#Ovide
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Jean-Léon Gérôme - Pygmalion et Galatée (1890)
#art#painting#peinture#oil painting#19th century#jean leon gerome#pygmalion#ovid#ovid's metamorphoses#ovide#mythologie#greek mythology#love#amour
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the gift of listening
#tons of things to fix but i will not torture myself over details i doodled this to relax so i will simply. close my eyes and move on#also @oka the symbol looks a lot like the one from les îles but that is a coincidence or me obsessing over that specific shape for no reaso#or something something girls who are patron saints or me having a limited imagination. who knows (i don't)#.artichoke#cqralt#ovide
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Есть старое фото Ovidie и Geoffroy Delacroix. Тут или начало 10х или конец нулевых. Так то они всегда где-то рядом, я у Овидии смотрела только одну документалку ( но скажу , что она была снята до фильма нетфликс на эту же тему каналом плюс, поэтому мне интересно было их сравнить).
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Procné trouve un lieu où lui retirer les signes sacrés, découvre le visage honteux de sa pauvre soeur, veut l'embrasser, celle-ci ne supporte pas de lever les yeux, elle se croit rivale de sa soeur, elle jette au sol son regard, à elle qui veut jurer et prendre à témoin les dieux que par violence elle a vécu la honte, la main sert de voix. Procné brûle, ne contient pas sa colère et les pleurs de sa soeur, elle attaque : "on ne peut rien faire avec des larmes, dit-elle, mais avec le fer - ou alors tu as quelque chose de plus fort que le fer ? à toute barbarie, moi, ta soeur, je suis prête. Moi, avec ces torches je vais cramer le toit du palais royal, je jetterai Terée, le coupable, dans les flammes, ou bien sa langue, ou ses yeux, ou les parties qui ont pris ta pudeur, je les trancherai au fer, par mille blessures je chasserai sa vie de meurtrier. Je suis prête à tout, au pire. A quoi, je ne sais pas encore."
Ovide, les Métamorphoses, "Philomèle et Procné", Livre VI, trad. par Marie Cosnay, Editions de l'Ogre, 2017.
#littérature#écriture#écrire#citation#citations#ovide#les métamorphoses#sororité#adelphe#soeurs#philomèle#procné#mythe#mythologie#féminisme#féminité#solidarité#lire#lecture#amour
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Pallas et Arachné, Les Métamorphoses, VI, 1-145
Je suis en train de faire du tri dans mon Google Drive, j’arrive à court d’espace de stockage. En faisant mon nettoyage, j’ai retrouvé ce travail d’analyse pour mon cour de Culture antique en hypokhâgne. On travaillait sur le thème de l’animal, et il fallait mettre en relation une œuvre d’art avec l’une des métamorphoses d’Ovide. J’avais choisi la métamorphose d’Arachné, car j’avais vu le tableau de Gyzis dans l’exposition “Paris-Athènes. Naissance de la Grèce moderne (1675-1919)” au Louvre la même année.
Finalement, je n’ai jamais eu de retour sur mon travail (c’était la fin de l’année), donc je ne sais pas ce que mon texte vaut. Mais je n’avais pas envie de supprimer ce travail. Autant le poser ici, et si cela peut intéresser quelqu’un, tant mieux !
P.S : Je ne l’ai pas relu une nouvelle fois, je le poste tel que je l’ai rendu à ma professeure. J’espère que je ne regretterais pas ce choix en retombant sur ce billet plus tard...
Pallas et Arachné, Les Métamorphoses, VI, 1-145
Les Métamorphoses, écrites par le poète latin Ovide au Ier siècle, regroupent différents récits poétiques qui relatent les métamorphoses issues des mythologies grecque et romaine en quinze livres. Le sixième livre est, dans sa première partie, marqué par les duels entre les hommes et les dieux. Ces derniers se vengent de l’orgueil des premiers qui ont osé les défier. Par exemple, le satyre Marsyas prétend mieux jouer de la flûte qu’Apollon, alors ils s’affrontent. Apollon le vainc et, pour punir le satyre, il lui arrache la peau. Finalement, Marsyas se métamorphose en fleuve grâce aux pleurs des divinités des bois qui se mélangent à son sang. De la même façon, le livre s’ouvre sur le conflit artistique qui oppose Pallas et Arachné autour du tissage.
