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A very special sapphic book review today: 25 ans et 34 jours par Marguerite Grimaud. Yes, it's in French. The author is my wife.
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Dans la langue que tu m’as donnée en héritage, dans ma langue maternelle donc, « mère » se dit MEER, qui en allemand signifie MER. On dit LA MER ou MA MER, en pompant sur le français. Pour « père », PER. Pour « grand-mère », GRAND-MER. Les femmes de mon enfance sont un élément, un océan. Je me souviens des jambes de ma mère, je me souviens de les enlacer, de lever les yeux vers elle et de dire : TU ES MA MER. Je me souviens d’avoir le sentiment d’être chez moi et d’être enveloppæ de la tête aux pieds. L’amour des mers était immense, on n’y échappait pas, on n’y échappe pas, on nage toute une vie pour sortir des mers.
Dans la langue que tu m’as donnée en héritage, dans ma langue de mer donc, il n’y a que deux façons d’être un corps, au masculin ou au féminin. Grandir dans la mâchoire de la langue allemande me forçait sans cesse à choisir mon camp à la balle au prisonnier.
Dans la langue que j’ai apprise de toi, dans ma MOTHER TONGUE, je ne sais pas comment écrire sur moi. Dedans, il y a la langue de ma mère, et tes yeux, et moi… mes… me… : moi-même – mon corps, mes corps, ma corporéité ? Il y a ce moi en train d’écrire, et il y a l’enfant que j’étais, forcæ de choisir son camp et de se couper en deux. Et l’enfant se confond avec moi, comme la Lune elle-même est inséparable de la Terre sans que rien les unisse, sauf que, quand j’écris, je dois faire la différence entre nous, car sans ça l’enfance, sans ça le corps d’enfant, sans ça le flot venu du passé m’emporte.
Mais ce n’est pas non plus si simple que ça : la langue de mer est sujette à de petites distorsions ou plutôt déviations – les femmes y sont des objets. Pour parler des MERS, toustes les adultes – y compris les mères – utilisent l’article neutre das qui n’est ni masculin ni féminin, réservé d’ordinaire aux choses inanimées : das Mami, das Mueti, das Grossmami, das Grosi. Et toutes les femmes sont neutres, pas seulement les mères : das Anneli, das Lisbeth, das Regini. Et les enfants aussi sont des objets, mignons comme tout, pas plus gros que des petites cuillères à moka : das Mineli, das Hänneli, das Hansli. Je me souviens que cette réification me mettait en colère. Je ne voulais pas être un objet, je voulais être une personne et je voulais être grandə ; et être grandə voulait dire choisir son genre, être homme. Être femme vous condamnait soit à rester objet soit à devenir océan. Je ne voulais pas.
Quand je pense à toi, grand-mer, je pense au restaurant Migros où tu m’emmenais chaque fois que tu voulais m’inviter « au restaurant », à la mer primitive, le berceau des premières bactéries, à 37 degrés tout pile, je pense à mer et à la vie à laquelle elle a renoncé pour moi, et à la vie à laquelle tu as renoncé pour mer, je pense que tu viens de sortir du centre de rééducation, que tu dois être de retour sur ton balcon à regarder avec colère tes géraniums à l’agonie, et je pense à tous les textes que je ne t’ai jamais écrits. Dans l’un d’eux, une dame barbue va à pied d’Ostermundigen à Saint-Jacques-de-Compostelle. À mi-chemin, elle rencontre une personne, jeune, avec de la barbe aussi, des épaules larges, une voix grave, une jupe et du khôl, et elles ne parlent pas, elles marchent en silence l’une à côté de l’autre en direction de la mer, et entre elles flottent les restes, les débris de leurs longues traces plongées dans la pénombre.
Hêtre pourpre, Kim de l'Horizon (traduit par Rose Labourie)
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Les coquillages ne s'ouvrent qu'en été de Clara Héraut
L’été tire rapidement vers sa fin. Les élèves belges et suisses francophones ont déjà repris le chemin de l’école, alors que les Français savourent encore les derniers instants de leurs congés estivaux. Certaines appellations laissent croire à tort que leur lecture est réservée à la période estivale, du 21 juin au 20 septembre. « Les coquillages ne s’ouvrent qu’en été », de Clara Héraut, fait…
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Corinne Écrivaine - Ma Plume, Mémoire du Coeur - Biographe
Nous avons tous une histoire. Quelle est la vôtre ?
