#lecture de contes
Explore tagged Tumblr posts
Text
OMAC Torreilles : Contes & chocolat
Contes & Chocolat, organisé par la ville de Torreilles, se tiendra cette année le mercredi 10 avril, toujours dans le merveilleux parc de la chapelle Juhègues. Événement phare du printemps, contes & chocolat invite petits et grands dans un monde enchanté où les histoires se mêlent au doux parfum du chocolat. Pour cette année, la formule change avec des activités accessibles pour les enfants de…

View On WordPress
#chapelle Juhègues#chasse aux oeufs#Contes & Chocolat#enfants#Journal Catalan#Le Journal Catalan#lecture de contes#Pyrénées-Orientales#Torreilles
0 notes
Text

Ce conte est un condensé d’émotions et d’amour en quelque centaines de pages.
C’est vite lu mais sans doute assez fort pour laisser une trace indélébile.
Impossible de déflorer le sujet ! Vous comprendrez facilement de quelle période historique il est question. Dans son épilogue, Jean-Claude Grumberg nous invite à deviner s’il s’agit d’une histoire vraie…
« Voilà la seule chose qui mérite d'exister dans les histoires comme dans la vie vraie. L'amour, l'amour offert aux enfants, aux siens comme à ceux des autres. L'amour qui fait que, malgré tout ce qui existe, et tout ce qui n'existe pas, l'amour qui fait que la vie continue. »
« Elle n'avait pas d'enfant à nourrir certes, mais pas non plus d'enfant à chérir. »
« Nul ne peut rien gagner en ce bas monde sans consentir à y perdre un petit quelque chose, fût-ce la vie d'un être cher ou la sienne propre. »
« Elle dort notre pauvre bûcheronne, elle dort, son bébé bien serré dans ses bras, elle repose du sommeil des justes, elle dort là-haut, bien plus haut que le paradis des pauvres bûcherons et des pauvres bûcheronnes, bien plus haut encore que l'Eden des heureux de ce monde, elle dort tout là-haut là-haut, dans le jardin réservé aux dieux et aux mères. »
« Elle se sent devenue mère, à la fois heureuse et mortellement inquiète. »
#photographie#photography#book#bookaddict#booklover#lecture#citation#jean Claude Grumberg#conte#la plus précieuse des marchandises
1 note
·
View note
Text
La bibliothèque de Fontaine : Un Conte de Noël
Bienvenue! 😁 C’est une nouvelle rubrique que nous inaugurons aujourd’hui! Il fallait bien que la collection de livres sans fin de Fontaine serve à quelque chose! Nous sommes encore en décembre, quel autre livre plus à-propos que… Fontaine : eeh dites mais qu’est-ce que vous faites avec un de mes livres? C’est le Conte de Noël de Charles Dickens? 😮 Auteure : euh… oui? Fontaine : j’adore ce…
View On WordPress
#19e siècle#époque victorienne#collection#dickens#fantasy#gaslamp#lecture#livre#noel#roman#un chant de noel#un conte de noel#vintage
0 notes
Text
#article#blog#magie portable#j'ai lu#critique#contes de terreur#sir arthur conan doyle#lecture de novembre#horreur#audiobook
0 notes
Link
Krakonoche est un conte de Noël imprégné du riche folklore tchèque, où les valeurs fondamentales d’accueil, de générosité et de partage prennent le devant de la scène. Claude Clément donne vie à cette histoire à travers son texte, tandis que les illustrations saisissantes de Magali Dulain viennent ajouter une dimension visuelle captivante à cette aventure empreinte de traditions et de chaleur humaine.
0 notes
Text
Title: Fierce Fairytales

Author: Nikita Gill Publication
Year: 2018
Imagine your favorite fairy tales, but with a modern, empowering twist – that's what "Fierce Fairytales" by Nikita Gill is all about.
Nikita Gill's reimagining of classic fairy tales in "Fierce Fairytales" is nothing short of remarkable. This captivating journey transports us to a world where heroines and heroes break free from the chains of tradition, where courage and self-discovery take center stage, and where happily-ever-afters are defined by inner strength and authenticity. Through her words, Gill invites us to rediscover the magic within ourselves, all while subtly reminding us that these enchanting stories hold more than meets the eye, making "Fierce Fairytales" an unexpected and empowering literary adventure that lingers long after the final page is turned.

