Tumgik
#les grisonnes
wallsofwarcraft · 1 year
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flashbic · 11 months
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Thinking about Him*
*concept art Falconi
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coovieilledentelle · 5 months
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À tous les jeunes qu'on a connus. avant..
Et qui sont des vieillards. maintenant ! À toutes ces filles jadis si coquettes Maintenant en maison de retraite. Pour nous souvenir, prenons un instant Tant qu'il en est vraiment encore temps ! À tous ces garçons, hier si charmants Et qui, aujourd'hui, sont grisonnants, À toutes ces filles en mini-jupettes Ridées désormais comme des poires blettes, J'envoie ce message important Pour nous moquer un peu de nos tourments. On vieillit, on vieillit, On est de plus en plus raplati, raplati. On a la mémoire comme une “passette” On a du mal pour enfiler nos chaussettes. On est tout rabougri, déjà amorti, On oublie même parfois ses anciens amis. À tous mes virtuels correspondants Qui sont chaque jour devant leur écran À tous mes amis qui, par internet, M'envoient souvent des “blagounettes”, Je souhaite qu'encore longtemps Nos échanges soient récurrents. Amitiés à tous ! Ceux qui se plaignent de vieillir doivent se rappeler que  c'est un privilège refusé à beaucoup !
Charlotte
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À tous les jeunes qu'on a connus. avant..
Et qui sont des vieillards. maintenant ! À toutes ces filles jadis si coquettes Maintenant en maison de retraite. Pour nous souvenir, prenons un instant Tant qu'il en est vraiment encore temps ! À tous ces garçons, hier si charmants Et qui, aujourd'hui, sont grisonnants, À toutes ces filles en mini-jupettes Ridées désormais comme des poires blettes, J'envoie ce message important Pour nous moquer un peu de nos tourments. On vieillit, on vieillit, On est de plus en plus raplati, raplati. On a la mémoire comme une "passette" On a du mal pour enfiler nos chaussettes. On est tout rabougri, déjà amorti, On oublie même parfois ses anciens amis. À tous mes virtuels correspondants Qui sont chaque jour devant leur écran À tous mes amis qui, par internet, M'envoient souvent des "blagounettes", Je souhaite qu'encore longtemps Nos échanges soient récurrents. Amitiés à tous ! Ceux qui se plaignent de vieillir doivent se rappeler que  c'est un privilège refusé à beaucoup !
Charlotte
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ninadove · 8 days
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🇫🇷 Debout devant la cheminée était un homme de moyenne taille, à la mine haute et fière, aux yeux perçants, au front large, à la figure amaigrie qu’allongeait encore une royale surmontée d’une paire de moustaches. Quoique cet homme eût trente-six à trente-sept ans à peine, cheveux, moustache et royale s’en allaient grisonnant. Cet homme, moins l’épée, avait toute la mine d’un homme de guerre, et ses bottes de buffle encore légèrement couvertes de poussière indiquaient qu’il avait monté à cheval dans la journée.
Cet homme, c’était Armand-Jean Duplessis, cardinal de Richelieu, non point tel qu’on nous le représente, cassé comme un vieillard, souffrant comme un martyr, le corps brisé, la voix éteinte, enterré dans un grand fauteuil comme dans une tombe anticipée, ne vivant plus que par la force de son génie, et ne soutenant plus la lutte avec l’Europe que par l’éternelle application de sa pensée, mais tel qu’il était réellement à cette époque, c’est-à-dire adroit et galant cavalier, faible de corps déjà, mais soutenu par cette puissance morale qui a fait de lui un des hommes les plus extraordinaires qui aient existé ; se préparant enfin, après avoir soutenu le duc de Nevers dans son duché de Mantoue, après avoir pris Nîmes, Castres et Uzès, à chasser les Anglais de l’île de Ré et à faire le siège de La Rochelle.
À la première vue, rien ne dénotait donc le cardinal, et il était impossible à ceux-là qui ne connaissaient point son visage de deviner devant qui ils se trouvaient.
