#les compagnons de la chanson
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disques pathé, collection disque d"or
#disques pathé#salvatore adamo#richard anthony#gilbert bécaud#julien clerc#charles dumont#édith piaf#les compagnons de la chanson#régine#charles trenet
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Arrivé à un bout du chemin, tu te retournes ...
« Que de temps perdu »
« Tout ça pour ça »
Certaines blessures portées sont profondes et mettront des années à cicatriser avant de pouvoir penser les toucher du doigt sans être tétanisé à nouveau par la douleur ...
Quelques unes guériront ...
Une restera ouverte à jamais ...
J’ai toujours aimé être sur une plage ...
Je crois pouvoir te dire que ... je regarderai le sable et y chercherai « un grain de sable » ...
Et sachant au fond de moi que c’est folie je porterai mon regard vers le large ...
Je demanderai aux oiseaux de mer s’ils t’ont aperçu sur un rivage ...
Laissant mes souvenirs glisser comme l’écume des vagues sur la plage, comme ces chansons que j’écoute et qui habitent ma maison et je prendrai un livre ...
Apres tout ils ont été mes compagnons discrets - je devrais leur en vouloir - mais ils n’ont fait que me donner ce que je cherchais ...
( 2019 )
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Les compagnons de la Marjolaine ou Le chevalier du guet, est une chanson populaire française dialoguée du XVIème siècle.
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Je ne sais pas pourquoi mes fics Star Wars s'écrivent autant avec des flashbacks, ce n'est pas un truc dont j'ai l'habitude, mais avec ce fandom ça vient naturellement.
Le début du projet Springbreak, aka la romance-qui-aurait-dû-être-épistolaire, aka la fic où Anakin vit une chanson de Fall Out Boy écrite en 2008 et Obi-Wan une ballade d'été mélancolique :
Deux ans après la fin de la guerre, le Haut Conseil perdit la tête et décréta que tous les chevaliers Jedi ayant été adoubés après le début du conflit devraient effectuer l'année de missions en toute indépendance dont ils avaient été privés. Les talents acquis durant la guerre avaient été, eh bien, guerriers, et il était temps de se remémorer l'origine de leur Mission, qui était pacifiste, et de nombreuses planètes avaient besoin de l'intervention d'ambassadeurs neutres.
Anakin trouva cette décision raisonnable, jusqu'à ce qu'il réalise qu'il était également concerné.
-- C'est une blague ? demanda-t-il à Obi-Wan lorsqu'il reçut son premier ordre, une mission pour bébé Jedi dont le nez produirait encore du lait si on appuyait dessus. Je pourrais effectuer cette mission les mains attachées dans le dos et un bâillon sur la bouche.
Même en tant que mission diplomatique, c'était du niveau zéro. Anakin avait été formé par Obi-Wan Kenobi. Ce n'était pas parce qu'il manquait plus vite de patience qu'il était incapable de régler en cinq minutes ce cas de mariage arrangé.
— Parfait, répondit Obi-Wan avec un sourcil haussé. Elle n'en sera réglée que plus vite. Anakin, dit-il plus fort lorsque ce dernier allait insister. Toi plus que n'importe quel autre chevalier mérite cette année de liberté. Tu es l'un des très, très rares à avoir passé la guerre au côté de ton maître plutôt que d'avoir été déployé ailleurs.
Il lui sourit avec une excuse dans le regard.
— Ça te fera beaucoup de bien de pouvoir agir sans que je sois toujours sur ton dos.
Oh non, songea Anakin en réalisant soudain ce que cette histoire ridicule signifiait vraiment.
On voulait le séparer d’Obi-Wan.
***
Anakin savait, objectivement, que le Conseil n'aurait pas créé un décret influençant plus de mille cinq cents Jedi juste pour le séparer d'Obi-Wan. Il n'était pas égocentrique à ce point. Et ayant comparé sa mission à celle de plusieurs de ses compagnons de galère, il savait qu'il n'était pas le seul à être traité comme s'il sortait tout juste de la Crèche.
Mais. Il était Anakin Skywalker. Le Héros Sans Peur. Le pourfendeur de Dark Tyranus et Dark Sidious.
C'était complètement ridicule !
Aussi, après quelque jours à râler sombrement avec d'autres vétérans infantilisés, il demanda à voir le Conseil qui le reçut avec une rapidité louche. Clairement, ils s'étaient attendu à ce qu'il proteste.
Mais ils ne s'étaient certainement pas attendus à ce qu'il allait leur sortir.
Tout le monde, tout le monde oubliait qu'il avait été formé par Obi-Wan. Même Obi-Wan.
— Dans sa grande sagesse...
Même pas une pointe de sarcasme dans sa voix, il espérait vraiment qu'Obi-Wan était fier.
-- ...Le Conseil a décidé que les Jedi ayant été privés d'une année de missions en toute indépendance devraient l'effectuer, à dater du premier du mois prochain. Toutefois...
S'ils croyaient qu'il ne voyait pas leur sourire en coin...
— Ils ne sont pas les seuls à avoir été privé de cette expérience nécessaire à tout Jedi. Le chevalier Koestar, la chevalière An'ki, Maître Ost...
Il continua la liste des quatorze noms qu'il avait dénichés dans la base de données de l'Ordre après trois nuits blanches et une quantité de caf à en empoisonner un wookie. Et enfin...
— La chevalière Aïmetyo et... Maître Kenobi.
Et il le savait mieux que personne, il en était la raison. Obi-Wan l'avait pris comme padawan immédiatement et n'était jamais passé par cette étape initiatique.
-- Anakin, soupira l’interpellé en se pinçant le nez.
Le reste du Conseil le regardait avec une stupéfaction non dissimulée. Il les avait coincés, et ils le savaient. S'il y avait non pas un, mais plusieurs précédents, il n'y avait pas de raison qu'il ne puisse y avoir d'autres exceptions. Et Anakin avait toutes ses chances d'en être une.
— Une excellente remarque, déclara Maître Yoda à la surprise générale, y compris celle d'Anakin.
Il ne s'était pas attendu à ce que le Grand Maître soit le premier à céder, et si vite.
— En délibérer, le Conseil doit. À Maître Windu, la liste, remets.
Dérouté, Anakin s'exécuta, soutenant le regard exaspéré du Maître de l'Ordre.
Il sortit de la salle du Conseil avec un léger sentiment de malaise, le mit sur le compte de l'irritation d'Obi-Wan et se promit de l'inviter à dîner pour se faire pardonner, même s’il n'aurait pas dû en avoir besoin.
Il avait fait ça pour leur bien.
***
— Ce n'était pas du tout ce que je voulais, dit-il, horrifié, quelques heures plus tard.
Obi-Wan, avec un stoïcisme né de ses nombreuses années d'expérience, venait de lui montrer un ordre de mission qui faisait passer celle d'Anakin pour une tâche ardue.