auteur: Nikita Gill
Année: 2018
voici la version française :
La ré-imagination des contes de fées classiques par Nikita Gill dans "Fierce Fairytales" est tout simplement remarquable. Ce voyage captivant nous transporte dans un monde où les héroïnes et les héros se libèrent des chaînes de la tradition, où le courage et la découverte de soi prennent le devant de la scène, et où les fins heureuses sont définies par la force intérieure et l'authenticité. À travers ses mots, Gill nous invite à redécouvrir la magie en nous, tout en nous rappelant subtilement que ces histoires enchanteresses renferment plus qu'il n'y paraît, faisant de "Fierce Fairytales" une aventure littéraire inattendue et inspirante qui reste en nous bien après la dernière page tournée.
#booklr#prose#fairy tales#booktook#books#currently reading#reading#book recommendations#poems on tumblr#fairytale#conte de fées#livres et lecture#lecture
1 note
·
View note
Text
« Je vis une version très étrange et revisitée de cette histoire, songea Ariel. »
FANTASTIQUE. Une histoire tout simplement entraînante, ADDICTIVE. Je dois d’abord vous dire que j’ADORE les contes de fées, les récits fantastiques, les histoires de Disney, mais là… de retrouver les personnages de notre enfance, réétudiés, nos histoires revisitées, c’est… MAGIQUE! À lire absolument!
Liz Braswell a une plume divertissante, fascinante. Laissez-vous charmer par cette nouvelle histoire : Tout pour vous redonner envie de regarder le film (ou les films). Tout pour vous donner envie de lire ce roman (ou toute la série). Avec une touche de suspense, d’action, d’amour et de péripéties, saurez-vous découvrir les plans de Vanessa/Ursula?
#ProfondeursdelOcéan #TwistedTale #Disney #Conte #réécriture #fantastique #littérature #magie #romance #amour #sirènes #mer #océan #pouvoir #courage #changement #prince #reine #méchante #sorcière #récit #suggestiondelecture #lecturedumoment #lecturedusoir #chronique #servicepresse
Ma chronique complète: https://www.facebook.com/photo/?fbid=824074182657609&set=a.547452486986448
#histoire#conte de fées#walt disney#disney#romance#suggestiondelecture#lecture#books#amour#famille#suspense#amitié#love
0 notes
Text
Apotropaïsmes
Je rêve une collection. Je la sais remembrance. L’inverse est tout aussi vrai pour moi qui ne collectionne que de rares fragments mnémosynes.
La baie vitrée de Suzhou volée en éclats me renvoie aux mondes de verre de féerie, aux lectures modulées du vers ancien à la métrique hypnotique et un peu ivre – voix graves, légèrement voilées.
Le chant qui anticipe ou se remémore a ses odyssées, ses utopies, ses fata morgana. De même, l’œuvre peint. Ma peinture est un portrait de Psychê, une mosaïque d’instants-paysages flottants, outremondes d’aval et amont. L’envie n’y a pas droit de cité. L’intempérance y a le souffle court. Le symbole s’érige, apotropaïque, aux fins harmoniques.
*
Un conte s’invente.
Il devait avoir 10 ans. L’enfant avait les joues roses et rondes. Il vivait aux temps des splendeurs rêvées, des ruelles en méandres, murailles basses, brillantes comme le kaolin sous leurs tuiles vernissées. Il explorait sa ville de soie.
Une chimère est tombée à ses pieds. Elle a les joues couleur de cendre, la gueule béante, les yeux ronds et les pattes griffues.
Elle est de bon augure.
*
Je dépose un baiser au front de mon aimé.
©️MaOphelie-Sophie D. S. W.
Fata Morgana (2024) – création digitale composée avec Procreate sur iPadPro par ©️MaOphelie-Sophie D. Schallerwright

29 notes
·
View notes
Text
The next day, the first day of school was marked with a lecture on careers!
All the other students were focused on the most common professions, astronaut, police officer, but Akemi noticed an athlete with an empty desk and tried to approach him.
Athlete: You're the first one to show up, are you interested in horse riding competitions?
Akemi: Is it really possible to pursue a career with horses?
Athlete: Of course, the trophies in my house are proof of that.
Akemi: Tell me all you know!
PREVIOUS 《🐎》 NEXT
Translation below (PT-BR)
No dia seguinte, o primeiro dia de aula era marcado com uma palestra sobre carreiras!
Todos os outros alunos ficaram em torno das profissões mais comuns, astronauta, policial, mas Akemi notou uma atleta com a mesa vazia e tratou de se aproximar.
Atleta: Você é a primeira que apareceu, tem interesse em competições de hipismo?
