#même pas une vraie plainte
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la meilleure réponse quand ça viens au customer service c’est « jmen calisse. » quand les clients me disent « oh jva juste aller à la salle de bain » ou « est-ce que c’est correcte si je mange qqch de la maison » ou « désolé j’ai juste des 25¢ » JE MEN CALISSE!!!! as long que tu ne me fait pas mal et que tu ne fait pas mal aux autres, je m’en calisssssse. Entièrement.
#shenanigans#même pas une vraie plainte#juste des pensées qui reviennent après avoir travaillé dans l’industrie#le amount de monde qui pense que la shit qui font arrive pas comme at least une fois par jour#´ah ma carte tape plus’ oui la tienne et celle a tout le monde#je l’ai entendue déjà celle la!!!!!#ça m’a au moins apprise à être moins préoccupée de ce que les autres pensent de moi#parce que maintenant je sais que le monde qui travail aux caisses te voient et puis quand tu sort ils t’oublie
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15/09/2023 -- Photo 5 à 11:
On y est ... vous allez connaitre ma pire expérience dans ce domaine. Tout d'abord, sachez que je publie les photos parce qu'elles méritent d'être postées et ensuite parce que je prends pas en compte ce que je vais vous expliquer juste en dessous.
Courant mois de juillet, je fais une rencontre assez surprenante avec cette personne. Elle me demande de faire les IA et il y a une sorte de feeling qui se crée. On discute, les choses se passent normalement et d'un coup il y a un changement de comportement mais c'est extrêmement débile. La personne me demande + mais pas en terme d'IA mais en réel, on me demande des photos, des vidéos, des rencontres très glauques que je refuse parce que je n'ai pas pour objectif de faire des rencontre en faisant ça. Certaines menaces sont faites ( celle de me ruiner, de divulguer de fausses informations sur moi, venir directement chez moi pour me v***** et me frapper ) si je ne fais pas tout ce que la personne demande. Bien entendu je sais très bien que c'est du bluff et je ne prends pas au sérieux ( je vous rassure c'est réellement du bluff ) et ça fini par se calmer au bout de quelques jours d'ignorance. Il y a très peu de temps, tout reprend de plus belle, ça utilise les mêmes méthodes de lâche et cette fois, la personne s'accapare mes IA en disant un coup que c'était elle qui l'avait fait puis son ex et pour finir son frère ( pas crédible surtout que les photos sont signées de base ). Très clairement j'en pouvais plus, c'était à la limite du harcèlement et ça devenait un enfer, tous les jours des menaces et du chantage jusqu'au jour où j'ai décidée de porter plainte contre cette personne ( je ne l'ai pas fais ). Plus tard, je rencontre la vraie personne qui avait fait les photos .. oui j'ai appris que cette personne était un voleur de photos sous plusieurs comptes et donc plusieurs vols différents. Voilà pour l'histoire, j'ai fais un bref résumé mais globalement vous savez tout ^^
Les publications reviennent à la normale sans aucune embrouille cette fois ci x)
#ai art#ai girl#anime art#manga#Illustration#illustration art#Illustrative art#digital art#ai artwork#ai generated
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Je me sens extrêmement seule et incapable. Je me répète inlassablement. Je me demande toujours autant à quoi ça sert tout ça. Les études. Cette relation. Le travail. Les proches. Toutes ces grandes thématiques, je les ressens et les perçois de travers. J'ai du mal à comprendre qu'il faut que je me réveille. J'essaie d'être solide sur mes appuis et de ravaler, refouler tout ce qui manque de déborder, pourtant, j'ai l'nfecte sensation de rester la gamine fragile qui se plaint pour rien. Qui veut constamment parler d'elle. Je n'ai de cesse de prendre du recul et tenter d'être une meilleure personne pour moi et pour les autres. Je dois réfléchir dans le mauvais sens. À force de n'avoir que mon seul retour comme reflet, j'emprunte le mauvais chemin. Je peine à savoir comment me comporter dans toutes les situations et avec n'importe qui. Même avec moi. J'ai passé chaque jour à idéaliser le suivant et le problème doit se situer là. Une certaine envie d'exister et à la fois de me rayer de chacune des existences qui jonchent la mienne. Je suis inapte en ce qui concerne tout ça. Je n'ai pas de place et je n'arrive pas à me la faire alors j'attends. Je passe le plus clair de mon temps à attendre quelque chose dont j'ignore tout car ça me paraît plus simple que d'attendre une vraie chose, un vrai événement, un vrai progrès. J'ai longtemps préféré avancer à taton et finalement c'est bien ce flou désagréable qui me ronge. J'ai créé tout ça. J'ai modulé une vie qui me dégoûte. Et la solitude que je ressens en ce moment est profondément douloureuse, elle puise dans un chagrin insatiable de mon être. Je suis contaminée par quelque chose qui me dépasse et qui me déplace le cœur. Je ne saurais pas citer une seule chose qui pourrait me consoler . Pas une. Et ça me navre. Il y a tellement de gens, de choses, comment c'est possible qu'aucune ne me vienne à l'esprit et me permette d'être soulagée ? Ça n'a rien de rassurant d'exister. Et je crois que le pire, c'est de m'avouer qu'avec moi même, je m'ennuie. Je me fuis parce que je reste, encore aujourd'hui, incapable de trouver de l'intérêt dans mon entité. Je pense souvent au suicide dernièrement, ça ne m'a jamais réellement quitté, mais l'intensité varie. Tout ça reste pénible et j'ai jamais su trouver une autre penser plus réconfortante que celle là, me dire, qu'un jour je pourrai disparaître définitivement. Pourquoi faire tous ces efforts quand les conclusions sont les mêmes depuis des années ?
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Si Dieu est la priorité dans votre cœur, écrivez « Amen ».
Vous qui répondez « Amen », vous voulez certainement être une personne qui craint Dieu, n’est-ce pas ?
Cliquez sur le lien pour rejoindre le groupe d'étude gratuit :
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Si oui, arrêtez-vous pour lire les paroles de Dieu, qui sont probablement ce dont vous avez le plus besoin.
Dieu dit : « Qu’est-ce que craindre Dieu ? Et comment peut-on s’éloigner du mal ?
“Craindre Dieu” ne signifie pas un effroi et une horreur sans nom, ni une évasion, ni un éloignement, ni une idolâtrie ou une superstition. Au contraire, c’est l’admiration, l’estime, la confiance, la compréhension, la bienveillance, l’obéissance, la consécration, l’amour, ainsi que l’adoration, la reconnaissance et la soumission inconditionnelles et sans plainte. Sans une connaissance authentique de Dieu, l’humanité n’aura pas une admiration authentique, une confiance authentique, une compréhension authentique, une bienveillance ou une obéissance authentiques, mais seulement l’effroi et l’inquiétude, seulement le doute, le malentendu, l’évasion et l’esquive ; sans une connaissance authentique de Dieu, l’humanité n’aura pas une consécration et une reconnaissance authentiques ; sans une authentique connaissance de Dieu, l’humanité n’aura pas une adoration et une soumission authentiques, seulement une idolâtrie et une superstition aveugles ; sans une connaissance authentique de Dieu, l’humanité ne peut absolument pas agir en accord avec la voie de Dieu, craindre Dieu ou s’éloigner du mal. Inversement, toute activité et tout comportement dans lesquels l’homme s’engage seront remplis de rébellion et de défiance, d’imputations diffamantes et de jugements dénigrants à Son sujet, et d’une conduite perverse contraire à la vérité et à la véritable signification des paroles de Dieu.
Une fois que l’humanité aura une véritable confiance en Dieu, elle Le suivra et dépendra de Lui authentiquement ; c’est seulement avec une confiance réelle en Dieu et une dépendance réelle de Dieu que l’humanité peut avoir une compréhension et un entendement authentiques ; la vraie compréhension de Dieu est suivie d’une vraie bienveillance envers Lui ; c’est seulement par une bienveillance authentique envers Dieu que l’humanité peut avoir une obéissance authentique ; c’est seulement par une obéissance authentique à Dieu que l’humanité peut avoir une consécration authentique ; c’est seulement par une consécration authentique à Dieu que l’humanité peut avoir une reconnaissance inconditionnelle et sans plainte ; c’est seulement avec une confiance et une dépendance authentiques, une compréhension et une bienveillance authentiques, une obéissance authentique, une consécration et une reconnaissance authentiques que l’humanité peut vraiment parvenir à connaître le tempérament et l’essence de Dieu, et à connaître l’identité du Créateur ; c’est seulement quand ils sont vraiment parvenus à connaître le Créateur que les hommes peuvent éveiller en eux-mêmes une adoration et une soumission authentiques ; c’est seulement lorsqu’ils ont une véritable adoration pour le Créateur et qu’ils Lui sont vraiment soumis que les hommes peuvent véritablement mettre de côté leurs mauvaises voies, c’est-à-dire s’éloigner du mal.
