#logements sociaux
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montrealmagique · 1 year ago
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conatic · 5 months ago
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À cinq dans un studio noir de moisissures à 600 euros par mois : une famille tire la sonnette d'alarme dans les logements sociaux de Ganshoren - La DH/Les Sports+
Source: dhnet
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stpauldevarces2026 · 1 year ago
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Canton de Vif : les logements sociaux font débats : pendant de nombreuses décennies, la "seconde couronne" de l'agglomération grenobloise avait un côté rural pavillonnaire qui tranchait avec l'urbanisme densifié de Grenoble et de sa première couronne (Echirolles, Fontaine ...). Progressivement, cette rupture dans les paysages a pris fin. Mais avec
l'arrivée d'immeubles dont des logements sociaux, des réalités nouvelles sont nées. Une Commune comme St Paul de Varces vit actuellement ce débat avec l'opération immobilière Le Villarey. Lors du conseil municipal de #stpauldevarces mardi 6 février, ce débat a connu de nombreuses interventions très mal relatées dans le quotidien régional. 1) La loi SRU (2000) n'impose pas de logements sociaux sur St Paul de Varces car c'est une Commune de moins de 3 500 habitants. Par conséquent, le pourcentage élevé de logements sociaux dans l'affaire immobilière le Villarey résulte d'une volonté politique de la municipalité et non pas d'une obligation légale. 2) Les magistrats de la Chambre des Comptes ont alerté sur les conséquences financières non tirées à ce jour. Aucune information supplémentaire n'a été donnée. 3) Sur la convention passée avec la Métropole protège-t-elle des conditions d'affectations ? Réponse : NON. C'est un tissu de considérations générales qui n'apportent aucune garantie sérieuse. Cette Commune avance à son tour sur un dossier qui devient de plus en plus clivant.
13/02/2024
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kingonews · 1 year ago
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MISE EN ŒUVRE DU PAG : JOSÉ TONATO SUR LES SITES DES TRAVAUX DU NOUVEAU SIÈGE DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE, DU MUSÉE INTERNATIONAL DU VODOUN, ET DES LOGEMENTS SOCIAUX À PORTO-NOVO.
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thebusylilbee · 6 months ago
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"Les JO, c’est super. Mais pour qui et à quel prix ? [...]
Les fan zones sont pleines de gens qui rient et pleurent ensemble devant les transmissions des épreuves ; 5 200 personnes ont été expulsées de squats et de campements de rue en Île-de-France en un an et envoyées en région sans solution de logement.
Les transports publics roulent bien et les agent·es d’accueil sont plebiscité·es pour leur bonne humeur ; les émissions de CO2 des Jeux olympiques de Paris (JOP), 1,58 million de tonnes au minimum, seront l’équivalent de ce que rejettent 150 000 personnes en France en un an.
Des athlètes couronné·es sont d’anciens enfants placés ou ont grandi dans des quartiers pauvres ; le prix des places pour la cérémonie de clôture des Jeux va de 250 à 1 600 euros – plus qu’un mois de salaire minimum.
C’est officiellement la trêve olympique, et la délégation ukrainienne a remporté deux médailles d’or (sabre et saut en hauteur), ainsi qu’une de bronze (lutte gréco-romaine), qui deviennent des symboles de résistance face à l’agression militaire russe ; les bombardements israéliens n’ont pas cessé à Gaza, visant une école transformée en refuge le 10 août, veille de la clôture des Jeux, tuant près de cent personnes selon un premier bilan. [...]
La vasque et sa flamme olympique en LED et vapeur d’eau flottant au-dessus des Tuileries émerveillent le public ; les enfants du quartier Pleyel à Saint-Denis vont subir les pots d’échappement de la voie vers l’autoroute construite collée à leur école pour les JOP.
Imaginaire collectif coupé en deux
Cette liste pourrait s’allonger encore et encore. Dans ces conditions, quelles conclusions en tirer sur la portée de l’événement ? [...]
Une situation peut être à la fois agréable et pourtant néfaste. On peut aimer boire du Coca-Cola ou de la vodka, cela n’empêche pas que ce soit mauvais pour la santé ; adorer voyager vers des pays lointains alors que les trajets en avion contribuent à la destruction du climat [...]. Les émotions, aussi fortes soient-elles, ne suffisent pas à façonner la réalité.
En 2015, les chercheurs Stefan Aykut et Amy Dahan parlaient de « schisme de réalité » pour décrire les négociations climat, car elles voulaient réduire les gaz à effet de serre sans s’attaquer à leurs principales émettrices, les industries fossiles. Elles avaient créé un théâtre de discours sans prise directe avec le problème à résoudre.
À sa manière, Paris 2024 aura été un schisme de réalité : il y a une dissociation entre le spectacle, excitant, prenant, populaire, et les conditions de sa fabrication, brutales, excluantes, coûteuses et injustes. C’est un déchirement sensible. Le sentiment d’une immense réussite s’entend dans les déclarations des organisateurs et des dirigeants politiques. La fierté et la joie s’expriment un peu partout, aux repas familiaux, entre collègues, avec ses voisins, sur les réseaux sociaux, dans les médias. Mais qui écoute la complainte, la colère et les douleurs de celles et ceux qui ont été éjecté·es de la fête ?