Akemi: Dá mesmo para seguir carreira com cavalos?
Atleta: Com certeza, os troféus na minha casa são a prova disso.
Akemi: Me conte tudo sobre!
#simblr#the sims 4#ts4#my sims#sims 4#the sims legacy#the sims gameplay#the sims screenshots#sims 4 gameplay#sims 4 screenshots#ts4 story#ts4 simblr#ts4 gameplay#ts4 legacy#ts4 screenshots#Family Saori#legacy challenge#legacy sims#legacy gameplay#ts4 challenge#Saori legacy#ts4 stories#the sims life stories
15 notes
·
View notes
Text

NOTE DE LECTURE : Le nom sur le bout de la langue. Pascal Quignard. 1995
Encore une fois, il m'a fallu du temps pour me défaire des mots de l'auteur et retrouver les miens pour exprimer mon ressenti. Ce livre extrêmement court est inégal mais aussi infiniment dense, et Pascal Quignard, toujours aussi énigmatique au premier abord, laisse inévitablement son empreinte dans l'inconscient des lecteurs.
J'ai commencé ma lecture par la fin, à savoir le "Petit traité sur Méduse". C'est un récit très personnel de l'auteur qui, lorsqu'il était enfant, voyait sa mère chercher le mot, le regard perdu dans le vague, et le laissait lui suspendu à ses lèvres. Je me suis trouvée moi-même bouleversée, médusée ou plutôt sidérée, par cet exposé sur le manque du mot, le langage acquis puis omis, sur le rapport de l'auteur au monde et au langage, au silence aussi et plus tard à l'écrit, à cette jouissance-là. Je fais le lien avec le manque et le désir, la vie et la mort, le rapport au temps et à l'autre, le rapport à soi et au sens.
Puis je suis retournée au début, j'ai lu une sorte de prologue intitulé "Froid d'Islande" dont je garde aucun souvenir, et continué ma lecture avec le conte dont l'ouvrage porte le titre "Le nom sur le bout de la langue". C'est une fable au sujet d'une amoureuse qui devient brodeuse, et envoie en mission son amant pour tenir sa parole et se jouer du prince des Ténèbres et des Enfers. Il s'agit là comme dans un conte de répétions et de dissimulations, de mémoire et de mensonge, de promesse et de tendresse.
Avant de retourner enfin au texte par lequel j'avais abordé ce livre, le fascinant "Petit traité sur Méduse", dont la magie m'interroge encore, comme une réminiscence.
11 notes
·
View notes
Text
No one asked for this from the Rook Codex Prompts, but I had a specific idea for it:
19. Inventory of personal belongings Rook left behind when they left their faction
Found in the warded letter case of Andarateia Cantori, written in a different but familiar hand.
Inventory (cont.)
-A disorganized sewing kit with various needles and spools of thread
-Woven basket with sewing projects that need mending, including:
A worn and partially repaired linen chemise with a frayed seam. Discard.
A crumpled black formal gown. Slash in the bodice at the ribs slightly discolored from the removal of blood stains. Discard. Give to the seamstress for repair, as not to cause rumors amongst the fledglings. Talk to Eligio later about spying on Talons.
-A small collection of various travelogues, historical novels, and crime serials. Return to Sig. Sansone’s subscription library.
-A spherical magical device with a single circling ring. Gives off slight electrical shocks when tampered with. Has she really kept it since-
-A lute and various collections of sheet music. Dust before storing.
-A partially emptied alchemist’s chest with a missing travel case. Return to personal laboratory.
-Discarded Crow leathers and cape, with traces of blood and soot. Clean before storing.
-One clay bowl filled with miscellaneous pins, copper coins minted in various cities in the Free Marches, a silver earring without its match, and a broken buckle. Pins returned to sewing kit.
-A mostly empty jewel case. Within the case:
Three silver openwork pomanders to be worn on a necklace chain, one containing embrium petals, the second several poisons in separated compartments, and the third perfume ingredients. Clean and return to House de Riva’s vault.
One silver chain to be worn about the neck. Return to House de Riva’s vault.
One pendant in the shape of a crow with outstretched wings and open beak, enchanted. Lock in personal vault.
One silver- (the rest of the line is illegible as the ink has run. There is a puncture hole in the parchment where the words trail off)
(in a different, lighter hand) One silver and niello cloak-pin fashioned after a serpent and embrium flower. Scratched but with a recently replaced pin. Store in private office safe in the Diamond and return to Vi when he’s calmed down.
The second write goes on to inventory clothing left behind in the wardrobe and other mundane items.
