Back on this post, I expressed my concerns about her flat-out ignoring antisemitism and she replied:
I am not deflecting criticism, nor I am ignoring it, as most people tend to do. I get that you can feel like I dismiss it as secondary, but that's not the case. I am saying that we live in a country, where unfortunately, racism, sexism and indeed antisemitism is literally systemic, and thus is present in ALL part of society, it's unfortunate, sad, disgusting, appalling and I AM NOT EXCUSING IT
Anti-Semitic comments have been made in the past by some, but, at least for the past years (and especially last year) these accusations against LFI (a party for which I hold little love) were part of a smear campaign based on some comments that in themselves were not antisemitic, but yes, tended to be a bit dismissive of the problem at large.
My "support" of the left-wing alliance was indeed partly motivated by the will for an end of the hostilities in Palestine that won't end by the destruction of Gaza, but also by my own survival, it's not like I really had a choice there. (in context, she's trans).
Here are 2 sources for Jews voting for the RN
https://www.lejdd.fr/societe/la-communaute-juive-de-creteil-tiraillee-entre-voter-rn-et-quitter-la-france-146692
https://www.leprogres.fr/elections/2024/06/28/entre-la-peste-et-le-cholera-la-communaute-juive-de-villeurbanne-penche-pour-le-vote-rn
"We live in society, I hate mondays too but alas there is nothing we can do
I choosing Jewish rights and my rights I choose myself and dressed it up as palestinean rights
antisetism fine is because antisemitic conspiracy I made up
bottom text"
I'd burn the bridge at this point, wish her luck on the transition and never speak to her again
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De l'âme
Une surprise : plusieurs lecteurs, sans doute ébranlés par le vide abyssal qui caractérise notre temps –et avec une inquiétante tendance à l'aggravation– m'ont demandé récemment de “parler de l'âme”. Mais si je me sens très capable de donner un avis –qui n'est que le mien, corrigé par nombre de lectures et d'emprunts– … je tiens à préciser que je suis évidemment tout-à-fait incapable de répondre à la question multiple “Existe-telle ? Quelle est-elle ? Que recouvre-t-elle –ou pas ?”, et surtout de me livrer à cet exercice… en une page “A4’‘ ! Mais quel meilleur moment qu'une Semaine Sainte pour esquisser un début de réponse
Le mot ’'âme” lui-même, tiré du latin (“anima = l'air, le souffle, la vie”), recouvre tant de notions différentes que “ne pas y croire” ne peut avoir aucun sens : qui parle de “croire” à l'air, au ciel bleu, au chocolat… ? S'agit-il de l'Ame des peuples (André Siegfried) ? de l'Ame des choses (Auguste Blondel) ? des “objets inanimés” de Lamartine ? de l'Ame du monde (Frédéric Lenoir) ? (NB : je pourrais continuer longtemps). Ecoutons plutôt Camus : “Ne pas croire à l'âme est une absurdité”.
A ce moment où l'humanité semble “flirter” avec sa chute dans des abîmes qu'on peut craindre définitifs, l'âme –qui était un peu sortie de nos préoccupations consumérisées– semble faire un retour sur le devant de la scène, et nos lecteurs ne s'y sont pas trompés, en m'en parlant. Il faut reconnaître que sa définition a bien varié à travers les siècles : dans l'Antiquité, les grecs en avaient une vision bipartite (“corps et âme”)… alors que pour la tradition biblique, la vision était tripartite (“corps, esprit –pneuma en grec et spiritus en latin–, et âme –psychè, en grec et anima en latin, ce dernier mot animant la vie intérieure et la personnalité, mais aussi ce qui donne vie au corps. Ne ’‘rend-on pas son âme”, au moment du grand départ ? Mais n'allons pas trop vite : avant de la “rendre”, il faut la définir.
Pour les philosophes, l'âme est souvent une notion qui permet de parler de l'être humain dans sa totalité. Pour Platon, l'âme est en conflit avec le corps qui l'emprisonne, alors qu'Aristote insiste sur une conception non dualiste entre “âme” et “corps”, chacun étant plus ou moins indépendant de l'autre. Plus tard, pour le christianisme, qui tient un rôle de toute première importance dans cette “dissertatio” (que je voudrais tellement ne pas être une “disputatio”!), le mot “Ame” veut décrire comment est formé un être humain dans et par ses expériences fondamentales : la vie, l'amour, le désir, la maladie et la souffrance, le questionnement sur “après la vie –ou après la mort”, et l'âme se définit donc comme “autre” que l'esprit : d'un côté, un principe de vie, “ce qui anime le corps”, siège des émotions et des passions, et de l'autre, vie intérieure, et personnalité. On peut dire : raison, ici et liberté, là…
Mais en 1621, Descartes introduit une rupture dans la conception traditionnelle, en traduisant “âme” par “mens” : l'homme est d'abord un être pensant, et le mens latin, qui désigne d'abord le cerveau, l'intelligence, la raison, l'esprit… va peu à peu replacer l'ancienne “âme” au profit de ce nouvel arrivant, le “cogito’' . Une nouvelle logique bipartite est née, le corps et la pensée, séparés mais liés : ’'Cogito, ergo sum”.