Arachné est une jeune fille méonienne et de naissance modeste qui s’est faite remarquée pour son talent certain pour le tissage. Elle attire tellement l’attention que cela en vient à faire de l’ombre à la déesse Athéna (Minerve chez les Romains), nommée par son épithète Pallas dans le poème. La déesse rend d’abord visite à Arachné sous les traits d’une vieille femme pour lui faire comprendre qu’elle ne doit pas se montrer trop orgueilleuse vis-à-vis de Pallas. Arachné n’écoute pas ses conseils. Elle continue de se prétendre plus talentueuse que la déesse et elle avance l’idée d’une compétition. Alors Pallas reprend son apparence et toutes deux tissent une tapisserie pour départager qui des deux est la plus talentueuse. À la fin, Pallas ne trouve rien à redire du travail d’Arachné et, de colère, elle déchire la tapisserie de la jeune fille et la frappe. À cause de l’outrage, Arachné se suicide par pendaison, et prise de pitié, Pallas la métamorphose en araignée tout en maudissant sa descendance d’avoir la même apparence.
Le poème s’articule autour de trois mouvements. Tout d’abord, il y a la présentation d’Arachné et l’installation de sa rivalité avec Pallas. La déesse est poussée à rencontrer Arachné, car celle-ci « méprise impunément [sa] divinité ». En effet, Arachné ayant beaucoup de succès grâce à ses tissages, elle prétend être l’égale de Pallas dans cet art. Arachné à effectivement beaucoup de succès en Lydie et de nombreuses personnes se déplacent pour admirer son travail, telles que des nymphes. De plus, le poème précise qu’elle ne doit son succès qu’à son talent : ses deux parents sont d’humbles personnes alors elle ne doit pas sa célébrité à son rang ou à sa naissance. Ainsi, le poème insiste sur le talent véritable d’Arachné, et le poème décrit son habileté dans le maniement de la laine et du métier à tisser. De cette façon, tout le monde la reconnaît comme élève de Pallas. Alors la rivalité est posée. En effet, Arachné nie que Pallas puisse être sa maîtresse, et elle nie même avoir appris le tissage de quiconque. Cela pose problème dans la pensée antique où les talents sont accordés aux hommes par les dieux. Un homme, dans la mythologie, ne peut pas être autodidacte. Par exemple, le héros Orphée a reçu ses dons de poète de la part d’Apollon. En affirmant que son talent lui est propre et non du fait de l’intervention d’une divinité, Arachné cause un premier outrage et se montre très orgueilleuse, surtout qu’elle refuse le patronage de Pallas. Lorsque la déesse prend l’apparence d’une vielle femme pour s’approcher d’Arachné, elle lui conseille de demander pardon à la déesse et de ne plus affirmer qu’elle égale son talent. La figure de la vielle femme donne à sa parole l’expérience et donc la sagesse de l’âge, plus susceptible d’être écoutée. Pour autant, Arachné fait fi de son discours. La jeune fille est en colère, ce qui trahit une nouvelle fois son orgueil : « Je suis assez sage pour me conseiller moi-même. » Arachné ose même insulter Pallas en insinuant sa lâcheté du fait que la déesse ne se présente pas à elle pour l’affronter. C’est alors que Pallas reprend sa forme et que le duel de tissage commence.
Ensuite, l’affrontement entre Pallas et Arachné prend la forme d’un concours. Les deux participantes tissent chacune une tapisserie et celle ayant exécuté le plus beau travail sera vainqueur. De nouveau, elles s’opposent dans le sujet que représente leur tapisserie. Pallas illustre le mythe de la dénomination d’Athènes qui l’oppose à Neptune (Poséidon). Jupiter est au centre, et autour de lui s’articulent douze dieux avec elle et Neptune aux deux extrémités : Pallas en armure et faisant apparaître un olivier et Neptune faisant jaillir l’eau de la mer avec son trident. Pallas ajoute à la fin quatre scènes montrant des mortels être puni par les dieux à cause de leur orgueil, pour bien faire comprendre à la jeune fille ce qui l’attend. En revanche, Arachné illustre les métamorphoses des dieux qui séduisent et abusent de mortelles. En particulier, le rapt d’Europe et d'autres métamorphoses de Jupiter sont sur sa tapisserie, de même pour Neptune, Phébus et Saturne. Sa tapisserie montre les mortelles comme des victimes, elles ont peur et sont trompées par des dieux menaçants. Elle montre avec sa tapisserie ce que les dieux ont de plus perfide, ce qui s’oppose extrêmement au sujet de Pallas qui montre la grandeur des dieux et le châtiment des mortels qui les ont injuriés. Aussi, la tapisserie de Pallas se dessine comme le fronton d’un temple avec une scène principale au centre et des scènes annexes sur le côté qui ont un lien avec la première. L’univers d’Arachné est plus confus et moins organisé, mais montre une volonté de ne pas laisser de vide. De cette façon, les deux esthétiques sont antithétiques et renforcent l’opposition des deux personnages. Une nouvelle fois, le talent d’Arachné est loué, car les figures tissées semblent s’animer : « on croirait voir un vrai taureau, une vraie mer. ». Finalement, la pièce est révélée à Pallas qui ne lui trouve aucun défaut.
