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#les compagnons de la chanson
edgarmoser · 1 year
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disques pathé, collection disque d"or
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lounesdarbois · 3 months
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Les compagnons de la Marjolaine ou Le chevalier du guet, est une chanson populaire française dialoguée du XVIème siècle.
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shakeskp · 1 month
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Je ne sais pas pourquoi mes fics Star Wars s'écrivent autant avec des flashbacks, ce n'est pas un truc dont j'ai l'habitude, mais avec ce fandom ça vient naturellement.
Le début du projet Springbreak, aka la romance-qui-aurait-dû-être-épistolaire, aka la fic où Anakin vit une chanson de Fall Out Boy écrite en 2008 et Obi-Wan une ballade d'été mélancolique :
Deux ans après la fin de la guerre, le Haut Conseil perdit la tête et décréta que tous les chevaliers Jedi ayant été adoubés après le début du conflit devraient effectuer l'année de missions en toute indépendance dont ils avaient été privés. Les talents acquis durant la guerre avaient été, eh bien, guerriers, et il était temps de se remémorer l'origine de leur Mission, qui était pacifiste, et de nombreuses planètes avaient besoin de l'intervention d'ambassadeurs neutres.
Anakin trouva cette décision raisonnable, jusqu'à ce qu'il réalise qu'il était également concerné.
-- C'est une blague ? demanda-t-il à Obi-Wan lorsqu'il reçut son premier ordre, une mission pour bébé Jedi dont le nez produirait encore du lait si on appuyait dessus. Je pourrais effectuer cette mission les mains attachées dans le dos et un bâillon sur la bouche.
Même en tant que mission diplomatique, c'était du niveau zéro. Anakin avait été formé par Obi-Wan Kenobi. Ce n'était pas parce qu'il manquait plus vite de patience qu'il était incapable de régler en cinq minutes ce cas de mariage arrangé.
— Parfait, répondit Obi-Wan avec un sourcil haussé. Elle n'en sera réglée que plus vite. Anakin, dit-il plus fort lorsque ce dernier allait insister. Toi plus que n'importe quel autre chevalier mérite cette année de liberté. Tu es l'un des très, très rares à avoir passé la guerre au côté de ton maître plutôt que d'avoir été déployé ailleurs.
Il lui sourit avec une excuse dans le regard.
— Ça te fera beaucoup de bien de pouvoir agir sans que je sois toujours sur ton dos.
Oh non, songea Anakin en réalisant soudain ce que cette histoire ridicule signifiait vraiment.
On voulait le séparer d’Obi-Wan.
***
Anakin savait, objectivement, que le Conseil n'aurait pas créé un décret influençant plus de mille cinq cents Jedi juste pour le séparer d'Obi-Wan. Il n'était pas égocentrique à ce point. Et ayant comparé sa mission à celle de plusieurs de ses compagnons de galère, il savait qu'il n'était pas le seul à être traité comme s'il sortait tout juste de la Crèche.
Mais. Il était Anakin Skywalker. Le Héros Sans Peur. Le pourfendeur de Dark Tyranus et Dark Sidious.
C'était complètement ridicule !
Aussi, après quelque jours à râler sombrement avec d'autres vétérans infantilisés, il demanda à voir le Conseil qui le reçut avec une rapidité louche. Clairement, ils s'étaient attendu à ce qu'il proteste.
Mais ils ne s'étaient certainement pas attendus à ce qu'il allait leur sortir.
Tout le monde, tout le monde oubliait qu'il avait été formé par Obi-Wan. Même Obi-Wan.
— Dans sa grande sagesse...
Même pas une pointe de sarcasme dans sa voix, il espérait vraiment qu'Obi-Wan était fier.
-- ...Le Conseil a décidé que les Jedi ayant été privés d'une année de missions en toute indépendance devraient l'effectuer, à dater du premier du mois prochain. Toutefois...
S'ils croyaient qu'il ne voyait pas leur sourire en coin...
— Ils ne sont pas les seuls à avoir été privé de cette expérience nécessaire à tout Jedi. Le chevalier Koestar, la chevalière An'ki, Maître Ost...
Il continua la liste des quatorze noms qu'il avait dénichés dans la base de données de l'Ordre après trois nuits blanches et une quantité de caf à en empoisonner un wookie. Et enfin...
— La chevalière Aïmetyo et... Maître Kenobi.
Et il le savait mieux que personne, il en était la raison. Obi-Wan l'avait pris comme padawan immédiatement et n'était jamais passé par cette étape initiatique.
-- Anakin, soupira l’interpellé en se pinçant le nez.
Le reste du Conseil le regardait avec une stupéfaction non dissimulée. Il les avait coincés, et ils le savaient. S'il y avait non pas un, mais plusieurs précédents, il n'y avait pas de raison qu'il ne puisse y avoir d'autres exceptions. Et Anakin avait toutes ses chances d'en être une.
— Une excellente remarque, déclara Maître Yoda à la surprise générale, y compris celle d'Anakin.
Il ne s'était pas attendu à ce que le Grand Maître soit le premier à céder, et si vite.
— En délibérer, le Conseil doit. À Maître Windu, la liste, remets.
Dérouté, Anakin s'exécuta, soutenant le regard exaspéré du Maître de l'Ordre.
Il sortit de la salle du Conseil avec un léger sentiment de malaise, le mit sur le compte de l'irritation d'Obi-Wan et se promit de l'inviter à dîner pour se faire pardonner, même s’il n'aurait pas dû en avoir besoin.
Il avait fait ça pour leur bien.
***
— Ce n'était pas du tout ce que je voulais, dit-il, horrifié, quelques heures plus tard.
Obi-Wan, avec un stoïcisme né de ses nombreuses années d'expérience, venait de lui montrer un ordre de mission qui faisait passer celle d'Anakin pour une tâche ardue.
Servir de témoin à l'inauguration du nouveau parc naturel maritime dédié à la paix de Champala ? On le prenait pour un padawan ?
— Ils ont complètement perdu la tête, ils ne peuvent pas se passer de toi en tant que conseiller, c'est n'importe...
— Oh, je ne quitte pas pour autant mon poste, répondit calmement Obi-Wan. Au contraire, je sers d'exemple aux autres Jedi, afin de prouver que le Conseil est juste. Merci, Anakin. Sincèrement.
— Obi-Wan...
— Sur ce, je vais te laisser.
— Où est ce que tu vas ?
— Quinlan et Luminara ont une bouteille de Danse-de-Feu antakarien qui porte mon nom. À demain.
Anakin faillit le rappeler, mais choisit sagement de le laisser partir.
Et peut-être qu’il irait voir ce que lui aussi avait de plus alcoolisé dans son placard.