Si le prix à payer en « nettoyage social », en élitisme commercial (le prix des billets, du merchandising et d’un séjour à Paris) et en destructions environnementales (climat, arbres coupés au parc Georges-Valbon, jardins ouvriers détruits à Aubervilliers et pollution de l’air à Saint-Denis), est considéré comme acceptable, le risque est d’abaisser les critères d’exigence démocratique, sociale et écologique pour la suite.
Car si un pouvoir peut décider un tel événement sans consulter la population, en cédant aux exigences d’une association croulant sous les accusations de corruption (le CIO), en engageant au moins 10 milliards d’euros sans transparence sur le coût final en argent public, et en multipliant les promesses écologiques intenables, alors pourquoi ne pas continuer ?"
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transparentgentlemenmarker · 7 months ago
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Quelque part en France, des femmes musulmanes ont arraché des affiches du RN. Peut-être le font-ils parce qu’elles ont peur de perdre leurs somptueux chèques sociaux, leur logement gratuit, leur argent de poche et bien d’autres avantages.
Spécial dédicace à Yann-che
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👌
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aurianneor · 8 months ago
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Législatives 2024: choisir la gauche ou la droite.
https://www.aurianneor.org/wp-admin/post.php?post=7895&action=edit
Le gouvernement actuel contrôle presque tous les médias et affirme que ce sont les élections du centre contre les extrêmes. C’est un mensonge qui marche.
La gauche et la droite sont deux idéologies qui reconnaissent l’importance d’avoir des élites. A droite, on considère que certains ont moins de droits que les autres: la femme, le noir, l’ouvrier, etc. L’élite est l’homme blanc catholique. Dans la droite macroniste, le peuple doit sacrifier sur son logement, sa santé et son éducation pour donner aux élites. On prend conseil auprès des plus riches. A gauche, on apprécie d’avoir des élites mais on ne demande pas au peuple de se saigner pour les élites. Les élites sont là pour informer le peuple et l’aider à être meilleur.
A droite, tout le monde doit soutenir son leader et répéter ses idées. C’est le programme de Macron, c’est le programme de Bardella. A gauche, il y a une pluralité d’opinions.
Macron affirme être le rempart de l’extrême-droite. Sa politique a imposé toutes ses réformes alors que la plupart de ses électeurs avaient voté pour lui non pas pour son programme mais pour faire barrage au Rassemblement National. Macron a encouragé la violence des policiers, a dénoncé le séparatisme islamiste, a dit qu’il voulait lutter contre l’immigrationnisme, a dit que la gauche va inciter les enfants à changer de sexe à l’école, dit qu’il y a des gens qui se lèvent tôt et des gens qui ne sont rien, a refusé les soins aux immigrés, a gouverné à coups de 49.3. Depuis 2017, les niches fiscales ont augmenté (pour ne pas payer d’impôts). Macron a augmenté la dette de la France en empruntant aux plus riches: Bolloré, Arnaud, Lagardère, etc. Au lieu de leur prendre l'argent sous forme d'impôts, Macron les enrichit encore plus grâce aux intérêts de la dette. Cette droite macroniste se rapproche du Front National. Elle est loin du centre. Gérald Darmanin, Rachida Dati, Didier Lallement sont des personnes politiques très à droite.
Le Rassemblement National est financé par Poutine. Leur patriotisme ne va pas à la France.
Il n’y a pas un choix entre le centre et les extrêmes mais bien un choix entre la gauche et la droite.
Dans l’histoire, quand la gauche se rassemble, cela a bénéficié au pays: la population a augmenté son niveau de vie sans pour autant sacrifier les dépenses publiques ni la performance de son économie. Le Front Populaire de 1936, l’Union Nationale de 1945 à 1958 et la gauche plurielle de 1997 ont été trois périodes où il y a eu des progrès sociaux pour les citoyens (la sécurité sociale de la santé et de la retraite, les congés payés, l’assurance chômage, la réduction et le partage du temps de travail). Dans chacune de ces périodes, les entreprises étaient très compétitives et se portaient très bien. De plus, la bourse se portait mieux quand la gauche était au pouvoir. Ceux qui en ont souffert, ce sont les ultra-riches qui avaient des biens mal-acquis (niches fiscales, réduction d’impôts, etc). Les ultra-riches n’ont pas besoin que le peuple soit archi-pauvre pour profiter de leur richesse. La gauche ne les saigne pas, elle leur demande une juste contribution.
Le nouveau front populaire veut déposséder les ultra-riches au lieu de s’en prendre aux mauvais pauvres visés par la droite. 500 familles possèdent la moitié de la richesse de la France. Il n’y a pas de problème de financement de la gauche. La France est un pays riche. Il n’y a aucune raison pour que la population se prive. Les inégalités se sont creusées depuis la fin des années 1970.