Enfin, découvrant l’œuvre d’Arachné, Pallas est envahi par la colère. Cela pousse la déesse à frapper Arachné avec sa navette et à déchirer la tapisserie de la jeune fille. Arachné est désespérée par cet outrage, ce qui la pousse à se pendre avec un fil. Chose ironique, car elle se tue avec l’instrument de son succès : la laine. Aussi, l’image de la pendaison préfigure sa métamorphose future en araignée, car c’est cet animal qui se suspend avec les fils qu’il utilise pour tisser des toiles. En voyant la jeune fille morte, Pallas est prise de pitié et la ranime. Cependant, la déesse ne peut pas laisser l’orgueil d’Arachné impuni. Elle fait donc le choix de la métamorphoser grâce à un poison de la déesse Hécate. Sa transformation est monstrueuse : elle perd ses cheveux ainsi que son nez et ses oreilles ; son corps rétrécit et ses doigts deviennent les pattes de l’araignée en venant se caler à ses flancs ; tout le reste devient son ventre. La métamorphose d’Arachné intervient dans les derniers vers du poème, ce qui ajoute à la dimension étiologique du mythe qui explique pourquoi Arachné a été changé en araignée. Pourtant, sa métamorphose est très rapide et ne concerne que cinq vers du poème. En réalité, le poème insiste avant tout sur Arachné en tant qu’elle est artiste et sa métamorphose n’est que secondaire dans son histoire.
Dans son huile sur bois intitulée L’Araignée (1884), le peintre grec du XIXe siècle Nikolaos Gyzis fait une référence directe à la figure d’Arachné. Le panneau représente une femme assise les jambes croisées en train tisser une toile d’araignée. C’est avant tout ce dernier élément — et le titre de l’œuvre — qui permet de supposer que c’est une interprétation du personnage d’Arachné.
Arachné est représentée en train de manipuler une toile d’araignée. Elle est déjà métamorphosée, mais pas totalement, car elle a toujours une forme humaine. Son apparence, loin de la métamorphose écrite par Ovide, peut suggérer son aspect d’araignée : ses jambes et ses bras très fins et longs peuvent rappeler les membres de l’animal. De plus, la robe qu’elle porte est du même blanc jaunit que la toile qu’elle tisse, ce qui laisse penser qu’elle est vêtue de ses propres tissages. Le détail le plus étonnant sont les yeux d’Arachné. En effet, elle n’a pas de pupille ou d’iris, ses yeux semblent révulsés. Cela pourrait suggérer son état mortuaire, après s’être pendue. Nikolaos Gyzis représente donc Arachné à différents moments du poème dans une même image. Il y a à la fois le moment du tissage, la mort et la métamorphose de la femme.
Ensuite, en représentant une figure qui tisse sur son panneau, le peintre procède comme le mythe à insérer une mise en abyme dans le récit. Dans le poème, les tapisseries faites par Pallas et Arachné sont des mythes dans le mythe. En effet, les récits des concurrentes sont aussi des sujets mythologiques et retracent les métamorphoses de mortels et de dieux. Le média de la tapisserie n’est pas non plus un choix anodin, étant donné que le mot « texte » a pour racine étymologique textus, le tissu et de texere, tisser. Arachné est donc aussi une conteuse. Sur la peinture, elle tisse une toile comme un peintre réalise un tableau : il y a une toile dans la « toile » (qui est ici un panneau de bois), un tableau dans le tableau.