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carraways-son · 2 months
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Mercredi
Dans onze jours, ce mois de juillet si bizarrement commencé va changer de visage, car si tout va bien, mes Eurasiens d’amour se jetteront alors dans mes bras. En attendant, je rêvasse au soleil, bois du thé glacé, me régale de chansons retrouvées de Bob Dylan, comme Life is hard (album « Together through life ») ou Spirit on the water (album «Modern Times », thème de la tournée qui m’avait permis de le voir en 2008 au Zénith de Toulouse). Et puis je lis avec bonheur « Que reviennent ceux qui sont loin », de Pierre Adrian, qui a pour cadre la Bretagne et la grande maison familiale où se croisent en été toutes les générations. Il écrit, et j’applaudis : Août était le mois qui ressemblait le plus à la vie. Aussi, plus loin : Et je songeais qu’il n’y a qu’au mois d’août qu’on est vraiment un enfant. (sous-entendu, libre, en plein air et en mouvement). Et encore : Je ne supportais pas l’idée d’un lieu où je ne reviendrais plus jamais. (...) Et je croyais que toute la vie, il serait possible de courir partout et de revenir. Comment ne pas penser à notre maison familiale, que j’ai contribué à faire vendre alors que je l'avais toujours considérée comme mon ultime refuge. Auparavant, j’ai lu deux bons romans offerts par mon amie J. : « A pied d’œuvre », de Franck Courtès, et « La Société très secrète des marcheurs solitaires », de Rémy Oudghiri, où j'ai pioché de belles citations : La musique est le désir des choses qu’on ignore, signée Gabriel Fauré, ou : Quand on écoute sans regarder, on voit, de Fernando Pessoa. Les nuages filent, héron cendré et grand cormoran s’affrontent sur les eaux paresseuses de la Garonne, les fruits s’énervent d’été, j'attends le retour de la lune et contemple, rassuré, la pile de livres qui m’attendent : « Dans son sillage », roman de Jessica Andrews recommandé par ma fille, dont je suis aveuglément, ou presque, les prescriptions littéraires et musicales ; « Chelsea Girls », récit autobiographique de la poétesse Eileen Myles ; « Les Jaloux », de l’excellent James Lee Burke (86 ans), dont je lis tout ce qui paraît depuis une quinzaine d’années, comme je le faisais avec d'autres vieux compagnons, Charles Bukowski ou Jim Harrison. Je sais, je parle trop, mais pas souvent.
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vhscorp · 2 years
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TOI QUE J’AI TANT AIMÉE…
Quand arrive l’hiver et ses brumes glacées, j’aime à marcher le long des plages désertées, le vent emporte au loin mes plus sombres pensées et je me sens serein, tranquille et apaisé.
J’écoute la chanson, sans cesse répétée, des vagues qui s’échouent sur le bord du rivage et parfois je crois ouïr la triste mélopée de sirènes oubliées qui gémissent au large.
Nul promeneur ne vient déranger ma quiétude et pour quelques instants, je me sens seul au monde, loin de mon quotidien, rongé par l’habitude, et puis loin de mes pairs et de leur folle ronde.
Alors dans mon esprit, lavé par les embruns, s’imposent ton sourire et ton tendre visage, je sais qu’ils seront là tout au long du chemin, fidèles compagnons de mon pèlerinage.
Tous deux nous aimions tant ainsi nous promener, marchant main dans la main, de longues heures durant, regardant l’horizon s’unir à l’océan et ne nous arrêtant que pour un doux baiser.
Ô comme il semble loin, ce paradis perdu, ces années où nos êtres, unis, ne faisaient qu’un, comment puis-je accepter l’idée que jamais plus ma peau ne goûtera la douceur de tes mains?
Lorsqu’arrive l’hiver et ses longs doigts glacés, je vais voir l’océan qui nous a tant bercés, ensemble nous parlons de ces tendres années où tu vivais jadis, toi que j’ai tant aimée…
V. H. SCORP
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mysecret-hideout · 2 months
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lupitovi · 2 years
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    Les moineaux ont quitté Paris parce que dans la ville enrichie, sans cesse ravalée, il n'y avait plus de trous où nicher dans les creux des enduits, plus de pierres descellées, de souches de cheminées, plus de fissures. Le moineau parisien s'identifiait avec l'idée d'une capitale printanière et insouciante. Et avec celle de peuple. Tout particulièrement avec la figure du gamin. Déjà dans Les Misérables : Paris a un enfant et la forêt un oiseau; l'oiseau s'appelle le moineau l'enfant s'appelle le gamin. » Hugo se trompe, le moineau, ce passereau justement appelé Passer domesticus, n'est pas un habitant des forêts mais peu importe. Ensuite dans la chanson de Pellegrin (1924) : « J'suis I'moineau, j'suis l'titi/J'suis l'gamin d'Paris. » Puis chez les photographes humanistes : Doisneau, lui-même tête de piaf.     Les moineaux sont partis, en même temps que ce que l'on appelait donc le peuple de Paris. Les uns et les autres ont migré au cours du dernier demi-siècle, comme ils ont quitté Londres et quantité de villes, souvent pour se réfugier en banlieue. Ils ont, dans leur déplacement, abandonné les quartiers riches d'abord, ceux de l'ouest. comme s'ils fuyaient la hausse des loyers. Les moineaux ont quitté la ville quand tant d'autres l'évacuaient. Comme « nos frères gitans de Saint-Ouen », partis « sans crier gare » dans la chanson de Caussimon et Ferré. Et comme les hirondelles, « à tire d'aile et sans retour/Paris n'en avait plus besoin ». On connaît cette ritournelle. lI y a longtemps qu'est apparu, dans la conscience de l'Occident, ce paysage du mur mis à nu, porteur de fragments de décors délavés, de traces de vies humaines, qui nous bouleverse encore. Pas tant celui de la ruine, qui tient de l'antique et qui nous parle de l'Histoire, du destin des civilisations, mais celui du simple mur, le mur du fond, le mur-de-refend lorsque, suite à la destruction d un immeuble, il expose T'intimité des anciens occupants en même temps que l'anatomie du bâtiment, dans une sorte de dissection macabre. On imagine quelle longue période, quelle conjonction de facteurs il fallut pour que, vers le milieu du XIXe siècle cela devienne un thème de l'esthétique. (...)     C'est dans cette atmosphère que sont apparus il y a plus de quarante ans certains travaux anciens d'Ernest Pignon-Ernest. Ce couple de 1979, par exemple, ces deux figures debout, un homme, une femme, avec valise et matelas roulé sous le bras. Cela se passait à Montparnasse, ou bien autour de l'avenue d'Italie, des fronts de l'urbanisme de ces années-là. Sur une photographie de l'époque, on perçoit le chantier de l'hôtel Sheraton. Sur une autre, sous les affiches lacérées, un slogan à la bombe : « Halte à la rénovation». Ernest a depuis collé ses protestations sur tant de murs, les bossages baroques de Naples, les parois de brique, de parpaing, de plâtre éclaté, d'enduit de ciment, de peinture écaillée, les murs crépis et décrépis, les murs fanés, les ocres d'Italie, ou bien les soubassements de meulière, au ras du trottoir, du caniveau, les surfaces de tôle ondulée, rouillée, de Brest. En tel nombre qu'on a pu en oublier les diverses circonstances. Et puis les territoires de l'exil se sont à nouveau déplacés. Vers l'est encore, alors que la municipalité avait fait un mot d'ordre de la « conquête de l'Est ». Les gratteurs, les tagueurs, les fresquistes des années 1980 eurent affaire à Belleville, à Ménilmontant : ils y trouvèrent les mèmes moellons, les mêmes restes de papier peint, de carrelage de cuisine et de salle de bains, les mêmes boisseaux de cheminées en terre cuite ruisselants de goudron. Et leurs travaux sont devenus comme une sorte de chiendent, de végétation spontanée des lieux à l'abandon. Les figures inspirées des Shadocks, l'homme blanc, les pochoirs, les silhouettes à chapeau et manteau noir, les hippopotames et parapluies ouverts se sont mêlés aux arbres à papillons et aux ailantes, ces vieux compagnons des ruines.     Peut-être sera-ce bientôt la fin d'un genre. Il n'y a plus guère de ruines aujourd’hui. Intra-muros, du moins. Plus de terrains vagues, plus d'interstices où loger moineaux, classes pauvres et sans-logis. Moins d'hospitalité. Voilà ce que nous dit le chant du mur, du mur-pignon, du mur-de-refend, du mur sans défense. François Chaslin - Ernest, les pignons de l'exil
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livincrans · 1 year
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Jeudi soir. Une fois de plus, Marie nous avait concocté un dîner de roi pour fêter le retour de Vitaly, le compagnon de Zoé.