Servir de témoin à l'inauguration du nouveau parc naturel maritime dédié à la paix de Champala ? On le prenait pour un padawan ?
— Ils ont complètement perdu la tête, ils ne peuvent pas se passer de toi en tant que conseiller, c'est n'importe...
— Oh, je ne quitte pas pour autant mon poste, répondit calmement Obi-Wan. Au contraire, je sers d'exemple aux autres Jedi, afin de prouver que le Conseil est juste. Merci, Anakin. Sincèrement.
— Obi-Wan...
— Sur ce, je vais te laisser.
— Où est ce que tu vas ?
— Quinlan et Luminara ont une bouteille de Danse-de-Feu antakarien qui porte mon nom. À demain.
Anakin faillit le rappeler, mais choisit sagement de le laisser partir.
Et peut-être qu’il irait voir ce que lui aussi avait de plus alcoolisé dans son placard.
#il y a des chances que je doive le réécrire entièrement parce que le reste a un ton complètement différent#on verra#j'ai presque 8000 mots pour le moment#il ne s'est pas passé grand-chose et je ne sais pas trop ce que la suite va donner#yolo comme disent les plus si jeunes#blabla#mes scribouillis#obikin
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Mercredi
Dans onze jours, ce mois de juillet si bizarrement commencé va changer de visage, car si tout va bien, mes Eurasiens d’amour se jetteront alors dans mes bras. En attendant, je rêvasse au soleil, bois du thé glacé, me régale de chansons retrouvées de Bob Dylan, comme Life is hard (album « Together through life ») ou Spirit on the water (album «Modern Times », thème de la tournée qui m’avait permis de le voir en 2008 au Zénith de Toulouse). Et puis je lis avec bonheur « Que reviennent ceux qui sont loin », de Pierre Adrian, qui a pour cadre la Bretagne et la grande maison familiale où se croisent en été toutes les générations. Il écrit, et j’applaudis : Août était le mois qui ressemblait le plus à la vie. Aussi, plus loin : Et je songeais qu’il n’y a qu’au mois d’août qu’on est vraiment un enfant. (sous-entendu, libre, en plein air et en mouvement). Et encore : Je ne supportais pas l’idée d’un lieu où je ne reviendrais plus jamais. (...) Et je croyais que toute la vie, il serait possible de courir partout et de revenir. Comment ne pas penser à notre maison familiale, que j’ai contribué à faire vendre alors que je l'avais toujours considérée comme mon ultime refuge. Auparavant, j’ai lu deux bons romans offerts par mon amie J. : « A pied d’œuvre », de Franck Courtès, et « La Société très secrète des marcheurs solitaires », de Rémy Oudghiri, où j'ai pioché de belles citations : La musique est le désir des choses qu’on ignore, signée Gabriel Fauré, ou : Quand on écoute sans regarder, on voit, de Fernando Pessoa. Les nuages filent, héron cendré et grand cormoran s’affrontent sur les eaux paresseuses de la Garonne, les fruits s’énervent d’été, j'attends le retour de la lune et contemple, rassuré, la pile de livres qui m’attendent : « Dans son sillage », roman de Jessica Andrews recommandé par ma fille, dont je suis aveuglément, ou presque, les prescriptions littéraires et musicales ; « Chelsea Girls », récit autobiographique de la poétesse Eileen Myles ; « Les Jaloux », de l’excellent James Lee Burke (86 ans), dont je lis tout ce qui paraît depuis une quinzaine d’années, comme je le faisais avec d'autres vieux compagnons, Charles Bukowski ou Jim Harrison. Je sais, je parle trop, mais pas souvent.
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TOI QUE J’AI TANT AIMÉE…
Quand arrive l’hiver et ses brumes glacées, j’aime à marcher le long des plages désertées, le vent emporte au loin mes plus sombres pensées et je me sens serein, tranquille et apaisé.
J’écoute la chanson, sans cesse répétée, des vagues qui s’échouent sur le bord du rivage et parfois je crois ouïr la triste mélopée de sirènes oubliées qui gémissent au large.
Nul promeneur ne vient déranger ma quiétude et pour quelques instants, je me sens seul au monde, loin de mon quotidien, rongé par l’habitude, et puis loin de mes pairs et de leur folle ronde.
Alors dans mon esprit, lavé par les embruns, s’imposent ton sourire et ton tendre visage, je sais qu’ils seront là tout au long du chemin, fidèles compagnons de mon pèlerinage.
Tous deux nous aimions tant ainsi nous promener, marchant main dans la main, de longues heures durant, regardant l’horizon s’unir à l’océan et ne nous arrêtant que pour un doux baiser.
Ô comme il semble loin, ce paradis perdu, ces années où nos êtres, unis, ne faisaient qu’un, comment puis-je accepter l’idée que jamais plus ma peau ne goûtera la douceur de tes mains?