La droite néolibérale et la droite identitaire désignent des mauvais à qui ils font la chasse: les étrangers, les fainéants ou les inadaptés. Ils font la part belle aux ultra-riches qui ont plus de droits que les autres.
Il faut un état très fort et très démocratique qui protège les Français contre la concurrence déloyale des étrangers mal traités ou du dumping social et environnemental des produits étrangers. Les Français ont besoin d’être plus riches pour pouvoir acheter de la qualité et avoir des services publics de qualité ( santé, retraite, éducation, etc). Cette richesse a été capturé par les ultra-riches, pas par les immigrés ou les “fainéants”. Par exemple, Macron a défiscalisé le transport maritime. Le patron de CMACGM a fait des bénéfices records et est devenu une des dix plus grosses fortunes en France. Avec cet argent, il a racheté des médias sur lesquels on fait maintenant la promotion d’Emmanuel Macron.
Croire que la solution au problème c’est de s’en prendre aux mauvais pauvres (handicapés, personnes de couleur, etc.) en les traitant mal (salaires insuffisants, moins de droits) fait du mal à l’ensemble: des anciennes maladies comme le choléra ressurgissent, acceptation de conditions de travail moins bonnes, etc.
Beaucoup de Français sont en colère et inquiets pour leurs moyens de subsistance, leur santé, l’éducation des enfants, etc. Leur fournir des services publics à tous et partout coûtera très cher. La droite néolibérale de Macron demande aux pauvres de se saigner (diminution des retraites et des services publics) qui ne mériteraient pas assez. La droite identitaire du Rassemblement National demande de sacrifier les mauvais pauvres. La droite détourne la colère des gens vers autre chose que les bourgeois. La gauche du Nouveau Front Populaire demande de sacrifier le ultra de ultra-riche, mais ils restent quand même très riches. Pour redonner la prospérité aux Français, il faut taxer le capital et contrôler les prix.
Encore faut-il que les lois votées par l'assemblée nationale ne soient pas bloquées par le sénat qui n'est pas élu par les citoyens et n'est pas un vrai contre-pouvoir.
Quel dommage que l’on n’ait pas droit au référendum d’initiative populaire et que l’unique voie pour s’exprimer est l’élection de représentants!
Conférence de presse – Chiffrage et financement du programme du Nouveau Front Populaire – 33:36 / 1:08:55: https://youtu.be/4kYYTJoYPW0?t=1682
youtube
Edito du directeur du Monde: Législatives 2024 : préserver notre démocratie - Le Monde: https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/06/28/legislatives-2024-preserver-notre-democratie_6244888_3232.html
Programme du Nouveau Front Populaire: https://yvelines.eelv.fr/files/2024/06/240618-PROGRAMME-FRONT-POPULAIRE_V6.pdf
Julia Cagé : oui, c’est possible, voilà comment…: https://youtu.be/rlF-ol1yZg0?si=P08AvYtTZtKj2r3O
youtube
Le brief éco. Pourquoi la bourse monte quand la gauche est au pouvoir ? – France Info: https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-brief-eco/le-brief-eco-pourquoi-la-bourse-monte-quand-la-gauche-est-au-pouvoir_2161896.html
La Bourse adore la gauche, mais seulement dans les graphiques – Le Nouvel Obs: https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-economie/20130927.RUE9104/la-bourse-adore-la-gauche-mais-seulement-dans-les-graphiques.html
Front Populaire : 80 ans d’avancées sociales en images – France Info: https://www.francetvinfo.fr/culture/arts-expos/photographie/front-populaire-80-ans-d-avancees-sociales-en-images_3390429.html
1945 : après la guerre, un ordre social nouveau – La Vie: https://www.lavie.fr/idees/histoire/1945-apres-la-guerre-un-ordre-social-nouveau-1539.php
Les principales lois votées sous le gouvernement Jospin – Le Nouvel Obs: https://www.nouvelobs.com/politique/20020218.OBS3283/les-principales-lois-votees-sous-le-gouvernement-jospin.html
« C’est à gerber ! » : les propos d’Emmanuel Macron sur les personnes transgenres ne passent pas auprès de Mélanie Vogel – Public Sénat: https://youtu.be/KadEUIFV5EY?si=F0x7usNjokXxQBt6
youtube
Récupérer l'information, la boussole et l'oseille - La chronique de Waly Dia - France Inter: https://youtu.be/5eul6RTwRyg?si=YEVAooP04VwD-5y-
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Rob the poor to feed the rich: https://www.aurianneor.org/rob-the-poor-to-feed-the-rich/
Vivre dignement: https://www.aurianneor.org/vivre-dignement/
Immigration: https://www.aurianneor.org/immigration/
Oui au Référendum d’initiative populaire: https://www.aurianneor.org/oui-au-referendum-dinitiative-populaire-petition/
La part du gâteau: https://www.aurianneor.org/la-part-du-gateau/
Limiter la richesse individuelle: https://www.aurianneor.org/limiter-la-richesse-individuelle/
Le RIC – Référendum d’initiative citoyenne: https://www.aurianneor.org/via-httpswwwyoutubecomwatchv-e2lnzwuy4ks/
Le prix plafond et le prix plancher: https://www.aurianneor.org/le-prix-plafond-et-le-prix-plancher/
Le Sénat, le pouvoir de faire chier: https://www.aurianneor.org/le-senat-le-pouvoir-de-faire-chier/
Les humiliés de la République: https://www.aurianneor.org/les-humilies-de-la-republique/
Nos ancêtres les marrons: https://www.aurianneor.org/nos-ancetres-les-marrons-il-nexiste-quune-seule/
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jmlpyt · 2 years ago
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Passage Molière, l'un des plus petits avec une longueur de 40 mètres.
