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#métamorphoses
rrrauschen · 22 days
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Laurent Coderre, {1968} Métamorphoses
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philippequeau · 11 months
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Délires bacchiques et orgies meurtrières
“La métamorphose de Cadmos et Hermione” Dans l’antique religion dionysiaque, les Bacchanales étaient ce qu’il y avait de plus sauvage, de plus violent, de plus sanguinaire. Le délire bacchique menait à l’orgie puis au meurtre. Ivres de vin, ce nectar divin, les Bacchantes prenaient part à l’orgie générale. Toute la nature y participait. Les buissons (de thyrses) étaient trempés de miel gluant et…
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mitjalovse · 1 year
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The noughts did give some electronic musicians a semblance of deserved success, but a couple of them kept getting ignored despite the greatness they contain in their works. I mean, Jean-Michel Jarre continued to be unnoticed outside his most famous record's sequels. While he did gain a lot of respect in the previous decade, his LPs from the noughts tend to be ignored. For instance, Métamorphoses reached a place I thought only Sakamoto was capable of at the later stages of his career. Mind you, I'm not comparing their soundscapes, I'm looking at both of their ethoses and one could tell Jarre seemed to like what Sakamoto did, so he tried to achieve something in the similar vein. Yes, these two should've collaborated, that would've been something.
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“What if I slept a little more and forgot about all this nonsense”
-Franz Kafta, The Métamorphose
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Original French:
Les Métamorphoses du vampire
La femme cependant, de sa bouche de fraise,
En se tordant ainsi qu'un serpent sur la braise,
Et pétrissant ses seins sur le fer de son busc,
Laissait couler ces mots tout imprégnés de musc:
— «Moi, j'ai la lèvre humide, et je sais la science
De perdre au fond d'un lit l'antique conscience.
Je sèche tous les pleurs sur mes seins triomphants,
Et fais rire les vieux du rire des enfants.
Je remplace, pour qui me voit nue et sans voiles,
La lune, le soleil, le ciel et les étoiles!
Je suis, mon cher savant, si docte aux voluptés,
Lorsque j'étouffe un homme en mes bras redoutés,
Ou lorsque j'abandonne aux morsures mon buste,
Timide et libertine, et fragile et robuste,
Que sur ces matelas qui se pâment d'émoi,
Les anges impuissants se damneraient pour moi!»
Quand elle eut de mes os sucé toute la moelle,
Et que languissamment je me tournai vers elle
Pour lui rendre un baiser d'amour, je ne vis plus
Qu'une outre aux flancs gluants, toute pleine de pus!
Je fermai les deux yeux, dans ma froide épouvante,
Et quand je les rouvris à la clarté vivante,
À mes côtés, au lieu du mannequin puissant
Qui semblait avoir fait provision de sang,
Tremblaient confusément des débris de squelette,
Qui d'eux-mêmes rendaient le cri d'une girouette
Ou d'une enseigne, au bout d'une tringle de fer,
Que balance le vent pendant les nuits d'hiver.
— Charles Baudelaire
An English Translation:
Metamorphoses of the Vampire
Meanwhile from her red mouth the woman, in husky tones,
Twisting her body like a serpent upon hot stones
And straining her white breasts from their imprisonment,
Let fall these words, as potent as a heavy scent:
"My lips are moist and yielding, and I know the way
To keep the antique demon of remorse at bay.
All sorrows die upon my bosom. I can make
Old men laugh happily as children for my sake.
For him who sees me naked in my tresses, I
Replace the sun, the moon, and all the stars of the sky!
Believe me, learnèd sir, I am so deeply skilled
That when I wind a lover in my soft arms, and yield
My breasts like two ripe fruits for his devouring — both
Shy and voluptuous, insatiable and loath —
Upon this bed that groans and sighs luxuriously
Even the impotent angels would be damned for me!"
When she had drained me of my very marrow, and cold
And weak, I turned to give her one more kiss — behold,
There at my side was nothing but a hideous
Putrescent thing, all faceless and exuding pus.
I closed my eyes and mercifully swooned till day:
And when I looked at morning for that beast of prey
Who seemed to have replenished her arteries from my own,
The wan, disjointed fragments of a skeleton
Wagged up and down in a lewd posture where she had lain,
Rattling with each convulsion like a weathervane
Or an old sign that creaks upon its bracket, right
Mournfully in the wind upon a winter's night.
— George Dillon, Flowers of Evil (NY: Harper and Brothers, 1936)
fleursdumal.org
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anthea-1 · 3 months
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The Metamorphosis -- Franz Kafka
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"and isn't it a fact that by removing the furniture we're showing that we're giving up all hope of an improvement and are leaving him to his own resources without any consideration?" “Was he an animal that music so seized him?” "You must try to get rid of the idea that this is Gregor. The fact that we have believed for so long, that is truly our real misfortune. But how can it be Gregor? If it were Gregor, he would have long ago realized that a communal life among human beings is not possible with such an animal and would have gone away voluntarily." "I will not utter my brother's name in front of this monster, and thus I say only that we must try to get rid of it."
