc on va attendre un peu).
9: Favourite historical film?
Ludwig ou le crépuscule des dieux de Luchino Visconti. Je ne connais rien à l’histoire de la Bavière mais je me rappelle m’être vraiment prise de passion pour l’histoire de Louis II dans ce film. Le cinéma de Visconti est très riche, très vibrant, ce ne sont pas du tout de jolis tableaux bien propres. De lui aussi, j’adore Le Guépard; Burt Lancaster et Alain Delon sont merveilleux dans leurs rôles et la scène de bal final est grandiose. Du côté français, j’aime énormément La Grande illusion de Jean Renoir, qui dépeint très bien la manière dont les valeurs de l’aristocratie sont ravagées par la première guerre mondiale. C’est un thème qui m’intéresse beaucoup.
10: What pieces of art (i.e. paintings, sculptures, lithographies, etc.) related to history do you like the most?
Je dirais l’affiche réalisée par Mucha pour Lorenzaccio de Musset, avec Sarah Bernhardt dans le rôle-titre. Je sais, c’est un peu de la triche (une affiche inspirée d’une pièce inspirée d’un événement historique), mais je suis dingue de Lorenzaccio. Le texte est splendide, j’ai le souvenir de deux adaptations merveilleuses des années soixante et soixante-dix, et cette affiche vend du rêve (et en plus c’est Art nouveau ^^).
11: Have you ever participated in reenactment? What was it like?
Jamais, hélas, mais j’aimerais beaucoup! Que ce soit de la reconstitution sérieuse ou des événements moins historiquement exacts comme de la figuration dans un film, ça a l’air tellement intéressant!
12: Would you take part in reenactment? In what era and as whom?
J’aimerais beaucoup participer à des scènes de danse. J’aime énormément la valse et j’aimerais bien apprendre d’autres danses (la mazurka me plairait bien!), donc plutôt la seconde moitié du XIXe siècle. Quant au personnage, je n’ai pas vraiment de préférence. Bal de la haute société ou musette où vont s’amuser les domestiques, du moment qu’il y a de la danse ça me va :p
24: Who do you consider to be one of the most underrated historical figures?
François Guizot! Tout le monde nous bassine avec Jules Ferry et sa loi sur l’éducation, mais honnêtement, s’il n’y avait pas eu Guizot et sa loi de 1833, on serait toujours à brouter au poteau de départ.
Merci beaucoup pour ces questions! ça m’a fait une belle récréation! ;)
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I WATCHED GOOD OMENS IN FRENCH SO YOU DON’T HAVE TO
and it wasn’t that bad. Here are my thoughts, barely edited as I wrote most of them while watching the show.
EP 1
OK i like god’s voice so far
possibilité d’embarras gastrique is a good formulation, I wonder if it’s the same in the book ( I think I kinda need to read it in french now...)
aghghdhgs « primo-délinquants »
of course subtitles don’t match the audio for a variety of technical reasons but when you get things that have very different underlying meanings i find it… not good This one about Crowley being evil / a demon : subtitles : « c’est ton travail » - « it’s your job » audio : « c’est dans ta nature » - « it’s in your nature » i mean dang
crowley sounds like a little shit asking az about his sword
« T’AS FAIT QUOUA » - he just loses his shit (kinda giving me some le coeur a ses raisons vibe)
ok crowley sounds very nerdy when he tries to explain that he took down the phone network, i think i actually like this voice acting
ligur sounds… very suave (im a little ill at ease)
crowley getting called mon chou by satan freddie mercury is a thumb up from me
i see the part where aziraphale speaks japanese wasn’t dubbed over and we can still hear michael sheen. it’s a bit disturbing considering french aziraphale has a higher pitched voice (and he sounds soooo much more anxious than sheen, give this angel a xanax )
“sandwich bœuf cresson” ( beef and cress sandwich ) deirdre really who makes this kind of sandwiches
im being reminded that the chattering nuns prepared little cut outs for their explanation about the antichrist switch… such dedication to useless crafts (it made me laugh on my first viewing and it’s still funny to imagine that some of them either ordered or built these things themselves just so they could make this two minutes long presentation for the most important act of their satanic nun careers)
retire-toi vil démon infernal, créature des abysses XD i swear az doesn’t sound even remotely convinced when he is saying the « get thee behind me foul fiend » line in french, it’s just too over the top for credibility, it sounds like it’s straight out of some super intense dnd session
they still can’t say bouillabaisse (which, like, weird because french, but still valid). nice touch is crowley couldn’t say soupe de poisson (fish stew) either and said poupe de soisson (sish ftew)
warlock mah boy how can you be a teenager and not like dinosaurs
c’est un dinosaure un nullosaure plutôt - apply burn heal
La façon dont warlock s’est exclamé « C’EST NUL » m’a fait penser au nain de naheulbeuk
the english version has nothing on french speaking aziraphale for the second hand embarrassement during the magic tour. it’s over 9000 i literally hid my head in my jumper when he was presenting harry the bunny. Horrible experience, 0/20, would not recommend
EP 2
oooh agnes has a lovely voice !