Lorsqu’arrive l’hiver et ses longs doigts glacés, je vais voir l’océan qui nous a tant bercés, ensemble nous parlons de ces tendres années où tu vivais jadis, toi que j’ai tant aimée…
V. H. SCORP
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Photo
Les moineaux ont quitté Paris parce que dans la ville enrichie, sans cesse ravalée, il n'y avait plus de trous où nicher dans les creux des enduits, plus de pierres descellées, de souches de cheminées, plus de fissures. Le moineau parisien s'identifiait avec l'idée d'une capitale printanière et insouciante. Et avec celle de peuple. Tout particulièrement avec la figure du gamin. Déjà dans Les Misérables : Paris a un enfant et la forêt un oiseau; l'oiseau s'appelle le moineau l'enfant s'appelle le gamin. » Hugo se trompe, le moineau, ce passereau justement appelé Passer domesticus, n'est pas un habitant des forêts mais peu importe. Ensuite dans la chanson de Pellegrin (1924) : « J'suis I'moineau, j'suis l'titi/J'suis l'gamin d'Paris. » Puis chez les photographes humanistes : Doisneau, lui-même tête de piaf. Les moineaux sont partis, en même temps que ce que l'on appelait donc le peuple de Paris. Les uns et les autres ont migré au cours du dernier demi-siècle, comme ils ont quitté Londres et quantité de villes, souvent pour se réfugier en banlieue. Ils ont, dans leur déplacement, abandonné les quartiers riches d'abord, ceux de l'ouest. comme s'ils fuyaient la hausse des loyers. Les moineaux ont quitté la ville quand tant d'autres l'évacuaient. Comme « nos frères gitans de Saint-Ouen », partis « sans crier gare » dans la chanson de Caussimon et Ferré. Et comme les hirondelles, « à tire d'aile et sans retour/Paris n'en avait plus besoin ». On connaît cette ritournelle. lI y a longtemps qu'est apparu, dans la conscience de l'Occident, ce paysage du mur mis à nu, porteur de fragments de décors délavés, de traces de vies humaines, qui nous bouleverse encore. Pas tant celui de la ruine, qui tient de l'antique et qui nous parle de l'Histoire, du destin des civilisations, mais celui du simple mur, le mur du fond, le mur-de-refend lorsque, suite à la destruction d un immeuble, il expose T'intimité des anciens occupants en même temps que l'anatomie du bâtiment, dans une sorte de dissection macabre. On imagine quelle longue période, quelle conjonction de facteurs il fallut pour que, vers le milieu du XIXe siècle cela devienne un thème de l'esthétique. (...) C'est dans cette atmosphère que sont apparus il y a plus de quarante ans certains travaux anciens d'Ernest Pignon-Ernest. Ce couple de 1979, par exemple, ces deux figures debout, un homme, une femme, avec valise et matelas roulé sous le bras. Cela se passait à Montparnasse, ou bien autour de l'avenue d'Italie, des fronts de l'urbanisme de ces années-là. Sur une photographie de l'époque, on perçoit le chantier de l'hôtel Sheraton. Sur une autre, sous les affiches lacérées, un slogan à la bombe : « Halte à la rénovation». Ernest a depuis collé ses protestations sur tant de murs, les bossages baroques de Naples, les parois de brique, de parpaing, de plâtre éclaté, d'enduit de ciment, de peinture écaillée, les murs crépis et décrépis, les murs fanés, les ocres d'Italie, ou bien les soubassements de meulière, au ras du trottoir, du caniveau, les surfaces de tôle ondulée, rouillée, de Brest. En tel nombre qu'on a pu en oublier les diverses circonstances. Et puis les territoires de l'exil se sont à nouveau déplacés. Vers l'est encore, alors que la municipalité avait fait un mot d'ordre de la « conquête de l'Est ». Les gratteurs, les tagueurs, les fresquistes des années 1980 eurent affaire à Belleville, à Ménilmontant : ils y trouvèrent les mèmes moellons, les mêmes restes de papier peint, de carrelage de cuisine et de salle de bains, les mêmes boisseaux de cheminées en terre cuite ruisselants de goudron. Et leurs travaux sont devenus comme une sorte de chiendent, de végétation spontanée des lieux à l'abandon. Les figures inspirées des Shadocks, l'homme blanc, les pochoirs, les silhouettes à chapeau et manteau noir, les hippopotames et parapluies ouverts se sont mêlés aux arbres à papillons et aux ailantes, ces vieux compagnons des ruines. Peut-être sera-ce bientôt la fin d'un genre. Il n'y a plus guère de ruines aujourd’hui. Intra-muros, du moins. Plus de terrains vagues, plus d'interstices où loger moineaux, classes pauvres et sans-logis. Moins d'hospitalité. Voilà ce que nous dit le chant du mur, du mur-pignon, du mur-de-refend, du mur sans défense. François Chaslin - Ernest, les pignons de l'exil
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Jeudi soir. Une fois de plus, Marie nous avait concocté un dîner de roi pour fêter le retour de Vitaly, le compagnon de Zoé.
Coutumier du fait, Alex avait sélectionné un Pauillac et un Margaux proche de l'indécence. Une divine soirée en vérité. Pleine de rires, de joie, d'amitié...
Petit dormeur depuis l'école de recrue, je me levai à l'aube du vendredi. Je consultai mes emails, épluchai mes alertes immobilières avant de jeter un coup d'œil aux actualités.
Les urubus des chaînes d'information relayaient déjà en boucle l'inconcevable. Le déluge d'Al-Aqsa qu'ils martelaient sans cesse, ravis de détenir là une punch line de premier ordre dont ils allaient pouvoir se gargariser à outrance.
Les visages de tous mes amis défilèrent sous mes yeux. Certains dont les familles avaient été décimées dans les camps durant les heures les sombres de l'hydre teuton. Mon cœur se serra en pensant à Vi. Aux siens sur lesquels s'abattait le déluge des assassins. Une chanson de Cesaria Evoria me revint en mémoire... Petit pays, je t'aime beaucoup. Petit petit, je l'aime beaucoup.
Un spleen incommensurable baigna ma journée de samedi. Zoé me dit que Vi est resté terré dans sa chambre.
Dimanche. Il fait encore nuit quand je réveille. Soucieux, j'allume la TV... De par sa phonétique amusante, ce mot est facilement mémorisé par tous les enfants persanophones. Il divertit les bambins autant qu'il terrorise les adultes. Zel-zela. Derrière ce mot à la consonance débonnaire, relevant presque de l'onomatopée, se terre l'épouvante. Zel-Zela. Dimanche. Les actualités. Le sort s'était à nouveau acharné sur le pays de mes parents. Ce pays meurtri où il faisait si bon vivre jusque dans les années soixante. Zel-Zela, tremblement de terre. Un séisme qui, en quelques minutes, a envoyé ad patres plus de 2500 miséreux dans la région d'Hérat. De crève-la-faim éreintés par une guerre sans fin. De laissés-pour-compte opprimés par des fascistes religieux.
Entre les tragédies ukrainiennes et israéliennes, je le sais, le monde ne lèvera pas un doigt pour Aryana. Si ce n'est le majeur.
Comme pour rappeler que ces afghans -un genre de bougnoule venu d'Asie mineure- alimentent l'ignoble flot migratoire qui déferle "chez nous" pour grignoter notre confort.
Petit pays, je t'aime beaucoup. Petit petit, je l'aime beaucoup. Petit pays, tout le monde s'en fout.
Jeudi, terrorisme en Israël. Jeudi, le jour de Jupiter, le roi des dieux. Jupiter, le père des Cieux.
Dimanche, terreur en Afghanistan. Dimanche, jour du seigneur. Dimanche, jour du Saigneur.
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IU et Lee Ji Eun
IU, une icône de cette époque qui ne peut être définie par un seul mot, et Lee Ji-eun au visage nu.
Q : La séance photo d'aujourd'hui a tenté de capturer deux visages, IU et Lee Ji-eun, sur le thème de la dualité. Après avoir terminé le tournage avec un visage détendu, elle a avoué: "Le tournage d'aujourd'hui était honnêtement difficile."
IU : En fait, travailler avec Gucci est toujours difficile. Je pense que c'est parce qu'il y a beaucoup de vêtements expérimentaux, de scènes et de messages. Surtout aujourd'hui, le but n'était-il pas d'incarner visuellement mon autre moi ? J'ai vu la collection P/E 2023 à Milan et j'ai trouvé ça très choquant et intéressant. Comme j'ai des souvenirs de cette époque, j'ai entendu parler du concept de ce pictural qui reprend un motif d'une collection, et je me suis dit, ah, ce ne serait pas facile. Mais c'était tellement amusant. C'était la première fois que j'essayais un maquillage fumé aussi épais, et je suis reconnaissante de pouvoir participer à un nouveau plan à bien des égards, à partir de la composition de l'image, des accessoires et de l'espace du studio.