La voie tire son nom de l'ancien théâtre Molière, qui se trouvait à proximité, lui-même portant le nom du comédien Molière. Il s'est également appelé « passage des Sans-Culottes » sous la Révolution et « passage des Nourrices ».
Le passage est ouvert vers 1791. Il est inscrit au titre des monuments historiques en 1984
Il fait l'objet d'une rénovation lourde entre 2017 et 2022, accueillant désormais 34 logements sociaux et 9 commerces, parmi lesquels une papeterie et un bar à vins.
Passage Molière, one of the smallest with a length of 40 meters.
The lane takes its name from the former Molière theatre, which stood nearby, itself bearing the name of the comedian Molière. It was also called “passage des Sans-Culottes” during the Revolution and “passage des Nourices”.
The passage was opened around 1791. It was registered as a historical monument in 1984
It is undergoing major renovation between 2017 and 2022, now housing 34 social housing and 9 shops, including a stationery and a wine bar.
Leica SL2 + SL 24-70 f/2.8 ASPH
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claudehenrion · 1 year ago
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Alleluya ! Je m'étais trompé...
Il y a 48 heures, j'avais ''piqué'' une belle colère contre le Figaro, pourtant un des seuls journaux encore lisibles –avec Valeurs Actuelles--, même si j'en consulte beaucoup d'autres chaque jour, par honnêteté de ''blogueur'' (NB : ... et un certain courage, parfois, lorsque j'aborde ''Libé'' ou ''l'Obs'' : le parti-pris mensonger suinte de chaque mot !). Or cette même honnêteté me force à reconnaître que, dès le lendemain de cette ''rabia'', le même quotidien était rempli de nouvelles qui, si elles n'avaient pas été si mauvaises, auraient été bonnes... comme si son rédacteur-en-chef avait lu mon blog (ce qu'à Dieu ne plaise ! On m'a assez traité de ''complotiste'' pour que je rêve d'anonymat !).
Parcourons-le ensemble, si vous le voulez bien. Dès la première page... '' Macron pris dans ses contradictions''... '''Macron sans boussole'''... et ''La construction des logements neuf s'enfonce dans la crise'' (on lit plus loin : à cause des mesures totalement imbéciles prises au nom d'une ''transition climatique'' inventée de toutes pièces pour ''justifier (?)'' le vol du peu que l'Etat-Léviathan nous laisse encore...)... Ces thèmes font partie intégrante de nos explications quotidiennes. C'est rassurant sur la santé morale des ''plumes'' de ce grand quotidien du matin, mais c'est épouvantable pour la France. Cette lucidité explique sans doute pourquoi que son tirage caracole en tête de la Presse française.
Mais il y a mieux... c'est-à-dire bien pire, pour la santé et le futur de notre pays : c'est dès la page 2 que commence le chapelet des doléances justifiées. ''Empêtré, Macron cherche toujours un cap'' –ce qui, après plus de 6 ans d'exercice du pouvoir suprême est rien moins qu'angoissant ! Est-ce pour ce piètre résultat que vous aviez voté (parce que moi, côté ''vote pour Macron'', personne ne peut m'accuser de la plus petite erreur de doctrine ou de pratique !) ? D'ailleurs, en page 3, on lit ''Quand l'ombre d'un doute plane sur l'action du Président''...ce qui laisse le lecteur libre de se demander s'il s'agit d'un certain doute... ou d'un doute certain !
Les pages 4 et 5 sont plus directement orientées ''Presse et communication'', mais pas moins inquiétantes pour autant. La dernière idée géniale des ''communicants'' (NB : Vous devriez en changer, M. le Président : ils sont franchement mauvais !),  ''Saint Denis... (n'est qu') un ''coup de comm', selon les français, à qui ''on ne la fait plus'' : ils ont été piégés (''avec un grand ''B'', aurait dit Coluche !) à chaque fois, et ils n'en peuvent plus ! On trouve aussi, là, et c'est infiniment plus grave : ''L'Elysée suscite la polémique en recevant l'humoriste controversé Yassine Bélatar''. Le mot ''humoriste'' est certainement très exagéré, mais  les mots ''polémique'' et ''controversé'', sont vraiment très timides . Enfin... subventions obligent, n'est-ce pas  !