Coutumier du fait, Alex avait sélectionné un Pauillac et un Margaux proche de l'indécence. Une divine soirée en vérité. Pleine de rires, de joie, d'amitié...
Petit dormeur depuis l'école de recrue, je me levai à l'aube du vendredi. Je consultai mes emails, épluchai mes alertes immobilières avant de jeter un coup d'œil aux actualités.
Les urubus des chaînes d'information relayaient déjà en boucle l'inconcevable. Le déluge d'Al-Aqsa qu'ils martelaient sans cesse, ravis de détenir là une punch line de premier ordre dont ils allaient pouvoir se gargariser à outrance.
Les visages de tous mes amis défilèrent sous mes yeux. Certains dont les familles avaient été décimées dans les camps durant les heures les sombres de l'hydre teuton. Mon cœur se serra en pensant à Vi. Aux siens sur lesquels s'abattait le déluge des assassins. Une chanson de Cesaria Evoria me revint en mémoire... Petit pays, je t'aime beaucoup. Petit petit, je l'aime beaucoup.
Un spleen incommensurable baigna ma journée de samedi. Zoé me dit que Vi est resté terré dans sa chambre.
Dimanche. Il fait encore nuit quand je réveille. Soucieux, j'allume la TV... De par sa phonétique amusante, ce mot est facilement mémorisé par tous les enfants persanophones. Il divertit les bambins autant qu'il terrorise les adultes. Zel-zela. Derrière ce mot à la consonance débonnaire, relevant presque de l'onomatopée, se terre l'épouvante. Zel-Zela. Dimanche. Les actualités. Le sort s'était à nouveau acharné sur le pays de mes parents. Ce pays meurtri où il faisait si bon vivre jusque dans les années soixante. Zel-Zela, tremblement de terre. Un séisme qui, en quelques minutes, a envoyé ad patres plus de 2500 miséreux dans la région d'Hérat. De crève-la-faim éreintés par une guerre sans fin. De laissés-pour-compte opprimés par des fascistes religieux.
Entre les tragédies ukrainiennes et israéliennes, je le sais, le monde ne lèvera pas un doigt pour Aryana. Si ce n'est le majeur.
Comme pour rappeler que ces afghans -un genre de bougnoule venu d'Asie mineure- alimentent l'ignoble flot migratoire qui déferle "chez nous" pour grignoter notre confort.
Petit pays, je t'aime beaucoup. Petit petit, je l'aime beaucoup. Petit pays, tout le monde s'en fout.
Jeudi, terrorisme en Israël. Jeudi, le jour de Jupiter, le roi des dieux. Jupiter, le père des Cieux.
Dimanche, terreur en Afghanistan. Dimanche, jour du seigneur. Dimanche, jour du Saigneur.
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iufrance93 · 2 years
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IU et Lee Ji Eun
IU, une icône de cette époque qui ne peut être définie par un seul mot, et Lee Ji-eun au visage nu.
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Q : La séance photo d'aujourd'hui a tenté de capturer deux visages, IU et Lee Ji-eun, sur le thème de la dualité. Après avoir terminé le tournage avec un visage détendu, elle a avoué: "Le tournage d'aujourd'hui était honnêtement difficile." 
IU : En fait, travailler avec Gucci est toujours difficile. Je pense que c'est parce qu'il y a beaucoup de vêtements expérimentaux, de scènes et de messages. Surtout aujourd'hui, le but n'était-il pas d'incarner visuellement mon autre moi ? J'ai vu la collection P/E 2023 à Milan et j'ai trouvé ça très choquant et intéressant. Comme j'ai des souvenirs de cette époque, j'ai entendu parler du concept de ce pictural qui reprend un motif d'une collection, et je me suis dit, ah, ce ne serait pas facile. Mais c'était tellement amusant. C'était la première fois que j'essayais un maquillage fumé aussi épais, et je suis reconnaissante de pouvoir participer à un nouveau plan à bien des égards, à partir de la composition de l'image, des accessoires et de l'espace du studio.
Q : La dernière coupe était une scène dans laquelle IU, portant un maquillage épais et fumé, se tenait devant un faux mur recouvert d'affiches de Lee Ji-eun, qui était proche de son visage nu. Pour être honnête, je ne savais pas que la photo sur l'affiche provenait du tournage d'aujourd'hui, alors j'ai deviné qu'il s'agissait toujours de coupures de 'Persona' et 'Love Game'. Je savais que vous aviez plusieurs types de visages, mais je viens de réaliser qu'il y a aussi des visages de différentes époques.
IU : Dans la salle d'attente plus tôt, notre personnel a dit quelque chose de similaire. Maintenant, je porte un maquillage fumé épais, mais auparavant, j'enlevais le plus de maquillage possible. C'est le matin, donc ça ressemble à de la viande de poitrine (rires), et ça semble bien aller. Voir les photos imprimées m'a rappelé le passé.
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Q : Nous avons un partenariat à long terme avec Gucci. Si vous regardez la tendance artiste d'IU, je pense que c'est un compagnon impossible si vous n'êtes pas d'accord avec la philosophie et les valeurs de la marque Gucci. À quel moment les visions artistiques de Gucci et d'IU coïncident-elles ? 
IU : Je pense que Gucci est une marque qui valorise la diversité et trouve l'esthétique dans quelque chose de non raffiné. S'il y a quelque chose qui me ressemble, c'est peut-être le rôle. Je travaille également de manière à fondre dans les paroles les pensées et les sentiments que j'avais en train de ne pas parvenir à une conclusion et de ne pas être achevé.
Q : Comme vous l'avez dit, vous êtes toujours courageux de vous exprimer honnêtement à ce moment-là. En tant que célébrité, êtes-vous obligé de ne montrer au public que votre apparence parfaitement décorée ? 
IU : Quand j'étais jeune, je ne savais vraiment rien. (Rires) Je pense que je n'avais pas d'autre choix que de dire : "C'est ce que je pense en ce moment" ou "J'ai cet âge maintenant". D'une part, depuis que j'étais jeune, il y avait une perception que je n'étais pas une personne parfaite. Ce n'est pas comme si vous pouviez l'imiter. Tant que j'ai fait de ce métier une carrière, je devais voir le jeu, et il y a des aspects de moi que j'ai pu montrer sans hésitation. Ce qui a commencé comme ça est maintenant devenu l'une de mes façons de m'exprimer.
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Q : Les petites activités récentes sont-elles dans la même veine ? Vous pouvez trouver votre voix dans la chanson que les enseignants de l'école Milal ont chantée pour leurs élèves. Le compositeur Kim Jehwi de 'Night Letter' a fait une chanson sur ce qu'il ressentait en travaillant dans cette école et y a participé en tant que long métrage. 
IU : Jehwi est un ami précieux même en dehors de son talent musical. Au début, j'ai entendu dire que cet ami enseigne aux élèves à l'école, alors puis-je bien faire ? C'est vrai que j'étais en avance sur mes soucis. Cependant, après s'être bien adapté à être amical, il a finalement dit : « Ma sœur, je veux présenter une chanson à l'école », alors je me suis senti fier et j'ai voulu l'encourager. Honnêtement, je ne m'attendais pas à ce que cela devienne un sujet aussi brûlant, mais je l'ai enregistré avec tant de diligence que j'ai dit en plaisantant : "Je pense que j'ai travaillé plus dur que de participer à mon album." Pour que les élèves puissent aller à l'école dans la bonne humeur tout en écoutant. être fort
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La veste, la chemise à nœud et le pantalon sont tous signés Gucci. 
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La veste courte, la chemise à nœud, le pantalon et les escarpins à bout ouvert sont tous signés Gucci. 
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Les vestes avec des ceintures décoratives dorées, des pantalons et des coiffes avec des détails à franges sont tous signés Gucci. 