Couple of small head canons at play here:
--Arsinoë's ADHD is modelled after my ADHD and her tendency to leave bits and bobs lying around/ stop seeing or noticing them if she isn't actively thinking about them drives Viago insane.
-Most of those adjectives were entirely unnecessary in an inventory especially for a man who would love excel and accounting but Viago's anger made him petty so he had to record snide comments about what a mess some of Arsinoë's things were in.
--Eligio de Riva is the nephew of Viago's steward and one of the few people who might be something approaching a friend to Arsinoë, though they were never as close as they might have been. He was hoping to salvage a memento or two from her apartment for her, not realizing Viago was already there. When he saw his Talon angrily discarding Arsinoë's things, specifically her clothing, into a rubbish pile, he immediately assumed the worst, which Viago clocked from his expression.
--The cloak pin / broach immediately set Viago off because it's the first gift he ever gave Arsinoë as a child. He brought it with him from his life before without ever really understanding why. It sat in a box for years before Viago gave it to Arsinoë, literally marking her as under his protection. (Though of course he never explained that. Mainly, he lectured her on looking too bedraggled to represent de Riva.)
--She's kept the brooch and repaired it and worn it prominently for two decades, despite its plainness and the fact that eventually she could afford fancier jewelry. Seeing it left behind felt like both a funeral bell and a "fuck you" to Viago, while Arsinoë meant it to show she accepted her consequences, that he had exiled her from his inner circle/ his protection. And also a little bit as a fuck you.
--The resulting meltdown forced Teia to intervene and not only finish clearing out Arsinoë's apartment, but hide the brooch so Viago wouldn't do something rash because he was angry/grieving.
11 notes
·
View notes
Text

Un vrai conte de fées, cette fois, promijuré !
D’ailleurs il y a des fées dedans
Trois
Pas très futes-futes, mais bon...
La vie de notre héros s’en trouve quand même toute transformée
Humour saupoudré de cochonneries
C’est ma nouvelle petite histoire en lecture libre
https://www.atramenta.net/lire/la-fee-du-rubiks-cube/98826
💋
7 notes
·
View notes
Text

Jour 29 : Navigateur
Day 29 : Navigator
Dessin traditionnel tracé au crayon à papier puis encré avec les stylos Pigma Micron, de la taille 005 (0,25 mm) à la taille 8 (0,50 mm) avec trois pinceaux de lettrage créatif United Office (vert, gris, anthracite).
"No charge!"
Au cours de son enquête, Sherlock (Sherlock BBC) enquête sur le mystérieux Moriarty, plongeant tête première dans une vaste toile d'araignée criminelle. Sans savoir que pendant sa pause récréative de lecture de vidéo de conte, le principal concerné est son chauffeur de taxi.
---
Traditional drawing traced with pencil then inked with Pigma Micron pens, from size 005 (0.25 mm) to size 8 (0.50 mm) with three United Office creative lettering brushes (green, gray, anthracite) .
“No charge!”
During his investigation, Sherlock (Sherlock BBC) investigates the mysterious Moriarty, diving headfirst into a vast criminal spider's web. Without knowing that during his recreational break from reading a story video, the main person concerned is his taxi driver.
#inktober#inktober 2024#inktoberchallenge#inktober 2024 navigator#sherlock bbc#fanart sherlock#jim moriarty#james moriarty#andrew scott#benedict cumberbatch#sherlock#taxi
7 notes
·
View notes
Text
En revanche, j’ai dévoré Le rêve du jaguar du fringant Miguel Bonnefoy. Il est jeune et a déjà écrit plein de trucs, mais c’est maintenant que je le découvre, et je me suis régalée avec sa fresque historique et fantaisiste. Un portrait du Vénézuéla au XXe siècle à travers une famille (apparemment fortement inspirée de sa propre famille) qui est complètement incroyable. Antonio, le bébé abandonné trouvé sur les marches d’une église et recueilli par une muette qui vit dans les bidonvilles de Maracabio deviendra médecin et fondateur d’une université de médecine du Vénézuéla… entre temps, il connaîtra de multiples aventures (celles de son enfance sont particulièrement géniales) ; pauvre, il devra s’endurcir et devenir malin… un côté Oliver Twist dans cette partition, faire divers métiers, dont celui d’homme à tout faire dans un bordel avant d’accéder à d’autres sphères et d’autres horizons…. Laure Adler compare l’auteur à Victor Hugo ! Il y a de ça en effet dans la virtuosité de passer d’un milieu à l’autre, dans la peinture crue et émouvante des gens miséreux… un Victor Hugo juvénile d’Amérique du Sud, comme on se l’imagine, colorée et tapageuse, aux prises avec une histoire mouvementée et violente. (Encore que l’auteur soit Franco-vénézuélien, son livre fait d’ailleurs le grand écart entre les deux continents, et fantasme Paris.)