Votre vie a été un combat.
Vous vous êtes battu·e pour sauvegarder l’entreprise familiale.
Vous avez lutté contre la maladie.
Vous vous êtes relevé·e après une longue période sombre.
Vous avez surmonté votre handicap ou votre différence et en avez fait votre force.
Que vous soyez anonyme, entrepreneurs·euses, sportifs·ives ou membre de la communauté LGBT+, votre histoire, vos luttes et vos victoires méritent d’être partagées.
Vous souhaitez laisser votre témoignage afin d’encourager tous ceux qui vivent une situation difficile.
Laissez « Ma Plume, Mémoire du Cœur » devenir le témoin de vos mots et de votre combat.
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Ciseaux Fanzine
Des fanzines queer mais pas que…
Pourquoi pas interviewer des acteurs du DIY ?
J’ai rencontré Ophélie au Salon « DIE or DIY » en décembre 2021, une autre fanzineuse posée à coté de mon stand. Nous avons donc pris le temps de discuter, échanger nos fanzines et ça a accroché.
Le caractère éclectique et du genre LGBT / Queer m’a interpellé ainsi que le style punkzine à l’ancienne. Elle a donc susciter ma curiosité sur son travail de longue haleine et je lui ai proposé une interview.
Elle m’a aussi appris le mot « DYKE » qui n’est pas dans le contexte une lame de roche magmatique à vous de chercher.
Elle a posé avec un tee shirt RIV qui lui va à ravir dans la thématique Cult of ride. Merci !!!
Peux-tu présenter « Les Ciseaux Fanzine » ?
« Les Ciseaux Fanzine », c’est un ensemble de fanzines autour des thématiques féministes et queer et de façon plus générale, sur la culture, le cinéma, la littérature, la musique avec parfois un humour décalé.
J’utilise le terme « queer », signifiant à l’origine « bizarre », « inadapté », pour désigner une identité, une culture et une communauté aussi qui remet en question les genres et une société dans laquelle le patriarcat est le modèle dominant. Pour moi, c’est un terme avec un sens politique qui sous-entend un certain engagement. Se revendiquer « queer » revient à politiser sa sexualité en remettant en question la société dans laquelle cette dernière doit/essaie de s’épanouir. Être « queer », c’est remettre en question les injonctions genrées de notre société.
J’ai choisi le format du fanzine à l’ère du numérique car j’aime énormément l’objet livre et la liberté qu’offre ce moyen d’autoédition (mise en page, distribution, thèmes, écriture etc.) à travers le DIY et j’adore aussi l’esthétique « punk ».
Quand et pourquoi avoir commencé à écrire ?
Vers l’âge de 10-11 ans j’ai commencé à écrire mes premiers textes et des sortes de fanzines. Je créais mes propres magazines de A à Z. J’avais envie de partager des articles, des illustrations, des jeux, et surtout un objet « livre ». J’étais fascinée par cet objet et par l’univers de l’édition. J’aimais l’idée d’être libre, d’illustrer mes propres histoires et de les partager. Je me réfugiais aussi dans l’écriture pour réfléchir aux premières attirances, à une identité en construction. La fiction permettait davantage de libertés, on ose davantage écrire ce que l’on a peur de dire. Ainsi, mon premier « roman » racontait une histoire d’amour entre deux ados. C’était une sorte de refuge.
Tes ources d’inspiration ? Pour qui ?
J’ai toujours été inspirée par la culture féministe et lesbienne. J’avais lu Mémoires d’une jeune fille rangée de Simone de Beauvoir en 3ème. C’était un peu complexe mais je l’avais dévoré avec passion. Dans la bibliothèque familiale, vers l’âge de 16 ans je suis tombée sur Claudine à l’école de Colette et ce fut une révélation. J’ai ensuite imprimé les poèmes de Sappho traduits par Renée Vivien puis les poèmes d’amour lesbien de Renée Vivien elle-même. J’ai ensuite découvert, via internet, d’autres artistes, auteures, réalisatrices lesbiennes et féministes. Et j’ai eu envie d’écrire pour partager toutes ces découvertes car souvent c’étaient des femmes peu connues du grand public. J’avais envie de partager ces références dans les cultures féministe et lesbienne. Ado, j’aurais aimé tomber sur un fanzine me présentant toutes ces icônes inspirantes. C’est vrai qu’à présent il y a les séries et les influenceuses des réseaux sociaux…
Le public visé est principalement les femmes, les personnes queer mais en réalité, il est important que chacun·e se sente concerné·e et curieux·se de toute cette culture pour déconstruire les préjugés et vivre dans une société plus inclusive et donc égalitaire. On revient ici à l’idée d’engagement liée au terme « queer ».