Finalement, le peintre accorde une grande importance à l’indépendance de la figure d’Arachné. Tout d’abord, elle est représentée seule, il n’y a pas Pallas ou d’autres personnages. Arachné se tient droite, et un grand équilibre ressort de sa posture avec un jeu entre les lignes verticales des jambes et du corps avec les horizontales des bras. Cela permet de saisir la fierté du personnage. La position de ses doigts témoigne aussi de son talent, elle est en train de tisser sa toile. La reprise de sa malédiction comme d’un pouvoir vient aussi renforcer la facette forte du personnage qui ose se mesurer à Pallas. Le traitement des couleurs, à la fois sombres du fond et lumineuses de la figure, donne de la mysticité à la scène et au personnage d’Arachné. Cela rend le personnage impressionnant et insaisissable, ce qui peut illustrer l’orgueil d’Arachné.
Pour conclure, Arachné est une figure de la défiance envers les dieux. Plus que de se revendiquer plus talentueuse que Pallas, elle affirme son talent propre. Elle a aussi l’audace de dénoncer le comportement des dieux alors même qu’elle affronte l’un d’eux. Arachné est donc une jeune femme talentueuse, fière et orgueilleuse. Sa métamorphose en araignée s’accorde avec l’art qu’elle pratique, à savoir le tissage. Elle et sa descendance sont condamnées à tisser toute leur vie sous cette forme : c’est en partie son art qui a causé sa perte et c’est aussi, ironiquement, son châtiment. Arachné n’est pas une figure qui a eu une postérité importante en comparaison à d’autres métamorphoses d’Ovide. Lorsqu’elle est représentée, c’est en tisseuse, et souvent pendant son duel avec Pallas. « Pallas et Arachné » permet de comprendre le rapport entre les humains et les dieux dans Les Métamorphoses. Les hommes ont nécessairement tort de se montrer orgueilleux vis-à-vis des dieux, mais les dieux eux-mêmes donnent des châtiments excessifs du fait de leur propre orgueil. Mais surtout, Arachné est l’image de l’artiste qui s’oppose au pouvoir. Elle refuse de suivre la forme très classique de la tapisserie de Pallas et ne craint pas de montrer les dieux comme ils sont décrits dans les mythes. C’est cette image de femme fière et défiante que Nikolaos Gyzis représente sur son tableau.
Sources :
https://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/itinera/Enseignement/Glor2330/Ovide_Metamorphoses/Arachne/default.htm
http://polyxenia.eklablog.com/minerve-et-arachne-2-p1704670
http://bcs.fltr.ucl.ac.be/METAM/Met06/M-06-001-145.htm
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Giuseppe Cesari - Diane et Actéon (début XVIIe siècle)
Le mythe de Diane et Actéon est issu du livre III des Métamorphoses d'Ovide (Ier s. ap. J. -C.) : au cours d'une chasse, le jeune Actéon surprend la déesse Diane et ses suivantes au bain. Il est puni de sa curiosité, changé en cerf avant d'être dévoré par ses propres chiens.
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Tu es l'eau. Le monde est la pierre. Il se peut que tu ne fasses pas un grand changement dans la pierre tout de suite, mais l'eau la façonne, non par la force mais par la persistance.
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Roméo et Juliette : Le Mythe de Pyrame et Thisbé
Bien avant Shakespeare, l'histoire de Roméo et Juliette trouve ses racines dans un mythe grec, celui de Pyrame et Thisbé, raconté par Ovide dans Les Métamorphoses. Ces deux jeunes amants vivaient à Babylone, mais leurs familles ennemies leur interdisaient de s'aimer. Forcés de se voir en secret, ils se retrouvent un soir près d'un mûrier blanc, symbole de leur amour, mais aussi de leur tragédie.
Lors de cette rencontre, une série de malentendus conduit à une fin fatale : Thisbé, en s'enfuyant d'un lion à la gueule ensanglantée, laisse tomber son voile près du mûrier, que la bête déchire. Pyrame, trouvant le voile tâché de sang, pense que sa bien-aimée est morte et, désespéré, met fin à ses jours. Lorsque Thisbé revient et trouve son amant sans vie, elle se suicide à son tour, leur amour scellant ainsi leur destin tragique. Le mûrier, témoin de cette tragédie, devient le symbole de leur amour éternel : ses fruits deviennent rouges, marquant à jamais le souvenir de leur passion perdue.