Q : La dernière coupe était une scène dans laquelle IU, portant un maquillage épais et fumé, se tenait devant un faux mur recouvert d'affiches de Lee Ji-eun, qui était proche de son visage nu. Pour être honnête, je ne savais pas que la photo sur l'affiche provenait du tournage d'aujourd'hui, alors j'ai deviné qu'il s'agissait toujours de coupures de 'Persona' et 'Love Game'. Je savais que vous aviez plusieurs types de visages, mais je viens de réaliser qu'il y a aussi des visages de différentes époques.
IU : Dans la salle d'attente plus tôt, notre personnel a dit quelque chose de similaire. Maintenant, je porte un maquillage fumé épais, mais auparavant, j'enlevais le plus de maquillage possible. C'est le matin, donc ça ressemble à de la viande de poitrine (rires), et ça semble bien aller. Voir les photos imprimées m'a rappelé le passé.
Q : Nous avons un partenariat à long terme avec Gucci. Si vous regardez la tendance artiste d'IU, je pense que c'est un compagnon impossible si vous n'êtes pas d'accord avec la philosophie et les valeurs de la marque Gucci. À quel moment les visions artistiques de Gucci et d'IU coïncident-elles ?
IU : Je pense que Gucci est une marque qui valorise la diversité et trouve l'esthétique dans quelque chose de non raffiné. S'il y a quelque chose qui me ressemble, c'est peut-être le rôle. Je travaille également de manière à fondre dans les paroles les pensées et les sentiments que j'avais en train de ne pas parvenir à une conclusion et de ne pas être achevé.
Q : Comme vous l'avez dit, vous êtes toujours courageux de vous exprimer honnêtement à ce moment-là. En tant que célébrité, êtes-vous obligé de ne montrer au public que votre apparence parfaitement décorée ?
IU : Quand j'étais jeune, je ne savais vraiment rien. (Rires) Je pense que je n'avais pas d'autre choix que de dire : "C'est ce que je pense en ce moment" ou "J'ai cet âge maintenant". D'une part, depuis que j'étais jeune, il y avait une perception que je n'étais pas une personne parfaite. Ce n'est pas comme si vous pouviez l'imiter. Tant que j'ai fait de ce métier une carrière, je devais voir le jeu, et il y a des aspects de moi que j'ai pu montrer sans hésitation. Ce qui a commencé comme ça est maintenant devenu l'une de mes façons de m'exprimer.
Q : Les petites activités récentes sont-elles dans la même veine ? Vous pouvez trouver votre voix dans la chanson que les enseignants de l'école Milal ont chantée pour leurs élèves. Le compositeur Kim Jehwi de 'Night Letter' a fait une chanson sur ce qu'il ressentait en travaillant dans cette école et y a participé en tant que long métrage.
IU : Jehwi est un ami précieux même en dehors de son talent musical. Au début, j'ai entendu dire que cet ami enseigne aux élèves à l'école, alors puis-je bien faire ? C'est vrai que j'étais en avance sur mes soucis. Cependant, après s'être bien adapté à être amical, il a finalement dit : « Ma sœur, je veux présenter une chanson à l'école », alors je me suis senti fier et j'ai voulu l'encourager. Honnêtement, je ne m'attendais pas à ce que cela devienne un sujet aussi brûlant, mais je l'ai enregistré avec tant de diligence que j'ai dit en plaisantant : "Je pense que j'ai travaillé plus dur que de participer à mon album." Pour que les élèves puissent aller à l'école dans la bonne humeur tout en écoutant. être fort
La veste, la chemise à nœud et le pantalon sont tous signés Gucci.
La veste courte, la chemise à nœud, le pantalon et les escarpins à bout ouvert sont tous signés Gucci.
Les vestes avec des ceintures décoratives dorées, des pantalons et des coiffes avec des détails à franges sont tous signés Gucci.
Q : IU, Park Bo-gum et Lim Sang-choon, scénariste de <Fight for My Way>, un drame qui a attiré beaucoup d'attention, entreront bientôt en pré-production. Pourquoi avez-vous choisi cette pièce ?
IU : Je pense que tout le monde pensera de cette façon lorsque le travail sera publié. 'Oh, je devais avoir envie de le faire aussi'. Je me suis beaucoup amusé avec les travaux précédents d'Im Sang-choon, et c'était frais parce que ce travail avait une nouvelle histoire unique. En tant que personne qui aime lire et écrire, j'étais jaloux du talent de l'auteur qui pouvait faire ressentir ce genre d'émotion même si ce n'était qu'une police de caractères. Le sujet est bon, mais j'ai surtout aimé le fait qu'il véhicule une histoire lourde sans être lourde.
Q : L'enfant que vous incarnez est une "fille littéraire dont la voix tremble comme une chèvre depuis qu'elle s'est rebellée, et qui est pauvre mais forte à l'intérieur". Il est à noter que ce travail est un retour dramatique après 4 ans depuis <Hotel Del Luna>, et le personnage est à l'opposé de cette époque.
IU : Manwol à l'hôtel Del Luna est définitivement un personnage inhabituel. Cependant, Aesun a également un point unique. Ae-soon semble être une personne que vous pouvez facilement voir autour de vous, mais si vous regardez attentivement, est-ce une personne dont l'individualité en tant qu'être humain se démarque ? Je semble être attiré par les gens avec ce genre de détermination.
Q : Certains acteurs s'imprègnent de la façon dont ils se retrouvent dans leurs personnages. Es-tu comme ça aussi ? Dans quelle mesure Aesoon et IU sont-ils similaires ?
IU : Il y aura certainement des personnages avec des résolutions que je ne pourrai jamais comprendre, mais si c'est le cas, je ne pourrai pas choisir le travail. C'est une question de confiance. C'est aussi une preuve que les personnages que j'ai joués jusqu'à présent sont des gens que je peux comprendre à tout moment. Parmi eux, Ae-soon me ressemble plus qu'à tout autre personnage que j'ai joué. L'auteur a un grand pouvoir d'observation. Il a dit qu'il voulait incorporer les caractéristiques que j'ai, mais qui ne sont pas trop révélatrices, dans le personnage. En fait, après avoir lu le scénario, c'était au point de se dire "Oh, comment as-tu su que j'avais ce genre de côté ?".
Q : De <My Mister> à <Hotel Del Luna>, de <A Place Where No One Is> à <Broker> à <Dream>. Qu'il s'agisse d'un drame ou d'un film, je me demande si la prochaine étape est très audacieuse. C'en est au point où je me demande si jouer un personnage différent ou une œuvre différente de mon travail précédent est le critère numéro un pour choisir une œuvre.