Cela constitue tout le processus de “craindre Dieu et de s’éloigner du mal”, et c’est aussi le contenu de craindre Dieu et de s’éloigner du mal dans sa totalité. C’est le chemin à parcourir pour en arriver à craindre Dieu et s’éloigner du mal. »
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Ceci n'est pas un chant de haines envers les mecs, que nous aimons au fond
Mais y a un vraie problème,venons ici le chanter et osons
Dans ce texte ,j'vous next pas
C'est juste la réalité inversée
Des averses de larmes avérées
《
Madame la comisssaire
J'ai été violé hier
Par une jeune femme
Qui m'a fait vivre ce drame
Pouvez vous m'aidez?
Je ressent l'envie de me suicider 》
Alors mec qu'est ce que tu viens foutre ici
T'a trop montrer tes pecs et tu croyais obtenir d'la poesie
Sale michto,j'suis pas facho mais t'aurais du te couvrir ,j'suis sure que devant son clito ta jouie
Alors mec on laisse entrevoir ses tetons sans entrevoir qu'on va deverser les passions
Alors mec qu'est ce que tu foutais dehors a cette heure ,t'a pas de pudeur ,de douceur ,tu croyais eviter la douleur?
Ils ont tous été agressée ceux la ,ils viennent se plaindre,porter plainte et geindre alors qu'ceux sont des tainp qui font tout ce qui faut pas
Mec ,j'suis comissaire t'est qu'un comis de cuisine sans salaire
Ferme ta gueule ,sinon on va te noyer dans nos ovaires
:
Mais madame la comissaire
Je souffre et en plus j' suis bipolaire
Ferma ta gueule ,t'est bipolaire ah ouai?
Tu veux qu'on t'envoie en psy puis dans un cimetière
Je vous rappele que vous les hommes vous êtes juste des femmes mais sans valeur
Vous oubliez votre pudeur ,vous les homelettes pleins de bave et de terreur
Vous avez passer votre vie a faire les beaux dans des caves ,paie ton honneur
Ici on est des bonnes femmes ,on va pas chialler devant vos pseudos drames
Bande de comediens en pleurs
Vous êtes des sales chiens bon qu'a devenir coiffeur
Le jeune homme face à l'immonde se troua et se piqua la tête
Horrifié par le discours de cette flic qui dans le vraie monde serait vu comme femelette
On retrouva son corps ,violé dedans ,dehors puis pendu par la mort
Voilà ce qui arrive dans l'extreme
Pour vous rappeler que juge ,flic et magistrat ne nous croirons pas même avec un poeme
Aujourd'hui nos filles ,soeurs et meres et même nous même sommes abusées par le male rusé qui jouie de sa fusée rendant nos discours usés
Aujourd'hui osons brandir la pancarte et affirmer ce Sang ecarlate
Plus de régles bidons ,plus de bide ,de bite effrontés par le manque de punission
Vous naissez de notre ventre pour le briser en son antre
N'avez vous pas honte?
On vous déteste pas ,sauf les violeurs et gros machos sans foi
Mais comprenez notre charge mentale ,le harcèlement de rue en raffale
Le jugement sur notre physique quand vous ne nous qualifiez pas d'hysterique
Aujourd'hui nous sommes les rats devenues reines pour inventer la mort aux rois
Aujourd'hui a bat les regimes forcé par ton mec et la gym en excès
Aujourd'hui a bat les gros pecs qui se croient superieur et qualifient ton corps de laid
Aujourd'hui vive la liberté qui gifle et trucide l'oppression
Vive les femmes et hommes libres ,les clitos et pour les enfants vive la recreation
Nébuleuse
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THÈME : CE N'EST PAS FINI... (Partie 2).
Jésus lui dit : Je suis le [seul] chemin, la [véritable] vérité, et la [vraie] vie. Nul ne vient au Père que par moi. Jean 14:6
Dans le monde ordinaire, Dieu peut ignorer l'ingratitude ou les murmures, mais il n'épargnera pas ceux qui se plaignent dans le royaume. Dans Malachie 2:1-3, cela a été clairement énoncé. Voyons comment l'Écriture l'exprime :
Malachie 2:1 Maintenant, sacrificateurs, ce commandement est pour vous.
2. Si vous n'écoutez pas et si vous ne prenez pas à coeur de donner gloire à mon nom, dit l'Éternel des armées, j'enverrai sur vous la malédiction, et je maudirai vos bénédictions ; je les ai déjà maudites, parce que vous ne les prenez pas à coeur.
3. Voici, je corromprai votre race, je répandrai du fumier sur vos visages, le fumier de vos fêtes, et l'on vous emportera avec lui.
Remarquez les mots "Sacrificateurs" et "Commandement" au verset 1. S'il s'agissait de rois et de prêtres, cela impliquerait que les personnes du monde terrestre sont également concernées par ce commandement. Mais non, il ne concerne que les sacrificateurs, ceux qui représentent le royaume de Dieu.
Nombres 11:1 nous dit que "les plaintes du peuple déplurent à l'Éternel ; l'Éternel les entendit, et sa colère s'enflamma ; le feu de l'Éternel brûla au milieu d'eux, et consuma ceux qui étaient à l'extrémité du camp". Et 1 Corinthiens 10:10 se réfère à ce texte en disant : "Ne murmurez pas, comme quelques-uns d'entre eux ont murmuré, et ont été détruits par le destructeur".
Vous vous demandez peut-être pourquoi les murmures et l'ingratitude exaspèrent Dieu, et bien c'est parce que la gratitude en elle-même est un mystère qui perfectionne son plan pour nous. Jésus avait toutes les raisons de se plaindre lorsqu'il a découvert que Lazare était mort. Au début, quand ils lui ont parlé de la maladie de Lazare, il leur a dit que Lazare n'allait pas mourir. Il est même resté en arrière pendant deux jours, probablement pour chercher la face de Dieu au sujet de Lazare. Mais étonnamment, avant de partir, il a confirmé à ses disciples que Lazare était mort. Quel est le lien entre cette expérience et la nôtre ? "Cette maladie n'est pas mortelle", "Lazare est mort".
Et si quelqu'un avait racheté la maison que Dieu vous avait promise ? Et si vous n'obteniez pas le travail prévu ? Un changement de résultat n'implique pas un changement de Sa Parole. La Parole de Dieu s'accomplira toujours, même si les résultats sont évidents.
Jésus savait comment faire respecter la parole de Dieu, même lorsque les résultats évidents disent le contraire. Il s'est rendu au tombeau de Lazare et a remercié Dieu de l'avoir entendu lorsqu'il a prié. Souvent, nous sommes accablés par les résultats évidents et nous sous-estimons le Dieu tout-puissant. Si Dieu a pu créer une armée à partir d'ossements desséchés, que ne peut-il pas faire ? Jésus a donc rendu grâce, et Lazare, qui était mort et puant, est revenu à la vie. Alléluia !
Quelle que soit la mort, quelle que soit l'heure, l'action de grâces peut redonner vie à n'importe quelle situation. Lazare était au bout du rouleau. Il était mort et avait été enterré pendant quatre jours. Marthe a dit : "Maintenant, il puerait" ; son affaire était déjà réglée. Mais Jésus leur a fait comprendre que même s'il était mort, il y a encore de la vie dans le dernier. Et tandis qu'il rendait grâce à Dieu, Lazare, qui avait atteint sa décomposition, a retrouvé la vie.
Dieu donne toujours le meilleur de lui-même, même aux derniers moments. Jésus devait nourrir 5000 personnes, et tout ce qu'ils ont pu trouver, ce sont 5 pains et 2 poissons. C'était le dernier de toute la région. Mais Jésus savait ce qu'il fallait faire pour redonner vie à ce qui restait. Alors qu'il remerciait Dieu pour ce qui restait, il y avait suffisamment de nourriture pour nourrir plus de 5 000 personnes, même avec les restes. Dieu peut encore faire de ces derniers jours de l'année quelque chose de tangible pour vous. Tout ce que vous avez à faire, c'est ce que Jésus a fait : le remercier pour ce que vous avez, et faire l'expérience de la vie à partir de ce qui semble être le dernier.
Engagez-vous donc dans l'action de grâces à Dieu, et essayez de ne pas généraliser votre action de grâces. Comptez vos bénédictions et remerciez Dieu pour chacune d'entre elles. Remerciez Dieu pour chaque client qu'il vous a donné cette année, remerciez Dieu pour chaque réseau qu'il a créé pour vous, remerciez Dieu pour chaque maladie dont il vous a délivré, remerciez-le pour chaque mauvaise relation dont il vous a sauvé. Remerciez-le pour chaque fois qu'il vous a tiré d'un mauvais pas. Généraliser votre appréciation de Dieu peut ne pas vous donner accès aux bénédictions que vous désirez.
Que Dieu vous bénisse.
Prophète Jean Élie Onction.
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NOS ASSEMBLÉES DE CROYANTS (ÉGLISE OU AUTRE) NE POUSSENT PAS LES CROYANTS À NE FAIRE QUE CE QUE DIEU LEUR DIT PERSONNELLEMENT, DE FAÇON INDIVIDUELLE.