Tu as de multiples facettes parfois satirique puis poétique dans ton écriture ?
Documentaires, poétiques et parfois satiriques, il y a un peu de tout dans mes fanzines. La tonalité peut varier parfois d’une page à l’autre. J’ai une petite préférence pour la poésie pour la beauté du mot et des images.
Concernant l’aspect satirique, l’idée est de faire bouger les lignes, d’heurter le lecteur ou la lectrice pour le/la faire sortir de sa zone de confort et réfléchir…
Le Statut LGBT revendiqué ? Vulve féministe ? Sororité ? Explique nous?
Oui, je revendique le statut d’artiste LGBT+, queer même, parfois lesbien-queer. C’est vrai qu’il y a beaucoup de termes mais les sexualités et cultures liées à ces identités sont elles-mêmes extrêmement variées. Je ne me reconnais pas dans la culture « mainstream » très hétéronormée avec un humour qui repose très souvent sur des stéréotypes sexistes ou de genres qui, moi, ne me font pas vraiment rire, sur des rapports de domination homme/femme dans lesquels je ne me reconnais pas, et avec lesquels je suis en désaccord. Et comme je le disais plus haut, je me définis également comme une artiste queer dans le sens où je souhaite également lutter pour déconstruire les clichés de genre et faire exister, rayonner, grâce à mes mots, mes collages, mes dessins les cultures LGBT+ trop souvent écartées.
Plus que « vulve féministe », je n’avais encore jamais entendu cette expression, je dirai « clitoris féministe » car cet organe a trop longtemps été mis à part, oublié volontairement. Actuellement on en entend beaucoup parler, il était temps !
Et oui pour la sororité. C’est un mot extrêmement important dont encore certaines personnes méconnaissent encore l’existence. Il existe une fraternité dans notre société que l’on trouve presque naturelle, inconsciemment. Une union masculine est quelque chose de communément admis que l’on n’interroge jamais (on le voit bien au travail ou dans les émissions de télé-réalité ou de divertissement qui reflètent merveilleusement bien notre société). Tandis que la moindre union de femmes est immédiatement vue comme une dangereuse coalition à détruire le plus rapidement possible… car ce serait le signe d’un « féminisme » contre les hommes… Il y a un vrai problème sociétal à ce niveau-là. Une peur et un rejet des unions de femmes. Insister sur la sororité est pour moi un chemin vers l’égalité de tous, hommes, femmes, personnes non-binaires. Dans un idéal d’adelphité, terme sans dimension genrée.
La Place des femmes dans la société actuelle ? les femmes sont-elles biens dans leurs corps ?
Non, je ne pense pas que la plupart des femmes soient si bien dans leurs corps. C’est d’ailleurs encore une chose difficilement acceptée car cela passe pour un discours « victimisant ». Mais c’est un fait : le corps des femmes est encore trop souvent instrumentalisé, commenté et sexualisé dans tous les domaines. Dans le monde du ride, par exemple, on voit encore trop de meufs hyper sexualisées vs des mecs en t-shirts et pantalons larges… A quel moment on fait du skate ou du bmx en string et soutif ?!
Tu as fait un fanzine spécial Roller Derby, rider pour toi cela épanoui la femme ? Que penses-tu de notre fanzine Cult of ride justement ?
Vous la retrouverez dans les salons DIY et les fanzinothèques lyonnaises comme Café Rosa ou La luttine ainsi que sur Etsy.
Et son univers sur instagram.
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Une critique à découvrir sur Babelio : Cher connard de Virginie Despentes
Une critique à découvrir sur Babelio : Cher connard de Virginie Despentes
https://www.babelio.com/livres/-/1423121/critiques/3742322
Cette lecture est avant tout une lecture curiosité/découverte.
Je n'ai pas vraiment l'habitude de ce genre de littérature à vrai dire. Mais après tout le raffut qu'à fait le bouquin à sa sortie, la semaine dernière je suis passé dans ma librairie habituelle où il y avait tout un étalage de "Cher Connard" de Despentes en format poche.