Standing before the chimney was a man of middle height, of a haughty, proud mien; with piercing eyes, a large brow, and a thin face, which was made still longer by a royal (or imperial, as it is now called), surmounted by a pair of mustaches. Although this man was scarcely thirty-six or thirty-seven years of age, hair, mustaches, and royal, all began to be gray. This man, except a sword, had all the appearance of a soldier; and his buff boots still slightly covered with dust, indicated that he had been on horseback in the course of the day.
This man was Armand-Jean Duplessis, Cardinal de Richelieu; not such as he is now represented—broken down like an old man, suffering like a martyr, his body bent, his voice failing, buried in a large armchair as in an anticipated tomb; no longer living but by the strength of his genius, and no longer maintaining the struggle with Europe but by the eternal application of his thoughts—but such as he really was at this period; that is to say, an active and gallant cavalier, already weak of body, but sustained by that moral power which made of him one of the most extraordinary men that ever lived, preparing, after having supported the Duc de Nevers in his duchy of Mantua, after having taken Nimes, Castres, and Uzes, to drive the English from the Isle of Re and lay siege to La Rochelle.
At first sight, nothing denoted the cardinal; and it was impossible for those who did not know his face to guess in whose presence they were.
— Alexandre Dumas père and Auguste Maquet, Les Trois Mousquetaires [Ch. 14]
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epopoiia-leblog · 29 days
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Une évocation
Il était une fois une évocation. Dans le visage de cette dame, des yeux fripés comme toi, des rides souriantes, des cheveux grisonnants. Dans l’imprimé de cette robe, que porte une autre dame, sur ce fond bleu couleur du ciel, les mêmes fleurs qui t’habillaient. Dans cette odeur de savon qui arrive à son nez, le parfum de ton cou, des petits galets blancs sur le rebord du lavabo. Dans ces toutes petites crêpes qui sautent dans la poêle, toute petite elle aussi, on dirait des pancakes. Dans cette robe en laine qui habille doudou, un petit ourson rose qui dort encore avec elle. Dans la tranche de pamplemousse et le sucre dessus, l’amertume oubliée, le jus orange qui coule sur la langue. Dans Les petites filles modèles et Les malheurs de Sophie, tu aimais ces histoires et elle les aime aussi. Dans cette chanson d’Aznavour qui te faisait danser, elle dansait avec toi et quand venait le refrain, ensemble vous vous envoliez. Sur cette photo, elle est là dans tes bras, petite fille bouclée et sa grand-maman joyeuse. Derrière le noir et le blanc, on les entends encore, vos rires et leurs éclats.
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amerrante · 4 months
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Mon illisible livre sacré.
Me vois-tu errer dans le cimetière de notre histoire ? Tu me manques tellement parfois que mon cœur explose. Et voilà ce que tu as fait de moi, je pense à toi et je ravale ma douleur comme un shot d'alcool. Sec, brûlant, brûlure, frisson, apaisement.
Quelle douleur. Quelle malédiction.
Et je me souviens. Je me souviens de ton regard espiègle, et la douceur de tes mains quand tu me touchais, je sens encore ton odeur quand je m'approche trop près d'un chic café de Paris. Où mon budget de la semaine pourrait s'envoler. Mais toi, tu pouvais y passer la matinée. Et tout ce monde guindé te connaissait, sais-tu à quel point tu m’impressionnais ?
Tes cheveux blonds grisonnants flottaient dans le vent si tu ne les attachais pas. Maintenant j'ai un faible pour les hommes aux cheveux longs et tout ça par ta faute. Quelle stupidité de t'avoir cru quand tu me disais que j'étais unique, j'imagine que maintenant je le suis devenu, non ?
Tu avais toujours cette longue veste noire sur toi, toujours élégamment propre, tu étais l'homme le plus sexy de tout Paris, mais tu le savais non ? Tu cueillais les filles comme des fleurs en pleine prairie. Moi, tu m'as arraché, tu m'as enfermé dans ton bocal, condamnée à rester derrière la glace à t'observer pour toujours.