IU : Si vous avez les cheveux longs depuis longtemps, ne voulez-vous pas les teindre et les couper ? Ce n'est pas un critère, mais après avoir vécu comme un seul personnage pendant plus de quelques mois, il semble que l'inconscience de vouloir essayer autre chose entre en jeu.
Q : Je veux avoir les cheveux courts et les cheveux courts, mais il y a beaucoup de gens qui s'en tiennent aux cheveux longs pour le reste de leur vie parce qu'ils ont peur que cela ne leur convienne pas.
IU : Mais s'il y a quelque chose que je veux faire, je dois le faire. Il est beaucoup plus facile de supporter de regretter d'avoir fait quelque chose que de ne pas l'avoir fait.
Q : Je suppose que ce n'est pas le côté qui sépare l'ego en tant qu'acteur et l'ego en tant que chanteur. En quoi votre état d'esprit est-il le même ou différent la veille du concert et la veille du lancement ?
IU : Si la scène du concert est comme une émission en direct où une seule chance est donnée tant que la mémoire du public n'est pas effacée, le lieu de tournage peut échanger à tout moment avec le réalisateur ou l'autre acteur, et le meilleur résultat parmi plusieurs prises est présenté au public. Il ne se sent pas comme la même prémisse en ce sens qu'il est partagé. Cependant, après le début de la représentation, je me suis senti seul sous tension pendant un certain temps, et finalement, le moment intimidant de s'assimiler au public et de voir de nombreuses personnes sur le site de tournage inconnu se déplacer en équipe avec un objectif commun, j'ai réalisé que nous respirent vraiment ensemble. Le moment de la réalisation est très similaire. Les deux domaines sont attrayants dans la mesure où ce sont des choses que je ne pourrais jamais faire seul. Que ce soit en chantant ou en jouant, je suis juste une personne qui fait de son mieux à chaque instant.
La veste, le pantalon, la chemise à nœud et les mocassins sont tous signés Gucci.
Le gilet avec des détails de doublure, les shorts, les chaussettes et les mocassins sont tous signés Gucci.
Q : L'année dernière, lors du concert célébrant le 14e anniversaire de leurs débuts, 〈The Golden Hour: Under the Orange Sun〉, "J'ai pensé que la scène que j'avais défiée et courue depuis que j'étais adolescent pourrait vraiment être la destination finale, mais en ce moment, cela pourrait être un nouveau point de départ, un nouveau départ donne de l'espoir », a-t-il déclaré. A l'origine, il est facile de s'installer n'importe où. Même ainsi, je veux toujours marcher quelque part. Dans quelle direction voulez-vous aller ? qu'y a-t-il à la fin ?
IU : Il n'est pas exagéré de dire qu'à 20 ans, je vivais obsédé par l'idée de cette "direction". Je me demande si c'était le thème qui m'a fait « circuler le sang » à l'époque. Les soucis intenses étaient agréables, mais franchement, ils étaient aussi fatigants. Après avoir atteint mes 30 ans, je n'ai pas particulièrement de direction en tête. C'est ma première fois comme ça.
Q : Êtes-vous riche maintenant ?
IU : Pour être honnête, je ne comprends pas vraiment le concept de repos. Ce n'est pas parce que votre corps se repose que vous vous sentez particulièrement rechargé. Au sens large, si le repos est vu comme une solution ou une recharge, paradoxalement, c'est quand je travaille que les choses accumulées en moi sont le plus agréablement soulagées. Lorsque vous avez fait un travail à votre satisfaction au point où vous ressentez un sentiment de plaisir. À ce moment-là, je me sens beaucoup plus reposé que lorsque je restais à la maison pendant des jours et des jours. Sinon, il faut être tellement absorbé que l'on ne pense même pas au travail, mais dans mon cas, je n'aime pas tant de choses. D'y penser en ce moment, quand je dors profondément, quand je discute avec Yoo In-na, quand je m'amuse et ris avec un ami ou un amant qui me comprend profondément, quand je regarde un film de ma vie à nouveau, quand je mange de la nourriture vraiment délicieuse. Après avoir vécu, il y a pas mal de gens comme moi qui ont besoin de moins de repos mental. Mais l'endurance est une autre histoire, alors j'essaie de la gérer même si c'est pour le moment où je dois courir davantage alors que j'entre dans la trentaine. Quand je peux me reposer, je passe le plus de temps allongé possible. (rire)
Q : Lors du concert à l'époque, il a déclaré: "Je regarderai en arrière aujourd'hui et j'irai encore 14 ans." Vous êtes-vous déjà spécifiquement imaginé dans 14 ans ?
IU : Si je devais m'imaginer à l'âge de 44 ans à l'époque... semble toujours fonctionner A part ça, honnêtement, je ne sais pas. Si vous regardez la prémisse de « je suis une personne qui change ». Par exemple, les pensées qui me composent il y a 14 ans et maintenant sont très différentes.
Veste à col à motifs, chemise Gucci.
Robe en tweed, sac à bandoulière chaîne par Gucci.
Q : C'est peut-être parce qu'il est flexible. Pour être honnête, je crois que les gens ne changent pas avant de mourir.
IU : Je suis d'accord dans une certaine mesure avec cette affirmation. Mais à en juger il y a 14 ans, j'étais une personne qui détestait la compétition et évitait la compétition. Si vous regardez le journal de l'époque, « J'ai du mal dans une société compétitive. Je suis inquiet parce que je n'ai pas envie de concourir et je déteste la compétition. Cependant, avec le recul, j'ai apprécié le jeu tout au long des 14 années écoulées depuis mes débuts. N'êtes-vous pas fou de gagner ? dans la mesure où. Peut-être que je n'avais pas remarqué que j'avais un esprit de compétition, ou que je voulais le nier exprès.
Q : Quoi qu'il en soit, cela me rend triste de voir une jeune fille qui vient de faire ses débuts gribouiller dans son journal : "Je déteste la compétition." Y a-t-il quelque chose que l'IU maintenant changée voudrait dire à l'IU d'alors ?
IU : En fait tu t'aimes beaucoup
Q : Il a dit un jour : "Même si le monde est moins chaste, j'espère que les gens vivront et s'aimeront." Dans un monde difficile, l'espoir auquel vous croyez est-il toujours amoureux ?
IU : C'est embarrassant de le dire avec des mots, mais je crois que l'amour surmonte néanmoins la haine. À la fin, l'amour l'emporte. Même lorsque je perds l'équilibre et que je faiblis, je répète : "Mais à la fin, l'amour gagnera" et je m'équipe de logique, développe mes muscles pensants ou contrôle mon esprit. La proposition que l'amour gagne a été pleinement expérimentée tout au long de ma vie. J'aimerais y croire à l'avenir.
Q : Les auteurs-compositeurs-interprètes ont la chance de pouvoir transformer leurs pensées et leurs émotions en musique. Je sais un peu à quel point les paroles sont importantes, surtout dans votre musique. Quelles paroles de chansons flottent dans votre tête ces jours-ci ?