Le mouvement phénoménologique, qui se targue d'appréhender la réalité telle qu'elle se donne ou se montre, considère que le corps, seul, joue un rôle (“Le monde n’est pas pour moi autre chose que ce qui existe et vaut pour ma conscience”, écrit Husserl en 1937), ce contre quoi réagit la grande Edith Stern, juive devenue carmélite et morte à Dachau : “On ne peut vivre sans âme, c'est-à dire avec une âme paralysée ou en sommeil’’… phrase où nous retrouvons ce qui est visible tout autour de nous… et ce dont l'humanité est en train de crever
Il fallut attendre 1953 pour que Crick, Watson et Rosalind Franklin, découvrent l'ADN, cette part d'éternité qui est en chacun de nous. Inséparable de nous, elle nous contient tout entiers et nous résume, tout en nous rattachant à nos origines… Question jamais posée mais qui me taraude depuis longtemps : ’'Se pourrait-il que cet acronyme, l'ADN, soit, en fin de compte, le support matériel de notre âme ? Son caractère ’'iso-éternel’'et son identité parfaite avec notre ’'être”, notre “avoir été” mais aussi notre “devoir être”, en font une parfaite réponse à ce que pourrait être ce “Corps glorieux” si difficile à imaginer mais sous lequel, disent les chrétiens, nous entrerons un jour dans notre éternité
En 1979, Joseph Rätzinger, grand théologien et futur grand Pape Benoît XVI, posa (“La Mort et l'au-delà” )que “il n'y a aucune raison sérieuse de rejeter le mot âme , cet outil verbal indispensable dans la foi des chrétiens… ce qui se vérifie à travers la prise de conscience actuelle… que une conscience, justement, ne peut exister sans objet pour la percevoir et sans sujet pour la traduire et l'expliquer”. Et voilà l’ “âme” qui fait à nouveau partie du vocabulaire de la philosophie, le besoin de cet éditorial en étant un début de preuve en soi.
Un dernier point, peut-être : en 2016, l'académicien François Cheng avait écrit un fort beau “De l'Ame” (Albin Michel) où il écrivait “A part le bouddhisme dans sa version la plus extrême, toutes les grandes traditions spirituelles ont pour point commun d'affirmer une perspective de l'âme située au-delà de la mort corporelle : l'âme de chaque être est reliée au souffle primordial qui est le secret de la vie-même. Animée par un authentique désir d'être, elle nous rappelle donc, quelle que soit notre croyance –ou notre non-croyance– combien notre vie participe d'une aventure unique, le Tao –la Voie– qui ne connaît pas de fin, contrairement à la vie”.
J'admets que tout cela n'est pas simple… Mais le moyen, s'il vous plaît, de parler de sujets eschatologiques avec nos seuls mots humains, et en un temps et un espace si réduits ? Par prudence, je vais donc demander à d'autres que moi de conclure. D'abord George Meredith : ’ L'âme est tout, ici-bas; le reste n'est qu'illusio'n’’… Puis Rivarol : “Sans le corps, l'âme n'aurait pas de sensations, mais sans l'âme, le corps n'aurait pas de sentiment”... Libre à ceux qui ont décidé de ne pas y croire, de vivre “sans”. Mais qu'ils ne comptent pas sur moi : je suis si bien, “avec”, surtout en cette Semaine, qui est Sainte pour un bon tiers de l'Humanité.
H-Cl.
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Le Petit écho de la mode, no. 49, vol. 25, 6 décembre 1903, Paris. 3. Robes d’intérieur, toilettes de cérémonie, corsages, jupes, lingerie. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(1 et 2.) Robe de maison en molleton bleu ciel, de forme ample, garnie de galon brodé. Manches juives, froncées du haut. Mat.: 4 m. 50 de molleton.
(1 and 2.) House dress in sky blue fleece, loose fit, trimmed with embroidered braid. Jewish sleeves, gathered at the top. Mat.: 4.5 m. fleece.