why is young newton having such a quality dub for the three sentences he has to say
dick turpin’s name is jesse james (tbf dick turpin is not known AT ALL in france, i discovered him reading good omens)
shadwell is pure chaos (as expected). No particular accent for him though, the chaotic energy was probably enough. Would have made me laugh if he had like, a chti or a marseilles accent.
aziraphale is so fucking stressed out by crowley’s driving i thought he was gonna explode
« tu es un gentil garçon » => « you’re a nice boy » said az to crowley DANG THAT’S SO INFANTILIZING AZIRAPHALE YOU’RE TALKING TO A DEMON FROM HELL NOT TO PINOCCHIO
ARGH FIRST MON ANGE OF THE SERIES i’m hit straight in the heart
anathema’s mom doesn’t have a spanish / latino accent at all when talking in spanish…. why...
dog being called toutou is definitely adorable (it’s basically « doggy » but way cuter imo)
tickety-boo has become ça gaze. that’s valid. it’s corny but i still use it unironically from time to time so ... i stan
EP 3
« je répands la fomentation » « i’m here spreading foment » « quoi tu fais des crêpes au froment ?????? » « what you’re making crêpes with wheat ??? » love the fact that we shoehorned in one more ref to crêpes
az called crowley mon cher camarade, unintentionnal communist propaganda ftw
« pas de repos pour les… bah, pour les bons » « no rest for the… good » – az was so deflated about the ineptitude he realized he was saying, he felt zero percent commited to his sentence
i was wondering how they would play aziraphale not being able to speak french in the bastille and they opted to have him stutter a bit and say to his executionner « excuse me i’m anxious » XD
« vous êtes le 999e aristo à mourir par mes soins. Mais vous êtes le premier en costume beige » « you’re the 999th aristocrat I’m going to kill, but the first one in beige attire » yeah i guess now that az isn’t english anymore his most noticeable feature is his cream aesthetic
« c’est au cas où ça tournerait en eau de boudin » « j’ADORE le boudin » => « in case it all goes pear shape » - the literal translation featuring food in french is « turning into black sausage water ». I don’t know what pear shaped inspires to english native speakers but the mere mention of boudin always make me giggle, it’s such a funny word and such a funny food
OH !!! no terrence rampa for the tv series, we’ve got anthony J. rampa. Rip terrence petit démon parti trop tôt :’(
« tu roules trop vite pour moi rampa » SERIOUSLY i know we can still infer « rouler » (here as in driving, but literally rolling) as a metaphor for their relationship but you could have said TU VAS TROP VITE that would have been so much better argh
has anathema got an emergency stock of potteries to break in case of emotionnal crisis ?