Ce mythe antique a influencé de nombreux auteurs, dont Shakespeare, qui reprend la trame de l'amour interdit et la fatalité du destin. En quoi cet héritage mythologique enrichit-il notre lecture de Roméo et Juliette ? Peut-être parce qu'il souligne que les passions humaines et leur lutte contre le destin sont des thèmes universels intemporels qui traversent les cultures et les époques.
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"Pygmalion Amoureux de sa Statue" dit aussi "Pygmalion et Galatée"" d'Anne Louis Girodet de Roussy Trioson (1819) d'après "Les Métamorphoses d'Ovide (Ier siècle après J.-C.) dans les collections permanentes du Louvre, mai 2024.
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― Ovid, Metamorphoses
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Ô, Franz, Relire la Métamorphose. Sans oublier Ovide.
Olly Jeavons
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“Les petits ruisseaux font les grandes rivières. ” - Ovide
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The truth about Medusa and her rape... Mythology breakdown time!
With the recent release of the Percy Jackson television series, Tumblr is bursting with mythological posts, and the apparition of Medusa the Gorgon has been the object of numerous talks throughout this website… Including more and more spreading of misinformation, and more debates about what is the “true” version of Medusa’s backstory.
Already let us make that clear: the idea that Medusa was actually “blessed” or “gifted” by Athena her petrifying gaze/snake-hair curse is to my knowledge not at all part of the Antique world. I still do not know exactly where this comes from, but I am aware of no Greek or Roman texts that talked about this – so it seems definitively a modern invention. After all, the figure of Medusa and her entire myth has been taken part, reinterpreted and modified by numerous modern women, feminist activist, feminist movements or artists engaged in the topic of women’s life and social conditions – most notably Medusa becoming the “symbol of raped women’ wrath and fury”. It is an interesting reading and a fascinating update of the ancient texts, and it is a worthy take on its own time and context – but today we are not talking about the posterity, reinvention and continuity of Medusa as a myth and a symbol. I want to clarify some points about the ACTUAL myth or legend of Medusa – the original tale, as told by the Greeks and then by the Romans.
Most specifically the question: Was Medusa raped?
Step 1: Yes, but no.
The backstory of Medusa you will find very often today, ranging from mythology manuals (vulgarization manuals of course) to Youtube videos, goes as such: Medusa was a priestess of Athena who got raped by Poseidon while in Athena’s temple, and as a result of this, Athena punished Medusa by turning her into the monstrous Gorgon.
Some will go even further claiming Athena’s ��curse” wasn’t a punishment but a “gift” or blessing – and again, I don’t know where this comes from and nobody seems to be able to give me any reliable source for that, so… Let’s put this out of there.
Now this backstory – famous and popular enough to get into Riodan’s book series for example – is partially true. There are some elements here very wrong – and by wrong I do mean wrong.
The story of Medusa being raped and turned into a monster due to being raped does indeed exist, and it is the most famous and widespread of all the Medusa stories, the one people remembered for the longest time and wrote and illustrated the most about. Hence why Medusa became in the 20th century this very important cultural symbol tied to rape and the abuse of women and victim-blaming. HOWEVER – the origin of this story is Ovid’s Metamorphoses, from the first century CE or so. Ovid? A Roman poet writing for Roman people. “Metamorphoses”? One of the two fundamental works of Roman literature and one of the two main texts of Roman mythology, alongside Virgil’s Aeneid. This is a purely Roman story belonging to the Roman culture – and not the Greek one. The story of Medusa’s rape does not have Greek precedents to my knowledge, Ovid introduced the element of rape – which is no surprise given Ovid turned half of the romances of Greek mythology into rapes. Note that, on top of all this, Ovid wasn’t even writing for religious purposes, nor was his text an actual mythological effort – he wrote it with pure literary intentions at heart. It is just a piece of poetry and literature taking inspiration from the legends of the Greek world, not some sort of sacred text.