Tu me fascinais, tes airs mystérieux, toujours un demi-sourire accroché aux lèvres. Tes yeux de ce bleu glacial, tu as glacé mon cœur. Ta barbe de quelques jours frottant sur ma peau vierge m'arrachant des gémissements. Mais tu étais un professionnel, non ? Le danger nageait autour de toi, et ton univers sanglant, tu me l'as fait découvrir au point où j'en suis tombée amoureuse. Je ris encore en t'imaginant secouer la tête, toi qui pensait que j'allais fuir.
Mais je n'étais pas en reste non plus, tu connaissais tous mes penchants sombres, tu les as juste nourris davantage. Je te fascinais tout autant, si ce n'est plus. Je me demande si tu avais pensé à tout ça. Tu m'as retiré l'espoir de retrouver une vie paisible car le danger que tu représentais serait à jamais trop vibrant.
Et les nouvelles chansons que je découvre chaque semaine, il y en a toujours une qui parle de toi. À croire que toutes ces jeunes femmes brisées t'ont connu, ont goûté et succombé à ta noirceur, à ton charme destructeur. Et ne penses pas que je te déteste car tu le sais que c'est impossible pour moi. Tu étais beaucoup trop intelligent dans tes piques, dans tes manipulations pour que je puisse jamais t'en vouloir pleinement. Mais est-ce de la manipulation quand tu as conscience qu'on te manipule ? Et que tu aimes ça ?
Et les clubs où tu m'emmenais les soirs où le vide de mon cœur me poussait inexplicablement dans tes bras, la lumière aveuglante et la musique atroce me donne encore la migraine quand j'y repense, mais au moins je t'avais près de moi. Tes doigts sur ma cuisse, ton bras entourant mes épaules, protecteur. Tes chuchotements dans mon oreille, ta langue me chatouillant le lobe, ton parfum enivrant. Tu étais le soleil aveuglant de mes journées grises et moroses. Je n'ai jamais pu retrouver cette sensation, tu sais ? Car toutes ces personnes qui ont défilé après toi ne m’ont pas fait vibrer comme toi, ils ne me connaissaient pas comme toi tu m'as connu.
Tu me connaissais par cœur, mieux que moi-même parfois et je pouvais tout lire chez tout le monde mais toi, tu étais mon illisible livre sacré. Et je te vénérais. Quelle fraîcheur je t'apportais, n'est-ce pas ? La jeunesse innocente, l'odeur de mes câlins, la douceur de ma voix. Tu disais que j'étais ton joyau le plus précieux. Et tu pouvais faire tout ce que tu voulais de moi, tu le savais, n'est-ce pas ?
Tu savais tout évidemment, tu étais omniscient.
Tu étais dans ma tête traçant le moindre de mes gestes, tu avais un coup d'avance sur chacune de mes actions, tu lisais littéralement mes pensées. Tu étais dans mon corps m'arrachant cris et soupirs, enfermée et ligotée, j'étais là à ta merci, un cadeau empoisonné pour toi. Tu t'en es rendu compte trop tard. Tu étais dans mon cœur surtout, tu es arrivé et tu t'y es installé comme si c'était ton royaume, refermant les portes derrière toi pour toujours, ne laissant jamais personne entrer.
Et tu m'as reconditionné, moi toute cassée. Mais à ta façon. Tu as fait en sorte que je sois parfaite pour toi, répondant qu'à tes désirs, qu'à ton souffle, j'étais ta petite marionnette déguisée en princesse. Une poupée parfaite faite sur mesure, que demander de plus ? Et tu as été malin dans tout ça. Mais est-ce que je peux t'en vouloir ? J'aurai donné ma vie pour toi, littéralement.
Et tu as tellement bien fait les choses ; tu serais heureux de savoir que ton souvenir est collé à ma peau aujourd'hui, je respire ton nom dans mes cauchemars mais aussi dans mes rêves les plus doux. Personne n'a jamais réussi à me faire frissonner comme tu savais si bien le faire. Si facilement. Pas étonnant que tu sois devenu fou, tu étais obsédé comme personne ne l'a jamais été. Tu  m'aimais, oui, je suis sûre, sincèrement mais pas de la façon la plus saine. Oserais-tu me contredire ?