Après deux pages consacrées à la description du monde extérieur (ce n'est pas plus joyeux, mais c'est ''hors sujet'', ici)... on retrouve nos petits : ''Nord Stram 2 : la piste ukrainienne se précise''... titre qui ressemble étrangement à ce que nous répétons depuis le 27 septembre 2022 : tout n'est pas aussi ''blanc-bleu'', dans le royaume de Zélensky, que ce que veulent nous faire avaler nos faux ''experts'' des JT des chaînes du Sévice public et de LFI... Mais après quelques pages sur la médecine et l'étranger, on retrouve nos soucis justifiés : la page 14 ouvre sur une divine surprise : la gauche française, la vraie, celle de ''sa'' belle époque à elle (en gros, 1932–1939, Front Populaire inclus) était farouchement opposée à toute immigration, Blum et Salengro tombant d'accord sur le fait que : ''pour rester fidèle à tous les principes humanitaires et (…) faire honneur aux traditions d'hospitalité (de la France), le gouvernement ne saurait tolérer que des étrangers abusent de l'asile qui leur est offert en intervenant dans des conflits politiques et sociaux''. Comme nous sommes tombés bas...
En page 15, un autre joli cadeau, la constatation de notre absence totale de politique moyen-orientale et les errements de notre pseudo-diplomatie (qui est ''et en même temps'') : ''Entre guerre et paix, le raisonnement à contre-temps de la France''. Je ne résiste pas à recopier Laure de Mondeville : ''En appelant à un cessez-le-feu alors que Tsahal est au milieu d'une opération militaire aux enjeux essentiels, la France reflète une tendance européenne à fuir le rapport de force et à enjamber le temps de la guerre comme s'il pouvait être enjambé''. Le talent et le style en plus, c'est exactement ce que nous répétons ici depuis le 9 octobre... La journaliste ajoute : ''La préservation des droits des civils palestiniens est légitime, mais ne saurait se substituer à la politique ni (aux nécessités) de la guerre''. (NB : Nous reparlerons très vite de ce terrible dilemme, apparemment sans solution).
Si vous n'avez pas perdu patience, ''encore cinq minutes, Monsieur le lecteur'', s'il vous plaît : la page 17 est à la fois la dernière, succulente... et divinatoire. Je recopie le gros titre :  ''Emmanuel Macron fait semblant d'organiser un référendum sur l'immigration''... dont l'abandon total (c'est-à-dire définitif et en même temps temporaire !) sera confirmée triomphalement, 48 heures plus tard, par LFI et les cocos, réunis pour le pire et le pire... et pour leurs méchantes élucubrations : non seulement nous n'avons pas la moindre politique sur l'immigration, sujet de toute première importance pour notre présent, notre futur et notre survie... mais les quelques initiatives désordonnées qui sortent de nos palais nationaux sont toutes mauvaises... quand elles ne sont pas ''encore pires que ça'' !
En résumé et en conclusion : (1)- je présente mes excuses à la Rédaction du Figaro : ils s'écartent parfois de la vérité la plus élémentaire, mais... ''leur fond n'est pas mauvais !''. Et (2)- on en revient toujours aux fondamentaux : pour la Gauche la plus irresponsable du monde (voilà une vérité que Guy Mollet avait ratée !), un référendum n'est bon que s'il est en ligne avec les ''petits livres rouges'' de la pensée clonée. Décidément, ce qui est de trop, en démocratie macronique (?), c'est, le peuple, qu'il est grand temps d'envisager de supprimer.... Et d'ailleurs, il en est de plus en plus question : il n'est pas impossible que ce refus injustifiable de référendum signe le début de sa fin, par submersion, déplacement, découragement, suppression, ou (grand) remplacement. Qui vivra, verra... En attendant, reconnaissons que rien, dans les nouvelles, jour après jour, n'a de quoi donner envie de danser...
H-Cl.
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christophe76460 · 13 hours ago
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LE CHRÉTIEN ET L'INQUIÉTUDE
Matthieu 6.34 (LSG)
Ne vous inquiétez donc pas du lendemain; car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine.
Nous vivons dans un monde où il ne se passe plus un jour sans que nous ne soyons inondés à la télé, à la radio ou sur les réseaux sociaux par les mauvaises nouvelles (bruits de guerre, accidents, attentats, inondations, crise économique, violence etc...) qui produisent en nous dans une certaine mesure un sentiment de tristesse. À côté de cette spirale, viennent s'ajouter les diverses situations que nous devons affronter au quotidien: besoin d'avoir un travail stable et décent, besoin de logement, besoins nutritionnels, besoin de se sentir aimer et de vivre l'amour, besoin de maintenir la température corporelle, besoin de procréer, besoin de se réaliser... Face à ces multiples challenges de la vie qui ont tendance à nous pousser dans le gouffre, le Seigneur dans Sa Parole nous dit formellement: « Ne vous inquiétez donc pas du lendemain; car le lendemain aura soin de lui-même. » (Matthieu 6.34) Que nous inspire ce verset de l'écriture ? L'homme peut-il vivre sans aucune inquiétude ? Que faut-il faire pour éviter de s'inquiéter ?