Mais malgré la violence des faits, la plume de Miguel Bonnefoy est légère, il virevolte et nous embarque dans les moments tragiques et les plus doux avec cadence et rythme, sans s’appesantir. Il a cette grâce et cette fantaisie, qui surprend sans cesse. Il mêle récits imaginaires, contes, légendes, mythologies locales et histoire avec malice.
C’est un vrai moment joyeux de lecture.
4 notes
·
View notes
Text
LECTURE DE 2024 : Cendrillon est morte - Kalynn Bayron
Lecture terminée le 6 novembre 2024 (105/110)
334 pages lues
- Toute ma vie n'a été qu'une suite de préparatifs pour ce bal. Ce n'est pas un détail. Tout ce que je fais, tout ce que je dis, c'est pour le bal. Mon chemin est tracé depuis ma naissance. Mon futur est déjà écrit, et je n'ai pas le moindre mot à dire. - C'est vrai. Et alors ?" Elle me fixe avec une expression vide, comme si elle ne comprenait pas. "Tu ne veux pas que je sois heureuse ? Ce n'est pas ce qui compte le plus ?" Dans le bref instant qui s'écoule avant qu'elle ne répondre, j'imagine qu'elle va dire si et me confier que je ne suis pas obligée d'y aller. J'imagine comment ça pourrait être de l'avoir de mon côté. "Non." Ma mère lâche ma main. Je ressens une amère déception. "Ce qui compte, c'est que tu sois en sécurité. Que nous respections les lois. Elles sont claires comme de l'eau de roche. Et elles sont affichées juste là." Elle indique la porte d'entrée. "Le bonheur est un plus, Sophia. Ce n'est pas un droit, et plus tôt tu l'accepteras, plus ta vie sera facile.
Ma 105ème lecture, cette année, a été le roman Cendrillon est morte, écrit par Kalynn Bayron, une histoire qui va au-delà de la réécriture!
Résumé: Il y a 200 ans, Cendrillon a rencontré le prince Charmant, mais ce qui est raconté comme un conte de fée est devenu le cauchemar de toutes les femmes du royaume. Sophia devrait se trouver un mari, quelqu'un à qui elle appartiendra toute sa vie, mais elle n'en a aucune envie. Elle, elle voudrait fuir, quitter cette ville maudite avec celle qu'elle aime, mais peut-être est-elle vouée à faire plus?
CW/TW: sexisme, homophobie (dont intériorisée), meurtres, manipulation mentale, violences physiques, violences conjugales, incendie, patriarcat, agression sexuelle, prostitution (mentions), cadavre, ...
Pour mon anniversaire, on m'a offert ce livre! Il m'intéresse pas mal depuis un moment, mais je ne voulais pas le prendre dans la maison d'édition De Saxus que j'essaie d'éviter au maximum parce que leur travail de correction n'est pas top du tout. Je n'en ai donc quasiment aucun! Cependant, il s'avère que PAL fait partie de la maison d'édition De Saxus. Bêtement, j'ignorais ça, et on me l'a appris a posteriori.
Bien sûr, le travail de correction n'est pas bon, et vraiment désagréable par moments. CEPENDANT, l'histoire est vraiment cool! Un peu trop simpliste, certes, pas bien difficile à comprendre et on comprend plutôt vite ce qu'il va se passer (au point où j'ai poussé ma réflexion trop loin, ahah), mais ça reste très fort à lire. Sophia est une protagoniste forte, sensible, qui essaie de faire au mieux et qui ne veut pas endurer les injustices de son monde. Elle n'est pas naïve de leur existence, mais elle refuse de s'y plier. Et si le roman est décrit comme une adaptation, une réécriture, je dirais que ça va au-delà de ça. L'autrice avait une base, mais elle a créé une histoire propre à elle-même, et une plutôt bonne histoire!
L'histoire prend très vite des allures sombres, de part les thèmes abordés, mais je recommande chaudement. C'est très bien amené, très intéressant, et plutôt fluide à lire! Par contre, ça peut faire du mal à certains moments, les TW sont très explicites pour certains.