Et quand je t'ai perdu, la douleur m'a scindé le cœur. Et j'ai tant essayé de t'effacer qu'à un moment ça a vraiment marché. Tant que j'étais la première étonnée quand je me suis souvenue de toi, j'ai plongé dans mon esprit pour retrouver cette histoire sombre, la réécrire à ma façon. Mais malgré la centaine de versions différentes, la fin ne change jamais.
Et les soirs où la tempête gronde, je pense à toi, quelle probabilité de rencontrer le Diable en personne ? Tant de mensonges et de regrets, voilà sur quoi tu me laisses. Un fantôme du passé qui vient me hanter tous les soirs.
Mais tu ne t'attendais pas à autant de fougue de ma part, autant de haine, tu as été étonné que je puisse contenir tant de ressentiments. Quel petit corps et quelle énergie ! me disais-tu. Le penses-tu encore ? Alors parfois, je me satisfais de l'idée que tu me regardes et tu vois les dégâts que tu as causé. Je suis sûre que tu regrettes, tu me l'as dit tant de fois de ta voix torturée, de tes yeux brillants de larmes, tes mains tremblantes cherchant à apaiser mon âme.
Mais tu étais fort dans tout ça, tu aurais pu le mettre dans ton CV, les portes des Enfers étaient grandes ouvertes à ton arrivée j'imagine, mais tu sais que malgré tout cela, je te rejoindrai là-bas et je serai ta compagne loyale pour les sévices qu'ils nous infligeront.
Car au fond de moi, je sais que j'étais la complice de mon propre malheur et tu étais le pirate de mon navire. Mais cette tragédie devait avoir une fin, non ? Alors dis-moi, me sens-tu errer dans le cimetière de notre histoire ?
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ladyniniane · 11 months
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25k reached! I'm halfway there🎉🎉🎉! It's still pretty satisfying. I'm done with that long battle scene and I'm currently writing everyone's endings.
It's certainly something given the amount of time I've put on this fic. And it's really moving as well. Everyone is going home, a new chapter of their story is about to begin. And I love seeing how much my characters have grown!
To celebrate that, here's a little (quickly edited) snippet (spoilers for the end of my FE3h fic, of course) :
-Philomène ! s’exclama une voix masculine.
Ayant échappé à ses gardiens, un prisonnier se jeta à ses pieds. Le sang maculait son riche manteau. Bien que dur, son visage aurait pu être beau et élégant dans d’autres circonstances, capable d'arracher une damoiselle idéaliste à son foyer. La peur déformait néanmoins ses traits et ses cheveux grisonnants en désordre lui donnaient un air sinistre.
Le sang et la suie n'occultaient pas la ressemblance de Maeve avec sa mère. Les serres immondes de l'homme agrippaient sa cape, tandis qu'il scandait le nom de la défunte, hagard et enfiévré.
-Oui, oui ! Tu es ma fille ! s’exclama-t-il avec une jubilation mauvaise.
Il le clama haut et fort pour souiller Maeve, l’entraîner avec lui dans la déchéance. La magicienne lui agrippa le poignet, le tordit vers le sol et recula d'un pas.
-Ne me touchez pas et ne souillez pas le nom de ma mère ! menaça-t-elle dans un grondement d’orage. 
Ses lèvres devinrent une ligne, une lame. Son regard gela. Elle paraissait prête à lui trancher la langue.
-Je suis innocent, supplia l’homme. Sauve-moi, je t’en prie. J’aimais ta mère, tu sais. Je ne sais pas ce qu’elle t’a raconté sur moi, mais j’ai voulu te connaître toute ma vie. J'ai de l'argent et des terres. Je ferai de toi une femme riche. Tu ne manqueras jamais de rien.
Maeve combattit sa nausée. Les mots se bousculaient dans sa bouche. Il osait essayer de l’acheter avec son sale pécule ? La prenait-il pour une idiote ? Ou pire encore n’avait-il aucun remord, trop dénué d’empathie qu’il était ? 
-Vous avez essayé de coupé les ailes de ma mère mais elle était plus forte que vous. Allez en enfer, c’est tout ce que vous méritez.