Second big point: The legend I summarized above? It isn’t even the story Ovid wrote, since there are a lot of elements that do not come from Ovid’s retelling of the story (book fourth of the Metamorphoses). For example Ovid never said Medusa was a priestess of Athena – all he said was that she was raped in the temple of Athena. I shouldn’t even be writing Athena since again, this is a Roman text: we are speaking of Minerva here, and of Neptune, not of Athena or Poseidon. Similarly, Minerva’s curse did not involve the petrifying gaze – rather all Ovid wrote about was that Minerva turned Medusa’s hair into snakes, to “punish” her because her hair were very beautiful, and it was what made her have many suitors (none of which she wanted to marry apparently), and it is also implied it is what made Neptune fall in love (or rather fall in lust) with her. I guess it is from this detail that the reading of “Athena’s curse was a gift” comes from – even though this story also clearly does victim-blaming of rape here.
But what is very fascinating is that… we are not definitively sure Neptune raped Medusa in Ovid’s retelling. For sure, the terms used by Ovid in his fourth book of Metamorphoses are clear: this was an action of violating, sexually assaulting, of soiling and corrupting, we are talking about rape. But Ovid refers several other times to Medusa in his other books, sometimes adding details the fourth-book stories does not have (the sixth book for examples evokes how Neptune turned into a bird to seduce Medusa, which is completely absent from the fourth book’s retelling of Medusa’ curse). And in all those other mentions, the terms to designate the relationship between Medusa and Neptune are more ambiguous, evoking seduction and romance rather than physical or sexual assault. (It does not help that Ovid has an habit of constantly confusing consensual and non-consensual sex in his poems, meaning that a rape in one book can turn into a romance in another, or reversal)
But the latter fact makes more sense when you recall that the rape element was invented and added by Ovid. Before, yes Poseidon and Medusa loved each other, but it was a pure romance, or at least a consensual one-night. Heck, if we go back to the oldest records of the love between Poseidon and Medusa, back in Hesiod’s Theogony, we have descriptions of the two of them laying together in a beautiful, flowery meadow – a stereotypical scene of pastoral romances – with no mention of any brutality or violence of any sort. As a result, it makes sense the original “romantic” story would still “leak” or cast a shadow over Ovid’s reinvented and slightly-confused tale.
Step 2: So… no rape?
Well, if we go by Greek texts, no, apparently Medusa was not raped in Greek mythology, and only became a rape victim through Ovid.
The Ancient Greek texts all record Poseidon and Medusa sleeping with each other and having children, but no mention of rape. And the whole “curse of Athena” thing is not present in the oldest records – no temple of Athena soiling, no angry Athena cursing a poor girl… “No curse?” you say “But then how did Medusa got turned into a Gorgon”? Answer: she did not. She was born like that.
As I said before, the oldest record of Medusa’s romance but also of her family comes from Hesiod’s Theogony (Hesiod being one of the two “founding authors” of Greek mythology, alongside Homer – Homer did wrote several times about Medusa, but only as a disembodied head and as a monster already dead, so we don’t have any information about her life). And what do we learn? That Medusa is part of a set of three sisters known as the Gorgons – because oh yes, Ovid did not mention Medusa’s sister now did he? How did Medusa’s sisters ALSO got snake-hair or petrifying-gaze if only Medusa was cursed for sleeping with Neptune? Ovid does not give us any answer because again, it is an “adaptational plot hole”, and the people that try to adapt Ovid’s story have to deal with the slight problem of Stheno and Euryale needing to share their sister’s curse despite seemingly not being involved in the whole Neptune business. Anyway, back to the Greek text.
So, you have those three Gorgon sisters, and Medusa is said to be mortal while her sisters are not. Why is it such a big deal? Because Medusa wasn’t originally some random human or priestess. Oh no! Who were the Gorgons’ parents? Phorcys and Keto/Ceto, aka two sea-gods. Not just two sea-gods – two sea-gods of the ancient, primordial generation of sea-gods, the one that predated Poseidon, and that were cousins to the Titans, the sea-gods born of Gaia mating with Pontos.
So the Gorgons were “divine” of nature – and this is why Medusa being a mortal was considered to be a MASSIVE problem and handicap for her, an abnormal thing for the daughter of two deities. But let’s dig a bit further… Who were Phorcys and Ceto? Long story short: in Greek mythology, they were considered to be sea-equivalents of Typhon and Gaia. They were the parents of many monsters and many sea-horrors: Keto/Ceto herself had her name attributed and equated with any very large creature (like whales) or any terrifying monster (like dragons) from the sea. The Gorgons themselves was a trio of monsters, but their sisters, that directly act as their double in the myth of Perseus? The Graiai – the monstrous trio of old women sharing one eye and one tooth. Hesiod also drops the fact that Ladon (the dragon that guarded the golden apples of the Hesperids), and Echidna (the snake-woman that mated with Typhon and became known as the “mother of monsters”) were also children of Phorcys and Ceto, while other authors will add other monster-related characters such as Scylla (of Charybdis and Scylla fame), the sirens, or Thoosa (the mother of Polyphemus the cyclop). Medusa herself is technically a “mother of monsters” since she birthed both Pegasus the flying horse and Chrysaor, a giant. So here is something very important to get: Medusa, and the Gorgons, were part of a family of monsters. Couple that with the absence of any mention of curses in these ancient texts, and everything is clear.