Q : IU, Park Bo-gum et Lim Sang-choon, scénariste de <Fight for My Way>, un drame qui a attiré beaucoup d'attention, entreront bientôt en pré-production. Pourquoi avez-vous choisi cette pièce ?
IU : Je pense que tout le monde pensera de cette façon lorsque le travail sera publié. 'Oh, je devais avoir envie de le faire aussi'. Je me suis beaucoup amusé avec les travaux précédents d'Im Sang-choon, et c'était frais parce que ce travail avait une nouvelle histoire unique. En tant que personne qui aime lire et écrire, j'étais jaloux du talent de l'auteur qui pouvait faire ressentir ce genre d'émotion même si ce n'était qu'une police de caractères. Le sujet est bon, mais j'ai surtout aimé le fait qu'il véhicule une histoire lourde sans être lourde.
Q : L'enfant que vous incarnez est une "fille littéraire dont la voix tremble comme une chèvre depuis qu'elle s'est rebellée, et qui est pauvre mais forte à l'intérieur". Il est à noter que ce travail est un retour dramatique après 4 ans depuis <Hotel Del Luna>, et le personnage est à l'opposé de cette époque.
IU : Manwol à l'hôtel Del Luna est définitivement un personnage inhabituel. Cependant, Aesun a également un point unique. Ae-soon semble être une personne que vous pouvez facilement voir autour de vous, mais si vous regardez attentivement, est-ce une personne dont l'individualité en tant qu'être humain se démarque ? Je semble être attiré par les gens avec ce genre de détermination.
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Q : Certains acteurs s'imprègnent de la façon dont ils se retrouvent dans leurs personnages. Es-tu comme ça aussi ? Dans quelle mesure Aesoon et IU sont-ils similaires ?
IU : Il y aura certainement des personnages avec des résolutions que je ne pourrai jamais comprendre, mais si c'est le cas, je ne pourrai pas choisir le travail. C'est une question de confiance. C'est aussi une preuve que les personnages que j'ai joués jusqu'à présent sont des gens que je peux comprendre à tout moment. Parmi eux, Ae-soon me ressemble plus qu'à tout autre personnage que j'ai joué. L'auteur a un grand pouvoir d'observation. Il a dit qu'il voulait incorporer les caractéristiques que j'ai, mais qui ne sont pas trop révélatrices, dans le personnage. En fait, après avoir lu le scénario, c'était au point de se dire "Oh, comment as-tu su que j'avais ce genre de côté ?".
Q : De <My Mister> à <Hotel Del Luna>, de <A Place Where No One Is> à <Broker> à <Dream>. Qu'il s'agisse d'un drame ou d'un film, je me demande si la prochaine étape est très audacieuse. C'en est au point où je me demande si jouer un personnage différent ou une œuvre différente de mon travail précédent est le critère numéro un pour choisir une œuvre.
IU : Si vous avez les cheveux longs depuis longtemps, ne voulez-vous pas les teindre et les couper ? Ce n'est pas un critère, mais après avoir vécu comme un seul personnage pendant plus de quelques mois, il semble que l'inconscience de vouloir essayer autre chose entre en jeu.
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Q : Je veux avoir les cheveux courts et les cheveux courts, mais il y a beaucoup de gens qui s'en tiennent aux cheveux longs pour le reste de leur vie parce qu'ils ont peur que cela ne leur convienne pas.
IU : Mais s'il y a quelque chose que je veux faire, je dois le faire. Il est beaucoup plus facile de supporter de regretter d'avoir fait quelque chose que de ne pas l'avoir fait.
Q : Je suppose que ce n'est pas le côté qui sépare l'ego en tant qu'acteur et l'ego en tant que chanteur. En quoi votre état d'esprit est-il le même ou différent la veille du concert et la veille du lancement ?
IU : Si la scène du concert est comme une émission en direct où une seule chance est donnée tant que la mémoire du public n'est pas effacée, le lieu de tournage peut échanger à tout moment avec le réalisateur ou l'autre acteur, et le meilleur résultat parmi plusieurs prises est présenté au public. Il ne se sent pas comme la même prémisse en ce sens qu'il est partagé. Cependant, après le début de la représentation, je me suis senti seul sous tension pendant un certain temps, et finalement, le moment intimidant de s'assimiler au public et de voir de nombreuses personnes sur le site de tournage inconnu se déplacer en équipe avec un objectif commun, j'ai réalisé que nous respirent vraiment ensemble. Le moment de la réalisation est très similaire. Les deux domaines sont attrayants dans la mesure où ce sont des choses que je ne pourrais jamais faire seul. Que ce soit en chantant ou en jouant, je suis juste une personne qui fait de son mieux à chaque instant.
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La veste, le pantalon, la chemise à nœud et les mocassins sont tous signés Gucci.
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Le gilet avec des détails de doublure, les shorts, les chaussettes et les mocassins sont tous signés Gucci.
Q : L'année dernière, lors du concert célébrant le 14e anniversaire de leurs débuts, 〈The Golden Hour: Under the Orange Sun〉, "J'ai pensé que la scène que j'avais défiée et courue depuis que j'étais adolescent pourrait vraiment être la destination finale, mais en ce moment, cela pourrait être un nouveau point de départ, un nouveau départ donne de l'espoir », a-t-il déclaré. A l'origine, il est facile de s'installer n'importe où. Même ainsi, je veux toujours marcher quelque part. Dans quelle direction voulez-vous aller ? qu'y a-t-il à la fin ? 
IU : Il n'est pas exagéré de dire qu'à 20 ans, je vivais obsédé par l'idée de cette "direction". Je me demande si c'était le thème qui m'a fait « circuler le sang » à l'époque. Les soucis intenses étaient agréables, mais franchement, ils étaient aussi fatigants. Après avoir atteint mes 30 ans, je n'ai pas particulièrement de direction en tête. C'est ma première fois comme ça.
Q : Êtes-vous riche maintenant ? 
IU : Pour être honnête, je ne comprends pas vraiment le concept de repos. Ce n'est pas parce que votre corps se repose que vous vous sentez particulièrement rechargé. Au sens large, si le repos est vu comme une solution ou une recharge, paradoxalement, c'est quand je travaille que les choses accumulées en moi sont le plus agréablement soulagées. Lorsque vous avez fait un travail à votre satisfaction au point où vous ressentez un sentiment de plaisir. À ce moment-là, je me sens beaucoup plus reposé que lorsque je restais à la maison pendant des jours et des jours. Sinon, il faut être tellement absorbé que l'on ne pense même pas au travail, mais dans mon cas, je n'aime pas tant de choses. D'y penser en ce moment, quand je dors profondément, quand je discute avec Yoo In-na, quand je m'amuse et ris avec un ami ou un amant qui me comprend profondément, quand je regarde un film de ma vie à nouveau, quand je mange de la nourriture vraiment délicieuse. Après avoir vécu, il y a pas mal de gens comme moi qui ont besoin de moins de repos mental. Mais l'endurance est une autre histoire, alors j'essaie de la gérer même si c'est pour le moment où je dois courir davantage alors que j'entre dans la trentaine. Quand je peux me reposer, je passe le plus de temps allongé possible. (rire)
Q : Lors du concert à l'époque, il a déclaré: "Je regarderai en arrière aujourd'hui et j'irai encore 14 ans." Vous êtes-vous déjà spécifiquement imaginé dans 14 ans ? 
IU : Si je devais m'imaginer à l'âge de 44 ans à l'époque... semble toujours fonctionner A part ça, honnêtement, je ne sais pas. Si vous regardez la prémisse de « je suis une personne qui change ». Par exemple, les pensées qui me composent il y a 14 ans et maintenant sont très différentes. 
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Veste à col à motifs, chemise Gucci.
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Robe en tweed, sac à bandoulière chaîne par Gucci.