Elle n’avait jamais ressenti une telle froideur et indifférence. Il n’était qu’un insecte répugnant mais pas effrayant. Tant de conscrits et de gens innocents avaient perdu la vie dans cette guerre. Elle avait encore sur ses mains et sur son armure le sang fumant de ses ennemis. Pourquoi aurait-il mérité de s’en sortir ? 
Le masque suave tomba et l'homme révéla son vrai visage. Le courroux le rendit tout simplement hideux. La séduction avait échoué, il passait désormais à la crainte et à la soumission.
-Je suis ton père ! s'emporta-t-il. Je t’ai donné la vie ! Tu n’as aucun droit de me faire ça ! Tu ne peux pas me condamner, tous tes camarades sauront que tu es une parricide !
Maeve haussa les sourcils. Elle entendait la menace sous-jacente dans son discours : “tu es ma fille et tu m’appartiens”. Et comme pour confirmer ses pensées, il répéta “je suis ton père” avec une suprême indignation. Ces mots semblaient être pour lui une incantation toute puissante, donnant le droit à vénération inconditionnelle. Sa bouche dégoulinait de venin et il montra les crocs.
Maeve rassembla les pans de sa cape autour d’elle. 
-L’amour et le respect se méritent. Et vous n’avez rien fait pour cela. Vous êtes mon père, oui. Mais nos liens s'arrêtent-là. Ce qui vous arrive aujourd’hui est la conséquence de vos actions. Vous devriez y réfléchir pendant le temps qui vous reste. Bientôt vous ferez face à ma mère, déclara-t-elle froidement avant de l'abandonner à son sort.
Reconduit par ses gardiens, l'aristocrate hurla, se débattit, supplia et la maudit. Aucune de ses imprécations ne l'atteignit cependant.
Maeve ne connaissait même pas le nom du noble et n'avait aucune envie de l'apprendre.
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jojobegood1 · 11 months
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Podcast – Les Alpes vont-elles bientôt s’effondrer ?
Podcast – Les Alpes vont-elles bientôt s’effondrer ? https://www.rts.ch/info/suisse/14454619-podcast-les-alpes-vontelles-bientot-seffondrer.html
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wallsofwarcraft · 1 year
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22. Le soleil me fuit
Tu as l'air triste. On me le dit. L'âme endeuillée. La mélancolie innée. Ça colle à ma peau, visqueuse et intraçable. Mon histoire met les larmes aux yeux. L'abandon suscite la pitié. J'ai tellement apprivoisé cette part de moi jusqu'à l'occulter parfois. Oublier c'est facile. C'est y penser qui s'avère douloureux. J'écoute les chansons qui pleurent. Je préfère les drames aux comédies. Quand le héros meurt. Quand l'amour finit en impasse. Je suis peut-être sadique. Voir l'univers s'écrouler, ça m'émeut. Le soleil me fuit même en pleine canicule. J'ai des coins d'ombre dans la tête. Un nuage grisonnant qui me poursuit. J'ai des rêves en-dedans. Je porte de fausses paillettes pour berner mon monde. Mon sourire est factice, tu grattes à la surface, il s'écaille, vole en éclats. J'envie les gens toujours bienheureux, je n'y crois pourtant pas. Eux s'affichent ostensiblement, injustement, excessivement, ça cache quelque chose. J'ai juste moins peur d'apparaître sous mon vrai jour.
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coovieilledentelle · 27 days
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À tous les jeunes qu'on a connus. avant..
Et qui sont des vieillards. maintenant ! À toutes ces filles jadis si coquettes Maintenant en maison de retraite. Pour nous souvenir, prenons un instant Tant qu'il en est vraiment encore temps ! À tous ces garçons, hier si charmants Et qui, aujourd'hui, sont grisonnants, À toutes ces filles en mini-jupettes Ridées désormais comme des poires blettes, J'envoie ce message important Pour nous moquer un peu de nos tourments. On vieillit, on vieillit, On est de plus en plus raplati, raplati. On a la mémoire comme une “passette” On a du mal pour enfiler nos chaussettes. On est tout rabougri, déjà amorti, On oublie même parfois ses anciens amis. À tous mes virtuels correspondants Qui sont chaque jour devant leur écran À tous mes amis qui, par internet, M'envoient souvent des “blagounettes”, Je souhaite qu'encore longtemps Nos échanges soient récurrents. Amitiés à tous ! Ceux qui se plaignent de vieillir doivent se rappeler que  c'est un privilège refusé à beaucoup !