ON N'ENTEND PAS NOS DIRIGEANTS SPIRITUELS (PROPHÈTES, PASTEURS OU AUTRES) DIRE AUX CROYANTS, DE NE FAIRE QUE CE QUE DIEU LEUR DIT PERSONNELLEMENT.
CE QUI SIGNIFIE, EN RÉALITÉ, "CHERCHE DIEU JUSQU'À CE QUE LE CRÉATEUR TE DISE QUELQUE CHOSE, ET NE FAIT RIEN TANT QUE LE TOUT-PUISSANT NE T'A PAS PARLÉ DIRECTEMENT".
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SI JÉSUS EST AVEC NOUS, TOUS LES JOURS, JUSQU'À LA FIN DU MONDE, POURQUOI UNE ASSEMBLÉE DE CROYANTS (ÉGLISE OU AUTRE) EST SI IMPORTANTE DANS LA VIE DES CROYANTS DE NOS JOURS ?
S'IL N'Y A DE BON QUE DIEU SEUL, CELA A POUR CONSÉQUENCE QUE TOUTES CES CHOSES HUMAINES N'ONT PLUS DU TOUT D'IMPORTANCE, CAR SEUL JÉSUS, QUI EST DIEU LUI-MÊME EST LE BON BERGER :
LA RELIGION ET SES RITES,
LES LIVRES SAINTS (BIBLE OU AUTRES),
LES DIRIGEANTS SPIRITUELS (PROPHÈTES, PASTEURS OU AUTRES),
LES ASSEMBLÉES DE CROYANTS (ÉGLISES OU AUTRES),
JE LE REDIS, TOUTES CES CHOSES HUMAINES N'ONT PLUS DU TOUT D'IMPORTANCE, CAR SEUL JÉSUS, QUI EST DIEU LUI-MÊME EST LE BON BERGER.
ET JÉSUS EST AVEC NOUS, TOUS LES JOURS, JUSQU'À LA FIN DU MONDE.
SI TU CONSIDÈRES QUE JÉSUS EST LE CHEMIN, LA VÉRITÉ ET LA VIE.
L'AS-TU VU SUIVRE CES CHOSES DANS SA VIE PERSONNELLE ?
On reprochait à Jésus de ne pas étudier les écritures.
Dieu s'est toujours plaint des cultes religieux et du fait qu'on ne fasse rien avec le cœur, mais avec la bouche ou l'on suit simplement des traditions, sans vraie consécration.
Jésus a le plus combattu sur terre, les religieux, les dirigeants spirituels qu'il considérait hypocrites, d'ailleurs.
Car la seule façon de suivre Dieu, c'est dans son propre cœur, comme Jésus l'a fait lui-même.
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À un moment donné si nous ne vivons pas dans nos vies personnelles ce que Jésus a dit et a vécu lui-même.
Si nous suivons ce qu'ont dit les apôtres du Christ, alors que Jésus leur a dit de n'enseigner que ce qu'il leur a prescrit.
Et il est prouvé que les épîtres, donc les lettres des apôtres du Christ aux églises, ne viennent pas de ce que Jésus a dit aux apôtres, mais sont des inventions erronées créés par les apôtres eux-mêmes.
Car si tout ce que Jésus a dit et enseigné est consigné dans les évangiles, pourquoi inventer autres choses et l'enseigner aux croyants ?
À chacun donc de savoir par lui-même la vérité, qui ne peut être révélé que par le Créateur lui-même.
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SAIS-TU QU'ON NE VOIT JAMAIS JÉSUS DEMANDÉ CONSEIL À PERSONNE ?
L'apôtre Pierre un jour a donné un conseil au Seigneur, et Jésus lui a répondu "arrière de moi satan".
Comprends que Jésus nous dit ici, que si tu écoutes quelqu'un d'autre que Dieu lui-même, tu écoutes le diable, cher ami(e).
Si tu ne peux dire que Dieu te parle directement, sache que tu suis le diable par défaut.
Car il y a deux sources d'inspiration dans ce monde, Dieu ou le diable.
Je te le redis, à chaque fois que tu ne peux dire que Dieu t'a parlé, quand tu fais quelque chose, sache que tu as écouté le diable, par défaut.
Car notre unique exemple ne faisait que ce que Dieu lui disait personnellement.
ET C'EST EN RÉALITÉ LA DÉFINITION DU SALUT OU DE LA VIE ÉTERNELLE.
"NE FAIRE EN PERMANENCE QUE CE QUE DIEU NOUS DIT PERSONNELLEMENT, JUSQU'À LA FIN DE NOS VIES SUR TERRE".
Jésus, en disant qu'il ne fait que ce qu'il voit fait au Père, nous dit en réalité, que tu ne peux écouter que Dieu seul.
Donc si tu écoutes quelque chose d'autre ou quelqu'un d'autre que Dieu seul, tu ne suis pas Christ, donc tu ne suis pas Dieu lui-même, tout simplement.
C'est pourquoi tu ne peux désormais écouter personne, cher ami(e), que Dieu seul.
Si tu écoutes quelqu'un sache que tu ne suis pas Dieu, mais tu suis le diable, en réalité.
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TU NE PEUX DONC PLUS SUIVRE OU ÉCOUTER :
TON PATRON,
TON CONJOINT,
TES ENFANTS,
TES PARENTS,
LA POLICE,
LE GOUVERNEMENT DE TON PAYS,
TON DIRIGEANT SPIRITUEL (PROPHÈTES, PASTEURS OU AUTRES),
LES LIVRES SAINTS (BIBLE OU AUTRES),
TON ASSEMBLÉE DE CROYANTS (ÉGLISE OU AUTRES),
TA RELIGION ET SES RITUELS.
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Jésus a été maltraité, car il ne s'est pas soumis au gouvernement du pays d'Israël.
Le seul moyen de faire du Créateur ton Dieu est de ne faire que ce qu'il te dit.
Le savais-tu ?
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Rappelle-toi si tu ne peux dire que c'est Dieu qui t'a dit de faire la moindre chose que tu fais, sache donc que tu suis le diable, cher ami(e).
Car suivre Jésus, c'est ne faire que ce que Dieu te dit personnellement.
Donc si tu as peur de la police, si tu as peur du gouvernement de ton pays ou de quoi que ce soit d'autre, sache que tu n'aimes pas Dieu au point de ne craindre que le Créateur seul dans ta vie personnelle.
Non ?
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Ne vivre que pour faire plaisir à Dieu seul, c'est ne faire, à chaque instant, que ce que Dieu nous dit directement, de façon personnelle et individuelle.
Et c'est la vie que le Christ nous a donnée en exemple, et comme modèle à suivre.
Entre dire que l'on croit en Dieu et le vivre, dans la réalité de sa vie personnelle n'est pas la même chose.
Ta vie, démontrera-t-elle que tu suis le Christ et donc que ta vie est similaire à la sienne ?
On verra.
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CAR CE N'EST PLUS L'HEURE DE JOUER AVEC SON EXISTENCE OU AVEC SA VIE PERSONNELLE.
MAIS C'EST L'HEURE DE DÉMONTRER SI ON EST SINCÈRE OU PAS.
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Car à la fin, n'oublie pas que ta compréhension humaine ne sera jamais la vérité.
En effet, si ta compréhension humaine était la vérité, tu vivrais déjà sans commettre aucun péché, comme Jésus.
Non ?
Donc si tu pèches, si tu commets des erreurs, comprends que tu es toujours perdu, car Jésus ne s'est jamais trompé et n'a jamais péché, même une seule fois.
Ta vie démontre qui tu suis.
L'imperfection humaine démontre que l'on suit le diable et non le Créateur.
Le savais-tu ?
Arrête donc de dire que tu es sauvé si tu pèches toujours.
Car regarde comment Jésus réagissait devant les erreurs de ses disciples.
Jésus leur reprochait leur erreurs, preuve que Dieu ne tolère rien qui ne soit pas dans sa volonté.
Et rappelle-toi que la vie du Christ nous enseigne que c'est uniquement ceux qui persévéreront à ne faire que ce que Dieu leur dit personnellement, jusqu'à la fin de leur vie sur terre, qui seront sauvés.
Et qui mène aujourd'hui la vie de sainteté surnaturelle du Christ ?
Car il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus.
Beaucoup de religieux, mais peu de personnes sincères.
Beaucoup d'hypocrisie, mais peu de transparence véritable.
Beaucoup de beaux parleurs, mais peu de véritable sainteté surnaturelle divine.
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PETIT ÉCLAIRCISSEMENT SUR LE TERME "LA PRÉSENCE DE DIEU" UTILISÉ DANS CERTAINS CERCLES RELIGIEUX.
Quelqu'un qui pèche ne vit pas dans la présence de Dieu.
Jésus par sa vie sans péché nous a montré ce que c'est que de vivre dans la présence de Dieu.