Originally Medusa was not a woman cursed to become a monster: she was born a monster, part of a group of monster siblings, birthed by monster-creating deities, and she belonged to the world of the “primordial abominations from the sea”, and the pre-Olympian threats, the remnants of the primordial chaos. It is no surprise that the Gorgons were said to live at the edge of the very known world, in the last patch of land before the end of the universe – in the most inhuman, primitive and liminal area possible. They were full-on monsters!
Now you might ask why Poseidon would sleep with a horrible monster, especially when you recall that the Greeks loved to depict the Gorgons as truly bizarre and grotesque. It wasn’t just snake-hair and petrifying gaze: they had boar tusks, and metallic claws, and bloated eyes, and a long tongue that constantly hanged down their bearded chin, and very large heads – some very old depictions even show her with a female centaur body! In fact, the ancient texts imply that it wasn’t so much the Gorgon’s gaze or eyes that had the power to turn people into stone – but that rather the Gorgon was just so hideous and so terrifying to look at people froze in terror – and then literally turned into stone out of fear and disgust. We are talking Lovecraftian level of eldritch horror here. So why would Poseidon, an Olympian god, sleep with one of these horrors? Well… If you know your Poseidon it wouldn’t surprise you too much because Poseidon had a thing for monsters. As a sort of “dark double” of Zeus, whereas Zeus fell in love with beautiful princesses and noble queens and birthed great gods and brave heroes, Poseidon was more about getting freaky with all sorts of unusual and bizarre goddesses, and giving birth to bandits and monsters. A good chunk of the villains of Greek mythology were born out of Poseidon’s loins: Polyphemus, Antaios, Orion, Charybdis, the Aloads… And even his most benevolent offspring has freaky stuff about it – Proteus the shapeshifter or Triton half-man half-fish… So yes, Poseidon sleeping with an abominable Gorgon is not so much out of character.
Step 3: The missing link
Now that we established what Medusa started out as, and what she ended up as… We need to evoke the evolution from point Hesiod to point Ovid, because while people summarized the Medusa debate as “Sea-born monster VS raped and punished woman”, there is a third element needed to understand this whole situation…
Yes Ovid did invent the rape. But he did not invent the idea that Medusa had been cursed by Athena.
The “gorgoneion” – the visual and artistic motif of the Gorgon’s head – was, as I said, a grotesque and monstrous face used to invoke fright into the enemies or to repel any vile influence or wicked spirit by the principle of “What’s the best way to repel bad stuff? Badder stuff”. Your Gorgon was your gargoyle, with all the hideous traits I described before – represented in front (unlike all the other side-portraits of gods and heroes), with the face being very large and flat, a big tongue out of a tusked-mouth, snake-hair, bulging crazy eyes, sometimes a beard or scales… Pure monster. But then… from the fifth century BCE to the second century BCE we see a slow evolution of the “gorgoneion” in art. Slowly the grotesque elements disappear, and the Gorgon’s face becomes… a regular, human face. Even more: it even becomes a pretty woman’s face! But with snakes instead of hair. As such, the idea that Medusa was a gorgeous woman who just had snakes and cursed-eyes DOES come from Ancient Greece – and existed well before Ovid wrote his rape story.
But what was the reason behind this change?
Well, we have to look at the Roman era again. Ovid’s tale of Medusa being cursed for her rape at the hands of Neptune had to rival with another record collected by a Greek author Apollodorus, or Pseudo-Apollodorus, in his Bibliotheca. In this collection of Greek myths, Apollodorus writes that indeed, Medusa was cursed by Athena to have her beautiful hair that seduced everybody be turned into snakes… But it wasn’t because of any rape or forbidden romance, no. It was just because Medusa was a very vain woman who liked to brag about her beauty and hair – and had the foolish idea of saying her hair looked better than Athena’s. (If you recall tales such as Arachne’s or the Judgement of Paris, you will know that despite Athena being wise and clever, one of her main flaws is her vanity).