Q : C'est peut-être parce qu'il est flexible. Pour être honnête, je crois que les gens ne changent pas avant de mourir. 
IU : Je suis d'accord dans une certaine mesure avec cette affirmation. Mais à en juger il y a 14 ans, j'étais une personne qui détestait la compétition et évitait la compétition. Si vous regardez le journal de l'époque, « J'ai du mal dans une société compétitive. Je suis inquiet parce que je n'ai pas envie de concourir et je déteste la compétition. Cependant, avec le recul, j'ai apprécié le jeu tout au long des 14 années écoulées depuis mes débuts. N'êtes-vous pas fou de gagner ? dans la mesure où. Peut-être que je n'avais pas remarqué que j'avais un esprit de compétition, ou que je voulais le nier exprès.
Q : Quoi qu'il en soit, cela me rend triste de voir une jeune fille qui vient de faire ses débuts gribouiller dans son journal : "Je déteste la compétition." Y a-t-il quelque chose que l'IU maintenant changée voudrait dire à l'IU d'alors ? 
IU : En fait tu t'aimes beaucoup
Q : Il a dit un jour : "Même si le monde est moins chaste, j'espère que les gens vivront et s'aimeront." Dans un monde difficile, l'espoir auquel vous croyez est-il toujours amoureux ?
IU : C'est embarrassant de le dire avec des mots, mais je crois que l'amour surmonte néanmoins la haine. À la fin, l'amour l'emporte. Même lorsque je perds l'équilibre et que je faiblis, je répète : "Mais à la fin, l'amour gagnera" et je m'équipe de logique, développe mes muscles pensants ou contrôle mon esprit. La proposition que l'amour gagne a été pleinement expérimentée tout au long de ma vie. J'aimerais y croire à l'avenir.
Q : Les auteurs-compositeurs-interprètes ont la chance de pouvoir transformer leurs pensées et leurs émotions en musique. Je sais un peu à quel point les paroles sont importantes, surtout dans votre musique. Quelles paroles de chansons flottent dans votre tête ces jours-ci ?
IU : C'est tellement absurde que j'écris sur ce dont je viens de parler avec le journaliste. En fait, quand le mot riche est sorti, j'ai été choqué à l'intérieur. Flottant sans destination. Je pense que ce sera le sujet du prochain album.
Q : Si vous revenez au concept pictural actuel de « dualité », vous avez l'impression de vivre fidèlement à vous deux : IU, une icône, et Jieun Lee, une personne ordinaire. Comment cet équilibre est-il maintenu ? 
IU : Je pense que le moyen d'équilibrer est d'être modérément satisfait et modérément vigilant en se changeant en jolis vêtements un peu inconfortables mais qui me font briller et des vêtements confortables un peu ordinaires mais qui me libèrent au bon moment. J'accepte naturellement le fait évident qu'il y a des moments où je brille et il y a des moments où je suis ordinaire.
Q : «Je n'arrive pas à extraire tous les mots de mon journal, mais » Quelle est la phrase qui peut vous décrire maintenant ?
IU : "Il a décidé de vivre comme une spore, pas comme une fleur."
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La robe à motif de fleurs, la robe à enfiler intérieure et les boucles d'oreilles simples sont toutes signées Gucci.
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claudehenrion · 2 years
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Paroles et musiques... pour cantatrice folle ou cantateur fol
 Mes amis savent ma longue passion pour mon piano, ce compagnon de mes joies et de mes chagrins et du ''no silence land'' qui s'étend entre ces deux usages extrêmes d'un même (et merveilleux) instrument. Et mes proches savent aussi que, sans pitié pour mes voisins parisiens, il m'arrive de caricaturer  Pavarotti ou Jo Dassin, en poussant la chansonnette... ou en m’essayant sur les grands airs du ''Répertoire'' (comme ''Nessun Dorma'', du Turandot de Rossini : ''Les cons, disait Audiard, ça ose tout, et c'est même à ça qu'on les reconnaît !''.  Eh ! bien, j'ose !)
Allez savoir par quels méandres, à travers les circonvolutions de mon cerveau, un air s'est imposé à moi, hier : c'est la célèbre chanson ''Mon Homme'', écrite pour Mistinguett en 1920, qui est, étonnamment, la chanson française qui a connu le plus grand succès international, alors que ses paroles étaient et sont rien moins que inhumaines. Jugez-en plutôt par vous-mêmes : ''Sur cette terre, Ma seule joie, mon seul bonheur C’est mon homme... Et même, la nuit, Quand je rêve, c’est de lui, De mon homme... La Femme, à vrai dire, N’est faite que pour souffrir Par les hommes... etc...''. Vous imaginez la levée de boucliers et les ''Unes'' outragées auxquels cette déclaration de guerre au féminisme le plus moins éclairé et à la bien-pensance la plus éculée (c'est la même chose) donneraient naissance, en 2022 ! Sandrine Rousseau se surpasserait dans la connerie --si c'est possible !
Rétrospectivement, j'ai eu honte pour nos ancêtres qui avaient l'aveuglement, l'inconscience et le mauvais goût de fredonner –même en faisant ''mmmm''-- de telles insultes à la sacro-sainte égalité de façade qu'il est de mise d'afficher depuis que la folie est non seulement sortie des asiles... mais qu'elle est devenue, pour le plus grand malheur de l'humanité en chute libre, LE critère, LE ''mètre-étalon'' de ce qu'une poignée de furies (contaminées par une haine inexpiable pour tout ce qui est masculin) a fait croire à la Presse, comme toujours décourageante de nullité, d'opportunisme et d'inintelligence... Déjà que je suis un homme blanc, héréro, de droite, catho, et même pas honteux de n'être ni L, ni G, ni B, ni T, ni, surtout, ''Q''... je me suis dit que je n'avais pas le droit de continuer à être une telle souillure sur  ‘’la planète’’ : c'est un must de rattraper ''mes'' erreurs-passées-de-mes-ancêtres.
J'ai donc entrepris le grand oeuvre utile entre tous de remettre les choses en place, et je chante désormais : ''Sur cette terre, Ma seule joie, mon seul bonheur, C’est mon homme-femme, mon bi, mon trans... Et même, la nuit, Quand je rêve, c'’est de lui, d'elle, de iel, de ze...  De mon homme, de ma femme, de mon ''L'', de mon ''G'', de mon ''B'', de mon ''T''et de mon ''Q'' (Mais qu'alliez-vous penser ?  Même tenu par un homme --et blanc--, ce blog est bien élevé, genre ‘’de bonne famille’’, et ce ‘’Q’', càd. ''Queer'' (= étrange, peu commun, ou bizarre). Ce mot anglais désigne les minorités sexuelles et de genres, seules dignes d'intérêt puisqu'elles ont une orientation comportementale différente de l'hétérosexualité '' ou de la ''cis-identité'' sur lesquelles repose tout ce qui existe et tout ce qui ''tient''. Tout, quoi !). Revenons aux paroles : ''A vrai dire, la femme, le transgenre, l'homo, la gouine, les neutres, et même les etcetera n'est /ne sont fait· e · s· que pour souffrir...''. C’est beau, hein ?
Mais cette phrase, encore plus incongrue que les autres, m'a stoppé net dans mes désirs de rédemption : c'est l'homme, ''à vrai dire'', qui doit souffrir pour payer tant de siècles d'une société patriarcale qui a tout esquinté, jusqu'à la grammaire pour ceux qui veulent noyer leur chien en disant qu'il a la rage... J'ai aussitôt cherché un nouvel air à chanter, accompagné de mon piano qui, soit dit en passant, n'a aucune raison d'être décliné au masculin : pourquoi ne serait-il pas ''une piana'' ? C'est tout de même bien plus proche de la vérité des choses et de l'égalité des sexes, non ?