DONC L'ÉMOTION OU LA SENSATION DE BIEN-ÊTRE QUE TU RESSENS DANS TON ASSEMBLÉE DE CROYANTS (ÉGLISES OU AUTRES) OU QUEL QUE SOIT L'ENDROIT OÙ TU TE TROUVES, N'EST PAS LA PRÉSENCE DE DIEU, CHER AMI(E).
Car le résultat de la présence de Dieu te transforme en Dieu ou encore t'unit avec Dieu, c'est ce que Jésus a expérimenté.
Jésus, qui a toujours été Dieu, est venu sur terre nous montrer, comment tout être humain peut devenir comme Dieu, en se laissant conduire par le Créateur, tout simplement.
Et vivre dans la présence de Dieu fait que tu ne peux plus faire ce que tu veux, mais uniquement ce que Dieu te dit personnellement.
C'est pourquoi Jésus a dit "Non pas ce que je veux, mais ce que tu veux" à Dieu quand il demandait au Créateur s'il pouvait changer sa volonté concernant son sacrifice à la croix.
En réalité, c'est à ce moment-là que le sacrifice du Christ a eu lieu, c'est quand Jésus a abandonné sa façon humaine de penser pour embrasser celle du Créateur.
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Perrie hausse un sourcil en l'entendant dire qu'il dormira avec son t-shirt et elle ne peut s'empêcher de mettre à rire un peu, on regard se posant sur lui avec une certaine tendresse. "Bien, mais si je te manque autant, je suis dans la chambre juste à côté." Elle fait remarquer avec un léger sourire, avant de jeter un coup d'œil à Harry et de lui sourire un peu, essayant de ne pas trop s'attarder pour se tourner à nouveau vers Louis et venir poser sa main sur son bras avec douceur, réfléchissant un instant. "Je suis très prête à me sauver pour aller en manger une." Perrie affirme dans un léger sourire en se disant que, peut-être, ils pourront faire ça plus tard, partir de cet endroit où elle a l'impression que déjà tous les regards sont braqués sur eux et dans lequel elle va finir par se ridiculiser par x raisons. Sa main toujours dans celle de Louis, elle l'emmène avec elle jusqu'au bar pour commander quelques shots histoire de se remettre les idées en place et serre un peu ses doigts contre ceux du brun en l'entendant, son regard remontant vers le sien. "Ne t'en fais pas, on s'arrangera." Perrie promet presque dans un sourire et vient trinquer ensuite avant de boire le shot, sentant déjà une légère grimace la prendre alors que son regard se plante sur Louis ensuite pour rire doucement. "Ca ne brûle pas du tout ça va." Elle affirme en roulant un peu des yeux et attrape le second avant de le tendre vers lui. "Et après on va danser ?" La blonde propose dans un coin de sourire avant de reporter le deuxième verre à ses lèvres. Dans les toilettes, Harry ne sait pas quoi faire à part regarder Zayn aussi intensément, sentant presque chaque partie de son corps se tendre, prêt à sauter sur le brun comme un prédateur sur sa proie, malgré la nonchalance de son corps appuyé contre le mur et ses mains dans ses poches. Ses mains qui ne les quittent que lorsque Zayn est sur lui en quelques pas, et que ses lèvres se crashent sur les siennes, ses doigts venant se glisser sur sa nuque et dans ses cheveux - tirant juste un peu dessus. Lorsqu'il se recule, ses yeux semblent briller un peu et son regard tombe sur les lèvres de Zayn quelques secondes avant de remonter à son regard, frissonnant presque en sentant le pouce de Zayn contre sa mâchoire comme ça alors que ses doigts à lui sont toujours emmêlés fermement dans ses cheveux. "Uh, il souffle juste à la demande, sentant comme une pointe de jalousie brûler un peu au fond de lui, il sait bien pourquoi Zayn lui demande ça et se retient de trop argumenter. "Je faisait preuve de politesse." Il glisse simplement, le ton trop grave pour que la pointe d'innocence sur son visage soit entièrement vraie. Surtout quand son regard retombe sur les lèvres de Zayn, une seconde, et même Harry sait qu'il trahit entièrement le fond de ses pensées, ne peut s'empêcher de glisser un sourire de celui qui est pris la main dans le sac. "Oui, je ne ferais rien." Il rajoute finalement, pour donner sa parole, haussant ensuite des épaules en relâchant même ses doigts dans les cheveux de Zayn et quittant sa nuque pour montrer sa bonne foi, appuyant son dos davantage contre le mur derrière lui. "Je m'occuperais autrement."
Louiq se permets yrop de choses, mais la suggestion de Perrie le prends de court, les sourcils levés lorsqu'il Zayn se tourne vers elle. "Oh, je suis sûr que Zayn sera ravi que je vienne dormir avec vous oui ? On se fera un petit dej au lit." Il pousse même plus loin, avant de proposer une de ses envies les plus innocentes, qui bizarrement, résonne chez Perrie. "...on pourrait. Il doit bien y avoir un dinner pas loin, préviens moi si tu repères une porte d’urgence ?" Il se retrouve à proposer également, le regard presque trop sérieux vers elle en se demandant si elle serait prete a faire ca. Il faudra prévenir les autres évidemment, mais il est plutôt doué pour les convaincre. Et au bar, Louis se plaint, voyant deja Zayn revenir pour se planter a cote et les ecouuter et.. techniquement, ca ne change rien, mais ce n’est pas pareil. Il fait la moue quand Perrie parle de s’arranger et boit le premier shot, un sourire attendri lui venant quand il la voit grimacer comme ca. "Non, cest presque du jus de fruit ?" Il souffle avec un petit rire, son pouce qui passe sur ses doigts pour la réconforter et il hoche de la tête, laissant padser le deuxieme shot. "On va danser. Mais ne me lache pas, uh ? On ne sais jamais qui est autour.." il s’inquiete quand meme un peu, avance avec Perrie vers le dancefloor en regardant les gens autour d’eux, et finit par lever sa main pour la faire tourner en souriant. Zayn fronce des sourcils en sentant la frisson de Harry sous lui, ignorant l’envie de le tirer vers la sortie, de rentrer à hotel, tranquilles, comme ils auraient dû. Et il retient son souffle aux doigts qui tirent ses cheveux, les siens passant à son cou ensuite, un sourire moqueur qui s’installe. "Depuis quand on est polis entre nous ?" Zayn demande, parce que vraiment, il a du retard sur la question. Mais Harry semble reconnaître ce qu'il dit et Zayn s’éloigne, passe ses mains dans ses poches et hoche de la tête, d’accord avec le principe. "Super. Merci Harry, et.. elle repart demain." Il indique tout de même, passe ses yeux sur le brun une dernière fois en se mordant la lèvres, mais finit par rouvrir la porte pour rejoindre l’entrée et chercher les autres, ou plutôt se diriger vers le bar et espérer croiser les autres, au cas où.
She's on my mind when I'm on yours.
Louis est encore en train de courir dans les couloirs de backstage, presque sûr qu'il a réussi à perdre Liam, quand une porte s'ouvre et qu'il ne l'évite que partiellement. Louis se prends le mur d'en face, serrant le ballon contre lui par réflexe et est prêt à menacer de trainer quelqu'un en justice jusqu'à ce qu'il ne relève les yeux et voit Perrie en face de lui et se remette à rire. "Pez ! Personne ne t'a prévenu qu'il fallait faire attention ici love ?" Il se moque, une main sur son épaule qui a un peu pris, mais rien de grave, et Louis se détends, penche la tête en se rendant compte qu'il ne s'attendait pas du tout à voir la blonde ici en fait, et pourquoi Zayn ne lui a rien dit. Sale menteur. "Je te ferais bien un calin mais je dois puer pire qu'un chien mouillé." il grimace, et regarde autour, se demande finalement ou son les autres garçons finalement. "Tu es venue voir le concert ? Tu as besoin d'un autographe ? Tu suis à l'after ?" Louis demande, faisant tourner son ballon sur lui même comme si il essayait de l'impressionner. Peut-être que ça marche, qui sait. Il a l'impression de la voir tellement peu quand ils tournent qu'il se tranforme rapidement en golden retriever surexcité, toujours heureux de voir quelqu'un d'autre que les quatre idiots.
