#métaphore
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roiallard123 · 2 years ago
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Le point de vue du regret
Novembre 2020
Tu arrives peut-être de nul part
Tu ne te souviens peut-être pas de moi
Après 3 ans,j’ai remarqué que tu me manquais
Ta vie n’a jamais été simple
Tu ne m’as qu’échangé tes problèmes
Un soir j’ai vu les policiers chez moi
Tu étais parti sans dire au revoir
Je n’y ai pas pensé cette soirée là
Nos vies n’allaient plus jamais se revoir
Tu étais parti avec la lumière qui t’a tué
Une lumière de bon temps
La lumière des étoiles qu’on regardait sur le bord du feu
Pendant 2 jours tu es resté seul
Personne ne pouvait te sauver
Je ne savais pas que c’était la dernière fois que je te voyais
C’est si innocent de ma part
Je ne t’ai jamais dit au revoir
Après tout ce que tu m’as appris
Je ne t’ai même pas appris qu’est-ce que c’était de me connaître à mon plus fort
Mais à mon plus faible, je me rend compte que je m’inspire de toi pour aller mieux
Je regrette tant de ne pas t’avoir prêté attention
Tu as fait une crise d’épilepsie
La seule fois où tu as été chanceux dans ta vie, c’est quand les faibles chances d’en mourir t’ont gagnées
André, je suis sincèrement désolé
Si seulement tu pouvais ramener le monde à la normale
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irresolu · 1 year ago
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L’image, écrivait en 1918 Pierre Reverdy, « ne peut naître d’une comparaison, mais du rapprochement de deux réalités plus ou moins éloignées. Plus les rapports des deux réalités seront lointains et justes, plus l’image sera forte — plus elle aura de puissance émotive et de réalité poétique ». Antoine Albalat, dans L’Art d’écrire, ne dit pas autre chose. Reverdy admet encore que le rapport doit être juste ; mais nous ne sommes qu’en 1918. Depuis, quels progrès ! Moins il y a eu de justesse dans le rapport, plus l’image a paru « pure » ; et celui qui se refusait à voir un cheval galoper sur une tomate se faisait traiter de « crétin ». — Raymond Queneau, « Lyrisme et poésie », dans Volontés, no 6, 1er juin 1938, repris dans Le Voyage en Grèce
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eaujourdhui · 14 days ago
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fertabi · 3 months ago
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Peau-aime
La ronce me pique et je suffoque sous ses lianes.
Depuis peu à nouveau, tous les matins, j’arrache celles qui m’entravent le plus, je coupe celles que je peux et ma foulée se dérobe.
Elles me tiennent comme des béquilles, depuis toutes ces années qu’elles façonnent les entourages de ma personne. Sans elle je serai nue.
Parfois la chaleur les assèche et je peux légèrement bouger, tournant mon visage vers le soleil, respirant à plein poumons alors que les épines tombent.
 Autour de moi je vois de beau rosier. Parfois envahissant mais souvent bien taillé. Chez moi, ce n’a rien de comparable. Mon terrain, vague, miné, est envahi depuis des années. Au début j’arrivais à combattre, les dents serrées, les paroles affutés, je taillais dans la masse les jours de grande marée. Mais aujourd’hui que faire de cette torture solitaire, installée, étouffante.
Un chevalier, un jour viendra- t -il comme dans les contes de fée pour sauver la princesse des tourments qui la serre, qui l’acère son cœur depuis tant d’année ?
Les belles histoires et ceux qui ont de beau rosier disent que les ronces peuvent parfois être domptées, que ce n’est pas si compliqué. Qu’il faut juste convenablement s’organiser et s’armer de courage, léger et régulier.
Qu’avec de l’audace on peut même en faire de beau escalier pour s’élever plus haut que celles qui ont de simple rosier. Qu’avec de l’adresse on peut tisser des paniers pour transporter le fruit mure de nos belles années. Les lianes solides pourraient donc me porter et me transporter, plutôt que de m’étouffer ?
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cyberlabe · 1 year ago
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“Equality and Equity as Political Principles,” International Women’s Day 2024.