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(3 et 4.) Robe de maison en drap léger bleu bluet, vague devant, ajustée du dos, avec volant en forme surmonté de biais piqués. Grand col en broderie anglaise. Mat.: 4 m. 50 de drap.
(3 and 4.) House dress in light blue cloth, wave at the front, fitted at the back, with shaped flounce topped with stitched bias. Large English embroidery collar. Mat.: 4.5 m. cloth.
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(5 et 6.) Robe en drap et velours noir vague, avec collet-étole et nœud de velours. Manches juives. Mat.: 4 m. 50 de drap, 1 m. 50 de velours.
(5 and 6.) Dress in vague black cloth and velvet, with stole collar and velvet bow. Jewish sleeves. Mat.: 4.5 m. cloth, 1.5 m. velvet.
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(7 et 8.) Robe en molleton bleu marine, serrée à la taille par une cordelière. Collet en velours et molleton. Manches avec poignets de velours. Mat.: 4 m. 50 de molleton, 4 mèt. de velours.
(7 and 8.) Navy blue fleece dress, tightened at the waist with a cord. Velvet and fleece collar. Sleeves with velvet cuffs. Mat.: 4.5 m. fleece, 4 meters velvet.
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(9 et 10.) Robe en drap ou satin, mousseline de soie. Jupe ouverte sur un tablier froncé en mousseline de soie. Corsage court, à petite pointe devant et derrière, avec revers de dentelle et empiècement bouillonné en mousseline de soie. Manches larges avec revers de dentelle. Mat.: 22 mèt. de satin ou 10 mèt. de drap.
(9 and 10.) Dress in cloth or satin, chiffon. Open skirt over a gathered silk chiffon apron. Short bodice, with a small point at the front and back, with lace cuffs and bubbled silk chiffon yoke. Wide sleeves with lace cuffs. Mat.: 22 meters satin or 10 m. cloth.
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(11 et 12.) Robe en soie. Jupe garnie de deux entre-deux de dentelle termines par des bouquets d’oranger. Corsage-blouse froncé dans une ceinture, avec grand col de dentelle entouré de niché de mousseline de soie. Manches plissées, ornées de dentelle. Mat.: 22 mèt. de soie ou 10 mèt. de drap.
(11 and 12.) Silk dress. Skirt trimmed with two lace inserts ending in orange bouquets. Blouse-bodice gathered into a belt, with large lace collar surrounded by nested silk chiffon. Pleated sleeves, decorated with lace. Mat.: 22 meters silk or 10 m. cloth.
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(13 et 14.) Robe en éolienne. Jupe avec quilles plissées en mousseline de soie, ornée de bouquets de myrte. Corsage-blouse à empiècement entouré de draperie formant deux pans. Ceinture drapée. Manches avec bavolet plissé et orné de dentelle. Mat.: 22 mèt.
d’éolienne ou 10 mèt. de drap.
(13 and 14.) Éolienne dress. Skirt with pleated keels in silk chiffon, decorated with bouquets of myrtle. Bodice-blouse with yoke surrounded by drapery forming two panels. Draped belt. Sleeves with pleated flap and decorated with lace. Mat.: 22 meters
éolienne or 10 m. cloth.
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(15 et 16.) Robe en drap. Jupe garnie de mousseline de soie. Corsage à pointe, entouré aux épaules d’une draperie de mousseline de soie. Mat.: 10 mèt. de drap.
(15 and 16.) Cloth dress. Skirt trimmed with silk chiffon. Pointed bodice, surrounded at the shoulders by a drapery of silk muslin. Mat.: 10 m. cloth.
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(17 et 18.) Corsage en taffetas bleu mer plissé à petits plis, garni d’une petite guipure retenant les plis, simulant l’empiècement. Manches-blouse. Mat.: 5 mèt. de taffetas.
(17 and 18.) Bodice in pleated sea blue taffeta with small pleats, trimmed with a small guipure retaining the pleats, simulating the yoke. Blouse sleeves. Mat.: 5 meters taffeta.
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(19 et 20.) Corsage en velours rubis blousant légèrement devant, orné de guipure gracieusement disposée. Mat.: 4 mèt. de velours.
(19 and 20.) Ruby velvet bodice slightly blousy in front, decorated with gracefully arranged guipure. Mat.: 4 meters velvet.
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(21 et 22.) Corsage en soie fantaisie. Dos et devant s’ouvrant sur un plastron de mousseline de soie froncée, retenus par des barrettes de velours. Mat.: 4 mèt. de soie fantaisie, 0 m. 50 de mousseline de soie.