“Wait a minute,” you are going to tell me, “The Bibliotheca was created in the second century CE! Well after Greece became part of the Roman Empire, and after Ovid’s Metamorphoses became a huge success! It isn’t a true Greek myth, it is just Ovid’s tale being projected here…” And people did agree for a time… Until it was discovered, in the scholias placed around the texts of Apollonios of Rhodes, that an author of the fifth century BCE named Pherecyde HAD recorded in his time a version of Medusa’s legend where she had been cursed into becoming an ugly monster as punishment for her vanity. We apparently do not have the original text of Pherecyde, but the many scholias referring to this lost piece are very clear about this. This means that the story that Apollodorus recorded isn’t a “novelty”, but rather the latest record of an older tradition going back to the fifth century BCE… THE SAME CENTURY THAT THE GORGONEION STARTED LOSING THEIR GROTESQUE, and that the face of Medusa started becoming more human in art.
[EDIT: I also forgot to add that this evolution of Medusa is also proved by strange literary elements, such as Pindar's mention in a poem of his (around 490 BCE) of "fair-cheeked Medusa". A description which seems strange given how Medusa used to be depicted as the epitome of ugliness... But that makes sense if the "cursed beauty" version of the myth had been going around at the time!]
And thus it is all connected and explained. Ovid did invent the rape yes – but he did not invent the idea of Athena cursing Medusa. It pre-existed as the most “recent” and dominating legend in Ancient Greece, having overshadowed by Ovid’s time the oldest Hesiodic records of Medusa being born a monster. So what Ovid did wasn’t completely create a new story out of nowhere, but twist the Greek traditions of Athena cursing Medusa and Medusa having a relationship with Poseidon, so that the two legends would form one and same story. And this explains in retrospect why Ovid focuses so much on describing Medusa’s beautiful hair, and why Ovid’s Minerva would think turning her hair into snake would be a “punishment fit for the crime”: these are leftovers of the Greek tale where Medusa was punished for her boasting and her vanity.
CONCLUSION
Here is the simplified chronology of how Medusa’s evolution went.
A) Primitive Greek myths, Hesiodic tradition: Born a monster out of a family of sea-monsters and monstrous immortals. Is a grotesque, gargoylesque, eldritch abomination. Athena has only an indirect conflict with her, due to being Perseus’ “fairy godmother”. Has a lovely romance with Poseidon.
B) Slow evolution throughout Classical Greece and further: Medusa becomes a beautiful, human-looking girl that was cursed to have snake for hair and petrifying eyes, instead of being a Lovecraftian horror people could not gaze upon. Her conflict with Athena becomes direct, as it is Athena that cursed her due to being offended by her vain boasting. Her punishment is for her vanity and arrogant comparison to the goddess.
C) Ovid comes in: Medusa’s romance with Poseidon becomes a rape, and she is now punished for having been raped inside Athena’s temple.
[As a final note, I want to insist upon the fact that the story of Medusa being raped is not less "worthy" than any other version of the myth. Due to its enormous popularity, how it shaped the figure of Medusa throughout the centuries, and how it still survives today and echoes current-day problems, to try to deny the valid place of this story in the world of myths and legends would be foolish. HOWEVER it is important to place back things in their context, to recognize that it is not the ONLY tale of Medusa, that it was NOT part of Greek mythology, but rather of Roman legends - and let us all always remember this time Poseidon slept with a Lovecraftian horror because my guy is kinky.]
EDIT:
For illustration, I will place here visuals showing how the Ancient art evolved alongside Medusa's story.
Before the 5th century BCE: Medusa is a full-on monster
From the 5th century to the 2nd century BCE: A slow evolution as Medusa goes from a full-on monster to a human turned into a monster. As a result the two depictions of the grotesque and beautiful gorgoneion coexist.
Post 2nd century BCE: Medusa is now a human with snake hair, and just that
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"average greek myth involves a god turning someone into something else" factoid actualy just statistical error. average greek myth involves 0 gods turning someone into something else. metamorphoses ovid, who lives in exile & writes over 10,000 transformation myths a day, is an outlier adn should not have been counted.
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