On peut dire que l'autrice à joué un sacré coup de poker avec cet ouvrage. Et la où je m'attendais à une émasculation en bonne et due forme de la part de Virginie Despentes, au final c'est un livre assez banal mais qui se laisse lire avec un titre accrocheur qu'on aurait pu croire rattaché à un courant féministe extrême qui au final n'en est rien et a été un bon gros coup de com'.
Car oui, dans le récit il est question de féminisme mais ce n'est pour moi pas le thème principal du roman.
Il est surtout question de relations triangulaires entre trois protagonistes principaux.
Oscar, écrivain à succès camé comme ce n'est pas possible, qui au début du récit est un peu l'ordure de service.
Il y a Rebecca actrice de cinéma populaire qui elle aussi tourne à la came.
Puis vient enfin Zoé Katana blogueuse pour la cause LGBT et anti mascu'.
En fin de compte sur les trois personnages principaux, seulement deux ressortent franchement. Oscar et Rebecca. Où leur relation et leurs échanges via des mails tourne un peu en boucle, et ce qui était une haine féroce de Rebecca envers Oscar, se verra muter en une véritable histoire d'amitié.
Le livre a des airs de mélodrame sur fond de jet set, où tout tourne autour de la came. Coke, héro', shit, alcool... bref tout y est. Mais on ne parle pas ici de personnages issues de la misère mais bien de protagonistes pétés de thunes un peu bourgeois sur les bords, axés sur leur petit monde et leur petite personne.
Comme disait une Babeliote, à la fin du roman, on ne sait pas vraiment si l'on a aimé ou détesté le livre.
Perso, je lui ai attribué la note de 3,5 étoiles, peut-être un peu surévalué, mais je suis un lecteur ouvert et que j'ai passé néamoins un bon moment.
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L’Évolution de la représentation LGBT+ dans les voyages et la littérature moderne https://www.guide-gay.com/levolution-de-la-representation-lgbt-dans-les-voyages-et-la-litterature-moderne/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=tumblr
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La littérature jeunesse, continent sans frontières ? | Assises de la littérature jeunesse
Depuis 2017, les professionnels du livre pour la jeunesse se réunissent tous les deux ans lors des Assises de la littérature jeunesse. Cette année, pour la 4e édition, maisons d’édition, auteurs, traducteurs, journalistes, médiateurs du livre ou encore enseignants se retrouveront autour d’une question : la littérature jeunesse, continent sans frontières ? En partenariat avec le Syndicat national de l’édition, avec le soutien de La Sofia. 00:00 Introduction par la Présidente de la BnF, Laurence Engel, et Louis Delas (Vice-président du Syndicat national de l'édition) 14:32 Conférence inaugurale de Clémentine Beauvais, autrice et traductrice 32:46 Table Ronde 1 – Les métiers de l’international avec Laura Karayotov (agent littéraire), Bernard Friot (traducteur), Isabelle Darthy (responsable de cession de droits, L’école des loisirs), Laurence Leclercq (responsable de cession de droits BD Jeunesse, Delcourt) - Modération par Nicolas Roche (Directeur général, BIEF) 2:04:00 Mathilde Lévêque, professeure à l’Université Sorbonne Paris Nord 2:22:57 Table Ronde 2 – La littérature jeunesse au défi du numérique, avec Anne-Sophie Steinlein, (Directrice des opérations, YouScribe), Michael Stora (psychologue et psychanalyste, expert des mondes numériques), Jeanne Seignol (journaliste et booktubeuse) - Modération par Laurent Carpentier (journaliste, Le Monde) 3:14:54 Lecture à voix haute par Souleymane (finaliste Île-de-France 2023 des Petits champions de la lecture) 3:21:51 Intervention vidéo de Dorottya Rédai (Présidente de l’association hongroise LGBT LABRISZ, éditrice du recueil de contes inclusifs Brune-Feuille, le prince se marie et autres contes inclusifs) 4:48:03 Intervention de Praline Gay-Para, (conteuse) « Les contes qui traversent les frontières » 4:54:59 Table Ronde 3 – Les enjeux de la coopération internationale, avec Christine Cornet, (attachée Livres et débat d’idées au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères), Hasmig Chahinian (chargée de mission internationale au CNLJ, responsable d’IBBY France), Laurence Faron (directrice des éditions Talents Hauts et co-Présidente du groupe Jeunesse du SNE), Christine Morault (cofondatrice et directrice éditoriale des éditions MeMo), Modération par Florence Salanouve (directrice de la valorisation à l’ENSSIB) 6:53:40 Table Ronde 4 – La littérature jeunesse, vecteur de soft power, avec Cédric Pilot (producteur, Mediawan), Louis Barchon (rédacteur en chef de la revue Lecture Jeune), Valérie Salamm (co-fondatrice Folie d'Encre), Modération par Lloyd Chéry, (journaliste et rédacteur en chef adjoint de Métal Hurlant) 7:52:23 Discours de clôture par Laurence Faron et Cécile Térouanne (co-présidentes du groupe Jeunesse au SNE) Plus d'informations : https://www.bnf.fr/fr/agenda/assises-... Programme détaillé : https://www.sne.fr/evenement_sne/assi...