« Rampa, un démon très futé, il m’oblige à redoubler d’effort » « crowley, a very clever demon, he forces me to make double the amount of effort » oh so admitting you’re making an effort there aziraphale ? :))))))
dang i really want to know how shadwell said that major milk bottle died because not only did he die in combat but aziraphale’s reaction is a bit intense, it must have been quite a tale (this could be a crack fic prompt : «The Epic Tale of the Death Of Major Witchfinder Milk Bottle, by Sargent Witchfinder Shadwell» )
des sorcières et des phénomènes sorciéreux x)
CROWLEY CALLED AZIRAPHALE DUCON ?????? EXCUSE ME ????? #NotMyCrowley #CrowleyWouldNeverDoThat #CancelAnthonyJRampa2K20 => ducon would be an insult, the gathering of du and con, con being a very nasty but common swear word, and associating it with du- makes it extremely patronizing. it’s like « absolute pathetic digraceful moron +++ ». thanks i hate it *frowny face *
EP 4
l’apocalypse c’est pour aujourd’hui juste après le goûter : it could be translated as « apocalypse is scheduled for today right after tea time » except that « goûter » is not quite tea time but rather the little sugary snack kids take when they come back from school and that most adults drop out of (i haven’t and i’m sure az hasn’t either). thanks aziraphale for having exclusively food related notion of the time because tbh same
ligur has no right to be this sexy between ariyon bakare and his french voice actor that’s just not allowed
radio crowley’s voice vs french ligur’s voice, who has the sexiest voice : FIGHT
(jk french agnes nutter’s voice is by far the sexiest)
gender neutral doesn’t ‘quite’ exist in french but pollution has been assigned a female voice actress and masculine pronouns (i’m saying it doesn’t quite exist because officially we have no gender neutral, but it’s a serious wip among lgbt+ circles to the point where it’s started being used in a few medias)
hastur « en attendant qu’un plombier vienne » / « while waiting for a plumber to come » does hell have a special plumber unit or do demons have to call on human plumbers for their pipes damages ? Dang hastur having to call a human plumber for hell’s plumbery is another damn good writing prompt for a crack fic
Michael is called Michel in the subtitles but Michael in the audio *shrug emoji*
EP 5
to get a wiggle on has become « il faut qu’on se remue les fesses », literally « we need to shake our butts » like, yes, se remuer les fesses is a common expression to say « we need to act in order to get things done » but it really casts the image of people shaking their booty to some music and obviously crowley thinks the same Weirdly enough I have almost nothing to say for that episode. Sorry. But we’ve discovered most voice actors and actresses so far and no bit of dialogue really struck me as worth discussing or pointing fingers to mock it.
EP 6
« on va BROUTER quelques derrières » - « we’re gonna lick some butts » OK THIS IS UNQUESTIONNABLY FAR SUPERIOR IN FRENCH THAN IN ENGLISH you thought LICKING butts was good ??? you really thought that ???? AZIRAPHALE HERE SUGGESTS TO GRAZE BUTTS. TO NIBBLE THEM. TO EAT THEM. TO. MUNCH. ON. THOSE. BUTTS!!!! not just licking, guys. This is as serious step beyond licking. (oh yeah he should have said « botter » instead of brouter btw, which is really just kicking, fyi)
« moi je crois en la paix, pétasse ! » wow, language, pepper (fyi i think « pétasse » is far far worse than « bitch » even if it means roughly the same, pétasse is almost never used while bitch is rather common, so it’s a swear word +++)
Dagon sounds like she’s got a nasty cold. #GetDagonIbuprofen2K20
I can confirm that Crowley offers Aziraphale to not just stay at his place, but to move in with him. « tu peux t’installer chez moi si tu veux ». omg they were roommates.
Bad translation strikes again : i don’t know why, but the french dub doesn’t have the « tickety-boo » / « ça gaze » being referenced as Rampa / Aziraphale is being knocked down, which is… a real mistep. It was narratively significant and I’m quite mad the translators missed it.
The Jesse James explanation from Newt has become very nonsensical, instead of the neat and to the point pun « wherever I go I hold up trafic » we’re getting a circonvoluted « because it’s a crime to mechanic’s diligence ». I’m not judging that one too hard, I have no idea how to make it better, and that’s probably how it was translated in the book as well thirty years ago, but it definitely doesn’t have the same impact. On the other hand, it definitely IS a very bad joke that doesn’t even deserve a chuckle, so Anathema’s embarassement really matches the audience’s (aka mine).
OVERALL :
I wasn’t convinced by Crowley… I mean, Rampa’s voice at first, but as the nerdiness showed up it really grew on me. I still think that french dubs have often problems with some voice inflexions every here and there, and for instance in Rampa’s case it was when he was annoyed or frustrated ( at the Globe when complaining about horses and Shakespeare’s plays that aren’t comedies, and also when discussing Azirphale’s magic tricks, it’s like… there is a step between having the right amount of grumpy complaining and overdoing it that is overlooked. It’s overacted, it should have been a bit quieter imo. I don’t mean to criticize voice actors too hard either but as an audience watching french dubs this is a very recurring problem and it always feels off to me. It’s actually one of the main reasons I avoid french dubs whenever possible.)