De prime abord, lorsque nous lisons ce passage de l'Écriture, nous pouvons penser à tort que le Seigneur nous donne l'injonction d'arrêter tous nos beaux projets d'avenir, de ne plus travailler dur ou de ne plus mettre de l'argent de côté ou encore de ne plus faire des provisions sous prétexte que nous devons nous reposer uniquement sur Lui. Bon nombre de bien-aimés sont tombés dans cette erreur, et la pauvreté les a surpris à cause de leur manque de sagesse. Ainsi la compréhension d'un verset biblique nécessite parfois l'assemblage de plusieurs autres textes pour mieux cerner la pensée de Dieu. De ce fait, en parcourant le livre de Proverbes, il est écrit: « Va vers la fourmi, paresseux; Considère ses voies, et deviens sage. Elle n'a ni chef, Ni inspecteur, ni maître; Elle prépare en été sa nourriture, Elle amasse pendant la moisson de quoi manger. Paresseux, jusqu'à quand seras-tu couché? Quand te lèveras-tu de ton sommeil? Un peu de sommeil, un peu d`assoupissement, Un peu croiser les mains pour dormir!... Et la pauvreté te surprendra, comme un rôdeur, Et la disette, comme un homme en armes. » (Pr 6.6-11) Ce qui veut dire que servir Dieu et faire des projections sur le futur ne sont pas en opposition.
Par ailleurs, dans ce verset, il n'est pas question pour le Seigneur de mettre un terme absolu à l'inquiétude. Car l'inquiétude en soi-même n'est pas mauvaise. Elle est normale lorsqu'elle est habituellement de courte durée et déclenche des comportements positifs de résolution de problème. Elle devient malsaine lorsqu'elle est fréquente et est difficile à contrôler ou à arrêter. À ce stade, elle n'est pas sans conséquences sur notre santé. Elle développe dans notre organisme les troubles cardiovasculaires, les maladies digestives (à l'instar de l'ulcère à l'estomac), le dérèglement du cycle menstruel chez les femmes, les complications psychiatriques (le surmenage, la dépression ou la phobie). Elle nous pousse à ne pas être reconnaissants au Seigneur pour ce qu'Il fait, mais à demeurer plaintifs et négatifs. Elle nous fait avoir des idées pas du tout constructives. Elle fait de nous des êtres vacillants. C'est donc à raison que le Seigneur ne veut pas nous voir franchir cette limite. Mais comment y parvenir ?
Dans cette époque, les gens sont de plus en plus anxieux et inquiets. Les psychologues essaient de les aider avec beaucoup de difficultés. Les solutions qu'ils donnent les soulager un tant soit peu. Car l'inquiétude ne peut véritablement trouver remède que lorsque nous faisons du Seigneur notre priorité. C'est-à-dire, Lui présenter dans la prière tous les sujets de nos inquiétudes. L'apôtre Paul dit expressément: « Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. » (Philippiens 4.6) Au moment où Paul écrivait cette lettre aux saints de Philippes, il était emprisonné à Rome. Mais il n'avait pas laisser l'inquiétude, encore moins le doute s'emparer de lui. Car tout son cœur était fixé sur le Seigneur. Au fond de cette prison, il priait avec insistance et il bénissait le Seigneur pour l'oeuvre de la croix. Paul disait les choses qu'il avait touché du doigt. Il était un exemple. Apprenons à remplacer nos craintes et nos peurs par la prière. Soyez abondamment bénis. Shalom !
- Walter T. Weladjie,
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montrealmagique · 1 year ago
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conatic · 2 years ago
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https://www.sudinfo.be/id687331/article/2023-07-14/24-logements-sociaux-en-construction-dans-les-prochains-mois-saint-ghislain
Source: sudinfo.be
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terrecorse · 20 hours ago
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Réforme institutionnelle : pas de saut dans le vide
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Conférence de presse de la Fédération du PCF de Haute Corse
Le ministre de l’Aménagement du territoire et de la Décentralisation est en Corse. Son déplacement porte sur la révision constitutionnelle en vue de doter la Corse d’un statut d’autonomie. Il intervient après la visite de la Mission parlementaire missionnée à ce propos.
Dans ce cadre, et étant donné que les forces politiques non représentées à l’Assemblée de Corse ne sont pas consultées, nous tenons à faire connaitre au ministre notre analyse de la situation économique et sociale et faire des propositions afin que la réflexion en cours intègre la question sociale. Nous le disons avec d’autant plus d’insistance que le ministre François Rebsamen dans la l’interview qu’il a donné à Corse Matin hier n’en parle à aucun moment.