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jac-zap · 9 months
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jac-zap - "Métamorphose" - 2023
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je m’arrache sans fin de ce qui métamorphose la saison en une autre saison ; je cours de mots en mots sur cette phrase par allers-retours incessants où de là je vois la plaine immuable se faire espace rassurant, omniprésent, bienveillant, à perte de temps ; je combats le passage des saisons par d’autres passages
© Pierre Cressant
(lundi 5 juin 2023 - dimanche 2 juin 2024)
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fidjiefidjie · 11 months
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Bon Soir 🆕️🎙🎻 💙
Bernard Lavilliers 🎵 Traffic
Version symphonique
(Métamorphose)
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limbdolly · 3 months
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L'ère industrielle: Métamorphoses du paysage: Dir. Éric Rohmer 1964 (Changing Landscape)
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philippequeau · 11 months
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Drones, robots, IA - et vie éternelle
“Drone aux bambous”. ©Philippe Quéau 2023 Au début de notre ère, il valait mieux ne pas trop mélanger religion et politique, surtout pour les peuples soumis à l’Empire romain. Celui-ci était à son apogée et dominait une bonne partie du monde antique. Sur le plan religieux, l’époque était généralement favorable au syncrétisme, et les Dieux des uns faisaient assez bon ménage avec les Dieux des…
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dandanjean · 3 months
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Être un géant
Être un géant, le zen appelle cela avoir les pieds sur la terre et la tête dans le ciel. C’est devenir soi-même une montagne et se libérer des limites du connu. C’est devenir un océan de sagesse silencieuse. Ce n’est pas chose facile. Ceux qui ont cherché à acquérir cette force intérieure se sont souvent mis à l’écart des hommes ; ils ont construit leur retraite troglodyte, leur cabane au fond…
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secicrexe · 1 year
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Il nage dans la forêt et les balançoires ne fonctionnent pas tout le temps.
.
Je vais disparaître dans la cuisine. Je serai silencieux. Je serai ravi. L’univers s’habituera à mon odeur. Il réfléchit quelques secondes. Donc, le mal n’est pas juste et quand il fait du bien, il est injuste. Un caillot d’une petite planète dans l’oreille. L’articulation dans la mâchoire. La violence. Les dents d’un fort, la bouche d’un faible. Son estomac est lié à une nature, à une logique constituée. Il marche dans la forêt. Il est lié à des pas puissants et à la vie. Sa nature est liée à une ficelle. L’idée de la machine à coudre a vécu dans le cerveau depuis des millénaires. Les planètes tournent, comme par hasard. Prendre un objet dans le bras et marcher. Dans la forêt drôle.
Khalid EL Morabethi
projet tentacule - 2023
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coffeenuts · 1 year
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Émergence by Bettina Dupont https://flic.kr/p/2nivj3F
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plexussolaire · 1 year
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Procné trouve un lieu où lui retirer les signes sacrés, découvre le visage honteux de sa pauvre soeur, veut l'embrasser, celle-ci ne supporte pas de lever les yeux, elle se croit rivale de sa soeur, elle jette au sol son regard, à elle qui veut jurer et prendre à témoin les dieux que par violence elle a vécu la honte, la main sert de voix. Procné brûle, ne contient pas sa colère et les pleurs de sa soeur, elle attaque : "on ne peut rien faire avec des larmes, dit-elle, mais avec le fer - ou alors tu as quelque chose de plus fort que le fer ? à toute barbarie, moi, ta soeur, je suis prête. Moi, avec ces torches je vais cramer le toit du palais royal, je jetterai Terée, le coupable, dans les flammes, ou bien sa langue, ou ses yeux, ou les parties qui ont pris ta pudeur, je les trancherai au fer, par mille blessures je chasserai sa vie de meurtrier. Je suis prête à tout, au pire. A quoi, je ne sais pas encore."
Ovide, les Métamorphoses, "Philomèle et Procné", Livre VI, trad. par Marie Cosnay, Editions de l'Ogre, 2017.
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Le feu
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Le feu ravivant les flammes du passé,
Embrase encore la colère imperturbablement figée,
Irrémédiablement bloquée,
Stagnante à souhait,
Comme vissée, cloutée,
Sans pouvoir même bouger, changer…
Mettant alors en grand danger,
Quiconque voudrait, souhaiterait s’en approcher,
D’un peu trop près…
Ah ! Colère ! Tu n’arrives point à décolérer,
Tant tu es agaçée, énervée…
Submergée, immergée…
Mais alors que te faudra-t-il pour te métamorphoser ?
Une grande transformation à n’en pas douter…
Oui et un certain délai pour que tu puisses enfin tout oublier et être en paix…
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