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rechab · 1 year ago
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La caresse légère du pinceau - ( RC )
peinture perso encre et acrylique – 2021 –La soie du pinceaufait des entrechats :par petits sautselle se pose ça et là. Un peu de couleurdisposée sur la page humides’étend au petit bonheur:l’intention est fluide. Tout est permis :je vais oserl’entaille de la nuitou mieux encore, la diviser, lui donner un peu de fantaisieune autre lumièreque celle d’une galaxieoù l’on se perd. Mais dans ce…
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atelierkintsugiteashop · 2 years ago
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Les enfants sont comme de la porcelaine, délicats et fragiles. Mais comme la porcelaine, ils sont également résilients et capables de se réparer eux-mêmes. Tout comme l'art japonais du Kintsugi, qui consiste à réparer les objets brisés avec de l'or pour souligner leur beauté, les cicatrices et les expériences difficiles de nos enfants peuvent les rendre plus forts et plus beaux que jamais. En les aidant à cultiver la résilience, nous les aidons à devenir les plus belles versions d'eux-mêmes. #Kintsugi #Résilience #Enfants #Métaphore #DéveloppementPersonnel #Parentalité #Soutien #ConfianceEnSoi #EstimeDeSoi #Bienveillance #Empowerment #Fierté #Amour #Famille #Équilibre #Harmonie (à Mikazukidō - Atelier de créations artisanales) https://www.instagram.com/p/CpMUeZxj3lp/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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lekunaka · 2 years ago
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Tu doutes au point de douter de tes doutes.
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roiallard123 · 2 years ago
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Samedi 27 juin 23h10
Dans le reflet
Je perd mes idées dans l’eau
Elles ne partent pas du bon sens
Si je les retournes, elles s’y ressemblent
Mais elles se contredisent
La logique est retournée
Comme mon cerveau est retourné
Caché de toute logique
Mais je ne le remarquerai jamais
Ça parait si réel
Je n’ai pas peur du faux
Je l’ai côtoyé toute ma vie
C’est toujours si facile d’être sain
C’est pourquoi l’éloignement m’attire
Les raccourcis, c’est fait pour les rapide
Moi je ne suis qu’une lente petite rivière
Qui ne se ressemble jamais
Elle est toujours différente à chaque jour
Elle évolue
Puis elle ne devient pas mauvaise
Mais pas bonne
L’été me ressemble, je coule dans un endroit si lointain, et si inutile
Je ne traîne pas dans mes pensées
C’est mes pensées qui me traîne
J’ai hâte au lendemain
Car les mains, ça ne me traîne pas
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gotlostlosingsleep · 1 year ago
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“I can still hear you saying you would never break the chain”
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aschenblumen · 3 months ago
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Si la metáfora proviene de una heurística del pensamiento, ¿no se puede suponer que el procedimiento que altera y cambia un determinado orden lógico, una jerarquía conceptual, una disposición concreta, se identifica con el método que da origen a toda clasificación? Es verdad que no conocemos otro funcionamiento del lenguaje fuera del que ya posee un orden establecido; la metáfora no engendra un orden nuevo si no es en cuanto produce desviaciones en un orden anterior; sin embargo, ¿no se podría pensar que el orden nace de la misma manera que cambia?; ¿no existiría una «metafórica», según la expresión de Gadamer, que actúa en el origen del pensamiento lógico, en la raíz de toda clasificación?
—Paul Ricoeur, «Estudio I. Entre retórica y poética: Aristóteles» en La metáfora viva. Traducción de Agustín Neira.
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girafeduvexin · 20 days ago
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Possession, A.S Byatt.
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dsirmtcom · 9 months ago
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NC - Miguel de Unamuno, Traité de cocotologie
Notes contemplatives - Miguel de Unamuno, Traité de cocotologie #Philosophie #Filosofía #MardiCestPhilosophie #Contemplation #Unamuno #Espagne #Cocotologie
Notes contemplatives de lecture – Note contemplative n°  71 Philosophie espagnole Aucune explication verbale ne remplace jamais la contemplation. Saint-Exupéry, Pilote de guerre. Notes de lecture Préface de Fernando Arrabal Miguel de Unamuno y Jugo, la célébrité venue, perdit sa préposition, sa conjonction et son deuxième nom pour devenir rien moins que “Unamuno” tout court et parfois même…
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melancholic-cinnamon-roll · 9 months ago
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"Sadia et Cristal, au premier regard, c'était comme le feu et l'eau"
Qui est le feu, et qui est l'eau ? Même si l'ordre dans la chanson laisse penser que sadia = feu et cristal = eau, pour moi, c'est plutôt l'inverse (et mis dans cet ordre là uniquement pour la rime)
Sadia, c'est plutôt l'eau, déjà de part son code couleur (elle est associée au bleu de par ses cheveux, et dans le spectacle actuel, beaucoup de lumières bleues sont utilisées pendant travesti), mais aussi, de par son comportement. Si on découvre l'histoire, on pense que Sadia, même si très imprévisible, est du côté des Étoiles Noires : elle est à leur tête, et semble s'entendre avec Johnny. Mais au dernier moment, on découvre qu'elle travaille pour Zéro Janvier. Comme l'eau qui monte doucement, au point où on ne se rend pas compte de sa dangerosité, jusqu'au moment fatidique, où elle détruit tout sur son passage. Si on ne se méfie pas assez d'elle, on en subit les conséquences.