L’INSEE et la DREETS viennent, en effet, récemment de dresser le panorama salarial de la Corse en confirmant que notre région est bien celle, parmi les régions métropolitaines, où les salaires sont les plus bas et la pauvreté la plus répandue. Sachant que le MEDEF s’oppose à toute augmentation des salaires en Corse, cela renforce la nécessité d’établir des contreparties sociales afin d’augmenter les salaires pour les entreprises qui perçoivent des aides publiques.
Pouvoir d’achat, salaires, cherté de la vie, pénurie de logements sociaux, santé… disparaissent derrière la recherche incessante d’une réforme institutionnelle jamais aboutie. Après 4 réformes institutionnelles en 40 ans, l’expérience nous enseigne que la réponse institutionnelle à la question sociale est inopérante sauf au maintien des choses en l’état voire à leur aggravation. Ces préoccupations, qui sont au quotidien celles d’une grande majorité de Corses pour la plupart n’impliquent pas de changer la Constitution à cadre normatif et réglementaire constants.
Le contrôle et le blocage des prix que le préfet de région ne veut pas opérer est possible comme cela se fait à la Réunion. L’interruption du détournement des réfactions de TVA et le rétablissement du franco de port, à la base du dispositif de continuité territoriale, c’est réalisable de suite. L’INSEE vient encore de souligner l’écart de prix entre le continent et la Corse 7% en moyenne sur l’ensemble des produits. Il est de 14% sur l’alimentaire. Cela représente 25% du budget des ménages pauvres. En 10 ans l’inflation a atteint en Corse les 31%.
La volonté politique fait donc défaut pour mettre un terme à ce scandale et l’oligopole du Consortium des patrons corses, en grande partie responsable, pèse dans la balance malgré les rapports successifs de l’IGF et de l’Autorité de la concurrence qui ont montré l’existence d’une "captation" de la solidarité nationale au détriment de l’intérêt général et des consommateurs. Nous disons qu’il faut revaloriser la prime de transports et l’étendre aux retraités.
Autre sujet, 7000 demandes de logements sociaux sont insatisfaites. Une politique ambitieuse en la matière générerait de l’emploi, ferait reculer la pression foncière spéculative, en donnant satisfaction à ces nombreuses familles qui attendent des années pour pouvoir s’installer. L’Etat, la Collectivité de Corse et son Office foncier doivent avoir comme priorité de résorber ce déficit. Nous demandons, en ce sens, une programmation sur 10 ans.
La Corse a besoin de la solidarité nationale qu’il s’agisse du PTIC, de la mise en œuvre de la programmation pluriannuelle de l’énergie, de la continuité territoriale, du fonctionnement des hôpitaux, ou de l’Education nationale. Les interrogations sont légitimes. Or à ce jour aucune réponse ne dit ce qu’il adviendra en la matière. On se félicite de la baisse des tarifs de l’énergie mais il fallut 390 millions d’euros de péréquation tarifaire en 2024 pour les maintenir au même niveau que sur le continent. Qu’en sera-t-il ?
On ne peut se satisfaire d’un saut dans le vide. Sur toutes ces questions, comme sur celle de la lutte contre le crime organisé, particulièrement après les affirmations de l’ancien préfet de Région devant la Mission parlementaire.
Nous demandons la création d’une Commission d’enquête parlementaire sur l’emprise affairiste et mafieuse.
Au demeurant, si, comme le dit l’actuel préfet de Région, "le projet d'autonomie est une autonomie dans la République, avec un soutien énorme de l'Etat", force est de constater que ce soutien est défaillant face à l'urgence sociale. A tel point que le ministre François Rebsamen, dans son interview, ignore la vie réelle des Corses.
Ainsi, vidé de la question sociale, nous craignons que le débat sur l’avenir de la Corse ne débouche sur une réforme institutionnelle qui ne fera qu’anticiper une mise à l’écart de la République contre la volonté des Corses. En effet, c'est à la promesse républicaine d'égalité qu’ils ont adhéré en adhérant à la France de la Révolution le 30 novembre 1789. Ce choix, qu’ils ont renouvelé le 9 septembre 1943 en se libérant eux-mêmes du fascisme, doit être respecté et précisé comme un engagement politique accompagné d’un "pacte pour le progrès social" faisant de la question sociale une priorité dans tous ses dimensions : salaires, pouvoir d’achat, logement social, services publics, santé, éducation, énergie.
C'est pourquoi, face à l'urgence sociale, nous demandons au gouvernement de rétablir immédiatement le contrôle et le blocage des prix des produits de première nécessité et des carburants. De même, la visite du François Rebsamen s'achève dans le flou institutionnel puisque le projet du gouvernement est de proposer une modification constitutionnelle sans contenu. La Corse serait détachée de la métropole dans un statut d'autonomie sans en connaître les compétences, les pouvoirs et le devenir de la solidarité nationale. Aussi, nous exigeons que la consultation des Corses par référendum soit organisée avant la réunion du Parlement en Congrès.