I have a hard time judging Aziraphale’s voice dub because it clashes so much with both the idea I had formed with it when I read the book and Sheen’s delivery that I just… kinda filtered it. It was too high pitched for me, and too anxious (though for this last point I must admit it could be funny at times, but I’m not fond of this character portrayal). The rest of the cast was rather good, nothing to complain about. There wasn’t anything stellar either, but everything that needed to be conveyed was and it was professionnal. It was also very homogeneous, no voice really struck me as being way too bad or way too good compared to the others, so it was really consistant.
So I don’t have much to complain about overall despite a few wonky translations here and there, BUT there is one thing I felt very robbed of : Crowley calling Aziraphale « mon ange » happens only once, when giving a lift to Anathema, and I’m almost certain they translated it that way because otherwise the joke about Anathama mistaking them for a couple wouldn’t work. So, they were forced to make it that way. The rest of the time Crowley calls Aziraphale « l’angelot », and despite being literally translated by « little angel », it feels sarcastic more than anything else ( the « L’ » in front of « angelot » is part of the reason why, it creates some distance, the other reason being that this word in itself has a very corny vibe and people being affectionnate to each other wouldn’t use it as a term of endearment). So, that’s a shame.
I like the English dub much much MUCH better than the French, but the french wasn’t nearly as bad as I was expecting it to be. The voice actors and actresses were quite good, the dialogues mostly faithful and endearing despite a few really missed steps. It really had its moments. Props to brouter des derrières, that one was fantastic.
#good omens#french#french omens#tv omens#my stuff#meta#review#long post#text post#i hope you found this entertaining :)
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Happy Worldbuilding Wednesday : du coup, je te retourne la question aussi sur les costumes ! À quoi ressemblent les vêtements de Sighild, Edwige et Thomas, ont-ils des goûts particuliers ou des différences selon leur région d'origine ?
Happy WBW ! J’adore cette question, je vais enfin pouvoir parler VETEMENTS ! Bref, je vais me calmer et essayer de rester synthétique parce que sinon je pourrais y passer 3 heures et décrire les costumes de tous les pays.
Pas de différences notables selon les régions, mais plus en fonction de l’occupation. Silghild, Edwige et Thomas portent la plupart du temps des tenues pratiques pour se battre et bouger. Sommairement : une tunique d’équitation s’arrêtant à hauteur des genoux, un pantalon ample, des bottes épaisse et une cape, laquelle peut-être fermée par des fibules ornées. Leurs vêtements sont assez simples, les guerriers considèrent leur mise avec beaucoup de pragmatisme puisque ces vêtements risquent d’être tachés/déchirés etc. Les démonstrations ostentatoires de luxe sont ainsi mal vues, y compris chez les gradés. Et bien sûr quand ils combattent, ils sont revêtus d’une côte de mailles et d’un casque à nasal et équipés de divers armes et, pour Sighild et Edwige du moins, de leurs boucliers.
Au niveau des préférences, ça se joue sur les couleurs. Au début de l’histoire, Sighild porte des couleurs froides (bleu sombre, noir etc.) avant d’évoluer progressivement vers des couleurs plus vives comme le rouge et le blanc. Ceci reflète à la fois l’évolution de son état d’esprit, du noir du deuil au rétablissement ainsi que les grandes étapes de sa vie (fêtes, mariage etc.). Elle a toujours autour du cou un petit médaillon en or hérité de sa mère. Edwige est dans les teintes claires avec du bleu pâle et Thomas des couleurs solaires, du rouge notamment.
Quand elle n’est pas en service, Sighild porte une tenue prisée par les femmes du commun, soit une robe à l’ample jupe s’arrêtant aux genoux, passée sur un pantalon, et enfilée par dessus une chemise épaisse. Une de ses robes selon ce modèle est gris perle avec une ceinture rose pâle. Elle possède également des accessoires fétiches, notamment un châle brodé de cygnes.