J'ai donc choisi la jolie chanson de Françoise Hardy ''Si tous les garçons et les filles et les homos et les gouines et les trans et les ''cis'' de mon âge savent bien ce que c'est qu'être heureu · x · e · s·''... et je me suis immédiatement senti plus à mon aise, plus en harmonie avec mon époque, plus content · e, plus épanoui · e. C'est un facteur de vrai bonheur de s'être enfin rendu compte que le sexe des mots est un remède aux maux des sexes ! Mais... pourquoi une petite voix mal-pensante n'arrête-t-elle pas de me susurrer sans cesse : “Byzance, dit-on, tomba aux mains des Turcs en discutant du sexe des anges. Le français achèvera de se décomposer dans l’illettrisme et l'insensé, pendant que nous discuterons du sexe des mots''.
Alors... pourquoi cette fausse querelle ? Parce que en français, le genre neutre (comme en ont le grec, le latin, l'anglais ou l’allemand, entre autres) se décline le plus souvent comme au masculin, avec quelques exceptions bien connues (vigie, sentinelle, ou ''amour, délice, et orgue''). D’où que quantité de noms de fonctions, métiers et titres, sémantiquement neutres, sont grammaticalement féminins ou masculins, leur genre n’ayant  rien à voir avec le sexe de la personne en place. Le mot ''Homme'' lui-même s’emploie d’ailleurs tantôt en valeur neutre, quand il signifie l’espèce humaine, tantôt en valeur masculine quand il désigne un mâle. Confondre les deux condamne à l’embrouillamini actuel de la féminisation du vocabulaire.
Un humain de sexe masculin peut fort bien être une recrue, une andouille, une vedette, une canaille, ou une fripouille... Et de sexe féminin, il lui arrive d’être un mannequin (les plus belles), un génie, et même un tyran. Le respect de la personne humaine est-il réservé aux femmes, et celui des droits de l’homme aux hommes ?  Dans l’usage réel, chacun restitue spontanément qu’un soprano est une femme, qu’une basse est un homme, que le masculin ''vagin'' désigne un organe féminin et le féminin ''verge'' un organe masculin. Ces féminins et masculins sont purement grammaticaux, nullement sexuels ou sexués, et voir une intention cachée dans cette logique choisie est rien moins que absurde ! Il paraît, nous expliquent les nuls, que si, au lieu d’écrire ''les pamplemousses et les oranges sont mûrs'', vous écrivez soudain ''les pamplemousses et les oranges sont mûres'', vous contribuerez à ce que des femmes ne soient plus battues par des hommes. Stupidité ? Mauvaise foi ? Délire grotesque ? Décalage immense par rapport au réel ? Réponse au choix.
A partir de la mise au rancart inutile, absurde et surtout ridicule de quelques chansons, nous continuerons notre petite escapade en Absurdie, le royaume de nos anti-penseurs modernes. Tous sont progressistes, ce qui explique pourquoi plus rien ne fonctionne... mais explique aussi pourquoi leurs idées, au delà de leur aberration majuscule trouvent, dans certains milieux ''qui se la pètent'', un accueil trop favorable qui les rend dangereux... ce qu'ils ne méritent absolument pas, en tant que ce qu'ils sont eux-mêmes, c'est-à-dire : 3 fois RIEN, ou plus ! (à suivre)
H-Cl
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edgarmoser · 2 years
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édith piaf et les compagnons de la chanson - les trois cloches
1946
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premier enregistrement 1946
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joliedemeure · 2 years
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J’habite seule une petite maison
Pleine de livres de chaleur et de souvenirs
Isolée au milieu des arbres
Perdue au fond de la campagne
Une cabane de sorcière sauvage
Peu de mes amis peuvent en franchir le seuil
Ma peur y joue le chien de garde
Et piège à ma place le terrain des intimités
Ma maison a été le théâtre de guerres et de deuils
Les fleurs du jardin m’ont été arrachées
C’est depuis mes fenêtres que je vois défiler les saisons
Non que je me méfie des hommes mais je préfère il me semble
A leur présence celle des oiseaux sans plus d’autres raisons
A leur violence celle de la pluie qui tombe
Non que je me méfie mais mon corps se rappelle
J’ai semé cet été des graines de fleurs nouvelles
Aux couleurs de rivières de chansons et de rêves
Le verrou se défait c’est le monde à ma porte
Qui essuie doucement mes larmes de joie
Qui me dit mais ma douce nous n’attendions que toi
J’habite seule une petite maison
Une cabane de sorcière sauvage
Et depuis des semaines c’est le bouleversement
Des gâteaux cuisent au four et si je les prépare
Ce n’est plus pour moi seule mais bien pour un amant
Animal compagnon tour à tour feu et terre
Compagnon en toute chose évident partenaire
Les murs de la maison se sont comme écartés
Pour lui faire de la place et l’entendre chanter
C’est l’été quotidien et les fenêtres ouvertes
Le son d’une respiration autre que la mienne
Le plancher qui grince sous d’autres pas
Une vaisselle faite à quatre mains
La nuit qui tombe trop tôt
les bouillottes brulantes sur les pieds froids
Le thé toujours oublié avant de dormir
Mon jardin peine encore à donner de beaux fruits
Et je connais ma peur tapie dans la mousse et l’ombre
Mon coeur d’animal sauvage oublie parfois de vivre
Tant la vie est immense et moi si minuscule
Il y aura sûrement encore des nuits sans fins
Mais il y a aussi sous mon toit un oiseau adoré
L’espérance sinon l’espoir d’une vie à la lumière d’été
Malgré la pluie hiémale et les longues heures de peine
La clé qui ouvre ma maison
Est en bonne compagnie
Et cela me console
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jogallice · 1 month
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Aujourd’hui, mercredi 14/08/24, une journée sans Journée qui va ravir celles et ceux qui ne les aiment pas, qu’elles soient locales, territoriales, nationales, européennes, internationales ou mondiales 👌⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠
Trois marchés le mercredi à Annecy : marché (alimentaire) de Meythet (rue François Vernex), marché (alimentaire et produits divers) du quartier des Pommaries et marché (alimentaire et produits divers) de Seynod (avenue de Champ Fleuri, place du Marché) ➡️ De 8h à midi 🧺
Troisième et dernière animation vélo - Mobilité : parcours vélo, maniabilité, circuit de vélos rigolos à tester, ateliers créatifs sur le thème de la mobilité ℹ️ Évènement proposé par l’agglomération du Grand Annecy ➡️ Ce mercredi 14/08/24 de 11h à 16h dans les Jardins de l’Europe 🚲
6e Mercredi animé de l’été (sur huit programmés) : blind test pour tous (les enfants doivent être accompagnés d’un adulte) ℹ️ Partagez un moment convivial en famille ou entre amis 🎫 Activité gratuite proposée par la MJC Centre Social Victor Hugo ➡️ Ce 14/08/24 à 18h30 au square Jean Chamey 👈
Show clownesque : Goupil ou Face (adapté du roman de Renart) ℹ️ Dans le cadre du festival Ancimômes 2024 (11e édition, 6e date sur 6, la dernière donc) 🎫 Gratuit ➡️ Ce mercredi 14 août  de 20h à 21h sur le podium de la plage d’Albigny 🤡
Impérial Classic'All : Noëmi Waysfeld Trio (la voix de Noëmi Waysfeld danse sur les plus belles chansons de Barbara à Vivaldi) ℹ️ Dans le cadre du 9e Impérial Annecy Festival qui a lieu du 13 au vendredi 23/08/24 🎫 22, 15 et 8 € ➡️ Ce mercredi 14/08/24 à 21h à l’Impérial Palace 🎶
Ciné gratuit : ballet en hommage à Maurice Béjart, en partenariat avec l’Opéra national de Paris (L’Oiseau de feu, Le Chant du compagnon errant et Bolero 🎬 Profitez d'une soirée en plein air en famille ou entre amis ℹ️ Pour votre confort, pensez à apporter vos chaises, plaids et pique nique, site accessible 30 mn avant la projection ➡️ Ce mercredi 14/08/24 de 21h30 à 22h30 place Chorus 📽️
L’opération Vital’été a repris du service dans la cité lacustre le lundi 8 juillet (jusqu’au samedi 24/08/24) : aujourd’hui (mercredi 14 août), gymnastique douce, karaté, tennis de table, Touch Tennis et “Savoir rouler à vélo en sécurité” 👌 Activités gratuites et ouvertes aux adultes, profitez-en 👍
Qualité de l’air à Annecy (indices ATMO) : dans une ambiance moins chaude et plus nuageuse suite aux orages de la veille, la formation d'ozone sera nettement plus faible 📉 Les indices de qualité de l'air devraient être majoritairement dégradés, peut-être mauvais en vallée du Rhône 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est moyen : niveau 2. Armoise, graminées, plantain et urticacées : niveau 1. Peuplier et platane : niveau 0 ➡️ Indice communal valable du 10/08/24 au vendredi 16/08/2024 inclus 🤧 Personnes allergiques : évitez de tondre la pelouse, pour ne pas aggraver les symptômes 😷
Les trois dictons du jour : « À la saint Évrard, au plus tard, fait battre la gerbe. » 🌾 « Qui bat avant Notre-Dame bat quand il veut, qui bat après bat quand il peut. » 🤔 « Si les crapauds font musique avant le quinze août, on les verra sauter avant fin septembre. » 🐸
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un très bel été à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🏖️
Bon troisième jour de la semaine à tous et à toutes 🦚
Bonne fête aux Évrard et demain aux Marie 😘
📷 JamesO PhotO à Annecy le mardi 13/08/24 📸
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christophe76460 · 1 month
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Soyez toujours dans la joie. 17 Priez sans cesse. 18 Remerciez Dieu en toute circonstance : telle est pour vous la volonté que Dieu a exprimée en Jésus-Christ.