IU : C'est tellement absurde que j'écris sur ce dont je viens de parler avec le journaliste. En fait, quand le mot riche est sorti, j'ai été choqué à l'intérieur. Flottant sans destination. Je pense que ce sera le sujet du prochain album.
Q : Si vous revenez au concept pictural actuel de « dualité », vous avez l'impression de vivre fidèlement à vous deux : IU, une icône, et Jieun Lee, une personne ordinaire. Comment cet équilibre est-il maintenu ?
IU : Je pense que le moyen d'équilibrer est d'être modérément satisfait et modérément vigilant en se changeant en jolis vêtements un peu inconfortables mais qui me font briller et des vêtements confortables un peu ordinaires mais qui me libèrent au bon moment. J'accepte naturellement le fait évident qu'il y a des moments où je brille et il y a des moments où je suis ordinaire.
Q : «Je n'arrive pas à extraire tous les mots de mon journal, mais » Quelle est la phrase qui peut vous décrire maintenant ?
IU : "Il a décidé de vivre comme une spore, pas comme une fleur."
La robe à motif de fleurs, la robe à enfiler intérieure et les boucles d'oreilles simples sont toutes signées Gucci.
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édith piaf et les compagnons de la chanson - les trois cloches
1946
premier enregistrement 1946
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Paroles et musiques... pour cantatrice folle ou cantateur fol
Mes amis savent ma longue passion pour mon piano, ce compagnon de mes joies et de mes chagrins et du ''no silence land'' qui s'étend entre ces deux usages extrêmes d'un même (et merveilleux) instrument. Et mes proches savent aussi que, sans pitié pour mes voisins parisiens, il m'arrive de caricaturer Pavarotti ou Jo Dassin, en poussant la chansonnette... ou en m’essayant sur les grands airs du ''Répertoire'' (comme ''Nessun Dorma'', du Turandot de Rossini : ''Les cons, disait Audiard, ça ose tout, et c'est même à ça qu'on les reconnaît !''. Eh ! bien, j'ose !)
Allez savoir par quels méandres, à travers les circonvolutions de mon cerveau, un air s'est imposé à moi, hier : c'est la célèbre chanson ''Mon Homme'', écrite pour Mistinguett en 1920, qui est, étonnamment, la chanson française qui a connu le plus grand succès international, alors que ses paroles étaient et sont rien moins que inhumaines. Jugez-en plutôt par vous-mêmes : ''Sur cette terre, Ma seule joie, mon seul bonheur C’est mon homme... Et même, la nuit, Quand je rêve, c’est de lui, De mon homme... La Femme, à vrai dire, N’est faite que pour souffrir Par les hommes... etc...''. Vous imaginez la levée de boucliers et les ''Unes'' outragées auxquels cette déclaration de guerre au féminisme le plus moins éclairé et à la bien-pensance la plus éculée (c'est la même chose) donneraient naissance, en 2022 ! Sandrine Rousseau se surpasserait dans la connerie --si c'est possible !
Rétrospectivement, j'ai eu honte pour nos ancêtres qui avaient l'aveuglement, l'inconscience et le mauvais goût de fredonner –même en faisant ''mmmm''-- de telles insultes à la sacro-sainte égalité de façade qu'il est de mise d'afficher depuis que la folie est non seulement sortie des asiles... mais qu'elle est devenue, pour le plus grand malheur de l'humanité en chute libre, LE critère, LE ''mètre-étalon'' de ce qu'une poignée de furies (contaminées par une haine inexpiable pour tout ce qui est masculin) a fait croire à la Presse, comme toujours décourageante de nullité, d'opportunisme et d'inintelligence... Déjà que je suis un homme blanc, héréro, de droite, catho, et même pas honteux de n'être ni L, ni G, ni B, ni T, ni, surtout, ''Q''... je me suis dit que je n'avais pas le droit de continuer à être une telle souillure sur ‘’la planète’’ : c'est un must de rattraper ''mes'' erreurs-passées-de-mes-ancêtres.
J'ai donc entrepris le grand oeuvre utile entre tous de remettre les choses en place, et je chante désormais : ''Sur cette terre, Ma seule joie, mon seul bonheur, C’est mon homme-femme, mon bi, mon trans... Et même, la nuit, Quand je rêve, c'’est de lui, d'elle, de iel, de ze... De mon homme, de ma femme, de mon ''L'', de mon ''G'', de mon ''B'', de mon ''T''et de mon ''Q'' (Mais qu'alliez-vous penser ? Même tenu par un homme --et blanc--, ce blog est bien élevé, genre ‘’de bonne famille’’, et ce ‘’Q’', càd. ''Queer'' (= étrange, peu commun, ou bizarre). Ce mot anglais désigne les minorités sexuelles et de genres, seules dignes d'intérêt puisqu'elles ont une orientation comportementale différente de l'hétérosexualité '' ou de la ''cis-identité'' sur lesquelles repose tout ce qui existe et tout ce qui ''tient''. Tout, quoi !). Revenons aux paroles : ''A vrai dire, la femme, le transgenre, l'homo, la gouine, les neutres, et même les etcetera n'est /ne sont fait· e · s· que pour souffrir...''. C’est beau, hein ?
Mais cette phrase, encore plus incongrue que les autres, m'a stoppé net dans mes désirs de rédemption : c'est l'homme, ''à vrai dire'', qui doit souffrir pour payer tant de siècles d'une société patriarcale qui a tout esquinté, jusqu'à la grammaire pour ceux qui veulent noyer leur chien en disant qu'il a la rage... J'ai aussitôt cherché un nouvel air à chanter, accompagné de mon piano qui, soit dit en passant, n'a aucune raison d'être décliné au masculin : pourquoi ne serait-il pas ''une piana'' ? C'est tout de même bien plus proche de la vérité des choses et de l'égalité des sexes, non ?
J'ai donc choisi la jolie chanson de Françoise Hardy ''Si tous les garçons et les filles et les homos et les gouines et les trans et les ''cis'' de mon âge savent bien ce que c'est qu'être heureu · x · e · s·''... et je me suis immédiatement senti plus à mon aise, plus en harmonie avec mon époque, plus content · e, plus épanoui · e. C'est un facteur de vrai bonheur de s'être enfin rendu compte que le sexe des mots est un remède aux maux des sexes ! Mais... pourquoi une petite voix mal-pensante n'arrête-t-elle pas de me susurrer sans cesse : “Byzance, dit-on, tomba aux mains des Turcs en discutant du sexe des anges. Le français achèvera de se décomposer dans l’illettrisme et l'insensé, pendant que nous discuterons du sexe des mots''.