Une occasion pour eux de sortir des tenues plus luxueuses est la fête du solstice. C’est une occasion rare et ils en profitent bien. Sighild et Edwige portent des ornements de cheveux attachés au-dessus de leur tempe dans un style qui fait fureur à ce moment-là. Edwige a choisi un flocon de neige et Sighild un soleil. Sighild porte à ce moment-là une très belle robe rouge :
“Dire que Sighild avait accordé beaucoup de soin à sa tenue relevait de l’euphémisme. Elle l’avait fait pour elle-même, pour le plaisir de rompre avec l’ordinaire. Sa robe était d’un rouge vif et solaire, le bas orné de motifs stylisés comme autant d’astres rayonnants. Ses lèvres écarlates, selon une mode venue de la capitale, s’y accordaient à merveille. Par contraste, sa cape fermée par une attache circulaire à chaque épaule était d’une teinte nocturne. Les perles cristallines reliant les deux fibules se paraient de reflets ambrés. Comme Edwige, elle affichait en plus de son escarcelle une petite dague décorative à la ceinture. Sighild portait enfin un ornement de cheveux figurant un soleil auréolé de flammes. ”
(La tenue de Sighild est bien sûr beaucoup moins précieuse mais c’est l’esprit qui compte)
La dague cérémonielle est en effet portée par les guerriers en toutes occasions, y compris les mariages où il est coutume pour les deux mariés de se vêtir de blanc afin d’attirer la faveur de la Déesse.
(Toutes les images proviennent de Pinterest)
#la folie des vêtements#worldbuilidng wednesday#j'adore cette question#larmes de givre#écriture#upthebaguette#writeblr#french writeblr
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Est-ce que tu écris uniquement sur ordinateur ou aussi en partie sur papier? Petit bonus : est-ce que tu utilises des tableaux pinterest ou autre éléments de visualisation pour tes persos?
Un peu des deux, mon capitaine ! On va dire que j’écris 80% sur pc, parce que je vais plus vite, c’est certain, mais j’aime bien créer mes notes sur papier (c’est d’ailleurs pour ça aussi que je les perds ou que je les oublie, humhum...), faire des tableaux ou des brainstorming avec des flèches ou des petits dessins (costumes ou coiffures par exemple).
Pour la visualisation des personnages, comme j’ai un pas trop mauvais niveau en dessin et que j’adore le chara-design, j’aime bien les construire moi-même pour me donner une idée, comme quelque chose comme ça par exemple (brouillon cracra, attention) :
En général, c’est à ce moment que les personnages se construisent d’eux-mêmes, que se dessinent leurs personnalités et que je les associe plus nettement à un statut social ou une couleur représentative :)
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https://youtu.be/r8v5zG7BN6U
youtube
Benjamin Biolay, épisode 3 ou 4, je sais plus. On a le temps de compter, mais encore plus celui de perdre le fil.
Alors voilà c’est le tube de l’album Négatif qui est dans mon top 3 des albums de Benjamin Biolay (mais j’avoue qu’il y en a 4 que j’ai pas ENCORE écoutés, parce que JE NE SUIS PAS LOGIQUE dans mes engouements).
Bref, 3-4, c’est bien Négatif, haha.
Une de mes chansons préférées du disque, et il y en a beaucoup.
La vidéo vaut le coup (pas toujours le cas par contre selon moi, pardon BB), j’adore. Il faut comprendre cette chanson déjà un peu obscure et moi je comprends ça, pour toute explication différente écrivez-moi. Moi je comprends qu’il veut la gloire qui est ici symbolisée par une chaise à Tokyo (« te prendre de haut »), se la péter quoi. Déclaration fracassante et vaguement honteuse un peu comme Alain Souchon voulait en son temps « du cuir, du vécu, des gros seins des gros culs ». Dans la vidéo il se la pète donc, star mâle blanche masculine (éblouissant de classe dans son beau costume avec sa clope et sa morgue), les danseuses dénudées exacerbent le cliché mâle dominant qui s’exporte. Mais il est sur un socle qui tourne, c’est donc ridicule, il fait la gueule, il s’emmerde, il est tout autant chosifié que les danseuses, il n’est qu’un cliché de plus, face aux japonais spectateurs qui l’acclament, blasés, à la fin du show. Bref, il veut un truc qu’il sait déjà être un malentendu. Bref, titre futé et vidéo ironique, du grand Biolay déjà donc.
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