Cristal, de son côté, est associée au feu, avec ses tenues dorées et ses cheveux blonds (sa tenue bleue est beaucoup moins iconique que la dorée, je pense, donc je ne pensais pas l'évoquer, mais elle rentre techniquement dans le code couleur des flammes, donc pour moi ça passe). Elle est chaleureuse, pleine d'entrain, réconfortante, comme un bon feu de cheminée en plein hiver. Mais dès le moment où elle est libre, elle s'embrase, détruisant elle aussi tout sur son passage, jusqu'à se consumer complètement. Quand Sadia dit à Johnny "tu joues avec le feu", c'est pour la prévenir du caractère de Cristal, qui semble au premier abord belle, calme impossible à toucher et pourtant si attirante, mais qui, une fois lâchée de toute emprise, va se déchaîner, et ne plus obéir à aucune personne.
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alessandro55 · 5 months ago
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Ettore Sottsass Métaphores
Sous la direction de Milco Carboni e Barbara Radice
Skira Seuil, Paris 2002, 125 pages, 24x34cm, ISBN 97888849132491
euro 140,00
email if you want to buy [email protected]
Dans ce carnet intime, Ettore Sotsass, l'un des plus grands designers contemporains, laisse entrevoir ce qu'a été son expérience créatrice de la fin des années soixante au début des années soixante-dix. De cette période très féconde au plan artistique tant pour lui que pour bien d'autres artistes, Ettore Sotsass publie pour la première fois des projets et des photographies prises aux États-Unis, en Italie et en Espagne, entre 1968 et 1976. Soigneusement sélectionnées par ses soins, les pièces sont présentées dans le cadre d'une histoire par laquelle l'artiste convoque sa mémoire et dialogue avec son passé. Ce journal personnel en images permet d'accéder à l'univers culturel complexe de Sotsass et d'approcher son processus de création.
Progettato da Ettore Sottsass, il volume costituisce una sorta di diario intimo e di riflessione per immagini di uno dei più grandi designer del nostro tempo, con suggestive fotografie scattate dallo stesso autore. Interamente ideato e disegnato da Ettore Sottsass, il volume rappresenta le esperienze concettuali e artistiche compiute dal maestro milanese tra la fine degli anni ‘60 e i primi anni '70.
Considerato uno dei più acuti e provocatori designer del dopoguerra internazionale, fondatore di Memphis e icona della cultura postmoderna, Ettore Sottsass ha da sempre alternato l'attività di progettista a un uso continuo della fotografia come strumento per riflettere sulla realtà e sul ruolo della visione. Il volume raccoglie materiali fotografici e grafici realizzati negli Stati Uniti, in Italia e Spagna tra il 1968 e il 1976 fino ad oggi assolutamente inediti.
Le Metafore sono una sequenza di fotografie scattate da Ettore Sottsass Jr. durante i suoi viaggi nei deserti della Spagna (Barcellona, Madrid, Almeria, Grenada) e sui Pirenei. Le Metafore sono opere temporanee di land-art o pseudo-costruzioni architettoniche create nel paesaggio, fatte di oggetti poveri e fragili, pezzi di spago, legno, nastri, foglie, sassi, pezzi di abbigliamento, ecc.
In quel periodo Sottsass si interrogava sul ruolo e sulla responsabilità dell'architetto nella cultura industriale contemporanea e sentiva il bisogno di tornare alle origini dell'architettura: con questi edifici, sorta di "studio del linguaggio architettonico" (Barbara Radice), cercava di indagare il rapporto tra l'individuo e l'ambiente fisico. Case senza pareti e soffitti, porte che si affacciano sul vuoto, pavimenti senza fondo, letti dove non si può dormire e molti altri oggetti che pongono l'uomo come spettatore di fronte al vero significato della propria esistenza e del proprio destino.
18/06/24
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aalyre · 4 months ago
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"in a game of tug-o-war the rope never wins" what.
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