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yespat49 · 12 days ago
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Logement social : le LR Vincent Jeanbrun hostile à la préférence nationale
En confondant ces deux termes (“prioritaire” et “réservé”) le député LR Vincent Jeanbrun exprime bien là sinon son parti pris du moins son incompréhension, totale, des enjeux constitutionnels, sociaux, sociétaux de ce droit au logement au sein d’une structure “sociale”, c’est-à-dire relevant de la “solidarité”. Celui-ci en effet doit être constitutionnellement réservé, en priorité, aux citoyens…
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stpauldevarces2026 · 18 days ago
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A quoi ressemblerait la présidence Piolle à la métropole ... : plusieurs membres de notre équipe étaient présents hier aux voeux de la municipalité de Grenoble. Des constats instructifs. 1) Extrême confiance des Verts - LFI à l'approche des municipales de mars 2026. Des proches de la municipalité grenobloise égrènent les Communes qui doivent basculer. 2) Le programme est présenté comme
prêt : sortir de la logique de "mutuelle financière" pour évoluer vers une volonté métropolitaine. Priorité : le logement : assurer la mixité sociale dans la périurbain avec un programme très ambitieux de logements sociaux. 3) Lier les aides financières de la métropole à des contrats d'objectifs. Une méthode : une politique contractuelle amenant les Communes sollicitant une subvention de la Métro à respecter un pacte global d'actions. La "mécanique LFI - Verts" est manifestement en marche.
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toutmontbeliard-com · 18 days ago
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Jean André, Maire de Bethoncourt, communique : "Surpris à mon tour par l’article de l’Est Républicain paru le 24 janvier 2025, intitulé "Rassembler pour Bethoncourt : la stupéfaction après les vœux du maire", il me semble pertinent de réagir afin de rétablir la vérité. Lors de la cérémonie des vœux du 20 janvier dernier, une partie de mon discours a été adressée aux membres de l’opposition démissionnaire. Comme vous le savez sans doute, 11 conseillers ont récemment démissionné dans le but de forcer l’organisation de nouvelles élections. Il est à noter que ces manœuvres ont pris naissance durant mes semaines de repos, dans un moment de deuil, où nous avons dû faire face à la perte de notre fils, en septembre 2024. Elles se sont poursuivies lors de la dernière séance de Conseil Municipal, le 16 décembre 2024, lorsque que Alain Merlé a fait irruption sans autorisation et s’est permis de venir troubler l’ordre de la réunion. J’ai, moi aussi avec stupéfaction, pris connaissance des propos me concernant d'Alain Marlé, Président de l’association politique "Rassembler pour Bethoncourt", une association censée soutenir le maire et son équipe en place. Par le passé, nous étions des collègues élus. Durant plus de 20 ans, jamais il n’y eut d’animosité entre nous, bien au contraire, notre relation était même plutôt amicale. Je tiens à préciser qu’il n’a jamais pris part à la campagne électorale de 2014, ni à celle de 2020. À dire vrai, un an avant les élections de 2014, il s’était même permis de me demander de ne pas me présenter, et de laisser Bethoncourt et ses habitants se débrouiller. Ce qu’il cherche n’est pas vous servir, mais détenir le pouvoir. Le problème n’est pas politique mais égotique, et ne devrait pas être étalé sur la place publique. Il me semblait avoir entre les mains un journal de faits, pas un journal people… Pour en revenir au sujet, Alain Merlé avait d’ailleurs pris le large au Lavandou (dans le Sud de la France) afin de ne plus participer à la vie de Bethoncourt. Il a brillé par son absence de 18 ans et il resurgit avec des déclarations contradictoires à mon égard. Avec l’article du journal, Alain Merlé se fait donc le porte-parole des conseillers démissionnaires, tout en affirmant paradoxalement qu’il est présent pour me soutenir en présidant l’association "Rassembler pour Bethoncourt". L’association qui a soutenu l’équipe municipale l’a très bien fait sans sa présence. Comme vous l’aurez compris, ces dissidents se sont ralliés à cet ancien élu de notre vie politique Bethoncourtoise, ayant comme seule perspective d’être le « sauveur Zorro » de notre ville pour les années à venir. Il oublie certainement : que la majorité de la population ne reconnaît plus son personnage ; que beaucoup de changements ont eu lieu dans la réglementation et l’organisation des collectivités durant ces 18 années d’absence. Aujourd’hui, quelques habitants se raccrochent à sa vision, mais les enjeux de Bethoncourt ne sont plus en phase avec la nostalgie avancée, qui sert d’argument à Alain Merlé. Les Bethoncourtois sont des habitants qui saisissent très bien les enjeux : notamment économiques, sociaux, environnementaux, sécuritaires, de logement… de leur ville. Ses allégations à mon égard ne seront pas prises en compte. Des réunions politiques auront lieu pour l’Arche. Pour répondre aux interrogations concernant ce dossier, je vous affirme que tout sera fait au moment opportun, en concertation avec la population, lorsque le dossier sera lisible pour tous, aussi bien financièrement que structurellement. Comme l’a dit Socrate "Mes amis, il n’y a pas d’amis", j’ajouterais, encore moins en politique"". Read the full article
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