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Urgent ! 3 femmes kidnappent et violent un jeune homme à Sacré Cœur (Dakar). C’est un insolite de mœurs pour un scenario hors du commun. Une vraie histoire ou non. La victime de viol s'est se confié à travers une vidéo YouTube où il raconte sa mésaventure de "jeune homme, kidnappé et violé par trois femmes à Sacré Cœur". Récit... 3 femmes kidnappent et violent un jeune homme à Sacré Cœur 3 femmes kidnappent et violent jeune homme à Sacré Cœur Un jeune homme, kidnappé et violé par trois femmes à Sacré Cœur, se confie [vidéo]. "Il dit qu’il s’est rendu a la police de Mbao pour déposer une plainte que les policiers ont refusé et il a même eu des discussions avec eux avant de reculer." Plainte refusée .... 3 femmes kidnappent et violent jeune homme à Sacré Cœur Un commentateur YouTube livre ses idées : "Donc cette affaire ne va pas s’arrêter là, les supérieurs des policiers vont sûrement convoqué les policiers qui ont refusé cette plainte et à partir de là bas on verra bien est ce que le gars s’es rendue a la police oui ou non." Avant de préciser "Parce que si on a des preuves qu’il s’est rendu a la police après les faits cela démontre automatiquement que cette histoire est vraie." Ce jeune homme a été kidnappé et violé par 3 dames à Sacré Cœur https://www.youtube.com/watch?v=jlCedi5iG64 A lire aussi Un violent incendie s’est déclaré au Port de Dakar
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C’est personnel
« C'est personnel » Prédication par Andrew Rossiter à Villeneuve sur Lot le 25 juin 2023
Jérémie 20.10-13, Matthieu 10.26-33
Le film « Vous avez un message » est l’improbable histoire d’eau de rose de la relation entre une femme qui a une librairie pour enfants à Greenwich Village et un multimillionnaire qui installe un mega-supermarché de livres à deux pas de son magasin.
Quand Kathleen Kelly (jouait par Meg Ryan) découvre le projet de Joe Fox (Tom Hanks) elle est dévastée. Ils se rencontrent plus tard dans le film et le casting est excellent avec Meg Ryan dans le rôle de la pleurnicheuse. Pour expliquer que le projet ne vise pas sa boutique Joe Fox lui dit, « Ce sont les affaires, ce n’est pas personnel », sa réplique est, « c’est totalement personnel, c’est ma librairie qui va disparaître ».
Le thème de pleurnicher était aussi pris par le cinéma français en 1974 avec Jean Carmet dans « Comment réussir quand on est con et pleurnichard » et il découvre que pleurnicher peut vous faire réussir auprès des femmes et dans les affaires.
C’est « la France qui pleurniche », comme l’a dit Richard Ferrand à l’Assemblée Nationale, autant fière que cette France qui râle. Comme si les habitants d’un seul et même pays peuvent partager les mêmes traits de caractère.
Se lamenter, pleurnicher - nous connaissons tous des personnes qui se plaignent et qui peuvent nous plomber notre journée avec leur vision négative du monde. Ces personnes ne connaissent jamais ce que c’est d’être contents. C’est comme si le monde entier s’aligne contre eux pour leur apporter un mauvais coup après l’autre. Ces personnes peuvent détruire des relations et devenir des gens toxiques au point que nous essayer de les éviter. Nous les inviterons jamais pour fêter nos anniversaires.
Il existe un mot en français « jérémiades » que le dictionnaire définit par « une plainte sans cesse sur la place publique qui importune ». Le mot vient de notre prophète Jérémie qui a écrit cinq poèmes de lamentations, dont nous avons entendu un extrait ce matin.
Nous sommes bien plus hésitants que lui d’adresser nos prières à Dieu de cette manière. Nous ne nous plaignons pas auprès de Dieu, nous ne le morigénons pas, nous employons un vocabulaire « spirituellement correct » pour parler avec Dieu. C’est peut-être la mesure de la vérité d’une relation de pouvoir justement houspiller, réprimander et pourquoi pas engueuler l’autre. Si c’est le cas, nous pouvons dire que Jérémie entretenait une relation vraie et honnête avec Dieu.
C’est ainsi que je peux comprendre le langage souvent très violent dans plusieurs Psaumes par exemple. Exprimer sa soif de violence, vengeance et colère, vouloir voir Dieu détruire les ennemies et raser des villes est peut-être l’expression du fait qu’avec Dieu on peut tout dire. Face à l’autre, en qui nous avons une confiance totale, on peut tout dire.
Mais rares (ou non-existantes) sont nos relations où nous avons cette liberté d’expression. Nous avons peur de blesser l’autre, ou peur que l’autre nous tourne le dos et rompre la relation que nous avons tisser avec beaucoup de mal et de soin, donc nous enrobons nos quatre vérités d’une couche sucrée, pour « faire passer la pilule ». Nous nous entendons dire, « J’espère que je ne vais pas te blesser quand je te dis… » Sachant pertinent que ce que j’ai à dire va blesser l’autre. Mais comment le dire sinon? Ou nous entendons, « Je te le dis pour ton bien, tu sais ». Mais non, je ne sais pas, c’est peut-être plutôt pour TON bien que tu me le dis. Ou encore « Je dis ce que je pense ». C’est souvent mieux de penser alors avant de dire.
C’est justement avec Dieu que nous n’avons pas ces craintes. Dieu n’attend pas de nous les mots qui lui plaisent. Dieu n’attend pas de nous un comportement exemplaire et un vocabulaire correct. Certes nous pouvons blesser Dieu avec ce que nous disons ou faisons mais Dieu ne rompra jamais la connexion avec nous, Dieu ne nous tournera jamais le dos. Jérémie parle de ce qui dans son cœur, il ne parle pas de ce qu’il pense, rumine ou calcule. Il dit « Tu m’as dupé ». « Maudit soit le jour de ma naissance ». « Tu m’as séduit ». Il reproche Dieu d’avoir fait de sa vie un lieu de lamentations, de colère et de « négativité ». Car il ressent que tout est contre lui, comme si le monde gravite autour de son nombril. Il a trouvé le responsable et c’est pour cela qu’il est malheureux. Il est comme tous ces croyants qui ont la foi éprouvée, ou qui ont abandonné la foi et voient en Dieu le responsable de leurs malheurs. Comme si Dieu peut arranger leur situation par sa toute-puissance. Il voient un Dieu qui fait ce qu’il veut avec les humains et le monde, sans devoir rendre compte à quiconque.
Mais est-ce le Dieu de la révélation? C’est devant cette question que Jérémie s’arrête. C’est ici qu’il voit une autre possibilité. Jérémie déploie toute son énergie à aimer Dieu: il le sert, il prend sa défense, il est son porte-parole auprès du peuple… et il reste perplexe car il n’en tire aucune satisfaction. C’est comme si Dieu n’existe pas, ou qui ne donne aucun signe de son existence. Il descend dans un spiral de lamentations et de pleurnicheries.
Mais si ce Dieu n’existe pas? Si le Dieu manipulateur, injuste et interventionniste n’existait pas. S’il n’y pas de Dieu indigne d’amour? Si un tel Dieu n’est autre qu’un produit de l���imaginaire de ceux qui pensent mériter son intervention? Car c’est ce Dieu, ou cet image de Dieu que Jérémie conteste. Car ce Dieu n’est pas le Dieu d’amour, de grâce et du pardon inconditionnel.
Et s’il existait un tout autre Dieu? S’il existe un Dieu de la relation intime. Pas un Dieu qui arrange, ou qui n’arrange pas les choses selon nos souhaits, nos désirs et nos besoins, mais un Dieu qui intervient dans nos vies pour les transformer pour que nous devenions les croyants engagés à la transformation du monde.
Dans le film, Joe Fox représente le croyant bien dans ses bottes, « Ce sont les affaires ce n’est pas personnel ». Mais oui, c’est personnel, c’est pratiquement uniquement personnel. Intimement, viscéralement, profondément personnel. Meg Ryan, la pleurnicheuse, avait raison.
C’est à ce Dieu, le seul et unique, que Jésus consacre sa vie. C’est le seul et même Dieu qui attend notre amour en acte en son nom, pour que le monde aille mieux. Peut-être pas tout le monde, mais au moins le petit bout autour de nous. Et surtout parce que nous ne voyons pas, et peut-être nous ne verrons jamais la récompense de nos actions.
Ne soyons pas étonnés que le monde rejette ce message et ce Dieu, car le monde ne veut pas sa conversion et refuse les témoins qui en parlent. C’est à la conversion de ce Dieu que nous prêchons et c’est contre tout autre Dieu que nous révoltons. C’est parce que nous sommes libres d’exprimer les injustices avec nos mots à nous et de faire entendre nos incompréhensions que nous nous proclamons en faveur du Dieu de Jésus Christ qui agit en nous et fait de nous les témoins de ses actions dans les cœurs de gens afin que le monde change.