Alors... pourquoi cette fausse querelle ? Parce que en français, le genre neutre (comme en ont le grec, le latin, l'anglais ou l’allemand, entre autres) se décline le plus souvent comme au masculin, avec quelques exceptions bien connues (vigie, sentinelle, ou ''amour, délice, et orgue''). D’où que quantité de noms de fonctions, métiers et titres, sémantiquement neutres, sont grammaticalement féminins ou masculins, leur genre n’ayant rien à voir avec le sexe de la personne en place. Le mot ''Homme'' lui-même s’emploie d’ailleurs tantôt en valeur neutre, quand il signifie l’espèce humaine, tantôt en valeur masculine quand il désigne un mâle. Confondre les deux condamne à l’embrouillamini actuel de la féminisation du vocabulaire.
Un humain de sexe masculin peut fort bien être une recrue, une andouille, une vedette, une canaille, ou une fripouille... Et de sexe féminin, il lui arrive d’être un mannequin (les plus belles), un génie, et même un tyran. Le respect de la personne humaine est-il réservé aux femmes, et celui des droits de l’homme aux hommes ? Dans l’usage réel, chacun restitue spontanément qu’un soprano est une femme, qu’une basse est un homme, que le masculin ''vagin'' désigne un organe féminin et le féminin ''verge'' un organe masculin. Ces féminins et masculins sont purement grammaticaux, nullement sexuels ou sexués, et voir une intention cachée dans cette logique choisie est rien moins que absurde ! Il paraît, nous expliquent les nuls, que si, au lieu d’écrire ''les pamplemousses et les oranges sont mûrs'', vous écrivez soudain ''les pamplemousses et les oranges sont mûres'', vous contribuerez à ce que des femmes ne soient plus battues par des hommes. Stupidité ? Mauvaise foi ? Délire grotesque ? Décalage immense par rapport au réel ? Réponse au choix.
A partir de la mise au rancart inutile, absurde et surtout ridicule de quelques chansons, nous continuerons notre petite escapade en Absurdie, le royaume de nos anti-penseurs modernes. Tous sont progressistes, ce qui explique pourquoi plus rien ne fonctionne... mais explique aussi pourquoi leurs idées, au delà de leur aberration majuscule trouvent, dans certains milieux ''qui se la pètent'', un accueil trop favorable qui les rend dangereux... ce qu'ils ne méritent absolument pas, en tant que ce qu'ils sont eux-mêmes, c'est-à-dire : 3 fois RIEN, ou plus ! (à suivre)
H-Cl
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the green leaves of summer - Joel Painset (cover)
ma reprise perso de : The Green Leaves of Summer qui est une chanson écrite par Paul Francis Webster avec une musique composée par Dimitri Tiomkin. Elle a été écrite pour le film Alamo (1960) où elle est interprétée par le groupe The Brothers Four. Elle a été nommée pour l'Oscar de la meilleure chanson originale lors de la 33e cérémonie des Oscars. Reprise par divers artistes, notamment par Les Compagnons de la chanson sous le titre Le Bleu de l'été, elle a été utilisée à nouveau lors de l'introduction du film Inglourious Basterds (2009) dans une version instrumentale arrangée par Nick Perito. Lyrics of : "The Green Leaves of Summer" (Chanson de Dimitri Tiomkin) A time to be reapin', a time to be sowin'. The green leaves of Summer are callin' me home. 'Twas so good to be young then, in a season of plenty, When the catfish were jumpin' as high as the sky. A time just for plantin', a time just for ploughin'. A time to be courtin' a girl of your own. 'Twas so good to be young then, to be close to the earth, And to stand by your wife at the moment of birth. A time to be reapin', a time to be sowin'. The green leaves of Summer are callin' me home. 'Twas so good to be young then, with the sweet smell of apples, And the owl in the pine tree a-winkin' his eye. A time just for plantin', a time just for ploughin'. A time just for livin', a place for to die. 'Twas so good to be young then, to be close to the earth, Now the green leaves of Summer are callin' me home. 'Twas so good to be young then, to be close to the eaJoel Painset
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➡️ ⟪ Dans une caverne (1) ⟫
“David … se sauva dans la caverne d’Adullam.” 1 Samuel 22. 1
Un psychologue du nom de Daniel Goleman a écrit que le dénominateur commun à tous ceux qui réussissent dans la vie, quel que soit leur spécialité, est “leur profond enthousiasme et leur détermination face aux échecs.”Votre attitude face à l’échec est plus importante que le niveau de votre intelligence, votre physique ou l’importance de votre compte en banque. Alors pourquoi l’échec galvanise-t-il l’énergie de certains et paralyse-t-il le courage des autres ? Au départ David ne connut que des succès : tout ce qu’il entreprenait réussissait.
Samuel l’avait oint comme futur roi d’Israël, il avait tué Goliath, Saul l’avait promu comme chef militaire et choisi comme son musicien préféré, les soldats l’adulaient et tout le monde était fou de ses chansons ! Puis tout s’écroula : il perdit sa place à la cour, son mariage tomba en déconfiture, Samuel, son vieux mentor mourut, son meilleur ami Jonathan ne pouvait plus le protéger, et les soldats de Saul le pourchassèrent tellement qu’il dut s’enfuir pour se réfugier au fond d’une caverne. Tout le monde, un jour doit se cacher dans une caverne.
C’est là que vous vous retrouverez le jour où vous perdrez votre emploi, où vous vous découvrirez dans les dettes jusqu’au cou, où vos amis, votre compagne/compagnon vous abandonneront, où votre santé faillira, où vous aurez l’impression que même Dieu vous a laissé tomber pour de bon. La caverne est l’endroit où vous découvrirez soudain des choses cachées au fond de vous que vous aviez toujours ignorées. C’est là aussi que Dieu pourra accomplir Son meilleur travail en vous, car tous les masques de votre vie passée se seront volatilisés. Il ne vous restera que Dieu ; et Lui seul est suffisant à tous vos besoins. Alors seulement pourra-t-Il manifester Sa force à travers vos faiblesses. Bienvenue dans la caverne !