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lupitovi · 2 years
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Le Blérots de R.A.V.E.L - Dans les gares 
Dans les gares, moi c'que j'aime C'est voir partir les gens Me dire qu'là-bas hors de la plaine Ils s'en vont cueillir le beau temps Mais jamais ils ne le ramènent Sur les quais, grisonnants Où les passants au tein blême Semblent chercher l'escalier roulant Dans les gares, moi c'que j'aime C'est perdre mon temps Entre sandwich et café crème Et une clope ou deux de temps en temps Faire semblant d'écrire un poème Pour draguer l'hotesse même si c'est navrant Et imaginer des je t'aime Dans les r'gards qui s'posent en coup d'vent
Dans les gares Eh dans les gares Dans les gares, moi c'que j'aime C'est l'idée de foutre le camp Sans bagages sans pulls et sans peigne S'investir d'actions finalement Et mêm’ j'pense que ça en vaut la peine De prévenir personne en partant Histoire de garder pour sa cervelle Sa liberté de temps en temps
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artchipelsblog · 1 year
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"Berthe Morisot au bouquet de violettes" E.Manet
Sa lumière dans le drame.
Ce noir du deuil, si profond, si varié, si présent voir violemment imposant.
Ces rubans et mèches de cheveux si libres.
Cette ombre sur ce visage dont les traits sont pourtant si doux.
Et puis la lumière qui éclaire cette fine joue et le délicat coin de l'oeil... Un chemin qui nous mène vers cette grande variété de blancs qui s'oppose au drame.
De ces aplats blanchâtres, grisonnants, de cette peau blanc-rose, blanc-beige. Du laiteux de ses yeux, du blanc-bleu de ce bouquet.
Berthe, l'éclaircie de mes intempéries.
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bechirhouman · 1 month
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"Vieillir, c'est se retirer progressivement du monde des apparences"
Cette citation de Goethe m’a interpellée l’autre jour, comme un coup au cœur. Je la retourne dans ma tête depuis, essayant d’en saisir toute la portée. À 70 ans, je sens bien que quelque chose change. Ce n’est pas seulement les rides qui se creusent ou les cheveux qui grisonnent et les muscles qui se relâchent. C’est plus profond, plus subtil. Ce matin, en me regardant dans le miroir, j’ai vu…
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thewul · 1 month
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L'Affaire du Modigliani
C'est un faux faux!
Mais non il est original! Comment cela un faux faux?!
Oui c'est un faux d'un faux, il a été copié d'un faux existant et répertorié, voyez ces lignes ici, c'est celle du faux de ce tableau, qui est tellement parfait que nous l'avons mis sous clé au Louvre
Allons donc un faux parfait!
Mais je vous le dit, c'est quand même moi l'expert!
Modigliani acheté a prix d'or par la Banque de France en vue de réaliser une plus value soit disant énorme, sur les conseils d'un obscur personnage de la politique Française qui a changé autant de fois de partis politiques que de gouvernements mais qui a cependant survécu a tous, François Henri De Castellane, membre du Crabe d'Or et ami de longue date de Rastapopoulos
Commence alors une longue enquête sur comment ce tableau mis sous clé a pu être copié, qui aboutit a l'interrogatoire de Melchior D'Autant, agent d'entretien de son état au Louvre, grisonnant a lunettes, menu, passé la soixantaine et a quelques années de sa retraite
Enquête classée sans suite quand on retrouve chez lui des dizaines de tableaux de sa main, dont on suspecte qu'il exposé un certain nombre au Musée du Louvre pendant son service de nuit
Un talent hallucinant pour la contrefaçon, puisqu'il s'agit de peintres tous différents, de différentes époques et de différents écoles
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