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Ouand il s'agit de la vie de feu le ministre du Travail John Stonehouse, tout le monde semble avoir sa propre vérité. On sait que le 20 novembre 1974, il a simulé sa propre mort. Mais les biographes, les dramaturges et les membres intéressés du public peuvent être en désaccord sur bien d'autres choses – était-il un « agent communiste » ou même un « espion » ? A-t-il été impliqué dans un « piège à miel » et a-t-il été victime de chantage ? A-t-il simulé sa mort pour s'enfuir en Australie avec sa secrétaire, Sheila Buckley ? Pour moi, ces questions ne sont pas abstraites et ne relèvent pas non plus du divertissement. John Stonehouse était mon père.Pourtant, le "divertissement" est ce qu'est devenue la vie de mon père et de notre famille cette semaine, avec la sortie de la série ITV en trois parties de John Preston, Stonehouse. Ma famille est tourmentée depuis près de 50 ans par de faux articles de presse, des livres, des programmes télévisés et maintenant des podcasts. Stonehouse n'est que le dernier d'une longue lignée qui mêle réalité et fiction.Voici mon point de vue sur la vérité de la vie de mon père, après avoir fait des recherches et écrit un livre à ce sujet, qui comprenait l'examen des dossiers des archives tchèques à son sujet. Il n'y avait pas de piège à miel, comme le prétend le drame de Preston. Cela ne s'est tout simplement jamais produit. En ce qui concerne l'espionnage présumé, nous savons que Stonehouse a rencontré des personnes à l'ambassade de Tchécoslovaquie, sans savoir qu'il s'agissait d'espions, pour discuter du jumelage de sa circonscription avec la ville tchèque de Kladno et, plus tard, pour discuter de la vente d'avions VC10 à leur compagnie aérienne. . Mais je ne crois pas qu'il y ait la moindre preuve qu'il leur ait donné des informations utiles.Les opinions divergent quant à savoir si mon père était payé par des agents du Státní bezpečnost (StB) (car les informations dont ils se sont plaints à plusieurs reprises étaient inutiles et auraient pu être glanées dans les journaux). Mais les documents StB que j'ai vus indiquant que les Tchécoslovaques lui aient donné de l'argent est jonché de défauts démontrables, me suggérant que ces agents du StB ne disaient pas la vérité sur ces prétendus transferts. Les mots les plus vrais prononcés dans ce drame sont ceux de l'agent du StB qui dit à Stonehouse : "Tu es le pire espion que j'aie jamais rencontré." Il n'y a pas d'État britannique des secrets dans son dossier, rien de classifié ou de confidentiel. Dans le drame de Preston, ma mère, qui a travaillé toute sa vie, est dépeinte comme une espionne domestique ennuyeuse. Ma sœur, mon frère et moi sommes représentés comme un groupe d'enfants étrangement silencieux. Quand mon père a simulé sa mort, j'avais 24 ans et ma sœur 26 ans. Nous avions quitté la maison des années auparavant. Preston peint une image de Stonehouse recevant des mallettes d'argent pour payer une voiture de sport, que mon père n'a jamais eue, et une grande maison de campagne. (En réalité, mes parents vivaient dans une maison de ville louée à Kennington.) Tout cela peut être divertissant, mais c'est aussi la refonte de l'histoire parce que les téléspectateurs n'ont pas les informations nécessaires pour distinguer les faits de la fiction. La clause de sortie de Preston est la suivante : « Ce drame est basé sur une histoire vraie. Certaines scènes et personnages ont été imaginés à des fins dramatiques. Preston passera à autre chose, mais notre famille sera coincée avec son interprétation.Les contrevérités s'étaient accumulées bien avant ce drame d'ITV. L'un des articles de journaux les plus dommageables est paru peu de temps après la découverte de mon père. Il disait qu'avant de simuler sa mort, mon père avait expédié les vêtements de Sheila, ainsi que les siens, dans une malle à Melbourne. Cela a conduit à la notion omniprésente que Sheila était "dedans depuis le début". La police savait que ce n'était pas vrai parce qu'ils
ont interrogé le douanier qui leur a dit que la malle n'avait jamais contenu de vêtements de femme. Ce n'est que tard dans le procès d'Old Bailey que l'accusation a finalement divulgué la déclaration de l'officier des douanes, qui a été lue le tout dernier jour.A ce moment là, il était trop tard. Le récit «Bonnie et Clyde prévoyaient de s'enfuir ensemble» était devenu ancré dans la conscience nationale.Le vrai récit, que mon père avait une dépression mentale solitaire, est devenu difficile à accepter pour les gens. En 1976, on ne parlait pas de la santé mentale des hommes et personne ne savait encore que le Mandrax, le médicament prescrit par mon père depuis des années, provoquait dépression, anxiété, paranoïa, confusion, mauvaise prise de décision et un risque accru de suicide. Il serait interdit au Royaume-Uni et aux États-Unis en 1984 – 10 ans trop tard pour mon père.Preston a décidé d'expliquer le comportement bizarre de mon père comme étant celui d'un imbécile malchanceux. Cette représentation est offensante pour ma famille car elle se moque d'une dépression mentale très réelle.Je pense qu'il est temps que la question de l'espionnage soit réglée une fois pour toutes par un « procès » télévisé. Les accusateurs pourraient être des témoins à charge et présenter leurs preuves, qu'un panel indépendant d'universitaires et d'avocats pourrait examiner. Il pourrait y avoir un vrai juge et jury. Je suis sûr que mon père serait innocenté parce qu'il n'y a aucune preuve qu'il était un agent, mais seulement un espion.En 1968, mon père a été nommé au conseil privé en raison de ses services aux exportations britanniques. Ce n'était pas un imbécile malheureux. Apportez le procès, dis-je. Donnez à l'homme une chance d'effacer son nom. Julia Stonehouse est l'auteur de John Stonehouse, mon père Avez-vous une opinion sur les questions soulevées dans cet article? Si vous souhaitez soumettre une réponse de 300 mots maximum par e-mail pour être considérée pour publication dans notre section de lettres, veuillez cliquer ici.
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Petite alerte je ne suis pas mais alors pas du tout un auteur voir même pas niveau CM1 , mais après avoir fait une rétrospective de mes vieux carnets, j’essaye de remettre à jour une vielle histoire.
C’est la faute à tout ses talents que j’ai pu lire dernièrement et qui pour certains avait des idées qui me rappeler mes petites histoires donc désolé pas de relecture , pas de vrai ré écriture juste ma petite histoires
Attention il y a des extrait de la série mais au vu de la date des écrits je suis pas sur de l’exactitude des phrases et pas de chance je ne suis pas encore tombé sur cet épisode malgré les multiples rediffusions, en plus je le déteste cet épisode bon peut être pas à ce point mais bon...
ET SI ....
Chapitre 1 “ Une nuit SI calme”
L’aurore se lève doucement et les premiers rayons du soleil filtrent déjà à travers la fenêtre de la salle de bain, l’eau savonneuse qui commence délicatement à se teinter dans une couleur rougeâtre qui allait bientôt créer une confusion et un désarroi dans le château. Pourtant la nuit avait été à priori paisible, en tout cas silencieuse, mais pourtant elle avait tout perdu jusqu'à son identité , alors pourquoi sa vie.
Plus tôt dans la nuit , elle avait été réveillée par le froid dû à l’absence de son mari qui comme a son habitude avait fui le lit conjugal. Inquiète elle se lève pour partir à sa recherche en pleine nuit. Elle sait qu’il n’est pas chez une de ses maîtresses car ces dernières s’étaient plaintes auprès d’elle dans la journée que son mari ne venait plus les visiter depuis quelques jours. Guenièvre pense elle que son mari avait dû encore s’enticher d’une nouvelle jeune fille, à qui il devait faire certainement faire la cour. Parfois elle s’avouait à elle même qu’elle était jalouse car avec le temps elle avait fini par tomber amoureuse de lui. Oui elle l’aime, juste Arthur, elle admire et respecte le Roi mais l’homme sans aucun doute elle l’aime. Elle aime son intelligence, sa patience avec certains chevalier certes pas avec elle, l’odeur de sa peau qu’elle sent dans leurs lit qui l’enivre, certains soir elle se rapproche pour le sentir pendant qu’il dort et ses doigts jouent avec ses boucles de jais qui dépassent de son bonnet de nuit. Seul son bien être l’intéresse, elle s’est oublié depuis longtemps.
Elle se dirige vers les cuisines quand elle voit de la lumière s’échapper du dessous de la porte, elle s’active et ouvre la porte avec entrain.
“Ah vous êtes là dit elle qui vous bécoter à cette heure”
Non elle doit rêver, ce n’est pas possible, il est bien là mais avec la femme de Karadoc, une femme qui se disait son amie.
“Mon dieu mais vous êtes complètement fou “
Arthur bégaye et perd toute sa prestance qui le caractérise si bien.
“Pourquoi ..qu’est qu’il y a ...”
Elle relève la tête et son corp se fige.
“La femme d’un chevalier , la faute suprême, vous me noyer dans la honte”
“Ah mais non c’est pas ça ...c’est que voyez pas bien, c’est une esclave grec..écouter”
Mevanwi perdu répond “grec , cela vas pas être bien probant”
Un froid glacial s’installe entre eux.
“Qu’est ce que vous allez faire, respecter la loi et tuer votre ami Karadoc”
“Je sais pas ...”
“Et qu’est ce que vous allez faire de moi”
“c’est à dire comment ça ..rien, ben si comme d’habitude, ben rien”
Son visage se fige, la tête toujours haute, royale, pour la première fois une vraie Reine.
Arthur est tétanisé, il ne sais que dire, il la regarde dans les yeux et il y lit toute la détresse du monde, une blessure qui ne pourra plus guérir. Les larmes montent aux yeux de Guenièvre et il baisse son regard de honte, cette fois il a dépassé les bornes, le désir d’avoir l’interdit, de maitriser son destin pour une fois et de faire un pied de nez aux dieux .