⦁ Dimanche 20 octobre 2024
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Caverne
Dimanche 20 octobre 2024 Dans une caverne (1)
“David … se sauva dans la caverne d’Adullam.” 1 S 22. 1
Un psychologue du nom de Daniel Goleman a écrit que le dénominateur commun à tous ceux qui réussissent dans la vie, quel que soit leur spécialité, est “leur profond enthousiasme et leur détermination face aux échecs.”Votre attitude face à l’échec est plus importante que le niveau de votre intelligence, votre physique ou l’importance de votre compte en banque. Alors pourquoi l’échec galvanise-t-il l’énergie de certains et paralyse-t-il le courage des autres ? Au départ David ne connut que des succès : tout ce qu’il entreprenait réussissait. Samuel l’avait oint comme futur roi d’Israël, il avait tué Goliath, Saul l’avait promu comme chef militaire et choisi comme son musicien préféré, les soldats l’adulaient et tout le monde était fou de ses chansons ! Puis tout s’écroula : il perdit sa place à la cour, son mariage tomba en déconfiture, Samuel, son vieux mentor mourut, son meilleur ami Jonathan ne pouvait plus le protéger, et les soldats de Saul le pourchassèrent tellement qu’il dut s’enfuir pour se réfugier au fond d’une caverne. Tout le monde, un jour doit se cacher dans une caverne. C’est là que vous vous retrouverez le jour où vous perdrez votre emploi, où vous vous découvrirez dans les dettes jusqu’au cou, où vos amis, votre compagne/compagnon vous abandonneront, où votre santé faillira, où vous aurez l’impression que même Dieu vous a laissé tomber pour de bon. La caverne est l’endroit où vous découvrirez soudain des choses cachées au fond de vous que vous aviez toujours ignorées. C’est là aussi que Dieu pourra accomplir Son meilleur travail en vous, car tous les masques de votre vie passée se seront volatilisés. Il ne vous restera que Dieu ; et Lui seul est suffisant à tous vos besoins. Alors seulement pourra-t-Il manifester Sa force à travers vos faiblesses. Bienvenue dans la caverne !
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Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. J’irai par la forêt, j’irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
Oh, je voudais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis
En ce temps-là la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu’aujourd’hui
.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Tu vois, je n’ai pas oublié
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi
.
Et le vent du Nord les emporte,
Dans la nuit froide de l’oubli
Tu vois je n’ai pas oublié,
La chanson que tu me chantais
.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi,
Mais mon amour silencieux et fidèle
Sourit toujours et remercie la vie
.
Je t’aimais tant, tu étais si jolie,
Comment veux-tu que je t’oublie?
En ce temps-là la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu’aujourd’hui
.
Tu étais ma plus douce amie
Mais je n’ai que faire des regrets
Et la chanson que tu chantais,
Toujours, toujours je l’entendrai
.
C’est une chanson qui nous ressemble,
Toi tu m’aimais, moi je t’aimais
Et nous vivions, tous deux ensemble,
Toi qui m’aimais, moi qui t’aimais
.
Mais la vie sépare ceux qui s’aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis
.
C’est une chanson qui nous ressemble,
Toi tu m’aimais et je t’aimais
Et nous vivions tous deux ensemble,
Toi qui m’aimais, moi qui t’aimais
.
Mais la vie sépare ceux qui s’aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et, quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
Après la bataille
Mon père, ce héros au sourire si doux, Suivi d’un seul housard qu’il aimait entre tous Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille, Parcourait à cheval, le soir d’une bataille, Le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit. Il lui sembla dans l’ombre entendre un faible bruit. C’était un Espagnol de l’armée en déroute Qui se traînait sanglant sur le bord de la route, Râlant, brisé, livide, et mort plus qu’à moitié. Et qui disait: » A boire! à boire par pitié ! » Mon père, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de rhum qui pendait à sa selle, Et dit: « Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé. » Tout à coup, au moment où le housard baissé Se penchait vers lui, l’homme, une espèce de maure, Saisit un pistolet qu’il étreignait encore, Et vise au front mon père en criant: « Caramba! » Le coup passa si près que le chapeau tomba
Et que le cheval fit un écart en arrière. « Donne-lui tout de même à boire », dit mon père.
Sur une barricade, au milieu des pavés Souillés d’un sang coupable et d’un sang pur lavés, Un enfant de douze ans est pris avec des hommes. – Es-tu de ceux-là, toi ? – L’enfant dit : Nous en sommes. – C’est bon, dit l’officier, on va te fusiller. Attends ton tour. – L’enfant voit des éclairs briller, Et tous ses compagnons tomber sous la muraille. Il dit à l’officier : Permettez-vous que j’aille Rapporter cette montre à ma mère chez nous ? – Tu veux t’enfuir ? – Je vais revenir. – Ces voyous Ont peur ! où loges-tu ? – Là, près de la fontaine. Et je vais revenir, monsieur le capitaine. – Va-t’en, drôle ! – L’enfant s’en va. – Piège grossier ! Et les soldats riaient avec leur officier, Et les mourants mêlaient à ce rire leur râle ; Mais le rire cessa, car soudain l’enfant pâle, Brusquement reparu, fier comme Viala, Vint s’adosser au mur et leur dit : Me voilà.
La tombe dit à la rose : – Des pleurs dont l’aube t’arrose Que fais-tu, fleur des amours ? La rose dit à la tombe : – Que fais-tu de ce qui tombe Dans ton gouffre ouvert toujours ?
La rose dit : – Tombeau sombre, De ces pleurs je fais dans l’ombre Un parfum d’ambre et de miel. La tombe dit : – Fleur plaintive, De chaque âme qui m’arrive Je fais un ange du ciel !
Ah ! tu finiras bien par hurler, misérable ! Encor tout haletant de ton crime exécrable, Dans ton triomphe abject, si lugubre et si prompt, Je t’ai saisi. J’ai mis l’écriteau sur ton front ; Et maintenant la foule accourt, et te bafoue. Toi, tandis qu’au poteau le châtiment te cloue, Que le carcan te force à lever le menton, Tandis que, de ta veste arrachant le bouton, L’histoire à mes côtés met à nu ton épaule, Tu dis : je ne sens rien ! et tu nous railles, drôle ! Ton rire sur mon nom gaîment vient écumer ; Mais je tiens le fer rouge et vois ta chair fumer.
Tous ces jours passeront; ils passeront en foule Sur la face des mers, sur la face des monts, Sur les fleuves d’argent, sur les forêts où roule Comme un hymne confus des morts que nous aimons.
Et la face des eaux, et le front des montagnes, Ridés et non vieillis, et les bois toujours verts S’iront rajeunissant ; le fleuve des campagnes Prendra sans cesse aux monts le flot qu’il donne aux mers.
Mais moi, sous chaque jour courbant plus bas ma tête, Je passe, et, refroidi sous ce soleil joyeux, Je m’en irai bientôt, au milieu de la fête, Sans que rien manque au monde, immense et radieux !
Le soleil s’est couché ce soir dans les nuées. Demain viendra l’orage, et le soir, et la nuit ; Puis l’aube, et ses clartés de vapeurs obstruées ; Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s’enfuit !
Le pré est vénéneux mais joli en automne Les vaches y paissant Lentement s’empoisonnent Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-la Violâtres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne
Les enfants de l’école viennent avec fracas Vêtus de hoquetons et jouant de l’harmonica Ils cueillent les colchiques qui sont comme des mères Filles de leurs filles et sont couleur de tes paupières Qui battent comme les fleurs battent au vent dément
Le gardien du troupeau chante tout doucement Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent Pour toujours ce grand pré mal fleuri par l’automne
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