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6 podcasts féminins à écouter impérativement !
Nous vous proposons 6 podcasts féminins à écouter impérativement ! Drôles, inspirants, émouvants, irrévérencieux, malins ou joueurs, vous trouverez avec certitude votre bonheur auditif. Bercez vos oreilles des paroles sages qui composent notre sélection de podcasts. Sorociné : le question du féminisme sous le prisme du septième art Parmi les nombreux podcasts féminins du moment, nous vous conseillons Sorociné. Son principe ? Offrir un regard différent sur le féminisme sous le prisme du cinéma. La fondatrice du podcast est la journaliste et critique de cinéma Pauline Mallet. Entourée de ses invités, la jeune femme passe à la moulinette le monde du septième art. Un milieu où les stéréotypes et les clichés sont toujours présents malgré la libération de la parole féminine. Au sommaire, les sujets abordés sont variés. Vous voulez le programme ? Les études de cinéma, les sorcières, le sexe ou bien encore l’émancipation des femmes par le mal. En bref, un éclectisme des sujets qui célèbre le cinéma et le travail des femmes. Soigné, inclusif et pédagogique, tels sont les maîtres mots de Sorociné. Une perspective fraîche et intelligente dans l’offre actuelle des podcasts féminins. Quoi de meuf : le podcast intersectionnel Dans les propositions de podcasts féminins, Quoi de meuf a pour mot d’ordre l’intersectionnalité. Que désigne ce terme ? Il signifie la situation de personnes qui subissent plusieurs discriminations ou dominations dans la société. Les fondatrices du projet sont les journalistes Clémentine Gallot et Mélanie Wanga. La volonté du podcast ? Intégrer toutes les femmes avec diversité et visibilité. De fait, les créatrices du podcast reçoivent leurs invitées pour discuter et débattre. Au programme du podcast mensuel : des sujets sociétaux, politiques, culturels, sexuels mais aussi de l’art de vivre. Le tout, dans une ambiance décontractée avec du sérieux sans se prendre au sérieux. Original et pertinent, Quoi de meuf deviendra très certainement l’un de vos podcasts féminins préférés. YESSS : le podcast des warriors Dans notre sélection de podcasts féminins, nous vous recommandons YESSS. Sa marque de fabrique ? Un ton positif et émancipateur qui célèbre les femmes. Comment ? En donnant la parole à celles qui ont subi le sexisme ou des situations de discrimination. Des témoignages, forts en sens, qui méritent notre attention totale. Elsa Miské, Margaïd Quioc et Anaïs Bourdet sont les créatrices de ce podcast crée en décembre 2018. Une consultante, une journaliste et une graphiste. Trois femmes, trois univers opposés, mais un projet commun : prôner l’émancipation de toutes les femmes. En ce sens, ces Drôles de dames prouvent qu’elles n’ont nullement besoin de Charlie pour mener leur mission. Depuis sa création, ses fondatrices donnent la parole à ses invitées : « des warriors au quotidien. » Loin d’être des victimes, ce sont avant tout des guerrières qui se battent avec résilience. Parmi les sujets abordés, les thèmes sont hétéroclites avec la santé, l’humour ou les droits LGBT. Inspirant, solidaire et positif. Des valeurs qui symbolise le podcast YESSS. En outre, cela fait du bien, surtout en ce moment. Un podcast à soi : quand l’intime rencontre le podcast Entre la littérature et l’univers des podcasts féminins, il peut y avoir un pont. En ce sens, Un podcast à soi est un joli clin d’œil en référence à la romancière Virginia Woolf. Vous ne voyez toujours pas ? Il s’agit de son roman Une chambre à soi publié en 1929. La créatrice du projet est la journaliste Charlotte Bienaimé. Comme l’illustre écrivaine britannique, la jeune femme évoque la notion d’intimité. Entre documentaire et entretien, le podcast combine l’expertise, le récit et le témoignage. De fait, ces éléments sont les moteurs pour évoquer des thématiques sur le genre, l’égalité des sexes ou le féminisme. Dans un même ordre, Charlotte Bienaimé questionne et soigne sa réflexion pour construire ses épisodes. Vous souhaitez connaître les thèmes abordés ? Politique, religion, famille, justice, sexisme