Elle ouvre la bouche doucement et comme si elle lisait dans ses pensées , d’une fluette dit :”Vous êtes allé trop loin , on pas jouer a ce point avec son destin, renier le bien et le mal”
Elle le regarde avec toute la douceur qui lui reste et tout en se dirigeant vers la porte, elle se retourne une dernière fois.
“Bonne nuit Arthur”, ses lèvres s’étire dans un sourire rempli de regret et de peine .
Arthur se laisse gagner par la culpabilité et une nouvelle née au creux de son ventre. La femme de Karadoc ne bouge plus, elle reste à côté de lui en silence. Guenièvre est déjà loin, le froid s’est installé définitivement dans la cuisine. Arthur tourne sa tête vers la femme à côté, elle est jolie certes mais est ce qu’elle en vaux la peine, tuer Karadoc, non , c’était un con mais c’était un de ses cons et elle que sait il sur elle, il la désir c’est une certitude mais la connaître et l’apprécier , il ne sait pas. Quelle connerie, qu’est ce qu’il avait foutu.
“C’est une erreur”
“Mais vous me disiez..”
“Certainement, mais ce n’est pas une vraie raison, je ne vous aime pas, en tout cas pas assez pour tout détruire, retournez auprès de votre mari”
De Retour dans sa chambre silencieuse, Guenièvre s’effondre sur son lit...non sur leur lit. Son cœur s’écroule sur les regrets de sa vie, il avait dit “RIEN” , elle juste rien , elle pleure à chaude larmes et sa respiration se bloque régulièrement. Elle a mal, tellement mal, pourquoi est elle encore là, un homme aime dans la forêt, elle pourrait le rejoindre , mais elle ne l’aimait pas , elle aimait Arthur.
Il la trouve laide , à vomir, ont lui avait rapporté plusieurs fois. De toutes façon que faire, ses parents passent leurs temps à lui faire des reproches, à lui rappeler son devoir. Non mais quelle connerie comment ils veulent qu’elle le fasse l’héritier, elle peut pas le faire toute seule. Les femmes de la cour ne lui parle pas, les chevaliers l’évite car ils ont peur des réactions de son mari, le seul, son confident , est parti.
Ses journées sont ennuyeuses à mourir, elle n’a jamais eu le droit de véritablement s’instruire, le strict minimum, le principal serait de s’occuper de son futur mari, voilà les excuses à la noix. Et maintenant elle était une gourde aux yeux de tous, conne comme une chaise d’après le tavernier.
Après quelques temps, les larmes ne coulent plus, elle est vidée. Elle lève la tête, quelle imbécile, alla a pleuré dans ce foutu oreiller pour ne déranger personne. C’est fini, elle ne peut plus, elle s’approche de son armoire et choisi une robe blanche avec des liser��s argentés, cette robe est belle, elle l’avait choisi pour essayer comme toujours à son mari. Elle fait réveillée une des nouvelles servantes, pas Angarad, surtout pas elle. La servantes l’aide a enfiler sa robe et a nouer les lacets dans son dos, cette robe est provocante malgré sa couleur avec son corset serré qui révèle les formes de sa poitrine et son décolleté découvre ses épaules. Elle s’attache les cheveux en une tresse et insère de jolie perle et quelques rubans blancs.
La servante un peu décontenancé d’avoir été réveillé en pleine nuit, ne peut se retenir de lui dire:
“Madame est très belle, ou allez vous à cette heure”
“Faites moi couler un bain”
N’importe quoi pensa la servante, ces bourges je vous jure.
L’odeur des extrait de rose de son bain envahit la pièce, la servante s’éclipse, Guenièvre contemple son bain le regard perdu puis y rentre toute habillée, ses jupons flottent dans l’eau Elle tient fermement dans sa main un mouchoir dans lequel est emballé un petit poignard avec les emblèmes de la Carmélide gravé sur son manche.
Le jour se lève tandis que dans un élan de désespoir, elle approche son poignet et la lame rentre doucement dans chair, cela lui procure une douleur lancinante puis un soulagement. Elle recommence le sang ne coule pas assez vite , ses entailles ne sont pas assez profondes . Elle fini par lâcher le poignard qui se fracasse sur le sol, un bruit métallique retenti dans le silence, elle ferme les yeux et sourit.
Alors que le jour est levé, le château se réveille, les serviteurs s’activent, la servante qui avait été réveillée en pleine nuit croise Angarad.
“Tiens dis donc elle est pas bien dans sa tête la femme du Roi”
“Et puis savoir ce qui te permet de dire cela, Madame est une personne très gentille et au vu du mari qu’elle se tape je la trouve très seine d’esprit , en même temps dire qu’elle se le tape c’est un grand mot”
“Ouais ben là, elle me fait lever en pleine pour l’habiller comme si elle se rendait au bal et puis après elle vas prendre un bain”
Mais qu’est ce qu’elle raconte celle là, elle est pas bien, la Reine est beaucoup trop réservé voire parfois trop effacée même si elle peut avoir du caractère quand elle veux. Ce n’est pas normal cette histoire , elle doit en avoir le cœur net et se dirige vers la salle de bain sans plus attendre. Elle a un mauvais pressentiment , accélère le pas puis entre sans prendre le temps de frapper à la porte.
Le sang .....
Ce sang partout , son sang qui recouvre le sol autour de la baignoire, puis elle la voit , elle , la Reine qui glisse dans son bain , les poignet ensanglantés.
Angarad avait été coupé dans son élan , le choc , la peur , aucun son ne sortait de sa gorges , mais en voyant Guenièvre s’enfoncer dans l’eau , elle réagit vite avec une force qu’elle ne se connaissait pas elle la sortie de l’eau, et elles tombèrent sur le sol ensanglanté. Non ce n’était pas possible, pas elle , elle rêve non elle cauchemarde, elle pose ses mains contre les poignets pour arrêter le sang.
La nouvelle servante qui avait suivie Angarad par curiosité arrive dans la salle de bain ouverte et le premier de cette affreuse journée avait poussé.
“Elias ...Merlin ....VAS CHERCHER hurle Angarad, MAINTENANT”
La servante pars en courant.
Cette nuit avait été calme et reposante pour les habitants du château, Et SI ça vie avait été différente peut être que la matinée aurait été aussi calme
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LA PEUR DE LA CONDAMNATION
Dans une de ses hymnes, Charles Wesley écrit : ‟Je ne crains plus aucune condamnation ; Jésus et tout en Lui sont à moi ! Demeurant en Lui, mon chef vivant, je suis habillé de Sa justice divine et avec assurance je m’approche du trône éternel, pour réclamer la couronne à travers mon Jésus-Christ”. Dans cette hymne, l’auteur peint une image triste de la peur et des tourments de la condamnation. Ainsi, retrouver la liberté vis-à-vis de la condamnation apporte un soulagement à l’âme. Dans une cour de justice, la condamnation qui résulte des crimes et délits commis par des individus sont une conséquence naturelle de la justice. Quand les personnes offensées viennent porter plainte contre les auteurs de crimes et autres forfaits et apportent la preuve de leurs accusations, la cour condamne ces derniers conformément aux dispositions de la loi.
Dans le texte d’aujourd’hui [JEAN 3 :18-36], l’humanité est présentée devant Dieu comme condamnée à cause du péché. Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. ‟…, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière parce que leurs œuvres étaient mauvaises” (Jean 3 :19). Mais Jésus a payé le prix pour nos péchés en devenant une offrande acceptable auprès de Dieu en notre faveur. Maintenant, Dieu qui est en même temps juge et la personne offensée, est satisfait de cette offrande, et Il est prêt à annuler le verdict du jugement qui condamnait l’humanité. Mais cette offre n’a de valeur que pour ceux qui se repentent réellement et croient en Jésus-Christ.
Quand vous venez à Christ, la culpabilité et la condamnation du passé qui hantaient votre âme sont ôtées. Ainsi donc, Dieu vous pardonne tous vos péchés passés parce que le prix équitable de votre justification selon la loi a été payé par Jésus-Christ. La foi en Jésus vous affranchit de la condamnation (la condamnation de Satan, l’auto condamnation et la condamnation éternelle au trône de jugement de Christ).
Êtes-vous libre de la condamnation ? Refuser de reconnaître vos péchés ou essayer de les rationaliser ne vous absoudra pas de la condamnation. Seule la repentance sincère et la foi en Jésus-Christ pourront vous justifier. Jésus-Christ vous invite aujourd’hui à recevoir la vraie liberté et le repos pour votre âme.
Seul le sang de Jésus-Christ est assez puissant pour enlever la tache de votre culpabilité.