1 Thessaloniciens 5.16-18
Comment prier sans cesser
Kelly O'Dell Stanley
Impossible, non ? Peut-être autrefois, lorsque chaque tâche affectait directement la survie de votre famille – bien sûr, ils priaient, car si les récoltes mouraient, ils mourraient de faim. Si quelqu’un tombait malade, il n’y avait aucun médicament
pour l’aider. La vie était dangereuse et fragile, et les gens ne se laissaient pas distraire par les réseaux sociaux et les téléphones portables. Mais aujourd'hui ? Qui pourrait s’attendre à ce qu’il garde son esprit tourné vers Dieu à tout moment ? Dieu n’attendrait sûrement pas cela de nous, car il sait mieux que quiconque à quel point nous sommes imparfaits et à quel point notre capacité d’attention est courte.
Sauf que nulle part dans la Bible il n’y a un astérisque après ce verset qui dit : «à moins que vous ne soyez vraiment occupé. »Voici la bonne nouvelle.
Non seulement il est possible de prier sans cesse, mais il est également possible de le faire sans apporter de changements significatifs à votre emploi du temps ou à vos engagements de temps. Il s’agit de changer votre processus de pensée et de transformer les moments quotidiens en prière. Gardez cette connexion ouverte et parlez à Dieu tout au long de votre journée. Voici comment prier sans cesse :
Commencez par la gratitude.
Psaume 100.4 dit : « Entrez dans ses portes avec actions de grâces et dans ses parvis avec louange ; rendez-lui grâce et louez son nom.
En d’autres termes, commencez par dire à Dieu ce pour quoi vous êtes reconnaissant. La prière ne doit pas nécessairement consister à demander quelque chose ; il peut simplement s’agir de le remercier du fond du cœur pour ce qu’il a déjà fait.
Laissez vos tâches quotidiennes devenir des actes d’adoration en les transformant en temps de prière. Pendant que vous pliez le linge, priez pour chaque membre de la famille, puis si vos piles de linge sont aussi hautes que les miennes et que vous avez fini de prier mais pas fini de plier, partez de là. Priez pour les coéquipiers de soccer de votre enfant, pour les professeurs qui se tiennent debout devant les salles de classe de vos enfants, pour le partenaire qui travaille dur pour payer les factures, pour la santé et reste actif, pour les lieux de travail où les gens portent des uniformes. Ou simplement remercier pour la chaleur de la maison où vous vous détendez dans ce pyjama.
Chantez un chant de louange.
« Est-ce que quelqu'un parmi vous est en difficulté ? Laissez-les prier. Est-ce que quelqu'un est content ? Qu’ils chantent des chants de louange » (Jacques 5 : 13).
Souvent, nous pensons à la prière comme à ce qu’il faut faire lorsque nous avons besoin que Dieu répare quelque chose ou lorsque nous sommes malheureux. Mais la Bible nous encourage à prier à tout moment. Essayez d'écouter de la musique d'adoration. Pendant que vous chantez, offrez-le à Dieu comme prière. Ou, mieux encore, composez votre propre chanson en cours de route. Personne n'écoute à part Lui, alors ne vous inquiétez pas si vous la voix tremblote ou est fausse.
Arrêtez de parler de temps en temps, écoutez simplement.
« Et quand vous priez, ne babillez pas comme les païens, car ils pensent qu'ils seront exaucés à cause de leurs nombreuses paroles » ( Matthieu 6 :7).
Le nombre (ou la qualité) des mots que vous utilisez dans la prière n’a pas d’importance, car la prière concerne Dieu, pas nous. Permettez-vous de contempler la proximité de Dieu. Ayez confiance qu’Il est votre compagnon constant. Ne monopolisez pas le dialogue, mais passez une partie de votre temps à être simplement assis et à vous reposer en Sa présence. Et gardez à l’esprit que les meilleures conversations sont bilatérales, mais que vous n’entendrez rien si vous ne vous arrêtez jamais.
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ondessiderales · 2 months
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Who killed U.N.Owen ?
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Who killed U.N.Owen ? (Qui a tué A.N. O'Nyme ?)
Dans un château sombre A lieu une tea party dont je suis la seule invitée Petit oiseau dans la cage Ne veux-tu pas danser avec moi ?
Sans plus attendre Frappons nos mains Un carnaval secret sans fin
Kagome*, kagome, veux-tu un bonbon ? Une pilule rouge ou une pilule bleue ? A la maison des bonbons, il n'y a pas de sortie D'une voix emplie de sérieux, voici ce que je murmure…
Miroir, ô mon beau miroir Dis-moi qui est la plus vilaine ? "C'est toi !" Répond mon reflet en s'esclaffant
Je suis toi Et toi, qui es-tu ?
Scintillant en se brisant, à qui appartient ce sourire ?
Tu es moi Et moi, qui suis-je ?
Planté en plein dans mon cœur... L'égoïsme
Lalala… Que cela reste notre petit secret… Lalala… La fin du début.
Où est le cadeau que tu m'as laissé ? Où ? Où ? Où donc ? La chaussette reste désespéramment vide
Qui sera le tueur ? Qui criera ? Qui sonnera La cloche ?
C'est moi ! Une voix résonne dans l'air…
Une table ronde encercle un pauvre rouge-gorge Doucement, je l'ai embrassé Élevé très haut Pressé Fait gicler Et un sourire de jubilation a illuminé mon visage
Creux et sculpté comme une Jack-o'-lantern Entourée de mannequins Il n'y a pas de place pour danser !