ordinaire ou bien encore le sport sont de la partie. En bref, des sujets variés avec, toujours en substance, l’idée d’explorer l’intime. Avec souplesse et ingéniosité. Dans l’univers des podcasts féminins, Un podcast à soi propose son monde intimiste, propre et instructif. Un moment d’écoute à consommer sans modération une fois par mois sur Arte Radio. Sois gentille, dis merci, fais un bisou : des portraits de « femmes ordinaires aux destins exceptionnels » Dans notre sélection de podcasts féminins, Sois gentille, dis merci, fais un bisou a affûté notre attention. La raison de notre enthousiasme ? Son message en filigrane : les femmes sont libres d’aller au bout de leurs rêves. Une aspiration belle et noble qui fait fi des peine-à-jouir. Rétrograde, le nom du podcast n’est pas le fruit du hasard. Qui est la personne derrière ce titre imbibé de muflerie ? Nous vous présentons l’accusée : il s’agit de la journaliste Clémence Bodoc. Toutefois, rassurez-vous. Il n’y a aucune once de sexisme de la part de l’ancienne rédactrice en chef de MadmoiZelle. Bien au contraire. En effet, la jeune femme utilise cette injonction pour tordre le cou aux stéréotypes sexistes qui pourrissent le débat. Au sommaire du podcast, la journaliste interroge ses invitées, toutes des femmes. Issues du monde médiatique, politique ou artistique, ces dernières se livrent avec sincérité et passion. Enfance, rapport au temps, espoirs, attentes et déceptions sont au menu du podcast. Parmi les invitées, la liste est à la fois plurielle et de qualité. Des exemples à citer ? Bérangère Krief, Zazie, Camille Chamoux, Audrey Pulvar ou bien encore Isabelle Alonso. Leur point commun ? Elles ont réussi à accomplir leur rêve. Une réussite qui met à mal le sexisme latent qui gangrène notre société. Motivant, pédagogique et profondément contemporain. Vos oreilles vous remercieront de ce moment auditif tout en équilibre. La Poudre : le pionnier des podcasts féminins Impossible de faire l’impasse sur La Poudre. Depuis son lancement en 2016, l’émission est devenue une référence dans le monde des podcasts féminins. Une inspiration même. Fort de ses millions d’écoutes, le podcast pérennise sa réussite à travers ses beaux portraits de femmes. La créatrice du podcast n’est autre que Lauren Bastide. Ancienne rédactrice en chef à Elle, elle fut également chroniqueuse dans l’émission Le Grand Journal sur Canal+. Journaliste, la jeune femme est également une militante engagée. Ses combats ? Ils sont nombreux mais avec un objectif clair : faire le bien commun. Des exemples concrets ? La lutte contre les stéréotypes sexistes, l’égalité entre les sexes ou bien encore la place des femmes dans l’Histoire. En clair, des thématiques contemporaines qui trouvent un prolongement grâce à La Poudre. Son concept est simple mais efficace. Un jeudi sur deux, Lauren Bastide reçoit une invitée dans une chambre d’hôtel. Artiste, politique, écrivaine ou journaliste, l’interviewée se confie sur son parcours. Enfance, éducation, carrière et combats sont évoqués sous le regard attentif et bienveillant de la journaliste. En somme, il s‘agit d’une belle parenthèse pleine de sens et qui convoque nos propres interrogations sur le féminisme. Intimité, profondeur et émancipation. Telles sont les manifestations concrètes de La Poudre ou devrions-nous dire la référence des podcasts féminins. Ce voyage dans le monde des podcasts féminins va bientôt s’achever. Nous espérons que notre sélection vous a plu. Si tel est le cas, enfilez de ce pas vos écouteurs pour écouter l’un de nos podcasts proposés ! La rédaction vous conseille également les articles suivants : - Les cinq podcasts mode à ne pas rater. - Les 10 meilleurs podcasts à écouter pour le confinement. - 5 bonnes raisons d’écouter des podcasts. Read the full article
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♡ FUCK UP ♡
✏️ Mon avis :
Dynamite en pages, Fuck up, fulgurant, tendancieux et terriblement captivant, nous balade dans un East Village multiface aux bras de ce brave type qui a tout pour réussir mais à trop tirer sur la corde finit par se briser.