Bref, la lecture est chouette, je l'ai appréciée, n'hésitez pas! Mais si vous savez lire anglais, fuyez cette adaptation française qui est de mauvaise qualité.
2 notes
·
View notes
Text
Le livre de son enfance
Fandom : Outlander
Relationships : Brianna & Frank, Brianna & Jocasta
Voici ma participation pour le Comfortember 2023 pour le prompt : Livres.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Ce livre avait une signification particulière pour Brianna. C’était le livre que son père, Frank, lui lisait quand elle était enfant. Il le lui lisait quand elle était triste ou malade. Ce livre la réconfortait toujours.
Disclaimer : Outlander appartient à Diana Gabaldon.
@comfortember
AO3 / FF.NET
Brianna entra dans la bibliothèque de Jocasta et regarda autour d’elle. Il y avait des dizaines et des dizaines de livres rangés soigneusement sur les étagères. Il y avait une cheminée et deux fauteuils devant la fenêtre. À cause de sa cécité, cela faisait plusieurs années que Jocasta n’avait pas pu profiter de la bibliothèque.
Cela faisait une semaine que Brianna était chez sa tante. Elle vivait dans l'angoisse. Chaque jour, elle imaginait tous les scénarios les plus horribles sur ce qui pouvait arriver à Roger. Elle était enceinte, l’homme qu’elle aimait était peut-être mort. Elle avait du mal à se sentir à l’aise chez Jocasta, malgré le fait que sa tante fasse tout pour l’aider à se sentir bien. Mais elle était loin de chez elle et de son époque. Elle était loin de tout ce qu’elle connaissait.
En s’installant chez Jocasta, sa tante lui avait dit qu’il pouvait lire autant de livre qu’elle le voulait et Brianna ressentait le besoin de se changer les idées. Elle regarda les tranches des différents livres sur les étagères, lorsqu’un livre attira son attention. Elle le prit et regarda la couverture. Le titre était écrit en gros et en doré. Les Contes de ma mère l'Oye. Elle l’ouvrit et lut sur la première page la date d’impression. Elle datait de 1729. Elle tenait dans ses mains l’une des premières éditions anglaises.
Ce livre avait une signification particulière pour elle. C’était le livre que son père, Frank, lui lisait quand elle était enfant. Il le lui lisait quand elle était triste ou malade. Ce livre la réconfortait toujours. Elle le feuilleta et toucha délicatement du bout des doigts la page sur laquelle elle s’était arrêtée.
Son père lui manquait, en particulier dans ces moments difficiles qu’elle vivait. Même si elle savait désormais qu’il n’était pas son père biologique, il était celui qui l’avait élevé et qui avait pris soin d’elle. Elle était proche de lui et souvent elle avait l’impression qu’il était le seul à pouvoir la comprendre.
Depuis qu’elle avait traversé les pierres, elle se demandait ce qu’il penserait de ce qui lui était arrivée. Elle était certaine d’une chose. Jamais il ne lui aurait dit les horreurs que Jamie lui avait dit. Elle lui en voulait et même s’il faisait tout pour se faire pardonner en partant à la recherche de Roger, elle n’avait pas la force de lui pardonner.
« Brianna ? »
Elle se retourna et vit Jocasta entrer dans la pièce.
« Oui, ma tante ? »
Jocasta sourit et se dirigea vers elle, guidée par le son de sa voix.
« Ulysses m’a dit que tu étais ici. Je suis venue voir si tu allais bien. »
Brianna sourit tendrement. Même si elle savait que sa situation était des plus délicates pour des personnes du XVIIIème siècle, Jocasta c’était toujours montrée chaleureuse et bienveillante envers elle.
« Tout va bien ma tante.
-Je suis contente de te savoir ici. Cela faisait longtemps que cette pièce n’avait pas servi. Est-ce que tu as trouvé un livre qui te plaît ?
-Oui. Les Contes de ma mère l'Oye. C’est un livre que j’aimais énormément quand j’étais enfant.
-Ma fille aimait également ce livre, dit Jocasta avec de la tristesse dans le regard. Pourrais-tu me le lire ? »
Brianna sourit et acquiesça. Elle s’approcha de sa tante, lui donna le bras et la conduisit jusqu’à l’un des fauteuils. Brianna s’assit en face d’elle et ouvrit le livre à la première page. Elle commença sa lecture à Jocasta. Comme à chaque fois, ce livre la réconfortait. Elle se sentait un peu mieux et grâce à ce livre, elle avait l’impression que Frank était auprès d’elle.
Fin
8 notes
·
View notes