Toi et moi, piégés dans cette cage Toi et moi, dépareillés (incohérents)
Alors que leur clé s'arrête de tourner Les automates ont cessé leur danse Tourmenté par les mensonges et la réalité (par une réalité vide de sens) "Et soudain il n'en restait plus"*
Dans ce monde cruel Ne veux-tu pas danser avec moi ? Rouge-gorge (Cock robin*) qui faisait semblant d'être en vie Dans le château de bonbons Une sorcière brisée se tient seule
Tu es moi Et toi, qui es-tu ?
Un tapis rouge s'étend et recouvre les murs
Je suis toi Et toi, qui es-tu ?
J'en ai assez de jouer avec des marionnettes
Je suis moi Et toi, qui es-tu ?
Les Jack-o'-lantern scintillent au clair de lune
Je suis moi Et toi, tu me gènes.
Qui sera mon prochain compagnon de jeu ?
Dansons ?
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Kagome Kagome : célèbre jeu d'enfants japonais.
« Un enfant est choisi en tant que oni (littéralement « démon » ou « ogre »). Il s'assoit avec les yeux fermés ou couverts pendant que les autres enfants se prennent par la main et marchent autour de lui en chantant la chanson allant avec le jeu. Quand la chanson est finie, le oni dit le nom de la personne derrière lui ; s'il a le nom correct, cette personne devient le oni à son tour.
Traduction française
Kagome Kagome, l'oiseau dans sa cage, Quand vas-tu sortir ? Au soir de l'aube, la grue et la tortue ont glissé. Qui est derrière vous maintenant ?
Parfois les dernières strophes sont traduites littéralement, ce qui donne :
Aux aubes et aux soirs, Qui est devant le dos, Où la grue et la tortue ont glissé et sont tombés ?
Le dos évoque la personne derrière le dos de l'enfant qui joue l'oni. »
Cette comptine, mystérieuse et ambiguë, est l'objet de nombreuses théories et interprétations.
Pour en savoir plus : https://en.wikipedia.org/wiki/Kagome_Kagome#Meaning
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Cock robin : référence à une comptine anglaise du XVIIe siècle
The Death and Burial of Poor Cock Robin (littéralement « La mort et l'enterrement du Rouge-Gorge »), plus communément connue sous le nom de Who Killed Cock Robin? (littéralement « Qui a tué le Rouge-Gorge ? »), est une comptine anglaise du XVIIe siècle , souvent utilisée comme un archétype du meurtre.
Traduction française
Qui a tué le Rouge-Gorge ? Moi, a dit le moineau, Avec mon arc et ma flèche, J'ai tué le Rouge-Gorge. Qui l'a vu mourir ? Moi, a dit la mouche, avec mes petits yeux, je l'ai vu mourir. Qui a recueilli son sang ? Moi, a dit le poisson, Avec ma petite cuvette, J'ai attrapé son sang. Qui va l'envelopper ? Moi, a dit le scarabée, Avec mon fil et mon aiguille, Je ferai le linceul. Qui l'enterrera ? Moi, a dit le hibou, Avec ma petite truelle, Je creuserai sa tombe. Qui sera le pasteur ? Moi, a dit le corbeau, Avec mon petit livre, Je serai le pasteur. Qui sera le prêtre ? Moi, a dit l'alouette, Si ce n'est pas dans le noir, Je serai le prêtre. Qui portera le joug ? Moi, a dit la linotte, Je le prendrai dans une minute, Je porterai le joug. Qui sera le chef de deuil ? Moi, a dit la colombe, Je pleure pour mon amour, Je serai le chef de deuil. Qui portera le cercueil ? Moi, a dit le milan, Si ce n'est pas pendant la nuit, Je porterai le cercueil. Qui portera le voile ? Moi, a dit le roitelet, Avec le coq et la poule, Je porterai le voile. Qui chantera un psaume ? Moi, a dit la grive, S'asseyant sur un buisson, Je chanterai un psaume. Qui sonnera les cloches ? Moi, a dit le taureau, Je sais tirer, Je sonnerai les cloches. Tous les oiseaux du ciel, Tombés de sanglots et de soupirs Ayant entendu les cloches sonner Pour le pauvre Rouge-Gorge.
Là encore, il existe de nombreuses théories et interprétations de la comptine. Pour en savoir plus : https://fr.wikipedia.org/wiki/Death_and_Burial_of_Poor_Cock_Robin#Origine
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U.N.Owen : référence au roman Ils étaient dix (Dix Petits Nègres) d'Agatha Christie
« Dans ce roman, dix personnes apparemment sans lien entre elles sont invitées à se rendre sur une île. Bien qu'elles soient seules à se trouver sur ce lieu, elles sont assassinées les unes après les autres, à chaque fois d'une façon qui rappelle les couplets d'une comptine. En effet, les invités découvrent à leur arrivée une mystérieuse comptine affichée dans chaque chambre contant l'histoire de dix petits nègres, qui meurent les uns après les autres.
Dans la version originale et la traduction française du roman, le nom de l’hôte mystérieux est U.N. Owen, rappelant le mot unknown signifiant « inconnu ». Dans certaines adaptations en français comme la pièce de théâtre, ce nom a été changé en A.N. O'Nyme. »
(SPOILER)
"Et soudain il n'en restait plus" : célèbre phrase du livre, au moment où les dix petits nègres sont tous morts.
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birchington-on-sea · 2 months
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10/07/24
Après ma nomination sur le poste bilingue de Tournus, je me suis dit que ça serait sûrement pas mal de rafraîchir un peu mon anglais. Comme j'avais passé un bon moment il y a quelques années en séjour linguistique à Canterbury, je me suis lancée dans un autre Summer camp, à Birchington on Sea cette fois-ci.
Le voyage pour aller en Angleterre s'est très bien passé. Avec ma collègue Helena, qui par ailleurs est un cœur, nous n'avons perdu aucun jeune, et c'est déjà une belle victoire 😂
Ils sont plutôt discrets et disciplinés, ça n'est pas comme des petits de ce2, heureusement.
À notre arrivée à 18:30 (pour un départ à 13h de Paris en Eurostar), nous avons réparti les jeunes en familles d'accueil. Ils sont parfois seuls, parfois jusqu'à 4. Les familles avaient l'air très enthousiastes, c'était chouette. Par contre l'organisatrice locale, Dawn, est une anglaise pure et dure avec un accent extrêmement prononcé et parle très vite, un calvaire à comprendre. Heureusement que je ne suis pas sa première interlocutrice car notre groupe aurait sûrement raté deux ou trois informations 😂 Helena est beaucoup plus à l'aise avec le britannique donc c'est très bien.
Avec Victoria, la mère de ma famille hôtesse, et sa fille, Laïla, nous avons bien discuté dans la voiture et chez elles. Elle est aide soignante et sa fille est au lycée mais fait actuellement un stage en crèche.
Elles vivent à Margate, une autre ville balnéaire à 12 min en voiture de Birchington.
J'ai fait la rencontre sur place de Shadow, le magnifique chien loup, George, la perruche et Guizmo, le chat à trois pattes, dont je suis évidemment immédiatement tombée amoureuse ❤️ Il a 10 ans et il a dû être amputé car il avait une maladie à la patte, mais il s'en sort très bien comme ça !
J'ai eu pour le dîner le célèbre "fish and chips" britannique (un poisson frit avec des frites de patates douces) et des petits pois/maïs. C'était vite fait mais c'était bon. Je ne pense pas que mon hôtesse soit une très grande cuisinière, mais je ne peux pas la blâmer, je ne le suis pas non plus 😂
Pour finir la soirée, les filles m'ont proposé de regarder avec elle "Mamma Mia !", le film hyper connu que je n'avais jamais vu, avec les chansons d'Abba. Il était très sympa 👍
Je suis allée me coucher, épuisée, avec Guizmo qui est vraiment un bon compagnon de lit, surtout qu'il prend moins de place avec ses 3 pattes 😂
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