Chanceux dans son malheur, il trouve de quoi rebondir et de rebondissements en rencontres termine manager dans un cinéma porno gay. Il rêve en grand. Le rêve américain, l’argent qui coule à flots, les belles filles, les fringues. Toute la panoplie de l’américain qui a réussi. L’argent facile et cette envie mordante le poussent à commettre l’irréparable qui le mène tout droit en enfer.
Kaléidoscope de la fulgurance de la vie. Péchés, manipulations et désillusions se côtoient dans se fourmillement qui parcourt la ville. Rythme endiablé, verbe acide et voluptueuse, la plume de Arthur Nersesian est un pur shoot de ce que j’aime retrouver dans la littérature Nord-Américaine. Pas de filtre, ça mord, ça pleure, ça crie l’amour, la perte et la peur au cœur de cette démesure enivrante et euphorisante. Un personnage attachant parfois immoral mais qui dans toute cette pagaille tente de maintenir la tête haute. Outre une histoire démesurée, Arthur Nersesian décrit une ville en transmutation. Artistes, communautés LGBT, noires, yuppie, mafia, une faune régit par des codes qui en font l’essence même de cette ville. L’auteur aborde également le thème de l’amitié et de l’amour qui en feront la pierre angulaire de l’histoire.
Un roman retraçant un chemin de vie chaotique portée par l’espoir et la désillusion.
Un roman captivant à découvrir à tout prix. J’ai adoré cette frénésie ressentie tout au long des pages et cette humilité qui clôture le roman.
➡️ Est-ce-que ce roman pourrait te plaire ?
336 pages
💥 Genre : littérature nord américaine
📍Ma note : 4/5
#arthurnersesian @editions_la_croisee #fuckupbook
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Denise Bombardier et la communauté LGBTQ+
Le 4 juillet est une journée colorée car c'est la fête de nos voisins du sud soit les américains. Mais l'esprit de fête a été mise de côté après avoir appris le décès de Denise Bombardier. Bref mes condoléances à la famille et proches de la principale concernée.
Évidemment, son décès a causé une pluie d'hommage donc le miens: "Une femme dont ma génération et les suivantes gardent une image négative à cause de ses positions et ses propos. Mais si on découvrait en détail la personnalité médiatique canadienne, Mme Bombardier a un bagage bien garni d'émissions, de chroniques, de romans ainsi qu'une présence au Canada et en Europe. (...)"
J'ai essayé que mon hommage soit égalitaire et juste à ce qu'était la journaliste, romancière, essayiste, productrice, animatrice et polémiste canadienne.
Mais bon, il y en aurait long à dire sur Denise Bombardier tellement que nos commentaires auraient rempli le livre de condoléances.
Un accrochage qui coûte cher
2003, Denise Bombardier est à la barre de l'émission Le Point sur les ondes de Radio-Canada.
La production avaient dû mal à trouver un membre de la communauté gai pour une invitation à débattre sur le mariage de même sexe face à madame Bombardier mais ceux-ci refusent et jusqu'à ce qu'il tombe sur Louis Godbout qui était employé aux Archives gai du Québec.
Mais le passage sur le plateau a laissé un goût amer à Louis Godbout car interrompu et douté sur sa légitimité par Denise Bombardier.
Le débat a fait scandale dans la communauté LGBT de l'époque et l'aura suivi jusqu'en France où elle devait faire la promotion d'un livre.
De même que le diffuseur canadien met un terme après ses trente ans de service. Bref même si la télé est avant tout un show mais avec modération pour ne pas finir renvoyer chez Radio-Canada.
Mais 10 ans plus tard, cette dernière est questionné par la situation du "mariage pour tous" en France. Elle cite à l'animateur Patrick Simonin que jamais elle ne serait jamais descendue dans la rue contre le mariage pour tous.