(21 and 22.) Fancy silk bodice. Back and front opening onto a gathered silk chiffon bib, held in place by velvet barrettes. Mat.: 4 meters fancy silk, 0.5 m. chiffon.
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(23 et 24.) Corsage en bengaline oeillet rose, recouvert d’un col formant étole en soie fantaisie. Manches d’une seule pièce, terminées par un poignet. Mat.: 4 met. de bengaline, 1 mèt. de soie.
(23 and 24.) Pink carnation bengaline bodice, covered with a collar forming a fancy silk stole. One-piece sleeves, finished with a cuff. Mat.: 4 meters bengaline, 1 meter silk.
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(25 et 26.) Jupe en diagonale noire, ornée de baguettes piquées. Mat.: 3 m. 75 de diagonale.
(25 and 26.) Black diagonal skirt, decorated with stitched baguettes. Mat.: 3.75 m. diagonale.
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(27 et 28.) Jupe en croise fin, avec tablier et volant plissé surmonté d’un biais. Mat.: 4 m. 50 de croisé.
(27 and 28.) Fine crossover skirt, with apron and pleated flounce topped with a bias. Mat.: 4.5 m. croisé.
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(29 et 30.) Jupe en forme eu drap satin, doublée de taffetas et cerclée d’une fine passementerie. Mat.: 3.5 m. de drap.
(29 and 30.) Skirt in the shape of a satin sheet, lined with taffeta and surrounded by fine trimmings. Mat.: 3.5 m. cloth.
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(31 et 32.) Jupe en cheviotte avec volant légèrement plissé, surmonté d’un entre-deux de guipure. Mat.: 4 mèt. de cheviotte.
(31 and 32.) Cheviotte skirt with slightly pleated flounce, topped with a guipure insert. Mat.: 4 meters cheviotte.
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(33.) Cache-corset ajusté orné de broderie.
(33.) Fitted corset cover-up decorated with embroidery.
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(34.) Cache-corset orné de dentelle.
(34.) Corset cover decorated with lace.
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(35.) Cache-corset orné de petits plis et rie broderie.
(35.) Corset cover decorated with small pleats and embroidery.
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(36.) Groupe de chemises de jour ornées de petits plis et de broderie.
(36.) Group of day shirts decorated with small pleats and embroidery.
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(37.) Groupe de chemises de jour ornées de dentelle et de trous-trous dans lesquels on passe un ruban.
(37.) Group of day shirts decorated with lace and holes through which a ribbon is passed.
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(38.) Groupe.de chemises de nuit ornées de broderie et de petits plis.
(38.) Group of nightgowns decorated with embroidery and small pleats.
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(39 et 40.) Groupes de mouchoirs en batiste et toile fine, ornés de broderie faite à même et de dentelle.
(39 and 40.) Groups of handkerchiefs in cambric and fine canvas, decorated with self-made embroidery and lace.
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(41.) Cache-corset de forme boléro, orné d’entre-deux de Valenciennes et bordé d’une dentelle.
(41.) Bolero-shaped corset cover, decorated with Valenciennes interlaces and edged with lace.
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(42 et 43.) Pantalons de forme droite, ornés de petits plis et dé broderie.
(42 and 43.) Straight pants, decorated with small pleats and embroidery.
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(44.) Chemise de nuit ornée d’un col-châle festonné et plissé à petits plis distancés.
(44.) Nightgown decorated with a scalloped and pleated shawl collar with small spaced pleats.
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(45.) Chemise de nuit plissée â petits plis, ornée de volants festonnés.
(45.) Pleated nightgown with small pleats, decorated with scalloped ruffles.
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Prix des patrons: Robe d’intérieur en papier, 3 fr. 25; en mousseline, 5 francs. Corsage ou jupe en papier, 1 fr. 75; en mousseline, 2 fr. 50. Jupe avec volant ou jupe de mariée en papier, 2 fr. 50; en mousseline, 4 francs. Cache-corset, chemise de jour, pantalon ou chemisé de nuit en papier, 1 franc; en mousseline, 2 francs. Port: O fr. 30.
Price of the patterns: House dress in paper, 3.25 fr.; in muslin, 5 francs. Bodice or skirt in paper, 1.75 fr.; in muslin, 2.5 fr. Skirt with flounce or wedding skirt in paper, 2.5 fr. 50; in muslin, 4 francs. Corset cover, day shirt, pants or night shirt in paper, 1 franc; in muslin, 2 francs. Port: O.30 fr.
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