Mon frère, ma sœur venez à Jésus-Christ, la culpabilité et la condamnation qui hantaient votre âme seront ôtées, vos péchés vous seront pardonnés. Ses provisions sont encore disponibles, mets ta foi en Lui et tu seras affranchi de la condamnation. Il détient la vraie liberté et le repos pour notre âme. Que le nom de l'Éternel Dieu Tout-Puissant soit béni au nom puissant de Jésus-Christ 🙏🙏
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Je me souviens bien du jour où tu nous as ramené l’autre boudin-là... Comment s’appelait-elle, déjà ? Bérangère ? C’est ça, Bérangère. Un numéro, une vraie mocheté. Et con avec ça. Conne et prétentieuse, même. Elle faisait quoi déjà ? Des études de socio à Tolbiac, la pauvre. L’épicentre de la nullité gauchiasse. Je me souviens qu’elle m’a dit en parlant de sa fac pourrie : “on est souvent en lutte. On bloque. Pour l’égalité avec les étudiants sans papiers”. Mais quelle horreur cette meuf. Je ne peux pas imaginer que tu te la sois tapée. Mais même en coma éthylique, elle me frôlait c’était le dépôt de plainte direct. Tu nous avais raconté qu’elle t’avait vomi dessus un soir de beuverie, dans les chiottes du Red Horse, avec ta queue dans la gorge. Même que t’avais remarqué qu’elle avait bouffé des coquillettes au ketchup, et qu’elle avait failli s’étouffer dans sa bouffe, cette baltringue. Mais comment t’as pu la traîner jusque chez toi, la galocher et la grimper ? Tu m’avais dit qu’en plus, elle préférait les meufs, la tarte aux poils, tout ça... Qu’elle vivait dans un squat du XIXème avec des anarchistes, des trotskos, des clandestins et des étudiantes-militantes. J’ai pensé que ça devait sentir bon là-dedans. Des effluves de pétard, de pieds pas lavés, de nègre transpirant, de laitages pourris… le vrai parfum de l’humanisme. Et elle au milieu de tout ça, fille de fonctionnaires, petite-fille de paysans, avec son jean déchiré, son perfecto volé à Neuilly, ses cheveux sales, pas peignés, ses hésitations entre Les Verts et Mélenchon , ses slogans du type “élections-piège à cons”, ses deux ou trois contradictions... Je ne comprends même pas pourquoi tu me montres ce pola dégueulasse. Me dis pas que t’as la nostalgie, je ne te croirais pas. Tiens, tu ne m’avais pas dit qu’elle ne se rasait pas non plus. Remarque, j’aurais du m’en douter. J.-M. M.
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Le Rose est un cri
Celui contre le gris
Celui qui refuse de grandir ,affirmant ses désirs
Dans le monde aigris des saltimbanques noyés sous les banques
Dans le cri violent des abbatoires d'animaux ,dans les tiroir puants du désespoir ,dans la drogue ,dans la morgue ,dans les rimes mainstream et sans âme ,dans l'aurore grimée de mort et limée du corps jusqu'au sang.
Je suis végétarienne ,véget-alien, végé anti "race arienne " ,végé-terrienne ,vegé taré mais je suis surtout Rose comme ce sachet d'été qui infuse mon corps de soleil enivré.
Le Rose est un cri ringard ,kitch ,beau et assumé d'une femme enfant timbré dont la maturité est si puissante qu'elle en reste môme pleine de génie.
Il n'est pas Barbie ,la société et la niaiserie
Il n'est pas tout cela.
Le Rose est rétro, vintage,désuet anarchiste,grande gueule remplie d'une piété si forte se mariant à cœur joie avec la révolution,celle des schizo- neuneus fêlés aux épopées complexes ,trop émotifs et sensibles.
Oubliez le Rose sociale des supermarchés à Noël .Ce n'est pas le vraie Rose.
Le Rose c'est l'aurore bohème et les prairies de pivoine ,les jardins de roses libertaires,le soleil de la folie ,les sucre d'orge ,barbe à papa et les petites pestes déroutantes.
Le Rose est un monde de rêve où les étoiles sont si prudes et sexuelles à la fois.
Le Rose est une oasis tellement chaude et protectrice mais elle est si anticonformiste que même le plus punk des punk ne l'accepterais peut être pas .
Le Rose que beaucoup de femmes fuient à l'âge adulte dans le sérieux, le rock'n roll et le féminisme radicale par exemple .
Pourtant il est si engagée en moi ,si féministe, si fort ,puissant et indestructible dans mon histoire ,mes espoirs et soirs noirs .
Il est le plus grand de mes combat que j'ai mener car me le réapproprier s'est fait dans un bain de sang d'âme et de larmes qui crient.
Retrouver cette Couleur qu'on m'a volé en me violant fut plus intense que de porter plainte car me la réapproprier c'était dépasser le plus grand cap ,renaître, dire merde à la société ,à ces 4 hommes ,au patriarcat,au système, à la honte, la culpabilité mais surtout le combat de devenir enfin moi même et de tenter chaque jour de m'aimer de plus en plus.
Regardez en face sa profondeur ,celle de l'enfance qui refuse la bestialité du travail ,l'animalité commercial et capitalistes sans couleur des hommes et des femmes .
C'est pour cela qu'elle fait peur car l'adulte qui à compris qu'il ou elle sera à jamais un enfant est bien plus avancé que l'adulte qui se pense adulte depuis toujours .
Le Rose est une douleur profonde qui se transforme en une joie ronde
Il est pour moi le repos et la dernière bouée de sauvetage quand mon ciel de verre coupant se défenestre encore en mille morceaux sous ma peau tranchante.
Le Rose c'est les marchés de dimanche ,des fan de manga perdue dans un monde merveilleux.
Le Rose c'est la neige qui rend le sang mille fois plus pure.
Le Rose c'est le chair de nos vulves qui sont les artères de l'univers à en faire pâlir et mourir l'enfer.
Je suis une femme ,bisexuelle ,ronde, marginale ,très folle mais de façon si spectaculaire et lucide malgré tant de défauts complexe en moi même.
Le Rose ne m'enlevera pas ma banderole.
Je refuse au plus profond de moi même la consommation ,la cigarette et l'alcool .
Je cherche le Rose pour arrêter un jour de fumer et de cesser de m'enivrer aux cris des médicament qui nous canalisent dans le canal de la came en fiole.
Je cherche le Rose qui est mon calmant contre ce monstre qui m'eventre lentement avec le bruit strident de la chair baignée dans du cyanure acide aux douleurs abominable .
Sous le souffle barbare du feu ,le Rose était la Couleur des viols que j'ai subit sous ma peau volée mais aussi la couleur que j'ai longtemps préférée avec le Jaune pendant des années.
Je me le suis réappropriée dignement comme un peuple retrouverait son pays volé la tête haute .
Ils sont sous ma peau ,les hommes qui m'ont pénétrer sans mon consentement alors j'écris et peint mes veines et ses formes pour m'en libérer .
On dis que la vie n'est pas Rose alors moi j'en mets pour combattre l'injustice par cette couleur immense et sans vice.
On dis que c'est la vie quand on parle des clodos qui meurent dans le métro alors si la vie est ainsi moi je leur offrirais des rose jamais niaise,de rose couleur bonbon et des rose fushia pour combattre le malaise de la tristesse et du froid .
La vie n'est pas Rose ou c'est la vie.
Ne soyons pas d'accord avec ceci .
Ramenons du Rose dans un bouquet de prose ,faisons de notre sourire une arme contre le néant qui hurle .
Je crois que Dieu est un punk Rose et que la Terre est un concert endiablé où il faut de la justice ,une révolution Rose pétant pour combattre le temps ,la guerre et le néant .
Nique le système ! Il faut être réveillée ,pas drogué et anéantie par la fumée des cigarettes pour être rebelle,crier devant la foule que le monde ne sera pas Rose mais qu'il en faut bien plus .Il faut détruire les barbies ,la taxe rose misogyne faussement praline à la machine et faire machine avant pour créer du vraie punk Rose ,des fantaisistes,des excentriques Arc en ciel qui changent de ciel pour en créer un nouveau à la crème vanille praliné et aux nuages bonbon.
Voilà pourquoi j'aime cette Couleur.
Elle n'est pas à part .
Hommes et Femmes , Extraterrestres et terriens,terriennes peuvent l'aimer
Je suis féministe et j'aime le Rose ,car mes tétons et mes lèvres qui me permettent de m'exprimer sont Rose .
J'aime le Rose et pas celui de la manif pour tous qui n'est pas du Rose mais du gris deguisé pour les cri formatés.
Aujourd'hui le ciel est Prose et mon Sang se tord alors je peint avec du Rouge passion mélangé au Blanc de la neige pure et légère pour combattre la torture de mon corps violé .
Ce soir le Ciel est Violet comme l'éternité et mon cœur est Rose de liberté .
Je cherche l'innocence si subversive de mon enfance avant qu'elle n'ai été salie , souillée, démolie par le viol ,la maltraitance, l'horrible hôpital psychiatrique pour adolescent et la folie humaine .
Il pleut de la neige dans mes veines car le ciel pleure la blancheur de ses nuances.
Comme une enfant sage ,oxymore et pleine de haine ,il coule du sang Couleur Rose dans ma prose ,dans mes veines .
Rose comme un coup de poing mais aussi comme une fleur
Nébuleuse
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