Si j'en tiens une conclusion, sa position de 2003 était virulente comparé à celle de 2013 qui a de la pudeur.
Moment d'indifférence
L'extrait est redevenu viral donc celui où Denise Bombardier dénonce les agissements de Gabriel Matzneff envers les mineures et citait quelque chose d'important soit que la littérature, ou l'art en général, ne peut pas servir d'alibi.
1990 fait écho à 2023 avec tout ce qui passe dans le ras-de-bol en lien avec la communauté LGBTQ+.
Il faut voir et admettre que l'on vit sur une autre planète avec cette tentative de lunettes roses pour insister qu'il n'y a pas de danger qu'une jeunesse baigne si jeune dans le milieu LGBTQ+.
Si la lecture ne peut pas servir d'alibi pour Gabriel Matzneff, cela doit en être pour les drags qui lisent des contes à sujets qui ne sont pas de l'âge d'un enfant.
Pour une fois qu'un moment d'indifférence coïncide avec un autre moment d'indifférence.
Vous savez, on a bau détester Denise Bombardier mais sa confrontation avec Gabriel Matzneff nous démontre à quel point elle fut importe dans certains moments.
Pour finir en grâce cette chronique, reposez en paix madame Denise Bombardier et merci pour vos hauts et bas.
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Wilder Girls
Titre : Wilder Girls
Autrice : Rory Power
Roman d’horreur
Maison d’édition : Collection R
Disponible en version numérique et papier - Nombre de pages : 450
Âge conseillé : YA et adulte
Résumé
Voilà bientôt dix-huit mois qu'un mal inconnu, la Tox, a frappé l'île Raxter. Dix-huit mois que le pensionnat pour jeunes filles qui en occupe la pointe a été mis sous quarantaine. D'abord, la Tox a tué les enseignantes, une à une, puis elle a infecté les élèves, dont les survivantes portent désormais ses monstrueux stigmates dans leur chair. Coupées du reste du monde, cernées par les bêtes mutantes qui rôdent dans les bois alentour et livrées à elles-mêmes, celles qui restent n'osent plus sortir de l'enceinte de l'école. Jour après jour, elles attendent le vaccin que le gouvernement leur a promis. Hetty et ses deux meilleures amies, Byatt et Reese, se serrent les coudes malgré les privations, bien déterminées à lutter ensemble jusqu'au bout... Plus glaçant encore que Sa Majesté des mouches, un huis clos féminin et féministe qui a fait frissonner l'Amérique de plaisir !
Identités représentées :
Filles lesbiennes et bies
Thématiques présentes :
Huis-clos, mutations, suspense, internat, amitié, cauchemar, épidémie
Les thématiques lesbiennes/bies ne sont pas du tout au cœur de l’histoire.
TW : meurtres, violences, gore
Avis de Cordélia :
J’attendais cette sortie depuis des MOIS et je ne suis pas déçue. L’atmosphère générale est vraiment bien rendue, c’est vraiment très original, prenant et oppressant. J’ai lu ce roman très lentement parce que je voulais le savourer ! Bon, je ne vous cache pas que la fin... mouais. Je m’y attendais parce que c’est super dur de terminer ce genre d’histoire autrement que « tout le monde meurt » lol. Je serai donc magnanime sur la fin. Quoi qu’il en soit, c’est clairement le genre d’histoire dont on manque quand on parle de rep LesBienne, des histoires qui ne tournent pas que autour de l’homophobie ou de la romance. Si vous aimez les histoires un peu malaisantes, foncez, ça vaut vraiment le coup !
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Mademoiselle Giraud, ma femme, est un roman lesbien écrit par le dramaturge et romancier français Adolphe Belot.
Ce roman fut un succès de nos arrière-arrière-grands-parents, véritables perles fanées avec pourtant encore du charme.
Bien que désuet aujourd'hui en regard de nos mœurs, il traite en effet de l'homosexualité féminine en 1870.
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Mois des fiertés - 1 jour 1 livre
Ari, quinze ans, est un adolescent en colère, silencieux, dont le frère est en prison. Dante, lui, est un garçon expansif, drôle, sûr de lui. Ils n'ont a priori rien en commun. Pourtant, ils nouent une profonde amitié, une de ces relations qui changent la vie à jamais...
C'est donc l'un avec l'autre, et l'un pour l'autre, que les deux garçons vont partir en quête de leur identité et découvrir les secrets de l'univers.
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